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MINISTERE DE L’EDUCATION
NATIONALE, BURKINA FASO
L’ALPHABETISATION
UNITE – PROGRES JUSTICE
---------------
SECRETARIAT GENERAL
---------------
DIRECTION REGIONALE DE
L’ENSEIGNEMENT POST-
PRIMAIRE
ET SECONDAIRE
---------------
LYCEE TECHNIQUE
NATIONAL EL HADJ
ABOUBACAR SANGOULE
LAMIZANA
01 BP 98 OUAGADOUGOU
TEL : (226) 2530 36 97
RAPPORT DE STAGE
OPTION GEOMETRE/TOPOGRAPHE
6.Calcul de coordonnées……………………………………………………………………………..47
7. Calcul des superficies……………………………………………………………………………..47
DEDICACE
REMERCIEMENTS
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Faire mon stage au sein de votre entreprise a été un grand plaisir pour moi. Ce stage m’a été
vraiment enrichissant en matière de connaissances pratiques.
Je tiens fortement à exprimer ma profonde reconnaissance et toutes mes pensées de gratitude,
à MR NAGALO. V SYLVESTRE (Directeur générale de CIRAD).
Mes remerciements vont aussi à l’endroit de tous mes professeurs ; enseignants ; en
l’occurrence tout le personnel administratif du Lycée Technique national /Aboubacar
Sangoulé Lamizana et tous ceux et celles qui m’ont soutenu ; m’ont encouragé et m’ont
conseillé ; en particulier MR KOUMBIA sans oublier tous mes camarades et amis.
CONVENTION TYPE
Article 1 : La présente convention a pour objet la mise en œuvre au bénéfice des élèves de
Baccalauréat Professionnel Géomètre Topographe du Lycée Technique National Aboubacar
Sangoulé Lamizana d’une période de Formation en Milieu Professionnel.
Article 5 : L’élève reste sous statut scolaire pendant la période de Formation en Milieu
Professionnel et ne peut de ce fait prétendre à une rémunération de la part de
l’Organisation. En cas d’accident survenant au candidat pendant la période de
Formation en Milieu Professionnel, le représentant de l’organisation s’engage à
en informer le plus rapidement possible le Proviseur.
Cet engagement vaut également pendant trois (3) ans après l’expiration du
stage. L’élève s’engage par ailleurs à pas ne conserver, emporter ou prendre
copie d’aucun document de quelque nature que ce soit, appartenant à
l’Organisation sauf sur accord de cette dernière.
Article 9 : Par sa signature, le stagiaire est considéré comme ayant donné son
consentement exprès aux clauses de la présente convention.
TITRE II – MODALITES
Organisation générale :
2ème année X
KOUMBIA BACHIROU
Evariste MILLOGO
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS ET SIGLES
INTRODUCTION
Conclusion
FICHE DE VISITE
Activités du candidat :
- Etude de faisabilité
Comportement de l’élève :
Observations :
Cachet
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OBJECTIFS DE FORMATION
Objectifs Difficultés
Objectifs visés rencontrées par
Non
Choisis Atteints le stagiaire
atteints
1. Utiliser les instruments courants de
topographie ;
X X Pas de difficultés
Cachet
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ENTREPRISE : CIRAD
EQUIPE PEDAGOGIQUE:
Cachet
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ANNEXE N° 1
BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GEOMETRE TOPOGRAPHE
GRILLE DE SUIVI ET D’EVALUATION DES P.F.M.P.
1. COMPETENCES PROFESSIONNELLES
NOTE
OBJECTIFS DE
ACTIVITES REALISEES
FORMATION
1 2 3 4 5 TB B AB P I TI
/15
Compétences professionnelles non atteintes lors d’une précédente période
2. ATTITUDES PROFESSIONNELLES
Faire preuve de ponctualité
Respecter les délais prévus : être dynamique, savoir gérer son temps
Solliciter des informations nécessaires pour accomplir son travail
Savoir prendre des initiatives, avoir le sens des responsabilités, savoir
anticiper /05
/20
Date : Cachet
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ATTESTATION
Adresse : …………………………………………………………………….…….
Téléphone : ……………………………………………………………………….…
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INTRODUCTION GENERALE
Dans le but de la soutenance pour le baccalauréat professionnel, le Lycée Technique
National/Aboubacar Sangoulé Lamizana (LTN/ASL) a intégré dans le cadre de sa formation
un stage de deux (2) mois à compter du 01 Décembre 2022 au 31 Janvier 2023 dans le milieu
professionnel afin de renforcer par la pratique les connaissances théoriques de ces
élèves. C’est dans ce cadre que nous avons été confiés au cabinet CIRAD.
D’une manière spécifique, ce stage a pour objectif de :
Permettre aux élevés de s’imprégner aux réalités du terrain et vivre de manière
pratique leur futur métier en se confrontant aux réalités (contraintes et exigences) ;
Faire vivre aux élèves l’expérience du milieu professionnel ;
Formuler des recommandations à l’endroit de toutes les structures administratives du
stade
Etc.
En vue de rendre compte de façon fidèle et analytique des 62 jours passés au sein de
l’Entreprise (CIRAD), il parait logique de présenter à titre préalable la structure d’accueil.
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I. PRESENTATION DE CIRAD
1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
2. ORGANIGRAMME ET HISTORIQUE :
.
L’organigramme de CIRAD peut se présenter comme suite :
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II. DEFINITION DE
QUATRES (04)
OPERATIONS
TOPOGRAPHIQUES
Au cours de notre stage, nous avons participé aux différents travaux couramment effectues au
sein du service CIRAD, parmi ces travaux nous tenterons de définir quelques- uns.
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I.LE NIVELLEMENT
1. DEFINITION GENERALE
Le nivellement est une opération qui consiste à mesurer une différence de niveau entre deux
points ou à rechercher les différents points au sol au-dessus d’une même surface de niveau
prise comme origine.
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Lorsque la distance AB n’excède pas 500 m, la méthode utilisée est appelé tachéométrie ou
trigonométrie ; l’appellation trigonométrique vient des calculs trigonométrique simple. Il est
utilisé dans les terrains accidentés ou semés d’obstacle.
II.LE BORNAGE
1.Définition et utilité du bornage
Le bornage est une opération technique et juridique qui consiste à constater ou à effectuer la
matérialisation des limites d’une parcelle par des bornes, une clôture ou tout autre signe
reconnu par les textes en vigueur et à vérifier la conformité entre ses limites sur le terrain et
celle figurant sur le plan cadastral.
Il est fait de sorte que chacune des bornes soit visible de la précédente et de la suivante.
Il permet de définir juridiquement les limites des propriétés privées de manière définitive, de
compléter des dossiers pour l’obtention de l’autorisation de construire et titre foncier, réduire
à néant toute possibilité d’empiètement sur la propriété contiguë et de mettre fin à une
incertitude sur l’emplacement de la limite entre deux propriétés.
2. Les différents types de bornage
Il existe trois types de bornages qui sont :
Le bornage délimitation : c’est une opération qui consiste à constater ou à matérialiser les
limites d’une parcelle sur le terrain et à vérifier sa conformité avec le plan cadastral ou selon
les données actuelles du cadastre. La mise en place des limites est effectuée conformément à
la volonté exprimée par les propriétaires riverains à travers leur accord ou leur désaccord sur
l’emplacement des limites ou en application d’une décision judiciaire.
Le bornage fusion : c’est l’opération qui consiste à réunir en une seule parcelle, deux ou
plusieurs contiguës. Lorsque des terrains contigus se trouvent réunis entre les mains d ’une
seule et même personne physique ou morale nantie de titres de même nature, cette dernière
peut demander un bornage fusion.
Le bornage morcellement : c’est l’opération qui consiste à diviser un terrain en deux ou
plusieurs autres terrains conformément à la volonté du titulaire du droit réel ou en
application d’une décision judiciaire. Lorsqu’un terrain doit être divisé en plusieurs autres
parcelles devant faire l’objet de titres distinct les limites des nouvelles parcelles doivent être
fixées sur le terrain par un géomètre expert ou de tout service technique compète.
3.Les pièces à fournir pour une demande de bornage
. Une demande sur imprime conforme au modèle agrée par l’administration et soumise au
droit de timbre
. Une photocopie légalisée du ou des titres de jouissance de la parcelle
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III. Le lotissement
1. Définition
Le lotissement est une opération d’aménagement ayant pour objet la division d’un terrain nu à plus
de deux lots viabilisés destinés à l’habitation et /ou aux activités connexes.
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Les opérations de lotissement peuvent être initiées par l’état, les collectivités territoriales, les
promoteurs immobiliers publics ou privés et les personnes physiques.
Avant tout lotissement, la zone concernée doit faire l’objet d’un levé topographique
fait par un géomètre du 1/1000 ou au 1/2000.
Sur le fond du plan de levé, plusieurs esquisses du plan de masse constituant l’avant -
projet seront élaborées par un urbaniste.
L’état des lieux doit indiquer avec précision : les affectations des lieux et des
bâtiments existants ou en construction ;
L’élaboration de l’avant- projet de plan de lotissement est faite sur la base de l’état
des lieux approuvé et réceptionné par le service technique chargé de l’urbanisme
territorialement compétent et doit comporter :
a. L’aménagement
La préparation des ilots et les cahiers de charges correspondants si besoin en est ; le tracé des
réseaux primaires des voiries et réseaux divers notamment, assainissement, adduction d’eau
potable électricité, voirie.
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Les structures citées ci-dessus disposent chacune d’un délai d’un mois (01) à compter de la date
de réception de l’avant-projet de lotissement pour formuler leurs avis et observations.
Seuls les bureaux de géomètres agréés et les services techniques chargés de la topographie
sont habilités à exécuter la mission d’implantation des plans de lotissements.
A partir du plan de lotissement et les coordonnées des points de la polygonale ayant servi au
levé, le géomètre calcul les coordonnées de tous les ilots en tenant compte de la largeur des
différentes voies.
Il est généralement prévu des pan coupés (de 3,45m ou 7,07m) aux sommets des ilots ; le
géomètre implante les différentes parcelles qui sont matérialisées sur le terrain par des bornes.
Les travaux de viabilisation de la zone à lotir sont exécutés sur la base du projet de plan de
lotissement implanté et dument réceptionné.
Lesdits travaux sont réalisés suivant les normes en vigueur en matière de voirie et de réseaux
divers.
Le levé tachéométrique est le procédé qui consiste à lever simultanément le canevas et les
détails avec un seul instrument qu’on appelle tachéomètre. Les modes opératoires sont
généralement le rayonnement en planimétrie et le nivellement indirect en altimétrie avec un seul
instrument appelé tachéomètre.
Cette technique permet une exécution rapide des levés aussi se prête telle particulièrement bien
au levé des plans à l’échelle moyenne allant du 1 /1000è au 1/5000è qui s’étendent sur les
surfaces de quelques centaines de mètres carrés voir kilomètres carrés. Les plans sont
généralement établis pour l’étude des projets de route, canon, voie ferrée, urbanisme,
remembrement, cadastre, lotissement, lotissement etc.
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2. Reconnaissance
Elle doit précéder toute opération de levé afin de rechercher éventuellement les points de
canevas existants ou pour définir la situation la plus fiable des points de canevas à créer. La
reconnaissance permet de cerner les difficultés particulières du levé, (zone boisé, points
inaccessibles, moyens d’accès au chantier).
3. Matérialisation du canevas
Le canevas est un ensemble de point repartis de manière homogène, sur une zone définie et
devant être définie en coordonnées dans un même système. Leur précision doit être au moins
égale à celle des travaux à effectuer.
4. Le canevas d’ensemble
La création d’un canevas d’ensemble est le principe exigé pour des chantiers dont la superficie
dépasse 300 ha en zone rurale. Cette superficie peut être nettement inférieure en zone urbaine.
5. Le canevas polygonal
C’est une suite de cheminement appuyés sur le canevas d’ensemble. Sa densité est d’une
soixantaine de points par kilomètres carrés en zone urbaine, et en trentaine en zone rurale.
Les points de détail seront levés par rayonnement à partir de chaque station. Suivant l’échelle du
levé, le rayon de la zone levé pourra varier de 80à plusieurs centaines de mètres (A l’aide d’un
IMEL), Il faudra prévoir une zone de recouvrement commune à 2 stations successives dans
laquelle des points de contrôles (2à3) maximum seront pris par chacune des stations.
TRAVAUX EFFECTUES
PENDANT LE STAGE
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V. LA PHASE D’IMPLANTATION DU
LOTISSEMENT DE BOASSA
1. DEFINITION
Le lotissement est une opération ayant pour objet la division en lot d’une ou de plusieurs
propriétés foncières en vue de la création d’habitations d’établissement commerciaux,
d’espace vert, etc.
Comme les autres activités auxquelles nous avons participé, cette opération était l’une parmi
d’autres à laquelle j’ai assisté. Cette mission était dans la commune de OUAGADOUGOU
pour le compte du cabinet CIRAD.
2. RECHERCE DOCUMENTAIRE
Le cabinet disposait les données suivantes :
- Le fichier AUTOCAD du plan de lotissement
- La liste des coordonnées des bornes polygonales qui ont servi à faire le levé ;
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Sur le terrain, après la mise en station de l’appareil, sur la borne P14 BON, avec ses
coordonnées, nous avons procédé à la vérification des autres bornes polygonales. Ainsi en
station bien bullé avec le trépied, nous avons remarqué que sur l’ensemble des bornes
polygonales, le plus grand écart était à (1 cm) qui est sous la tolérance selon le chef de
mission. Nous suivons l’indication du contrôleur pour chaque point à implanter par rapport à
notre position et l’indication prend référence sur les quatre points cardinaux (NORD, SUD,
EST, OUEST). Quand nous sommes à au moins à 2cm, l’appareil nous signale que c’est et
nous mettons le piquet. Ainsi les piquets ont été remplacés par des bornes ; cette opération
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VI. bornage
Bornage de la parcelle 13, ilots 9, section 248 de la commune de Ouagadougou
Ce bornage est effectué en zone aménagée par une équipe du cabinet CIRAD.
1.Localisation du site
Le terrain à borner est situé à Ouaga 2000, les références cadastrales sont : section 248, lot
9, parcelle13.
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2. Recherche documentaire
Menu du plan numérique du lotissement de Ouaga 2000, qui nous a permis de repérer la
polygonale qui a servi au lotissement. Nous nous sommes servi de deux points de cette
polygonale à savoir le point S1 et le point S2 dont les coordonnées sont connues, le gisement
et la distance sont mentionnés dans le tableau ci-dessous.
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POINTS X Y D G
S1 665615.21 1365831.973 15.00 236.7483
S2 665607.03 1365819.4O3
3. Composition de l’équipe
. Un technicien topographe
. Deux stagiaires
. Un chauffeur
4. Choix du matériel de travail
Grace à la diversité du matériel de CIRAD, nous avons eu à notre disposition, une station
totale Leica TC407 afin de mener à bien ce bornage. Elle permet de minimiser les erreurs
vues qu’en bornage, la polygonale est rarement fermée et la moindre erreur met en cause
l’opération toute entière. L’ensemble du matériel est composé de :
- Une station totale leica TC407 ;
- Deux primes ;
- Deux cannes ;
- Un véhicule double cabine TOYOTA ;
- Une pioche, des piquets, un marteau, et des bornes pour remplacer les bornes
défectueuses ou inexistantes.
5. Sur le terrain
Une fois sur le terrain, nous avons fait une station libre sur un point que nous
avons nommé P1 et visé la borne P… comme référence. Nous avons juste
effectué un cheminement qui va de P1, A1, A2, A3. Cela nous a permis d’avoir
les gisements et les distances entre les différents points. Nous avons ensuite
stationné sur la dernière antenne A3 qui nous a permis d’implanter B1, B2, B3,
B4 de la parcell
7. Calcul de la superficie
Outre la possibilité qu’offre le logiciel de dessin AUTOCAD pour la récupération
des coordonnées et de la superficie en quelques clics sur les sommets du
terrain, la superficie du terrain a été déterminée par calculs à l’aide des
coordonnées des sommets de la parcelle.
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I. REMARQUES :
Pendant notre stage, nous avons été accueilli dans une bonne ambiance, et une bonne
atmosphère de travail, nous avons aussi remarqué que l’entreprise était rigoureuse, sur
certains aspects notamment la manipulation des appareils. Mais nous avons rencontré
certaines difficultés surtout d’ordre technique. À celle-ci s’ajoute le bâti et la construction sur
les bornes de lotissement et l’occupation des 6m par des constructions de kiosque, sans
oublier le remplissage des caniveaux existant sur le terrain avec des sachet plastiques et bien
d’autres ordures qui ne permet pas une bonne prise du fond de ceux-ci pour un bon
raccordement.
Or mis ces difficultés que nous avons vécu sur le terrain, nous en retenons également la
lenteur administrative du lycée dans le processus de mise en stage des élèves. Les demandes
de stage sont toujours traitées avec un certain retard.
II. SUGGESTIONS
CONCLUSION
De ce qui précède nous pouvons dire que le stage a été à la fois pour nous un moyen
pour la recherche de nouvelles connaissances et l’initiation à la vie professionnelle. En
somme, il nous a permis non seulement de comprendre que la théorie et la pratique sont
indissociables, et indispensables dans la vie d’un bon technicien, mais aussi d’appréhender de
profondes connaissance techniques, notamment le suivi et l’exécution des travaux sur le
chantier . Enfin nous pouvons que le stage a été d’un très grand profit. Ce pendant le résultat
reste mitigé car nous regrettons le fait de n’avoir pas pu assister aux travaux du gros œuvre
préalablement réalisé .
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