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Ergonomie

étude scientifique de la relation entre l'homme et ses


moyens, méthodes et milieux de travail

L’ergonomie est « l'étude scientifique de la


relation entre l'humain et ses moyens,
méthodes et milieux de travail »[1] et
l'application de ces connaissances à la
conception de systèmes « qui puissent être
utilisés avec le maximum de confort, de
sécurité et d'efficacité par le plus grand
nombre »[2].

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Étymologie

Le terme « ergonomie » vient du grec ancien


ἔργον / érgon (« travail ») et νόµος / nόmos
(« loi »).

Le terme est créé par deux fois au cours du


XIXe siècle dans deux contextes théoriques
distincts : d'abord en 1857[3] par Wojciech
Jastrzębowski qui publie en polonais le premier
« Précis d'Ergonomie » qui n'est que
faiblement diffusé, puis en français (1858) par
Jean-Gustave Courcelle-Seneuil[4].

Définitions

Suivant la définition de l'ANACT, l'ergonomie


rassemble des connaissances sur le
fonctionnement de l'homme en activité afin de
l'appliquer à la conception des tâches, des
machines, des outillages, des bâtiments et des
systèmes de production.

En 1970, La Société d’ergonomie de langue


française (SELF) définit l’ergonomie comme :
« l’adaptation du travail à l’homme, ou, plus
précisément, comme la mise en œuvre de
connaissances scientifiques relatives à
l’homme et nécessaires pour concevoir des
outils, des machines et des dispositifs qui
puissent être utilisés avec le maximum de
confort, de sécurité et d’efficacité »[5].

Dans cette définition, cette discipline utilise


des connaissances scientifiques sur l’homme
pour concevoir des outils et dispositifs qui lient
confort d’utilisation à la sécurité. Le souci est
porté tant sur l’utilisabilité que la sécurité et
l’efficacité.

En 2000, l’International Ergonomics


Association (IEA), définit invariablement
Human Factor ou ergonomie comme « la
discipline scientifique qui vise la
compréhension fondamentale des interactions
entre les humains et les autres composantes
d’un système, et la profession qui applique
principes théoriques, données et méthodes en
vue d’optimiser le bien-être des personnes et
la performance globale des systèmes »[6].

Ainsi, l’International Ergonomics Association


(IEA) englobe dans la définition de ce terme
tant les démarches d’études des relations
hommes, machines et contextes que
l’application des principes qui y découlent.
L'ergonomie/facteur humain est alors définie
comme une « science intégrative
pluridisciplinaire centrée sur l'utilisateur ».
L'IEA note que les questions traitées par
l'ergonomie sont généralement de nature
systémique et que cette discipline doit
mobiliser des approches holistiques et
systémiques de manière à appliquer des
théories, principes et apports issus de
nombreuses disciplines pertinentes pour la
conception et l'évaluation des tâches, des
emplois, des produits, des environnements et
des systèmes. L'ergonomie doit ainsi prendre
en compte dans sa démarche des facteurs
physiques, cognitifs, sociotechniques,
organisationnels, environnementaux, etc. dès
lors qu'ils sont pertinents, ainsi que les
interactions complexes entre l'homme et les
autres humains, l'environnement, les outils, les
produits, les équipements et la
technologie[7],[8].

Ergonomie

L'ergonomie puise son savoir dans les diverses


sciences ayant trait au comportement humain
(physiologie, médecine, psychologie,
sociologie, linguistique, anthropologie,
économie, management, ainsi que les sciences
de l'ingénieur) pour les mettre au service de
l'Homme au travail.

L'ergonomie est ainsi multidisciplinaire. Elle se


définit par l'objectif à atteindre et non par la
méthode. Elle vise simultanément la santé de
l'humain au travail et son efficacité. Pour
atteindre ces objectifs, elle est dotée
d'institutions visant la construction de
connaissances sur le travail (notamment
l'INRS), le support aux entreprises pour
l'organisation et le développement des
situations de travail (notamment l'ANACT en
France) et la formation des professionnels de
l'ergonomie (il existe des Masters mention
ergonomie).

L'ergonomie est fondée sur des modèles de la


situation de travail (en particulier celui de
Jacques Leplat) qui mettent l'accent sur la
différence de nature entre la tâche (projet,
consigne, du domaine du virtuel, du futur) et
l'activité (réalité, réponse aux aléas du
quotidien), le corps prend ainsi des
postures[9], actionne des commandes, gère
(consciemment ou non) des processus de
pensée, communique avec autrui, organise ses
actions, etc.

Les systèmes concernés par l'adaptation du


travail à l'Homme peuvent être des espaces
physiques de travail (par ex. postes de
contrôle, chaînes de production), des éléments
de ces espaces (par ex. synoptiques, tableau
contrôles-commandes), des processus de
gestion de la production, des interfaces
professionnelles ou grand public (on parle alors
d'interface homme-machine, telles que des
logiciels, des sites internet/intranet), ainsi que
l'organisation du travail (rotation des horaires,
organisation des services) et modes de
management.

L'analyse de l'activité se base sur des


postulats, issus du socle de connaissances et
d'expériences :

l'opérateur régule son activité, en fonction


de son environnement externe
(environnement de travail, moyens
techniques), de son état interne (fatigue,
usure professionnelle liée à l'âge) pour
obtenir un maximum de régularité de la
performance : accélération du rythme de
travail pour rattraper du retard ou faire face à
une urgence, modification du mode
opératoire face à la mauvaise qualité des
résultats obtenus… Les régulations peuvent
être illustrées par l'utilisation du schéma des
5 carrés de Leplat et Cluny ;

la notion de compromis entre exigences de


performance, (toujours explicitement ou
implicitement présentes) et exigences liées
au respect des règles (de sécurité, de
gestion, techniques, administratives…).
L'observateur de l'activité du travail constate
toujours que ce compromis existe, et qu'il
n'est pas construit comme le voudraient les
organisateurs, en privilégiant la règle
prescrite avant tout. La réalité est plus
complexe, comme dans la vie courante, où
nous respectons tous les vitesses limitées
sur la route…sauf si nous avons peur de rater
notre train, ou d'arriver en retard à un
rendez-vous urgent…

Ce « compromis cognitif » pour reprendre le


terme de René Amalberti[10] est aussi affecté
par les aspects psychiques de l'activité, dans
la mesure où les études des aspects
psychiques du travail, de plus en plus
nombreuses, montrent que la réalisation de la
production nécessite de plus en plus non
seulement de faire des compromis avec la
sécurité (ce qui n'est jamais écrit) mais aussi
avec sa peur, son stress, ses émotions, etc.

Histoire de l'ergonomie

Article détaillé : Histoire de l'ergonomie.

Applications de la
discipline

Courants principaux

À la suite de Maurice de Montmollin, les


francophones [réf. nécessaire] distinguent
généralement deux grands courants en
ergonomie à la fois distincts et
complémentaires :

l'ergonomie centrée sur l'activité qui insiste


sur la compréhension de la situation de
travail dans son ensemble, l'analyse de la
demande et du cadre de l'intervention et la
distinction entre le travail prescrit et le travail
réel. Cette école est principalement présente
dans les pays francophones, au Brésil et
sous une autre forme en Scandinavie ;

l'ergonomie du facteur humain, tel que


l'ergomotricité est centrée sur la recherche
de résultats généraux (sur les postures, les
cadences, les ambiances de travail…) et la
définition de normes. Elle est dominante aux
États-Unis et au Japon.

Il faudrait encore faire une distinction entre les


ergonomes qui parlent du facteur Humain et
ceux qui parlent DES facteurs humains, et
maintenant facteurs humains et
organisationnels, pour mieux marquer la
dimension collective et sociale des
problématiques actuelles sur la fiabilité des
systèmes socio-techniques complexes
(secteurs nucléaire, armement, chimie, trafic
aérien…). Le plus souvent en France,
l'utilisation du terme Facteur(s) Humain(s) ne
signifie pas un désaccord avec l'approche par
l'analyse de l'activité, mais seulement le désir
de se démarquer d'une ergonomie trop
cantonnée, en tous cas dans la représentation
commune, dans les seuls aspects physiques
de l'étude du travail : "la hauteur du plan de
travail et la couleur des murs et des écrans"
[réf. nécessaire]
. De plus en plus d'études croisent
les deux approches.

Domaines d'application

Trois dimensions
classiques [réf. nécessaire]
L'ergonomie physique : elle s'intéresse
prioritairement aux caractéristiques
anatomiques, anthropométriques,
physiologiques et biomécaniques de
l'Homme dans leur relation avec l'activité
physique. Les thèmes étudiés sont par
exemple : les postures de travail, les
manipulations d'objets, les mouvements
répétitifs, les troubles musculosquelettiques,
la disposition du poste de travail, la sécurité
et la santé de l'opérateur…

L'ergonomie cognitive : elle concerne les


processus mentaux liés à l'activité de travail
tels que : la perception, la mémoire, le
raisonnement, le langage et les réponses
motrices . Les sujets d'étude visent
notamment la charge mentale, la prise de
décision, la performance, l'interaction
homme-machine, l'erreur et la fiabilité
humaine, le stress professionnel…

L'ergonomie organisationnelle : elle recouvre


l'optimisation des systèmes socio-
techniques, les structures
organisationnelles, la définition des règles et
des processus de travail. Ce qui renvoie à
des thèmes tels que : la gestion des
ressources humaines, la communication, les
horaires et rythmes de travail, le travail en
équipe, les nouvelles formes de travail (ex. :
le travail dans les services ou le télétravail).
Les domaines moteurs actuels
Beaucoup de règles ergonomiques se sont
dégagées dans le domaine de
l'aéronautique, où la lisibilité immédiate des
instruments et l'accessibilité des
commandes peuvent faire la différence en
cas de situation critique. L'examen des
boîtes noires après chaque accident d'avion
informe sur toute erreur humaine commise,
ce qui se reflète dans les conceptions de
cockpits futurs par une meilleure prise en
compte de l'humain et de son
fonctionnement.

Les enjeux unitaires étaient moins


importants en informatique, mais se
chiffraient en millions d'utilisateurs. Un tel
bras de levier ayant des conséquences
financières directes dans le domaine du
commerce électronique (« la concurrence
est à un clic de souris »). On découvrit alors
par essais et erreurs la loi de Fitts et la loi de
similarité (dite « loi de similitude » dans la
théorie de la gestalt).

L'expansion des sites Internet et des


services accessibles par ces moyens accroît
le besoin de rendre un site facile à utiliser, et
même facile à apprendre ; il faut donc bannir
les fonctionnalités peu utiles ou difficilement
accessibles (notamment aux handicapés
moteurs ou visuels). L'ergonomie a là aussi
un rôle à jouer dans son analyse des usages
et sa connaissance du fonctionnement
humain. Voir aussi : accessibilité du web[11].

L’amélioration des conditions de travail au


sein des entreprises représente aujourd’hui
un enjeu majeur pour la santé publique et
s’inscrit dans le cadre du développement
durable et de la Responsabilité Sociétale de
l'Entreprise.

Pratiques de l'ergonomie

Les ergonomes, praticiens de l'ergonomie,


contribuent au développement des
entreprises, institutions, associations pour les
rendre plus performantes, notamment par la
prise en compte du fonctionnement humain et
des exigences concrètes des situations de
travail, de vie et d'usage dans les choix de
conception retenus (organisationnels,
techniques, de formation, etc.). Les ergonomes
peuvent être sollicités dans différentes
configurations :

soit cette sollicitation a pour origine un


dysfonctionnement rencontré par la
structure en termes de productivité, de
qualité, de fiabilité, de santé, de sécurité.
L'objectif est alors de mieux comprendre les
dysfonctionnements rencontrés par la mise
en œuvre d'une démarche rigoureuse
d'analyse ergonomique de situations de
travail, de vie, d'usage à partir de laquelle un
accompagnement sur mesure est proposé
par l'ergonome. Cet accompagnement est
alors co-construit avec les acteurs du milieu
de l'intervention. On parle d'ergonomie de
correction ;

soit, cette sollicitation s'inscrit dans un


contexte de conception (d’espaces, d’outils
ou dispositifs techniques, de nouvelles
organisations, de dispositifs de formation,
etc.). L'objectif est alors pour l'ergonome de
contribuer à la réussite du projet
d'investissement ; il s'agit pour lui
d'accompagner la structure pour éviter que
soit mis en place des moyens de travail à
partir de représentations erronées de
l’activité humaine ou tout simplement de
représentations fondées sur un existant qu’il
n’est pas souhaitable de reproduire. Les
ergonomes ne se contentent pas d’apporter
des préconisations techniques issues des
analyses du travail, ils apportent leurs
conseils à la fois sur la manière dont les
projets peuvent être conduits et sur le
contenu même du projet. On parle
d'ergonomie de conception.

Les champs d'application sont multiples


(conception industrielle, architecturale,
organisationnelle, produit, dispositifs de
formation, etc.) dans des domaines variés
(aéronautique, automobile, pharmaceutique,
hospitalier, agricole, sanitaire et social,
militaire, nucléaire, éducation, etc.).

Poste de travail dans un


environnement de
manutention continue

Les techniques et outils de simulation


(d'interface de systèmes, d'architecture,
d'objets…) qui permettent de visualiser en 3D
et avant même le moindre début de réalisation
la future interface, ou la future salle de
contrôle, le futur poste de travail… ont
beaucoup contribué à faire évoluer le métier de
l'ergonome, et le regard que portent sur lui les
industriels, qui doivent dans les projets
industriels, identifier le plus tôt possible les
problèmes liés aux futures situations pour les
opérateurs.

Les ergonomes peuvent exercer dans


différentes structures :

en tant que consultants, de façon libérale ;

en tant qu'ergonome interne pour les


entreprises (exemple en France : P.S.A.,
Safran, Michelin, etc.). Il existe également
tout un réseau d'ergonomes internes
hospitaliers ;

en tant qu'ergonome en service de santé au


travail interentreprise (S.S.T.I.), en
collaboration avec les médecins du travail et
les entreprises adhérentes. Cette pratique a
été renforcée en France par l'obligation pour
les S.S.T. de travailler en pluridisciplinarité
(infirmière du travail, toxicologue,
psychologue du travail, ergonome) ;

en tant qu'ergonome en centre de gestion


(CDG) pour la fonction publique territoriale ;

en tant qu'ergonome enseignant-chercheur.

On trouvera plus d’une centaine d’exemples


concrets de pratiques dans les entretiens que
mène depuis de nombreuses années la SELF
(Société d'ergonomie de langue française
(ergonomie-self.org) dans le cadre des travaux
de sa Commission Histoire.

Une diversité de concepts et de méthodes


forment aujourd’hui un socle de connaissances
communes à tous les praticiens de
l'ergonomie. Ces connaissances sont issues
tant des disciplines parentes de l'ergonomie
que de l'expérience accumulée dans la
pratique quotidienne de la profession. Elles
sont mises en commun grâce à un réseau
d'associations (centralisées sur la SELF[12] à
l'échelle francophone, sur la FEES[13] à
l'échelle européenne et sur l'IEA[14] à l'échelle
internationale), des revues (le Travail
Humain[15], Ergonomics, Human Factors…) et
des conférences nationales et internationales
qui permettent des échanges réguliers entre
les professionnels et avec les chercheurs.

La recherche en ergonomie

Depuis l’émergence de la discipline, les travaux


de recherche en ergonomie sont articulés aux
évolutions des milieux de production. En
France, les premiers travaux de recherche
autonomes ont été réalisés pour le compte de
la communauté Européenne du Charbon et de
l’Acier, et sur les dimensions physiologiques
relatives au travail dans les mines. L’apparition
de l’informatisation dans les années 1980 a
conduit à développer des travaux de recherche
prenant en compte les questions liées à la
cognition (donnant naissance au sein de la
psychologie à un courant appelé la psychologie
ergonomique), et à la communication et aux
organisations. Depuis le milieu des années
2000, sont apparus des travaux de recherche
centrés sur la transition écologique. Plusieurs
universités françaises délivrent la mention de
master en ergonomie, le doctorat en
ergonomie et l’habilitation à diriger des
recherches en ergonomie. Il existe depuis
2004 un "Collège des Enseignants Chercheurs
en Ergonomie".

Méthodes utilisées en
ergonomie

Méthodologie d'intervention

L'intervention ergonomique se déroule en


plusieurs étapes : analyse de la demande,
recueil de données, premières hypothèses,
analyse des tâches et analyse de l'activité par
observation et entretien avec les opérateurs,
élaboration d'un modèle de fonctionnement de
l'opérateur, de l'atelier…, puis propositions
d'aménagement (ou de conception), suivi de la
réalisation, du démarrage, et enfin évaluation
et suivi des conséquences du changement par
analyse des indices socio-économiques et
opinions des opérateurs. Plus récemment, les
méthodes destinées à la conception se sont
beaucoup développées (analyses projectives,
démarches de simulation ou d'expérimentation
ergonomique).

L'analyse de l'activité

L'ergonomie francophone base sa pratique sur


l'analyse de l'activité.

(Section à développer en parallèle de l'article


Analyse du travail)

Les concepts utilisés en


ergonomie
Liste non exhaustive
Activité : méthodolog Posture
voir aussi ies issues
Tâche
Analyse du des
prescrite /
travail sciences de
Tâche
Artefact l'ingénieur
réelle :
(UML)
Catachrèse Mettre à
instrumenta Conception jour page
le participativ « Tache »
e
Charge de Troubles
travail Expérience musculo-
Utilisateur, squelettiqu
Charge
généraleme e
cognitive
nt appelée
Risques
Conditions UX (User
psychosoci
de travail Experience)
aux
Conception Harcèlemen
Système
de logiciel t moral
socio-
interactif
Image technique
Conception opérative
Stress /
d'interface (Ochanine)
épuisement
écologique
Interaction professionn
L'ergonomi
homme- el (i.e.
e entretient
machine syndrome
par ce biais
de
une parenté Pénibilité
débordeme
avec Poste de nt cognitif)
d'autres travail
Utilisabilité

Diversité des méthodes d'analyse


Observ ethnogr n sosie
ation aphiqu d'explic
Méthod
du e:À itation :
e
travail : complé À
expéri
À ter complé
mental
complé ter
Auto- e:À
ter
confron Auto- complé
Focus tation : confron ter
groupe À tation
Expérie
en complé croisée
nce du
ergono ter
Instruct Magicie
mie
Entretie ion au n d'Oz
Analyse

Notes et références

1. ↑ Extrait de la définition adoptée par le IVe


Congrès international d'ergonomie
(1969).

2. ↑ Extrait de la définition de l'ergonomie


retenue par la Société d'Ergonomie de
Langue Française

3. ↑ (es) Luz Isabel Leirós Lobeiras,


« Historia de la Ergonomía, o de cómo la
Ciencia del Trabajo de basa en verdades
tomadas de la Psicología », Revista de
historia de la psicología, 30(4), 2009,
p. 33-53 (lire en ligne [archive])

4. ↑ Origines historiques de l'ergonomie et


de l'ergologie [archive] par F. Vatin,
2006

5. ↑ Pierre Falzon, Ergonomie, Paris, Presses


universitaires de France, 2004, 680 p., p.
14

6. ↑ Pierre Falzon, Ergonomie, Paris, Presses


Universitaires de France, 2004, 680 p.,
p. 19

7. ↑ (en-US) I.E.A., « What is


Ergonomics ? » [archive], sur iea.cc
(consulté le 26 septembre 2020)

8. ↑ (en) Bridger, R. S., « Introduction to


Human Factors and Ergonomics, 4th
Edition », Boca Raton, FL, USA. CRC
Press., 2018

9. ↑ Les bonnes postures au travail pour


éviter les TMS [archive] par Concept
Bureau [archive], 28/11/2012

10. ↑ La conduite des systèmes à risque,


Paris PUF , 2005, 2e édition

11. ↑ « Méthodes, formations et mesure de


conformité pour l'accessibilité du
web » [archive], sur accessiweb.org
(consulté le 20 juin 2019)

12. ↑ « Accueil » [archive], sur Société


d'ergonomie de langue française
(consulté le 20 juin 2019)

13. ↑ « FEES is the Federation of the


European Ergonomics Societies |
Federation of European Ergonomics
Societies » [archive], sur
www.ergonomics-fees.eu (consulté le
18 octobre 2022)

14. ↑ « International Ergonomics


Association » [archive], sur iea.cc
(consulté le 20 juin 2019)

15. ↑ Site de la revue le Travail


Humain [archive]

Annexes

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informatiques

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