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Introduction :
Le chômage risque de devenir un très gros problème si l’inflation continue sur sa lancée
actuelle. Quel est le lien entre inflation et chômage ?
Les mesures gouvernementales sont un accompagnement de retour à l’emploi pour arriver à
un chômage normal (5%) / le chômage français = 7,5%
Or si l’inflation continu on peut avoir un risque de récession, il y a moins d’offre donc plus de
chômage.
Toutes ls économies sont en alerte et redoute une nouvelle montée du chômage, vu que l
La BCE contrôle la quantité de monnaie en circulation = spirale inflationniste qui freine la
croissance, si la croissance est réduite les entreprises produisent moins et embauchent
moins
Il n’y a pas assez de production pour éviter le chômage ce qui inquiète le gouvernement
européen qui ne peut contrôler la BCE. Le risque le plus important est
La France a fait une erreur en 1970, alors qu’elle était spécialisée en recherche, le spatiale et
la médecine ; elle a pris peur des coûts élevés et a pris du retard ce qui a amené à une perte
de sa combativité. On a un décalage entre la main d’œuvre et l’offre d’emploi. On rebondit
en disant qu’il faut éduquer cette main d’œuvre.
(Au pire du cas même si le taux de chômage atteint 5% tout va bien)
La France y est plus stabilisée, ce qui nous fait défaut c’est la croissance. On le voit à la
désindustrialisation d’on on ne s’en ai jamais remis (on est encore à la traîne)
Derrière ce problème d’inflation se cache le problème de la récession, toutes les autorités
gouvernementales s’en rende compte.
I – La relation de Phillips
En 1958, Phillips observe une relation entre le niveau des salaires et la valeur de l monnaie, il
voit que sur le long terme plus le niveau des salaires augmentent plus l’inflation progressent.
Il en déduit une corrélation négative entre le chômage et le salaire. Quand le salaire
augmente le chômage diminue. Mais quelle est sa conséquence, en projetant cette relation
cette sur 100 ans, il se rend compter que la hausse des salaire l’inflation s’accélère. Il dit qu’il
faut se réjouir de cette nouvelle au niveau de l’emploi mais le cout de cette optique est
l’accompagnement de l’inflation car il faut payer ces salaires
Pour avoir plus d’emploi faut-il payer plus pour avoir plus d’inflation ?
Est-ce que cette inflation est rentable vis-à-vis du chômage ?
Si on veut réduire l’inflation il faut accepter plus de chômage et inversement. Phillips ne sait
pas quelle est la meilleure option. On a un arbitrage confirmé par Licey qui crée une
corrélation entre chômage et inflation et ce dernier affirme que c’est impossible de trouver
un arbitrage qui guérir l’inflation et le chômage en même temps = on a donc là un dilemme
entre inflation et chômage.
Il a 3 natures de chômages :
- Un chômage dit frictionnelle
- U chômage structurelle
- Un chômage naturel
Le chômage naturel est le taux de chômage qui a été définit par Friedman
Si on refuse des nouveaux changements de salaires on crée un problème de refus et amène
au chômage naturel. Pour les monétaristes ce chômage naturelle ne fait retarder l’inévitable
(la tension sur l’inflation s’accélère de plus en plus)
Il nous reste comme action la politique économique : comment réagir au chômage trop
élevé ?
2 économistes (Sun, Solo) arrivent à la conclusion qui si on ne peut agir sur l’inflation on doit
toucher à l’emploi et choisir la politique économique adaptée. On va freiner l’activité puis
quand le frein compromet trop la croissance on déverrouille et on reprend l’activité.
Mais il faut donc accepter le risque d’une remonté de l’inflation.
Pour les 2 économistes il n’y a de solution mais un plan de sortie, tout dépend de la façon
d’arriver à convaincre la BCE. Or la France est surendettée car son taux est de 90% (devrait
être de 60% jaugé tolérable) et le risque est avéré.
La crédibilité de l’économie française est nulle, capacité sur son chômage impossible et
marge de manœuvre très réduite. On essaie d’agir mais les marges de manouvres de
l’économie française sont remises en question.
Naturellement des monétaristes vont critiquer en disant que l’économie française n’a pas de
politique de croissance car elle a dépensé inutilement des programmes...
Ces économistes sont libéraux dont Friedman qui s’y oppose, pour eux il faut éviter l’action à
long terme et privilégier le court terme et se focaliser sur ce qu’on maitrise en priorité.
L’économie peut se stabiliser aussi seul d’après eux et Friedman dit qu’on doit maintenir la
spirale inflationniste, agir à très court terme en laissant l’économie marchait mais il faut que
les agents acceptent la baisse du pouvoir d’achat et que tout le monde fournisse un effort
(dont les entreprises (injonction d’un compromis entre salariés, ils auront une perte de
pouvoir d’achat mais garderont leur emploie) et cela ne couterai rien à l’état. On provoque
au salarié une perte de pouvoir d’achat mais on lui garantit un emploi et l’opportunité de
mieux manger demain. Pour les entreprises ont fait des salaires moins élevés mais on
s’interdit de licencier un quelconque employé. Le retour à l’emploi serait donc précipité.
Les monétaristes pensent que le taux de chômage bien qu’il semble naturel ce dernier
donne une image naturelle mais est en fait un chômage structurel (doit revoir le système
d’invalidation au chômage).
La relation de Phillips dot être élargie à une troisième composante la croissance. L’organisme
qui est parfaitement conscient est la .... Sur la base des résultats observé entre 2019 et 2022
la banque de France a fait des projections sur 2025. Tout ça n’est qu’hypothèse :
- Le recul de l’activité lié à la crise sanitaire à monter le chômage (arrêt brutale de la
production) =ralentissement de l’activité en 2022, ON EST EN DESSOUS DU
MINIMUM DE CROISSANCE permettant à l’économie de fonctionner correctement.
- Ses résultats sont pessimistes, en entretenant la stagnation économique le bilan est
redoutable = l’inflation observé en 2023 réduit le pouvoir d’achat donc la demande
donc l’activité du pays (confirmation de l’affirmation des économistes). La hausse des
prix des biens agit aussi sur les biens destinés à l’exportation qui subissent cette
tension inflationniste (depuis 35 ans on traine une valeur déficit). La France a échoué
sa seconde mondialisation et al banque de française dit que cet échec est renformé
l’inflation (on est sous performance)
Les agents ne sont pas confiants face à ces mauvais résultats et ne peuvent accompagner la
relance sereinement. Finalement on est dans un système ou les solutions de sorti de crise
sont extrêmement étroite (on tourne en rond).
On a la certitude que la France doit se réindustrialiser et réaugmenter sa croissance pour
faire face à l’inflation et le chômage.
Est-ce que cette interdépendance inflation chômage est subit à l’extérieur de la même façon
que chez nous ?
On peut voir que non quand on regarde l’état des États-Unis
.....
Cours 20/10/23
Si je veux moins de chômage il faut accepter plus d’inflation, on a mis en mis le défaut de
croissance des économies européens et de leur stagnation au niveau de leur activité.
On n’arrive pas à le faire chuter et il y a des craintes car la création d’offre d’emploi fait
défaut. Toute la presse économique
L’inflation freine les entreprises en termes d’embauche, elle diminue le pouvoir d’achat et
met en place l’incertitude. L’inflation oblige les gens à prendre des commandes, je pourrai
recruter aujourd’hui mais je n’aurai pas assez de débouché
Il faudrait que l’état s’engage et compense l’engagement qui fait défaut, pourquoi l’état ne
compense pas ce défaut d’initiative privé ? Il en est conscient grâce à la presse mais ne réagit
pas comme on l’espérait. Pourquoi freine t’il l’embauche publique, pourquoi ne recrute-t-il
pas en masse, quelle est sa contrainte ?
Difficulté majeure pour les économies (France, Allemagne), tant que croissance non assurée
si état n’a pas d’assez d’argent
Prévision de la commission européenne :
On a des économies très exposé au risque de récession en plus d’être en pleine position. De
risque. Qu’on retrouve dans relation entre inflation et chômage au Etats-Unis