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École Africaine des Métiers de l’Architecture et de

L’Urbanisme (EAMAU)
Établissement Inter-Etats d’Enseignement Supérieur et de Recherche
BP: 2067 Lomé, Togo. Tel: (00228) 22 21 62 53 Fax (00228) 22 22 06 52
Email : eamau@café.tg Site : www.eamau.org

NOTICE DE MÉMOIRE POUR L’OBTENTION DU GRADE DE LICENCE


-OPTION ARCHITECRURE-

THEME :
« PROPOSITION D’UN CENTRE CULTUREL ET ÉDUCATIF DANS LA VILLE
ÉBOLOWA AU CAMEROUN »

Rédigé par :
BOYOM TAGNE Joël
Étudiant en Licence 3
1

SOMMAIRE

I. CONTEXTE ET PROBLÉMATTIQUE 2

II. OBJECTIFS DE L’ÉTUDE 6

III.APPROCHE ET MÉTHODOLOGIE DU TRAVAIL 6

IV.REVUE DE LA LITTÉRATURE 7

V. V. PLAN DE TRAVAIL 7

VI.BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE 7

Proposition d’un centre culturel éducatif


BOYOM TAGNE Joel
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SIGLES ET ABRÉVIATIONS
 ONU : Organisation des Nations Unies;
 UNESCO : United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization
(Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la Culture).

Proposition d’un centre culturel éducatif


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I. CONTEXTE ET PROBLÉMATTIQUE
La culture est un concept complexe et multidimensionnel, qui recouvre de nombreuses
dimensions et manifestations. Selon l’UNESCO, la culture peut être définie comme «
l’ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs qui
caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les
modes de vie, les droits fondamentaux de l’être humain, les systèmes de valeurs, les traditions
et les croyances ». La culture est donc à la fois le reflet et le moteur de l’identité, de la
créativité, de la diversité et du développement des peuples.
La culture est un facteur essentiel de développement, qui contribue à la réalisation des
objectifs économiques, sociaux, politiques et environnementaux. Sur le plan économique, la
culture est une source de richesse, qui génère des revenus, des emplois, des investissements,
des exportations.
Le secteur culturel représente environ 3% du produit intérieur brut mondial et 30 millions
d’emplois directs. La culture est aussi un moteur d’innovation, qui stimule la créativité,
l’entrepreneuriat, la compétitivité. La culture favorise en outre le développement local et
territorial, en valorisant les ressources endogènes, en renforçant l’attractivité, en améliorant la
qualité de vie. La culture permet en outre de valoriser les savoirs traditionnels, les pratiques
ancestrales, les modes de vie respectueux de l’environnement.

Sur le plan social, la culture est un vecteur d’inclusion, qui promeut l’éducation, le bien-être,
les droits humains. La culture permet aux individus et aux groupes de s’épanouir, de
s’exprimer, de participer à la vie sociale. La culture facilite aussi la cohésion sociale, en
favorisant le dialogue interculturel, le respect mutuel, la tolérance.
Sur le plan politique, la culture est un levier de démocratie, qui renforce la citoyenneté, la
participation, la gouvernance. La culture permet aux citoyens de s’informer, de débattre, de
décider. Elle soutient aussi la consolidation de la paix et la prévention des conflits, en
favorisant le dialogue intercommunautaire la réconciliation, le respect des droits de l’homme.
Sur le plan environnemental, la culture est un atout pour la durabilité, en favorisant la
biodiversité, la gestion des ressources naturelles, l’adaptation au changement climatique.
La culture est donc un élément clé du développement humain, qui vise offrir plus de choix à
tout un chacun afin qu’ils puissent mener une vie créative et enrichissante. La culture est
reconnue comme un droit fondamental par la Déclaration universelle des droits de l’homme,
qui stipule que « toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ;
ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de
manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par
l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites » (article 18) et que «
toute personne a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne
pas être inquiétée pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans
considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression
que ce soit » (article 19). La culture est aussi reconnue comme un objectif du développement
durable par l’Agenda 2030 des Nations Unies, qui intègre la culture dans plusieurs de ses dix-

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sept objectifs, notamment l’éducation de qualité (objectif 4), l’égalité entre les sexes (objectif
5), les villes et communautés durables (objectif 11), la consommation et production
responsables (objectif 12), la paix, la justice et les institutions efficaces (objectif 16) et les
partenariats pour la réalisation des objectifs (objectif 17).
Or, malgré son importance et sa reconnaissance, la culture est aujourd’hui confrontée à de
nombreux défis et menaces qui compromettent sa diversité, son identité et sa vitalité. Ces
problèmes sont liés aux transformations politiques, économiques, sociales, technologiques et
environnementales qui affectent le monde contemporain. Parmi ces problèmes, on peut citer :
 La mondialisation : ce phénomène désigne l’intensification des échanges et des
interactions entre les pays, les régions, les peuples. La mondialisation a des effets
positifs sur la culture, en facilitant la circulation des biens et des services culturels, en
favorisant le dialogue et la coopération entre les acteurs culturels, en stimulant la
créativité et la diversité. Mais la mondialisation a aussi des effets négatifs sur la
culture, en entraînant une homogénéisation, une standardisation, une uniformisation
des modes de vie, des goûts, des expressions. La mondialisation favorise ainsi la
domination des cultures dominantes, notamment occidentales ou anglo-saxonnes, au
détriment des cultures dominées ou minoritaires. La mondialisation menace donc la
diversité culturelle, qui est pourtant un patrimoine commun de l’humanité et une
condition du développement durable;
 La perte de diversité linguistique et culturelle : ce problème désigne le fait que de
nombreuses langues et cultures sont menacées d’extinction ou ont déjà disparu. Selon
l’UNESCO, il existe environ 6000 langues dans le monde, mais la moitié d’entre elles
sont en danger de disparition. Chaque langue qui disparaît entraîne la perte d’un
patrimoine immatériel, d’une vision du monde, d’une identité. La perte de diversité
linguistique et culturelle est due à plusieurs facteurs, tels que la domination des
langues véhiculaires, notamment l’anglais, le français, l’espagnol, le mandarin,
l’arabe, qui sont utilisées dans les domaines de l’éducation, de la communication, du
commerce, de la diplomatie ; la migration des populations, qui entraîne l’abandon ou
l’oubli des langues et des cultures d’origine au profit des langues et des cultures
d’accueil ; la discrimination et la stigmatisation des langues et des cultures
minoritaires ou autochtones, qui sont souvent considérées comme inférieures ou
archaïques; le manque de politiques linguistiques et culturelles adaptées, qui favorisent
le multilinguisme, la promotion et la valorisation des langues et des cultures locales;
 La précarité des acteurs culturels : ce problème désigne le fait que les artistes, les
créateurs, les producteurs, les diffuseurs, les médiateurs culturels sont souvent
confrontés à des difficultés économiques, sociales, professionnelles. Ces difficultés
sont liées à la faiblesse du marché culturel, qui est souvent saturé, concurrentiel,
inégalitaire. Les acteurs culturels ont du mal à accéder au financement, à la
distribution, à la visibilité de leurs œuvres. Ils sont aussi confrontés à la concurrence
déloyale des produits culturels piratés ou subventionnés. Les acteurs culturels
souffrent également du manque de reconnaissance sociale et professionnelle. Ils sont
souvent considérés comme des travailleurs précaires, intermittents, informels. Ils ne
bénéficient pas toujours d’un statut juridique clair, d’une protection sociale adéquate,
d’une rémunération équitable. Les acteurs culturels sont enfin victimes du manque de
formation et de qualification. Ils ne disposent pas toujours d’un accès suffisant à

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l’éducation artistique et culturelle. Ils ne bénéficient pas toujours d’une formation


continue adaptée à leurs besoins spécifiques ;
 Le pillage et la destruction du patrimoine culturel matériel et immatériel : ce
problème désigne le fait que les biens culturels sont souvent volés, détournés,
endommagés ou détruits. Ces atteintes au patrimoine culturel sont dues à plusieurs
causes, telles que les conflits armés, le terrorisme, le trafic illicite, les catastrophes
naturelles ou humaines. Les conflits armés et le terrorisme entraînent souvent la
destruction délibérée ou collatérale des sites historiques, des monuments, des musées,
des bibliothèques, des archives, des œuvres d’art. Ces actes visent à effacer la
mémoire, l’identité, la diversité des peuples. Le trafic illicite consiste à voler, à acheter
ou à vendre illégalement des biens culturels, notamment archéologiques,
ethnographiques, artistiques. Ce phénomène est alimenté par la demande croissante
des collectionneurs, des marchands, des touristes. Le trafic illicite prive les peuples de
leur patrimoine culturel et entraîne la perte de son contexte historique, scientifique,
symbolique. Les catastrophes naturelles ou humaines, telles que les tremblements de
terre, les inondations, les incendies, les accidents industriels, peuvent aussi
endommager ou détruire le patrimoine culturel. Ces événements mettent en péril la
conservation et la transmission du patrimoine culturel aux générations futures.
Face à ces défis et menaces, il est nécessaire de renforcer la protection et la promotion de la
culture, en adoptant des politiques et des mesures appropriées. Ces politiques et mesures
doivent viser à :
 Préserver et valoriser la diversité culturelle : il s’agit de reconnaître et de respecter la
pluralité des expressions culturelles qui existent dans le monde. Il s’agit aussi de
soutenir et d’encourager la création, la production, la diffusion et l’accès aux biens et
services culturels diversifiés. Il s’agit enfin de protéger et de promouvoir les droits
culturels de tous les individus et les groupes, notamment les minorités, les
autochtones, les femmes, les jeunes, les personnes handicapées;
 Sauvegarder et transmettre le patrimoine culturel matériel et immatériel : il s’agit de
conserver et de restaurer les biens culturels qui témoignent du passé et du présent des
peuples. Il s’agit aussi de documenter et de diffuser les savoirs, les savoir-faire, les
traditions, les expressions orales ou écrites qui constituent le patrimoine vivant des
peuples. Il s’agit enfin de sensibiliser et d’éduquer le public à la valeur et à la
signification du patrimoine culturel.
Pour ce faire, il est nécessaire de mettre en œuvre les conventions internationales relatives
au patrimoine culturel adoptées par l’UNESCO.
La culture est importante au Cameroun et dans le monde, car elle est à la fois une source
d’identité, de cohésion et de diversité pour les peuples. La culture se manifeste à travers l’art,
la société et le développement. La culture est un facteur d’enrichissement mutuel, mais aussi
de conflit potentiel entre les peuples. Il est donc important de respecter la diversité culturelle
et de promouvoir le dialogue interculturel.
Le Cameroun est un pays d’Afrique centrale qui présente une grande diversité culturelle,
linguistique et ethnique. Selon le recensement de 2005, le Cameroun compte environ 250
groupes ethniques, qui parlent plus de 200 langues. Le Cameroun est aussi un pays bilingue,
qui a hérité du français et de l’anglais comme langues officielles de la colonisation. Le

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Cameroun est donc un pays riche de sa culture, qui constitue un facteur de développement
humain, social, économique et environnemental.
 Sur le plan humain, la culture contribue à l’épanouissement, à l’émancipation et à la
participation des individus et des groupes. La culture permet de renforcer l’identité,
l’estime de soi, le sens critique, la créativité des Camerounais. La culture permet aussi
de favoriser le dialogue, la tolérance, le respect, la solidarité entre les différentes
communautés qui composent le pays. La culture permet enfin de promouvoir les droits
humains;
 Sur le plan social, la culture contribue à la cohésion, à l’intégration et à la paix
nationales. La culture au Cameroun à travers sa diversité est une richesse et une
opportunité pour le pays. La culture permet aussi de prévenir et de résoudre les
conflits qui peuvent opposer les différents groupes sociaux, notamment sur les
questions foncières, politiques ou religieuses. La culture permet enfin de renforcer le
sentiment d’appartenance et de fierté nationale, qui sont nécessaires pour construire un
projet commun de développement ;
 Sur le plan économique, la culture contribue à la croissance, à l’innovation et à la
compétitivité du pays. La culture permet de développer le secteur culturel, qui
regroupe les activités liées à la création, à la production, à la diffusion et à la
consommation des biens et services culturels. Le secteur culturel représente une
source importante d’emplois, de revenus et de devises pour le Cameroun. La culture
permet aussi de stimuler les autres secteurs économiques, tels que le tourisme,
l’artisanat, l’agriculture, l’industrie. La culture permet enfin d’améliorer l’attractivité
et la visibilité du Cameroun sur la scène internationale ;
 Sur le plan environnemental, la culture contribue à la préservation, à la gestion et à la
valorisation des ressources naturelles et du patrimoine culturel du pays. La culture
permet de sensibiliser et d’éduquer les Camerounais aux enjeux du développement
durable et du changement climatique. La culture permet aussi de mobiliser et de
valoriser les savoirs, les savoir-faire, les pratiques traditionnelles des communautés
locales, qui sont souvent porteuses de solutions écologiques et adaptées au contexte.
La culture permet enfin de protéger et de promouvoir le patrimoine culturel matériel et
immatériel du Cameroun, qui est un témoignage de son histoire, de son identité, de sa
diversité.
Ainsi, la culture est un pilier du développement au Cameroun, qui doit être prise en compte
dans les politiques et les stratégies nationales. Pour ce faire, il est nécessaire de renforcer le
cadre juridique, institutionnel, éducatif et financier de la culture, qui est encore faible et
insuffisant. Il est aussi nécessaire de renforcer les capacités des acteurs culturels locaux, qui
sont souvent précaires et marginalisés. Il est enfin nécessaire de renforcer l’éducation des
jeunes sur l’importance de la culture dans le processus d’émergence de leur pays.
Ce qui nous a interpelés en tant que futur acteur des métiers de la ville à nous poser cette
question : quel type d’ouvrage pourrait réunir un cadre éducatif et culturel ou les jeunes
pourraient en apprendre plus sur la richesse de leurs cultures ainsi que son importance
dans leur vie et dans leur processus éducatif ?
Ce questionnement a soulevé chez nous deux interpellations :

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 La première est de savoir quel type de programme proposer pour la mise en œuvre
d’un tel équipement ;
 La deuxième fut de savoir quels choix opérer dans notre projet afin d’aboutir à une
œuvre architecturale idéale pour la promotion des cultures ancestrale et
contemporaine.
De l’interaction de ces questionnements a alors découlé l’idée pour y répondre de proposer
un centre culturel éducatif dans la ville d’Ebolawa au Cameroun.

II. OBJECTIFS DE L’ÉTUDE


A. Objectif général
Proposer un équipement qui répond au quatrième objectif du développement durable (ODD)
fixé par l’ONU : Éducation de qualité.

B. Objectifs spécifiques
 Proposition d’un centre culturel et éducatif afin de permettre aux jeunes de la ville
d’Ebolowa au Cameroun de jouir d’un cadre d’orientation professionnelle optimal leur
permettant de s’émanciper tout en gardant leurs racines profondément ancrées dans la
culture ;
 Proposer une œuvre architecturale utilisant les concepts bioclimatiques et ayant des
espaces fonctionnels associant traitement de la lumière, accessibilité, confort,
ventilation naturelle et optimisation de l’acoustique;
 Programmer des espaces multifonctionnels et flexibles servant à des activités allant
des expositions à diverses conférences éducatives.

III. APPROCHE ET MÉTHODOLOGIE DU TRAVAIL


A. Recherche documentaire
Pendant cette étape nous procèderons méthodiquement à une investigation au travers de
divers documents que nous consulterons. Ils nous permettrons en fonction du programme de
recherche que nous aurons établis de trouver des informations qui nous serons utiles pour
répondre aux contraintes que notre thème nous imposera vis-à-vis de notre contexte. Pour ce
faire nous nous attèlerons de prime abord à l’étude des mémoires de Licences 03 disponibles à
la bibliothèque de l’EAMAU et traitant de sujets similaires à celui que nous abordons
aujourd’hui, et nous profiterons ensuite de tout autre document entrant à notre disposition
pour pousser nos recherches afin d'avoir de meilleurs éclaircissements .

B. Interview
C. Etude de cas similaires
Au cours de cette étape nous réaliserons des analyses de quelques ouvrages (à LOMÉ ou
ailleurs) dont la fonction est similaire à celle de notre équipement afin d’en identifier le
fonctionnement, les forces (atouts) et les faiblesses (inconvénients) dont nous tiendrons
compte lors de l’étape de proposition architecturales. Cette étude sera dans l’idéal

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directement effectuée sur le lieu où se trouve l’équipement (pour ceux qui sont proches) et au
cas échéant au travers d’un correspondant ou sur internet (pour ceux éloignés).

D. Analyse et traitement des données


Pendant cette étape nous devrons après rassemblement des données récoltées pendant la
recherche documentaire et les études de cas :
 effectuer de prime abord une analyse détaillée ;
 effectuer un traitement des informations ;
 produire une synthèse dont nous tirerons les éléments qui nous permettront d'atteindre
les objectifs que nous nous sommes fixés.

E. Proposition du projet architectural


Cette partie marquera le tournant de notre étude et sera le point où, disposant d’éléments
d’analyse synthétisés et contextualisés, nous proposerons des dispositions architecturales qui
pourront répondre de la manière la plus optimale que nous trouverons tant aux contraintes qui
découlerons du contexte de notre projet qu'aux objectifs que nous nous sommes fixés
d’atteindre en amont.

IV. REVUE DE LA LITTÉRATURE


Pour atteindre nos objectifs, une documentation a été nécessaire. Les outils qui nous ont
permis d'effectuer nos travaux sont les suivants :
 Le document d'architecture intitulé "LES ELEMENTS DES PROJETS DE
CONSTRUCTION" d'Ernst NEUFERT (10ème édition) ;
 Les notices et mémoires de nos ainés académiques OUEDRAOGO Amssa endkouni,
NDIENANG DAPABKO Mesmer, GOUDJINOU Isaac.

V. PLAN DE TRAVAIL
Notre mémoire sera structuré en deux grandes parties :
 La première portera sur les études pré-opérationnelles avec présentation de notre zone
d’étude et des études de cas sur lesquelles porteront nos études ;
 La deuxième présentera les études opérationnelles. Nous présenterons notre projet en
donnant des informations détaillées sur la localisation du projet, les éléments du
programme architectural, la démarche conceptuelle, les dispositions architecturales et
les matériaux utilisés.

VI. BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE


A. Bibliographie
 Le document d'architecture intitulé "LES ELEMENTS DES PROJETS DE
CONSTRUCTION" d'Ernst NEUFERT (09ème édition) ;

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 Les notices et mémoires de nos ainés académiques OUEDRAOGO Amssa endkouni,


NDIENANG DAPABKO Mesmer, GOUDJINOU Isaac.

B. Webographie
 Culture du Cameroun — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_du_Cameroun;
 La sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel au Cameroun :
https://journals.openedition.org/ocim/1026;
 Culture Du Cameroun | Discover-Cameroon - Découvrir le Cameroun : https://discover-
cameroon.com/culture-langues-religions/;
 : https://www.cairn.info/revue-les-enjeux-de-l-informatin-et-de-la-communication-2021-22-
page-25.htm 2;
 : https://journals.openedition.org/ocim/1026 3 ;
 https://lesenjeux.univ-grenoble-alpes.fr/2021/dossier/02-strategies-dacteurs-et-enjeux-
internationaux-du-developpement-du-cinema-et-de-la-musique-au-cameroun/.

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TABLE DES MATIERES


I. CONTEXTE ET PROBLÉMATTIQUE 3

II. OBJECTIFS DE L’ÉTUDE 7

A. OBJECTIF GÉNÉRAL 7
B. OBJECTIFS SPÉCIFIQUES 7

III. APPROCHE ET MÉTHODOLOGIE DU TRAVAIL 7

A. RECHERCHE DOCUMENTAIRE 7
B. INTERVIEW 7
C. ETUDE DE CAS SIMILAIRES 7
D. ANALYSE ET TRAITEMENT DES DONNÉES 8
E. PROPOSITION DU PROJET ARCHITECTURAL 8

IV.REVUE DE LA LITTÉRATURE 8

V. PLAN DE TRAVAIL 8

VI.BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE 8

A. BIBLIOGRAPHIE 8
B. WEBOGRAPHIE 9

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