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IFOSUP
DE LA VILLE DE WAVRE
Fabien HEBETTE
Licencié en Sciences Economiques et Financières
Agrégé en Sciences Commerciales
Expert-Comptable Fiscaliste agréé I.T.A.A.
Administrateur de D.H.R. CONSULTANT S.R.L.
Administrateur Délégué de AMI.CO.WA. A.S.B.L.
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
1
TABLE DES ANNEXES
2
Si nous considérons que la réduction de valeur constitue une
charge professionnelle déductible sur base de l'article 44 du
C.I.R., alors, pour être déductible du bénéfice imposable, la
réduction de valeur doit avoir été consentie pour acquérir ou
conserver des revenus professionnels (dépense professionnelle
déductible); la créance à l'origine de la réduction de valeur doit
être en rapport avec l'objet social.
3
Aujourd'hui, le leasing est, aux Etats-Unis, une des formes
les plus importantes de financement. L'Europe en revanche, qui
possédait un marché des crédits à moyen terme mieux structuré, et
qui en outre ne connaissait pas encore la vague des innovations
techniques, lesquelles entraîneront bientôt le vieillissement
économique des moyens de production, ne verra apparaître le
leasing sur son territoire que quelque dix années après les Etats-
Unis (1961 pour notre pays).
4
leur droit de propriété juridique qu'elles ont sur
le bien ;
- la durée du bail dépend de la durée de vie
économique du matériel loué, de son rendement ;
- la flexibilité extrême de la formule : le paiement
des loyers peut être adapté aux flux de trésorerie
de l'entrepris (pensons aux entreprises
saisonnières) ;
- le financement pourra porter également sur les
frais accessoires (transport, montage, assurance,
...).
5
1.2.2. - Le cadre légal
6
évalués chaque année à la fraction des versements
échelonnés afférents aux exercices ultérieurs, représentant
la reconstitution en capital de la valeur du bien, objet du
contrat. »
7
Nous devons également mettre en évidence les deux types de
leasing que pourra couvrir un tel contrat : le leasing financier
qui porte sur le prix d'achat net du bien, et le leasing
opérationnel (ou « full leasing ») qui porte, en outre, sur la
prestations de services annexes, comme l'assurance, l'entretien,
les réparations, etc ...
8
constituant pas dans son chef un contrat à prestations échelonnées
ou successives. En application de l'article 19, alinéa 4 de l'A.R.
du 08 octobre 1976 stipulant qu'il doit être tenu compte des
charges et produits afférents à l'exercice ou à des exercices
antérieurs, sans considération de la date de paiement ou
d'encaissement de ces charges ou produits, il y a donc lieu d'acter
immédiatement le bénéfice réalisé sur l'opération en question.
9
(4.2.) régularisation éventuelle du loyer perçu
anticipativement :
10
a) comptabilisation dans le chef du "preneur"
(la S.A. TARTEMPION)
11
(4.2.) régularisation éventuelle du loyer payé
anticipativement :
12
Cette option d'achat étant levée, sachant que son montant de
102.762 H.T.V.A. 19% représente la valeur résiduelle du bien, ou
sa valeur nette comptable, la société anonyme Tartempion pourra
l'amortir immédiatement, dans le cadre de l'exercice comptable de
rachat, soit :
2 possibilités :
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Mais, par ailleurs, constituent, dans le chef du preneur, des
charges professionnelles déductibles.
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des de l'échelonnement et de la périodicité des versements. Une
autre méthode ne peut être appliquée que pour autant qu'elle
donne, par exercice social, des résultats équivalents. Les
intérêts et chargement ne peuvent être compensés avec les frais,
charges et commissions exposés à l'occasion de ces opérations. 3.
Les titres à revenu fixe sont portés au bilan à leur valeur
d'acquisition. Les paragraphes 1 et 2 sont d'application analogue
aux dettes de nature et de durée correspondantes.
15
1.3.2. - Comment déterminer le solde restant dû après chaque
versement échelonné ?
a) méthode linéaire,
b) méthode dite des 78ièmes., ou "sum of digits
method",
c) méthode actuarielle.
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Observation : cette méthode peut être appliquée et répond au
prescrit de l'article 27 bis, paragraphe 2.
f(i) = No - P * 1 - (1 + i)-n = 0
i
i est, ensuite, calculé suivant la méthode
itérative suivante :
ir + 1 = ir - f(ir) (où r = 1, 2, 3, ...)
f'(ir)
f'(ir) est la dérivée première de f(ir).
17
La formule est arrêtée dès que la différence en termes
absolus entre ir + 1 et ir est inférieure à un millionième. La
dernière valeur de ir + 1 obtenue est la valeur de i (réel)
recherchée.
N1, N2, N3, ..., Nm, ..., Nn sont, ensuite, calculés au moyen de la
formule :
a
Nm = No n - m (i) = No * 1 - (1 + i)-n+m
a 1 - (1 + i)-n
n(i)
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le solde restant dû à l'issue de chaque versement échelonné:
a) suivant la méthode des 78ième. :
19
Le solde restant dû est calculé comme suit :
20
Ces conditions peuvent être résumées comme suit :
21
(2) 12 plus-value de
réévaluation X
à 2208 plus-value actée
sur terrain X
(annulation)
(OU 3) 12 plus-value de
réévaluation X
à 100 capital souscrit X
(incorporation au capital)
(4) cession de l'actif réévalué :
soit un terrain acquis pour 2.000.000,
une plus-value actée sur dito de 1.000.000,
le terrain est vendu pour 4.000.000.
22
Néanmoins, cette plus-value exprimée ET réalisée pourra être
immunisée, en vue d’un étalement de son imposition aux conditions
de remploi fiscal :
23
Pour bénéficier de ces aides, les petites et moyennes
entreprises devront remplir cinq conditions :
24
et licences, ainsi que les frais et coûts de dépôts de brevets.
Sont, par conséquent, exclus, le rachat de clientèle, le goodwill
et le pas de porte ;
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Ensuite, l'entreprise sera classée dans un des quatre groupes
délimités par la Région Wallonne et se verra ainsi octroyer :
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o Concours entre la prime en capital et la prime en intérêt :
si, en effet, l'entreprise finance ses investissements en partie
par crédits et par fonds propres (ce qui représente, finalement,
le cas le plus fréquent, dans la mesure où l'entreprise souhaite
optimaliser le financement de sa croissance (2), l'aide reste
accordée en priorité sur le crédit d'investissement.
Prenons deux exemples :
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soumis au précompte immobilier. L'exonération, ainsi accordée,
est valable pendant 5 ans (groupe A), 3 ans (groupe B), 2 ans
(groupe C) et 1 an (groupe D).
28
Il faut noter, toutefois, que, dans certains cas,
l'entreprise doit introduire, non pas une demande de versement,
mais une demande de contrôle, en son sein, par l'Inspection
économique ;
29
La demande d'une prime en capital, qui a été introduite auprès de
la Région wallonne, a été accueillie favorablement le 01 septembre
20N. L'achat est réalisé le 01 août 20N et le subside est versé
le 15 octobre 20N. Vous devez passer toutes les écritures
relatives à ce problème.
Observations :
30
Comment traduire, par conséquent, un tel décalage temporel dans
la comptabilité de l'entreprise Lyrax ?
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(6) 650000 intérêts, commissions et frais affér.
aux dettes 700.000
à 492000 charges à imputer 700.000
(31/12/20N : prise en charge des intérêts dus et non
échus, soit 15.000.000 * 14% * 4/12)
(7) 492000 charges à imputer 700.000
650000 intérêts, commissions et
frais affér. aux dettes 1.400.000
423000 dettes en compte 1.500.000
à 550000 C.N.C.P., C/C. 3.600.000
(01/08/19N+1 : 1° échéance, remb. K. + I.)
(8) 550000 C.N.C.P., C/C. 750.000
à 46900 autres créances diverses 750.000
(01/08/19N+1 : versement 1° tranche du subside par la
Région Wallonne)
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Dans le cadre de notre cours d’analyse de bilans, lors de l’analyse
du schéma B.N.B., nous porterons, notamment, notre attention sur
les mentions à reprendre dans l'annexe des comptes annuels,
relativement à ces subsides.
33
CHAPITRE 2 – AUDIT ET PRINCIPE DE « GOING CONCERN »
34
insuffisances qu’ils peuvent présenter conduit à mettre en
évidence certains risques.
35
responsable ?, les travaux supervisés ont-ils reçus un une
marque matérielle par l’apposition d’un tampon, d’une
signature, etc.). Nous renvoyons le lecteur à notre cours de
comptabilité : application de l’outil informatique.
36
A la suite du diagramme vertical, viennent les fiches des
points de contrôle.
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risque relativement élevé, tels que l’approbation des
paiements, les dérogations au tarif de facturation, les
bons de commande, les factures fournisseurs, les
rapprochements avec les extraits bancaires, etc.
2. Les contrôles budgétaires et financiers : par la
connaissance de son affaire, il analysera les écarts
entre les données prévisionnelles et les données
réalisées ; quelles sont les causes de ces écarts,
endogènes ou exogènes, ainsi que les solutions possibles
(voir le processus de prise de décisions dans notre cours
de comptabilité analytique, principes et fondements). Il
suivra, de manière quotidienne, l’évolution de ses
tableaux de bord. En outre, les contrôles financiers
constituent également des clignotants importants (suivi
de la position de trésorerie, suivi des ventes par
rapport aux achats, analyse de la contribution marginale
et de son ratio, surveillance des principaux ratios
financiers, etc.).
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causerait un dommage pour les tiers (le risque de
discontinuité se traduisant souvent à plus ou moins longue
échéance, par l‘accumulation des pertes au passif du bilan qui
diminue les fonds propres, donc l'actif net et donc la
solvabilité de l'entreprise).
39
BIBLIOGRAPHIE