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Lundi 09 Octobre 2023

Projet 01 :
Sequence 1 :
Activité : Compréhension de l’écrit
Texte-support : texte sans titre extrait d’un article de revue JA / L’INTELLIGENT N°2292/ d’après
D. Mattaillet. Manuel scolaire (p07)
1/ Image du texte :
- Un texte sans titre.
- Un texte en quatre (04) § (en colonnes).
- Une référence : * nom de l’auteur : D. Mataillet.
* titre de la source : JA/ L’INTELLIGENT N°2292.
- Une carte géographique : message iconique (légende)
Message linguistique (sous-titre)
2/ Hypothèses de sens :
- texte :
§1 = on = pronom indéfini dont la valeur est générale.
§2 = les linguistes = sont les chercheurs dans le domaine de la langue.
§3 = tandis que = exprime la comparaison.
§4 = la très grande majorité des 200 langues = montre que la recherche se fait sur les langues du monde.
- La carte géographique : elle représente l’Afrique et ses différents familles linguistiques.
* Analyse des éléments relevés :
D’après les éléments relevés on peut supposer que les linguistes font un travail de
recherche sous forme d’une comparaison entre les différentes langues parlées dans le monde
et spécialement en Afrique.
I) Compréhension globale :
a) Situation de communication
Qui ? À qui ? Quoi ? Comment ? Pourquoi ?
D. Mataillet. Lecteurs/lectorat La diversité -En informant Pour donner des
linguistique en - En expliquant informations à propos
Afrique. - Faire savoir des divers langues
via (à travers) parlées dans le
un texte continent africain.
expositif
accompagné
dune carte
géographique
en guise
d’illustration.

b) Le plan du texte :

§1 les langues dans le monde


§2 Répartition des 2000 langues africaines par les linguistes
§3 Comparaison entre les langues du nord et les langues subsahariennes
§ 4 Les langues véhiculaires en Afrique

c) Synthèse de compréhension :
Dans ce texte, l’auteur aborde le sujet de la répartition des langues dans le monde par
continent dans un premier temps, dont il s’occupe par la suite de présenter les langues
dans le continent africain que celui des continents, ainsi qu’il dénombre les différentes
langues parlées dans les pays africains, au saint de ces pays et il fait une comparaison de
dominance entre eux.
II) Analyse :
L’auteur fait usage du type assertif (déclaratif) pour véhiculer des informations au sujet
des langues pratiquées en Afrique.
Il emploi le présent de l’indicatif qui sert ici à exprimer une valeur de vérité générale (valeur
atemporelle/gnomique/stative).

Par ailleurs, L’auteur se sert de la carte géographique du continent africain comme l’un
des procédés explicatifs de celui de d’illustration pour traduire ces statistiques en image. Il
se sert aussi des deux points pour introduire une explication, ils sont remplaçables par « à
savoir » ou « c’est-à-dire ». L’auteur emploi encore un autre procédé de celui de l’analyse
pour démontrer les constituants d’un objet. (2eme§). Il insère un nombre considérable de
signes typographiques ; parenthèses que ça soit pour donner une deuxième appellation, un
chiffre comptable ou que ça soit pour donner des explications ou des éléments d'information
utiles à la compréhension du texte, ainsi que la virgule est présente, qui a la valeur
d’enchaîner les idées, remarquant aussi qu’il emploi doublement le mot « tandis que » pour
exprimer la valeur de la comparaison (procédée explicatif) et ça dans le (1er et 3-ème §).

Sur le plan de l’investissement lexical, l’auteur à l’emploi de certaines techniques


relevant du domaine de « la linguistique » (les chercheurs dans le domaine de la langue/ les
usagers de la langue) tels que « linguistes, spécialistes, champs, phylums, communauté
linguistique, l’émiettement linguistique, la communication intergroupe, langues véhiculaires
etc.).
De surcroît, on notera la présence d’une progression à thème ……….

S’agissant des relations sémantiques particulières, on relève d’une part, le rapport


d’antonymie entre les termes suivants : « moins » et « plus », « restreint » et « étonnant »,
« émiettement » et « essor », « l’Est et l’Ouest », « Sud et Nord ». D’autre part, le rapport
logique d’opposition « mais, cependant » dans le (1er,3eme et 4eme§)

Enonciativement, L’auteur adopte une posture d’objectivité du contenu de son texte et ce, à
travers l’absence de toute trace de subjectivité pouvant renvoyée à sa personne.

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