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I.

LE PALUDISME
Le paludisme est une maladie provoquée par des parasites du genre
plasmodium. Selon l’OMS, cette maladie cause aux alentours d’un millier
des victimes par an dans le monde.

En virons 40 pourcent de la population mondial est exposer à la maladie


et 500 millions de cas cliniques sont observés chaque année.la situation
est d’autant très préoccupantes que depuis plusieurs années les parasites
développent de résistances aux molécules anti paludique et les
moustiques craignent de moins en moins les insecticides aujourd’hui
aucun vaccin n’est disponible.

1 millions des victimes par an dans le monde. 90 pourcent de cas de


paludisme dans les zones tropicales d’Afrique, en France en 2011, 3560
cas d’importation ont été rapportés.

II. Causes du paludisme

Le paludisme est une maladie infectieuse potentiellement mortelle due à


plusieurs espèces des parasites appartements au genre plasmodium.

Le parasite est toujours transmis à l’homme par la piqure de moustiques


infectés. Ces moustiques « vecteurs » du paludisme appartiennent tous
au genre anophèles.

III. Symptômes

Les manifestations cliniques du paludisme sont très diverses, le


paludisme débute par une fièvre 8 à 30 jrs après l’infection, qui peut
s’accompagné ou non de maux de tête, de douleurs musculaires, d’un
affaiblissement, de vomissement, de diarrhée, de toux.

Des cycles typiques alternant fièvre, tremblement avec sueurs froids et


transpiration intense peuvent alors survenir « c’est l’accès palustre ».

Les priorités de ce cycle dépendent de l’espèce de parasites en cause et la


multiplication de parasites et éclatement de globule rouge qui conduit à
l’anémie.
Le paludisme engendrer par le plasmodium par le plasmodium peut être
fatal s’il n’est pas traiter dans certains cas les globules rouge infectes
peuvent obstruer les vaisseaux sanguins irrigant le cerveau : c’est le
neuro paludisme souvent mortel. Dans les régions où le paludisme est
hautement endémique une partie de la population est porteuses
asymptomatique.

Suite à des nombreuses années d’infectant chronique par le parasites,


certains individus tolèrent sa présence et développement une immunité
naturelle « immunité acquise »

III. épidémiologie

Le paludisme touche une certaines des pays dans le monde,


particulièrement les zones tropicale défavorisée d’Afrique, d’Asie et
d’Amérique latine.

L’Afrique est de loin, le continent le plus touché avec 90 pourcent de cas


de paludisme recensés dans les zones tropicales.

Des épidémies peuvent survenir lors de mouvements de population peu


exposer au paludisme vers des zones hautement endémiques, l’Europe
connait de cas de paludisme dit « importation en France, en 2011/3560
cas d’importation ont été rapportés (source IVNS).

IV. Les différentes espèces du parasite plasmodium impliqué

Quatre espèces de parasites du genre plasmodium sont responsables de


la maladie chez l’homme.

- Plasmodium falciparum est l’espèce la plus pathogène et


responsable des cas mortels. Elle est présentée dans des zones
tropicales d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et elle est dominante
en Afrique.
- Le plasmodium vivax coexiste avec plasmodium falciparum dans de
nombreuses du monde et, est présente dans certains régions
tempérés.
- Plasmodium ovale, principalement trouvée en Afrique de l’ouest ne
tue pas mais peut entrainer des rechutes 4 à 5 ans après la primo-
infection.
- Plasmodium malariae a une distribution mondiale mais très
inégale. Elle n’est pas meurtrière mais peut entrainer des rechutes
jusqu’à 20 ans après la primo-infection.

V. Transmission

Le paludisme est transmis à l’homme par la piqure d’un moustique


anophèle femelle infectieux, seuls les moustiques anophèles peuvent
transmettre le paludisme et ils doivent avoir été infectés précédemment
par un repas de sang pris sur une personne infecté.

VI. Cycle du paludisme

Le cycle de plasmodium est complexe et comporte deux étapes


essentielles, une phase asexuée chez l’homme et une phase sexuée chez
les moustiques.

L’anophèle femelle injecte à l’homme le parasite sous forme de


sporozoite celui-ci migre rapidement, via la circulation sanguine vers le
foie.

Il pénètre la cellule hépatique où il se divise très activement pour


donner naissance en quelque jour à des dizaines de milliers de nouveaux
parasites.

Les cellules du foie éclate en libérant ces parasites dans le sang, là ils
pénètrent à l’intérieur des globules rouges et se multiplie. Lorsque ces
derniers éclatant à leur tour les météorites libère dans la circulation
sanguine infectent de nouveaux les globules rouges (cycle érythrocytaire).

Apres quelques cycles de réplication des metozoides, des parasites


sexuées male et femelles (gamétocytes) sont formel à l’intérieur de
globule rouge lorsqu’un moustique pique une personne infecté il ingère
ces gamétocytes qui se transforment en gamètes. Leur fécondation
engendre un zygote qui se différencie en oocyste dans le tube digestif du
moustique.

Les oocystes produisent des des sporozoaires qui migrent vers les glandes
salivaires du moustique un nouveau cycle peut alors commencer.

Les rechutes plasmodium ovale ces tardives de paludisme observée lors


d’infections par plasmodium vivax et plasmodium ovale sont due aux
possibilités pour ces espèces de subsister sous une forme latente
(hypnozoites) dans la cellule hépatique de l’homme.

VII. Traitement de paludisme

VII 1. Traitement préventif

Plusieurs molécules anti paludiques qui peuvent être utilisées en


prophylaxie (prévention lors de voyage et zone endémique ou en
thérapeutique.

Le plus connu est la chloroquine ou la quinine. D’autres comme la


mefloquine sont utilisés dans les régions où vivent des parasites résistant
à la chloroquine.

Il est dangereux de partir en zone de transmission intense de paludisme


sans prise régulière d’un traitement préventif, en particulier pour les
enfants et les femmes enceintes qui ont un risque accru d’accès grave.

Le traitement préventif doit être prescris par un médecin. Il tient compte


des zones visites (risque, existence ou non de résistance)

De la durée du voyage et aussi de la personne : l’âge, les antécédents


pathologiques, une intolérance aux antis paludiques, une possibilité
interaction médicamenteuse, une grossesse.

Mais les médicaments anti paludiques ne garantissent pas une protection


absolue contre l’infection et il est aussi important de se protéger des
piqures de moustiquaire produits anti-moustiques.

VII2. Traitement curatif

Paludisme simple

L’OMS recommande les combinaisons thérapeutiques à base


d’artemisinine (CTA) pour traiter le paludisme non compliqué causé par
plasmodium falciparum. Associant 2 principes actifs qui ont des modes
d’actions différents les CTA sont les antis paludiques les plus efficaces
dont on dispose aujourd’hui.

Actuellement, l’OMS recommande 5 CTA contre le paludisme à


plasmodium. Le choix des CTA doit se fonder sur les résultats des études
d’efficacités thérapeutiques contre les souches locales de paludisme à
plasmodium falciparum.

VIII4. traitement du paludisme grave

le paludisme grave doit être traiter avec de l’artesunate injectable par


voie intra musculaire ou intra veineuse pendants au moins 24 heures,
suivis d’un CTA complète de 3 jours une fois que le patient peut tolérer
des médicaments par voie orale.

VIII. CONCLUSIONS

Comme nous l’avons démontré, le paludisme est une maladie complexe.


Ce n’est pas donc pas une maladie si facile à éradiquer dans des zones
endémique.

Son évolution dépend naturellement des parasites et de l’anophèle mais


aussi et surtout des moyens utilisés pour faire disparaitre.

C’est ainsi qu’il y des dizaines d’années, nous vaincu la maladie en


Europe. Il ne reste aujourd’hui.

Cependant plusieurs facteurs rendent l’éradication à l’échelle mondiale


difficile :

Chaque nouvelle possibilité d’ici entraine des complications (par exemple


le DTT en Europe à provoquer des intoxications, l’insecticides, ne peut
donc pratiquement plus être utilisé.

A chaque fois que l’homme trouve des traitements, le parasités


développe une résistance.

Des difficultés sociales, politiques et économique s’ajoutent à ces


problème puisque les pays le plus touché par le paludisme sont des pays
pauvres, dont les populations ne disposent pas des moyens suffisants
pour pouvoir se soigner et où l’accès aux soins est limité.

A travers ces obstacles, il est possible de comprendre que l’éradication


totale de ce fléau reste compliquée.

Mais il existe tout de même des gestes simple permettent de limiter le


fléau, les mesures des préventions.
En effet c’est sauvé ; c’est en prenant quelque précaution que des vies
peuvent sauvées. De plus si l’homme garde espoir et continue ses
recherches il finira surement un jour par trouver la solution adéquate.

Pour vaincre les difficultés, sociales économiques etc…. la solution serait


l’aide humanitaire.

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