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INTRODUCTION

Les considérations de conception structurelle et de dimensionnement se déroulent en trois phases


principales. La première est la recherche définitionnelle. L'objectif est de sélectionner un ensemble
de variantes adaptées au mieux aux contraintes naturelles, fonctionnelles et financières de
l'ouvrage. Il se concentre principalement sur les études hydrologiques et hydrauliques de calibrage
de l'ouvrage (très important pour le choix de la variante à adopter et pour déterminer les paramètres
de dimensionnement de l'ouvrage (emplacement, intrados, nombre et type de culées) indicateurs).
Nombre de piles…).

La seconde est l'étude d'avant-projet qui porte sur la conception et le pré-dimensionnement des
éléments pour chaque variante (terrasse, colonnes, fondations, etc.) en référence aux dispositions les
plus courantes. Une estimation comparative des coûts des deux variantes est ensuite réalisée. C'est
le deuxième critère de sélection du projet le plus adapté.

La dernière étape, l'étude de mise en œuvre, comprend un calcul complet des différentes parties des
travaux. Cela comprend l'examen des charges permanentes et des charges routières qui peuvent être
appliquées au pont, le calcul des contraintes dans chaque élément et la vérification de l'état des
conditions aux limites et des décisions. Renforcement nécessaire.

On s’intéressera dans le présent rapport à la phase de conception et de pré-dimensionnement


CHAIPTRE I : ETUDE DE DEFINITION
I.1 INTRODUCTION

Cette partie a pour objectif de sélectionner les différentes variantes les plus adaptées aux conditions
naturelles, fonctionnelles et financières du site. L'estimation récapitulative des variantes vous permet
de sélectionner des solutions possibles.

I.2 Choix du type de l’ouvrage :

I.2.1 Données :

 Données fonctionnelles du projet :

Longueur du tablier=22m

I.2.2 Les différents types d’ouvrage :

a) Pont dalle en béton armé :

IMAGE

Les ponts-dalles sont constitués dans le sens longitudinal par une dalle pleine de béton coulé en
place, à inertie constante, à travée unique ou à plusieurs travées continues sur appuis simples. Ce
type des ponts a des portées économiques variant entre 10 et 15 m voire même 18m pour une seule
travée.

Parmi les avantages des ponts dalles :

 Minceur et légèreté relatives.


 Construction rustique.
 Liberté dans la conception des formes.

Ils présentent plusieurs inconvénients, on cite :

 Travées de faible portée Coffrage


 Sensibilité aux tassements différentiels.

b) Pont dalle en BP :

Ce type de tablier présente les mêmes avantages que le pont dalle en béton armé mais avec un
meilleur élancement (une portée variant de 20 à 50) et une consommation en aciers passifs plus
faible que ce dernier (La précontrainte longitudinale intervient, par son effort normal et ses poussées
au vide, dans le sens d'une réduction des efforts dans la structure). Cependant, les moments
hyperstatiques développés par le câblage de la précontrainte filante augmentent son efficacité dans
les zones d'appuis, où les moments atteignent leurs valeurs les plus élevées.

c) Pont à Poutres en BA :

Il est caractérisé par des portées économiques variant de 15 à 30 m pour chaque travée. Il présente
les avantages suivants :

 La préfabrication :
Son mode de construction permet d'éviter le recours aux cintres s'appuyant sur le sol. Il permet aussi
d'envisager des formes de poutres assez élaborées. Le recours à la préfabrication a également une
incidence sur les délais d'exécution de l'ouvrage, puisqu'il est possible de rendre indépendante la
fabrication des poutres du reste du chantier.

 Insensibilité aux déformations:

Son fonctionnement isostatique la rend pratiquement insensible aux déformations imposées, en


particulier aux tassements différentiels des appuis et aux effets d'un gradient thermique.

Cependant, il a des inconvénients qui sont :

 Conception limitée des formes :

Le tablier, constitué de poutres rectilignes, est naturellement bien adapté aux franchissements
rectilignes. En revanche, il ne s'adapte que plus difficilement aux franchissements biais ou courbes.

 Esthétique :

Une autre critique peut être soulevée à propos de la qualité architecturale de ce type de tablier.

c) Pont à Poutres en BP :

Comme pour les ponts à poutres en BA, on distingue les ponts à poutres en BP à travées
indépendantes et ceux à travées continues.

c.1 Pont à poutres continues en BP :

Il présente les avantages suivants :

 La surpression des joints entre les travées ce qui représente un confort pour l'usager.
 La possibilité d'avoir des portées plus importantes, et par conséquent une réduction des
nombres d'appuis souvent très coûteux.

Mais, on n’a pas la possibilité de les préfabriqués sur chantier (car il faut assurer la continuité du
câble le long des poutres), ainsi que les moments hyperstatiques développés par le câblage dans les
zones d'appuis peut entrainer l’instabilité des piles. En général les structures hyperstatiques
soulagent le pont, mais ils chargent le sol.

c.2 Pont à poutres préfabriquées indépendantes en BP :

IMAGE

Les poutres sont le plus souvent parallèles et équidistantes. Elles sont réalisées pour avoir bon
rendement mécanique qui permet à la structure de bien se placer dans la gamme des portées
moyennes, à savoir d'une trentaine à une cinquantaine de mètres.

c.3 Pont en béton précontrainte construit par encorbellement successif :

Ce type de pont peut être employé en cas de travées de grande portées : 70m jusqu’à 200m.

Cette méthode de construction peut être mise en œuvre quelles que soient les caractéristiques
naturelles de la brèche (profondeur importante, versants abruptes, sols de très mauvaise qualité, site
maritime, etc).
Toutefois, Lorsque les portées principales d'un ouvrage sont inférieures à 65/70 m, le tablier le plus
économique est en général de hauteur constante, car les gains apportés par la simplification des
outils de coffrage du tablier et du ferraillage sont bien supérieurs aux gains de matière possible. Dans
ce cas, la hauteur du tablier est comprise entre un 1/20 à 1/25 de la portée maximale, avec un
minimum de 2,20 m pour permettre une circulation satisfaisante à l'intérieur du caisson. Cette
condition est contraignante avec un gabarit de 10m.

Un autre inconvénient important de cette méthode est l'importance des tâches à effectuer in situ
tant pour le coulage du tablier que pour l'aménagement des accès au chantier, Et demande un
coffrage assez spécifique.

Après l’analyse de ces différentes variantes nous avant opté pour un pont à travées indépendantes à
poutres précontraintes qui est le mieux adapté à notre cas.
CHAPITRE II ETUDE D’AVANT PROJET

II.1 Pré-dimensionnement du tablier du VIPP :

II.1.1 Conception générale :

L’ouvrage est constitué de 10 travées isostatiques de 45 m de portée, chaque travée comporte 4


poutres préfabriquées avec un entre-axe de 3.25m, entretoisées au niveau des appuis (pas
d’entretoise intermédiaire) et solidarisées transversalement par l’hourdis.

Les hourdis généraux sont réalisés par-dessus les poutres sur toute la largeur du tablier, Ils sont plus
faciles à coffrer puisque les coffrages peuvent être simplement appuyés sur les extrémités des tables
de compression. Epaisseur de l’hourdis= P/16=3/16=0.18m avec P=3.25-0.25=3m distance entre nue
de poutre.

II.1.2 Eléments de pré-dimensionnement :

II.1.2.1 Poutres

La section transversale : Les poutres en double Té .

a. Espacement des poutres

Dans ce projet, on va positionner les poutres de rive le plus près des bords libres du tablier, de
manière à supprimer la partie de hourdis à couler en encorbellement, difficile à coffrer. On adopte un
Entre axe égale à 3.25m

b. Hauteur :

L'élancement usuel =1/17 de la portée, ce qui fixe la hauteur totale du tablier (poutre + hourdis).

On prend : =45 /17 =2.68𝑚

La longueur de l'about est prise égale à 0.9m.

La hauteur de la poutre est alors 2.68-0.18=2.5

c. Tables de compression

Pour prévenir tout risque de déversement pendant les opérations de manutention, on ne descendra
pas en dessous d'une largeur voisine de 60% de la hauteur, donc on prendra une largeur courante de
1,50 mètre et une hauteur de 0.15m.

d. L’épaisseur de l’âme :

Au voisinage des appuis, les âmes sont dimensionnées pour résister à l'effort tranchant, ce qui
conduit généralement à réaliser un épaississement d'âme appelé blochet, linéairement variable le
long de la poutre. Ainsi, l'épaisseur de l'âme sera prise égale à :

𝑏𝑎=25 𝑐𝑚 en travée ;

𝑏𝑎=40 𝑐𝑚 au niveau des appuis.

e. Dimension du talon :

Les talons des poutres, constituant la fibre inférieure de la structure, sont dimensionnés par la
flexion et doivent permettre de loger les câbles de précontrainte dans de bonnes conditions
d'enrobage et d'espacement. Pour un ouvrage normalement élancé au 1/17, la largeur des talons
varie de 0,60 à 0,90 m lorsque la distance entre axes des poutres varie de 2,50 m à 4,00 m. On a un
entraxe de 3.25 m, donc on prend une largeur de bt = 0,75 m La partie verticale du talon ou pied de
talon est généralement comprise entre 0,10 m et 0,20 m. On prend ht= 0,15 m pour avoir
suffisamment de place pour loger les câbles et les armatures passives.

IMAGE

La tangente de l'angle est normalement comprise entre 1 et 1,5, et il est préférable de se rapprocher
de la valeur supérieure.

Si on prend tanα=1,5 on obtient les valeurs suivantes pour la hauteur du pan incliné :

Sur appui : h1=𝑂.26𝑚

En travée : h1= 0.375 m

II.1.2.2 Hourdis :

Selon le guide de conception VIPP de SETRA, L'épaisseur du hourdis est voisine du 1/16 de la portée
transversale : hd=18 cm

II.1.2.3 Entretoise :

Les entretoises ont pour rôle de répartir les charges entre les poutres et de les encastrer à la torsion
sur appuis.

a. Nombre :

La réalisation en place des entretoises complique et ralentit l'exécution du tablier, donc on se


contente de deux entretoises pour relier les poutres transversalement au niveau de chaque about.

b. Hauteur :

Il faut aménager un espace suffisant entre le chevêtre d'appui et les entretoises pour faciliter l'accès
aux appareils d'appuis, et aussi pour avoir de place aux vérins de soulèvement du tablier. On prend
une distance de 0.8m

La hauteur des entretoises : =2.5 − 0,8 = 1,7 𝑚.

c. Longueur :

La longueur des entretoises est généralement fixée par l'espacement des poutres principales qui les
relient transversalement.

L’espacement entre axes des poutres est de 3.25 𝑚 avec une épaisseur d’âme de 40 cm au niveau de
l'appui, on trouve une longueur de 2.85𝑚 entre deux poutres. Soit donc une longueur totale de :
𝑙𝑒=3×2.85=8.55

d. Epaisseur :

Les entretoises étant coulées en place, leur épaisseur résulte des conditions de bonne mise en œuvre
du béton, et de celles de vérinage du tablier en cas de changement d’appareils d’appuis. On prendra
une largeur de 30cm.

II.1.2.4 Piles :
On adopte des piles-marteaux constituées d'un seul fût de section cylindrique, surmonté d'un
chevêtre en porte-à-faux.

Le chevêtre :

a. Largeur

Sa largeur dépend de la dimension de la largeur de pile, de la zone d’about et de l’espacement entre


les travées, donc : 𝑙=𝑚𝑎𝑥 {largeur de pile; longueur pris par les zones d′abouts+Espacement entre
poutre} 𝑙=2 𝑚

b. Longueur

Sa longueur dépend de la largeur du tablier et des espacements entre le bord des appareils d’appui
et le bord du chevêtre. On prend une longueur de : 𝐿=11.5𝑚

c. Hauteur

Le chevêtre est en porte-à-faux ; donc on va choisir une forme trapézoïdale pour gagner en termes
de béton. La hauteur de chevêtre doit être supérieure ou égale à 1 m. On prend une hauteur
variable de : =1 𝑚 𝑎𝑢 𝑛𝑖𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑜𝑟𝑑𝑠 à 2𝑚 (𝑎𝑢 𝑛𝑖𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑢 𝑓𝑢𝑡)

d. Le Fut du pile :

Trois critères essentiels conditionnent le dimensionnement des fûts : la résistance mécanique, la


robustesse et l’esthétique. Puisque le gabarit est de 10 m et la hauteur du chevêtre est de 2 la
hauteur du fût est alors de 8 m.

II.1.2.5 Culée :

La culée à adopter est de type enterrée

Une culée enterrée comporte :

1) Un sommier d’appui (chevêtre).


2) Un mur garde-grève muni d’un corbeau arrière sur lequel reposera la dalle de transition.

II.1.2.6 Les fûts.

1) Le sommier d’appui (chevêtre)


a. La longueur du sommier :

Elle dépend directement de la largeur du tablier. On prend : 𝑙𝑠=10 𝑚.

b. L’épaisseur :

L’épaisseur du sommier est couramment de l’ordre de 0,60 à 1m. On prend alors comme hauteur du
sommier : 𝑐=1𝑚.

c. La largeur:

On prend 2 m, ce qui est suffisant pour la zone d'about pour notre cas elle est de 0.5m,
l'implantation du mur garde grève, ainsi que l’espace réservé aux maintenances possibles.

Corbeau d’appui de la dalle de transition:

Le corbeau arrière est l’élément qui sert de support à la dalle de transition du côté de la culée. En
prend 0,3m ×0,3m qui est la dimension standard.
2) Mur garde-grève :
a. Hauteur :

La hauteur du mur garde-grève dépend de la hauteur du tablier et des dimensions des appareils
d’appui et du bossage qui leur a été conçu. 𝐻 = ( 𝑎𝑏𝑙𝑖𝑒𝑟)+𝐻(𝑎𝑝𝑝.𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖)+𝐻(𝑏𝑜𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒𝑠) H=
2.68+0.03+2*0.005=2.72m

b. Epaisseur de la garde grève :

L’épaisseur du mur garde grève est prise égale à 0.3m (d’après le catalogue) c. Longueur : La
longueur du mur garde-grève est égale à la largeur du tablier : 𝐿=10 m

II.1.2.6 La dalle de transition :

On prend une distance de 0.5m entre l’appui de la dalle de transition et l’arase supérieure du mur
garde-grève.

a. Longueur :

D’après le document "Dalles de Transition des Ponts-Routes" du SETRA La dalle ne devra pas
dépasser 6m ni descendre en dessous de 3m pour une voie autoroute Prenant une longueur 𝐿=3 𝑚,
avec une pente de 5%

b. Largeur :

Sa largeur elle est égale à la largeur du tablier diminuée du double de l'épaisseur du mur en retour.
Si en prend l’épaisseur du mur en retour égale à 30 cm ainsi l=9,15m

c. Epaisseur :

L’épaisseur de la dalle est constante, et égale 30 cm

II.1.2.7 Fondation :

a. Longueur :

La longueur de la semelle dépend de la longueur de la ligne d’appuis, on adopte: 𝐿𝑠 = 10 𝑚

b. Hauteur :

La hauteur de la semelle doit satisfaire la condition de rigidité

c. Largeur :

Elle est déterminée de telle façon à ce qu'on aura une égalité entre les charges verticales au niveau
de la fondation et la pression admissible du sol sous celle-ci.

II.1.2.8 Joints

on dispose de joint tous les 200m ce qui fait au total 3 joints

II.2 Inventaire des charges :

II.2.1 Charges permanentes :

1) Poids propre du tablier :


Poids Par (t/ml) Par travée Poids total(t)
Poids propre
d’une poutre
Poids propre de
l’hourdis
poids propre de
l’entretoise
Total

2) Poids propre des appuis :

Poids (chevêtre)=

Poids (poteau)=

3) Poids propre des superstructures :

Les superstructures sont des éléments de second œuvre et de finition du tablier. Les revêtements du
tablier : La chape d’étanchéité et la couche de roulement.

a. Chape d’étanchéité

On utilisera une chape d’étanchéité d’épaisseur 3cm et de densité 2.2 t/m3

b. Chaussée

Elle se compose d’une couche de roulement en enrobé de 6 cm d’épaisseur .

c. Les corniches

Elles servent à écarter les eaux de pluie du parement de la structure porteuse du pont et ont un rôle
l’esthétique. Ils ont un poids volumique de 0.5t/ml. Le tableau suivant illustrre ces element

Equipement nombre Poids Poids total


dimensions unitaires en (t)
longueur Largeur épaisseur

Chape
d’étanchéité
revêtement
Corniche
bordures
Total pour
travée

II.3 Charges routières réglementaires :

Il faut définir une largeur chargeable qui se déduit elle-même de la largeur rouable.

a. Largeur roulable LR :

LR= plate forme+largeur de BAU+largeur BDG=9.75 m

b. Classe des ponts :


LR≥7m 1ère classe

c. La largeur chargeable :

Elle est définie par la formule suivante : 𝐿𝑐 =𝐿𝑅−𝑛×0,5

𝐿𝑅 : largeur roulable en (m) ;

𝑛 : nombre de dispositifs de retenue(𝑛≤2).

Dans notre cas, il y aura 2 dispositifs de retenue, donc : Lch=8,75 m

d. Le nombre de voies :

Le nombre de voies de circulation des chaussées est égal à 2

e. La largeur d’une voie :

La largeur d’une voie de circulation égale à 4.357

f. Les coefficients de majoration dynamiques :

Les charges du système B et le système Mc120 sont des surcharges roulantes et par conséquent
doivent être multipliées par un coefficient de majoration pour effet dynamique.

Il est déterminé à partir de la formule :

0,4 0 ,6
δ=1+ +
1+0 , 2 L 4G
1+
S
G : poids total d’une travée ;

S : charge Bc (respectivement Bt, Br et MC120) qu’on peut disposer. Le tableau suivant nous donnent
les valeurs calculer .

Type de chargement La valeur de Sen (kN) Valeur du coefficient d


Bc une file
Bc deux files
Bt un tandem
Bt deux tandem
Br
Mc 120

II.4 Les systèmes de charges :

II.4.1 Système A(L) :

La longueur des travées est de 45 ce qui donne :

A(L)=689.256Kg/m2

a) Système Bc :

La travée peut loger 2 éléments de type Bc, Ainsi :

Bc=1.1*1200=1320KN
b) Système Bt :

Bt=640KN Système Br :

Br=100KN

c) Système charges militaires :

La longueur de la travée nous permet de loger deux éléments de ce type, ce qui donne :

Mc120=2200 KN

Me120=660 KN

d) Charges exceptionnelles :

Convoi D (par travée) : On dispose d’une seule par travée = 2800 KN.

Convoi E (par travée) La charge du convoi E est égale à 4000KN.

e) Forces de freinage (Par travée) :

Pour le système A(L) F=126.95KN/m2

Pour le système B F=1940KN

f) Charge du vent :

Sur tablier : 5.36 KN/ml Sur pile : 4.71KN / ml

Charge total sur tablier= 2751KN

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