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SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE (I) : PRESENTATION DU PROJET
III.1. Introduction.
III.2. Règles et principes de tracé en plan.
III.3. Les éléments du tracé en plan.
III.4. Les courbes de raccordements.
III.5. Paramètres fondamentaux.
III.6. Calcul d’axe manuellement.
IV.1. Définition.
IV.2. Règles à respecter dans le tracé du la ligne rouge.
IV.3. Coordination entre le tracé en plan et le profil en long.
IV.4. Déclivités.
IV.5. Raccordements en profil en long.
IV.6. Détermination pratiques du profil en long
IV.7. exemple
CHAPITRE (V)de
: calcul de profil en long. PROFIL EN TRAVERS
V.1. Définition.
V.2. Les éléments du profil en travers.
V.3. Classification du profil en travers.
CHAPITRE (VI) : CUBATURES
VI.1. Introduction.
VI.2. Définition.
VI.3. Méthodes de calcul des cubatures.
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
VII.1. Introduction.
VII.2. Principe de la constitution des chaussées.
VII.3. Les différents types de chaussées.
VII.4. Méthodes de dimensionnement.
VII.5. Application au projet.
VII.6. Conclusion.
IX.1. Définition.
IX.2. les différents types de carrefour.
IX.3. Données utiles à l’aménagement d’un carrefour.
IX.4. principes généraux d’aménagement d’un carrefour.
X.1. Introduction. 85
X.2. L’objet de la signalisation routière. 85
X.3. Types de signalisation. 85
X.4. Les critères de conception de la signalisation. 86
CONCLUSION GENERALE.
BIBLIOGRAPHIE.
ANNEXE.
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE
(I)
PRESENTATION DE PROJET
.
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
CHAPITRE
(II)
ÉTUDE DE TRAFIC
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
II.1. INTRODUCTION:
L’étude de trafic est une étape primordiale dans toute réflexion relative à
un projet routier. Cette étude permettra de déterminer la virulence du trafic
et son agressivité, et aussi le type d’aménagement à réaliser.
Pour résoudre la plupart des problèmes d’aménagement ou
d’exploitation routiers, il est insuffisant de connaître la circulation en un
point donnée sur une route existante, il est souvent nécessaire de connaître
les différents courants de circulation, leurs formations, leurs
aboutissements, en d’autres termes de connaître l’origine et la destination
des différents véhicules.
Enfin, l’étude de trafic permet de mesurer l’efficacité économique et
sociale d’un projet routier, qu’il soit neuf ou une réhabilitation, en effet un
projet routier quel qu’il soit a un impact sur l’emploi, les transport,
l’économie et l’environnement bien sû r.
II.3.a)Trafic normal:
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Environnement E1 E2 E3
Route à bonne caractéristique 2-3 4-6 8-12
Route étroite, ou à visibilité réduite 3-6 6-12 16-24
Tel que :
Cth : la capacité théorique.
Environnement E1 E2 E3
K1 0.75 0.85 0.9 à 0.95
Capacité théorique
Route à 2 voies de 3.5 m 1500 à 2000 uvp/h
Route à 3 voies de 3.5 m 2400 à 3200 uvp/h
Route à chaussées séparées 1500 à 1800 uvp/h
Q ≤ Qadm
Chaussée unidirectionnelle :
Le nombre de voies par chaussée est le nombre le plus proche du
« N » avec :
s.Q
N=
Qadm
Tel que :
Teff2034,1= [(1 - 0.05) + 6× 0.05] 13035. Teff2034,2= [(1 - 0.05) + 6× 0.05] 2370.
Teff2034,1= 16294 uvp/j. Teff2034,2= 2963 uvp/j.
Débit admissible :
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
Q ≤ Qadm = K1×K2×Cth
Qadm =Cth x (K1× K2).
Cth=3000 (d'après le B40 pour E2, C4 et pour une chaussée à 2X2voies et 14m
de largeur).
Qadm =3000 × (0.85×0.98)
Qadm= 2499 uvp/h.
Qadm =2499uvp/h.
On a Qadm>Q donc c’est vérifié.
De même pour la 2eme
JMA2012 TJMA2014 TJMA2034 Teff2034 Q2034 N
CHAPITRE
(III)
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
TRACE EN PLAN
.
III.1. INTRODUCTION :
Dans sa définition, le tracé en situation ou le tracé horizontal au Le tracé en plan est
la projection verticale de la route sur un plan horizontale. Ce plan est en générale une
carte topographique ou un plan de situation ou le relief du terrain est représenté par
des courbes de niveau.
Les caractéristiques des éléments constituant le tracé en plan doivent assurer les
conditions de confort et de stabilité et qui sont données directement dans les codes
routiers en fonction de la vitesse de base et la rugosité de la chaussée assuré par la
couche de roulement.
Dans un virage R un véhicule subit l’effet de la force centrifuge qui tend a provoque
une instabilité du système, afin de réduire l’effet de la force centrifuge en incline la
chaussée transversalement vers l’intérieure du virage (éviter le phénomène de
dérapage) d’une pente dite devers exprimée par sa tangente.
L’équilibre des forces agissant sur le véhicule nous amène à la conclusion suivante :
2
VB
RHm =
127. ( f t +d )
NB :
« d » ne doit pas être trop grand (risque de glissement à faible vitesse par
temps pluvieux ou verglas)
« d » ne doit pas être trop faible pour assurer un bon écoulement des eaux.
Ce ci nous conduit à la série de couples (R, d).
Au devers maximum correspond le rayon minimum absolu RHm avec :
dmax = 7% pour les catégories (1– 2) ;
dmax = 8% pour les catégories (3 – 4) ;
dmax = 9% pour la catégorie 5.
Conséquences :
Rayon horizontal minimal absolu :
C’est le rayon minimum pour lequel la stabilité du véhicule est assurée, il ne faut
jamais descendre au-dessous de cette valeur, et il est défini comme étant le rayon de
devers maximal.
2
VB
RHm =
127. ( ft + d max )
Rayon minimal normal :
2
V B +20
RHn =
127. ( ft +d max )
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Si le rayon est très grand, la route conserve son profil en toit et le devers est négatif
pour l’un des sens de circulation ; le rayon min qui permet cette disposition est le
rayon min non déversé (RHnd).
2
VB
RHnd =
127×0,035
Pour: Cat 1-2
2
VB
RHm =
127. ( f''- 0,03 )
Pour : Cat 3-4-5
Avec :
f’’= 0.07 cat 3
f’’= 0.075 cat 4 -5
- visibilité en courbe :
Un virage d’une route peut être masqué du coté inférieur du courbe par un talus de
déblai, ou par une construction ou forêt. Pour assurer une visibilité étendue au
conducteur d’un véhicule, il va falloir reculer le talus ou abattre les obstacles sur une
certaine largeur à déterminer. Au lieu de cela, une autre solution serait d’augmenter
le rayon du virage jusqu'à ce que la visibilité soit assurée.
- Sur largueur :
Inscription des véhicules longs dans les courbes de rayons faibles :
Lorsqu’un véhicule circule dans une courbe, il occupe une largeur plus grande que
sur l’alignement droit ; compte tenu de l’empattement du véhicule, les roues arrière
n’épousant pas exactement le tracé de celles de devant.
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- R : ripage.
- : angle des tangentes.
- TC : tangente courte.
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- TL : tangente langue.
- s : angle polaire.
- SL : corde KE – KA.
- M : centre du cercle d’abscisse XM.
- XM : abscisse du centre du cercle de M à partir de KA.
- YM : ordonnée du centre du cercle M à partir de KA.
Elément de la Clothoïde.
R : rayon en (m).
d : variation de dévers.
Condition de gauchissement :
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La demi chaussée extérieur au virage de C.R est une surface gauche qui imprime un
mouvement de balancement au véhicule .le raccordement doit assurer à la voie un
aspect satisfaisant en particulier dans les zones de variation des dévers.
A cet effet on limite la pente relative de profil en long du bord de la chaussée
déversé et de son axe de tel sorte que p < 0,5/VB.
L ≥l. d. VB
L : longueur de raccordement.
l : largeur de la chaussée.
d : variation de dévers.
Remarque
La vérification des deux conditions de gauchissement et au confort dynamique, peut
ce faire à l’aide d’une seule condition qui sert à limiter pendant le temps de parcours
du raccordement, la variation par unité de temps, du dévers de la demi-chaussée
extérieure au virage. Cette variation est limitée à 2%.
5
L ≥ ∆d. V B
36
Le calcul d’axe se fait à partir d’un point fixe dont ont connaît ces cordonnées; il doit
suivre les étapes suivantes :
- Calcul des gisements ;
- Calcul des l’angle entre les alignements ;
- Calcul de la tangente T ;
- Calcul de la corde polaire SL ;
- Vérification de non- chevauchement ;
- Calcul de l’arc en cercle ;
- Calcul des coordonnées de points particuliers ;
- Calcul de kilométrage des points particuliers.
Les alignements :
Avantages bonne visibilité
Plus court chemin
Economie du temps et du carburant
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Fatigue-impatience
Arc de cercle:
Trois éléments interviennent pour limiter les courbures :
Visibilité en courbe
Stabilité des véhicules (la centrifuge)
Inscription des véhicules longs dans les
courbes de rayon faible
La courbe de raccordement :
Le fait que le tracé soit constitué d’alignement et d’arc ne suffit
pas, il faut donc prévoir des raccordements à courbure progressif, qui
permettent d’éviter la variation brusque de la courbe lors du passage
d’un alignement à un cercle ou entre deux courbes circulaires et ça
pour assurer :
La stabilité transversale du véhicule.
Confort des passagers du véhicule.
Transition de la forme de la chaussée.
Condition optique
Condition de confort dynamique
Condition de gauchissement
R S3
B
A
S1
S2
S1 9793,52 199797,05
S3 9977,09 199977,11
ΔX 72, 30
GSS 21 = Arctg = Arctg =49 , 51 gr
ΔY 73 , 4
ΔX 111, 26
GSS 32 = Arctg = Arctg =51 , 34 gr
ΔY 106 , 66
ΔX 192, 67
GSS 31 = Arctg = Arctg =49 ,89 gr
ΔY 193 ,3
Calcul de l’angle :
γ=G SS 32−G SS 21=51 , 34−49 , 51=1 , 83 gr
Calcul de tangente :
γ 1, 83
T =Rtg =600 tg =8 ,62 m
2 2
S2 S3 =√ ΔX 2 + ΔY 2 =154 , 12 m
S1 S3 =√ ΔX 2 +ΔY 2 =273 , 06 m
Coordonnée du sommet :
X S 2= X S 1 +S 1 S 2 sin(100−GSS 21 )
X S 2=9793,52+103 ,02 sin (100−49 , 51)=9866 , 92 m
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Y S2 =Y S1 +S 1 S 2 cos(100−G SS 21 )
Y S2 =199797,05+103 , 02 cos(100−49 ,51 )=199869 ,33 m
X B=X S 2 +T cos(100−GSS 32 )
X B=9865 , 83+8 ,62 cos(100−51 , 34 )=9872 , 05 m
Y B=Y S 2 +T sin(100−GSS 32 )
Y B=199870 , 45+8 , 62 sin(100−51, 34 )=199876 , 41m
S1 9986,08 199991,5
S3 9964,50 200128,88
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Calcul du paramètre A :
Détermination de L :
R 100
≤A≤R D ' ou < A <100
3 3
Calcul de ∆R :
L 12 ,25
= =0 , 1225 m
R 100
Le gisement d’une direction est l’angle fait par cette direction avec le
nord géographique dans le sens des aiguilles d’une montre.
ΔX 2 , 97
GSS 21 = Arctg = Arctg =2 .1383 gr
ΔY 88 ,39
ΔX 24 , 55
GSS 32 =400− Arctg =400− Arctg =370 . 4261 gr
ΔY 48 , 99
S1 S2 =√ ΔX 2 +ΔY 2 =88 . 44 m
S2 S3 =√ ΔX 2 + ΔY 2 =54 . 79 m
Calcul de l’angle :
γ =G SS 21−G SS 32=(2 ,1383−370 , 4261 )+400=31, 7122 gr
Calcul de l’angle :
L 200 12 , 25 200
× =3 , 8992 gr
= 2R . π = 2×100 π
= 3,8992 grades
G KE 1
KA 1 =2 ,1383−1. 3=0 , 8383 gr
X KE 1 =X KA 1 + S L sin G KE 1
KA 1 X KE 1 =9990 , 11+12 , 24 sin 0, 8383=9990 ,27 m
Y KE 1 =Y KA 1 + S L cos G KE 1
KA 1 Y KE 1 =200111, 44 +12 ,24 cos0 , 8383=200123 ,67 m
CHAPITRE
(IV)
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
PROFIL EN LONG
IV.1. DEFINITION :
Le profil en long est une coupe verticale passant par l'axe de la route, développée et
représentée sur un plan à une certaine échelle.
Le but principal du profil en long est d’assurer pour le conducteur une continuité
dans l’espace de la route afin de lui permettre de prévoir l’évolution du tracé et une
bonne perception des points singuliers.
Le profil en long est constitue deux éléments géométriques :
Lignes droites (déclivités).
Arcs de cercle tangents.
IV.2. REGLES A RESPECTER DANS LE TRACE DE LA LIGNE ROUGE :
Le tracé de la ligne rouge qui constitue la ligne projet retenue n’est pas arbitraire,
mais elle doit répondre à certaines conditions concernant le confort, la visibilité, la
sécurité et l’évacuation des eaux pluviales. Parmi ces conditions il y a lieu :
D’adapter au terrain naturel pour minimiser les travaux de terrassement qui
peuvent être coûteux.
De rechercher l’équilibre adéquat entre le volume de remblais et de déblais.
De ne pas dépasser une pente maximale préconisée par les règlements.
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
L’angle que fait le profil en long avec l’horizontal .Elle prend le nom de pente pour les
descentes et rampe pour les montées.
IV.4.1. Déclivité minimum :
Les tronçons de route absolument horizontaux, dits « en palier » sont si possible a
éviter, pour la raison de l’écoulement des eaux pluviales.la pente transversale seule
de la chaussée ne suffit pas, il faut encore que l’eau accumulée latéralement s’évacue
longitudinalement avec facilité par des fossés ou des canalisations ayant une pente
suffisante. Il est conseillé d’éviter les pentes inférieures à 1% et surtout celle inférieur
à 0.5 %, pour éviter la stagnation des eaux.
IV.4.1. Déclivité maximum :
Du point de vue technique, la déclivité maximale dépend de l’adhérence entre pneus
et chaussée (ce phénomène concerne tous les véhicules), ainsi de la réduction des
vitesses qu’elle provoque ou les camions (poids lourds) sont déterminants car la
plupart des véhicules légers ont une grande de puissance. Donc Il est conseillé
d’éviter les pentes supérieures à 7%.
IV.5. LES RACCORDEMENTS EN PROFIL EN LONG :
Les changements de déclivités constituent des points particuliers dans le profil en
long. Ce changement doit être adouci par l’aménagement de raccordement circulaire
qui y doit satisfaire les conditions de visibilité et de confort. On distingue deux types
de raccordements :
IV.5.1. Raccordements convexes :
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D’ou :
Rv 0, 30 V2 (cat 1-2).
Rv 0, 23 V2 (cat 3-4-5).
Tel que :
Rv : c’est le rayon vertical (m).
V : vitesse de référence (km /h).
Dans le cas de raccordement dans les points bas, la visibilité diurne n’est pas
déterminante, plutôt c’est pendant la nuit qu’on doit s’assurer que les phares du
véhicule devront éclairer un tronçon suffisamment long pour que le conducteur
puisse percevoir un obstacle, la visibilité est assurer pour un rayon satisfaisant la
relation :
2
' d1
RV =
(1.5 + 0,035 × d 1 )
Calculs de La tangente :
R
T= |P - P2|
2 1
On prend (+) lorsque les deux pentes sont de sens contraires, on prend (-) lorsque les
deux pentes sont de même sens.
La tangente (T) permet de positionner les pentes de tangentes B et C.
E X E = xs - T ; F X F = xs + T
ZE = zs - T.P1 ZF = zs - T.P2
Projection horizontale de la longueur de raccordement :
LR=2T
Calcul de la flèche :
2
T
H=
2R
Calcul de la flèche Et de l’altitude d’un point courant M sur la courbe :
HX = x2 / 2R
M
ZM = ZB + Xp1- X2/ 2R
Calcul des cordonnées du sommet de la courbe (T) :
Le point J correspond au point le plus haut de la tangente horizontale.
Dans le cas des pentes de même sens le point J est en dehors de la ligne de projet et
ne présente aucun intérêt. Par contre dans le cas des pentes de sens contraire, La
connaissance du point (J) est intéressante en particulier pour l’assainissement en
zone de déblai, le partage des eaux de ruissellement se fait a partir du point J, c’est à
dire les pentes des fossés descendants dans les sens J ver A et D.
CHAPITRE
(V)
PROFIL EN TRAVERS
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
V.1. DEFINITION :
Profil en travers est une coupe transversale menée selon un plan vertical
perpendiculaire à l’axe de la route projetée.
Un projet routier comporte le dessin d’un grand nombre de profils en travers, pour
éviter de rapporter sur chacun de leurs dimensions, on établit tout d’abord un profil
unique appelé «profil en travers type» contenant toutes les dimensions et tous les
détails constructifs (largeurs des voies, chaussées et autres bandes, pentes des
surfaces et talus, dimensions des couches de la superstructure, système d’évacuation
des eaux etc.…).
V.2. LES ELEMENTS DU PROFIL EN TRAVERS :
La chaussée:
C’est la partie affectée à la circulation des véhicules.
La largeur roulable:
Elle comprend les sur largeurs de la chaussée, la chaussée et la bande d’arrêt.
Plate forme:
C’est la surface de la route située entre les fossés ou les crêtes des talus de remblais,
comprenant la chaussée et les accotements, éventuellement les terrepleins et les
bandes d’arrêts.
L’assiette:
C’est la surface de la route délimitée par les terrassements.
L’emprise:
C’est la surface du terrain naturel affectée à la route et à ses dépendances (talus,
Chemins de désenclavement, exutoires, etc.…) limitée par le domaine public.
Les accotements:
En dehors des agglomérations, les accotements sont dérasés. Ils comportent
Généralement les éléments suivants :
Une bande de guidage.
Une bande d’arrêt.
Une berme extérieure.
Le terre-plein central:
Il s’étend entre les limites géométriques intérieures des chaussées. Il comprend :
Les sur largeurs de la chaussée (bande de guidage).
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
CHAPITRE
(VI)
CUBATURES
ESSQUISSE ROUTE 5éme ANNEE
VI.1. INTRODUCTION :
La réalisation d’une infrastructure de travaux publics nécessite toujours une
modification du terrain naturel sur lequel sera implanté le projet. Pour les voies de
circulations celles ci sont très visibles sur les profils en longs et les profils en travers.
Cette modification s'effectue soit par apport à la terre sur le sol du terrain naturel,
qui lui servira de support remblai, soit par excavation des terres existantes au dessus
du niveau de la ligne rouge déblai.
Pour réaliser ces voies il reste à déterminer le volume de terre se trouvant entre le
tracé du projet et celui du terrain naturel. Ce calcul s'appelle ((les cubatures des
terrassements)).
VI.2. DEFINITION :
Les cubatures de terrassement, c’est l’évolution des volumes de déblais que
comporte le projet à fin d’obtenir une surface uniforme et parallèlement sous
adjacente à la ligne projet :
Les éléments qui permettent cette évolution sont :
Les profils en long
Les profils en travers
Les distances entre les profils.
Les profils en long et les profils en travers doivent comporter un certain nombre de
points suffisamment proches pour que les lignes qui joignent ces points soit différents
le moins possible de la ligne du terrain qu’il représente.
VI.3. METHODES DE CALCUL DES CUBATURES :
Les cubatures sont Les calculs effectués pour avoir les volumes des terrassements
existants dans notre projet. Les cubatures sont fastidieuses, mais :
Il existe plusieurs méthodes de calcul des cubatures qui simplifie le calcul.
Le travail consiste a calculé les surfaces SD et SR pour chaque profil en travers,
en suite on les soustrait pour trouver la section pour notre projet.
On utilise la méthode SARRAUS. C’est une méthode simple qui se résume dans le
calcul des volumes des tronçons compris entre deux profils en travers successifs.
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TN : Terrain Naturelle.
SD : Surface Déblai.
SR : Surface Remblai.
VI.3.1. La formule de SARRAUS :
On calcule séparément les volumes des tronçons compris entre deux profils en
travers successifs en utilisant la formule des trois niveaux ou formule au prismatoide.
L
V= ( S1 + S2 + 4 × SMOY )
6
Li
Vi = ×( Si + S i+1 )
2
L1 L1 + L2 L2 + L3 L3 + L4 L4
V = S1 + S2 + ×0+ S3 + S4
2 2 2 2 2
CHAPITRE
(VII)
VII.1. INTRODUCTION :
On entend par dimensionnement des chaussées l’épaisseur à donner à un corps
chaussée, Elle doit être suffisante pour qu’elle ait une durée convenable, et non
Surabondante pour éviter les dépenses superflues.
Pour cela la qualité de la construction des chaussées, passe d’abord par une Bonne
reconnaissance du sol support et un choix judicieux des matériaux à utiliser, lui
permettant de résister aux agressions des agents extérieurs et aux surcharges
D’exploitation.
La chaussée doit permettre la circulation des véhicules dans les conditions de
confort et de sécurité voulue. Si le corps de chaussée se repose sur un sous-sol
présentant une portance insuffisante. On est donc amène à apporter sur le sol
naturel une épaisseur quelque fois importante de matériaux choisis dont la qualité va
croitre au fur et a mesure qu’on se rapproche de la surface de la chaussée car les
matériaux seront soumis a pression fort au fur et a mesure qu’il se rapproche de la
surface de roulement.
Le calcul et la justification des épaisseurs des différentes couches de la structure de
chaussée retenue, sont fixes en fonction des paramètres fondamentaux qui sont :
L’environnement de la route.
Le trafic.
La nature du sol support.
Les matériaux choisis.
La durée de vie de la chaussée.
N
100 + √ P × [ 75 + 50 × log ( ) ]
10
e =
I CBR + 5
N : désigne le nombre moyen de camion de plus 1500 kg à vide.
P : charge par roue P = 6.5 t (essieu 13 t).
Log : logarithme décimal.
e : Epaiseur equivalent.
Remarque :
Pour le calcul de l’épaisseur réelle de la chaussée, on fixe e1 et e2 et on calcul e3,
généralement les épaisseurs adoptées sont :
[
T C = T PL 1+
( 1+τ ) -1 ]
(1+τ) n+1 -(1+τ)
× 365
On voit bien que ces deux conditions ne sont bien remplies que dans le cas
d’uneroute ayant un revêtement constitué d’un mince gravillonnage.
Pour les routes à fondation en matériaux granuleux, la méthode CBR peut être
considérée comme satisfaisante mais non appropriée dans sa forme au calcul
de chaussées qui ont une fondation faite de matériaux liés (cas de toutes
chaussées neuves en général)
Les données :
TJMA 2034=13035V/J
I CBR=4
Z= 5%
τ =4%
Durée de vie 20 ans
TPL=13035x0,05x0,9=587 PL/J/sens
ETOTALE =100+ √ 6 , 5¿ ¿
ETOTALE =100+ √ 6 , 5¿ ¿
ETOTALE =58 cm
On fixe
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E3 =EBB =8 cm
E2= EGB=15 cm
ETOT −(a2 × E2 + a3 × E3 )
E1=
a1
58−(1 , 5× 15+ 2× 8)
E 1=
1
Matériaux Epaisseur(cm)
BB( cm) 7
GB( cm) 20
GNT( cm) 30
TOTAL( cm) 57
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CHAPITRE
(VIII)
ASSAINISSEMENT
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VIII.1. INTRODUCTION :
L’assainissement des voies de circulation comprend l’ensemble des dispositifs à
prévoir et réaliser pour récolter et évacuer toutes les eaux superficielles et les eaux
souterraines, c’est à dire :
l’assèchement de la surface de circulation par des pentes transversale et
longitudinale, par des fossés, caniveaux, curettes, rigoles, gondoles, etc.…
les drainages : Ouvrages enterrés récoltant et évacuant les eaux souterraines
(tranchées drainantes et canalisations drainantes).
les canalisations : ensemble des ouvrages destinés à l’écoulement des eaux
superficielles (conduites, chambre, cheminées, sacs, …).
VIII.2. DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES :
L’assainissement des routes doit remplir les objectifs suivants :
Assurer l’évacuation rapide des eaux pluvial et s’écoulant directement sur le
revêtement de la chaussée (danger d’aquaplaning).
Le maintien de bonne condition de viabilité.
Réduction du coût d’entretien.
Eviter les problèmes d’érosions.
La sauvegarde de l’ouvrage routier (car l’eau accélère la dégradation de la
surface, augmente la teneur en eau du sol support, entraînant par la suite des
variations de portance et diminue la qualité mécanique de la chaussée).
VIII.2.1. Drainage des eaux souterraines :
a)- Nécessité du drainage des eaux souterraines :
Les eaux souterraines comprennent d'une part, les eaux de la nappe phréatique et
d'autre part, les eaux d'infiltrations. Leurs effets sont nocifs si ces eaux détrempent la
plate-forme, ce qui peut entraîner une baisse considérable de la portance du sol. Il
faut donc veiller à éviter :
La stagnation sur le fond de forme des eaux d'infiltration à travers la chaussée.
La remontée des eaux de la nappe phréatique ou de sa frange capillaire jusqu'au
niveau de la fondation.
b)- Protection contre la nappe phréatique :
La construction d'une chaussée modifie la teneur en eau du sol sous-jacent, car le
revêtement diminue l'infiltration et l'évaporation. Si la portance du sol est faible, on
pourra :
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Qa = K.C.I.A
K : coefficient de concentration, K = 1/360.
C : coefficient de ruissellement.
I : l’intensité de l’averse exprimée (mm/h).
A : superficie(Aire) du bassin versant (HA).
VIII.4.1. Détermination de l’intensité :
Pour déterminer l’intensité on utilise la courbe « Intensité-Durée-fréquence ».qui
donne l’intensité en fonction de la période de retour et la durée (temps de
concentration).
La période de retour :
Les buses seront dimensionnées pour une période de retour 10 ans.
Les ponceaux (dalots) seront dimensionnés pour une période de retour 50 ans.
Les ponts dimensionnées pour une période de retour 100 ans.
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Le tems de concentration :
La période ( t) de l’averse qui produit le débit maximum Q étant prise égale au temps
de concentration.
Dépendant des caractéristiques du bassin drainé ; Le temps de concentration est
estimé respectivement d’après Ventura, Passini, Giandothi, comme suit :
Lorsque A < 5 km² : t c = 0,127 ×
√
A
P
√AL
3
Lorsque 5 km² A < 25 km² : t c = 0,108 ×
√P
4 √ A +1.5 L
Lorsque 25 km² A < 200 km² : t C =
0.8 √ H
Type de chaussée C
Chaussée revêtement en enrobés 0.80 à 0.95
Accotement (sol légèrement perméable) 0.15 à 0.40
Talus 0.10 à 0.30
Terrain naturel 0.05 à 0.3
section mouillée
Rh =
périmètre mouillé
Le périmètre mouillé :
Pm= b + 2.B
Avec : B¿ √ h2 + e2 =√ h2 + h2 n 2 = h ×√ 1+ n2
Pm = b + 2 .h ×√ 1+ n2
Les dimensions du fossé obtenues, en écrivant l’égalité, débit d’apport Qa et débit de
saturation Qs.
VIII.4.4.2. Calcul Le Rayon hydraulique :
h.(b + n.h)
Rh = S m / Pm =
b+2 h √ 1 + n2
VIII.4.4.3. Calcul des dimensions des fossés :
Les dimensions des fossés sont obtenues en écrivant l’égalité du débit d’apport et débit
d’écoulement au point de saturation.
Qa = Qs = K. I. C. A = Kst. J1/2. S. RH2/3 Q= F (h).
D’où
La hauteur (h) d’eau dans le fossé correspond au débit d’écoulement au point de
saturation. Cette hauteur sera obtenue, en égalisant le débit d’apport au débit de
saturation.
Qa = Qs = F(h) et calcul se fera par itération
Qa = Qs = K. I. C. A = Kst. J1/2. S. RH2/3
( ) [ ]
1 2/3
h .( b+n.h )
Qa = Qs = Kst . J 2 .h . ( b + n.h ) .
b+2h √ 1+ n 2
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CHAPITRE
(IX)
IX.1. DEFINITION :
Le carrefour est une partie importante d’une route. L’efficacité, la vitesse, la sécurité,
le coût d’exploitation et la capacité en dépendent.
Le carrefour à niveau est le lieu de l’intersection de deux ou plusieurs routes au
même niveau.
IX.2. LES DIFFERENTS TYPES DE CARREFOUR :
Les principaux types de carrefour que présentent les zones urbaines sont :
IX.2.1.Carrefour à trois branches (en T) :
C’est un carrefour plan ordinaire à trois branches secondaires unique et orthogonale,
Le courant rectiligne domine, mais les autres courants peuvent être aussi
d’importance semblable.
IX.2.2. Carrefour à trois branches (en Y):
C’est un carrefour plan ordinaire à trois branches, comportant une branche
secondaire uniquement et dont l'incidence avec l'axe principale est oblique
(s'éloignant de la normale de plus 20°)
IX.2.3.Carrefour à quatre branches (en croix) :
C’est un carrefour plan à quatre branches deux à deux alignées (ou quasi)
IX.2.4.Carrefour type giratoire ou carrefour giratoire :
C’est un carrefour plan comportant un îlot central (normalement circulaire)
matériellement infranchissable, ceinturé par une chaussée mise à sens unique par la
droite, sur laquelle débouchent différentes routes et annoncé par une signalisation
spécifique.
Les carrefours giratoires sont utiles aux intersections de deux ou plusieurs routes
également chargées, lorsque le nombre des véhicules virant à gauche est important.
La circulation se fait à sens unique autour du terre-plein (circulation ou avale).
Aucune intersection ne subsiste; seuls des mouvements de convergence, de
divergence et d'entrecroisement s'y accomplissent dans des conditions sûres et à
vitesse relativement faible.
Les longueurs d'entrecroisement qui dépendent des volumes courants de
circulation qui s'entrecroisent, déterminent le rayon du rond point.
Une courbe de petit rayon à l'entrée dans le giratoire freine les véhicules et permet
la convergence sous un angle favorable (30 à 40°).
En revanche, la sortie doit être de plus grand rayon pour rendre le dégagement
plus aisé.
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CHAPITRE
(X)
SIGNALISATION
X.1. INTRODUCTION :
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Marquages transversales :
lignes d’arrêt ;
Lignes « céder le passage » ;
Passage pour piétons.
Marquages complémentaire :
Flèches de sélection de rives ;
Flèches de rabattement ;
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Indications particulières.
Dimensions des marquages :
La largeur des lignes est définie par rapport a une largeur unité «u» différente selon
le type de route ; on adopte les valeurs suivantes pour « u » :
U = 7,5 cm ; sur routes de types autoroutier et voies rapides urbaines.
U = 6 cm ; sur routes express a une chaussée et routes principales
bidirectionnelles.
U = 5 cm ; sur les autres routes.
Pour notre cas la largeur des lignes est définie d’un U= 6 cm.
Modulation des lignes discontinues :
Trois types de modulation ont été retenus, se différenciant par rapport des pleins aux
vides ; ces modulations (tirets plus intervalles) sont des multiples ou sous-multiples
de 13 (m).le tableau ci-après donne leurs caractéristiques :
Signalisation verticale
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A1b A1a
Virage à gauche Virage à droite
A3 A15a2
Chaussée rétrécie Passage d'animaux domestiques
Limitation de vitesse
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B1 B21-1 AB3a
Sens interdit à tout Obligation de tourner à droite Cédez le passage à
véhicule avant le panneau. l'intersection. Signal de
position
AB25 Giratoire
Carrefour à sens giratoire
PRIX
DESIGNATION UNITE QUANTITE UNITAIRE EN MONTANT
(DA)
1) Acquisition de terrain M2 / 1000 /
TOTAL 1: /
2) Installation de chantier et 3% du total
F 839056,8
repliement (3+4+5)
TOTAL 2: 839056.8
3) Dégagement de l'emprise
arrachement des arbres,
abatages d'arbres toutes M2 / 120 /
tailles,
TOTAL 3: /
4) Terrassement
Décapage de la terre végétale
M2 8100 50 405000
épaisseurs de 20 à 30cm
Déblai en terrain meuble mis
M3 / / /
en remblai
Déblai excédentaire en terrain
M3 / / /
meuble mise en dépôt
Remblais d'emprunt M3 2430 390 947700
TOTAL 4: 1352700
5) Chaussée
Mise en place d'une couche 4560
M3 600 2736000
de forme
couche de fondation en TVO M3 2280 600 1368000
Couche de base en grave
T 2800 5500 15400000
bitume
Couche d'imprégnation en
T 5.6 7800 43680
émulsion 700 à 800 g/m2
Couche de roulement en
T 1176 6000 7056000
béton bitumineux
Couche d'accrochage
T 2.1 5800 12180
dosée 200 à 300g/m2
TOTAL 5: 266 158 60
2
6) Ouvrages d'art M / / /
TOTAL 6: /
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10% total
7) Ouvrages d'art courant
F (3+4+5) 2796856
et assainissement
TOTAL 7: 2796856
8) Impact sur 1% du total
F / 279685,6
l'environnement (3+4+5)
TOTAL 8: 279685,6
5% du total
9) Signalisation F 1398428
(3+4+5)
TOTAL 9: 1398428
10) Glissières de sécurité
ML / / /
métalliques
TOTAL 10: /
2% total
11) Contrôle (bureau
F (3+4+5) 559371,2
d’étude et laboratoire)
TOTAL 11: 559371,2
TOTAL: 338 419 57.6
TVA 17% 5753132.792
TOTAL EN DINARS TTC 39595090.39
(Trois milliard neuf cent cinquante neuf million cinq mille quatre-vingt-dix
dinars algérien).
CONCLUSION GENERALE
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Dans notre étude, nous avons essayé de respecter toutes les normes existantes
qu’on ne peut pas négliger et qu'on a prés en considération, le confort, la sécurité
des usagers puis l’économie.
Cette étude nous a permis de cerner tous les problèmes techniques qui peuvent se
présenter dans un projet routier.
Encore une fois, ce modeste travail nous a poussé à mieux maîtriser l’outil
informatique en l’occurrence les logiciels: Piste, covadis et AUTOCAD, vue leur
traitement rapide et la précision de leur résultats.
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE