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Sommaire

Liste des figures .............................................................................................................................i


Liste des tableaux ..........................................................................................................................i
Introduction ...................................................................................................................................... 1
I. Notions sur la vitesse de corrosion ........................................................................................... 1
II. Méthode de TAFEL................................................................................................................... 2
III. Tracé de la courbe de polarisation ......................................................................................... 6
IV. Facteurs influençant la vitesse de corrosion .......................................................................... 9
A) Effet de la température ............................................................................................................ 9
B) Effet de l’acidité ...................................................................................................................... 9
V. Conclusion ................................................................................................................................ 9
Bibliographie .............................................................................................................................. 10

Liste des figures


Figure 1 : Densités de courants anodique et cathodique (en valeur absolue) et droites de TAFEL
d’une réaction d’électrode (échelle semi-logarithmique) [2] ........................................................... 4
Figure 2 : Représentation schématique d'un système de corrosion (échelle semilogarithmique) [2]5
Figure 3 : Représentation schématique de courbe de polarisation [3].............................................. 7
Figure 4 : Représentation d’un potensiostat. E : potentiel, I : courant, ER : électrode de référence,
ET : électrode de travail, CE : contre-électrode [2] ......................................................................... 7

Liste des tableaux


Tableau 1 : Tableau d'équivalences pour la conversion des unités de la vitesse de corrosion ......... 1
Tableau 2 : Niveaux de corrosion en fonction des vitesses de corrosion ......................................... 8

i
Introduction
Les matériaux constituent la ressource utilisée pour confectionner tous les objets d’utilités
diverses qui facilitent la vie de l’homme. La qualité de ces objets se dégrade au fil du temps en
fonction de plusieurs phénomènes auxquels ils ont exposé dont la corrosion. La corrosion, ce
processus insidieux qui ronge silencieusement les métaux, est un phénomène omniprésent dans
notre environnement. Cependant, ce qui rend la corrosion encore plus fascinante, c’est sa
vitesse, un facteur déterminant qui influe directement sur la durabilité des matériaux métalliques
qui nous entourent. Au cœur de ce développement, nous plongerons dans le monde complexe de
la vitesse de corrosion, en explorant les divers facteurs qui l’influencent et en découvrant les
méthodes utilisées pour la mesurer et la contrôler. Comprendre la vitesse de corrosion est
essentiel non seulement pour préserver la fonctionnalité et la sécurité de structures et
d’équipements, mais aussi pour préserver les ressources et les coûts liés à la maintenance.

I. Notions sur la vitesse de corrosion


Il existe trois façons d’exprimer la vitesse de corrosion : en perte de masse (mg.dm-2.j-1), en perte
d’épaisseur (mm.an-1) et en densité de courant (μA.cm-2) [1]. Les mesures des pertes en masse et
en épaisseur sont les méthodes les plus fiables pour mesurer la corrosivité d’un environnement,
mais ils prennent trop de temps. On va présenter dans cette partie une méthode de mesure de
vitesse de corrosion par la mesure de densité de courant de corrosion.

Tableau 1 : Tableau d'équivalences pour la conversion des unités de la vitesse de corrosion

mg.dm-2.j-1 mm.an-1 μA.cm-2

mg.dm-2.j-1 1 3,65.10-2 / ρ 11,2.n / M

mm.an-1 27,4.ρ 1 306.n.ρ / M

μA.cm-2 8,96.10-2.M / n 3,27.10-3.M / n.ρ 1

Où : ρ = masse volumique en g.cm-3, M = masse molaire en g / mol et n = nombre d’électrons

La mesure d’une densité de courant de corrosion est plus rapide mais, contrairement aux pertes
de masse ou d’épaisseurs réalisées in situ, étant réalisée au laboratoire, elle n’est pas

1
représentative des conditions réelles. Elle permettra uniquement de comparer des comportements
de différents matériaux dans un même milieu ou d’évaluer la tenue d’un matériau dans différents
milieux. D’après la loi de Faraday, la vitesse de corrosion ne dépend pas du potentiel entre les
électrodes, mais plutôt du courant de corrosion. En générale, le mécanisme de corrosion se
compose de deux étapes :
o Transport : Apport à l’électrode des espèces électro-actives
o Activation : Échange électrique à la surface de l’électrode.
La vitesse de l’étape la plus lente impose la cinétique du processus de corrosion, et on l’appelle
donc l’étape cinétiquement limitant. D’un point de vue cinétique, l’équilibre correspond à
l’égalité des vitesses des réactions d’oxydation et de réduction qui ont lieu simultanément à la
surface du métal, respectivement sur les sites anodiques et cathodiques.

II. Méthode de TAFEL


La vitesse d'une réaction chimique peut être définie comme le nombre de moles d'atomes
réagissant par unité de temps et de surface d'électrode. Dans le cas des réactions
électrochimiques, qui mettent en jeu un transfert de charges, la vitesse de réaction en termes
d'équivalent de courant est exprimée par la formule 1 :
𝑗 = 𝑧. 𝐹. 𝑣 (1)
- j : Densité de courant de transfert de charges (A.m-2) et z : Valence du métal,

- F : Constante de Faraday (96500 C.mol-1) et v : Vitesse de réaction (mol.s-1.m-2).

Dans le cas d’une réaction d'oxydo-réduction représentative de la dissolution d'un métal :

𝑀 𝑀 𝑧+ + 𝑧 𝑒 − (2)
- 𝑣𝑎 : Vitesse de réaction anodique et 𝑣𝑐 : Vitesse de réaction cathodique.
A ces réactions correspondent les densités de courant anodique et cathodique, j a et jc respectivement.
La vitesse v de la réaction électrochimique est donnée par (𝑣 = 𝑣𝑎 – 𝑣𝑐 ) ou encore, en termes de
densité de courant (𝑗 = 𝑗𝑎 – 𝑗𝑐 ). Lorsque la réaction d'oxydo-réduction est à l'équilibre, la densité
de courant global j (ou la vitesse globale v) est nulle. Cela ne signifie pas "qu'il ne se passe rien"
mais seulement qu'il y a égalité des réactions partielles anodique (oxydation) et cathodique

2
(réduction), soit |𝑣𝑎 | = |𝑣𝑐 | 𝑜𝑢 |𝑗𝑎 | = |𝑗𝑐 | = |𝑗0 | (𝑗0 est la densité de courant d'échange de la
réaction d'électrode à l'équilibre). Par définition, le potentiel E est alors égal au potentiel réversible
𝐸0 de l'électrode par la relation de NERNST.
Pour une solution diluée, on peut considérer l’activité de l’ion métallique en solution égale à sa
concentration (𝑎𝑀 𝑧+ = [𝑀 𝑧+ ]) et l’activité du métal égale à 1, dans ce cas l’équation de
NERNST s’écrit :

𝑅𝑇
𝐸 = 𝐸0 + ln[𝑀 𝑧+ ] (3)
𝑧𝐹

Hors d’équilibre (E ≠ E0), les cinétiques des réactions anodique et cathodique ne sont plus
égales, car l’écart à l’équilibre modifie de façon différente chacune de leurs énergies d’activation
(ΔG0*). Une surtension anodique (η = E – E0 > 0) diminue l’énergie d’activation de la réaction
anodique et augmente celle de la réaction cathodique, ce qui a pour conséquence un courant
résultant positif. A l’opposé, une surtension cathodique (η = E – E0 < 0) induit un courant
résultant négatif. Dans ces conditions, la densité du courant total de réaction est donnée par
l’équation générale de BUTLER-VOLMER (Eq.4) :

𝛼𝑛𝐹 −(1−𝛼)𝑛𝐹
𝑗 = 𝑗𝑎 + 𝑗𝑐 = 𝑗0 {exp [ 𝑅𝑇 (𝐸 − 𝐸0 )] − exp [ (𝐸 − 𝐸0 )]} (4)
𝑅𝑇

Où α est appelé coefficient de transfert de charge.


Pour une surtension suffisamment élevée (η = E – 𝐸0 ), l'une ou l'autre des réactions anodique et
cathodique de la relation (Eq.4) devient rapidement négligeable.
- Dans le cas d'une surtension anodique (E >> 𝐸0 ) :
𝛼𝑛𝐹
𝑙𝑜𝑔10 |𝑗| = 𝑙𝑜𝑔10|𝑗𝑎 | = 2.3𝑅𝑇 (𝐸 − 𝐸0 ) + 𝑙𝑜𝑔10 (𝑗0 ) (5)

- Dans le cas d’une surtension cathodique (E << E0) :


−(1−𝛼)𝑛𝐹
𝑙𝑜𝑔10 |𝑗| = 𝑙𝑜𝑔10|𝑗𝑐 | = (𝐸 − 𝐸0 ) + 𝑙𝑜𝑔10 (𝑗0 ) (6)
2.3𝑅𝑇

Les relations (Eq. 5) et (Eq. 6) sont les droites de TAFEL anodique et cathodique respectivement.
Ces équations décrivent les limites anodique et cathodique de l'équation générale de BUTLER-
VOLMER (Eq. 4). La représentation de log10 |j| en fonction de E est couramment utilisée pour la
détermination des paramètres cinétiques j0, βa et βc, avec :

3
2.3𝑅𝑇
𝛽𝑎 = (7)
𝛼𝑛𝐹

2.3𝑅𝑇
𝛽𝑐 = (8)
(1 − 𝛼)𝑛𝐹

L'intersection des droites de TAFEL qui correspond à (|𝑗𝑎 | = |𝑗𝑐 | = |𝑗0 |) et à des surtensions
nulles (E = 𝐸0 ) permet en effet, sur une représentation de ce type, une détermination graphique
de la valeur de la densité de courant d'échange à l'équilibre. Le type de diagramme ainsi obtenu
est schématisé à la Figure 1. Les domaines de potentiels pour lesquels la courbe rejoint les droites
de TAFEL sont les domaines de TAFEL anodique et cathodique.

Figure 1 : Densités de courants anodique et cathodique (en valeur absolue) et droites de TAFEL
d’une réaction d’électrode (échelle semi-logarithmique) [2]
Un système de corrosion est en fait constitué en général par deux réactions électrochimiques
couplées correspondant l'une à l'oxydation du métal (Eq. 9) et l'autre à la réduction de l'oxydant
présent dans la solution (Eq. 10) (dans notre cas l’oxydant considéré en milieu alcalin et aéré est
l’oxygène) :

4
𝑀 → 𝑀 𝑧+ + 𝑧𝑒 − (9)
𝑂2 + 2𝐻2 𝑂 + 2𝑒 − → 4𝑂𝐻 − (10)
Dans ce cas, la courbe obtenue prend le nom de courbe de polarisation. Cette courbe (en traits
pleins sur la Figure 2) résulte de la somme de la courbe anodique du réducteur et de la courbe
cathodique de l'oxydant. De plus, le potentiel métal/solution prend une valeur comprise entre les
potentiels d’équilibre Erev (réducteur) et Erev (oxydant) qui correspond à des vitesses de réaction
égales et opposées des deux réactions (Eq. 9) et (Eq. 10).
Ce potentiel qui n’est pas un potentiel d’équilibre thermodynamique, est appelé potentiel mixte
ou potentiel de corrosion.

Figure 2 : Représentation schématique d'un système de corrosion (échelle semilogarithmique)


[2]
L’analyse des courbes de polarisation stationnaires par la méthode des droites de TAFEL (Figure
2) permet d’estimer la vitesse de corrosion du système étudié.

Cette méthode est basée sur les hypothèses simplificatrices suivantes :

- La cinétique de chacune des deux réactions (anodique et cathodique) est contrôlée par le
transfert de charge de l’étape de réaction la plus lente, dans tout le domaine de potentiel
exploré,

5
- La corrosion est homogène et les aires des zones anodiques et cathodiques sont constantes en
fonction du potentiel,
- Les réactions ont lieu en une seule étape et sans phénomène d’adsorption.

Si par une source de courant extérieure, on fait varier le potentiel métal/solution, on dit que l’on
polarise l’électrode mixte, et on obtient une variation du courant total I. Le courant résultant est
la somme des courants anodique et cathodique. Dans ce cas la relation Intensité- Potentiel
(Équation de BUTLER-VOLMER) s’écrit (Eq. 11) :
2.3 −2.3
𝐼 = 𝐼𝑎 + 𝐼𝑐 = 𝐼𝑐𝑜𝑟𝑟 [exp 𝛽 (𝐸 − 𝐸𝑟𝑒𝑣 ) − exp (𝐸 − 𝐸𝑟𝑒𝑣 )] (11)
𝑎 𝛽𝑐

- 𝐼𝑐𝑜𝑟𝑟 et 𝐸𝑐𝑜𝑟𝑟 sont respectivement le courant et le potentiel de corrosion,

- 𝛽𝑎 et 𝛽𝑐 (en mV/décade) sont respectivement issues des pentes des droites de TAFEL anodique
(métal) et cathodique (oxydant).

III. Tracé de la courbe de polarisation


La relation de Butler – Volmer a été établie en se basant sur la réaction d’oxydo-réduction
représentative de la corrosion d’un métal. En réalité, comme nous l’avons rappelé dans un
paragraphe précèdent, la corrosion provient du couplage électrique de deux électrodes réversibles
et est constituée par deux réactions électrochimiques couplées correspondant à l’oxydation du
métal à l’anode et la réduction de l’oxydant présent dans la solution. La courbe obtenue est
appelée courbe de polarisation et résulte de la somme de la courbe anodique du réducteur et de la
courbe cathodique de l’oxydant. La densité de courant mesurée en fonction du potentiel donne une
courbe de polarisation qui renseigne sur la cinétique des réactions d’électrode en jeu. Selon la
méthode employée, contrôle du potentiel ou contrôle du courant, on obtient respectivement les
courbes de polarisation potentiostatique I = f(E) ou galvanostatique E = f (I). (Figure 3) [11]

6
Figure 3 : Représentation schématique de courbe de polarisation [3]
Elle permet de connaitre la valeur de la densité de courant de corrosion Jcor et du potentiel
de corrosion Ecor qui est défini comme le potentiel au repos (ou réversible) de l’électrode
mixte lorsque le circuit est fermé.
Contrairement au potentiel à circuit ouvert qui est une quantité thermodynamique, le
potentiel de corrosion est une quantité cinétique dont la valeur dépend des paramètres qui
dictent la rapidité des réactions anodiques et cathodiques présentes.
La première méthode (potentiostatique) pour le tracé de la courbe est la plus utilisée. La
détermination se fait à l’aide d’un potensiostat.

Figure 4 : Représentation d’un potensiostat. E : potentiel, I : courant, ER : électrode de


référence, ET : électrode de travail, CE : contre-électrode [2]

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Il s’agit d’un appareil qui permet, par l’intermédiaire d’un amplificateur, de fixer et de
maintenir constante la valeur de la différence de potentiel E entre une électrode de travail
(ET) et une électrode de référence (ER).
Après un certain temps, on mesure la valeur du courant I qui s’établit dans le circuit entre
l’électrode de travail et une contre-électrode (CE). En ce qui concerne la mesure
expérimentale de la courbe de polarisation, le principe de la mesure consiste à faire varier
le potentiel par rapport au potentiel de corrosion de l’armature sur un intervalle assez large
(aux alentours de ± 250mV). En exprimant le logarithme de la densité du courant en
fonction du potentiel, on obtient les courbes de Tafel qui permettent de déterminer le
potentiel de corrosion, le courant de corrosion ainsi que les coefficients de Tafel.
L’inconvénient de cette méthode est qu’elle mobilise des courants de corrosion important et
aboutit par conséquent a une altération du métal étudie.
En général, les systèmes de polarisation sont contrôlés par les équations de Tafel. Toutefois, il
peut y avoir des complications telles que :
- Les systèmes contrôlent par la diffusion ou la vitesse à laquelle les réactifs arrivent à la
surface du métal ;
- La formation d'oxyde, qui peut ou ne peut pas conduire à la passivation, et pouvant
altérer la surface de l'échantillon teste.
- La chute de tension, qui résulte du courant traversant la résistance de la solution
Électrolytique et peut provoquer des erreurs dans le système cinétique.
Ce dernier effet, s’il n’est pas trop sévère peut être corrigée par la compensation de la chute
ohmique.
Tableau 2 : Niveaux de corrosion en fonction des vitesses de corrosion
Vitesse de corrosion (μm/ an) Niveau de corrosion
Inf. à 1 Négligeable
De 1 à 5 Faible
De 5 à 10 Modéré
Sup. à 10 Élevé

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IV. Facteurs influençant la vitesse de corrosion
La vitesse de corrosion d’un métal dans un milieu corrosif dépend à la fois des caractéristiques
de ces deux paramètres. La température et le PH ont une influence directe sur la vitesse de
corrosion, et une influence indirecte à travers la phase aqueuse. Les conditions de flux, le film
formé à la surface du métal et la pression ont une influence directe à travers la pression partielle
du CO2.
A) Effet de la température
Généralement, l’augmentation de la température accélère les phénomènes de corrosion car elle
diminue les domaines de stabilité des métaux et accélère les cinétiques de réaction et de
transport. L’importance de son influence diffère cependant en fonction du milieu corrosif dans
lequel se trouve le matériau.
B) Effet de l’acidité
La susceptibilité du matériau à la corrosion est fonction du PH de l’électrolyte ; une forte
concentration en protons dans la solution augmente l’agressivité du milieu, ce qui peut modifier
les équilibres des réactions chimiques et électrochimiques. La corrosion augmente avec la
diminution du PH du milieu. La vitesse de corrosion est donnée par l’équation de faraday. Elle
permet de déterminer la perte de métal.
𝑡
𝑚 = 𝐴. 𝐼𝑐𝑜𝑟𝑟 (12)
𝑛. 𝐹
Avec :
- m : perte de masse (gramme) et Icorr : intensité du courant de corrosion (A).
- t : temps et n : nombre de valence du métal (n = 2 pour le fer).
- F : 96500C : nombre de faraday (C) et A : nombre atomique de métal (A = 55,85 pour le
fer (g)).

V. Conclusion
Dans cette plongée au cœur de la vitesse de corrosion, nous avons exploré les mécanismes sous-
jacents à ce phénomène qui altère inéluctablement les métaux. La compréhension des facteurs
qui influencent la vitesse de corrosion, tels que l'environnement, l'alliage métallique, les
revêtements protecteurs et la maintenance, revêt une importance cruciale pour la préservation de

9
nos infrastructures et de nos biens. La mesure et la maîtrise de cette vitesse nous offrent des
outils précieux pour prolonger la durée de vie des matériaux métalliques, réduire les coûts de
maintenance et minimiser l'impact environnemental.

Bibliographie
[1] Clinton C. (2018). Propriétés inhibitrices de l’huile de cade sur la corrosion de l’aluminium,
Université BADJI MOKHTAR-ANNABA.
[2] Boughaba W. Etude comparative du comportement à la corrosion de deux aciers HLE avec
l’étude de l’influence de la température dans H2SO4, 2018
[3] Bendjedia L. Etude de la corrosion d’un acier inoxydable réalisé par projection thermique,
E.N.P 10, Avenue Hassen-Badi, EL HARRACH, ALGER, 2008
[4] Helie M., Materiauxmetalliques - Phenomenes de corrosion, Universite d'Evry – Val
d'Essonne
[5] Landolt Dieter, Corrosion et chimie de surface des metaux, Traite des materiaux - Tome 12 -
Presses polytechniques et universitaires romandes, 1993
[6] Scully, J.C. (1975). The Fundamentals of Corrosion, International Series of Monographs on
Materials Science and Technology, 2nd Ed. Pergamon International, Oxford, Vol. 17
[7] ETH Corrosion. (8 déc. 2021). Three electrode setup [Video]. Youtube.
https://youtu.be/koCodYF1m9U?si=VnB3KIfJwO22JIeh
[8] ETH Corrosion. (2022). Extrapolation de Tafel [Video]. Youtube.
https://youtu.be/jRTeSTNCUt8?si=LBx2JBbSdr9lB8mS
[9] ZimmerPeacock. (24 avr. 2023). Introduction to potentiostats – why we need them and how
do they work ? Youtube. https://youtu.be/N_OqiUrH7_4?si=uOUyaWVNXsLUT3c3

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