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Economie ouverte
Ceteris Paribus : Toutes choses est égal par ailleurs c’est-à-dire Bouger seulement une seule variable
pour voir l’impact de cette variable sur le « jeu »
Pour ajouter un choc dans l’économie = Jouer sur la variable clé du multiplicateur à savoir la
consommation (la propension marginale à consommer petit c)
Dotations initiales : PIB de 9 141,7 pour l’Allemagne => On voudrait une croissance pour le cycle 3
Demain matin on passera du cycle 2 au cycle 3 (donc il y a déjà un passé, une histoire)
Données à prendre en compte pour le rapport : Evolution des indicatifs (PIB et conso, surtout + une
partie sur les balances commerciale
Partie 1 : Description des évolutions des variables macroéconomiques avant la crise (donc
bilan de la situation en croissance) prendre en compte le PIB, la consommation des ménages,
ET SURTOUT sur la balance commerciale (X-M) avec les droits de douanes, chômage
investissement des entreprises privées, dépenses publiques
Partie 2 : Description des évolutions des variables en prenant compte du choc (de la crise)
PRENDRE EN COMPTE LA MASSE MONETAIRE (Mo), le taux d’intérêt et l’inflation , chômage
Y = 9 919,533
Propension marginale à consommer = 0,4
Y= 7 438,38
Chômage : Diminution : L’évolution du taux de chômage a été de -13,6% soit une baisse du chômage
(parler de Keynes)
Consommation :
Balance commerciale :
Droit de douanes :
On a augmenté les droits de douanes vers la France car nous cherchions une meilleure balance
commerciale. Nous avons choisis la France car on avait une faible exportation vers eux par rapport
aux autres et une assez bonne importation….
A la suite des résultats, on a remarqué que cette stratégie n’étais pas payante car baisse conso baisse
PIB, augmentation chômage, baisse revenu disponible donc on a décidé d’être ultra libérale en
baissant les taux à 1% pour tous les pays
EXPLIQUER LA SITUATION DE CRISE => pourquoi petit « c » change passant de 0,7 à 0,4 pourquoi ce
changement à un si fort impact ? «c» est dans la fonction de consommation qui est elle-même dans
la fonction du PIB donc le PIB est impacté par la baisse de « c ». Si « c » = 0,4 ca veut dire que je
dépense 40% de mon revenu donc la consommation diminue. De plus lors de la crise les ménages ont
perdu confiance en l’économie dans le marché donc ils vont moins investir
Nouveau calcul du PIB (avec les données du cycle 4) pour vérifier l’année 5
QUELS SONT LES REMEDES ECONOMIQUES POUR SOUTENIR LE PIB, LA CONSO, L’INVESTISSEMENT
=> politique de relance
2 remèdes :
Politique monétaire : Injecter de l’argent dans l’économie (celle que l’on va utiliser)
Résultat = 20,15% soit une inflation très élevé hors si l’on se considère comme keynésien alors une
inflation n’est pas si grave à partir du moment où l’on observe une baisse du chômage (ce qui obsède
Keynes) on a un résultat de 15,05% en taux de chômage soit une diminution de presque 5% par
rapport à l’année précédente. De plus on observe une croissance de 9,74% du PIB soit un résultat
très satisfaisant.
Année 6 : on choisit d’augmenter une nouvelle fois la masse monétaire de 5 %. Cette faible
augmentation est représentable du fait que l’on veut rassurer la population et éviter une explosion
de l’inflation.