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En effet , depuis la pandémie , les banques centrales ont baissé leurs taux
d’intérêts affin d’apporter leurs soutient aux états et atténuer le choc sur
l’économie frappée de plein fouet par la pandémie de COVID-19 , et ceci dans
le cadre du QE ( quantitatif Easing) qui concise à rachetter des dettes
souveraines , des obligations d’états à long terme , à 7 ans ou 10 ans , sur les
marchés . En échange de ces achats , les banques centrales créent de la
monnaie , des liquidités nouvelles , qu’elle injecte dans les circuits financiers .
Ainsi les économies peuvent en bénéficier pour maintenir la croissance du
pays malgré la crise .
Tout cela nous rend confus . d’une part , la stratégie américaine de lutte
contre l’inflation semble très dure et à grands risques , d’autre part , celle
européenne peut , quand à elle , n’être qu’un signe que l’inflation est
accueillis favorablement par les hommes politiques , qu’ils y voient un moyen
facile de réduire le pourcentage d’endettement de leurs pays en maintenant
les subventions clientélisques au bénéfices des riches actionnaires , en
rappelant que l’inflation produit mécaniquement un baisse de pouvoir
d’achat , plus pénalisante pour les plus pauvres que les plus riches .
Finalement , on peut affirmer, sans prendre trop de risques , que l’une des
deux banques centrales ( FED ou BCE ) est actuellement trop mesurée ou au
contraire trop enthousiaste quand il s’agit de la question de l’interprétation
de l’inflation , et que les effets des politiques budgétaires adoptés dans les
deux cotés de l’athlentique constituent un grand flou du futur . plein
d’hypothèse que les mois avenir s’en chargeront de vérifier .