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Plan

Introduction

I. Définition
II. L’agent pathogène (ou causal)
III. Les manifestations de la maladie
IV. Les modes de contamination
V. Les modes de traitement
VI. Les modes de prévention
VII. Les conséquences sur l’organisme et la santé
VIII. Schéma du cycle de développement de l’agent causal

Conclusion

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Introduction

Le paludisme est une maladie infectieuse, courante et grave


causée par cinq différentes espèces de plasmodium dont le
plasmodium falciparum, le plasmodium vivax, le plasmodium
ovale, le plasmodium malaria et le plasmodium knowlesi. Le
paludisme est transmis par la morsure d’un moustique anophèle
femelle infecté. Sa gravité varie en fonction de l’espèce du
plasmodium.

I. Définition

Le paludisme communément appelé malaria est une maladie


infectieuse tropicale due à un parasite transmis par la piqûre de
certains moustiques anophèles femelles infectées.

II. L’agent pathogène (ou causal)

Le paludisme est une maladie humaine fébrile aiguë causée par le


parasite plasmodium.

III. Les manifestations ou symptômes

Le paludisme débute par une fièvre de 8 à 30 jours après


l’infection qui peut s’accompagner ou non, des maux de tête, des
vomissements et nausées, une toux, une diarrhée, des douleurs
musculaires, d’un manque d’appétit, d’une anémie avec souvent
une sensation de froid provoquant des frissons et la fatigue. À
noter que dans la majorité des cas, la fatigue survient en même
temps que les symptômes digestifs (nausées, vomissements,
diarrhée, etc.).
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IV. Les modes de contamination

Le paludisme est transmis à l’homme par la piqûre d’un


moustique femelle, du genre anophèles, lui-même infecté après
avoir piqué une personne infectée : La femelle en prenant le repas
de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite (sporozoïte) à
son hôte. Les mâles ne piquent pas.

V. Les modes de traitement

Le traitement repose sur la prise d’antiparasites, d’antibiotiques


et autres antipaludiques. Le paludisme se traite aussi par
l’administration de malarone ou l’eurartésim, un dérivé de
l’artémisinine. C’est un traitement très efficace lorsqu’il est bien
mené. L’avantage, c’est qu’il est facile à prendre : 4 comprimés
par jour pendant trois (03) jours et cela se guérit très bien.

VI. Les modes de prévention

Pour prévenir le paludisme, il faut :

 Dormir sous une moustiquaire imprégnée ;


 Utiliser les insecticides ;
 Eviter de verser de l’eau sale ;
 Détruire les eaux stagnantes.

Exemple :

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VII. Les conséquences sur l’organisme et la santé

Le paludisme modifie la paroi des globules rouges qui cause des


bouchons et trouble la microcirculation de certains organes tels
que : le cerveau, les poumons, les reins ce qui augmente le risque
de décès. Ils entrainent aussi des troubles neurologique graves
avec des troubles de conscience (convulsions, coma et divers
signes généraux : hypoglycémie, troubles de la coagulation etc.)
On observe aussi une atteinte cérébrale caractérisée par un délire,
une perte de connaissance, voire le décès de la personne infectée.

VIII. Schéma du cycle de développement de l’agent


causal

Titre : Schéma du cycle simplifié du paludisme pour plasmodium


falciparum

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Conclusion

Le paludisme reste une préoccupation majeure de la santé de


l’enfant en Afrique, surtout dans la zone subsaharienne, malgré
les efforts consentis. Le diagnostic ne pose pas de Problème, mais
le retard à la consultation et au démarrage du traitement sont à la
base des formes graves au pronostic redoutable.

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