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OUI :
Ampleur crise covid => nécessité pour l’État de jouer le rôle d’amortisseur et
d’assureur
Dépenses vitales à la société
Politique du « quoi qu’il en coûte » : politique ou doctrine qui consiste à soutenir a n’importe
quel prix l’économie face au choc provoqué par la pandémie du Covid 19.
Contexte cristallisé – ils manquent des réponses : pour sauver quoi ? qui ? une économie ? des
vies ?
Loi 2020-90 du 23 mars 2020 : loi d’urgence pour faire face à l’épidémie du covid 2019
Loi imprégnée du quoi qu’il en coûte
2 décisions possible
- Protéger coute que coute
- Dépenser le moins possible
Art 11 : le gouvernement est autorisé à prendre par ordonnance toute mesure afin de faire face
aux conséquences économiques, financières, et sociale de la propagation de l’épidémie de
covid 19.
La France a une bonne note – niveau de solvabilité élevé AA => capacité à gérer le
remboursement des dettes => paix sociale=> remboursement par les impôts.
La dette aurait été plus élevé sans le quoi qu’il en coute selon les chiffres
Sans les mesures gouv, la chute du PIB aurait été pire + chômage aurait été trop fort =>
permet d’éviter un crash boursier
Ouvrage : du plan de relance au plan d’investissement : du « quoi qu’il en coute » au « autant
que possible » – Mathieu Plane et Xavier Ragot
Autant investir dans les entreprises pour tout reconstruire
NON
Bruno LE MAIRE : la France est à l’euro près (pol de rigueur ; on limite les dépenses)
Augmentation des recettes au détriment des pop°, FMI craint qu’en finançant aussi pour
l’énergétique on creuse le déficit.
Pol de survie : population qui subit cette politique (exemple de la hausse des impôts)
Secteur énergétique : crise sur le long terme => pol du quoi qu’il en coute ne sert à rien =>
cette politique n’a pas de réel effet sur cette crise
Il ne prépare pas l’avenir de manière à rembourser sa dette, depuis les années 70 => déficit
chronique
La croissance fait augmenter les recettes et la dette aurait dû être comblée, problème de déficit
qui s’accroit et ajoute de la dette
BCE a élevé les taux d’intérêts, il faudra payer encore plus puisque remboursement élevé.
La crise ne va pas terminer tt de suite => inflation galopante => probable que la BCE
augmente encore
La note est bonne mais été mieux avant – investisseurs perdent confiance en l’état français =>
preuve de la non « financiabilité » de la politique du QQEC
On rompt nos promesses, politique d’austérité comme en Grèce ; Taux de VIH, taux de
suicide, taux de dépression etc qui se multiplie.