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Une passerelle est un pont ou un passage aérien, à l’usage exclusif des piétons ou des
cyclistes, pouvant relier entre deux bâtiments, enjamber un cours d’eau, une voie navigable et
même un axe de circulation routière ou ferroviaire…etc. elle est parfois couverte, fermée ou
vitrée sur les côtés pour abriter les usagers.
Il est bien sur possible de combiner plusieurs types de structures de manière à optimiser la
résistance.
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Passerelles suspendues
Elles peuvent supporter des charges relativement élevées. Ces structures sont utilisées pour
des ouvrages de longues portées, elles nécessitent des fondations pour les pylônes ainsi que
des ancrages pour les câbles.
Passerelles à haubans
Les passerelles à haubans tiennent grâce a de nombreux câbles obliques partant d’un pylône
qui supporte le tablier ainsi que le poids total de la structure
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Passerelles à poutres simple
Ce sont des passerelles dont le tablier est porté par une ou plusieurs poutres en acier (dans
notre cas). Les ponts à poutres n’exercent qu’une réaction verticale sur leurs appuis
intermédiaires ou d’extrémités et les efforts engendré dans la structure sont principalement
des efforts de flexion
Passerelles en arc
Adaptées pour de petites et moyennes longueurs, les structures en arc sont généralement très
esthétiques. Elles nécessitent souvent des appuis avec encastrement. De plus, les calculs de
résistance de l’arche ne sont pas simples vu la combinaison de différentes contraintes. Aussi,
les procédés de construction sont plus complexes que pour d’autres types de structures.
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Passerelles à treillis
Ce type de structure est adaptée pour des petites et moyennes portées. Elles présentent
l’avantage de solliciter les poutres qui la composent seulement en traction ou en compression.
Une poutre résiste mieux à ce type de sollicitation qu’à la flexion que l’ont retrouvé dans une
structure en poutre simple
Classe I (trafic très dense) : passerelle urbaine reliant des zones à forte concentration
piétonnière (par exemple présence d’une gare à proximité) ; ou fréquemment
empruntée par des foules denses (manifestations, touristes…).
Classe II (trafic dense) : passerelle urbaine reliant des zones peuplées, soumis à un
trafic important et pouvant parfois être chargées sur toute sa surface.
Classe III (trafic normal) : passerelle normalement utilisée, pouvant parfois être
traversée par des groupes importants mais sans jamais être chargée sur toute sa
surface, c’est le cas de la majorité des passerelles.
Classe IV (trafic faible) : passerelle très peu utilisée, construite pour relier des zones
très faiblement peuplées ou pour assurer la continuité d’un cheminement piétonnier
de faible importance dans des zones coupées par des autoroute ou une voie rapide.
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I-4 Éléments composant une passerelle
L’ouvrage a réalisé est une passerelle de classe III au niveau de BEN ACHOUR ( OUED
BENI AZZA) a la wilaya de BLIDA
Cette passerelle est un projet fictif, imaginer dans le cadre de notre formation en calcul
d’ouvrage spéciaux.
a- Aspect architecturale :
L’ouvrage est une passerelle en charpente métallique, conçu par besoin en vue de facilité le
trafic piétons aux usagers
- Longueur totale 𝐿 = 12 m
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b- Aspect structurel
La passerelle reposera sur des poteaux en charpente a âme pleine de type HEA. Le tablier sera
conçu avec une tôle larmée le relief confère à la tôle des propriétés anti-dérapantes, et cette
caractéristique est un bon atout pour notre passerelle étant donné qu’elle se trouve à
l’extérieur.
Les assemblages sont des procédés d’attachement entre plusieurs éléments afin d’assurer la
continuité de la structure dans les points assemblés. Dans la charpente métallique, les moyens
d’assemblages utilisés sont soit les assemblages boulonnés ou soudés.
Dans notre réalisation, nous allons utiliser des boulons a haute résistance (HR) et des pieds de
poteaux encastrés
Caractéristiques de l’acier :
Acier S355 : 𝑓𝑦 = 275 𝑀𝑃𝐴 - Module d’élasticité : 𝐸 = 210000 𝑀𝑃𝐴
Caractéristiques du béton :
La résistance caractéristique a la compression du béton a 28 jours est de 30 MPA
Poids volumique du béton est de 25 𝐾𝑁/𝑚2.
Charges d’exploitations :
Fascicule 61 titre II : 4.5 𝐾𝑁/𝑚2 (article 12 p.49)
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II- Détermination des charges
- Fascicule 61 titre 2.
Elle désigne la charge du tablier, qui va être une tôle larmée d’une épaisseur de 10 mm,
D’après le fascicule 61 titre II, la charge d’exploitation pour les piétons est de :
𝑸 = 𝟒.𝟓 𝑲𝑵/𝒎𝟐
L'effet du vent sur une construction a une grande influence sur la stabilité de l’ouvrage. Pour
Cela, une étude approfondie doit être élaborée pour la détermination des différentes actions
dues Au vent et ceci dans toutes les directions possibles. Le calcul sera mené conformément
au règlement RNVA2013.
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Hauteur de référence 𝑍𝑒 :
𝑍𝑒 = 2,69 𝑚
Coefficient d’exposition 𝐶𝑒
Nature du site : 𝐶𝑡 = 1
• Coefficient de rugosité 𝐶𝑟
Zmin
Pour 𝑧 < 𝑧𝑚𝑖𝑛 → 𝐶𝑟(𝑧) = 𝐾𝑡 × ln( ) = 0.215 × ln¿) =0.605
ZO
• Intensité de turbulence 𝐼𝑣 :
1 1
Pour 𝑧 ≤ 𝑧𝑚𝑖𝑛 → 𝐼𝑣(𝑧) =
Ct (Z)×ln (
Zmin =
) 1× ln (
5 = 0, 355
)
Z0 0,3
Calcul de 𝒒𝒑 :
𝑞𝑝(𝑧) = 375 × (1^2 × 0.605^2 × [1 + 7 × 0.355])
𝒒𝒑(𝒛) = 478.35 𝑵/𝒎𝟐
Dans le cas d’une toiture isolée, elle est obtenue par la formule suivante :
- Par définition donnée dans l’EC 1, une toiture isolée est la toiture d’une construction ne
comportant pas de murs permanents, tels que les hangars agricoles ouverts, ou les stations-
services.
𝝋 = 𝟎 ; comme expliquée dans l’EC 1 chapitre 7.3 ART 2 ; cette valeur est prise pour
les cas de toiture isolée sans rien en dessous.
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Angle de Obstruction 𝝋 𝑪𝒇 Zone t Zone r Zone u
toiture
𝜶=𝟎 Surpressio 𝜑 +0.2 +0.5 +1.8 +1.1
n Quelconque
Dépression 𝜑 -0.5 -0.6 -1.3 -1.4
S = μ×Sk
0.04 . H +10
Sk = => Sk= 0.18 kN/m2
100
µ = 0.8 (Page 24 du DTR)
S = 0.8 x 0.18 => S = 0.144KN/m2
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III- Prédimensionnement des éléments de la structure
𝐿 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑣𝑒 = 1.5 𝑚
L L
≤ h≤
25 15
60 mm ≤ h ≤ 100 mm
𝑄 = 4.5𝐾𝑛/𝑚2
𝑀𝑠𝑑 ≤ 𝑀𝑝𝑙𝑟𝑑
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Wply x fy 220.6 ×103 ×275
𝑀𝑝𝑙𝑟𝑑= = ×10−6 =55. 15KN.m
ɤm 0 1.1
qu .l 2 7.11 x 1.5 2
𝑀𝑠𝑑¿ = =2KN.m
8 8
𝑉𝑠𝑑 ≤ 𝑉𝑝𝑙𝑟𝑑
Avy x fy
𝑉𝑝𝑙𝑟𝑑= avec Avy = A-2btf+(tw+2r) tf = 2848-2(100
√ 3 ×ɤm 0
x8.5)+(5.6+24)=1399.6mm2
1399.6 x 275
𝑉𝑝𝑙𝑟𝑑= =202.01KN
√ 3 x 1.1
𝑀𝑠𝑑 ≤ 𝑀𝑏𝑟𝑑
Dance ce cas, il n’est pas nécessaire de vérifier le déversement, car la semelle supérieure de la
solive est maintenue mais la présence du tablier (la tôle). Ce qui fait, pas de risque de
déversement
f ≤f adm
L 1500
fadm= = = 7.5mm
200 200
4 4
f=
5 . qs . L
= 5 x 4.83 x 1500¿ = 0.07mm≤7.5mm (Condition vérifiée)
384. E . Iy . 384.2.1 x 10
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III-2 Prédimensionnement des poutres
𝐿𝑝𝑜𝑢𝑡𝑟𝑒 = 12 𝑚
L L
≤ h≤
25 15
480mm ≤ h ≤ 800mm
Gpoutre=0.663 𝐾𝑁/𝑚𝑙
𝑄 = 4.5𝐾𝑛/𝑚2
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ELS : qs = G+Q+N=10.21 N/ml
𝑀𝑠𝑑 ≤ 𝑀𝑝𝑙𝑟𝑑
qu .l 2 14.82 x 122
𝑀𝑠𝑑¿ = =266.78KN.m
8 8
𝑉𝑠𝑑 ≤ 𝑉𝑝𝑙𝑟𝑑
Avy x fy
𝑉𝑝𝑙𝑟𝑑=
√ 3 ×ɤm 0
−3
3636.6 x 275 x 10
𝑉𝑝𝑙𝑟𝑑= =524.89KN
√ 3 x 1.1
qu .l = 14.82 x 12 = 88.92KN
𝑉𝑠𝑑=
2 2
𝑀𝑠𝑑 ≤ 𝑀𝑏𝑟𝑑
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L
iz
[ [ ]]
λ ¿= 0 ,25
=¿
2
L
=78.12 IPE 400 de classe 1 (K=1 ; C1=1,132 ; Kw=1 ;
1 iz
√ C 1× 1+
20 h
tf
βw=1)
λ ¿=
√ βw ×Wpl , y × fy
Mcr
λ
[ ]
= ¿ × [ βw ] 0,5 =
λ1
78.12
86.81 [
× [ 1 ] 0,5
]
λ ¿=0.89
f ≤f adm
L 12000
fadm= = = 60mm
200 200
4 4
f=
5 . qs . L
= 5 x 10.21 x 12000¿ = 56 mm≤60mm (Condition vérifiée)
384. E . Iy . 384.2 .1 x 10
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III-3 Prédimensionnement des poteaux
Vérification au flambement
Effort normal ultime appliquer sur le poteau le plus sollicité déterminer par le logiciel
Robot Structural Analysis 2019.
𝑁𝑢 = 78.70 𝐾𝑁
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χ × βa × A × fy
𝑁𝑠𝑑 ≤ 𝑁𝑏,𝑟𝑑 =
ɤm0
Suivant l’axe y-y . (poteau b-articulé dans ce sens) lfy = 0.7𝐻 = 1.883𝑚
Lfy 188
𝜆z= = =37.81
iz 4.98
λz 37.81
𝜆̅= × √𝛽𝑎= = 0.43 > 0.2 Il y a risque de flambement
λ1 86.81
Vérification du flambement
h
=0.95 ≤ 1.2tf =10 mm
b
1
𝜒= 𝜒 =0.88
¿¿
χ × βa × A × f
𝑁𝑏,𝑟𝑑= ➔ 𝑁𝑏,𝑟𝑑=1184.26KN
ɤm
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Alors, le poteau choisi HEA200 résiste au flambement
L’analyse d’une structure peut se faire à l’aide de deux méthodes principales. Le choix de
méthode dépend du type de la structure et de ses dimensions.
L’une des premières vérifications préconisées par le RPA99 version 2003 est relative à la
résultante des forces sismiques.
𝑉𝐸 ≥ 0.8𝑉𝑠𝑡𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒
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La force sismique totale V appliquée à la base de la structure, doit être calculée
successivement dans deux directions horizontales orthogonales selon la formule :
A × D ×Q
𝑉= ×w
R
Q : Facteur de qualité.
W : poids de la structure
Dans notre structure en néglige la force sismique car il ya pas de diaphragme (pas de collage )
IV-b Étude dynamique due aux vibrations : est concéderai avec la charge
d’exploitation Q
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Défini les profilés utilise
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Model 3D :
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Charge de neige
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Charge permanente
Charge exploitation
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Charge du vent
Résultat de la modélisation
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Solution : en ajoute un entre contreventement
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Poid total de la structure : W=WG+0.6WQ
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VI- Les assemblages
Maintenant que nous avons dimensionné les barres qui composent notre passerelle, nous
devons trouver un moyen de les assembler. Ce qu’il faut garder à l’esprit c’est la simplicité de
conception.
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Calcul du Pied de Poteau encastré
(résultat du robot )
Général
Assemblage N°: 3
Géométrie
Poteau
Matériau
ACIER E28
:
Platine de prescellement
30
lpd = 380 [mm] Longueur
Matériau
ACIER E28
:
Ancrage
Raidisseur
ts = 10 [mm] Epaisseur
d1 = 20 [mm] Grugeage
d2 = 20 [mm] Grugeage
Coefficients de matériau
Semelle isolée
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L= 500 [mm] Longueur de la semelle
Béton
Classe Utilisateur
Mortier de calage
Soudures
as = 9 [mm] Raidisseurs
Efforts
Résultats
Zone comprimée
COMPRESSION DU BETON
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AILE ET AME DU POTEAU EN COMPRESSION
hf,y = 180 [mm] Distance entre les centres de gravité des ailes [6.2.6.7.(1)]
hf,z = 200 [mm] Distance entre les centres de gravité des ailes [6.2.6.7.(1)]
Nj,Rd = Fc,Rd,n
11536,7
Nj,Rd = [kN] Résistance de la semelle à l'effort axial [6.2.8.2.(1)]
0
FC,Rd,y = min(Fc,Rd,y,Fc,fc,Rd,y)
FC,Rd,z = min(Fc,Rd,z,Fc,fc,Rd,z)
Zone tendue
Ft,Rd,s = min(Ft,Rd,s1,Ft,Rd,s2)
11855,0
Ft,Rd,p = [kN] Résistance de calc. pour le soulèvement CEB [9.2.3]
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FENDAGE DU BETON
33
NRk,c0 = 2735,85 [kN] Résistance de calc. pour le soulèvement CEB [9.2.5]
Ft,Rd,sp = 79,36 [kN] Résistance de calcul du boulon d'ancrage au fendage du béton CEB [9.2.5]
FT,Rd,y = Ft,pl,Rd,y
156,1
FT,Rd,y = [kN] Résistance de la semelle dans la zone tendue [6.2.8.3]
6
FT,Rd,z = Ft,pl,Rd,z
Mj,Ed,y / Mj,Rd,y + Mj,Ed,z / Mj,Rd,z ≤ 1,0 0,52 < 1,00 vérifié (0,52)
Cisaillement
F1,vb,Rd,y = 243,00 [kN] Résistance du boulon d'ancrage à la pression sur la plaque d'assise [6.2.2.(7)]
184,0
F1,vb,Rd,z = [kN] Résistance du boulon d'ancrage à la pression sur la plaque d'assise [6.2.2.(7)]
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F2,vb,Rd = 74,80 [kN] Résistance du boulon au cisaillement - sans bras de levier [6.2.2.(7)]
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ECRASEMENT DU BORD DU BETON
Fv,Rd,c,y = 107,31 [kN] Résistance du béton pour l'écrasement du bord CEB [9.3.1]
Fv,Rd,c,z = 125,67 [kN] Résistance du béton pour l'écrasement du bord CEB [9.3.1]
GLISSEMENT DE LA SEMELLE
CONTROLE DU CISAILLEMENT
Vj,Ed,y / Vj,Rd,y + Vj,Ed,z / Vj,Rd,z ≤ 1,0 0,02 < 1,00 vérifié (0,02)
EN 1993-1-1:[6.2.1.
sg = 13,84 [MPa] Contrainte normale dans les fibres supérieures
(5)]
EN 1993-1-1:[6.2.1.
t= 16,52 [MPa] Contrainte tengentielle dans le raidisseur
(5)]
(0,10
max (sg, t / (0.58), sz ) / (fyp/gM0) ≤ 1.0 (6.1) 0,10 < 1,00 vérifié
)
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s^ / (0.9*fu/gM2)) ≤ 1.0 (4.1) 0,05 < 1,00 vérifié (0,05)
Ö(s^2 + 3.0 (tyII2 + t^2)) / (fu/(bW*gM2))) ≤ 1.0 (4.1) 0,08 < 1,00 vérifié (0,08)
Ö(s^2 + 3.0 (tzII2 + t^2)) / (fu/(bW*gM2))) ≤ 1.0 (4.1) 0,06 < 1,00 vérifié (0,06)
max (s^, tII * Ö3, sz) / (fu/(bW*gM2)) ≤ 1.0 (4.1) 0,07 < 1,00 vérifié (0,07)
max (s^, tII * Ö3, sz) / (fu/(bW*gM2)) ≤ 1.0 (4.1) 0,09 < 1,00 vérifié (0,09)
Rigidité de l'assemblage
19196,0
Sj,ini,y = [kN*m] Rigidité en rotation initiale [Tableau 6.12]
2
31014,1
Sj,rig,y = [kN*m] Rigidité de l'assemblage rigide [5.2.2.5]
4
36
Moment fléchissant Mj,Ed,z
37
LES VUE DE PASRELLE
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LE DETAIL
39
LES COUPES
40
41
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CONCLUSION
Dans le cadre de notre projet, nous devions réaliser une passerelle métallique destinée a
l’usage des piétons dans une zone urbaine.
On fait des recherches sur la passerelle avec des vérifications de chaque élément participe
dans la modélisation.
En remarque que cette passerelle résiste (rigide) a tous les chargements appliquent.
Nous espérons que ce modeste travail était à la hauteur de l’attente de notre professeur.
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