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Thème :
Réalisé par:
Mme Mahmoudi F/ Zahra Dirigé par :
Dr Tebbiche A.
Assistante en
anesthésie
réanimation
ESH.CNMS
Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué au succès de mon stage à
l’ESH MAOUCHE MOHANDE AMOKRANE de CNMS spécialement Pr Métali
et Dr merakach et Dr bicha pour leurs aides et leurs gentillesses et
professionnalismes. .
Notre rêve est devenu une réalité je suis aujourd’hui l’anesthésiste que vous aveztant rêve de la voire
A ma grand-mère
Ma force et je ma joie la femme quia crue en moi et qui me pousse toujours vert avant ceci est ma
profonde gratitude pour ton éternel amour ce que se rapporte soit le meilleur cadeau que je te
puisset’offrir
A Ma deuxième famille qui je l’aime beaucoup : Hakima Rabia zahra chérifa et ouarda
Aucune dédicace ne pourrait exprimer mon amour pour tous ce que vous avait avez fait pour moi que
Dieu vous protège.
A lumière de mes jours la source de mes efforts la flamme de mon cœur Et mon bonheur Sarah que dieu
vous protège.
A Ma chère amie Hajira qui m’a soutenu cette année je souhatee un avenir plein de succés et de bonheur
A mes cher coulages : Kobi walid Fodil islam Mohamed boutriche que dieu vous protège.
Liste des abréviations :
IV : Intra veineux.
CV : Cardio-vasculaire.
AG : Anesthésie générale.
Figure 11: Répartition des patients selon les antécédents médicaux des patients asthmatique
Figure 12: Répartition des personnels selon la préparation des patients asthmatiques ……. 61
Figure 14: Répartition des patients asthmatique selon les exams essentiels pour une
Figure 15: La classification des ASA des patients asthmatiques en chirurgie cardiovasculaire
……………………...…………………………………………………………..... 64
Figure 16: Répartition des patients asthmatique selon le type de la chirurgie …………….... 65
………………………………………………………………………………...… 65
l’AMAR ................................................................................................................ 66
Figure 19: Répartition des AMAR et les MAR selon le choix des drogues des patients
asthmatiques .......................................................................................................... 67
Figure 20: Répartition des agents hypnotiques recommandés chez un patient asthmatique en
cardiovasculaire …………………………………………….………………….. 68
Figure 22: Répartition des halogénés pour l’asthmatique en chirurgie cardiovasculaire …... 69
Figure 23: Répartition des patients selon la période de l’apparitionde bronchospasme ...…. 70
Figure 24: Répartition selon la conduite à tenir au cour devant la CEC .…………………... 71
Figure 25: Répartition des patients selon le moment exact survient le bronchospasme .….... 71
Figure 26: Répartition des patients selon la cause de cette complication …..…….………… 72
en peropératoire ………………………………………….…………………...… 73
Figure 29: Répartition des patients asthmatiques selon la bonne préparation pré opératoire
..……………………...…………………………………………………………... 74
Figure 30: Répartition des patients selon la conduite à tenir immédiate dans le cas où
cardiovasculaire …………………………………………...…………………….. 76
Figure 32: Répartition des patients asthmatique selon l’utilisation des antidotes en chirurgie
cardiovasculaire ………………………………………………...….……......… 76
Figure 33: Répartitions des personnels selon la participation à la surveillance des malades
Figure 34: Répartition des personnels selon l’utilisation des protocoles affichés au bloc
cardiovasculaire ………………………...……………………………………….. 78
Figure 35: Répartition des personnels selon le suivi des formations complémentaires
Tableau 5: Les antécédents médicaux des patients asthmatiques opérés de chirurgie c.v ..... 60
Tableau 8: L’examen essentiel chez un patient asthmatique avant entré au bloc opératoire
…………………………………………………………………………………… 62
cardio-vasculaire …………………………………………………………….….. 63
Tableau 10: Les différents types de chirurgie effectué en chirurgie cardio-vasculaire des
Tableau 13: Le choix des drogues anesthésique des patients asthmatiques par l’AMAR et
MAR ………………………………………………………………………….. 67
Tableau 14: Le meilleur agent hypnotique recommandé chez un patient asthmatique …..… 67
vasculaire ………………………………………………………….…..…….... 69
Tableau 17: Le bronchospasme chez l’asthmatique ……………..………………………… 70
Tableau 18: La conduite à tenir au cour de la CEC en chirurgie cardiaque d’un patient
Asthmatique ………………………………………………….………………... 70
Tableau 20: La cause de cette complication est liée a l’anesthésie légère ………..………... 72
Tableau 21: La durée d’extubation d’asthmatique par apport un patient sans asthme …..… 72
opératoire …………………………………………………………………….... 73
Tableau 23: La bonne préparation prés opératoire d’un patient asthmatique en chirurgie
Tableau 28 : L’utilisation des protocoles affiché au bloc opératoire pour la conduite à tenir
Tableau 29 : Le suivi des formations complémentaires pendant les années de travail au bloc
يطرح التخدير لمرضى الربو عدة مشاكل ألن هناك خطر حدوث تشنج قصبي أثناء التخدير ،خاصة في جراحة
القلب واألوعية الدموية ،وخاصة في حاالت الربو الحادة.
ضعف السيطرة على الربو هو عامل الخطر الرئيسي .ولهذا السبب يجب أن تركز استشارة التخدير على تقييم
السيطرة ،وإذا أمكن ،تنظيم التحضير قبل الجراحة لتحسينه ،باستخدام موسعات الشعب الهوائية والمنشطات.
يجب الجمع بين التخدير الناحي والتخدير العام ,حيث يمكن أن يسبب التنبيب تشن ًجا قصبيًا ,يتم تحمل العوامل
المستنشقة جيدًا عن طريق كونها موسعات قصبية.
يمكن استخدام البنزوديازيبينات .البروبوفول والمواد األفيونية جيدة التحمل بشكل عام في مرضى الربو .من بين
الكورارات ،نفضل تلك التي تخلو من تأثير تحرير الهيستامين.
إن استخدام موسعات القصبات الهوائية المحاكية بيتا 2بشكل منهجي ،ومن باب أولى ،في حالة التشنج القصبي
عند التحريض ،هو العالج المفضل ،باالشتراك مع الكورتيكوستيرويدات.
في جراحة القلب واألوعية الدموية هو بطالن استخدام الترياق .الصحوة عفوية .في بعض األحيان يتم نزع أنبوب
المرضى في العناية المركزة.
إن االستكشاف الجيد لمرضى الربو في جراحة القلب واألوعية الدموية واختيار أفضل التقنيات وأدوية التخدير
بالتعاون مع فريق التخدير هو ما يسمح بالتقدم الجيد للتدخل الجراحي دون مضاعفات.
Abstract :
Anesthesia for asthmatics poses several problems because they risk triggering
bronchospasm during anesthesia, particularly in cardiovascular surgery, all the more
frequently when they have severe asthma.
Poor asthma control is the main risk factor. Thus, the anesthesia consultation should
focus on assessing control and, if possible, organizing preoperative preparation to optimize it,
using bronchodilators and steroids.
Benzodiazepines can be used. Propofol and opioids are generally well tolerated in
asthmatics. Among the muscle relaxants, those which are devoid of histamino-liberating effect
will be preferred.
The systematic use of beta-2 mimetic bronchodilators and, a fortiori, in the event of
bronchospasm oninduction are the treatment of choice, associated with corticosteroids.
The good exploration of asthmatic patients in cardiovascular surgery and the best
choice of Technique and anesthetic drugs in collaboration with the anesthesia team are what
allows the good progress of the surgical intervention without complications.
Résumé :
Le mauvais contrôle de l’asthme est le facteur de risque principal. C’est ainsi que la
consultation d’anesthésie devra s’attacher à évaluer le contrôle et, si possible, à organiser une
préparation préopératoire permettant de l’optimiser, en utilisant bronchodilatateurs et
stéroïdes.
En chirurgie cardiovasculaire l’utilisation des antidotes est contre indiqué ; le réveil est
spontané; parfois l’extubation des patients se fait en réanimation.
Introduction ……………………………………………………………………..…………... 12
Choix et motivation ………………….………..…………………………………………….. 13
Problématique …………………………………………………………………..……….….. 14
Hypothèse …………………..……………………………………………………………….. 15
Objectif ………………….……………………………………………………….………….. 16
Définition des concepts …………………………………………………………………….... 17
PARTIE THÉORIQUE
2- Physiologie de la respiration … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … 19
1- Définition … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … . … 21
3- Classification de l’asthme … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … 23
4- Diagnostic d’asthme … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … 24
6- Traitement de l’asthme … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … . . … 24
2- Statistique anesthésique … … … … … … … … … … … … … … … … … … . . … … … . … 30
PARTIE PRATIQUE
2.3-Echantillon ……………………………………………………………………………… 56
3. Suggestions ……………………………………………………………………………… 80
Conclusion …………………………….………..………………..………………...……….. 82
Annexe …...……………..…………….………..……………………..…………...………... 83
Bibliographie …………………………….……..………………………...……...………….. 84
Introduction :
Pour la réalisation des actes chirurgicales dans le calme, le confort et dans plus de
sécurité pour l’opérateur et l’équipe d’anesthésie, l’usage des produits anesthésiques supprime
une grande partie l’angoisse des patients et permettra la réalisation des interventions, même de
longue durée, dans les conditions idéales,
Certaines techniques anesthésiques particulières sont nécessaires pour prévenir les
incidents qui pouvaient s’avérer graves tels que : Collapsus cardiaque et respiratoire, sur tout
dans le cas oule malade présente une maladie chronique telle que l’asthme.
La prévalence de l’asthme est élevée dans la plupart des pays du monde. C’est la
pathologiechronique la plus fréquente chez les enfants.
La prévalence de l’asthme varie de 5 à 10 % selon les pays. Il est difficile de déterminer
avec précision le nombre d’asthmatiques dans le monde entier.
Le Global Initiative for Asthma (GINA) et l’OMS estiment qu’environ 200 millions de
personnes dans le monde sont asthmatiques, la fréquence de la maladie asthmatique semble
augmenter régulièrement depuis 20 ans et sa mortalité est élevée (estimée à plus de 180 000
mortspar an dans le monde).
La gestion des patients souffrant d’asthme continue de représenter un défi dans la
pratique de l’anesthésie, avec un risque important de bronchospasme tant à l’induction qu’au
réveil de l’anesthésie, et lors des manœuvres d’intubation ou extubation trachéales chez
l’adulte.
Grâce à l’amélioration des médicaments et des techniques anesthésiques, la fréquence
desépisodes spastiques des bronches sous anesthésie a diminué ces dernières années.
Une bonne compréhension de la pathogenèse de l’asthme permet d’élaborer des
stratégies de prise en charge anesthésique spécifique de ces patients et d’utiliser le meilleur
traitement disponible
La complexité de cette pathologie crée une sorte d’anxiété et de stress au cours de
l’acte anesthésique, c’est pourquoi une stratégie prophylactique doit être mise en œuvre pour
mettre le malade en état de sécurité et garantie au même temps une meilleure prise en charge
anesthésique enpériode pré, per et post opératoire.
Cette stratégie doit être réalisée en se référant aux dernières recommandations de la
santé concernant l’anesthésie de l’asthmatique et aussi la prise en charge des complications per
et postopératoire.
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Choix et motivation :
Durant Mon stage aux différents établissements hospitaliers, j’ai constaté que :
Malgré le nombre important des patients souffrant d’asthme, la prise
en chargeanesthésique de ces patients n’est pas encore suffisante.
Les asthmatiques redoutent toujours l’acte chirurgical et constituent
souvent des casdélicats pour les anesthésistes.
La programmation des malades asthmatiques ne se fait pas en priorité mais
selon l’actechirurgical qui favorise la survenue des complications en per
opératoire.
Absence d’une stratégie prophylactique concernant la prise en charge
anesthésique del’asthmatique.
Manque du protocole pour la gestion des complications.
Et ceci qui m’a motivé de faire le choix de mon thème.
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Problématique :
Et ce que j’ai constaté durant mes différents stages pratiques dans les différents
blocs opératoires que les patients asthmatiques surtout en chirurgie cardiovasculaire ne
sont pas encore suffisamment pris en charge sur le plan clinique : le traitement, la
Kinésithérapie, la prémédication, ce qui influence sur la santé de ces derniers et complique
l’acte anesthésique et l’acte chirurgicale même , aussi dans la préparation de la salle
opératoire, la présence d’un personnel qualifié, la disponibilité d’un matériel adapté à ces
patients.
Question de recherche :
Quelle est la particularité dans la prise en charge des patients asthmatique adulte
en chirurgie cardio-vasculaire et la conduite à tenir d’AMAR SP en période pré-per et
post opératoire ?
14
Hypothèses :
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Objectifs :
Ils sont pour but d’affirmer ou infirmer les hypothèses, afin d'apporter une amélioration sur :
Les modalités de la prise en charge anesthésique des malades asthmatiques en
chirurgiecardiovasculaire.
La prévention de la survenue des éventuelles complications post opératoire
16
Définition des concepts :
17
PARTIE THEORIQUE
Chapitre I
Rappel
physiologique
Chapitre I : Rappel physiologique
L’appareil respiratoire permet d’assurer les échanges gazeux entre le milieu interne et
externe, elle est constituée de :
Les voies aériennes supérieures : Fosses nasale, Pharynx, Larynx.
Les voies aériennes inferieures : la trachée, bronche.
Les poumons : qui se font l’hématose.
La cage thoracique.
Les muscles respiratoires : les muscles inspiratoires, expiratoire, plèvres.
18
Chapitre I : Rappel physiologique
2/ Physiologie de la respiration :
C’est un processus qui permet les échanges gazeux entre l’air et les alvéoles
pulmonaires : se décharge le sang du dioxyde de carbone et de charger en oxygène c’est
«L’hématose ».
La physiologie de la respiration est l’étude des mécanismes, nombreux, et complexes,
qui permettent detransporter du milieu ambiant jusqu’aux cellules une quantité adéquate
d’oxygène et de rejeter dans l’atmosphère le dioxyde de carbone produit par le métabolisme.
Les échanges gazeux entre les poumons et l’air ambiant sont assurés par la ventilation
pulmonaire ; puis la diffusion alvéolo-capillaire permet les échanges gazeux entre les poumons
et le sang.
La circulation sanguine se charge de transporter l’o2 aux différentes cellules de
l’organisme, au niveaudes cellules, il existe, d’une part, un nouveau mécanisme de diffusion
entre le liquide interstitiel qui les baigne et les vaisseaux capillaires et d’autre part, une
dernière diffusion de gaz entre le liquide interstitielet l’intérieur des cellules.
C’est là que se déroulent les réactions biochimiques d’oxydoréduction productrices
d’énergie à partirdes substrats organiques nutritifs qui sont finalement minéralises avec
formation d’eau et de dioxyde de carbone.
Ce dernier suit un trajet inverse de celui de l’oxygène, qui aboutit à son excrétion
pulmonaire.
19
Chapitre I : Rappel physiologique
20
Chapitre II
Généralités sur la
physiopathologie de
l’asthme
Chapitre II : Généralité sur la pathologie de l’asthme
1/ Définition :
L’asthme est défini comme une maladie inflammatoire chronique des bronches
caractérisées par des accès de dyspnée sifflante réversible spontanément ou sous traitement
bronchodilatateur. Cette affection entraine une augmentation de la sensibilité des voies
aériennes supérieures aux différents stimuli physiques : sonde trachéale, stimulation
chirurgicale, stimuli chimiques (vapeur et gaz irritants…), stimuli pharmacologiques
(histamino libération, réaction antigènes anticorps).
L’asthme est souvent associé à une réponse immunitaire de type th2 avec des acteurs
cellulaires et moléculaires bien connus tels que les éosinophiles les lymphocytes th2 et les
cytokines associées telles que l’interleukine -5 ou l’interleukine-4.
Parmi ceux-ci figurent des composant du système immunitaire inné tel que les cellules
lymphoïdes innés de type 2 ou le système immunitaire adaptatif tel que les lymphocytes th9.
Au niveau cellulaire, le rôle des petites protéines dans l’asthme est également mis en
évidence ainsi que le rôle des principales cytokines commel’il-17 ou celles dérivées de
l’épithélium.
21
Chapitre II : Généralité sur la pathologie de l’asthme
Définition :
Hypoxémie + hypercapnie.
3- Les facteurs :
Ces fibres forment une synapse ganglionnaire cholinergique dans la paroi bronchique
avec les fibres post ganglionnaires destinées aux glandes sous muqueuses et aux
cellules musculaires bronchiques, lors d’une stimulation nerveuse l’acétyle choline
libérée au niveau de la jonction active les récepteurs muscariniques M3 induisant une
broncho constriction au niveau pré synaptique des récepteurs de type M2 inhibent la
libération de l’acétylcholine réduisant la constriction induite par la stimulation vagale.
22
Chapitre II : Généralité sur la pathologie de l’asthme
3/ Classification de l’asthme :
L’asthme est dit « intermittent » s’il y a moins d’une crise d’asthme par semaine
(crises brèves et absence de symptômes entre les crises).
Le DEP est normal en dehors des crises et varie peu.
La fonction respiratoire est normale.
Stade 2 :
L’asthme est dit « persistant léger » s’il y a plusieurs crises d’asthme par semaine
(maispas plusieurs par jour) et si les crises peuvent perturber l’activité physique et le sommeil.
Le DEP est normal (supérieur à 80 % de la valeur idéale).
Stade 3 :
L’asthme est dit « persistant modéré » s’il y a au moins un symptôme d’asthme par
jour ou des réveils la nuit assez fréquente (au moins une fois par semaine), si l’usage des
bronchodilatateurs d’action rapide (traitement de crise) est quotidien ou si les crises affectent
la qualité de vie.
23
Chapitre II : Généralité sur la pathologie de l’asthme
Stade 4 :
L’asthme est dit « persistant sévère » si les symptômes sont fréquents ou permanents,
les crises fréquentes, l’activité physique limitée, les réveils nocturnes habituels : la qualité de
vie en est souvent affectée.
Les EFR sont anormales, la variation quotidienne du DEP est importante.
4/ Le diagnostic de l’asthme :
6/ Le traitement de l’asthme :
24
Chapitre II : Généralité sur la pathologie de l’asthme
BETA-2- MIMETIQUE :
CORTICOÏDES :
• DEXAMETHASONE
• SOLUDECADRON (INJECTABLE).
ANTIHISTAMINIQUE :
- La théophylline.
25
Chapitre III
Les impératifs
anesthésiques en chirurgie
cardiovasculaire
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
* Ischémie coronarienne.
* Valvuloplastie.
* Dysfonction ventriculaire.
Ils sont classés le plus souvent dans les catégories ASA III ou IV.
Leur fragilité est telle que la majeure partie d'entre eux serait récusée pour une
intervention de chirurgie générale. Ils nécessitent donc une prise en charge conséquente et un
monitorage invasif.
* Opération en urgence.
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Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
* Réopération.
* Opération complexe.
* Sténose sévère du tronc commun.
* Lésions tritronculaires.
* Angor instable.
* Statu polyvasculaire.
* Diabète (glycémie > 10 mmol/L).
1.1.2 - L'anesthésie :
L’anesthésie cardiaque a ceci de particulier qu’elle exige une bonne connaissance des
cardiopathies, de l’acte chirurgical et de la circulation extra-corporelle pour pouvoir être
efficace.
La collaboration avec le chirurgien est plus étroite que dans les autres disciplines ;
dans la chirurgie à cœur battant, cette collaboration est même la clef du succès de
l’intervention. Encontrepartie,
27
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
o Réchauffement (réveil)
o Sortie de CEC stimulation sympathique
• Effets hémodynamiques.
o Morphiniques :
Les morphiniques n’entraînent pas de dépression myocardique directe mais ils
augmentent le tonus vagal. Par conséquent, l’administration de morphiniques à
l’induction de l’anesthésie induit peu d’effet hémodynamique chez le patient
normovolémique.
28
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
Cependant, l’anesthésie analgésique pure ne garantit pas une amnésie suffisante et les
techniques de l’anesthésie moderne permettent aujourd’hui de réaliser une anesthésie balancée
avec une meilleure stabilité hémodynamique, un réveil plus rapide et une douleur
postopératoire mieux contrôlée avec une durée de séjour en réanimation plus courte.
Morphine : Par voie intraveineuse, elle n’est plus utilisée que pour l’analgésie
postopératoire.
29
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
2/ Statistique anesthésique :
30
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
o Ventilation protectrice.
o Optimisation hémodynamique périopératoire (agents inotropes, CPIA).
o Leucodéplétion des transfusions sanguines.
o Acide tranexamique (par rapport à l'aprotinine).
o Levosimendan drogue (par rapport aux catécholamines).
Au cours des opérations cardiaques, les situations de stress sont fréquentes, comme
pour toute réanimation, il est important de disposer d’algorithmes d’intervention codifiant les
mesures à prendre, de Manière à éviter une improvisation le plus souvent désastreuse ; c’est à
cela que servent les protocoles.
Il Est capital d’éviter de se laisser piéger dans un effet tunnel qui consiste à scotomiser
touteinformation.
3/ Circulation extracorporelle:
La CEC c’est une technique qui permet de dériver le sang tout en maintenant la
circulation et l’oxygénation systémique afin d’immobiliser le cœur et d’obtenir la vacuité des
cavités cardiaques au cours du geste chirurgical. Schématiquement, le sang veineux mêlé est
drainé au niveau des veines caves ou de l’oreillette droite par un phénomène de gravité, il est
31
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
récupéré dans un réservoir puis réinjecté par une pompe à travers un échangeur thermique et
un oxygénateur vers une canule placée dans l’aorte ascendante.
- Les oxygénateurs les plus souvent utilisés sont les oxygénateurs à membranes en raison de
leurgrande biocompatibilité avecles cellules sanguines.
- Les pompes sont le plus souvent à galet, ce qui assure un débit continu. Le débit en mode
pulsé est moins utilisé. Afin de limiter les emboles de gaz et de particules émises pendant la
CEC, on utilise ;
- Des filtres sur la ligne artérielle. Ce système est équipé d’une alarme quipermet de détecter
lesemboles et donc de diminuer l’incidence des complications de ce type.
32
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
Amorçage de la CEC :
Le circuit de CEC est amorcé à l’aide d’une solution d’amorçage (priming) associant
cristalloïdes et colloïdes, avant la canulation. A cette solution est ajoutée une dose d’héparine
non fractionnée de 5 000 à 10 000 UI. L’utilisation du priming permet de limiter la transfusion
sanguine. La conséquence de cette technique est une hémodilution importante. Ainsi, on peut
tolérer un hématocrite jusqu’à 20 % en cours de CEC.
En deçà, il est décrit des effets secondaires tels que l’ischémie rétinienne. En
postopératoire, l’hémodilution se corrige par la diurèse spontanée du patient. Dans certains
cas, on peut avoir recours aux diurétiques. Cependant, dans la majorité des cas, la restitution
du sang contenu dans le réservoir de l’oxygénateur en fin de CEC permet de retrouver un
hématocrite autour de 30 % après la chirurgie. La transfusion autologue présente peu
d’indication en chirurgie cardiaque en raison de ses nombreuses contre-indications (anémie,
sténose carotidienne serrée, angor instable, sténose serrée du tronc commun de la coronaire
gauche, rétrécissement aortique serré, insuffisance cardiaque non contrôlée, hypertension
artérielle non contrôlée, abord veineux difficile).
Déroulement de la CEC :
Les solutions de cardioplégie sont le plus souvent riches en potassium et froides (4 °C).
Le froid participe lui aussi à la cardio protection. Certaines équipes utilisent la cardioplégie
sanguine afin d’augmenter l’apport en oxygène au myocarde. La solution de cardioplégie peut
être administrée par voie antérograde (dans la racine de l’aorte) ou rétrograde (dans le sinus
33
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
Arrêt de la CEC :
La ventilation mécanique doit être reprise avant l’arrêt de la CEC. Après reprise de
l’activité électrique cardiaque (après cardioversion ou non) ou après électrostimulation, il faut
rechercher le niveau de remplissage optimal. Une fois que la pression artérielle est
normalisée et que la température centrale a dépassé 35 °C, on peut commencer le sevrage de
la CEC. Si l’état hémodynamique reste précaire en dépitd’un remplissage optimal, il faut
utiliser des agents inotropes qui sont choisis au cas par cas en fonction du patient et de la
pathologie. En cas d’échec, on peut avoir recours à une assistance circulatoire, le plus
souvent sous forme de contre pulsion aortique.
Après l’arrêt de la CEC, l’hémostase chirurgicale doit être soigneuse. On doit
antagoniser l’héparine, dose pour dose, par du sulfate de protamine. Selon le protocole utilisé,
une nouvelleinjection d’anti fibrinolytiques est utilisée pour prévenir le saignement
postopératoire.
34
Chapitre III : Les impératifs anesthésiques en chirurgie cardio-vasculaire
Conséquences de la CEC :
35
Chapitre IV
La conduire anesthésique
chez l’asthmatique en
chirurgie cardio-vasculaire
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
1- La période préopératoire :
Précisera :
La consultation d’anesthésie est l’un des moments clés de la prise en charge du patient
asthmatique adressé pour chirurgie cardiaque. Elle va permettre l’évaluation du risque, la
définition d’une stratégie péri opératoire et l’information du patient sur la conduite de
l’anesthésie, de la réanimation et des transfusions. Elle repose sur les données fournies par le
dossier cardiologique, l’interrogatoireet l’examen.
La préparation concerne surtout les patients porteurs des maladies sévères instables,
pour but de prévenir toute complication en per anesthésique qui mit en jeu le pronostic vital
comme :
o Arrêt de tabac.
o Kinésithérapie ++++
1.1.1-Interrogatoire :
36
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
En plus de l’examen classique, l’examen clinique va lui aussi se concentrer sur les
signes d’insuffisance cardiaque droite (œdème des membres inférieurs, hépatomégalie,
turgescence jugulaire) ou gauche (râles crépitants). La pression artérielle est vérifiée. Les
pouls sont palpés, en particulier le pouls radial en vue dela cathétérisation de l’artère radiale
pour la surveillance périeopératoire de la pression artérielle sanglante. En raison du terrain
(patient âgé, comorbidité respiratoire souvent associée), l’oxymétrie en air est vérifiéeafin
d’obtenir une valeur de référence.
Examen complémentaire:
37
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Examen biologiques:
Un écho doppler des troncs supra-aortiques est demandé s’il existe un souffle carotidien ou un
artériopathie. Un Doppler des artères iliaques peut lui aussi être demandé si on envisage le
recours à la contre-pulsion par ballonnet intraaortique.
Les explorations fonctionnelles respiratoires n’ont d’intérêt que si l’oxymétrie de pouls est
anormale. Dans le cas contraire, elles ne changent pas la prise en charge du patient.
Les râles sibilants ; distension thoracique a l’inspiration et mise en jeu des muscles
respiratoires accessoires.
38
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Une baisse de plus de 25 pour cent du DEP indique une forme sévère de
l’asthmeClassification de l’asthme GINA 2017
• EFR : examen permet également de tester le réversibilité/B2 mimétiques
Les digitaliques, sauf en cas de suspicion clinique de surdosage ou des taux sériques
suprathérapeutiques
En cas d’urgence, on doit antagoniser les anti vitamines K par de la vitamine K1 et administrer
39
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
L’aspirine est le plus souvent poursuivie durant la phase périe opératoire en raison de la faible
augmentation du saignement per opératoire et de la diminution du taux d’infarctus postopératoire, ceci
étant particulièrement vrai en cas de pontage aorto coronaire.
2/ LA PERIODE PER-OPERATOIRE :
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Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Si le patient présente une allergie aux latex : préparation de matérielle sans latex.
Lutter contre l’anxiété et la prévention des réactions spastiques per opératoire avec :
Les betas-2-mimétiques sont délivrés sous forme locale pour diminuer leurs effets
secondaires. Parfois, il convient d'adjoindre un anti cholinergique type bromure
d'inperation.
Les corticoïdes sous forme inhalée réduisent l'inflammation ils doivent être poursuivis
chez les patients déjà traiter 30 min avant l’induction Hydrocotisone ; 10-15mg/kg/j ;
Méthylprednisolone 40mg/6h.
La prédnisone 60mg/6h.
Lidocaine spray ; Banzodiazépine ; Théophylline ; Anti H2.
Voie d’abord.
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Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Il faut autant que possible préférer l'ALR chez l'asthmatique, elle présente de
nombreuxavantages comme :
42
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Mais elle peut en revanche déprimer les muscles respiratoires chez des patients dont la
fonction respiratoire est limitée car l'absence de narcose peut être source d'anxiété et
doncde bronchospasme.
L’anesthésie locorégional :
Bonne analgésie.
43
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Inconvénients :
Il n’est pas légitime d’opérer un asthmatique instable pour une chirurgie réglée sous
prétextequel ALR est possible.
Anesthésiques locaux :
o Elle peut être utilisée en intraveineuse en association avec le Salbutamol mais pas e,
chirurgie cardiovasculaire.
o Hors ses vertus bronchodilatatrices sont aussi retrouvées lors de son utilisation
locorégionale, qui est un argument supplémentaire peut préférer chez l'asthmatique ce
typed'anesthésie.
L’anesthésie inhalatrice :
Les halogènes sont utilisés soit pour bloquer les réflexes trachéaux à l'intubation
(induction au masque) soit pour réserver un bronchospasme préopératoire.
Ils agissent surtout par blocage vagal, ils ont aussi une action myorelaxante directe sur
la fibre musculaire bronchique mais ils n'inhibent que modérément l'histamino
libération.
Tous les halogènes diminuent le tonus bronchique à l'induction à un niveau identique
dèsqu'ils sont utilisés à des MAC >1.5.
Si les halogènes sont utilisés seuls pour l'induction, l'HALOTHANE et
SEVOFLURANE sont préférés car contrairement à I’ISOFLURANE ils ne sont pas
tussigènes.
- Les principaux agents : Fluothane , Enflurane, Isoflurane, Desflurane, , N2o.
Sevoflurane ; agent préféré en chirurgie cardiovasculaire.
44
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Anesthésie générales :
Inconvénients :
Analgésie suffisante.
Stabilité hémodynamique.
Barbiturique (thiopental)
45
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
THIOPENTAL:
Au total : cet agent n'est pas interdit chez l'asthmatique mais il doit être utilisé à fortesdoses à
l'induction pour bloquer la stimulation due à l'intubation
-Dose : 2-2.5mg/kg.
Kétamine :
- Emploi limité car effet dysleptique majeur, Utilisation délicate en cas de traitement
parthéophylline.
ETOMIDATE :
-Aux mêmes effets que le thiopental sur les résistances bronchiques post-intubation.
- Aucune étude clinique ne permet à ce jour de conclure à sa sécurité d'emploi chez
l'asthmatique.
46
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Les benzodiazépines :
Les curares peuvent provoquer un bronchospasme par histamino libération et par liaisonavecles
récepteurs M2 (analogie structurale).
47
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Curare : Vecuronium .
Analgésie : Sufentanil.
Entretien : Propofol, Sufentanil, Halogéné .
La ventilation contrôlée :
Chez les patients dont les résistances bronchiques sont augmentées, le temps expiratoire
sera prolongé :
Rapport inspiration/expiration = 03.
Fréquence respiratoire et volume courant sont petits pour éviter l'hyperventilation.
Pep physiologie
La ventilation contrôlée :
Chez les patients dont les résistances bronchiques sont augmentées, le temps expiratoire
sera prolongé :
Rapport inspiration/expiration = 03.
Fréquence respiratoire et volume courant sont petits pour éviter l'hyperventilation.
Pep physiologie.
48
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
La ventilation :
Le Bronchospasme :
Définition Vidal : c’est une contraction anormale des bronches (muscles lisses des
bronches distales) surtout brusque et involontaire entrainant une respiration difficile et
souvent sifflante et l’un des facteurs responsables de l’asthme.
Epidémiologie :70% lors de laryngoscopie, 25% lors de l’entretien, 06% lors de
l’extubation.
49
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Diagnostic éthologique :
Anesthésie légère.
Intubation œsophagienne.
Laryngospasme.
Prise en charge :
O2 pur.
Adrénaline : 0.1mg/kg.
50
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
2.9-Réveil et extubation :
L'extubation sur table peut être réalisée si aucun bronchospasme n'est survenu pendant
l'induction.
Dans le cas contraire, le malade est gardé en salle de réveil intubé sous morphiniques
pour faciliter la tolérance de la sonde une fois le patient réveillé, l'extubation est
réalisée éventuellement sous Lidocaïne intraveineuse pour prévenir un bronchospasme
post- extubation.
Il n’existe pas des recommandations concernant l’extubation du patient en dormi,
néanmoinsune extubation qu’a après récupération des réflexes de la toux.
Ration de base.
Thrombo-prophylaxie dans les 24h qui suit la chirurgie (si hémostase faite), bas de
contention et/ ou Héparine non fractionnée ou Héparine bas poids moléculaire.
51
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
Analgésie multimodale :
Paracétamol : 01g/6h.
Corticoïde.
Récidive de bronchospasme..
Sepsis de la paroi.
Embolie gazeuse..
Saignements.
Il reste la complication le plus redoutée car ces conséquences peuvent être dramatique :
52
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
L’extubation précoce.
Autres causes : infection des voies aériennes, présence d’une sonde gastrique, toux.
La prise en charge du bronchospasme post opératoire :
53
Chapitre IV : La conduite anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie cardio-vasculaire
L’algorithme de bronchospasme
54
PARTIE PRATIQUE
Partie pratique
2. Présentation méthodologie :
Le questionnaire : consiste à poser une série de questions (29) relatives aux indicateurs de
l’hypothèseIl s’agit de questionnaires à réponses fermée et ouvertes.
Cette méthode du questionnaire nous semble la plus appropriée pour mener à bien
notre projet derecherche.
Elle permet de diriger les questions à la recherche des réponses attendues.
Permettant aussi de recueillir des données et des informations précises sur la population
ciblée.
Notre étude s’est portée sur une population de (4) auxiliaires médicaux en anesthésie-
réanimation et (6) médecins réanimateurs au niveau ESH Maouche Mohamed Amokrane et
aussi au niveau CHU Mustapha bacha service chirurgie cardiaque ; et dans le nombre des
praticiennes sont (5) réanimateurs et (4) auxiliaires médicaux au niveau ESH Mohamed
Abdarahmani les castors ou le nombre des médecins
Réanimateurs de (6) et(5) auxiliaires médicaux. Ce personnel est le seul en mesure de
55
Partie pratique
pratiquer l'anesthésie aux malades. Il est responsable de leurs surveillances en période pré
opératoire jusqu'à la période post opératoire.
2.3 Echantillons :
Grade
L’ancienneté professionnelle.
L'âge
Sexe
ANTCD médicales.
Préparation du patient.
Examens effectués en préopératoire.
Les antécédents du patient médicaux et chirurgicaux.
ASA.
Type de chirurgie.
Utilisation des corticoïdes.
Préparation de le de la salle opératoire et la vérification de matériels par l’AMAR.
Choix de drogues.
L’hypnotique de choix.
Curare de choix.
Halogéné de choix.
La conduite à tenir au cour de la CEC
La fréquence de bronchospasme.
Moment de la survenue du bronchospasme.
La durée d’extubation.
L’approfondissement de l’anesthésie
La préparation afin d’éviter les complications
Conduite à tenir devant bronchospasme
Lieu d’extubation.
Le retard de réveil
56
Partie pratique
Sur fiche d'observation établie en fonction des données de la littérature (annexe 1)Le
traitement du texte et des tableaux a été réalisé grâce au logiciel Word 2016.
Analyse statistique : logiciel épi info 2012 version 3.5.4
Les graphiques ont été réalisés grâce au logiciel Excel 2016.Les données sont
exprimées en pourcentage et en moyenne.
Pour rechercher les facteurs de risque associés une analyse uni variée a été réalisée. Le seuil de
signification a été fixé à 0,05 (p<5).
Question 01 :
Total 30 100 %
Mar
AMAR
43%
57%
57
Partie pratique
Question 02 :
Quel est votre ancienneté professionnelle ?
Tableau 2 : L’ancienneté professionnelle
Ancienneté Effectif Pourcentage
< 5 ans 9 30%
5 à 10 ans 14 46.66%
Plus de 10 ans 7 23.33 %
Total 30 100%
43% 32%
<5
25% 5-10ans
Plus 10ans
58
Partie pratique
23%
Question 04 : quel est le sexe plus atteint d’asthme opéré en chirurgie cardiaque ?
Tableau 04 : le sexe plus atteint d’asthme opéré en chirurgie cardiovasculaire.
Féminin 12 40%
Masculin 18 60%
Total 30 100 %
F M
Figure 8 : répartition des patients
40% selon le sexe
60%
59
Partie pratique
Question 05 :
Quel sont les antécédents médicaux des patients asthmatiques opérés de chirurgie
cardiovasculaire ?
Tableau 05 : les antécédents médicaux des patients asthmatiques opérés de chirurgie
cardiovasculaire
Les ATCD Effectif Pourcentage
Insuffisance cardiaque 9 30 %
Diabète 4 13.33%
HTA 2 6.66%
Total 30 100%
Figure 11: Répartition des patients selon les antécédents médicaux des patients
asthmatique en vue dechirurgie cardiovasculaire
Interprétation :
selon les résultats on a constaté que la majorité 30% des patients asthmatiques opérés
en chirurgie cardiaques ont des antécédents d’insuffisance cardiaque puis 20% ont des
broncho pneumopathie et des patients représente 16.33% asthme sévère et les patients avec
l’AVC ischémique et des patients diabétiques représentent 13.33% , et HTA représente
seulement 6.66% des antécédents.
60
Partie pratique
Oui Non
37%
63%
Interprétation :
Bronchodilatateurs 10 33.33 %
Bronchodilatateurs+corticoïdes 15 50%
Total 30 100%
61
Partie pratique
Bronchodilatateur
Bronchodilatateur+Corticoides
Kinéstherapie
16% 34%
50%
Question 8:
Parmi les examens effectués quel est essentiel chez un patient asthmatique avant entré au bloc
opératoire?
Tableau 08 : les examens essentiels effectué chez un patient asthmatique avant entré au bloc
opératoire
Les examens Effectif Pourcentage
TLX 15 50%
ECG 7 23.33%
Echographie 6 20%
EFR 2 6.66%
Total 30 100%
62
Partie pratique
7
%
20%
50%
23%
Figure 14: Répartition des patients asthmatique selon les exams essentiels pour une
intervention enchirurgie cardiovasculaire
Interprétation :
D’après les réponses ont constaté que 50% de personnel disent que l’exams essentiel
pour une chirurgie cardiovasculaire le télethorax et 30% ECG et 10% échographie thoracique
et 2% disent EFR donc pour les patients asthmatique l’exams qui s’intéresse pour la prise en
charge c’est EFR.
Question 09: Quelle est la classification ASA des patients asthmatiques en chirurgie
cardiovasculaire ?
63
Partie pratique
10%
40% 13%
37%
Interprétation:
Selon les résultats de la classification des ASA des patients asthmatiques on a 40% de
personnel disent que les patients asthmatiques en de chirurgie cardiaque et vasculaire sont des
ASA4 de 37% sont des patients ASA3et 13% de ASA2 et de 10 % ASA1 donc les patients
asthmatiques dans les interventions cardiovasculaire sont classe dans le grade de ASA4 et
ASA3.
Question 10: Quel sont les types de chirurgie effectuées pour les patientsasthmatiques en
chirurgie cardiovasculaire?
64
Partie pratique
10%
17%
23%
7%
Oui
0%
Non
100%
65
Partie pratique
Interprétation:
D’après les réponses figurant au tableau la totalité de 100% d’ AMAR ET MAR ont
répondu qu’ilsutilisaient tsystématiquement des corticoïdes en prémédication.
Question 12 : Faite vous une préparation de la salle opératoire et une vérification de matériels
anesthésiques avant le rentré de malade ?
Tableau 12 : la préparation de la salle opératoire et la vérification de matériels anesthésiques
avant lerentré de malade par l’AMAR.
Les réponses Effectif Pourcentage
Oui 30 100%
Non 00 00%
Total 30 100%
Oui Non
0%
100%
66
Partie pratique
Oui Non
16%
84%
Figure 19 : répartition des AMAR et les MAR selon le choix des drogues des patients
asthmatiques
Interprétation :
La totalité de personnels de 83% disent qu’ils font le choix des drogues au cours de
l’anesthésie d’un patient asthmatique en chirurgie cardiovasculaire par contre 17% ne font pas
le choix des drogues ce qui témoigne donc de leurs connaissances des recommandations et
modalités de l’anesthésie du patient asthmatique par des drogues préconisées dans la chirurgie
cardiovasculaire.
Question 14 : D’après votre expérience quel est le meilleur agent hypnotique recommandé
chez unpatient asthmatique ?
Tableau 14 : le meilleur agent hypnotique recommandé chez un patient asthmatique en
chirurgie cardiovasclaire.
Les hypnotiques Effectif Pourcentag
Kétamine 15 50%
Propofol 8 26.66%
Etomidate 6 20%
Penthotal 1 3.33%
Total 30 100%
67
Partie pratique
3%
20%
50%
27%
Question 15 : D’après vous quel est le meilleur curare pour l’asthmatique en chirurgie
cardiovasculaire ?
Tableau 15 : le meilleur curare pour l’asthmatique en chirurgie cardiovasculaire.
Les réponses Effectif Pourcentage
Vecuronium 8 26.66%
Rocuronnum 15 50%
Atracurium 7 23.33%
Total 50 100%
23% 27%
50%
68
Partie pratique
Interprétation :
La majorité du personnel soit 50% ont répondu que l’Esmiron (Rocuronnum) est le
meilleur curare pour un patient asthmatique en chirurgie cardiovasculaire, par contre 27%
optent pour le Norcuron et le considère comme meilleur curare et 23.33 que vecuronium le
meilleur curare. Ces résultats témoignent du non uniformisation de protocoles d’anesthésie et
chacun travaille selon les habitudes de l’équipe avec laquelle elle collabore
Sevoflurane 50 100%
Isoflurane 0 0%
Enflurane 0 0%
Desflurane 0 0%
Halothane 0 0%
Total 50 100%
sefuflorane
Isoflurane
100% Enflurane
Desflurane
Interprétation :
D’après les réponses obtenues, la totalité de personnels considèrent que le
sévoflurane est le meilleur halogéné chez L’asthmatique, donc la majorité ont une préférence
pour le sevoflurane comme meilleur halogéné pour un malade asthmatique et plus utilisable
en Algérie.
69
Partie pratique
Total 30 100%
Per op Post op
50%
50%
Approfondissement de 19 63.33%
l’anesthésie
Analgésie multimodale 7 23.33%
Evité la douleur 4 13.33%
Total 30 100%
70
Partie pratique
13%
Aprofondissement de
l'anesthesie
23%
Analgesie moltimodale
64%
Eviter la douleur
37%
63%
71
Partie pratique
Interprétation :
Les réponses recueillies montrent que dans 63% des cas, le bronchospasme survient au
moment de l’intubation et/ou l’extubation, par contre 37% au moment de l’induction et
l’entretient, donc le moment le plus délicat de la survenue du bronchospasme selon la majorité
des AMAR est lors de l’intubation et l’extubation
Question 20: La cause de cette complication à votre avis est-elle liée à l’anesthésie légère?
Tableau 20 : La cause de cette complication est liée à l’anesthésie légère
Oui Non
30%
70%
Interprétation:
Selon les réponses obtenues, L’anesthésie légère serait la cause du bronchospasme
pour 70% des AMAR questionnés par contre 30% disent n’est pas la cause donc la nécessité de
respecter les doses à introduire chez unpatient asthmatique
72
Partie pratique
Oui Non
8%
92%
Interprétation :
Les réponses recueillies montrent que 92% des patients asthmatiques prennent plus de
temps dans l’extubation par rapport aux patients sans antécédents avec 8%.l’extubation est liée
a la pathologie de l’asthme.
Oui Non
30%
70%
73
Partie pratique
Interprétation :
70% de personnels ont répondu que l’approfondissement de l’anesthésie peut éviter le
bronchospasme, par contre 30% ont répondu que l’approfondissement de l’anesthésie
n’évitera pas le bronchospasme. Donc pour la plupart des interrogés, l’approfondissement de
l’anesthésie constitue le moyen préventif privilégié utilisé pour éviter la survenue de
bronchospasmes en per opératoire.
Question 23 : Une bonne préparation pré opératoire du patient asthmatique peut-elle a votre
avisÉviter les complications post opératoire
Tableau 23: la bonne préparation pré opératoire du patient asthmatique en chirurgie
cardiovasculaire Peut éviter les complications post opératoire?
Les réponses Effectif Pourcentage
OUI 30 100%
NON 0 0%
Autres 0 0%
Total 30 100%
0% Oui Non
100%
Figure 29: répartition des patients asthmatiques selon la bonne préparation pré
opératoire
Interprétation :
La totalité des A.M.A.R ont répondu qu’une bonne préparation préopératoire de
l’asthmatique évite le bronchospasme, donc la bonne préparation pré opératoire est un autre aspect de
la procédure préventive à enclencher par l’AMAR pout pallié à toute éventualité de survenue des
complications en per opératoire concernant les malades présentant cette pathologie.
74
Partie pratique
Question 24: Dans le cas où l’asthmatique complique par un bronchospasme quelle est votre
conduite à tenir immédiate ?
Tableau 24 : la conduite à tenir immédiate
Les réponses Effectif Pourcentage
Beta-2-mimétique 10 33.33%
Ventilation manuelle 7 23.33%
Arrêt de l’acte chirurgicale 4 13.33%
Autres : approfondir l’anesthésie 9 30%
Total 30 100%
Beta-2-mimétique
Ventilation manuelle
Arrêt de l’acte chirurgicale
Autres : approfondir de l'anesthesie
30% 34%
13%
23%
Figure 30 : répartition des patients selon la conduite à tenir immédiate dans le cas où
l’asthmatique complique par un bronchospasme
Interprétation :
Devant un bronchospasme : près de 34% de personnels disent que l’approfondissent
l’anesthésie, 24% utilisent les béta-2-mimétiques, 22 % basculent à la ventilation manuelle et
16% des questionnés arrêtent toute stimulation chirurgicale
Donc devant un bronchospasme, la conduite anesthésique diffère d’un AMAR à un
autre.
75
Partie pratique
33%
67%
87%
76
Partie pratique
Interprétation :
La totalité des AMAR de 86.66% ont répondu qu’en cas de retard de réveil, il n’est pas
nécessaire de recourir à l’utilisation des antidotes pour le patient asthmatique par contre 13.33% disent
on peut utiliser des antidotes Devant cette situation le malade reste sous surveillance jusqu’à la
récupération des réflexes de déglutition et de la toux sans stimulation bien entendu par les antidotes
qui peuvent être à l’origine de survenue des complications tel le bronchospasme post opératoire.
Oui Non
23%
77%
77
Partie pratique
Oui Non
0%
100%
Figure 34 : répartition des personnels selon l’utilisation des protocoles affichés au bloc
opératoirepour la conduite à tenir anesthésique chez l’asthmatique en chirurgie
cardiovasculaire.
Interprétation :
Tous les AMAR et les MAR affirment n’utiliser aucun protocole standard pour la
conduite à tenir et bonne prise en charge anesthésique et réanimation Car ces protocoles en
réalité sur le terrain ne sont pas affichés pour être mis en œuvre en cas de survenue de
complications. Pour notre part, il est vivement recommandé leurs affichages dans le service
et exécutoire au même temps par les concernés.
78
Partie pratique
Question 29 : Est-ce que vous avais suivi des formations complémentaires pendant votre
année de travail au bloc opératoire concernant la CAT anesthésique devant un malade
asthmatique ?
Tableau 29 : le suivi des formations complémentaires pendant les années de travail au bloc
opératoireconcernant la CAT anesthésique devant un malade asthmatique
Oui 2 6.66%
Non 28 93.33%
Total 30 100%
Oui Non 7%
93%
Interprétation :
93.33% des AMAR et MAR, déclarent ne jamais suivi de formation complémentaire
durant les années de travail au bloc opératoire, par contre 6.66% des AMAR et MAR disent
avoir reçu une formation complémentaire durant leurs activités. A la lumière de ces réponses
nous nous posons la question du comment l’AMAR peut-il faire face à la survenue des
complications s’il n’est pas au diapason des nouvelles recommandations concernant la prise
en charge des patients asthmatiques ?
De ce constat, Il est donc plus que la bonne préparation préopératoire et le suivie de
patient asthmatique et aussi la préparation de la salle et de matériel, réchauffement du
malade, ainsi que l’approfondissement de l’anesthésie peuvent évitera éventuelles
complication (le bronchospasme) et pour une bonne prise en charge de l’asthmatique.
79
Partie pratique
2.6 Synthés :
Après cette analyse qu’elle été faite auprès des AMAR du bloc opératoire, on a
confirmé notre hypothèse de recherche que ; Une stratégie anesthésique comprenant
une bonne préparation pré opératoire, une anesthésie profonde et une bonne
surveillance en per et post opératoire prévient la survenue d’éventuelles complications
présentées chez un malade asthmatique adulte par rapport le risque lié a la chirurgie et
la pathologie.
3. SUGGESTIONS :
Faut rendre obligatoire la demande de l'EFR lors de l'examen des asthmatiques.
La prémédication doit être réalisée 3 jours avant l'acte anesthésique.
L'utilisation des bronchodilatateurs au bloc opératoire est recommandée.
Les A.M.A.R tous doivent respecter les doses des drogues utilisées lors de l'anesthésie
d’unpatient asthmatique.
La disponibilité de matériel dépourvu au latex au niveau de bloc opératoire.
L’élaboration des protocoles standards concernant l’anesthésie des asthmatiques et la
gestionde bronchospasmes affiché au sein des blocs opératoires.
La SSPI doit être proche à la salle opératoire et muni d’un matériel adapté pour la
surveillancedes asthmatiques.
L’AMAR doit assistez dans la surveillance post opératoire des malades asthmatiques
au niveau de SSPI.
Programmation des journées de formation pour les AMAR concernant la prise en
charge des asthmatiques pré, per et post opératoire pour éviter éventuelles
complications.
Les AMAR doivent être informes par la programmation des journées de formation de
toute nouveauté et de toutes nouvelles recommandations et traitement et prémédication
de l’asthmatique afin d’éviter la survenue des bronchospasmes.
Les AMAR doivent être à jours concernant les méthodes anesthésiques prophylactique
pour unebonne prise en charge.
Les AMAR doivent être au courant pour la programmation des interventions
chirurgicales des patients asthmatiques au moins une journée à l’avance sauf l’urgence
nécessaire de généraliser cette formation à l’ensemble des AMAR.
80
Partie pratique
4. ANALYSE GNERALE :
Selon les résultats obtenus de notre enquête auprès des auxiliaires médicaux en
anesthésie réanimation et les médecins réanimateurs on trouve que :
La préparation des asthmatiques se fait par bronchodilatateur seul ou avec des corticoïdes,
L’EFR ni pas toujours demander et la Kénisitherapie elle n’a pas une place dans cette
préparation.
La prémédication a base des corticoïdes faite d’une façon systématique avant l’intervention.
Pour l’asthmatique, l’induction se faite par un choix des drogues adapté a cette pathologie :
soit par propofol, soit par la ketamine comme un agent hypnotique, l’esmiron comme curare et
le sevoflurane comme halogéné préférable mais pour la chimiurgie cardiovasculaire la
ketamine est contre indiqué.
Le moment le plus douteux chez l’asthmatique est l’intubation et l’extubation et risque lie a la
chirurgie cardiovasculaire l’incision thoracique par la survenue éventuelles complications, et
cettedernière et due à l’anesthésie légère dans la majorité de temps.
Dans la chirurgie cardiaque au cour de la circulation extra corporelle la conduite a tenir plus
utilisable c’est l’approfondissement de l’anesthésie pour éviter éventuelles complications lie a
la CEC.
En cas de retard de réveil, une bonne surveillance de malade et pas d’utilisation des antidotes
surtoutdans la chirurgie cardiovasculaire, le réveil doit être doux et sans stimulation.
81
Conclusion
Conclusion
Parmi les curares, on préfèrera ceux qui sont dépourvus d'effet histaminolibérateur..
Ses vertus bronchodilatatrices sont alors mises à profit.
Une stratégie anesthésique comprenant une bonne préparation pré opératoire, une
anesthésie profonde et une bonne surveillance en per et post opératoire prévient la survenue
d’éventuelles complications présentées chez un malade asthmatique adulte par rapport au
risque lié à la chirurgie et la pathologie.
82
Conclusion
Bibliographie
83
Bibliographie
11. SFAR, 1994, recommandation concernant la surveillance des patients en cours d’anesthésie.
12. ASKRI abd el aziz – BAHRI yacine – BOUJARD catherine – BENAYED mehdi,
Département d’anesthésie – Réanimation, Edition MAPAR 2022.
13. Lerman J. – Surgicaland patient factors involved in postperctive nausea and vomotong. Br.
J.Anaesth, 1992,69 : 24S-32S.
83
Annexes
Annexes
Questionnaire
Amar
Mar
< 5 ans
5 à 10 ans
> 10 ans
18-30 ans
31-45 ans
45-60 ans
60 ans
QUESTION 04 : De sexe ?
Masculin …………………………………………
Féminin…………………………………………
84
Annexes
QUESTION 05 : Quel sont les antécédent médicales des patients asthmatique en vue de chirurgie
cardiovasculaire?
Cardiomyopathie
AVC ischémique
Asthme sèvre
Insuffisance cardiaque
Autres …………………………………………….
Aucun
QUESTION 06: Vous intéressez à la préparation du patient asthmatique en période prés opératoire ?
Oui…………………………………………………………………
Non ………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………….
85
Annexes
QUESTION 8 : Selon les examens effectués en prés opératoire quel sont les exams essentiels pour un
patient asthmatique pour une intervention en chirurgie cardiovasculaire?
………………………………………………………………………………………………………….
……………………………….……………………………………………………………………………
……………………………………………………………..
QUESTION 09: Selon la classification ASA ou se situent généralement les patients asthmatiques en
chirurgie cardiovasculaire ?
……………………………………………………………………………………………………….
QUESTION 10 : Quel sont les types de chirurgie présente par les patients asthmatique ?
……………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………….
Oui …………………………………………………………….
Non ………………………………………………………….
QUESTION 12 : Faite vous une vérification de la température régnant au niveau de la salle opératoire
avant la rentre de malade ?
Oui ……………………………………………………
Non……………………………………………………
QUESTION 13: Est-que au cours de l’anesthésie d’un asthmatique en chirurgie cardiovasculaire vous
fait un choix des drogues ?
Oui ………………………………………………………………
Non ……………………………………………………………
QUESTION 14 : D’ après votre expérience quel est le meilleur agent hypnotique recommandé chez un
patient asthmatique ?
86
Annexes
Kétamine ………………………………………………………
Penthotal 2.5%...........................................................................
Propofol………………………………………………………
Autre ………………………………………………………………………………………
QUESTION 15 : D’après vous Quel est le meilleur curare pour l asthmatique en chirurgie
cardiovasculaire?
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
Sevoflurane ……………………………………………………..
Isoflurane………………………………………………………..
Enflurane ………………………………………………………
Desflurane ………………………………………………………
Halothane ……………………………………………………….
Per opératoire……………………………………………………
Post opératoire…………………………………………………
87
Annexes
L’inductionet l’entretient………………………………………………
légère?Oui ……………………………………………………………………
Non ……………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
…..Pourquoi ? …………………………………………………………………………
Oui ……………………………………………………………………
Non ……………………………………………………………………
Oui ……………………………………………………………………
Non ……………………………………………………………………
Autre ………………………………………………………………………………………………..
88
Annexes
Approfondir l’anesthésie……………………………………………………..
Beta-2-mimétique …………………………………………………………..
Ventilation manuelle………………………………………………………
Eviter la douleur……………………………………………………………..
Autres ……………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………….
QUESTION 25 :
QUESTION 26 :
Oui ……………………………………………………………………….
Non………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………
Oui…………………………………………………………………………………
Non………………………………………………………………………………..
89
Annexe
Oui………………………………………………………………...
Non………………………………………………………………..
QUESTION 29 : Est-ce que vous avais suivi des formations complémentaires pendant
votre année de travailau bloc opératoire concernant la CAT anesthésique devant un
malade asthmatique ?
Oui…………………………………………………………………. ……………………….
Non…………………………………………………................................................................
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