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960a
[Deutsche Fassung]
1
II. Aktiven Bei ihrer Ersterfassung müssen die Aktiven höchstens zu den
Anschaffungs- oder Herstellungskosten bewertet werden.
1. Im
2
Allgemeinen In der Folgebewertung dürfen Aktiven nicht höher bewertet
werden als zu den Anschaffungs- oder Herstellungskosten.
Vorbehalten bleiben Bestimmungen für einzelne Arten von Aktiven.
3
Der nutzungs- und altersbedingte Wertverlust muss durch
Abschreibungen, anderweitige Wertverluste müssen durch
Wertberichtigungen berücksichtigt werden. Abschreibungen und
Wertberichtigungen müssen nach den allgemein anerkannten
kaufmännischen Grundsätzen vorgenommen werden. Sie sind direkt
oder indirekt bei den betreffenden Aktiven zulasten der
Erfolgsrechnung abzusetzen und dürfen nicht unter den Passiven
ausgewiesen werden.
4
Zu Wiederbeschaffungszwecken sowie zur Sicherung des
dauernden Gedeihens des Unternehmens dürfen zusätzliche
Abschreibungen und Wertberichtigungen vorgenommen werden. Zu
den gleichen Zwecken kann davon abgesehen werden, nicht mehr
begründete Abschreibungen und Wertberichtigungen aufzulösen.
[versione italiana]
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Alla prima contabilizzazione gli attivi devono essere valutati al
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CR CO II-TORRIONE/BARAKAT, art. 960a
1
II. Attivi Alla prima contabilizzazione gli attivi devono essere valutati al
massimo al loro costo di acquisto o di produzione.
1. In genere
2
Nelle valutazioni successive il valore degli attivi non può essere
superiore al loro costo di acquisto o di produzione. Sono fatte salve le
disposizioni concernenti singole categorie di attivi.
3
Le perdite di valore dovute all’utilizzazione o al tempo e quelle
dovute ad altri fattori vanno contabilizzate procedendo
rispettivamente ad ammortamenti e a rettifiche di valore. Gli
ammortamenti e le rettifiche di valore devono essere effettuati in
conformità ai principi generalmente ammessi nel commercio.
Devono essere direttamente o indirettamente imputati agli attivi in
questione, a carico del conto economico ; non possono essere iscritti
nei passivi.
4
Possono essere effettuati ammortamenti e rettifiche di valore
supplementari a fini di sostituzione e per garantire durevolmente la
prosperità dell’impresa. Per gli stessi motivi, l’impresa può
rinunciare a sciogliere ammortamenti e rettifiche di valore che non
sono più giustificati.
BIBLIOGRAPHIE
Cf. bibliographie CO 957.
Cette approche peut être critiquée. Si une exception durable existe pour une partie 3
9
des actifs, principalement circulants et conformément à la pratique internationale ,
qui sont évalués à leur « juste valeur » dès lors qu’ils sont réalisables en tout temps, le
législateur suisse semble ne pas avoir envisagé que d’éventuelles réévaluations sur
actifs immobilisés pouvaient être créditées directement en capitaux propres sous un
libellé « écart de réévaluation », comme exigé par IAS 16 § 40, et que le poste en
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CR CO II-TORRIONE/BARAKAT, art. 960a
CO 960a I fixe clairement un plafond qui ne peut pas être dépassé (la loi utilise l’ 4
expression « au plus »). L’enregistrement d’un actif acquis auprès d’un tiers pour une
valeur supérieure à son coût d’acquisition ou de revient est ainsi une violation de
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cette règle d’évaluation . La [Seite 2424] question de la première évaluation ne
concerne pas que le premier enregistrement comptable, mais chaque enregistrement
12
dans un nouveau poste du bilan .
Il ne faut cependant pas oublier que ce façonnage des règles d’évaluation permettant 7
la création volontaire de réserves latentes ne signifie pas que le droit suisse ne
contient aucun frein face à la création de telles réserves. Comme on l’a expliqué en
commentant CO 960 II, la loi de 2011 a, contrairement au droit de 1991, introduit une
limite en matière de mesures de création de réserves latentes arbitraires, c’est-à-dire
s’agissant des amortissements, corrections de valeur ou provisions non justifiés
objectivement, arbitraires donc (par exemple ceux qui sont visés par CO 960a IV). Il
ne faut pas confondre cette limite avec une interdiction générale : il n’y a pas d’
interdiction générale s’agissant de la constitution volontaire de réserves latentes
arbitraires en droit suisse. Cette limite, formulée par CO 960 II comme le principe qui
interdit des évaluations qui pourraient « empêcher une appréciation fiable de la
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CR CO II-TORRIONE/BARAKAT, art. 960a
Le plafond pour les évaluations subséquentes est le coût historique, à savoir le coût d’ 8
acquisition du bien ou son coût de revient. La coût d’acquisition est relativement
simple à déterminer : il s’agira du prix d’achat, dans lequel on inclura l’ensemble des
charges liées à l’achat en question, à savoir, à titre illustratif, les frais de
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dédouanement, de transports ou d’assurances . Il est en revanche plus compliqué de
déterminer le coût de revient ; on utilisera en règle générale le prix de la matière
18
première, auquel on ajoutera les coûts de production et de finition cas échéant . Le
droit européen définit le coût de revient comme suit : « la somme du prix d’
acquisition des matières premières et des consommables et des autres coûts
19
directement imputables au produit considéré » .
Une réévaluation d’un bien de l’actif est naturellement possible, à travers par 9
exemple la dissolution d’une correction de valeur n’ayant plus de sens, bien que la
20
valeur réévaluée ne doive pas dépasser le coût historique .
Comme la doctrine l’a relevé à juste titre, la loi ne mentionne plus l’existence de la 11
valeur d’utilité comme plafond (aCO 690 II prévoyait que « la valeur de tous les
éléments de l’actif ne peut y figurer pour un chiffre dépassant celui qu’ils
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représentent pour l’entreprise à la date du bilan ») . L’ancien droit conduisait au fait
qu’entre le coût historique (aCO 665) et la valeur d’utilité à la date du bilan (aCO 960
II), c’était le chiffre le plus bas qui devait être retenu afin de respecter le cumul de
deux maxima fixés par la législation. Cette évaluation au plus faible des deux
maxima résultait d’ailleurs d’une application du principe de « la valeur la plus basse
», lui-même une conséquence du principe de la prudence (v. CO 960 II).
Dans la mesure où la prise en compte d’une valeur d’utilité plus basse que la valeur 12
historique résulte du principe de la prudence, le fait que la valeur d’utilité ne soit
plus mentionnée dans la loi ne change rien à la situation antérieure. Il y a une autre
raison pour admettre que la valeur d’utilité continue à avoir de l’importance dans de
nombreuses situations : on peut considérer que le principe suivant lequel en cas de
surévaluation d’éléments de l’actif, « les valeurs doivent être adaptées » (CO 960 III),
renvoie à CO 960a III, qui précise que les pertes de valeur qui ne sont dues ni à l’
utilisation de l’actif ni au facteur temps, sont prises en compte par des corrections de
valeur « calculées conformément aux principes généralement admis dans le
commerce », ces principes renvoyant, s’agissant d’actifs immobilisés, à la valeur qu’ils
représentent pour l’entreprise, donc à la valeur d’utilité de ces actifs. On va revenir
sur cette question ci-dessous dans la section sur le calcul des corrections de valeur.
La valeur d’utilité d’un actif est sa valeur pour l’entreprise en cause, non pas une 13
valeur fixée abstraitement. Dans ce sens, on décrit parfois cette valeur comme
22
subjective , non pas parce qu’elle ne résulte pas d’une appréciation objective, mais
parce que l’évaluation est faite exclusivement en fonction de l’utilité de l’actif pour l’
entreprise en question. La doctrine utilise l’expression « valeur d’utilité » pour
23
désigner la valeur visée par aCO 960 II (« Nutzwert ») ou par [Seite 2426] fois aussi, de
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façon moins exacte, l’expression « valeur d’exploitation » , ou plus simplement « la
valeur pour l’entreprise ».
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CR CO II-TORRIONE/BARAKAT, art. 960a
Lorsqu’un actif se déprécie à cause de son utilisation ou lorsque le facteur temps est 16
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en cause, alors on parle d’un amortissement . Le Message précise que les
amortissements « sont des ajustements de valeur systématiques et récurrents, qui s’
étalent généralement sur la durée d’utilité d’un actif ou qui sont fixés en fonction de
30
sa capacité de rendement » . Les IFRS définissent l’amortissement comme « la
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répartition systématique du montant amortissable d’un actif sur sa durée d’utilité » .
L’un des critères principaux est donc la durée d’utilité de l’actif, ce que ni la loi, ni le
Message ne définissent précisément. Les normes internationales déterminent la
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durée d’utilité d’un actif en fonction de l’utilité attendue de l’actif en question . Elles
précisent également que « la politique de gestion des actifs d’une entité peut faire
intervenir la sortie d’actifs au bout d’un délai spécifié ou après consommation d’une
certaine quantité d’avantages économiques futurs représentatifs de cet actif », ainsi la
durée d’utilité d’un actif n’est pas nécessairement aussi longue que sa vie économique
33
.
CO 960a III donne une définition négative des corrections de valeur : toute perte de 17
valeur d’un actif qui n’est pas liée à l’utilisation ou au facteur temps doit être
34
enregistrée sous forme de correction de valeur . Les « vraies corrections de valeur »,
telles que définies par une partie de la doctrine, sont donc en général dues à un
35
événement extraordinaire ou auquel on ne s’attendait pas . Il s’agit selon le Message
d’ajustements uniques sur la valeur d’un actif : elles sont plutôt courantes, dit le
36
Message, sur les éléments de l’actif circulant comme les créances et les stocks . A
titre illustratif, le Message cite le cas du produit qui perd en valeur car il ne répond
37
plus aux besoins du marché . Mais les corrections de valeur portent aussi sur les
actifs immobilisés. Le Message donne l’exemple d’une correction de valeur lorsque
des circonstances imprévisibles, qui ne découlent pas de l’utilisation régulière de l’
actif, causent une dépréciation. Par contre, dit le Message, s’il s’avère nécessaire d’
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La loi n’impose pas de critère pour définir le montant des amortissements ou des 18
corrections de valeur, mais se contente de prévoir que le calcul de ce montant se fait
39
« conformément aux principes généralement admis dans le commerce » . Le Message
précise que c’est volontairement que le législateur n’a pas été plus, précis, et a ainsi
assuré une certaine liberté aux entreprises, qui doivent néanmoins indiquer les
40
différents choix à l’annexe . La liberté laissée aux entreprises est également limitée
par l’exigence de permanence des méthodes d’évaluations formulée dans CO 958c I
41
(6), le droit européen connaissant une limitation analogue ; les entreprises sont
toutefois libres d’adapter certains facteurs comme la durée d’utilité ou taux d’
42
amortissement .
L’une des questions les plus controversées dans le nouveau droit comptable est la 21
possibilité, pour les entreprises, de bénéficier de certaines pratiques fiscales, comme l’
amortissement unique. Nous proposons d’analyser ce point ci-dessous afin de le
regrouper avec la pratique de l’abattement d’un tiers du stock et les forfaits ducroire
47
sur les créances, la problématique générale étant commune aux trois éléments .
La loi pose une obligation stricte en matière de correction de valeur à travers CO 960 22
III qui prévoit que si des indices concrets laissent supposer que des actifs sont
surévalués, alors les valeurs doivent être adaptées si après contrôle les indices se
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concrétisent .
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réalisation apparaît plus probable que non (« more likely than not »), c’est à dire au-
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delà du seuil de 50 %, ainsi que le prévoient les IFRS . Il faut ainsi relativiser « la
dépréciation effective » à laquelle le Message fait référence, puisqu’un risque qualifié
est en soit déjà suffisant.
Pour déterminer le montant de la perte de valeur éventuelle d’un actif par rapport à 26
sa valeur historique, et fixer ainsi la valeur maximale de l’actif en question, il faut
tenir compte, suivant les circonstances et le bien en cause, de la « valeur vénale » du
bien sur le marché (lorsqu’il s’agit d’un bilan de liquidation, ou lorsqu’il s’agit d’un
actif destiné à être vendu sur le marché, [Seite 2429] p. ex. des produits finis), du coût
actuel du bien sur le marché (s’agissant p. ex. de matières premières), ou bien
finalement cette valeur peut être l’utilité, exprimée en termes monétaires, de l’
utilisation future du bien par l’entreprise (« valeur actuelle » du bien). Sur ces
différentes conventions d’évaluation, v. supra ad CO 960 N 1.
La même approche est adoptée par les IFRS pour PME, qui précise que c’est la valeur 28
la plus élevée entre le prix de vente net de l’actif (valeur diminuée des coûts de vente)
et sa valeur d’utilité qui doit être prise en considération en matière d’évaluation
recouvrable (§ 27.11). Suivant les IFRS pour PME, qui sur ce point peut être utilisée
54
pour concrétiser les règles applicables en droit suisse , « la juste valeur diminuée des
coûts de la vente est le montant pouvant être obtenu de la vente d’un actif ou d’un
groupe d’actifs lors d’une transaction dans des conditions de concurrence normale
entre des parties bien informées et consentantes, diminué des coûts de sortie » ; la
valeur d’utilité est la valeur actuelle des flux de trésorerie futurs estimés attendues
de l’utilisation continue d’un actif et de sa sortie à la fin de sa durée d’utilité. La
détermination de la valeur d’utilité constitue un domaine complexe de la
comptabilité, qui devrait probablement être traité en fonction du cadre de référence
utilisé ou, si les comptes sont établis d’après la loi, en utilisant un cadre de référence
reconnu. La loi actuelle ne contient pas expressément un tel renvoi, sauf à considérer
que le renvoi aux « principes généralement admis dans le commerce » de CO 960a III
55
peut être compris aussi comme renvoi à un cadre de référence reconnu .
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3. Les pratiques fiscales en faveur des entreprises : l’abattement d’un tiers du stock, les forfaits
ducroire et l’amortissement unique
Le Message rappelle qu’en rapport avec les exigences du droit fiscal, « les forfaits de 30
ducroire de 5 % (Suisse) et 10 % (étranger), l’abattement d’un tiers sur le stock de
marchandises (Warendrittel) et l’amortissement unique des investissemnents
57
demeurent aussi autorisés » . Il précise aussi qu’il est possible de recourir à
différentes méthodes d’amortissement dans un même poste du bilan, en donnant l’
exemple des immobilisations corporelles : « il peut s’avérer judicieux, suivant la
règlementation fiscale cantonale, d’amortir les grandes installations presque
entièrement l’année d’acquisition et en une seule fois (amortissement unique), mais
de prévoir un amortissement dégressif pour les machines ou les véhicules, aux taux
58
maximum prescrits par les autorités fiscales » .
Fussnoten:
1 V. p. ex. BÖCKLI, Neue RL, N 854.
2 FF 2008 1530.
4 FF 1983 II 829.
5 Id., 825.
6 Id., 829.
7 Ibid.
8 Cette disposition est cependant appelée à être abrogée lors de la prochaine révision du droit de la
société anonyme, FF 2008 1477.
10 V. dans le même sens la Directive comptable de 2013 qui, à la fois, interdit l’inscription au bilan de
bénéfices non réalisés à l’art. 6 I (c)(i) et autorise les réévaluations d’immobilisations sous réserve
de la comptabilisation du montant de la réévaluation dans un poste « Réserves de réévaluation » à l’
art. 12.
12 HANDSCHIN, N 586.
14 Ibid.
15 FF 1983 833.
16 V. p. ex. BSK OR II- NEUHAUS/HAAG , CO 960a N 1 : « Die Ersterfassung von Akitven erfolgt nach
Kostenwertprinzip ».
18 Id., N 898.
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21 Id., N 906.
25 FF 2008 1530.
26 IAS 16 (60).
27 FF 1983 II 918.
29 FF 2008 1530.
30 Ibid.
31 IAS 16 (6).
32 IAS 16 (57).
33 Ibid.
35 BÖCKLI, Neue RL, N 983, l’auteur oppose les « eche Wertberichtigung » au « unechte
Wertberichtigung » lorsque ces dernières ne sont pas économiquement fondées mais sont
simplement une mise en œuvre de la possibilité de créer des réserves latentes arbitraires.
36 FF 2008 1530.
37 Ibid.
38 IAS 36 (6).
39 CO 960a III.
40 FF 2008 1530 ; le Message renvoie de manière très générale à CO 959c ; il faut préciser qu’il s’agit d’
un cas d’application de CO 959c I (1).
41 Le principe de permanence dans l’évaluation est introduit par l’art. 6 I (b) de la Directive
comptable de 2013.
42 FF 2008 1530.
43 Pour les avantages de cette méthode, v. BÖCKLI, § 8 N 437 s., spéc. N 741.
44 Cf. BSK OR II- NEUHAUS/HAAG , CO 960a N 17-20 et les réf. cit. ; v. aussi MSA 2009, N 2.3412 (186 s.) ;
v. ég. BÖCKLI, Neue RL, N 967 s.
45 BÖCKLI, Neue RL, N 965 ; l’auteur liste les différentes pratiques reconnues.
46 FF 2008 1530.
49 FF 2008 1531.
55 ATF 136 II 88, c. 3.4 : v. ég. l’explication du MSA 2009, N 2.3412 (184).
57 FF 2009 1530.
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58 FF 2008 1530 s.
59 FF 2017 625.
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