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CONTRAT DE TRAVAIL À DURÉE DÉTERMINÉE À TEMPS PLEIN CONCLU POUR ACCROISSEMENT TEMPORAIRE D’ACTIVITE

(TERME PRECIS)

ENTRE
- La société DOM SECURITE FRANCE au capital de 10 000 euros dont le siège social est situé Immeuble le Diamant Rond-
Point Auguste Colonna 42160 Andrézieux Bouthéon, ayant pour code APE 8010Z et immatriculée au RCS de SAINT-ETIENNE
sous le numéro 814 638 847, relevant de l'URSSAF Rhône-Alpes sous le numéro de cotisant 8272182169611 et titulaire de
l’autorisation administrative n°AUT-042-2120-02-08-2021051037 délivrée par le CNAPS Sud-est (L'autorisation d'exercice ne
confère aucune prérogative de puissance publique à l'entreprise ou aux personnes qui en bénéficient.), représentée par
Monsieur Jordan DA SILVA dûment habilité à signer les présentes, ci-après désignée « la société » ;
D’une part,
ET
- HASSAN Bichara né(e) le 01/01/2000 à BICHARA DJEROU, de nationalité TCHADIENNE, qui a pour numéro national
d'identification 100019934408580, demeurant à VAULX EN VELIN (69120) - 28 AVENUE GEORGES DIMITROV CHEZ MR BAHAR
ABdelhak Mahamat, ci-après désignée « le salarié » ;
D’autre part,

AYANT PRÉALABLEMENT ÉTÉ PRÉCISÉ QUE :


Le salarié a présenté à la société les éléments suivants :
- Un certificat de travail délivré par son dernier employeur.
- Une déclaration sur l’honneur spécifiant ne pas avoir été l’objet d’une condamnation non amnistiée et n’être l’objet
d’aucune poursuite ou information pénale en cours. Il est informé que toute déclaration, se révélant fausse, entrainera la
rupture immédiate de son contrat de travail.
- Un extrait de son casier judiciaire datant de moins de 2 mois. Cette pièce ne sera conservée par la société que si le
candidat est retenu.
Le salarié présente une carte professionnelle délivrée par le CNAPS en cours de validité. Le salarié s’engage à renouveler son
titre d’identité ou de séjour dans les délais et à le présenter à la société avant le terme actuellement en vigueur.

IL A ETE CONVENU CE QUI SUIT :

ARTICLE 1 : ENGAGEMENT
Le salarié est embauché dans le cadre d'un contrat de travail à durée déterminée à temps plein, en qualité de Agent de
sécurité Magasin Arrière Caisse. Le salarié déclare formellement n'être lié actuellement à aucune entreprise et avoir quitté
son précédent employeur libre de tout engagement. Il déclare notamment ne pas être lié par une clause de non-
concurrence.

ARTICLE 2 : OBJET ET DURÉE DU CONTRAT


Le contrat de travail est conclu en raison d’un accroissement temporaire d'activité lié à la commande exceptionnelle de
renfort supplémentaire pour Casino Villeurbanne pour une durée déterminée du 23/01/2023 au 25/03/2023 au soir.

ARTICLE 3 : PÉRIODE D’ESSAI


Le présent contrat de travail ne deviendra définitif qu’à l’expiration d’une période d’essai de 8 jours pendant laquelle
chacune des parties pourra mettre fin au contrat de travail sans indemnité d’aucune sorte mais sous respect du délai de
prévenance conventionnel issu de l’accord du 16/07/2009 étendu le 10/03/2010. La période d’essai pourra être renouvelée
par acte séparé. Ainsi, lorsque la rupture est à l’initiative de la société, le délai de prévenance est :
- 24 heures en deçà de 8 jours de présence.
- 48 heures pour une durée de présence supérieure à 8 jours et inférieure ou égale à 1 mois.
- 2 semaines après un mois de présence.
Et lorsque la rupture est à l’initiative du salarié, le délai de prévenance est :
- 24 heures en deçà de 8 jours de présence.
- 48 heures au-delà.
- 1 mois pour une durée de présence supérieure ou égale à 3 mois.
Il est rappelé que la période d'essai s'entend d'une période de travail effectif à l'exclusion de toute période de suspension du
contrat de travail, ce dont il résulte que toute période de suspension du contrat de travail pour quelque cause que ce soit
prolongera d'autant ladite période.

ARTICLE 4 : FONCTIONS ET ATTRIBUTIONS


Le salarié doit assumer l'ensemble des tâches qui lui seront demandées par son supérieur hiérarchique. Les tâches que le
salarié devra effectuer dans le cadre de son emploi, sont celles prévues par la convention collective applicable, pour l’emploi
occupé. Celles-ci sont, à titre informatif pour le poste Agent de sécurité Magasin Arrière Caisse, définies par l’annexe I de
l’accord du 26/09/2016. Ces tâches sont susceptibles d’être complétées et/ou adaptées en fonction des actions ou missions
qui constituent la réalité quotidienne de l’emploi du salarié. En outre, il devra notamment accomplir les missions suivantes :
Ø Assurer, conformément aux consignes d’application, la surveillance du site confié par la clientèle.
Ø Appliquer les procédures définies par la hiérarchie.
Ces fonctions ne sont pas énumérées de façon exhaustive. Elles ont, par nature, un caractère évolutif tenant d’une part aux
impératifs d’adaptation de la société et à ses besoins, d’autre part aux capacités et à l’approfondissement des compétences
du salarié. En outre, le salarié pourra être affecté, temporairement à d’autres tâches, en cas de nécessité liée au
fonctionnement de la société. Ces fonctions s’exerceront sous le contrôle de la Direction de l’entreprise ou de toute
personne pouvant lui être substituée.

ARTICLE 5 : DUREE DU TRAVAIL – RÉMUNÉRATION


Le salarié travaillera à hauteur de 35 heures hebdomadaires, le cas échéant en moyenne hebdomadaire, soit 151,67 heures
mensuelles, par référence expresse à la durée légale ou, le cas échéant, par référence expresse à un accord collectif. Le
programme indicatif des horaires de travail du salarié lui sera communiqué au moins 7 jours ouvrés avant son entrée en
vigueur, de manière dématérialisée (soit par email sur la boite email personnelle du salarié soit via une solution
professionnelle interne). Le salarié n’effectuera pas d’heures supplémentaires de sa propre initiative ou sans autorisation
préalable. Toutefois, il s’engage à effectuer des heures supplémentaires au-delà de la durée prévue au présent article à la
demande de son supérieur hiérarchique ou de la Direction. Il est expressément convenu que seules de telles heures seront
considérées comme heures supplémentaires. Au regard de l’activité de la société et du lieu d’affectation, du poste occupé, il
est en outre convenu entre les parties, et ceci est une condition essentielle du présent contrat de travail, que le salarié
pourra être amené à travailler selon divers modes de répartition des horaires de travail sur le lieu d’affectation et ce en
fonction des besoins de ce dernier, soit en journée ou demi-journée, soit à la journée continue, soit sur tous les jours de la
semaine (y compris le week-end) ou sur toutes les plages horaires, sans restriction mais dans le respect des règles régissant
les repos quotidien et hebdomadaire obligatoires. De manière générale, le salarié devra se conformer aux différents
plannings d’activités établis et aux modalités d’organisation de l’activité telles que définies par les dispositions
conventionnelles applicables à la société. Le salarié s’engage donc à ne pas considérer les changements éventuels de ses
horaires de travail comme des modifications de son contrat de travail. En contrepartie de l'exécution de ses fonctions et pour
la durée du travail prévue au présent article, le salarié percevra une rémunération brute mensuelle de 1764.68 Euros. A ce
titre, il est précisé que la société adressera au salarié ses bulletins de paie de manière dématérialisée via une solution
professionnelle interne, ce que le salarié accepte expressément. Le salarié bénéficiera par ailleurs des indemnités et primes
telles que prévues par la convention collective applicable dès lors qu’il en remplit les conditions. Le salarié est informé que
toute demande d’acompte devra être faite via l’espace Comète Web avant le 20 de chaque mois et sera disponible sous
réserve d’acceptation de la direction le 25 de chaque mois.

ARTICLE 6 : MODALITES DU CONTROLE DES HORAIRES DE TRAVAIL


Le salarié déclare avoir pris connaissance de l’obligation de procéder à l’enregistrement de l’heure de début et de fin de
service, dans la main courante, disponible sur le poste de travail où il est affecté. Le salarié est informé que cette instruction
doit être respectée afin de tenir un état individuel du temps de travail effectué dans le cadre de son activité. Toute infraction
à cette règle sera de nature à exposer le salarié à une procédure disciplinaire pouvant éventuellement conduire à une
mesure de licenciement en raison des conséquences qui pourraient naître au niveau de la société, du fait de l’absence de
traçabilité des horaires effectués sur le poste de travail. Les états de présence sur site doivent être obligatoirement remplis et
signés chaque jour par le salarié. Ils servent à facturer les clients et à contrôler les heures de travail du salarié.

ARTICLE 7 : LIEU DE TRAVAIL


Compte tenu de la nature de l’activité de la société et des fonctions de HASSAN Bichara, il ne peut lui être attribué de lieu
d’affectation fixe et définitif, le lieu d’affectation dépendant des besoins des clients de la société. En effet, les lieux de travail
de HASSAN Bichara sont ceux des clients de la société tels qu’ils résultent sur ces plannings prévisionnels ou modifiés. Ces
sites pourront être ceux d’un ou plusieurs clients et le salarié pourra être affecté indifféremment, successivement ou
alternativement sur l’un quelconque de ces sites en fonction des nécessités, urgences et priorités de service et d’organisation
justifiés par la vocation et la nature des prestations de la société. Ainsi à titre d’information, il est indiqué à HASSAN Bichara
qu’il est susceptible d’exercer ses fonctions sur tous les sites dépendants géographiquement de l’établissement auquel il est
rattaché, ici de l’agence de LYON , sis 333 Cours du Troisième Millénaire 69800 SAINT-PRIEST, étant entendu cependant que
les fonctions de HASSAN Bichara impliquent la réalisation régulière de ses fonctions sur les départements actuels à savoir :
01/07/26/38/69/71/73. Toutefois le salarié est informé que la liste des départements de l’agence de LYON peut évoluer
suivant les évolutions de la société. Cette liste sera mise à jour de manière régulière dans le livret d’accueil que le salarié
s’engage à consulter de manière régulière. De ce fait HASSAN Bichara exécutera son travail pour l’ensemble des lieux et de
services gérés par l’établissement auquel il est rattaché. De là, il s’en suit que le refus du salarié d’occuper un poste à
l’intérieur de ces départements listés et définis ci-dessus, et à l’intérieur duquel une société viendrait à être client de la
société DOM SECURITE France, serait considéré comme une méconnaissance grave des obligations contractuelles du salarié
et entraînerait la rupture du contrat de travail. HASSAN Bichara pourra être amené à effectuer des déplacements ponctuels
qui, s’ils sont supérieurs à 100 kms aller-retour compris en le lieu où les lieux de travail habituels et la nouvelle affectation
ponctuelle. Dans ce cas la société indemnisera les frais kilométriques du salarié sur la base du barème Urssaf. Par ailleurs, en
cas de modification du lieu d’établissement de l’entreprise par suite d’un déménagement notamment, ou de modification de
la structure juridique de l’entreprise par suite de création d’un nouvel établissement par exemple, le lieu de travail de
l’intéressé pourra être modifié sans que celui-ci ne puisse s’y opposer. Cette obligation et son acceptation par l’intéressé
constituent un élément déterminant pour la Société de maintenir son emploi ou de l’embaucher.

ARTICLE 8 : CLAUSE DE MOBILITE


Compte tenu de la nature des fonctions du salarié et des marchés actuels ou à venir de la société, des besoins liés à
l’organisation et à la bonne marche de la société ou les opportunités de carrière pourront, à tout moment, conduire HASSAN
Bichara à être affecté sur un ou des site(s) présent au sein d’un même secteur géographique. Plus précisément le périmètre
de mobilité de HASSAN Bichara dans le cadre de ce présent contrat est le secteur géographique lié à l’établissement auquel le
salarié est attaché, en l’occurrence l’agence de LYON sur les départements 01/07/26/38/69/71/73. Toutefois le salarié est
informé que la liste des départements de l’agence de LYON peut évoluer suivant les évolutions de la société. Cette liste sera
mise à jour de manière régulière dans le livret d’accueil que le salarié s’engage à consulter de manière régulière. Le salarié
s’engage donc contractuellement à accepter toute nouvelle affectation au sein de ce périmètre qui pourrait être décidée
unilatéralement par la société DOM SECURITE FRANCE sans que cela ne constitue une modification de son contrat de travail.
Tout refus de mutation opposé à HASSAN Bichara à la société DOM SECURITE FRANCE dans les conditions prévues ci-dessus
pourra constituer une faute grave pouvant entraîner la rupture sans préavis ni indemnité du présent contrat et ceci
indépendamment de la réparation éventuelle du préjudice subi par la société DOM SECURITE France. Ceci est une condition
essentielle de la conclusion du présent contrat de travail. En cas de mise en œuvre de la présente clause, le salarié sera
informé 2 semaines avant la date de son affectation effective sur le nouveau lieu de travail, sauf meilleur accord entre les
parties.

ARTICLE 9 : DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS


Compte tenu de ses fonctions, il pourra être exigé du salarié d’effectuer des déplacements pendant son temps de travail
(formation, etc.). Dans ce cas, les frais de déplacements engagés par le salarié pour l'exercice de ses fonctions lui seront
remboursés selon les règles en vigueur dans la société à la date du déplacement.

ARTICLE 10 : VEHICULE
Le salarié déclare être titulaire d’un permis de conduire (Permis B) en cours de validité. Il s’engage à informer la société de
toute suspension (ou risque de suspension) ou suppression de son permis de conduire. De même, il déclare qu’il ne fait pas
l’objet d’une procédure de demande de restitution de permis de conduire. Pour effectuer ses déplacements professionnels,
le salarié pourra être amené à utiliser son véhicule personnel. Le salarié vérifiera auprès de sa compagnie d'assurance qu'il
est bien autorisé à utiliser son véhicule professionnellement. Il veillera également à ce que sa police d’assurance garantisse
pendant toute la durée du contrat de travail, la responsabilité civile de l’employeur, au cas où celle-ci soit recherchée. La
compagnie d’assurance devra s’être engagée, en outre à prévenir la société si la garantie était modifiée ou résiliée. Le
remboursement des frais afférents à l’utilisation du véhicule du salarié se fera selon les règles en vigueur dans la société à la
date du déplacement. Il pourra également se voir mettre à disposition par la société un véhicule de service qu'il n'est pas
autorisé à utiliser à titre privatif, ni pendant des périodes de suspension du contrat de travail. Il est précisé que pendant ces
périodes la société pourra demander la restitution dudit véhicule. Tout accident ou sinistre survenant au véhicule devra être
porté à la connaissance de la compagnie d'assurance ainsi que de la société au plus tard dans les 24 heures suivant la
survenance de cet accident ou sinistre. Le salarié s'engage à tout mettre en œuvre afin de ne pas engager sa responsabilité
dans tout sinistre ou accident pouvant résulter de l'utilisation du véhicule mis à sa disposition. Il s’engage à respecter les
règles en vigueur relatives aux véhicules qui sont communiquées par voie d’affichage au moyen d’une note de service ou
bien qui sont précisées dans le règlement intérieur applicable au sein de la société. Il s'engage à une obligation particulière
de prudence et de respect des règles du Code de la Route ainsi que de soins apportés quant à l'entretien et au maintien en
bon état de conservation du véhicule. Tout manquement à ces obligations essentielles est susceptible de caractériser une
faute professionnelle pouvant motiver la rupture du contrat de travail du salarié le cas échéant pour faute grave, ceci sans
préjudice d'éventuels dommages et intérêts qui pourraient être réclamés par la société en cas de faute d'une exceptionnelle
gravité détachable de l'exécution normale du contrat de travail et se révélant délibérément nuisible aux intérêts de la
société. Le salarié s'engage à restituer le véhicule mis à sa disposition le dernier jour de son contrat de travail quelle que soit
la cause de la rupture dudit contrat de travail, ou à première demande de la société en cas de suspension de son contrat de
travail pour quelle que cause que ce soit. Enfin, le salarié est informé que depuis la loi du 18/11/2016, les noms et les
coordonnées personnelles de tout auteur d’infraction routière seront communiqués par la société à l’administration qui
l’exigerait (article L121-6 du code de la route). Il est expressément rappelé que toute condamnation de nature pénale, liée à
une infraction au code de la route, reste à la charge du salarié.

ARTICLE 11 : OBLIGATIONS GÉNÉRALE DU SALARIÉ


Le salarié s'engage à la plus grande assiduité, à la stricte observation des directives et instructions de travail qui lui seront
données par la Direction ou toute autre personne déléguée à cet effet ainsi qu’au respect des procédures en vigueur dans la
société. Le salarié s'engage à respecter l'ensemble des prescriptions réglementaires, y compris d’ordres internes, nécessaires
au bon fonctionnement de la société et diffusées par elle. Tout spécialement, le salarié s'oblige à respecter scrupuleusement:
· Les chartes et règlements en vigueur.
· L’intégralité des procédures qualité mises en place.
· Les règles d'hygiène et de sécurité en vigueur dans la société.
· Les règles essentielles du poste de travail qu'il occupe.
Le salarié reconnaît en effet :
- Avoir pris connaissance du règlement intérieur en vigueur dans la société.
- Avoir pris connaissance, sur son poste, de l’existence des documents suivants : consignes d’application générale et
particulière de sécurité – Plan de prévention du site (décret du 20 février 1992).
- Avoir pris connaissance du document unique d’évaluation des risques professionnels.
- Avoir reçu un exemplaire du code de déontologie des personnes physiques ou morales exerçant des activités privées de
sécurité.
- Avoir été informé des conditions de recueil, de conservation, d’accès, de modification, de rectification des données
personnelles dans la société, conformément aux dispositions de la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux
fichiers et aux libertés.
- Avoir été informé des risques encourus pour sa santé et sa sécurité dans la société.
- Avoir été informé des dispositifs mis en place dans la société et sur les sites de la clientèle de contrôle et de surveillance
des activités des salariés, dont il peut être l’objet, et auxquels il accepte de se soumettre.
- Avoir été informé que toute intervention de sa part sur la voie publique, en dehors du périmètre d’intervention, est
strictement interdite (sauf autorisation délivrée par l’autorité compétente, à la société).
- Avoir reçu les décisions unilatérales et leurs avenants, les notices d’informations et leurs additifs du régime de garantie
collective de frais de santé et de prévoyance applicable au sein de la société.
Le salarié s’engage à vérifier régulièrement, de son propre chef, les actualisations qui seront apportées aux règles et
documents visés ci-dessus. Le salarié s’engage également à informer la société sans délai de tout évènement qui
interviendrait dans sa situation et modifierait les renseignements qui ont pu lui être demandés lors de son embauche. À
défaut, les notifications au salarié, faites par la société au dernier domicile connu seront réputées valables. Le salarié s'oblige
à participer aux actions de formation tant internes qu'externes qui pourront être décidées par la société. Le salarié s'engage à
se soumettre à toute visite médicale que sa situation exigerait. Le salarié est tenu, en vertu du présent contrat de travail,
d’un devoir de réserve et d’une obligation de loyauté vis-à-vis de son employeur. Ce devoir de réserve et de loyauté
s’applique aussi sur internet. Ainsi, le salarié s’engage à ne pas poster sur les réseaux sociaux ou sur internet des
commentaires qui pourraient nuire à la e-réputation de la société. Le salarié a conscience qu’il est « ambassadeur de
l’entreprise » et, qu’à ce titre, il se doit de surveiller sa propre e-réputation lorsqu’il se présente comme salarié de la société
et le salarié s’engage à ne pas porter atteinte à l’image de la société. Le salarié n’est pas autorisé à créer une page internet
(Facebook ou autre, etc.) pour représenter la société, sans autorisation expresse et préalable de la société.

ARTICLE 12 : CONDITION DE MORALITÉ - CARTE PROFESSIONNELLE – TITRE DE SEJOUR


Par la signature de ce contrat, le salarié s’engage à faire connaître dans les plus brefs délais à la société tout changement
dans sa situation personnelle. Par la signature du présent contrat, je soussigné, HASSAN Bichara, déclare sur l’honneur ne
jamais avoir fait l’objet de condamnation pour les agissements contraires à la probité ou aux bonnes mœurs, ou pour attente
à la sécurité des personnes et des biens. Toute déclaration du salarié concernant sa situation personnelle vis-à-vis des
dispositions définies par l’article 6 de la loi 83-269 du 12 juillet 1983, se révélant fausse ou ayant été délibérément
dissimulée, entraînera la rupture immédiate du contrat de travail. Le livre IV du code de la sécurité intérieure imposant à
toute personne exerçant une activité de sécurité privées de détenir une carte professionnelle délivrée par le CNAPS, le salarié
s’engage à prévenir l’entreprise sans délai de toute procédure pénale et/ou judiciaire qui pourrait être dirigée contre lui à
compter de son entrée dans l’entreprise et/ou survenu avant son entrée dans l’entreprise mais qui pourrait avoir des
conséquences durant la durée du contrat de travail. Compte tenu des fonctions et des missions confiées, le salarié est
informé qu’il doit détenir une carte professionnelle en cours de validité délivrée par le CNAPS, conforme aux dispositions du
code de la sécurité intérieure, tant au jour de la signature des présentes qu’au cours de l’exécution du présent contrat de
travail. Le renouvellement de cette carte est de la responsabilité du salarié qui devra en faire la demande au moins 3 mois
avant sa date d’expiration, étant précisé que la durée de validité de ladite carte est de 5 ans. Le salarié reconnait
expressément que la détention de la carte professionnelle garante de sa moralité auprès de la clientèle est une condition
nécessaire et obligatoire à l’exercice de ses fonctions. Le salarié est informé que toute notification de rejet de l’habilitation
par l’autorité compétente, le privant ainsi de carte professionnelle pourra entraîner la rupture du contrat de travail pour
cause réelle et sérieuse. Dans ces conditions, le salarié s’engage à informer la société de tout changement dans sa situation,
de toute procédure pénale dont il ferait l’objet et à transmettre chaque année un extrait de son casier judiciaire de moins de
3 mois. Si le salarié est de nationalité étrangère, ce dernier a l’obligation de faire parvenir son titre de séjour ou son
renouvellement dans les plus brefs délais et ceci dans la semaine calendaire de la date de fin de validité mentionnée sur le
titre de séjour. En cas de non-respect de cet alinéa, et dans le cas où l’échéance de validité du titre de séjour est dépassée, le
contrat de travail est suspendu de fait et une procédure de licenciement pourra être engagée.

ARTICLE 13 : ACTIVITÉ CYNOPHILE


Le salarié s’engage à déclarer à la société, le chien utilisé dans le cadre du service et présenter les pièces suivantes :
- Carnet de vaccinations (y compris vaccination antirabique).
- État original de l’animal.
- Attestation de dressage.
- Le numéro d’agrément du chien (carte professionnelle).
Le salarié est informé que le défaut de détention d’une carte professionnelle comportant le numéro d’identification du chien
pourra entraîner la rupture du contrat de travail pour cause réelle et sérieuse. Le salarié devra également communiquer à la
société, s'il est propriétaire ou détenteur d’un chien de 1ère ou 2ème catégorie au regard de l’arrêté du 27/04/1999 pris
pour l’application de l’article 211-1 du code rural :
- Le récépissé de déclaration au commissaire de compétence.
- L’attestation d’assurance garantissant de la responsabilité civile du propriétaire.
Le salarié s’engage en permanence à tenir le chien en laisse et muselé au cours du service. Toute déclaration mensongère,
toute utilisation d’un chien non déclaré, non muselé ou interdit par la réglementation et enfin tout acte de maltraitance à
l’égard de l’animal constituera une faute pouvant motiver la rupture du contrat de travail.

ARTICLE 14 : EXCLUSIVITÉ ET DISCRETION PROFESSIONNELLE


Si le salarié devait accepter un autre emploi ou s’impliquer dans une autre activité professionnelle, il s’engage à ce que celui-
ci ne soit pas en concurrence directe ou indirecte à celui qu’il occupe au sein de la société. Le salarié s’engage en tout état de
cause à informer la société de tout éventuel autre poste ou activité qu’il envisagerait d'accepter. Le salarié s’engage aussi à
ne pas dépasser les durées du travail prévues par les textes pour un cumul d’emploi et à communiquer, à première demande,
ses rémunérations afférentes à sa double activité pour permettre un calcul des cotisations en adéquation avec les plafonds
de sécurité sociale. Compte tenu de la nature de ses fonctions, et afin de préserver le caractère confidentiel des informations
auxquelles il a accès, relatives notamment aux projets techniques et dossiers des clients, le salarié est tenu par une obligation
de confidentialité absolue. Le salarié s’interdit donc de divulguer à qui que ce soit des renseignements ou informations. Tout
manquement du salarié à l’obligation de discrétion prévue ci-dessus constitue de sa part une faute grave entraînant la
rupture sans préavis ni indemnité du présent contrat et ceci indépendamment de la réparation éventuelle du préjudice subi
par la société. Celle-ci se prolongera après la cessation du contrat de travail, quelle qu'en soit la cause. Il sera lié par la même
obligation vis-à-vis de tout renseignement ou document dont il aura pris connaissance chez des clients ou fournisseurs de la
société.

ARTICLE 15 : MATERIELS, DOCUMENTS ET TENUES


La société pourra être amenée à confier au salarié, dans le cadre de son activité professionnelle, des matériels divers, plans,
documents, fichiers, maquettes, dépliants, etc. en dépôt ou pour en faire un usage déterminé. Le salarié s'interdit
expressément d'en faire un usage autre que celui autorisé par la société et s'oblige à les lui présenter sur simple demande. Le
salarié s’interdit de prendre en vue de son usage personnel ou de tout autre usage non autorisé expressément, des copies ou
des reproductions de documents appartenant à la société ou à un de ses établissements. Le salarié apportera les meilleurs
soins en matière de tous documents et matériels qui lui seront confiés. En cas de suspension de contrat de travail, le salarié
s’engage à restituer les matériels et documents en sa possession, à première demande de la société. Au moment de la
rupture de son contrat de travail, peu important le motif, le salarié sera tenu de restituer immédiatement le matériel et les
documents qui lui auront été confiés sans qu’il soit besoin d’une demande ou d’une mise en demeure préalable de la société.
Conformément à l’article 5 de l’annexe IV de la CCN, il est rappelé que les agents de sécurité sont astreints au port d’une
tenue vestimentaire en conformité avec l’exercice de leur fonction. Le port de la tenue est obligatoire pendant les heures de
travail et strictement interdit en dehors de ces heures. D’ores et déjà, le salarié reconnaît avoir reçu contre décharge, au jour
de la signature du présent contrat de travail, une tenue réglementaire en bon état et une carte individuelle de service qu’il
s’engage à conserver et à restituer dans le même état en cas de cessation du contrat de travail pour quelque cause que ce
soit. D’un commun accord il est convenu qu’en cas de non-restitution de cet uniforme appartenant à l’entreprise pour
quelque raison que ce soit, une caution forfaitaire d’un montant de cent euros sera retenu sur le solde de compte
conformément aux dispositions de l’article L3251.1 du Code du Travail. Cette caution lui sera restitué dès lors que la tenue
aura été restitué à la société.

ARTICLE 16 : UTILISATION DU MATERIEL TÉLÉPHONIQUE & INFORMATIQUE


Le matériel téléphonique et informatique de la société est mis à disposition du salarié à des fins exclusivement
professionnelles, sauf motif légitime. Les codes et autres moyens d’accès aux nouvelles technologies ou aux abonnements
aux supports techniques (documentation, logiciels professionnels, etc.) mis à disposition par la société sont réservés à un
usage professionnel et ne sauraient être utilisés par le salarié à d’autres fins, et notamment après la rupture du contrat de
travail. Le salarié se voit attribuer ou doit s’attribuer un numéro interne ou code permettant l'accès à certains dossiers,
ordinateurs ou procédures confidentielles, il s’engage à le conserver secret et à ne l’utiliser que pour les besoins de ses
missions. Pour autant, si un code qu’il a créé pour les besoins de sa mission est nécessaire à la société pour accéder à l’un de
ses supports internet, il s’engage à le communiquer avant son départ. Le salarié s'interdit de modifier tout numéro interne ou
code qui lui a été attribué sans l'autorisation expresse et préalable de la Direction. Sauf contexte de confidentialité
exceptionnelle auquel cas la Direction en serait informée, le salarié s’interdit d’insérer des codes verrouillant des fichiers
informatiques contenant des documents, même lorsqu’il en aura été l’auteur ; il en sera de même pour les équipements et
machines dont il a l’utilisation dans le cadre de ses fonctions. Le salarié s'interdit de divulguer ou de prendre, en vue de son
usage personnel ou de tout autre usage non autorisé expressément, tous matériels et logiciels ou toutes copies de logiciels
appartenant à la société. Le salarié ne pourra télécharger sur internet des logiciels ou fichiers soumis à copyright. Le salarié
est informé que la société aura accès aux données informatiques et téléphoniques issues de ses postes et pourra procéder à
des vérifications et contrôles du respect de la présente clause dont la violation sera susceptible d'entraîner des sanctions,
pouvant entraîner la rupture du contrat de travail. Le salarié n’est pas, non plus, autorisé à transférer à des fins de
sauvegarde ou d’utilisation à l’extérieur de la société et de ses sites d’affectation, les données informatiques issues des
logiciels appartenant à la société et aux clients sur un hébergement de type cloud, sur une clef informatique ou sur tout autre
support, sans autorisation expresse et préalable de la société. Le salarié doit effectuer ses communications personnelles
pendant le temps de pause. L’usage d’un téléphone portable personnel ou d’un autre moyen de communication personnel
pendant le temps de travail effectif doit être strictement limité aux cas graves et urgents. Un usage abusif du téléphone
portable personnel pendant le temps de travail fera l’objet d’une sanction.

ARTICLE 17 : DEONTOLOGIE / ETHIQUE


Compte tenu de l'activité de la société, le salarié devra respecter les règles de déontologie et d’éthique applicables au sein de
la Société, en particulier :
¨ Le salarié n’acceptera aucun cadeau, paiement, honoraires, service, privilège spécial ou tout autre avantage de la part des
personnes physiques ou morales, fournisseurs, partenaires, ou clients de la société.
¨ Le salarié s’engage à n’avoir en aucun cas une relation professionnelle pour le compte de la société avec un fournisseur
ou partenaire chez lequel il entretenait directement ou indirectement des intérêts personnels sauf autorisation expresse de
la Direction.

ARTICLE 18 : ABSENCES
Le salarié est tenu de prévenir immédiatement son responsable hiérarchique et/ou l’astreinte de la société de toute absence.
En cas d’indisponibilité pour maladie ou accident, il devra, sauf impossibilité majeure fournir à la société un certificat médical
justifiant de son absence dans les 48 heures qui suivent l’arrêt de travail. En cas de prolongation de l'arrêt de travail, le
salarié devra transmettre, dans les mêmes délais, le certificat médical justifiant cette prolongation. En cas d’absence
prévisible, le salarié devra solliciter une demande d’autorisation préalable auprès de son supérieur hiérarchique via l’espace
Comète Web

ARTICLE 19 : CONGÉS PAYÉS


Le salarié aura droit aux congés payés prévus par l'article L3141-1 du code du travail et par la convention collective applicable
à la société. Le salarié s’engage à respecter les dates de départ et de retour de congés fixées par la société. Le salarié accepte
le principe de fractionnement de son congé principal qui ne pourra toutefois être inférieur à 12 jours consécutifs. Il renonce à
se prévaloir du bénéfice des jours de fractionnement si, à sa demande, des congés payés sont pris pendant la période
ouvrant droit auxdits jours de fractionnement. Le salarié est informé que toute demande de congés payés devra être faite via
l’espace Comète Web. Compte tenu de la nature spécifique des prestations assurées dans le cadre de son activité, par la
société, le salarié est informé que les congés peuvent être organisés par roulement en fonction des impératifs de service
exigés par la clientèle et sous réserve des modalités définies ci-après. En conséquence, le salarié déclare avoir été informé, au
moment de son engagement, de cette particularité professionnelle et accepte, sans aucune réserve, le principe de ce
roulement.

ARTICLE 20 : RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL


Les parties pourront rompre à tout moment le contrat de travail en respectant les dispositions légales et conventionnelles en
vigueur. Hors période d’essai, le délai de préavis dû par la société ou par le salarié en cas de rupture du contrat de travail est
fixé par les articles L1237-1 et L1234-1 du code du travail ainsi que par la convention collective applicable dans la société en
fonction de l'ancienneté que le salarié aura acquise au moment de son départ.

ARTICLE 21 : PROTECTION DES DONNEES PERSONNELLES


Le salarié s’engage à respecter les règles en vigueur dans la société, relatives à la protection des données personnelles. Il
atteste avoir été informé de la politique mise en œuvre par l’entreprise sur le traitement des données personnelles, et
notamment de l’interdiction qui lui est faite d’extraire, de transférer ou faire transférer et d’utiliser à des fins autres que
professionnelles pour le compte de l’entreprise, les données contenues dans les dossiers des clients, et ce, que ce soit en
support papier ou hors des supports informatiques gérés par l’entreprise, sans autorisation préalable de la Direction et dans
le respect des règles relatives à la gestion des données personnelles. Il est informé que ses données personnelles en tant que
salarié de l’entreprise feront l’objet d’un traitement automatisé, fondé sur les obligations imposées notamment par le Code
du travail, les conventions collectives, les dispositions réglementaires…, à l’occasion de la conclusion, de l’exécution et de la
rupture de son contrat de travail. Le salarié a été informé qu’outre les services internes de l’entreprise, les destinataires de
ces données sont notamment, à ce jour, les organismes de sécurité sociale, les caisses de retraites, de prévoyance et de
mutuelle, Pôle emploi, les services des impôts, le service de la médecine du travail, les services en charge de la gestion des
comptes de formation, la Caisse des dépôts et consignation, les prestataires à qui l’entreprise confie, le cas échéant, certains
domaines de la gestion sociale de l’entreprise : formation, paie, rédaction de lettre, de contrat et convention, …Le salarié
atteste avoir été informé que la société s’engage à tout mettre en œuvre pour garantir la sécurité et la confidentialité des
données personnelles des salariés. Dans ce cadre et conformément aux dispositions légales, il dispose d’un droit d’accès
permanent, de rectification ou d’effacement, ainsi que d’un droit à la portabilité de ces données ou d’une limitation du
traitement le concernant, d’un droit de s’opposer au traitement de ces données pour des motifs légitimes. Il peut également
définir des directives relatives au sort de ces données à caractère personnel après son décès (conservation, effacement et
communication). Ces droits pourront être exercés auprès du service compétent, à savoir le Directeur de la Société à l’adresse
suivante : ROND-POINT AUGUSTE COLONNA IMMEUBLE LE DIAMANT, 42160 Andrézieux-Bouthéon, par lettre recommandée
avec accusé de réception ou lettre remise contre décharge. Il sera fait suite à la demande sous 30 jours selon les mêmes
formes. Les données sont conservées le temps de la période d’emploi augmentée des durées légales et réglementaires de
conservation et de prescription.Le salarié a été informé que, s’il estime, après avoir contactés le service compétent, que ses
droits Informatique et Libertés ne sont pas respectés, il peut adresser une réclamation à la CNIL.

ARTICLE 22 : DISPOSITIONS INFORMATIVES


A titre purement informatif, il est précisé que :
· Le salarié bénéficiera d’un entretien professionnel tous les trois ans et ce conformément à la législation actuellement en
vigueur au sein de la branche professionnelle
· Le salarié est informé que le présent contrat de travail est régi par :
 Le Titre VI du Code de la Sécurité Intérieure.
 Le code de déontologie des personnes physiques ou morales exerçant des activités privées de sécurité.
 La Convention Collective nationale des entreprises de prévention et de sécurité.
 Les accords collectifs d'entreprise et leurs avenants.
 Le règlement intérieur de la société.
· Le salarié a pris connaissance des conventions et accords d'entreprise applicables au sein de la société.
· Le poste occupé par le salarié est actuellement classé Niveau 3 Echelon 2 Coefficient 140 de la convention collective
suscitée.
· Les cotisations afférentes à l'emploi du salarié sont actuellement versées auprès de :
 URSSAF : Rhône-Alpes.
 Retraite : APICIL.
 Prévoyance : AG2R La Mondiale.
 Mutuelle : Groupama
 Pôle Emploi : Auvergne Rhône-Alpes.
· A titre d’information, il est précisé que le salarié sera affilié aux différents régimes de protection sociale en vigueur au
sein de la société, et notamment auprès des institutions de prévoyance, de retraite complémentaire et, de mutuelle sauf cas
de dispense, retenues par la société dans le respect de la Convention collective. Le salarié ne pourra refuser d’acquitter la
quote-part des cotisations à sa charge ni refuser le bénéfice des prestations servies telles qu’elles sont actuellement prévues
ou telles qu’elles sont susceptibles de devenir, par suite de modifications des régimes et des taux de cotisations actuellement
en vigueur. La déclaration nominative préalable à l'embauche sera remise à l'URSSAF de Rhône-Alpes. Conformément à la loi
du 6 janvier 1978, le salarié a un droit d'accès et de rectification aux informations portées sur ce document. Compte tenu de
ses fonctions (déplacements inhérents aux fonctions), le salarié travaillera sur les différents sites sur lesquels la société sera
amenée à intervenir dans le secteur d’affectation de l’agence de LYON sur les départements 01/07/26/38/69/71/73.
Toutefois le salarié est informé que la liste des départements de l’agence de LYON peut évoluer suivant les évolutions de la
société. Cette liste sera mis à jour de manière régulière dans le livret d’accueil que le salarié s’engage à consulter de manière
régulière.

ARTICLE 23 : SIGNATURES
Le présent contrat de travail a été rédigé en double exemplaire dont un a été remis à chacune des parties.

Fait à Andrézieux Bouthéon, le 20/01/2023

Pour le salarié Pour la société DOM SECURITE FRANCE


HASSAN Bichara Monsieur Jordan DA SILVA, Président
Lu et Approuvé Lu et Approuvé

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