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Religion punique

ensemble de croyances

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La religion punique est celle des


habitants de Carthage et des régions qui
ont été sous son influence dans le bassin
occidental de la Méditerranée.

La „Dame d'Ibiza“, probablement la


déesse Tanit, trouvée dans la
nécropole punique de Puig des Molins
à Ibiza.

Bien qu'issue de la religion phénicienne,


de caractère profondément ouest-
sémitique, des différences locales
apparaissent dès la fondation de
Carthage. Après la conquête de ces
régions par l'Empire romain aux
iiie siècle av. J.-C. et iie siècle av. J.-C., les
pratiques religieuses puniques ont
continué ; elles auraient pu survivre
jusqu’au ive siècle. Comme avec la
plupart des cultures antiques, la religion
punique régissait la vie quotidienne des
Carthaginois et il n’y avait pas de
distinction entre les sphères religieuses
et laïques.

La religion carthaginoise a fait l'objet de


débats historiographiques en raison des
accusations de monstruosité portées sur
les rites de sacrifices d'enfants que
mentionnent des sources antiques, de
Diodore de Sicile à Tertullien, et que
diverses découvertes archéologiques
(nécropoles pour enfants) peuvent
sembler étayer ; la question de leur
réalité n'est toutefois pas tranchée.

Histoire

Origine

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Expansion

Les cultes et leur pratique ont laissé des


traces visibles dans les différentes
colonies phéniciennes de Méditerranée
occidentale, devenues carthaginoises,
mais aussi chez les peuples entrés en
contact avec cette civilisation, comme
les Berbères de Numidie et de
Maurétanie et les Ibères. [réf. nécessaire]

Panthéon

Brûle-parfum de Carthage
représentant Ba'al Hammon avec une
tiare à plumes (iie siècle av. J.-C.),
argile, musée national de Carthage.

La mythologie de Carthage est en grande


partie héritée de celle des Phéniciens, et
sa religion, malgré une transcription en
latin ou en grec dans les sources
antiques, garde tout au long de son
histoire ce caractère profondément
ouest-sémitique[A 1].

Le panthéon, fondé sur une base


sémitique, évolue au cours du temps,
souvent après une rencontre avec des
traditions locales. De plus, certaines
divinités acquièrent dans diverses
colonies le caractère de poliade : Tinnit
ou Tanit a pu être considérée comme la
poliade de Carthage, Melkart jouant ce
rôle à Gadès — lieu où il possédait un
temple réputé — tout comme Sid (Sardus
Pater à l'époque romaine) en
Sardaigne[B 1]. Le panthéon, qui possède
un nombre relativement élevé de
divinités[B 2], est dominé par Ba'al
Hammon en Afrique du Nord et souvent
accompagné de Tanit (face de Ba'al)
comme parèdre. Ba'al et Tanit ont
vraisemblablement acquis des
caractères spécifiques en Afrique du
Nord car, en Orient, les caractères de
Ba'al diffèrent de ceux de la divinité
carthaginoise alors qu'Astarté, qui était
sa parèdre en Orient, semble plus effacée
dans la sphère carthaginoise, même si
son culte est avéré[A 2].
Statuette d'orant (iiie siècle av. J.-C.)
trouvée dans la nécropole de Puig des
Molins (Ibiza) et exposée au musée
archéologique national de Madrid.

On observe donc une certaine continuité


religieuse, les anciens dieux phéniciens
étant toujours vénérés chez les
Carthaginois, comme Astarté, déesse de
la fécondité et de la guerre, Eshmoun,
dieu de la médecine, et Melkart, dieu
phénicien de l'expansion et de
l'enrichissement de l'expérience
humaine. Melkart adopte pour sa part
des caractères du héros grec Héraclès.
Ba'al Hammon, originaire de Phénicie, est
aussi influencé par des apports
égyptiens ; Ammon était connu en Libye
et dans pratiquement toute l'Afrique du
Nord, et il est assimilé à un dieu local
dont la représentation était également un
bélier. [réf. nécessaire]

Ce dieu et son culte étaient en relation


avec le feu et le soleil. À l'époque
romaine, le culte de Ba'al a adopté des
traits de Jupiter, dieu majeur du panthéon
romain. Il avait toujours cours à l'arrivée
du christianisme. Enfin, au moins un
culte grec, celui de Déméter et Coré, lié à
la fertilité et à la moisson, apparaît dans
la culture carthaginoise à l'occasion de la
guerre gréco-punique. Selon Diodore de
Sicile, lors du saccage du temple de ces
déesses à Syracuse en 396 av. J.-C., des
calamités s'abattirent sur l'armée
carthaginoise. De ce fait, les autorités
décidèrent l'introduction de leurs cultes
afin que les divinités obtiennent
réparation. Il existe également des
indices d'un culte de la déesse
égyptienne Isis[B 3]. Les divinités du
panthéon punique étaient
particulièrement honorées aux moments
importants de l'histoire, par exemple pour
rendre grâce du succès d'une expédition
maritime ou favoriser une entreprise
militaire à venir [réf. nécessaire].

Sanctuaires et rites
Les lieux de culte sont des constructions
spécifiques ou des espaces aménagés.
Plusieurs temples urbains ont été
retrouvés dans des endroits divers ; leur
emplacement n'obéissait donc pas à une
règle précise. Ceux situés en bord de mer
bénéficiaient de leur contact avec les
étrangers (offrandes, ex-votos, donation,
etc.) On a également découvert des
sanctuaires dans des
grottes [réf. nécessaire].
Scène religieuse représentée sur une
stèle de Carthage déposée au musée
du Louvre.

Vue d'une partie des stèles du tophet


de Carthage.

La religion était une affaire d'État à


Carthage ; même si les prêtres
n'intervenaient pas directement dans la
politique intérieure ou extérieure, ils
jouissaient d'une grande influence sur
une société profondément religieuse. Les
cultes étaient structurés par une
hiérarchie de prêtres dont les plus hautes
fonctions étaient occupées par les
membres des familles les plus
puissantes de la cité[B 4]. Toute une
société semble avoir été attachée aux
temples : serviteurs, barbiers, esclaves.
Les fidèles pouvaient acheter des ex-voto
dans des dépendances du lieu de
culte[B 5]. Dans un certain nombre de
temples[1] existait une prostitution
sacrée, masculine et féminine, définitive
ou seulement provisoire.

Les cultes jouaient un rôle économique


important grâce aux offrandes (comme
les viandes et autres denrées) aux dieux
et aux prêtres. Le sacrifice avait aussi un
poids significatif : des « tarifs » étaient
définis pour chaque type de sacrifice en
fonction de chaque demande, dont
plusieurs exemples ont été conservés ;
l'un d'entre eux est exposé au musée
Borély de Marseille. Les sacrifices avérés
dans ces documents sont variés :
animaux, petits (oiseaux) ou grands
(bœufs), mais aussi végétaux, aliments
ou objets. Après le partage du produit du
sacrifice entre divinité, prêtre et fidèle,
une stèle était érigée en guise de
commémoration[B 6].

La question du tophet est centrale dans


la polémique, de par la faiblesse des
sources qui fait la part belle aux
interprétations les plus diverses. Il y eut
notamment l'identification du tophet avec
le rituel du moloch, relaté par les auteurs
anciens comme étant un sacrifice
d'enfants. Dans divers tophets, les
archéologues ont retrouvé des stèles en
grand nombre avec des ex-voto
stéréotypés évoquant la réalisation d'un
vœu ou un remerciement :

« À la grande dame Tanit Péné


Ba'al et au seigneur Baal
Hammon, ce qu'a offert [un
tel], fils d'[un tel], qu'ils [Ba'al]
ou qu'elle [Tanit] entende[nt]
sa voix et le bénisse[nt][C 1]. »
Ces textes restent cependant peu
explicites et surtout répétitifs[D 1]. En
dépit de sources antiques à charge, il
faut relever l'absence d'indications dans
certains des textes essentiels, comme
Tite-Live. Ce silence peut surprendre car
les Romains n'avaient aucun intérêt à
cacher un argument qui aurait justifié le
sort réservé à Carthage[D 2]. Le débat[2],[3]
sur le sacrifice des enfants dans la
civilisation punique n'est toujours pas
tranché, la science ne décelant pas de
causes violentes causes des décès
d'après les ossements contenus dans les
urnes, et ne pouvant donc pas dire si ce
lieu était autre chose qu'une nécropole
pour enfants.
Religiosité populaire

Poids carré en plomb portant le signe


de Tanit, ve – iie siècles av. J.-C., Paris,
musée du Louvre.

On note une différence entre la religion


d'État et la croyance populaire, en raison
des amulettes et autres talismans à des
fins de protection contre les démons ou
les maladies, révélant une forte influence
égyptienne. De même, on remarque un
culte des divinités égyptiennes, comme
le dieu nain Bès, parmi les classes
populaires. Ainsi, de nombreux objets
retrouvés dans les fouilles avaient pour
but la protection des vivants et des morts
(masques, amulettes figurant Bès mais
aussi rasoirs). La magie imprégnait la
vie ; elle était blanche mais aussi noire
afin d'écarter des rivaux potentiels[B 7].

Le culte des ancêtres était probablement


observé au sein des foyers mais il reste
relativement obscur. Des interdits
alimentaires, en particulier celui du porc,
eurent cours jusqu'au début du
ive siècle[B 8].

Les Puniques avaient foi en une vie après


la mort, comme l'attestent des chambres
mortuaires — même si l'incinération était
aussi pratiquée — où les défunts
préparés pour leur vie dans l'au-delà
étaient accompagnés d'offrandes en
nourriture et en boissons. Leur tombe
était décorée comme une demeure et l'on
parfumait le tombeau avant de le
refermer. Certains morts étaient couchés
selon le rite oriental alors que d'autres
étaient en position fœtale, selon la
tradition berbère, et enduits d'ocre,
démontrant une influence locale sur la
religion carthaginoise, au moins en
Afrique du Nord. De même, on a retrouvé
dans des tombes puniques aux îles
Baléares des statuettes typiques de la
culture locale [réf. nécessaire].
Postérité

Des éléments de l'ancienne religion


punique ont survécu jusqu'à nos jours,
tels que la Khamsa une amulette en
forme de paume de main populaire dans
toute l'Afrique du Nord et au Moyen-
Orient et couramment utilisée dans les
bijoux et décorations murales[4],[5].
Représentant la main droite ouverte, une
image reconnue et utilisée comme signe
de protection à de nombreuses reprises
au cours de l'histoire, la khamsa est
traditionnellement considérée comme
une défense contre le mauvais œil et est
souvent accompagnée de symboles de
poisson ou de bélier en Tunisie[6].
En arabe tunisien moderne, il est d'usage
d'invoquer Oumouk tangou ou Ommek
Tannou ('Mère Tannou' ou 'Mère Tangou',
selon les régions), les années de
sécheresse pour apporter la pluie[7]. De
même, l'algérien, le tunisien et de
nombreuses autres formes parlées de
l'arabe se réfèrent à "l'agriculture Baali"
pour désigner l'agriculture non irriguée[8].
Un tel usage est attesté en hébreu, une
langue cananéenne sœur du phénicien,
déjà au IIe siècle de notre ère Mishna[9].

De même, le Signe de Tanit est encore


utilisé dans certains contextes en
Tunisie. Il est par exemple apparu sur le
Tanit d'or, le grand prix des biennales
Journées cinématographiques de
Carthage, depuis leur création en
1966[10],[11].

Selon Whitney Smith[12], l'Étoile et


croissant est déjà utilisé sur les
emblèmes, artefacts religieux et
bâtiments de la Carthage punique.
Lorsqu'il apparaît sur le drapeau ottoman,
ce symbole est rapidement adopté par
les autres pays musulmans comme
symbole de l'islam, alors qu'il pourrait
être à l'origine propre à la région. De
même, le soleil se retrouve avec le
croissant dans l'ancienne religion
punique ; il est en particulier associé au
signe de Tanit[13].
Notes et références
1. C'est le cas à Sicca Veneria (actuelle
Le Kef) selon Valère Maxime,
Factorum dictorumque
memorabilium. Libri IX, II, 6, 15.

2. Sabatino Moscati, « Il sacrificio


punico dei fanciulli : realtà o
invenzione ? », Problemi attuali di
scienza e di cultura, no 261, éd.
Académie des Lyncéens, Rome,
1987.

3. Sergio Ribichini, « Il tofet e il


sacrificio dei fanciulli », Sardò, no 2,
éd. Chiarella, Sassari, 1987, p. 9-63.
4. Bernasek et al., 2008, p. 12 (https://b
ooks.google.com/books?id=584VAQ
AAIAAJ&q=khamsa+%22middle+eas
t%22+%22north+africa%22&dq=kha
msa+%22middle+east%22+%22north
+africa%22&hl=en&ei=_imrTe6mEMe
Sswbg7uSZCA&sa=X&oi=book_result
&ct=result&resnum=5&ved=0CD4Q6
AEwBDgK) [archive].
5. Sonbol, 2005, pp. 355–359 (https://b
ooks.google.com/books?id=uUe8tBU
vwE4C&pg=PA355&dq=%22hand+of+
fatima%22+evil+eye&hl=en&ei=_NyrT
aeKNsrZsgaAm9j7Bg&sa=X&oi=book
_result&ct=result&resnum=2&ved=0C
DoQ6AEwAQ#v=onepage&q=%22han
d%20of%20fatima%22%20evil%20ey
e&f=false) [archive].

6. Kashgar, « The Hamsa (Khamsa) (htt


ps://kashgar.com.au/blogs/ritual-obj
ects/the-hamsa-khamsa) [archive] »,
sur Kashgar (consulté le
10 janvier 2021)
7. Sadok Rezgui, Les chants tunisiens,
Tunis, Maison tunisienne de l'édition,
1989

8. Ottavo contributo alla storia degli


studi classici e del mondo antico
Arnaldo Momigliano - 1987 p240.

9. « Mishna Sheviit 2 : 9 (https://www.s


efaria.org/Mishna_Sheviit.2.
9) [archive] », sur www.sefaria.org
(consulté le 10 août 2021)

10. /title/tt0094229/awards IMDb, prix (h


ttps://www.imdb.com) [archive]

11. « Prix (https://www.jcctunisie.org/jc


c/public/prix) [archive] », sur
jcctunisie.org (consulté le
27 décembre 2018).
12. (en) Drapeau de la Tunisie
(Encyclopædia Britannica) (http://ww
w.britannica.com/EBchecked/topic/1
355552/flag-of-Tunisia) [archive].

13. Joseph Azize, The Phoenician solar


theology: an investigation into the
Phoenician opinion of the sun found
in Julian's Hymn to King Helios, éd.
Gorgias Press, Piscataway, 2005,
p. 177.
Carthage et la civilisation punique
1. Sznycer 2001, p. 586.
2. Sznycer 2001, p. 588.
Carthage et le monde punique
1. Dridi 2006, p. 172.
2. Dridi 2006, p. 170-175.
3. Dridi 2006, p. 177.
4. Dridi 2006, p. 178.
5. Dridi 2006, p. 180.
6. Dridi 2006, p. 185.
7. Dridi 2006, p. 194.
8. Dridi 2006, p. 182.
Questions sur le tophet de Carthage
1. Lancel 1995, p. 41.
Carthage
1. Lancel 1999, p. 340.
2. Lancel 1999, p. 348.

Articles connexes
Civilisation carthaginoise
tophet de Carthage
Stèle du prêtre
Nécropole des Rabs
Sanctuaire de Thinissut

Bibliographie
: document utilisé comme source pour
la rédaction de cet article.

Généralités

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éd. Perrin, Paris, 2013
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punique, éd. Picard, Paris, 1970 (tome
1)-1976 (tome 2 [posth.])
Abdelmajid Ennabli et Hédi Slim,
Carthage. Le site archéologique, éd.
Cérès, Tunis, 1993 (ISBN 997370083X)
M'hamed Hassine Fantar, Kerkouane,
cité punique au pays berbère de
Tamezrat, éd. Alif, Tunis, 2005
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Hédi Slim et Nicolas Fauqué, La Tunisie
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Collectif, « Carthage, sa naissance, sa
grandeur », Archéologie vivante, vol. 1,
no 2, 1968-1969
Collectif, « La Méditerranée des
Phéniciens », Connaissance des arts,
no 344, octobre 2007
Collectif, La Tunisie, carrefour du
monde antique, éd. Faton, Paris, 1995

Collectif, Pour sauver Carthage.


Exploration et conservation de la cité
punique, romaine et byzantine, éd.
Unesco/INAA, Paris/Tunis, 1992
(ISBN 9232027828)
Portail des Phéniciens et du monde
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