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AVANT PROPOS
CE DOCUMENT DE SCHEMAS
DESTINE AUX ELEVES DE LA
SECTION ELECTROMECANIQUE
PREPARANT RESPECTIVEMENT LE
BREVET DE TECHNICIEN ET AUSSI
AUX AGENTS EN FORMATION
CONTINU DANS LE CADRE DES
RENFORCEMENTS DES CAPACITES.
- LE DEMARRAGE STATORIQUE
- LE DEMARRAGE ROTORIQUE
- DEMARRAGE PAR AUTOTRANSFORMATEUR
II- FREINAGES DES MOTEURS ASYNCHRONE TRIPHASE
III- MOTEURS A DEUX VITESSES
IV- DEPANNAGE
V- GRAFCET
VI- MAINTENANCE
CIRCUIT DE PUISSANCE :
CIRCUIT DE COMMANDE :
CIRCUIT DE COMMANDE
PRINCIPE: Ce type de démarrage est utilisé pour les moteur à rotor bobiné dont les
enroulements sont couplés en étoile Y, et les trois sorties sont soudés à des bague fixées
sur l’arbre du moteur auxquels on peut insérer des résistances à l’aide de balais
frotteurs.
Ce démarrage consiste à alimenter le stator du moteur par la tension nominale et
éliminer les résistances rotoriques en plusieurs temps (3 temps au minimum).
1ertemps : on insère la totalité des résistances dans les enroulements du rotor.
2èmetemps : on diminue la résistance du circuit rotor en éliminant une partie des
résistances insérées.
3ème temps : on élimine toutes les résistances rotoriques en court- circuitant les
enroulements du rotor.
AVANTAGE ET INCONVENIENT
1) Avantage :
- En augmentant le nombre de temps de démarrage, il est possible de
régler les valeurs caractéristiques telles que le courant et couple au
démarrage.
- Le couple de démarrage est faible (de 2 à 2,5 fois le couple nominal)
- Il n’y a pas de coupure d’alimentation pendant le démarrage
- Le choix de couplage en étoile ou triangle des enroulements du stator est
possible.
2) Inconvénient :
- Le moteur à un prix de revient élevé (rotor bobiné avec sortie reliée à l’extérieur).
- Le temps de démarrage est assez long (de 3 à 10 secondes).
CIRCUIT DE COMMANDE :
CIRCUIT DE COMMANDE :
Circuit de puissance :
Q : fusible sectionneur
KM2 : contacteur
alimentation de
l’autotransformateur
F : relais thermique
Circuit de commande :
Circuit de puissance :
Q : fusible sectionneur
F : relais thermique
3 Circuit de commande :
PRINCIPE : Apres avoir coupé l’alimentation pour arrêté plus rapidement le rotor on
inverse deux phases pour l’inversion du champ tournant donc ralentissement du rotor.
Remarques :
- C’est un mode de freinage très éfficace.Le ralentissement est très violent ;
- Ce freinage doit être interrompu dès l’arrêt du rotor sinon risque de redémarrer dans
le sens inverse ;
- Il nya pas de blocage.
Schemas de puissance et de commande dans le cas d’un moteur en court circuit
Tout comme pour le demarrage les resistances rotoriques sont mises en services,durant
le freinage,afin de limiter le courant absorbé par le moteur.
Schemas de principe :
Avantages et Inconvenients :
Avantages :Pas de risque de démarrage dans l’autre sens.
Inconvenients : Il faut couper le courant dans le stator pour éviter l’échauffement.
Schemas de puissance et de commande
U1 U2
V1 V2
W1 W2
Q1
Km1 km2
F2 F3
W1 W2
MAT
V1 V2
U1 U2
La vitesse d’un moteur asynchrone triphasé peut être choisie en faisant varier le nombre
de pô le sous les conditions suivantes :
- Le moteur est du type rotor à cage ;
- Chaque enroulement du stator comporte deux demi-bobines.
Le nombre de paire de pole est modifié en couplant différemment les deux demi-bobines
du stator.
a) Principe
Le coulage triangle série étoile parallèle (∆série Y//)
Il est le plus utilisé L1 L2 L3
L1 L2 L3
A
U1
U2
W2
W1 v1
V2
L1 L2 L3
L3 L2 L3 B
L1 L2 L3 L1 L2 L3
MAT
Etoile série étoile parallèle + Le coulage triangle série étoile parallèle (∆série Y//)
Km2 km3
Km1
F2 F3
MAT
Circuit de commande
Km1 13
13 13
14
14 Km3 14
Km3 61
Km1
62
Km1 53 61
54 Km2
62
Il possède deux bobinages par phases que l’on peut coupler en parallèle (une paire de
pô les) ou en série (deux paires de pô les). En associant les deux bobinages en parallèle,
leurs actions vont se superposer et ils se comporteront comme un seul enroulement
(une paire de pô les). Le moteur tournera à sa vitesse maximale. En associant deux
bobinages en série, on double le nombre de paires de pô les (deux paires de pô les). La
vitesse La vitesse du moteur est divisée par 2. Couplage parallèle étoile. Grande vitesse.
L1 L2 L3
1 3 5
Q1
2 4 6
1 3 1 3 5
5
KM1
KM2
2 4 6
2 4 6
1 3 5 1 1
F2 F3
M
2 4 6 1 1 1
W1 W2
V1 V2
U1 U2
Q1
F1
F1 F2
F2
S1
S2
Km1 S4 Km1
S3
Km1
Km2
A1 A1 X1
KM1 KM2 H
A2 A2 X1
Q1
F1
F2
S1
S2
Km1 Km2
S3
S4
Km1
Km2
A1 A1
KM1 KM2
A2
A2
Q1 F1
F2
F3
S0
2Ka1
S2
2Km2
1Km1
A1 A1
A2
A2
Q1 F1
F2
F3
S0
1Km1 1Ka1
S1 3Km1
2Ka1
1Km2
2Km1
A1 A1 A1
A2
A2 A2
L1 L2 L3
1 3 5
Q1
2 4 6
1 3 5 1 3 5
1 3 5
KM2 KM3 KM4
KM1
2 4 6 2 4 2 4 6
6
1 3 5 1 1
F1 F2
M 1 1 1
2 4 6
W1 W2
V1 V2
U1 U2
1 SENS DE ROTATION
L1 L2 L3
1 3 5
Q1
2 4 6
1 3 1 3 5 1 3 5
5
KM1 KM3
KM2
2 4 6
2 4 6 2 4 6
1 3 5 1 3 5
F1 F2
M
2 4 6 2 4 6
W1
W2
V1
V2
U1
U2
1 SENS DE ROTATION
Q1
F1
F1
F2
S1
S2
Km1 S4 Km3
S3
Km2 Km1
X1
Km2
Km3
H
A1 A1
L1 L2 L3
1 3 5
Q1
2 4 6
1 3 5 1 3 5
1 3 5
KM2
KM1 KM3
2 4 6 2 4 4 6
6 2
1 3 5
1 3 5 1 3 5
KM4
F2 F3
M 2 4 6
2 4 6 W2 2 4 6
W1
V2 V1
U2 U1
MAINTENANCE
M.BAKARY SANGARE PROFESSEUR ELECTROMECANICIEN/CONTACT: 66 53 50 98 / 76 53 50 98 / SAN
SCHEMAS ET AUTOMATISME 4ème ANNEE ELECTROMECANIQUE
Maintenance
Réparation
Pour éviter les pertes de temps lors de la recherche, l’acte de dépannage doit reposer sur
une méthodologie prévue à l’avance afin de ne pas oublier les vérifications
indispensables à son bon déroulement.
Matériel nécessaire pour effectuer un dépannage : En plus des outils manuels que
tout électricien doit posséder, il est nécessaire d’ajouter :
*Si le dépannage se réalise sous tension :
- un Voltmètre (mesure de tension) ; - un Ampèremètre (mesure d’intensité)
- Une lampe témoin ayant la même tension nominale que la tension d’alimentation du
circuit à dépanner.
*Si le dépannage se réalise hors tension : - Un ohmmètre ; -Une lampe témoin avec
ronfleur ou sonnerie, appareil permettant de détecter la continuité d’un circuit (celle-ci
est correcte l’appareil émet une signalisation lumineuse et sonore).
Remarque : Le contrô leur universel est adapté à la recherche de panne.
Défauts Causes possibles Constatations
Coupure du circuit - coupure d’un conducteur ; - Arrêt de fonctionnement de
- détérioration des contacts ; l’appareil de l’installation.
- Fusible (fusion des fusible).
Mauvais contact - connexion mal serré ; - coupure intermittente ;
- soudure sèche ; - production de parasite ;
- oxydation des contacts ; - baisse de tension ou de
- échauffement d’une borne courant ;
de connexion. - risque d’arc.
Court- circuit - Détérioration des isolants - Déclenchement des
entre les conducteurs ; appareils de protection
- Erreur de branchement. (disjoncteur, discontacteur)
- Fusion des fusibles
- Fusion des contacts et
coupure.
Mise à la masse - Défaut d’isolement dû à -Mise sous tension des
l’humidité, à une masses normalement hors
détérioration au montage ou tension ;
à une détérioration dans le -Déclenchement des
temps des isolants. systèmes de protection.
Composant défectueux - échauffement à une Disfonctionnement de
résistance ; l’appareil entraînant soit
- claquage d’un circuit semi- l’arrêt ou mauvais
conducteur. fonctionnement de l’appareil.
Début
Constatation de la panne
Circuit bon
Vérification
Circuit mauvais
Mauvais
Essai
Bon
Fin
o Spécifications fonctionnelles,
o Spécifications technologiques,
o Spécifications opérationnelles.
La finesse, caractérisant le niveau de détail dans la description du
fonctionnement, d'un niveau global (ou macro-représentation) jusqu'au niveau de détail
complet où toutes les actions et informations élémentaires sont prises en compte.
IV/Cahier des charges d’un automatisme logique :
A/ Représentation de l’étape :
L’étape se représente par un carré repéré par un chiffre placé de préférence dans la
moitié supérieure. Lorsqu’une étape est active, on peut le préciser par un point. L’étape
de début de cycle ou étape INITIALE, se représente par un double carré.
5 5 0
ETAPE ETAPE ACTIVE ETAPE INITIALE
B/ Actions associées à l’étape : On précise pour chaque étape, à l’intérieur d’un rectangle,
les actions à effectuer lorsque l’étape est active.
Les Transitions : Une transition indique la possibilité d’évolution d’une étape à l’étape
suivante .A chaque transition on associe une ou des conditions logiques qui traduisent la
1 3 5 5
2 4 6 6
Les liaisons orientées : les liaisons indiquent les voies d’évolution du grafcet. Dans le cas
général, les liaisons se font du haut vers le bas et ne comportent pas de flèches. Dans les
autres cas, il faut utiliser des flèches.
GRAFCET SELON LE POINT DE VUE : Le Grafcet peut être tracé du point de vue de la partie
opérative (PO) Machines +Actionneurs nus, ou du point de vue de la partie commande
(PC) Technologie des contacteurs et capteurs.
SPECIFICATIONS FONCTIONNELLES (PO) : On effectue la représentation à partir des
fonctionnalités de la partie opérative indépendante de toute technologie.
Les spécifications fonctionnelles précisent :
Le dispositif à automatiser sous forme d’un schéma fonctionnel ;
Les fonctions assurées par chaque partie du dispositif ;
Les sécurités envisagées.
SPECIFICATION TECHNOLOGIQUES (PC) : L grafcet prend en compte les choix technologiques
relatifs à la partie commande de l’automatisme, c’est-à-dire :
*La nature des actionneurs (moteurs, vérins, etc.)
*Les types de capteurs (contact électriques, détecteur photoélectrique, bouton poussoir,
etc.)
0
Arrêt
0
S3
Chariot à droite
2 KM2
2 Déplacement vers la gauche
S1
Chariot à gauche
Règles d’évolution :
1ere règle : L’initialisation.
Elle précise l’étape active au début du fonctionnement. On la repère en doublant les côtés
des symboles d’étape. L’étape initiale est activée inconditionnellement à la mise sous
tension. Il peut y avoir plusieurs étapes initiales.
2ème règle : Une transition est soit validée, soit non validée.
Elle est validée lorsque toutes les étapes immédiatement précédentes sont actives. Elle ne
peut être franchie qu’à deux conditions :
*Lorsqu’elle est validée ;
*Lorsque la réceptivité associée à la transition est vraie.
3ème règle : Le franchissement d’une transition.Il entraîne l’activation de toutes les étapes
immédiatement suivantes et la désactivation de toutes les étapes immédiatement ACTIVE :
Si on fait un RESET et un SET, elle reste SET.
Exercice : SKIP DE CHARGEMENT
L’installation ci-dessous permet de charger des camions dans une carrière.
A/Etablir le grafcet fonctionnel
Un moteur permet le déplacement du chariot : KM1=Montée ; KM2= Descente.
S3 S2
S1
0
Attente
0
S3
0
Attente
0
S3
SKIP en bas. Dcy
1 KM1
1 Monter le SKIP
S3
SKIP en haut. 2
2 Attente
S3.S2
SKIP en Haut en haut .Dcy
3 KM2
2 Descendre le SKIP
S1
SKIP en bas
TEMPORISATION : Lorsque le chariot est en haut, on doit arrêter la montée et attendre que
l’operateur appuie sur le bouton poussoirS3 pour descendre.
0
Attente
0
S3
SKIP en bas. Dcy
1 KM1
1 Monter le SKIP
S3
SKIP en haut. 2 T1
2 Attente 5secondes
T1/X2/5S
5 secondes
3 KM2
2 Descendre le SKIP
S1
SKIP en bas
Séquences multiples : Un cycle d’automatisme peut être linéaire ou ramifié. Les cycles
linéaire ne comporte qu’une séquence .Les cycles ramifiés comportent plusieurs séquences
qui peuvent être successives ou simultanées.
Séquences successives: Aiguillages en OU
L’aiguillage en OU permet d’effectuer une séquence OU une autre. A l’issue d’une étape, le
choix entre plusieurs séquences est fonction des différentes transitions correspondantes aux
réceptivités.
1 KM1
Divergence en OU
S1.S2 S1.S2
2 H1 4 K14.C1
S3
S5 2ère Séquence
1ère Séquence
3 KM3
S4
Convergence en OU
5
SAUT D’ETAPE : C’est un aiguillage en OU dans lequel l’une des branches ne comporte pas
d’étape. Ainsi, on réalisera la séquence 3-4-5-6 si la réceptivité a.x est vraie .Sinon, on
passera de l’étape 3 à l’étape 6 si la réceptivité a.b est vraie.
3 KM1
A .X
a.b
4 H1
5 K14.C1
6 KM2
REPRISE DE SEQUENCE: C’est un aiguillage en OU dans lequel une séquence est effectuée
plusieurs fois, tant que la condition de réceptivité n’est pas vraie.
Ainsi, dans cet exemple, tant que le nombre de boites n’est pas atteint, on répète l’opération
remplissage.
3 Alimenter le Malaxeur
Produit mélange
M.BAKARY SANGARE PROFESSEUR ELECTROMECANICIEN/CONTACT: 66 53 50 98 / 76 53 50 98 / SAN
4 Amener une boite
SCHEMAS ET AUTOMATISME 4ème ANNEE ELECTROMECANIQUE
4 KM2 6 KM3
c a.v
7 KM4
5 K14.C10
d
8 Attente
Etape d’attente
fcb
Fin des séquences simultanées
Exercices d’applications sur le 9Grafcet : KM1
EXERCICE 1 :
Thème : Perceuse automatique : N°1
Une perceuse montée sur un support coulissant verticale doit être automatisée. En appuyant
sur le bouton poussoir <<marche>> (si une pièce est détectée) la perceuse entame sa
descente jusqu’à la position basse et provoque la rotation de la forêt. Arrivée en position
Haut
M
Bas
1
X 20
bas
2
20 X
milieu, passe en grande vitesse et arrêter la rotation de la forêt jusqu’en position haute ou
elle attend un nouvel ordre de Marche.
Haut
M
Bas
Milieu
2 De PV Rf
1 R PV Rf
Bas
2 Milieu R.G.V
Haut
EXERCICE 3 : Thème : perceuse automatique N°3
Deux perceuses effectuent chacune un perçage sur une même pièce simultanément comme
le montre la figure ci –contre :
- Durée perçage 1 : 10 secondes
- Durée perçage 2 : 15secondes
Haut S2
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P1
SCHEMAS ET AUTOMATISME 4ème ANNEE ELECTROMECANIQUE
Afin d’éviter cette opération ne prenne trop de temps, on décide de faire marcher les deux
perceuses en même temps ce qui permet de réaliser un perçage en 15 secondes et non pas
en 25 secondes dans le cas de fonctionnement indépendant. La commande de mise en
marche s’effectue grâce à un bouton poussoir.
1- Construire le grafcet de point de vue opérative
2- Construire le grafcet de point de vue commande.
Départ cycle : S1 ; Capteur de fin de course haut : S2 ; Capteur de fin de course bas : S3 ;
Capteur de fin de course gauche : S4 ; Capteur de fin de course droite : S5 ; Rotation
perceuse 1 : KM1 ; Rotation perceuse : KM2 ; avancer perceuse 1 : Y1+ ; Recule perceuse1 :
Y1- ; avancer perceuse 2 : Y2+ ; Recule perceuse2 : Y2-.
SOLUTION : 3
S1.S2.S5
Commande de remplissage
Commande de bouchage
La chaine est constituée de deux postes l’un pour le remplissage et l’autre le bouchage des
bouteilles. Moteur avance tapis
Le but est d’automatiser ce fonctionnement à l’aide d’un grafcet.
Tout se passerait dans le milieu des mondes si l’ouvrier qui dispose les bouteilles suivait la
cadence imposée chez bidon –sa mais les bouteilles n’arrivent pas régulièrement aux deux
postes vous devez faire avec car l’ouvrier est le neveu du patron et peut donc pas être viré.
Construire le grafcet point de vue partie opérative.
SOLUTION : 4
Ordre d’avance
1 Avance Tapis
Fin avance
2 5
Bouteille présente
Bouteille absente Bouteille présente Bouteille
3 Remplissage Absente
6 Bouchage
4 7
=1
PNEUMATIQUE
I/ FONCTION : Ils ont pour fonction essentielle de distribuer l’air sous pression aux
différents orifices des actionneurs Pneumatiques. Comme le contacteur est assisté à un
moteur électrique, le distributeur est le pré-actionneur associé à un vérin pneumatique :
Il est constitué d’une partie fixe(le corps) et d’une partie mobile(le tiroir)qui peut se
déplacer à l’intérieur de la partie fixe selon un ordre directe(manuelle)ou
indirecte(provenant de la PC).Le tiroir est doté de conduites permettant le passage de
l’air entre les différents orifices de la partie fixe.
Exemple :
I/ Les vérins : Ce sont les actionneurs qui réalisent des mouvements généralement
linéaires à l’endroit même ou on a besoin d’une force.
Exemple : Perceuse, Porte autobus, Presse…
Vérins simples effet : Ce Vérin produit l’effort dans un seul sens. Il n’est donc alimenté
que dans un seul cô té. Le retour à la position initiale s’effectue en général par un ressort.
Vérins double effet : Dans un vérin à double effet, la sortie et la rentrée de la tige
s’effectue par l’application de la presse alternativement, de part et d’autre du piston. Les
vérins doubles effet sont utilisés lorsqu’on a besoin d’effort important dans les deux
sens.
Vérins spéciaux : Ce sont les vérins sans tige, vérins rotatifs, vérins compacts …