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INSTITUT SPECIALISE DE TECHNOLOQIE APPLIQUEE AZEMMOUR

Encadré par : Mme Jamila ADDAL


Parrain de stage : M.TALAININE Rachid
2023/2024
Période de stage : 01/12/2023 à
31/12/2023
RAPPORT DE STAGE DE FIN DE FORMATION

Réalisé par: Imane LAOUZ

OCP S.A Site Jorf Lasfar

2023/2024
INTRODUCTION :
Du 17 juillet 2023, J’ai eu la chance de rejoindre la direction de la trésorerie
FIT-J du Groupe OCP (Site de Jorf lasfar) en tant que stagiaire assistante
trésorerie. Certainement je suis attirée par le domaine de finance, et pour
cela je me suis orientée en ce sens. J’ai eu l’opportunité de développer des
compétences en matière de trésorerie et de gestion des liquidités à travers
taches.

Intégrée à l’entité règlements Devis et Gestion de Crédit Documentaire et


Caution, Cela s’est traduit- entre autres par des missions fondées sur l’étude
des documents, factures et les engagements d’importations… et surtout la
paiement.

En effet, Le Groupe OCP est une grande boute, dotée d’une importance
économique et géopolitique pour le Royaume du Maroc puisqu’il dispose le
monopole de l’extraction et la valorisation des phosphates « première
richesse du Maroc ».

Certainement, la plupart des entreprises font des opérations d’exportation


d’importations, et c’est la cas fréquent de l’OCP met en place des méthodes
de paiement sû res et rapides, telles que les virements bancaires, les lettres
des crédit, les paiement par chèque ou encore le transfert d’espèces. Ces
méthodes de paiement sont choisies en fonction de la nature de la
transaction et des besoins des deux parties.

Les termes finances d’un contrat d’achat à l’international sont variables. Les
méthodes de paiement peuvent être nombreuses, et leur choix dépend de la
confiance partagée entre les parties concernées et de la nature des produits

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achetés, de leur prix et des conditions commerciales et
financières de la transaction.

Les intérêts des deux parties étant opposés, l’acheteur recherche le meilleur
prix et un délai de paiement le plus long possible, alors que le vendeur veut
obtenir un bénéfice et n’envoyer la marchandise qu’après réception du
paiement, et recherche des moyens de paiement sû rs et rapides.

A cet égard, nous allons essayer tout au long de ce rapport de répondre à la


problématique suivante :

« Comment peut-on gérer les modes de paiement à l’internationale


entant qu’un importateur (OCP) »

-On va procéder à la réponse de cette question à travers trois sous


questions :

1. Quelle sont les différents moyens de paiement au niveau


international ?
2. Comment on gère les cautions fournisseurs reçus ?
3. Quelle sont les supports techniques utilisées ?

En cherchant à répondre à cette problématique, nous allons choisi de


structurer notre travail en trois chapitres.

Le première s’intitule généralités la gestion de trésorerie comme « les


objectifs, les obstacles et les outils pour une bonne gestion de trésorerie ».
Et ainsi on a une idée générale sur les méthodes de règlement qui sont
spécifiques aux opérations avec l’étranger comme « le billet à ordre, la
lettre de change » et autres outils de paiement comme « le crédit
documentaire, la remise documentaire et le virement international » et
aussi le choix entre ces moyens qui s’appuie sur le coû t et rapidité de

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transfert et que l’emploie de ces moyens sont en fonction de la
nature des échanges.

La seconde a fournir une vue d’ensemble du Groupe OCP (son histoire, son
statut juridique, son organisation et ses activités…) et du service d’accueil
FIT-J Site de Jorf Lasfar et a expliqué la méthode de travail que nous avons
utilisée pour obtenir des résultats théoriques et pratiques ainsi que la
méthodologie de collecte des données.

Enfin, le troisième chapitre présente le traitement du crédit documentaire


en cas de ¨CAPEX et matière première¨, ainsi que la gestion des cautions
reçues pour restitution d’acompte, et celle des cautions de retenue de
garantie. Il a également pour but d’offrir une idée générale des supports
techniques employés au sein d’OCP.

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Dédicaces
Je dédie ce modeste travail :

A mes chers parents qui ont tant donné.

Pour leur immense soutien, leur grand amour, leurs sacrifices et leurs
prières.

Qu’ils acceptent ici l’hommage de ma gratitude, qui si grande qu’elle puisse


être, ne sera jamais à la hauteur de leur tendresse et leur dévouement.

Vous aviez toujours cru en moi, et c’est dans votre présence que j’ai puisé la
volonté de continuer.

A toute ma famille.

A mes chers frères.

A toutes mes chères amies

A toutes mes enseignantes et tous mes enseignants.

A tous ceux que j’aime

A tous ceux qui m’aiment.

A tous ceux qui m’ont aidé de près ou de loin…

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Remerciement
Au terme de ce travail, Je tiens à remercie Dieu, le tout puissant pour
la volonté, la santé et la patiente qui m’ont permis d’arriver jusque-là .

Je remercie vivement ma formatrice Mme Jamila Addal, ma


encadrante pédagogique qui m’a beaucoup aidée par ses conseils directifs
et efforts tout au long de la période de réalisation de ce travail.

Je tiens tout d’abord à remercie le Group OCP plus précisément à Mr


Talainine Rachid (responsable de la direction trésorerie) pour l’accueil et
l’aide qu’il bien voulu m’apporter durant la période de mon stage. Et aussi
Mr Faras Abderahim, Mr NAYAT Hamid et Mr DSOULI Mohamed
Mourad qui ont bien évolué mes connaissances professionnelles, et n’ont
pas hésité à consacrer une partie de leur temps pour m’expliquer tous ce
qui est nouveaux. Et enfin j’ai un grand plaisir de commencer ce rapport par
le remerciement à ceux qui m’ont beaucoup appris la période de stage au
sein OCP S.A Site de Jorf Lasfar.

Avant-propos
En tant qu’étudiante en troisième année à Institut Spécialise de
Technologie Appliquée Azemmour j’ai effectué mon stage initiation qui a
duré deux mois au sein OCP S.A Site Jorf Lasfar.

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La période de stage d’initiation représente une opportunité pour lier
entre les études théorique et leur application dans la pratique. Il est clair
que, la formation nécessite non seulement la maitrise des outils théorique
et pratique mais aussi des stages de différents niveaux, permettant à
l’étudiant de découvrir le monde de travail tout en appliquant les
connaissances acquises lors de sa formation. Et aussi de comprendre les
abysses l’organisation, sa structure, ses documents internes et le
déroulement du travail.

Chose évidente, c’est que ce stage m’a permis enrichir mes


connaissances sur le plan humain et professionnel. A ce point, je dois
signaler que maintenant je suis conscient de l’importance de la
communication interne du travail dans une équipe orientée vers les mêmes
objectifs ainsi que la coordination entre les différents membres de service.

Liste des abréviations


OCP Office Chérifien des Phosphates
ISTA Institut Spéciale Technologie Appliquée
SWIFT La Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication
FIT-J Finance Trésorerie Jorf-Lasfar
LC Lettre de crédit
JFC Jorf Fertilizers Company
SMESI La Société Marocaine d’études spéciales et Industriels
MP Maroc Phosphore
ZMPL ZUARI MAROC PHOSPHATES

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PPL PARADEEP PHOSPHATES
FR Le fonds de roulement
BFR Le besoin en fonds de roulement
BMP Bunge Maroc Phosphore
EI Engagement d’Importation
GL General Leger
AR Account Receivable
AP Account Payables
FA Fixed Assets

Liste des figures


 Figure 1 : « historique du Group d’OCP »

 Figure 2 : « L’Organigramme Général du Groupe OCP »

 Figure 3 : « Carte des principaux sites d’implantation d’OCP au

Maroc »

 Figure 4 : « La plateforme Jorf Lasfar »

 Figure 5 : « Organigramme de département financière D’OCP »

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 Figure 6 : « L’Ouverture de Crédit Documentaire »

 Figure 7 : « La réalisation du CREDOC »

 Figure 8 : « La Fonctionnement de la Remise Documentaire »

 Figure 9 : « Dédouanement de la marchandise (pièce de rechange)»

 Figure10 : « Dédouanement de la marchandise (Matières

Premières) »

 Figure11 : « Réception et contrôle de la caution reçue »

 Figure 12 : « Extrait d’Oracle (Virement Electronique) »

 Figure13 : « Extrait de Treasury Line »

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Chapitre 1 : Présentation du groupe OCP

Présentation Général :
Le Maroc est pourvu de la plus grande réserve du Phosphate au
monde. Cette richesse est estimée aux environs de 51.8 milliards de tonnes,

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soit 75% des réserves mondiales. Le seul organisme exploitant ce
minerai est le groupe OCP (Office Chérifien des Phosphates). Ce monopole a
été créé par le dahir chérifien du 07 Aoû t 1920 réservant tous les droits de
recherche et d’exploitation à l’Etat Marocain.
Le Groupe OCP est spécialisé dans l’extraction, la valorisation et la
commercialisation du phosphate et des produits dérivés.
Le phosphate provient des sites de Khouribga, Ben guérir, Youssoufia
et Safi, Boucraâ -Laâ youne.
Une fois traité, il est exporté aux industries chimiques du Groupe, à Jorf
Lasfar ou à Safi pour être transformé en produits dérivés
commercialisables comme : l’acide phosphorique ou les engrais solides.
OCP est le premier producteur et exportateur mondial de phosphate
sous toutes formes.
Le Groupe OCP livre aux cinq continents de la planète ; ses
exportations représentent des pourcentages importants de satisfaction des
besoins en phosphate sous toute forme pour 140
Clients dans le monde entier.

Historique de l’OCP :
Les premiers indices des phosphates au Maroc ont été découverts en
1905 près d’Essaouira.
Dès lors, plusieurs prospections ont été menées par des géologues
étrangers qui ont aboutis à la découverte du plateau Guergouri (au sud de
Marrakech) en 1908. Dans la région de Khouribga, les premières
révélations d’existence de phosphates ont été déclarées en 1912 et ce n’est
qu’en 1917 que la direction des chemins de fer militaire a confirmé la
présence des sites Oued Zem.

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L’étude de l’exploitation des gisements a commencé en
1919. Deux ans plus tard, l’exploitation effective du phosphate a commencé
dans le gisement Ouled Abdoune de la région Khouribga - Oued Zem. Depuis
cette année, grâ ce à un phosphate ayant une teneur de 75% en BPL, le
groupe OCP a démarré sa conquête du marché mondial. En 1931, en vue
d’augmenter sa production, l’office a commencé l’exploitation de gisement
Gantour de l’Youssoufia, puis après ceux de Benguerir et de Boucraâ -
Laâ youne.
Après avoir été affecté par la crise économique en 1929, le groupe
OCP a été mené à subir les conséquences de la seconde guerre mondiale,
mais les années ultérieures ont été riches d’exploit sur tous les niveaux. En
1965, avec la mise en service de Maroc Chimie à Safi, le Groupe devient
également exportateur de produits dérivés. En 1998, il franchit une
nouvelle étape en lançant la fabrication et l’exportation de l’acide
phosphorique purifié au site de Jorf Lasfer.
Depuis l’année 2007, le groupe chérifien du phosphate a lancé de
nouveaux pô les urbains à Khouribga et à Ben guérir. Après trois ans, il a
signé un contrat de partenariat avec Jacobs Engineering. Il a lancé quatre
unités de production d’engrais à Jorf Lasfar .Après cela, il a commencé à
ouvrir deux bureaux de représentation au Brésil et en Argentine. Puis il a
assisté le démarrage de plusieurs projets industriels (la laverie MEA,
STEP…) et il a lancé en même temps une unité de dessalement de l’eau de
mer à Jorf Lasfar.
Le démarrage programmé du projet Pipeline sur l’axe Khouribga Jorf
Lasfar sur une longueur de 235 Km est lancé en 2014 Métiers du groupe
OCP

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Le Groupe OCP est spécialisé dans l’extraction, la
valorisation et la commercialisation du phosphate et de ses produits
dérivés. Les métiers du Groupe OCP concernent l’activité mines et l’activité
chimie.
 Les événements marquants de l’histoire du Groupe OCP se présentent
comme suit :
Année Histoire
1920 Création, le 7 aoû t, de l’Office Chérifien des Phosphates (OCP).
1921  Début de l’exploitation en souterrain sur le gisement des Oulad
Abdoun, le 1er mars.
 Première exportation de phosphate à partir du port de Casablanca
le 23 juillet.
1931  Début de l’extraction en souterrain à Youssoufia (ex-Louis Gentil).
1951  Démarrage de l’extraction à ciel ouvert à Sidi-Daoui (Khouribga).
Début du développement des installations de séchage et de
calcination à Khouribga.
1954  Démarrage des premières installations de séchage à Youssoufia.
1961  Mise en service de la première laverie à Khouribga.
1965  Création de la société Maroc Chimie.
 Début de la valorisation des phosphates avec le démarrage des
installations de l’usine de Maroc Chimie, à Safi.
1974  Lancement des travaux pour la réalisation du centre minier de
Benguérir, en mai. Le Groupe OCP prend le contrô le de la Société
Marocaine des Fertilisants (Fertima), créée en 1972
.  Naissance de l’Institut de Promotion Socio-É ducative (IPSE), en
aoû t.
1975  Création du Groupe OCP (décision de création en juillet 1974 et
mise en place en janvier 1975)
.  Intégration des industries chimiques aux structures internes du
Groupe OCP, en janvier.
 Création du Centre d’É tudes et de Recherches des Phosphates
Minéraux (Cerphos), en octobre
1976  Démarrage à Safi de Maroc Phosphore I et Maroc Chimie, en
novembre.
 Prise de participation dans le capital de Phosboucraa à hauteur de
65%
1979  Transfert des bureaux de la Direction Générale au nouveau siège à

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Casablanca
1980  Démarrage du site minier de Benguérir
1981  Démarrage à Jorf Lasfar de MP II. Le Groupe OCP entre dans le
capital de Prayon (Belgique).
1982  Début des travaux de construction du complexe chimique MP III-IV
à Jorf Lasfar.
1986  Démarrage des différentes lignes d’acide sulfurique et d'acide
phosphorique de Maroc Phosphore III-IV.
1987  Démarrage des lignes d’engrais de Maroc Phosphore III-IV
(octobre-décembre).
1996  Création de la société Euro-Maroc Phosphore (Emaphos).
 Lancement des travaux de construction de l’usine d’acide
phosphorique purifié d’Emaphos, à Jorf Lasfar (janvier-février).
 Regroupement des activités des deux sociétés Maroc Chimie et
Maroc Phosphore au sein de Maroc Phosphore (janvier)
.  Introduction de Fertima à la Bourse des Valeurs de Casablanca
(30% du capital) dans le cadre du projet de privatisation de la société
(octobre).
1997  Création de la société Indo-Maroc Phosphore (Imacid) en joint-
venture avec le Groupe Birla.
1998  Démarrage de la production d’acide phosphorique purifié
(Emaphos, Jorf Lasfar), le 31 janvier.
1999  Démarrage de la production d’acide phosphorique de l’usine
d’Imacid à Jorf Lasfar, le 1er novembre.
2002  Prise de participation dans la société indienne PPL en Joint-venture
avec le Groupe Zuari.  Acquisition de l’intégralité du capital de
Phosboucraa.
2004  Création de la Société « Pakistan Maroc Phosphore SA. » en Joint-
venture entre le Groupe OCP et Fauji Fertilizer Bin Qasim Limited
(Pakistan).
2005  Démarrage de l’usine de Lavage/Flottation à Youssoufia.
2008  Transformation de l’Office Chérifien de Phosphates en société
anonyme OCP SA le 28 février.
 Démarrage de Pakistan Maroc Phosphore à Jorf Lasfar (PMP).
2009  Démarrage de Bunge Maroc Phosphore à Jorf Lasfar.
 Augmentation de capital d’OCP SA, le 13 janvier 2009, d’un
montant de 5 milliards de dirhams entièrement réservée à la Banque
Centrale Populaire (BCP).
2010  Création d’une JV avec Jacobs engineering (JESA).
 Ouverture d’un bureau de représentation au Brésil.

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 Ouverture d’un bureau de représentation en Argentine.
 Création d’un fonds d’investissement Agricole.
 Création d’une société de valorisation du patrimoine immobilier
(SADV).
2011  Lancement des travaux de l’usine de dessalement à Jorf Lasfar
.  Emission d’un emprunt obligataire inaugural sur le marché local.
2012  Fusion entre OCP S.A. et Maroc Phosphore S.A.
2013  Lancement de la construction de quatre nouvelles usines de
granulation, ayant chacune une capacité de production annuelle de 1
million de tonnes, à Jorf Lasfar.
 Création de DuPont OCP Operations Consulting S.A. (DuPont OCP)
 Bunge cède sa participation dans Bunge Maroc Phosphore à OCP
SA qui devient actionnaire à 100%. L’entreprise change de
dénomination pour devenir Jorf Fertiliser Company V (JFC V).
2014  Emission obligataire inaugurale sur le marché international.
 Achèvement de plusieurs projets de développement : slurry
pipeline de transport de pulpe de roche de Khouribga à Jorf Lasfar,
station terminale du slurry pipeline, nouvelle unité de production
d’acide phosphorique et centre de compétences industrielles basé à
Jorf Lasfar.
 Ouverture d’un bureau de représentation à Singapour
2015  Ouverture d’un bureau de représentation en Cô te d’Ivoire.
 Acquisition, à travers la filiale OCP International cooperatieve,
d’environ 10 % des actions de Fertilizantes Heringer S.A.
 Lancement d’OCP Africa
2016 § Ouverture d’OCP Research à Washington.
 Signature d’un partenariat avec l’Etat éthiopien visant la
construction d’un complexe industriel d’engrais en Ethiopie.
 Signature avec le Groupe Dangote au Nigeria d’un MOU pour
étudier l’opportunité de création d’une JV amenée à porter des actifs
industriels à Jorf et un complexe chimique au Nigeria.
 Emission obligataire perpétuelle subordonnée sur le marché
national.
2017  Création d’une JV entre la Société et IBM visant à accélérer la
transformation digitale des entreprises marocaines et africaines.
 Signature d’un partenariat de long terme avec ADNOC pour
l’approvisionnement en soufre.
 Mise en service du Downstream et réalisation de la première
exportation de la roche séchée au niveau du Downstream à Jorf Lasfar
2018  JFC4, le dernier projet de la première vague du programme

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d'investissement est désormais opérationnel.
 Création de deux écoles de codage : 1337 à Khouribga, et Youcode à
Youssoufia.
 Emission obligataire perpétuelle subordonnée sur le marché
national
 Acquisition de 20% des actions de Fertinagro Biotech SL
.  Le Groupe reçoit la médaille d'or de l'International Fertilizer
Association (IFA)
2019  Création d'une JV entre la Société et Fertinagro Biotech SL : OCP
Fertinagro Advanced Solutions pour la production d'engrais enrichis.
 Nomination de Mostafa TERRAB en tant que président de l'IFA
 Le Groupe rejoint le WBCSD (Conseil mondial des entreprises pour
le développement durable).
2020  Acquisition de 30% restants du capital social de BSFT, OCP
International Cooperative devient actionnaire unique de BSFT.
2021  Création d'une JV entre la Société et Hubei Forbon Technology.
 OCP SA a procédé avec succès à une nouvelle émission obligataire
internationale pour 1,5 milliard USD ainsi qu’au rachat partiel des
obligations 2024-2025
2022  Cession de 50 % de JFC III à Koch Ag & Energy Solutions finalisée le
30 juin 2022.

Statut juridique :
L’OCP est constitué sous la forme d’un établissement public à gestion privé,
dans le sens ou, le législateur a tenu de le doter d’un droit lui permettant
d’agir avec le même dynamisme et la souplesse que les puissantes
entreprises privées avec lesquelles il se trouve en concurrence.
Le groupe est inscrit au registre du commerce et soumis au plan fiscal
(patente, droits de douane, impô ts sur les sociétés), il est une société
minière, industrielles et commerciales. Il établit annuellement son bilan,
son compte de résultat et ses coû ts de revient. Etant une société anonyme,
le pouvoir de contrô le est dans la main du conseil d’administration présidé
par SM le roi Mohammed VI ou le premier ministre (en son absence) et les
membres sont les ministres (de l’industrie, des finances,..). Le groupe est

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dirigé par un Directeur Général nommé par dahir et occupant le
poste d’Administrateur Délégué.
ORGANISATION de Group OCP :
Actuellement l’OCP ne nécessite pas d’être présenté, étant une
grande entreprise connue à l’échelle nationale et internationale son siège
social est à Casablanca doté d’une direction générale section du personnel
et des affaires sociales, direction de 7 / 27 commerce, direction de
communication et formation, etc.… et de division dispersée géographique
selon les zones d’exploitation minières et industrielles.

Cette grande entreprise ne cesse de se moderniser pour satisfaire sa


clientèle et pour garder sa place devant les concurrents comme les
entreprises de l’Europe, les Etats-Unis, le Canada, le Brésil.

Les grandes quantités de phosphate extraites sont réparties entre le


souterrain et découverte. Actuellement la priorité est donnée à
l’exploitation à ciel ouvert dite (découverte), dont les frais sont moins chers
que l’exploitation souterraine.

Et pour mieux gérer cette grande entreprise, l’OCP a crée des filières
telles que :

-CERPHOS : Centre d’étude et de recherche des phosphates minéraux, sa


mission est d’organiser et exécuter toute activité d’analyse, d’étude et de
recherche scientifique et technique liée directement ou indirectement à
l’exploitation du produit et ses dérivées.

-FERTIMA : Société marocaine des fertilisants, son but est de


commercialiser les engrais à l’intérieur du pays en provenance des unités
chimiques du groupe O.C.P.

-MAROTEC : Société marocaine des réalisations techniques et d’ingénierie.

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-MAROC CHIMIE et MAROC PHOSPHORE : sont chargées de
produire l’acide phosphorique et l’engrais.

-MARPHOCEAN : Il est spécialisé dans le transport maritime de l’acide


phosphorique et autre produits chimiques.

-SMESI : Société marocaine d’études spéciales et industrielles ses activités


principales sont l’étude et la réalisation des installations industrielles, ses
activités (manutention, stockage, installation, traitement)

-SOTREG : Société de transport régional, est chargée du transport du


personnel du groupe O.C.P

ORGANIGRAMME de Group OCP :

RAPPORT DE STAGE Page 18


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Partie 1 : Présentation générale des
moyens de paiement à l’international
Définition des techniques de paiements : « On distingue par instrument de
paiement, la forme matérielle qui sert de support au paiement. Certains
instruments de paiement ont une réalité physique (chèque, traite, billet à
ordre), cependant le développement de la télématique a fait progressivement
apparaître des transactions entièrement informatisées (virement bancaire) ». «
La techniques de paiement désigne la procédure suivie pour que le paiement
puisse être réalisé. Il s’agit donc des modalités d’utilisation de l’instrument de
paiement, qui résulte de l’accord des parties au contrat ».

Les objectifs des moyens de paiement à l’international :

• Permettre aux responsables d’achats, financiers,…etc. la maîtrise des aspects


relatifs aux Instruments de paiement.

• Négocier et gérer de manière efficace les règlements internationaux avec les


banques et les partenaires étrangers.

• Connaitre les différents moyens de paiements internationaux,

• Savoir les utiliser.

• Savoir les choisir en fonction du type d'opérations réalisées, à l'import ou à


l'export et en fonction du pays concerné.

• Sensibiliser les acteurs concernés aux risques financiers et aux inconvénients


des différents paiements internationaux.

• Leur permettre de négocier le moyen le mieux adapté pour sécuriser un


paiement.

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I. Présentation de crédit documentaire(Crédoc) :
1. Le crédit documentaire irrécouvrable et confirmé:

 Historique du crédit documentaire : La première utilisation de la lettre de


crédit, qui fut l'un des premiers outils de paiement à distance émis au Moyen
Âge, était faite par les banquiers lombards et hanséatiques ainsi que
notamment les templiers. En effet, ces derniers, à l’époque des croisés et afin
de sécuriser les routes marchandes et de pèlerinage pour Jérusalem, ont
institutionnalisé les premiers connaissements. Au travers de toutes les
commanderies templières établies au Moyen Orient et dans le bassin
méditerranéen de l’époque, il était possible aux pèlerins et aux marchands de
voyager sans emmener avec eux trop d’argent et ainsi éviter de se faire
détrousser par les pillards et autres bandits, pirates etc.…. En se présentant, et
sous réserve d’être le détenteur ou le mandataire des documents
(connaissement qui de nos jours est devenu depuis le XVIIIème siècle
connaissement…), ils se voyaient remettre une somme d’argent convenue, ou
la marchandise.

Avec le développement du commerce et notamment le développement des


comptoirs aux Indes et aux Amériques, le besoin de sécuriser les échanges
commerciaux a conduit les marchands à contractualiser les échanges pour
pallier aux divers risques et aléas du transport maritime (humains,
climatiques…).

Car il a fallu répondre à deux exigences contradictoires :

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Celle de l’exportateur/vendeur qui est « paie en premier et ensuite
je t’envoie les marchandises » et celle de l’importateur/acheteur qui est « dès
que j’ai reçu les marchandises, je te paie » C’est ainsi que le Crédit
documentaire, sous

Sa forme moderne, par l’intermédiaire des banques, permet de garantir aux


deux parties le débouclage de l’échange commercial sous réserve de répondre
aux normes et procédures du Crédoc (et du contrat de vente entre les parties,
indépendant du Crédoc) ; qui depuis l’époque des Templiers se sont
complexifiées du fait même de la diversité des moyens de transport, de la
diversité de la nature des marchandises transportées et de la dématérialisation
des supports due aux progrès informatiques.

2. Définition du crédit documentaire :

Le "crédit documentaire" est la convention à caractère irrévocable par laquelle


un donneur d'ordre (l’Acheteur/ Importateur) prie sa banque de mettre à la
disposition d’un bénéficiaire (le Vendeur/ Exportateur) qu'elle nomme ou à la
disposition d'un tiers que ce dernier nommera, une somme d’argent
déterminée contre la remise d'un titre de transport de marchandises (par
exemple un connaissement) et de divers autres documents (par exemple un
certificat d'origine, un certificat d'assurance), en respectant la période de
validité de la convention. Ces documents attestant de la bonne exécution par le
vendeur de ses obligations.

- types et documents du crédit documentaire :

Notifié et/ou Confirmé : un crédit notifié est simplement transmis au


bénéficiaire par la banque notificatrice, seul le risque commercial est couvert
par la banque émettrice. Dans ce cas, le bénéficiaire n'est pas protégé contre le
risque de défaillance de la banque émettrice ou le risque de non-transfert des
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fonds (risque "pays"). Si le crédit est confirmé, la banque notificatrice s'engage
par sa confirmation à régler le bénéficiaire contre présentation de documents
conformes, y compris en cas de défaut de la banque ou du pays émetteur.

La confirmation est essentiellement utile vers les pays dits "à risques", elle
couvre le risque politique. L'étude du risque est de la seule responsabilité de la
banque notificatrice (article 9 des RUU). Il faut que la confirmation soit
autorisée, par la banque émettrice, dans l'ouverture. Si elle n'est pas autorisée,
la banque notificatrice peut, cependant, apporter une garantie de paiement au
bénéficiaire à travers une "confirmation silencieuse" ou la conclusion d'un
contrat de "ducroire". Cette opération apporte une sécurité au vendeur qui, en
cas de défaillance de la banque émettrice, se verra payé par la mise en jeu de
cette garantie.

La banque émettrice ne sera pas avisée lors de la mise en place d'une telle
garantie.

 Révocable ou Irrévocable :

Depuis les nouvelles RUU600, tous les crédits sont automatiquement


irrévocables, c'est-à-dire qu'un crédit documentaire ne peut être annulé
qu'avec l'accord des deux parties.

 Transférable ou Non transférable :

Si un crédit est transférable, tout ou partie du montant du crédit peut être


transféré à un ou plusieurs seconds bénéficiaires, sans que l'accord du donneur
d'ordre ne soit requis. C'est notamment le cas lorsque le vendeur n'est pas le
fabricant des marchandises et qu'il fait appel à un sous-traitant. Ainsi le

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paiement peut être sollicité par une autre société que le bénéficiaire
figurant à l'ouverture. En revanche, le changement de bénéficiaire d'un crédit
non transférable doit faire l'objet d'une modification demandée à sa banque
par le donneur d'ordre.

 Négociable ANY BANK ou auprès d'une banque dénommée :

Si le crédit est négociable dans toutes les banques "ANY BANK" (restreint au
pays du bénéficiaire), le bénéficiaire peut choisir la banque auprès de laquelle il
négociera le crédit et déposera les documents. Dans le cas contraire, la banque
est imposée.

-Les documents nécessaires pour l’établissement du crédit documentaire :

Il n'existe aucun document obligatoire dans une lettre de crédit. Cependant, les
documents suivants sont fortement conseillés:

 Facture commerciale (invoice en anglais). Celle-ci doit indiquer la description


des marchandises ou de la prestation, le montant à régler, la devise et
l'Incoterm

 Document de transport, attestant de l'expédition de la marchandise. Celui-ci


peut être :

 Un connaissement maritime (Bill of Lading en anglais), dans le cas de


transport maritime.

 Une Lettre de transport aérien (Airway Bill en anglais), si expédition par


avion.

 Une Lettre de Voiture ou CMR si expédition par la route.

 Certificat d'origine, pour permettre le dédouanement de la marchandise.

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Des documents additionnels peuvent être requis afin de s'assurer de la bonne
exécution du contrat :

 Liste de poids / colisage

 Police ou certificat d'assurance de la marchandise lors de son transport, si


Incoterm du groupe C (CIF / CIP) ou D.

 Certificats divers, selon la nature de la marchandise.

3. Le déroulement du crédit documentaire :

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Il existe treize actes nécessaires pour le déroulement du crédit
documentaire :

Acte 1 : Instruction d’ouverture du crédit documentaire

L’acheteur et le vendeur se sont mis d’accord sur le contrat de vente/achat de


marchandises ou de prestations de services. Dès lors se pose le problème de la
sécurité de paiement. Si le crédit documentaire a été choisi d’un commun
accord, l’acheteur donne ses instructions d’ouverture à sa banque, la banque
émettrice. Des formulaires prés imprimés, généralement inspirés par le
système de codification SWIFT, sont mis à la disposition des acheteurs

Acte 2 : Ouverture du crédit documentaire

La banque émettrice ouvre (émet) le crédit documentaire par l’intermédiaire


de sa banque correspondante dans le pays du vendeur.

Acte 3 : Notification du crédit documentaire

La banque notificatrice notifie l’ouverture du crédit au bénéficiaire et y ajoute


(éventuellement) sa confirmation. Dans ce cas, elle s’engage à payer le vendeur

si les documents sont présentés conformes dans les délais impartis (la banque
notificatrice peut refuser d’ajouter sa confirmation, elle doit en prévenir sans
délai la banque émettrice le cas échéant).

Acte 4 : Expédition des marchandises

En respectant les conditions et la date limite d’expédition stipulées dans le


crédit, le vendeur (exportateur) procèdent à l’expédition des marchandises
selon le mode de transport et l’incoterm prévu au contrat, et mentionné dans
le crédit.

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Acte 5 : Délivrance du document de transport

Dès la prise en charge des marchandises, le transporteur remet au vendeur le


titre de transport : connaissement, lettre de transport aérien, lettre de voiture,
etc.…

Acte 6 : Présentation des documents

Le bénéficiaire collecte les documents requis par le crédit documentaire et les


présente, en respectant les délais impartis, aux guichets de la banque
notificatrice et/ou confirmant.

Acte 7 : Paiement au bénéficiaire

Si les documents présentent l’apparence de conformité avec les termes et


conditions du crédit, et les délais sont respectés, la banque confirmatrice paie
la valeur des documents (dans le cas d’un paiement à vue) en y déduisant ses
frais.

Acte 8 : Transmission des documents à la banque émettrice

La banque notificatrice et/ou confirmant envoie les documents à la banque


émettrice, par courrier rapide en 2 lots séparés afin d’éviter les pertes de
documents.

Acte 9 : Remboursement à la banque notificatrice

La banque notificatrice se remboursera comme indiqué dans le crédit


documentaire (en débitant le compte de la banque émettrice domicilié chez
elle ou dans une autre banque, dite banque de remboursement).

Acte 10 : Levée des documents (côté acheteur)

La banque émettrice accepte les documents et les tient à la disposition de son


client (le donneur d’ordre).
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Acte 11 : Paiement à la banque émettrice

La banque émettrice débite le compte de son client du même montant que le


crédit en y ajoutant ses frais.

Acte 12 : Réclamation des marchandises

Dans le cas d’une expédition maritime, l’acheteur (le donneur d’ordre) en


possession du connaissement original à son ordre, est en droit de réclamer les
marchandises auprès du dépositaire des marchandises au port d’arrivée.

Acte 13 : Remise des marchandises

Les marchandises sont remises au porteur du connaissement (titre de


propriété) donc l’acheteur (ou son mandataire). Les documents lui ont été
restitués par le canal bancaire, il peut donc procéder au dédouanement des
marchandises et en prendre possession.

Le crédit documentaire a donc permis à l’exportateur (le bénéficiaire) de se


faire payer le montant des marchandises expédiées. En contrepartie,
l’importateur (le donneur d’ordre) reçoit, dans des délais stricts, des
marchandises conformes aux conditions stipulées dans le crédit (sauf en cas
d’irrégularités ou fraude.

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II. Présentation de virement bancaire :

 Définition :

Ordre donne par un acheteur à son banquier de débiter son compte pour
créditer celui du vendeur.

Ce moyen de paiement consiste pour l'acheteur à sa banque de payer


directement à la banque du vendeur le montant d'une transaction. Le banquier
de l'acheteur réalise alors différentes manipulations pour faire parvenir la
somme sur le compte désigné.

L'argent sera immédiatement disponible sur le compte du vendeur dés que


celui-ci en sera avisé par son banquier.

 Sa mise en place

Il est facile de virer des fonds à l'étranger ; il suffit de passer un ordre


d'exécution à sa banque, pour cela un minimum de renseignements est
nécessaire. les banques ont généralement des imprimés à cet usage. Ils
comportent les montions suivantes

 N° du compte qui sera à débiter (le compte de l'importateur)

 La somme (le montant de la facture)

 La monnaie (code ISO de la devise)

 La méthode du transfert (courrier, télex ou la méthode la plus rapide et


pratique par message SWIFT

 Le nom du bénéficiaire (l'exportateur)

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 Son adresse (ville, pays)

 La destination du virement (la banque de l'exportateur)

 Le N° de compte à créditer

 Le motif du règlement (N° de la facture) 

 En cas de virement effectué en devise :

 Achat au comptant

 Débit du compte en devise

Lorsqu'une banque doit transférer des fonds à l'étranger elle le fait souvent
par le biais de compensation d'écriture en faveur de la banque étrangère.

 Les Modalités pratiques de virement :

L'exportateur et avise du paiement des lors que le virement est


effectivement réalise.

Dans le cas d'un virement télex, il faut demande, au client un préavis de


paiement afin de réagir en cas de retard ou de non-paiement.

Pour un virement SWIFT, il est indispensable de fournir toutes les informations


permettant d'effectuer le transfert :

Pour éviter les erreurs, les banques remettent gratuitement des étiquettes
autocollantes que l'exportateur appose sur ses facteurs.

 Coût

Les frais et commissions relatifs au virement international se


subdivisent en deux parties. La première concerne les frais au profit
de la banque qui émet le virement. Ils seront le plus souvent à charge de

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l'importateur. La deuxième est réclamée par le banquier qui
réceptionne le paiement. Cette deuxième partie est supportée par
l'importateur ou par l'exportateur, selon les arrangements pris entre
eux.

Les coûts se composent principalement d'une commission de change et


d'une commission d'encaissement. Ces deux commissions sont
caractérisées par un tarif dégressif, variant en fonction des pays.

A cela, il faut ajouter les frais de transmission par SWIFT (si


l'entreprise y recourt) qui varient selon la banque, le pays de
destination et en fonction de la rapidité demandée (ordre normal ou
ordre urgent).

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 Avantages et Inconvénients de virement :

Le virement bancaire présente certains avantages et inconvénients qui sont :

1- Avantage :

 Rapidité dans les virements télex et SWIFT

2- Inconvénients :

 Risque politique

a. Virement courrier : lenteur et dépendance vis à vis du délai de la poste

b. Le paiement dépend de la seule décision de l'acheteur s'il ne donne pas


d'instruction de transfert à sa banque le paiement ne sera pas effectué.

 Synthèse

Plusieurs méthodes de règlement sont spécifiques aux opérations avec


l'étranger : le Swift, les effets de commerce comme (le billet a ordre, la
lettre de change) et autres instruments de paiement comme le chèque et les
virements bancaires internationaux. Le choix entre ces méthodes dépende
sur toute les variables coût et rapidité de transfert. Mais, l'emploie de ces
instruments sont en fonction, de la nature des échanges.

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III. Présentation de la Caution :

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Partie 2 : Extrait d’ORACLE
1. Présentation d’ORACLE :

Ce document présente l’essentiel de l’architecture et de l’administration du


SGBDRO (SGBD Relationnel-Objet) Oracle , logiciel leader mondial des SGBD,
commercialisé par la société Oracle Corporation (dirigée par Larry Ellison).

Une première partie présente la version 7 d’Oracle tandis que la seconde partie
présente certaines des nouveautés des versions plus récentes d’Oracle.

Ce document est complété d’une série d’exercices couvrant largement les


différents aspects de l’administration d’Oracle ; pour effectuer correctement
ces exercices, la lecture (et même la relecture) de ce document est
indispensable.

Oracle est un SGBDRO permettant de gérer des bases de


données jusqu’à 65 536 fichiers de 128 Tio
(téraoctets c.-à-d. 1012 octets) chacun soit jusqu’à quelques trillions d’octets.

2. Figure 12 : Extrait d’ORACLE (Virement électronique) :

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3. Figure 13 : Extrait de Treasury Line :

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