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Notes :

Généralité sur l’audit interne : activité indépendante et objectif donnant une assurance sur le degré
de maîtrise de ses opérations, lui apportant des conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la
valeur ajoutée : l’auditeur aide l’organisation à atteindre ses objectifs en évaluant par approche
systématique et méthodique ses processus de management des risques, de contrôle de
gouvernement d’entreprise en faisant des propositions pour renforcer son efficacité et surtout sa
performance

L’auditeur, donne conseil et assurance sur :

 La pertinence des objectifs, par rapport aux cohérences avec les finalités :
 L’adéquation moyens-objectifs : efficience d’économie de l’organisation, la coordination des
activités,
 La bonne mise en œuvre des moyens : par rapport à l’efficacité du pilotage et le suivi en
termes de feedback
 Qualité et fiabilité des informations : pour la prise de bonne décision
 Respect des politiques et règles, textes règlementaires,
 Protections et sauvegarde du patrimoine : en terme humain, moyen, financiers, matériels,
immatériels

Champ d’intervention de l’audit interne ?

L’audit interne évalue particulièrement et principalement :

 La conformité
 Fiabilité de l’information financière
 Continuité
 L’organisation des services

Types d’audit :

 Audit de conformité/ légalité : vérifier la conformité à un référentiel préétabli (lois, normes,


procédures … ex coso
 Audit de performance : mesure les résultats et apprécier l’efficacité d’une fonction/
processus, vérification de la pertinence des objectifs
 Audit de management : savoir si les politiques définies par le responsable audité est-elle
conforme à la stratégie définie par l’e/ses
 Audit de stratégie : l’ensemble des stratégies de l’organisme est ils cohérent

Audit interne : objectifs :

 Maitrise des activités


 Contrôle le respect des règles et de leur pertinence : critique les systèmes et non les
hommes, évalue le fonctionnement des systèmes
 Contrôles l’applications des directives et la fiabilité des informations et l’adéquation des
méthodes : découvre les moyens organisationnels pour atteindre les objectifs
 Audit interne par rapport au contrôle interne : sécuriser, maîtriser, garantir les activités et
opérations d’une entreprise
Pour synthétiser, l’audit interne est le contrôle du contrôle interne

Aide l’organisation à atteindre ses objectifs tandis que le contrôle interne contribue à la maîtrise de
l’organisation par l’utilisation efficiente de ses ressources

PRINCIPE D’AUDIT INTTERNE :

APPROCHE PAR RISQUES : bien comprendre l’entreprise, son organisation et son environnement,
mettre en évidence les points porteurs de risques nécessitant des contrôle approfondis

RISQUES : tout évènement, actions, inactions de nature à empêcher l’organisation à atteindre ses
objectifs

 Risques inhérents : liés à l’activité, financière, à l’organisation,


 Risques liés au contrôle : anomalie significative malgré les contrôles internes mise en place
 Risques de non détections : idem malgré les moyens mise en place par les auditeurs pour les
détecter

QUI DOIT IDENTIFIER LES RISQUES :

RISK MANAGEMENT : celui qui prépare le terrain pour l’auditeur interne par l’indentification des
risques et aussi par la proposition des recommandations pour gérer certains risques des anomalies
significatifs  RESPONSABLE OPERATIONNEL : celui qui applique les recommandations proposées par
le risques management  AUDITEUR INTERNE : celui qui apprécie le travail du risque management et
le responsable opérationnel, s’assure que les risques sont tous bien identifier et que les propositions
du risque management sont crédibles pour faire face aux risques
Revue de littérature : note
Qualité de l’audit interne dans le secteur public, remise en cause :

Audit interne : un nouveau choix de mode de gestion publique : outils d’amélioration de la gestion
des organisations publiques, mais alors qu’est ce qui détermine la qualité de l’audit interne au sein de
l’organisation publique ?

Qualité d’audit se repose sur :

 Liés fortement à la personnalité de l’auditeur ainsi qu’à sa compétence à détecter les erreurs
et de les dénoncés selon de Angelo
 La compétence et l’indépendance : compétence technique et éthique

Compétences : éthique et technique selon sweeney

 New public management : politique gouvernementale relatifs à la réforme du secteur public (


fanovana :sur la forme organisationnelle, du fait du mode de gestion des administrations
obsolètes et dépassées )
 Managérialisme : les administrations publiques doivent être gérées de la même logique que
celles des entreprises privées (Thompson et al. 1995)2, en se basant sur le principe de la
reddition des comptes (Brunet et Aubry 2016) : ny secteur public dia malaza ho goragora
@resaka fitantanana sy fitondrana fa ny any @privée entitra kokoa

Dès lors, il en découle l’instauration des systèmes de mesure et d’évaluation de la performance


inspirés des modèles de l’agence et/ou de la délégation dans le secteur privé. Cela repose, selon
Hood (1995), sur deux constats :

- L’obligation de rendre compte, suite à un affaiblissement de la confiance, entraine un accroissement


du contrôle ;

- L’assertion des acteurs que la manière par laquelle sont gérées les organisations privées est l’unique
et la meilleure.

 Une fonction d’audit interne stratégiquement positionnée à côté du conseil d’administration,


du comité d’audit et du management améliore la performance de l’audit interne
 Indépendance : être indépendant par rapport aux responsables de l’activité auditée pour
réaliser son travail de façon objective : A cet effet, un double rattachement, hiérarchique à la
direction générale et fonctionnel au comité d’audit, semble être la solution adéquate pour
atteindre ce degré d’indépendance et assurer l’autonomie de l’auditeur interne à l’égard de
l’activité auditée (Barhon & Aboueljaouad. 2019)9.

Adoption de la pratique d’audit : facteur institutionnel, managérial et règlementaire

Facteur institutionnel : c’est dû aux crise financière et économique, les institutions internationales
comme l’ONU BM FMI : recommandent aux administrations publiques d’instaurer à leur sein des
entités chargées d’audit interne et de contrôle surtout pour les pays en développement
Facteurs managériaux : performance, efficacité dont sont redevable les responsables d’administration
sont tributaires d’’un système d’audit interne efficace selon renard 2013 résultat et réussite des
administrations publiques sont dépendantes de l’efficacité et la pertinence du système d’audit selon
trembley et marssh 2012

Facteurs règlementaires : responsabilité et reddition des comptes : un principe qui oblige chaque
responsable de rendre ses comptes aux ayants droits

Efficacité de la fonction daudit interne : connaître avant tout les objectifs fixés liés à l’assurance d’une
valeur ajoutée aux organisations, la norme de fonctionnement 2000 « Gestion de l'activité d'audit
interne », l’IIA fournit l'explication suivante de la valeur ajoutée : « L’activité d'audit interne ajoute de
la valeur à l'organisation lorsqu'elle fournit une assurance objective et pertinente et contribue à
l'efficacité et à l'efficience des processus de gouvernance, de gestion des risques et de contrôle ».

Niveau de contribution à l'amélioration des processus de gestion des risques, de contrôle et de


gouvernance ;

• Atteinte des buts et objectifs clés ;

• Évaluation des progrès par rapport au plan d'activités d’audit ;

• Amélioration de la productivité du personnel ;

• Augmentation de l'efficacité du processus d'audit ;

• Augmentation du nombre de plans d'action pour l'amélioration des processus ;

• Adéquation de la planification et de la supervision de l'engagement ; • Efficacité pour répondre aux


besoins des parties prenantes ;

• Résultats des évaluations d'assurance qualité et des programmes d'amélioration de la qualité de


l'activité d'audit interne ;

• Efficacité dans la conduite des audits

Outils, méthodes :

Cycle d’audit : planning, test, contrôle, rapports et recommandations

Les outils : est-ce que ça évolue ?

Planning basé sur les risques, communication électronique, revue analytique, échantillonnage
statistique, méthode assistée par ordinateur

Attente des parties prenantes de l’auditeur interne :

Parties prenantes : le comité d’audit, le responsable de la structure d’audit interne, le management

Ils jugent l’efficacité de la fonction d’audit, l’auditeur interne se doit d’être polyvalents car les
différentes demandes augmentent la complexité de ses missions
Les différentes demandes augmentent la complexité des missions de l’auditeur interne qui doit donc
faire un arbitrage (Lenz & Hahn, 2015)

Programme d’assurance et d’amélioration qualité : l’audit interne en tant que contrôle du contrôle
interne est elle-même évaluée par des équipes externes en termes de qualité se conformant aux
normes internationales :

Normes professionnelles en matière d’assurances et d’amélioration qualités : enquête CBOK :


Enquête selon les auditeurs internes se déclare d’utiliser / de se référer / de respecter les normes
obligatoires
Article 2 : efficacité de l’audit interne dans le secteur public

Efficacité : élément clés de la bonne gouvernance

Atteinte d’objectifs, création de la valeur ajoutée pour l’organisation

Quels sont les facteurs affectant l’efficacité de l’audit interne

Relation entre auditeur interne avec la direction général, comité d’audit

Article 3 :

Introduction : le but de l’administration publique étant de fournir une prestation de service de qualité
aux publics a fait de l’audit interne un moyen d’atteindre les objectifs  bonne gestion des deniers
publics transparence et bonne gouvernance

Problématique : comprendre les contraintes associées aux déploiements de l’audit interne comme un
instrument de pilotage dans l’administration publique

Définition de l’audit interne selon l’IIA :

(1) recherche d’indépendance et d’objectivité

(2) rôle de supervision et d’évaluation du contrôle interne et de la maîtrise des risques

(3) rôle de proposition et conseil aux dirigeants

(4) différence avec l’audit externe placé en dehors de l’organisation

New public management : introduire au secteur public de nouveaux outils issu du secteur privée :
mesure des résultats et de la performance

Légitimer le recours aux contrôle externe

Audit externe (audit de conformité de performance) : certification de comptes

Système administratif malgache : très ancien suivant l’ancien système français et en retard

En Afrique : considéré comme outils moderne outil de gestion, nécessité incontournable,


amélioration de l’efficacité et de la performance de la gestion publique

L’audit interne apporte de la valeur à l’organisation (ainsi qu’à ses parties prenantes) lorsqu’il fournit
des assurance objective et pertinente et qu’il contribue à l’efficience ainsi qu’à l’efficacité des
processus de gouvernement

Audit apports : indispensable pour établir la transparence, maintenir la bonne maîtrise des deniers
publics, garantir la bonne gouvernance des établissements publics selon certains auteurs
Protection des ressources financière, réduction voire l’élimination des risques

Article 4 :

L’audit interne : outils de gestion permettant d’améliorer la gestion publique : faisant partie de la
politique de l’Etat, complète l’analyse des contrôles de gestions par une analyse des risques 
amélioration d’efficacité, d’efficience et la qualité d’action publique

Mettre en place des corps externes à l’organisation : inspection

AUDIT DANS LE SECTEUR BANCAIRE :

Article 1

La qualité de l’évaluation, de l’analyse, du contrôle, de l’étude et de la gestion du risque potentiel,


présentent l’un des facteurs qui contribuent au succès de la banque et assure sa pérennité sur le
marché bancaire

Contrôle et inspection stricts : assure l’application des lois et le respect des règles de précaution en
utilisant la politique d’audit interne ou externe, qui les aidera à contrôler ou réduire la gravité des
risques ou à les éliminer.

Définition d’audit interne : Pour Jacques RENARD J. (2010) a présenté l’audit interne comme l’odeur
du gaz c’est rarement agréable mais cela peut parfois éviter l’explosion ». En effet, les activités d’audit
interne sont conduites dans différents environnements juridiques et culturels, dans des organisations
dont l’objet, la taille, la complexité et la structure sont diversifié. (SLIMNI H., 2009)

Risque bancaire : risque de contrepartie : la probabilité que les clients, particuliers, entreprise,
établissements ayants interagis par la banque ne soit capable d’honorer ses engagements : perte
consécutive au défaut d’un emprunter face à ses obligations (DIGISCHOLL DOCUMENT).

Risque du marché : perte de valeur provoqué par une évolution défavorable des prix ou des
paramètres du marché : la banque n’est pas en adéquation avec l’évolution du marché financier : taux
de changes, cours de valeurs immobilières, cotation de marché : taux d’intérêts, spreads de crédits,
volatilité

Risque opérationnel : défaillance au niveau des procédure, personnes, système interne ou évènement
extérieurs ex : contrat mal rédigé, défaillance informatique

Risque de liquidité : disposer des liquides pas assez suffisants pour les besoins inattendus

Fonction d’audit :

le but principal de l'audit est de rédiger un bon rapport professionnel avec les résultats du processus
d'audit et la mise en œuvre du rapport par le patronat et les autres personnes impliquées.
Rôles de l’audit interne : offre la résolution des problèmes aides les institutions à poursuivre leur
objectif de même que ses propositions d’amélioration et de développement

L’audit interne sur la gestion du risque : contrôle interne

En 1962, l’institut canadien des comptables Agréés (ICCA) ait présenté le concept du contrôle interne
comme le plan d’organisation et l’ensemble coordonné, de toutes les méthodes et procédures
adoptées au sein d’une entreprise pour : protéger les valeurs actives de celle-ci ; assurer l’exactitude
et fidélité des renseignements comptables, assurer l’exactitude et la fidélité des renseignements
comptables, promouvoir l’efficacité de l’exploitation, et pour maintenir le respect des lignes de
conduite établies par la direction (VALIN G. et COLLINS, 1986).

 Efficacité du contrôle interne : Sécurité et solidité des opérations bancaires, conformités aux
lois et règlementation bancaires, aux politiques interne, rapports financiers crédibles,
transactions comptabilisées fiables, systèmes de gestion de risque performants, transactions
bancaires efficients et efficace

L’audit interne s’intéresse au système de fonctionnement du contrôle interne : son importance,


contribue à son évaluation, et au maintien d’un niveau d’efficacité satisfaisante, joue un rôle dans le
contrôle du contrôle interne, effectue un examen direct, et recommande des améliorations

Evaluation du contrôle interne :

Basé sur les normes internationales (coso) et construit autour de composants : (…)

Grâce aux normes le système de contrôle interne est obligé de rendre compte au conseil
d’administration : présenter des rapports annuels sur les principales réalisations, sur la base des
résultats d'une auto-évaluation réalisée par toutes les entités, de la cartographie globale des risques
opérationnels et des conclusions des missions d'audit interne et externe.

Il est aussi évalué sur la base d’une échelle de notation à cinq niveaux ex : basé sur le référentiel
COBIT1 quid des banques de Madagascar ? sa progression, bon ou mauvais résultat, quelles en sont
raisons ?

AUDIT INTERNE APPLIQUEE PAR BNI, BFV ; : les opérations de contrôle couverte par les missions
d’Audit

Risques de crédits le plus grand risque bancaire : causes des insolvabilités bancaires  défaillance
traduites par taux élevé de prêts non productifs

Article 2 : audit interne et contrôle interne

Revue de littérature : cadre conceptuel

Méthodologie de recherche : qualitative par entretien /quantitative

Résultat : après communication par guide d’entretien


Problématique : à quel point l’audit interne contribue à la performance du secteur public

Objectif : Démontrer comment l’audit interne s’avère être très indispensable dans le secteur public

Objectif spécifique :

L'audit interne joue un rôle crucial et indispensable dans le secteur public pour plusieurs
raisons. Voici quelques démonstrations de son importance :

1. Assurance de la légitimité et de la responsabilité : L'audit interne dans le secteur


public permet de s'assurer que les activités gouvernementales sont menées de manière
légitime, éthique et responsable. Il vérifie la conformité aux lois et réglementations,
renforçant ainsi la confiance du public dans l'utilisation des fonds publics.
2. Transparence financière : L'audit interne examine les processus financiers,
garantissant la transparence et l'intégrité des informations financières. Cela contribue à
prévenir la fraude, à détecter les erreurs et à assurer la fiabilité des rapports financiers
publics.
3. Gestion des risques : En évaluant et en gérant les risques, l'audit interne aide les
entités publiques à anticiper et à atténuer les menaces potentielles. Cela renforce la
capacité du secteur public à réagir de manière proactive aux risques financiers,
opérationnels et liés à la gouvernance.
4. Optimisation des ressources : L'audit interne évalue l'efficacité opérationnelle des
programmes et des activités gouvernementales. En identifiant les inefficacités et en
recommandant des améliorations, il contribue à optimiser l'utilisation des ressources
publiques et à maximiser l'impact des initiatives gouvernementales.
5. Gestion de la performance : L'audit interne évalue la performance des programmes
publics, en s'assurant qu'ils atteignent leurs objectifs de manière efficiente. Cela aide à
améliorer la prestation des services publics et à répondre aux attentes des citoyens.
6. Reddition de comptes : L'audit interne fournit des rapports objectifs et indépendants
sur la performance et la conformité. Ces rapports servent de base pour la reddition de
comptes envers les citoyens, les organes législatifs et les parties prenantes, renforçant
ainsi la responsabilité gouvernementale.
7. Prévention des fraudes et des abus : L'audit interne contribue à la prévention, à la
détection et à la correction des fraudes et des abus dans l'utilisation des fonds publics.
Cela protège l'intégrité des ressources et renforce la confiance du public dans le
gouvernement.
8. Soutien à la gouvernance efficace : En évaluant la gouvernance, l'audit interne
contribue à renforcer les structures décisionnelles et les mécanismes de contrôle. Cela
favorise une gouvernance efficace et transparente dans le secteur public.

En résumé, l'audit interne est indispensable dans le secteur public car il contribue à assurer la
responsabilité, la transparence, la gestion efficiente des ressources et la prévention des
risques, ce qui est essentiel pour le bon fonctionnement des entités gouvernementales et pour
maintenir la confiance du public.
Bien sûr, voici une proposition de structure IMRED pour un rapport d'audit interne du secteur
public :

1. Introduction (I) :
o Présentation du contexte du secteur public concerné.
o Objectifs spécifiques de l'audit interne.
o Importance de l'audit interne dans le secteur public.
o Portée de l'audit et limitations éventuelles.
o Identification des parties prenantes et des bénéficiaires potentiels de l'audit.
2. Méthodes (M) :
o Explication détaillée de la méthodologie d'audit interne utilisée.
o Description des procédures de collecte de données.
o Portée de l'examen des documents, entrevues, et observations sur place.
o Échantillonnage utilisé, le cas échéant.
o Collaborations avec d'autres parties prenantes internes ou externes.
3. Résultats (R) :
o Présentation des constats majeurs de l'audit.
o Analyse des forces et des faiblesses identifiées.
o Évaluation des risques et des écarts par rapport aux normes ou aux meilleures
pratiques.
o Identification des domaines d'excellence et des domaines nécessitant des
améliorations.
o Présentation de données chiffrées, le cas échéant.
4. Discussion (D) :
o Interprétation des résultats en relation avec les objectifs de l'audit.
o Comparaison des résultats avec les attentes et les normes du secteur public.
o Analyse des implications financières, opérationnelles et réglementaires.
o Recommandations spécifiques pour améliorer les processus internes.
o Suggestions pour renforcer les contrôles internes et les mécanismes de suivi.

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