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Les réseaux d'assainissement Systèmes et schémas .1.

.I.1.1- Réseaux d'assainissement


:Définition -1
Par définition un réseau d'assainissement est un ensemble d'ouvrages
hydrauliques dont le seul et unique objectif est d'évacuer les eaux usées
et les eaux pluviales. Qui peuvent être souterraines ou de surface, leur
complémentarité du point de vue fonctionnement nous permet
.l'évacuation des eaux usées et des eaux pluviale pluviales
: Rôle -2
:Le rôle d'un réseau d'assainissement est triple
Assurer la protection des biens matériels et humains contre les -
.inondations
.Permettre la protection de la santé publique et la préserver -
Préserver l'environnement en l'occurrence le milieu naturel contre les -
.rejets des eaux usées

: Différents systèmes des réseaux d'assainissement -3

: Système Unitaire -)1


Le système unitaire est l'héritage du (tout à l’égout) né vers 1830 à la
suite des épidémies et du mouvement hygiéniste, c'est à dire
l'évacuation de l'ensemble des eaux usées et pluviales par un unique
réseau pourvu de déversoir permettant en cas d'orage le rejet d'une
.partie des eaux par surverse directement dans le milieu naturel

: Systèmes séparatifs -)2


Ils sont destinés à l'évacuation des eaux usées domestiques (eaux des
vannes, eaux ménagères et avec réserve certains effluents industriels).
Alors que l'évacuation de toutes les eaux pluviales est assurée par un
.autre réseau
: Système Pseudo-séparatif (mixte) -)3
Ce système consiste à réaliser un réseau séparatif particulier dans
lequel il est admis que le réseau d'évacuation des eaux usées reçoit une
fraction d'eau pluviale, à savoir les eaux de toiture et cours intérieurs et
le réseau d'évacuation d'eau pluviale sera réduit à la collecte des eaux
.de ruissellement sur les chaussées et du bassin versant par drainage

: I.1.2- Schéma d'évacuation d'E.U et d'E.P


:Choix de configuration
Bien que les réseaux d'assainissement (d'évacuation) revêtent des
dispositions très diverses selon le système choisi et les contraintes.
Leur schéma se rapproche le plus souvent de l'un des cinq types
.suivants
: Schéma perpendiculaire au cours d'eau -2.1
Avec ses multiples débouchés, transversalement à la rivière et
l'orientation des ses artères dans le sens des pentes, il représente le
prototype des réseaux pluviaux en système séparatif. C'est aussi trop
souvent celui des villes et des communes rurales qui ne se préoccupent
que de l'évacuation par les voies les plus économiques et les plus
rapides, sans avoir le souci d'un assainissement efficace des eaux
.rejetées

:Schéma par déplacement latéral ou à collecteur latéral -2.2


Il est plus simple par rapport aux systèmes qui reportent le déversement
de l'effluent à l'aval de l'agglomération. Dans ce sens, il reprend
l'ensemble des eaux débouchant par les artères perpendiculaires, au
moyen d'un collecteur de berge or avec ce dispositif, on se trouve
souvent gêné si l'on a recoures à l'écoulement gravitaire, par le défaut
.de pente

: Schéma à collecteur transversal ou de collecte oblique -2.3


Il comporte des réseaux secondaires ramifiés sur le ou les collecteurs
principaux; Ceux-ci disposent ainsi d'une pente plus forte et permettent
de reporter facilement, par simple gravité, l'ensemble des effluents plus
.loin à l'aval que dans le dispositif précédent
.
: Schéma par zone étagée ou par intercepteur -2.4
Il s'apparente au schéma par déplacent latéral avec des multiplicités des
collecteurs longitudinaux ou obliques dans la rivière. Chacun des
bassins de collecte l'agglomération dispose ainsi d'un collecteur bas qui
est généralement à faible pente et dont l'effluent doit souvent faire
l'objet de relèvement se trouvant alors soulagés des apports des
bassins en amont. Les collecteurs à mi-hauteur du versant pouvant être
réalisés initialement ou à posteriori, dans ce cadre d'une restructuration,
que l'on appelle intercepteurs, sont au contraire plus faciles à projeter
.par ce que la pente du terrain est plus forte

:Schéma à centre collecteur unique (schéma radial) -2.5


Selon que le réseau converge sur un ou plusieurs points de
l'agglomération où l'on peut reprendre l'effluent pour le relever ou le
refouler dans des émissaires important, de transport à distance, ce
.schéma s'applique aux zones uniformément plates

:Remarques
Les collecteurs principaux et secondaires assurant l'évacuation
.rapide des effluents urbains se situent sous les voies publiques
En variante du schéma de réseau, on peut concevoir un réseau
d'assainissement de type maillé. En effet, ce réseau permet, dans
certaines zones urbaines, d'obtenir des meilleures conditions
d'écoulement, l'auto-curage et de stockage aux époques de forte pluie
I.2-Les écoulements à surface libre
: Introduction -1
Les écoulements à surface libre sont des écoulements qui s’écoulent
sous l’effet de la gravité en étant en contact partiellement avec un
contenant (canal, rivière, conduite) et avec l’air dont la pression est
généralement à surface libre. Contrairement aux écoulements en
charge, la section d’écoulement devient une caractéristique de
.l’écoulement et non plus seulement de la géométrie du contenant
Dans notre présente étude, on ferra référence toujours aux équations de
.Barre de Saint- Venant liées à l’écoulement graduellement varié

: Equations de Barre de Saint- Venant -2


Les équations de Barre de Saint- Venant (1797-1886) décrivent les
écoulements non permanents à surface libre, unidimensionnels. Leur
résolution permet de définir, selon l’abscisse x de l’écoulement, les
.variations temporelles de la ligne d’eau et des débits
: Hypothèses générales -2.1
Ces équations ont tout d’abord été établies pour des écoulements
: unidimensionnels. Ceci suppose donc
; Que l’écoulement se fasse le long d’une direction privilégiée x •
Que les caractéristiques de ces écoulements puissent être considérées •
comme correctement approchées par leurs valeurs moyennes dans une
.section droite orthogonale à x
Les variables sont le débit Q(x, t) et la section mouillée S(x, t), ou la
vitesse V(x, t) et le tirant d’eau h(x, t), ou encore la cote Z(x, t) de la
surface libre, toutes fonctions des seuls paramètres abscisse x, temps t.
Pour simplifier l’écriture ces variables seront simplement notées Q, S, V,
.h, Z
La vitesse considérée ici est une vitesse moyenne débitante, telle que
l’on puisse écrire : Q=V*S, et la hauteur transversale est supposée
constante sur la largeur de la surface libre. Il n’est donc pas possible de
tenir compte de surélévation dans les coudes, ce qui exclut, en toute
rigueur, de simuler les écoulements dans des tronçons présentant des
.courbures importantes

Remarque : malgré ces limites théoriques, il arrive cependant souvent *


que ces équations soient utilisées en dehors de leur champ normal
d’application, par exemple pour traiter la propagation d’ondes associées
a des manœuvres brusques , telles que des lachures de barrages, des
..ouvertures rapides de vannes , etc
Les équations de Barre de Saint- Venant sont formées d’un couple de
: deux équations aux dérivées partielles en x et t, traduisant
; La conservation de la masse •
.La loi fondamentale de la dynamique •
Les couples de variations les plus couramment utilisés pour écrire ces
équations sont Q, h ou V, h, (Q, z ou V, z étant plutôt employés dans le
.cas d’un milieu naturel où les pentes sont difficiles à définir)

: 2.2Conservation de la masse
L’équation dite de continuité traduit la conservation de la masse et
: s’écrit
: Conservation de la quantité de mouvement -2.3

La seconde équation aux dérivées partielles est l’équation dynamique


qui traduit la conservation de la quantité de mouvement, ou encore la loi
.fondamentale de la mécanique
: L’une des formulations les plus classiques est la suivante
Utilisation des équations de Barre de Saint- Venant en -2.4
: assainissement

En assainissement, l’application des équations de Barre de Saint-


Venant nécessite quelques adaptations et approximations en raison du
: contexte très particulier d’application
Collecteurs fermés et passage de confluences à surface libre à des •
; écoulements en charge
Présence d’ouvrages spéciaux •

: I.3 - Crue et onde de crue


: I.3.1 - La Crue

Définition : Augmentation plus au moins brutale du débit dans un - 1


cours d’eau ou dans un réseau d’assainissement due à une cause
naturelle (précipitation, fonte de neige, etc.)Ou non (rupture accidentelle
.ou vidange d’ouvrage de retenue, etc.)
: Caractéristiques d’une crue - 2
Une crue est caractérisée par son hydrogramme, courbe représentant
les variations du débit en fonction du temps, et en particulier par son
débit de pointe, sa durée, son volume, son temps de montée .On mesure
généralement le risque d’apparition d’une crue donnée par la période de
retour de l’une de ses variables caractéristiques (débit de pointe
.instantané, débit moyen sur une durée donnée, etc.)
Dans notre cas en va s’intéresser à un paramètre lié directement à la
crue et précisément à d’hydrogramme de crue qui est le temps de
.décalage (K)
Le paramètre K représente le décalage temporel entre les centres de
gravite de l’hydrogramme d’entrée et celui de la sortie (lag time), est
donc théoriquement égale à la longueur du tronçon divisée par la
célérité moyenne de l’onde, pour cette dernière, la plupart des auteurs
[Reynier,1978], [Kovacs,1988], [Semsar,1995], proposent d’approcher la
célérité moyenne de l’onde par une fonction de la vitesse de l’eau en
régime uniforme, correspondant à une valeur de débit proche du débit
maximum(Qmax). Ainsi par exemple [Semsar, 1995] a montré que la
: relation suivante donnait de très bons résultats

Différents types de crue : Selon la rapidité d’évolution du phénomène, -3


on distingue souvent les crues fluviales et les crues torrentielles, même
si le passage d’un type de crue à l’autre n’a pas de limite nette
Les crues fluviales (flood) : affectent des cours d’eau important, -
alimentés par des bassins versants de grande dimension .Elle sont dues
à des précipitations abondantes et de longue durée. La montée des eaux
est lente, la crue se prolonge parfois plusieurs jours après la fin des
précipitations, les dégâts matériels causés par ce type de phénomène
sont souvent considérables, en revanche la lenteur de la montée des
eaux permet le plus souvent d’évacuer les personnes exposées et limite
.les risques d’entraînement et de noyade
Les crues torrentielles(flash flood) : peuvent apparaître sur n’importe -
quelle partie du réseau hydrographique(permanente ou non), et leurs
conséquences peuvent devenir dommageables,même pour de tout
petits bassins versants (quelques centaines,voire quelque dizaines
d’hectares).Elle sont le plus souvent causées par des pluies convectives
affectant parfois seulement une partie du bassin versant et sont
caractérisées par une grande rapidité d’évolution .La montée des eaux
est très brutale et ne laisse que très peut de temps pour alerter les
riverains .Ce sont les crues de ce type qui sont les principales causes
des mortalités par noyade. On parle également de crues rapides, de
.crues éclairs ou de crues subites
les crues nivales(snowmelt flood) :sont dues à la fonte de neige .Elle -
ne jouent généralement qu’un rôle mineur en hydrologie urbaine dans
les pays tempérés,il peut être utile de les prendre en compte dans les
villes de montagne ou dans les pays froids. L’association d’une pluie et
d’un redoux provoquant la fonte du manteau neigeux peut en effet
provoquer des ruissellements importants, particulièrement si le sol a été
.rendu imperméable par le gel
Il est à noter que d’autre causes sont susceptibles de provoquer
également une montée rapide du niveau des eaux : rupture de digue,
lachure de barrage,….. ,etc. Il s’agit alors d’événements accidentels dont
.la gestion peut également concerner les spécialistes d’hydrologie
: I.3.2-L’Onde crue
: Définition– 1
Modification des caractéristiques de l’écoulement due à une
augmentation brutale du débit dans une rivière ou dans un réseau
d’assainissement, par exemple du fait de précipitation forte, et se
.propageant vers l’aval
: Caracteristiques d’une onde crue-2
: L’onde crue est caractérisée essentiellement par
: Célérité (C) -2.1
Terme désignant la vitesse de propagation d’une onde de crue. La
célérité est généralement définie comme la variation instantanée du
débit en fonction de la section mouillée (célérité Kleitz-Sedon, valable
: pour les crues diffusantes)

Avec c : célérité de l’onde (m/s)


; Q : débit (m3/s)
S : section mouillée (m)
g :accélération la pesanteur (m/s2)
Atténuation ou Amortissement (x) : (Peak flow attenuation)- 2.2

Diminution du débit de pointe et allongement de la durée des


hydrogrammes lors de leur transfert dans des systèmes hydrauliques
.(biefs de rivière, tronçons du collecteur, etc.)

: Effets des systèmes hydrauliques sur les ondes de crue -2.2.1


Les systèmes hydrauliques affectent de deux façons les ondes de crue
: qui les traversent
Ils les retardent : l’eau mettant un certain temps pour parcourir le -
système, l’hydrogramme aval est décalé dans le temps par rapport à
; l’hydrogramme amont. Ce décalage temporel est appelé Lag time
Ils les amortissent : sous l’effet du phénomène de diffusion, -
l’hydrogramme aval est à la fois plus large et moins pointu que
.l’hydrogramme amont
La diminution du débit de pointe entre l’amont et l’aval est appelé
.attenuation de l’hydrogramme
: Importance du phénomène -2.2.2

Ce phénomène est d’autant plus marqué que le système hydraulique


présente des points de contrôle limitant les débits à l’aval et des
: capacités de stockage important. Il est
Très faible sur un tronçon de conduite pentue fonctionnant en régime •
; torrentiel
Sensible sur une partie du réseau avec un collecteur sous •
dimensionné et des possibilités de stockage sur le sol en cas de
; débordement ou dans le réseau lui-même
Important dans un ouvrage de stockage (par exemple un basin de •
.retenue). Dans ce cas on parle plutôt d’écrêtement de l’hydrogramme
L’atténuation des hydrogrammes est un facteur important de limitation
des débits de pointe à l’aval, que ce soit en réseau d’assainissement ou
sur les cours d’eau. La suppression des zones d’épanchement de crue,
la canalisation des rivières, le surdimensionnement des collecteurs
secondaires, le renforcement d’un réseau insuffisant, etc., sont autant
de facteurs susceptibles de limiter le phénomène d’atténuation et, en
conséquence d’augmenter sensiblement les risques d’inondation à
l’aval
: Type d’onde de crue

: On distingue
: Onde de crue diffusante (diffusion wave)-3.1
Le modèle de l’onde crue diffusante est obtenu en négligeant les deux
termes d’accélération dans la deuxième équation du système de Barré-
Saint Venant (variation de la vitesse en fonction du temps et en fonction
de l’abscisse).La deuxième équation s’écrit alors sous la forme
Ce modèle constitue une approximation satisfaisante dés lors que
l’écoulement n’est que peu affecté par des influences aval importantes
dues par exemple à des hétérogénéités de capacités d’écoulement
(alternance de sections suffisamment et insuffisamment
dimensionnées). Une simplification
souvent utilisée consiste à considérer que les quantités C et sont
indépendantes du temps. L’équation peu alors être résolue
analytiquement et l’on obtient le modèle d’Hayami. En terme de
comportement, le modèle de l’onde de crue diffusante est analogue à
une résolution particulière du modèle de Muskingum. [Cunge, 1969] a
d’ailleurs démontré que, moyennant quelques hypothèses , un schéma
numérique particulier de différences finies du modèle Muskingum
pouvait être considéré comme une approximation d’ordre deux de
l’onde de crue diffusante, ce dernier, c'est-à-dire le modèle de
.Muskingum sera développe en détail dans le chapitre suivant
: Onde de crue simple (kinematic wave)-3.2

Modèle obtenu en négligeant le terme de variation de hauteur dans le


modèle de l’onde de crue diffusante, c'est-à-dire la dérivée seconde du
débit par rapport à l’abscisse, soit encore en négligeant la courbure. En
pratique, ce modèle correspond au cas I=J, tout se passe comme si, à
chaque instant, la ligne d’eau était parallèle au fond. On obtient alors
: l’équation simple

Ce modèle correspond à un régime hydraulique variant suffisamment


lentement pour que l’on puisse négliger les termes de variation
temporelle devant les termes de variation spatiale. Ceci signifie en
particulier que, à un instant et en un point donnés, la vitesse moyenne
de l’eau est voisine de ce qu’elle serait en régime permanent pour la
même valeur de débit. En pratique, il peut être utilisé de deux façons
: différentes
Soit on considère que c est constant pendant toute la crue ; on -
retrouve alors le modèle dit translation simple (ou de time offset) :l’onde
de crue se propage de l’amont vers l’aval à vitesse constante et sans
; amortissement
Soit on discrétise l’hydrogramme à l’amont et on évalue une valeur de -
célérité différente pour chaque pas de temps, en fonction de la valeur du
débit amont. Les différentes tranches de débit sont ensuite
recomposées sur un pas de temps fixe à l’aval du bief. On obtient ainsi
un amortissement numérique. Ce modèle est voisin des modèles dits de
.stock
: Onde dynamique (dynamic wave)-3.3

Le modèle de l’onde dynamique est obtenu en négligeant la pente et les


termes de frottement dans l’équation de Barré de Saint Venant. En
pratique, ces hypothèses impliquent des ondes de hautes fréquences
(impulsions brèves et rapprochées) qui ne correspondent pas à des
phénomènes intéressants en hydrologie urbaine. Ce modèle ne présente
.donc que peu d’intérêt dans ce cadre

: I.4- Les inondations


; Elles sont la conséquence directe des crues
Définition de l'inondation -1
Une inondation est un phénomène de débordement des eaux en surface,
l'imprévisible se produisant généralement lors de très fortes
précipitations c'est la conséquence de la mise en charge des conduites
d'évacuation dues aux dépassements des débits critiques (de pointe :
de conception), ces mises en charge peuvent aussi être dues à la
.réduction des diamètres des conduites provoquées par le dépôt
Dans ce dernier cas, les inondations peuvent même se produire lors
d'une précipitation non exceptionnelle (comme c'est le cas de plusieurs
villes algériennes) si une politique efficace d'entretien et du curage des
.réseaux n'est pas adoptée
En site urbain, les débordements sont en fait des dysfonctionnements
d'origine hydraulique, l'eau ayant saturé le réseau s'échappe alors du
sous - sol circule aux grés des pentes pour venir se loger dans des
cuvettes naturelles de la surface (Points bas des chaussées, caves des
riverains…) ces débordements anarchiques et rapides sur n'importe
quelle partie du réseau (souvent en amont) et leurs conséquences
peuvent être dramatiques, le débordement peut ou non se manifester la
.où se trouve l'insuffisance
Impact des inondations -2
Une importante inondation entraîne très probablement sur l'ensemble
des secteurs ; sociaux, économiques et socio - économiques les
: impacts suivants

Impacts sociaux 2.1


Pertes éventuelles en vies humaines -1
Désordre et / ou destruction d'habitations -2
Apparition des problèmes hygiéniques lorsque il s'agit d'un réseau -3
unitaire (apparition des maladies)

Impacts économiques 2.2


Fermeture des voies de circulation (routes, voies ferrées…) induisant -1
.les embouteillages, des retards et des absences au travail
Perturbation et / ou destruction partielle des infrastructures à -2
.caractère économiques
.Perturbation et / ou arrêt partiel des activités à intérêt économiques -3

Impacts socio - économiques 2.3


Défaillances des réseaux d'eau potable, d'assainissements, -1
.électriques et téléphoniques
Difficultés d'intervention des équipes de sauvetage sur les zones -2
.inondées

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