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République des Philippines

TRIBUNAL RÉGIONAL DE PREMIÈRE INSTANCE DE NEGROS


ORIENTAL
Numéro de la branche ___
7ème région judiciaire
Ville de Dumaguete

___________, AFFAIRE CIVILE : __________


Pétitionnaire,
POUR : DEMANDE
D'ORDONNANCE DE
-versus- PROTECTION TEMPORAIRE
EX-PARTE ET D'ORDONNANCE
DE PROTECTION
____________, PERMANENTE AVEC
Répondant. DEMANDE DE PENSION
x----------------------------------------/ ALIMENTAIRE POUR LES
ENFANTS EN VERTU DE L'A.R.
9262

DEMANDE D'ORDONNANCE DE PROTECTION


TEMPORAIRE EX-PARTE ET D'ORDONNANCE DE
PROTECTION PERMANENTE AVEC DEMANDE
D'ALIMENTS POUR LES ENFANTS
EN VERTU DE L'A.R. 9262

LE CABINET D'AVOCATS SOUS-ESIGNE, devant cette très honorable


Cour, comparaît respectueusement en tant qu'avocat du requérant, __________. Il
est humblement demandé que le cabinet d'avocats reçoive à son adresse tous les
actes de procédure de cette honorable Cour concernant l'affaire susmentionnée :
Le requérant, par ses avocats soussignés, déclare respectueusement QUE :

CIRCONSTANCES PERSONNELLES

1. Pétitionnaire _________

2. Répondant _________

3. Requérant avec ________

4. Pétitionnaire et défendeur _________

Machine à copier ________

FAITS MATÉRIELS DE L'AFFAIRE


5. Dans la soirée de __________ ;

6. Le défendeur a également menacé de brûler leur maison, causant ainsi


__________

Copie machine du site _______

7. Le requérant a immédiatement déposé une demande d'ordonnance de


protection du barangay (_________).

Copie machine de la demande ________

8. L'incident sur 2020_______ ;

Copie machine de la police _________

9. À plusieurs reprises, le requérant a surpris le défendeur en possession d'un


petit sachet de substance cristalline blanche, _____________.
DEMANDE D'AIDE FINANCIÈRE
10.Sur le site ___________ ;

11.La requérante a le sentiment d'être une étrangère pour son mari,


______________.

Copie machine du site __________

12. Le défendeur a refusé et refuse toujours d'accorder un soutien financier


___________ ;

13.En raison de son acte, le défendeur a violé les dispositions soulignées dans la
section 5 du R.A. 9262, également connu sous le nom de loi de 2004 contre
la violence à l'égard des femmes et de leurs enfants, à savoir :

SECTION 5-Actes de violence à l'égard des femmes et de leurs


enfants - Le crime de violence à l'égard des femmes et de leurs
enfants est commis par l'un des actes suivants :

a. causer des dommages physiques à la femme ou à son


enfant ;

b. Menacer de causer des dommages physiques à la


femme ou à son enfant ;

c. Tentative d'atteinte à l'intégrité physique de la femme


ou de son enfant ;

d. Placer la femme ou son enfant dans la crainte d'un


dommage physique imminent ;

e. Tenter de contraindre ou obliger la femme ou son


enfant à adopter un comportement auquel la femme ou
son enfant a le droit de renoncer, ou tenter de
restreindre ou restreindre la liberté de mouvement ou de
conduite de la femme ou de son enfant par la force ou
la menace de la force, des dommages physiques ou
autres ou la menace de dommages physiques ou autres,
ou par l'intimidation à l'encontre de la femme ou de
l'enfant. Cela inclut, sans s'y limiter, les actes suivants
commis dans le but ou avec l'effet de contrôler ou de
restreindre les mouvements ou la conduite de la femme
ou de son enfant :

1. Menacer de priver ou priver effectivement la femme


ou son enfant de la garde de sa famille ;

2. Priver ou menacer de priver la femme ou ses


enfants du soutien financier qui leur est
légalement dû, à elle ou à sa famille, ou fournir
délibérément aux enfants de la femme un soutien
financier insuffisant ;

3. Priver ou menacer de priver la femme ou son enfant


d'un droit légal ;

4. Empêcher la femme d'exercer une profession, une


occupation, une entreprise ou une activité légitime
ou de contrôler son propre argent ou ses propres
biens, ou de contrôler uniquement l'argent ou les
biens conjugaux ou communs ;

f. S'infliger ou menacer de s'infliger des dommages


physiques dans le but de contrôler ses actions ou ses
décisions ;

g. Amener ou tenter d'amener la femme ou son enfant à se


livrer à une activité sexuelle qui ne constitue pas un
viol, par la force ou la menace de la force, par des
dommages physiques ou par l'intimidation à l'encontre
de la femme ou de son enfant ou de sa famille proche ;

h. Adopter un comportement délibéré, conscient ou


imprudent, personnellement ou par l'intermédiaire d'une
autre personne, qui porte atteinte à la femme ou à son
enfant ou leur cause une détresse émotionnelle ou
psychologique importante. Cela inclut, sans s'y limiter,
les actes suivants :
1. Traquer ou suivre la femme ou son enfant dans des
lieux publics ou privés ;

2. Regarder par la fenêtre ou s'attarder à l'extérieur du


domicile de la femme ou de son enfant ;

3. Entrer ou rester dans le logement ou sur la propriété


de la femme ou de son enfant contre son gré ;

4. détruire les biens et les effets personnels de la


femme ou de son enfant, ou faire du mal aux
animaux ou aux animaux de compagnie de la femme
ou de son enfant ; et

5. Se livrer à toute forme de harcèlement ou de


violence ;

i. causer une angoisse mentale ou émotionnelle,


ridiculiser ou humilier publiquement la femme ou
son enfant, y compris, mais sans s'y limiter, des
violences verbales et émotionnelles répétées et le
refus d'une aide financière ou de la garde d'enfants
mineurs ou d'un droit de visite à l'égard de l'enfant
ou des enfants de la femme. (Les caractères gras sont
fournis)

14. La requérante vit actuellement avec ses enfants _________

15. Par conséquent, la requérante, afin de prendre des mesures de sécurité pour
elle et ses enfants, est contrainte de déposer cette requête en vue de la
délivrance d'une ordonnance de protection temporaire et, à l'expiration de
celle-ci, d'une ordonnance de protection permanente, conformément à la
section 8 du R.A. 9262, qui stipule ce qui suit :

SECTION 8-Ordonnances de protection - Une ordonnance de


protection est une ordonnance émise en vertu de la présente loi
dans le but d'empêcher de nouveaux actes de violence à
l'encontre d'une femme ou de son enfant, conformément à la
section 5 de la présente loi, et d'accorder les autres mesures
nécessaires. Les mesures accordées dans le cadre d'une
ordonnance de protection ont pour but de protéger la victime
contre d'autres préjudices, de minimiser les perturbations de sa
vie quotidienne et de lui donner la possibilité et la capacité de
reprendre le contrôle de sa vie de manière indépendante. Les
dispositions de l'ordonnance de protection sont appliquées par
les autorités chargées de l'application de la loi. Les ordonnances
de protection qui peuvent être émises en vertu de cette loi sont
l'ordonnance de protection du barangay (BPO), l'ordonnance de
protection temporaire (TPO) et l'ordonnance de protection
permanente (PPO). Les ordonnances de protection qui peuvent
être émises en vertu de la présente loi comprennent tout ou
partie des mesures suivantes :

(a) Interdiction au défendeur de menacer de commettre ou de


commettre, personnellement ou par l'intermédiaire d'une autre
personne, l'un des actes mentionnés à l'article 5 de la présente
loi ;

(b) L'interdiction pour le défendeur de harceler, d'importuner,


de téléphoner, de contacter ou de communiquer de toute autre
manière avec le requérant, directement ou indirectement ;

(c) L'éloignement et l'exclusion du défendeur de la résidence du


requérant, quel que soit le propriétaire de la résidence, soit
temporairement dans le but de protéger le requérant, soit de
façon permanente lorsqu'aucun droit de propriété n'est violé, et
si le défendeur doit retirer des effets personnels de la résidence,
le tribunal ordonne à un agent des forces de l'ordre
d'accompagner le défendeur, de rassembler ses affaires et de
l'escorter hors de la résidence ;

(d) Ordonner au défendeur de se tenir à l'écart du requérant et


du membre de la famille ou du ménage désigné, à une distance
spécifiée par le tribunal, et de se tenir à l'écart du domicile, de
l'école, du lieu de travail ou de tout autre lieu spécifié fréquenté
par le requérant et tout membre de la famille ou du ménage
désigné ;

(e) ordonner la possession et l'utilisation légales par le requérant


d'une automobile et d'autres effets personnels essentiels, quel
qu'en soit le propriétaire, et ordonner à l'officier de police
judiciaire compétent d'accompagner le requérant au domicile
des parties pour s'assurer que le requérant est remis en
possession de l'automobile et d'autres effets personnels
essentiels en toute sécurité, ou pour superviser le retrait des
effets personnels par le requérant ou le défendeur ;

(f) Octroi de la garde temporaire ou permanente d'un ou de


plusieurs enfants au requérant ;

(g) enjoindre au défendeur de fournir une aide à la femme et/ou


à son enfant s'il a droit à une aide juridique. Nonobstant d'autres
lois contraires, le tribunal ordonne qu'un pourcentage approprié
du revenu ou du salaire du défendeur soit régulièrement retenu
par l'employeur du défendeur pour être automatiquement versé
directement à la femme. Le défaut de versement et/ou de
retenue ou tout retard dans le versement de la pension
alimentaire à la femme et/ou à son enfant, sans motif valable,
rend le défendeur ou son employeur passible d'outrage indirect
à la justice ;

(h) Interdiction au défendeur d'utiliser ou de détenir une arme à


feu ou une arme mortelle et ordre de la remettre au tribunal
pour qu'il prenne les mesures appropriées, y compris le retrait
de la licence et l'interdiction de demander une licence pour
l'utilisation ou la détention d'une arme à feu. Si l'auteur de
l'infraction est un agent de la force publique, le tribunal ordonne
à l'auteur de l'infraction de remettre son arme à feu et charge
l'autorité compétente d'enquêter sur l'auteur de l'infraction et de
prendre les mesures qui s'imposent ;

(i) la réparation des dommages réels causés par les violences


infligées, y compris, mais sans s'y limiter, les dommages
matériels, les frais médicaux, les frais de garde d'enfants et la
perte de revenus ;

(j) Ordonner au DSWD ou à toute agence appropriée de fournir


au pétitionnaire ce dont il peut avoir besoin ; et

(k) toute autre mesure que le tribunal juge nécessaire pour


protéger et assurer la sécurité du requérant et de tout membre
désigné de sa famille ou de son foyer, à condition que le
requérant et tout membre désigné de sa famille ou de son foyer
y consentent.

Les mesures prévues par la présente section sont accordées


même en l'absence d'un jugement de séparation de corps ou
d'annulation ou de déclaration de nullité absolue du mariage.

La délivrance d'un BPO ou l'existence d'une demande de BPO


n'empêche pas le requérant de demander ou le tribunal
d'accorder un TPO ou un PPO.

16. Tout compte fait, il est urgent d'émettre une ordonnance à l'intention du
défendeur lui ordonnant de s'abstenir de s'approcher de la maison de la
requérante et de commettre des actes de violence, comme le prévoit la
section 5 du R.A. 9262, qui causent un préjudice physique, émotionnel ou
psychologique injustifié à la requérante et à ses enfants.

17. L'ordonnance de protection du barangay a expiré à l'adresse


____________.

PRAYER

Par conséquent, compte tenu de ce qui précède, il est respectueusement


demandé que :

1. Une ordonnance de protection temporaire ex parte est délivrée par


l'Honorable Cour :

a. Interdiction au défendeur de menacer de commettre ou de


commettre, personnellement ou par l'intermédiaire d'une autre
personne, tout acte de violence à l'égard des femmes et des enfants,
tel que prévu dans la section 5 de la R.A. 9262 ;

b. Interdire au défendeur de harceler, d'importuner, de téléphoner,


de contacter ou de communiquer de toute autre manière avec le
requérant, directement ou indirectement ;
c. L'expulsion et l'exclusion du défendeur de la résidence du
requérant, indépendamment de la propriété de la résidence, soit
temporairement dans le but de protéger le requérant, soit de façon
permanente lorsqu'aucun droit de propriété n'est violé, et si le
défendeur doit retirer des effets personnels de la résidence, le
tribunal ordonne à un agent des forces de l'ordre d'accompagner le
défendeur, de rassembler ses affaires et de l'escorter hors de la
résidence.

d. Ordonner au défendeur de se tenir à l'écart du requérant et des


membres désignés de sa famille ou de son foyer, à une distance
fixée par le tribunal, et de se tenir à l'écart du domicile, du lieu de
travail ou de tout autre lieu précis fréquenté par le requérant et les
membres désignés de sa famille ou de son foyer.

e. Ordonner au défendeur de fournir une pension alimentaire à la


requérante et à ses enfants ;.

f. Interdiction pour le défendeur d'apporter son arme à feu délivrée


par le gouvernement lorsqu'il est autorisé par cette Cour à rendre
visite à ses enfants.

2. Rendre l'ordonnance de protection PERMANENTE après notification et


audition en bonne et due forme un (1) jour avant l'expiration de
l'ordonnance de protection.

D'autres mesures que le tribunal pourrait juger nécessaires pour


protéger et assurer la sécurité de la requérante et de ses enfants dans les
circonstances susmentionnées sont également demandées.

RESPECTUEUSEMENT SOUMIS. __________


Dumaguete City, Philippines.
VÉRIFICATION ET CERTIFICATION
D'ACHATS HORS FORUM

Je soussigné, IRYNN BENARAO OLASIMAN, philippin majeur,


travaillant comme agent pénitentiaire au bureau provincial du BJMP et résidant à
Barangay Lower Cadawinonan, Dumaguete City.

1. Je suis le requérant dans cette affaire ;

2. J'ai fait établir la présente DEMANDE D'ORDONNANCE DE


PROTECTION TEMPORAIRE EX PARTE ET D'ORDONNANCE
DE PROTECTION PERMANENTE;

3. J'ai lu l'acte de procédure qui précède, dont le contenu est véridique et


correct d'après mes connaissances personnelles et les documents
authentiques dont je dispose ;

4. Aucune autre action ou procédure impliquant les mêmes questions que celles
soulevées dans la pétition n'a été engagée devant une cour, un tribunal ou
une agence quasi-judiciaire et, à ma connaissance, aucune action ou
procédure de ce type n'y est pendante ;

5. Si j'apprends par la suite qu'une action ou une procédure similaire a été


engagée ou est pendante devant une cour, un tribunal ou une agence quasi-
judiciaire, je m'engage à en informer rapidement cette honorable Cour dans
un délai de cinq (5) jours à compter de la date de l'action ou de la procédure.

EN FOI DE QUOI, j'ai apposé ma signature ce ___ jour d'août 2020, à


Dumaguete City, Philippines.

IRYNN BENARAO OLASIMAN


Pétitionnaire
Type d'identification : _________
Numéro d'identification : _________________
SIGNÉ ET ASSERMENTÉ devant moi ce ___ jour d'août 2020 à
Dumaguete City, l'affiant m'ayant présenté sa carte d'identité valide indiquée sous
son nom, comme preuve d'identité compétente.

Doc. Non.:____
Page n° : ____
Numéro de livre : ____
Série de 2020.
Copie fournie par service personnel :

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