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Séance 1 : CM Droit matériel de l’UE (Furtunova)

M° commun :
unique
M° intérieur :

€ : prix
M° : marché éco par ex

12/12/23
cour de la grande région
Place des V
matière tiré au sort : ? De cours mais forme problématisée et réflexion de la pensée
td : contrôle dontinue exercie de l’analyse d’arrêt

M°I :
ex juridisue etude analyse d’arrêt
dt de l’ue
evolution jurisprudensciel

Introduction :

- La dénomination « droit matériel de l’UE » = on ne s’intéresse pas au système


institutionnel mais au contenu du dt de l’UE.

• ⇒ Cela signifie que la construction EU / l’UE en tant qu’organisation vise non


seulement la coopération entre les Etats & la mise en place d’1 M° intérieur
avec des π communes afin d’améliorer l’existant au sein des Etats & cela dans 1
objf plus concret = créer l’interdépendance entre les Etats & ceux pour les
dissuader de se faire la guerre.

- Définition du droit matériel par opposition au droit institutionnel de l’UE.


• Le dt matériel de l’UE (DMUE) est pas essence très varié en raison des domaines
d’intervention très étendu, vaste du législateur de l’union & ce domaine très vaste
d’intervent° = critiqué.(ex : soit interventionnisme excessif / n’intervient pas assez).

• ⇒ Tout cela contribue à la réalisation de l’intégrat° EU & à s’interroger


pertinemment sur la nature juridique de cette construction.
⇒ DMUE / L’intégration EU a 1 dimension + π qui s’adresse directement & de la
manière la + concrète aux citoyens EU / aux ressortissants des Etats membres
dans leur vie quotidienne.

• Par ex : Qd on achète 1 produit à Carrefour = possible thx au libre-échange, à la


libre circulation / libre circulation des marchandises & à des prix raisonnables
malgré les coûts de transport = grâce à la réalisation du M° intérieur dont les
citoyens profitent.

Est-ce que l’UE n’est pas 1 mode de vie pour les citoyens ? = à travers M° intérieur
& dt matériel de l’UE.

- Ce vaste domaine d’intervention ⇒ a permis la réalisation du M° intérieur.


• Dans les traités, la réalisation du M° intérieur apparaît comme 1 T polysémique
ds +ieurs disciplines, sciences π, géographique, économique & juridique.

- De la m^ façon :
• Le dt du M° intérieur est 1 dt qui est a priori difficile d’accès mais qui, dès le départ
était le moteur de la construction EU comme en témoigne le dvpt du dt matériel
de l’UE.

- Dès le traité de Rome de 1957 :


• Le M° intérieur était 1 des domaines fondateurs & structurants de la
construct° EU & aussi la π de la concurrence. ⇒ Ces 2 domaines témoignent
de la finalité économique de la CEE (Communauté éco eu) & le choix π de
l’époque pour la reconstruct° de l’EU.

• Cet aspect éco du dt de l’UE encore très criant & cert. auteurs qualifient les traités
de constitution économique de l’union.

⇒ Cette qualification est le résultat des travaux menés par l’Ecole économique de
Fribourg, jetant les bases des théories ordo (ortho) libérales allemandes dans
les YO 30.

⇒ Selon cette qualification ⇒ les traités de l’UE sont 1 ensemble des principes
fondamentaux qui déterminent les structures & fonctions économiques & qui
règlent le cours du processus économique de l’union.

• Selon cette déf, les traités assignent des objf économiques & donnent les
moyens pour les atteindre.

• 1er moyen pour atteindre ces objf éco dans cette construct° :
→ L’union douanière qui garantie la libre circulation (des marchandises,
personnes ; des S & Kô = 4 grandes libertés de circulation).
• Les 4 grandes LC = vont s’élargir à tel point qu’on parle désormais de la LC des
jugements en matière pénale (mise en place du parquet européen).

- Ces 4 LC vont aussi donner 1 autre significat° à l’aspect / diM éco du M° intérieur ⇒
Le dt du M° intérieur est l’1 des parties du dt de l’UE, la + attractive car très vivante &
concrétise la constuct° EU / projet EU (car concerne indirecteM citoyens EU /
ressortissants des Etats membres) & participe à la réalisation des objf de l’UE / EU ⇒
objf fixés à l’art 3. du traité sur l’UE (TUE).

• 1er objf indiqué à l’art 3. §1 ⇒ La promotion de la paix, des V de l’union et du B-ê


de ces peuples.

• 2e objf ⇒ La réalisation d’1 espace de liberté de sécurité ; de justice sans frontière


intérieure ; la liberté de sécurité des personnes afin d’assurer la LC des personnes
en matière du contrôle des frontières extérieures, d’asile, d’immigration illégale ainsi
que la prévention de la criminalité.

• 3e objf / en 3e lieu ⇒ L’union se voit assigner l’objf = d’établir 1 M° intérieur (M°I),


qui doit contribuer au dvpt durable de l’Europe fondé sur 1 croissance éco
équilibrée sur la stabilité des prix ; 1 économie sociale de M° qui tend au plein
emploi & au progrès social ainsi qu’à la protect° & l’améliorat° de la qualité de
l’environnement.

⇒ Le M°I = est 1 objf qui vient de l’UE. ⇒ l’objf du M°I n’est plus essentiellement
économique.

• Cette évolution = désormais ancrée dans les traités actuels (versions actuelles).
⇒ Pour y arriver = on constate que ce basculeM a été possible grâce à la
réalisation du M°I qui a permis d’apporter des avancées éco m aussi de mettre
au centre des préoccupat° l’individu, la personne, le citoyen EU ⇒ Car le M°I
doit tendre vers 1 économie sociale de M° où les prix sont stables & les individus
prospèrent.

- Problématique :

• En quoi le M°I reflète l’évolution profonde de la construct° EU & en quoi cet


aspect éco n’a pas été ?? à toute considération sociale malgré le libéralisme
économique qui l’anime.

Section I : La pérennité de l’objectif du marché intérieur : Peut s’expliquer par le


fondeM du M° intérieur et par son fonctionnement

- Le concept du M° commun apparaît w/ le traité de Rome de 1957.

• Dès l’origine on y trouve ⇒ les 4 grandes LC & le projet de suppression des


obstacles lors de la réalisation.

• La réalisation du M°I n’est pas linéaire & va se poursuivre au gré de l’évolution de la


construction EU dans ce qui concerne les crises qu’elle va affronter mais aussi les
avances notamment au regard du dvpt des ≠ domaines d’intervention.

• Dans cette évolution = on retrouve toujours l’objf du M°I m^ si adj l’art 3. du traité
sur l’UE (TUE), de manière très symbolique fait passer les objf économiques au
2nd plan.

• La pérennité de l’objf du M°I dans la construction EU = cette objf est lié à l’objf 1er
voulu par les Pères F. ⇒ la paix.

⇒ Mais aussi psq la CJUE va s’émanciper de la volonté principale / initiale des


Etats & va impulser & orienter la réalisation du M°I en tant qu’instrument non
seulement économique mais aussi social, d’intégration au sein des EM.
• La pérennité de l’objectif du M°I s’explique par la perception de la paix EU
passant par l’économie du M° & en 2e lieu par la π volontariste de la cour de
justice (CJUE). ???

1. Une perception de la paix européenne passant par l’économie du marché :


A. Contexte historique & première réalisation du Marché Intérieur : Union
douanière :

- 1ère réalisation du M°I :


• L’union douanière = 1ère réalisation
• En effet, le projet de construction du MI qui est l’objf éco qui se retrouve dans le
traité de Rome (1957) dont la finalité est la pérénisation de la paix en EU.

- L’idée est de créer des unions de solidarités (des solid) entre les Etats pour garantir la
paix sur le continent EU à l’issue des 2GM & le terrain de consensus qui émerge, reste
l’économie pour 2 raisons :
• L’économie des EM très touchées apr la G= affaiblie par Noles G
• L’éco c’est le terrain le plus neutre pour créer 1 interdépendance entre les Etats
= pourrait les empêcher de se déclarer à nouveau la G. (= Car c’est 1 coût
économique.) ⇒ Théorie du faucon & colombe.

⇒ C’est pq, la paix EU a été initié par l’économie = le libre-échange favorise le


commerce = favorise la paix = dissuade de ne pas se faire la guerre.

• Explique pk dans le traité de Rome, 1957 = le commerce ; M°I = compris comme 1


moyen de de diffuser la paix / fr la paix.
• → De savoir sur quels fondements, modèles de commerce cette économie allait
être bâtit dans le cadre des traités ainsi que la façon qu’il fallait pour y parvenir.
• Les PF se sont confrontés à 1 difficulté ⇒ La rétience des Etats à envisager
globalement leur économie ainsi que la créat° d’1 interdépendance
économique / de l’économie dans tous les domaines.
⇒ Face à cette réticence initiale & face à la nécessité impérieuse de cesser le
conflit & reconstruire l’EU ⇒ JMonnet avait présenté l’opportunité d’utiliser la
méthode des « petits pas » lors de la création de la 1ère Communauté EU
(COMM EU) : la CECA (Communauté européenne du charbon et de l'acier) .

• Cette méthode est censée créer 1 effet d’engrenage = « spill over effect » = cad
l’intégrat° fonctionnelle & progressive domaine par domaine = moins conflictuel =
1er secteur
• 1er secteur à utiliser cette méthode = secteur du charbon & de l’acier & avec le traité
de Rome d’autres secteurs se sont intégrés ainsi que d’autres sphères de l’éco
nationale.
⇒ Méthode qui repose sur 1 autre principe = le libre-échange, « laissez-faire » =
ce consensus π s’est imposé dans les traités pour 2 raisons :

1. Le cxt historique : fin 2GM = opposition de 2 modèles éco = le bloc occidental


= partisans du libre-échange & l’EU (bloc) soviétique / socialiste fondé sur
l’économie de planification.

⇒ Modèle de libre-échange s’est imposé & explique pq les traités de Rome


prônent les V du néolibéralisme & l’ortho libéralisme = ont des csq sur la mise en
pl d’1 économie sociale de M°.

2. La csq néfaste de la 2GM & son prétexte jusque ds YO 30 à la suite de la crise éco
qui conduira les Etats à s’isoler économiqueM & cela ds l’objf de préserver
l’économie nationale = ce repli éco sur soi éco = fournir 1 état éco très favorable à
la montée du nationalisme = donc csq du déclenchement de la G & le contraire de
cette isolement = l’interdépendance éco entre les Etats.

• Choix du modèle éco dans les traités = par défaut & crainte afin d’éviter 1 nvl G.

- La 1ère concrétisat° dans les traités° (prémices du M°I) :


• Réalisat° de l’union douanière = 1 espace de libre-échange = cad la suppressi°
des barrières douanières / douanes entre les Etats pour les facteurs éco de
production & l’élaboration d’1 tarif douanier commun ⇒ Le franchissement d’1
frontière = ne génèrera pas des frais de douanes / dt de douanes du pays d’accueil.

(= pas de frais de douanes entre les Etats fondateurs / 6 EM (au déb) au motif du
franchissement de la frontière d’1 autre EM d’accueil.)
• Initialement dans Traité de Rome = La réalisation de l’union douanière / π de
d’union douanière devait se terminer au 01/07/1969 = Période transitoire de 12 ans
pdt laquelle les Etats ne sont pas pleinement tenus de respecter les règles des
traités mais doivent adapter leurs législations aux exigences des traités.

• Mais dès entrée en vigueur du traité de Rome = le libre-échange = la LC des


marchandises & l’intensificat° des échanges commerciaux entre les EM ⇒ Relance
l’éco des Etats & l’union douanière sera réalisée 1 an plus tôt =→ Considéré
comme 1 véritable succès.

• Depuis 01/07/1968 : Il n’existe plus dans les relations commerciales entre les
Etats = des dts de douane / taxes d’effet équivalent = les EM disposent d’1 seul
tarif commun douanier = concrétise π commerciale = les Etats pratiquent le
même tarif douanier.

• Union douanière : 1 espace de LC des 4 = le franchissement d’1 frontière de l’etat


d’accueil n’engendre pas de frais de douane & repose sur l’élaboration d’1 tarif
douanier commun.

• Et en m^ temps les 1 seul objf commun, vis-àvis des produits de provenances de


‘etats tiers = 1 seul terri° douanier = cela signifie
• La 1ère π du dt matériel : la π commerciale commune
la π de dt pénal impensable en 1957
(voir plan du cours)
(1 ? de V de l’UE…..)
π de la concu π de la protect° des consommateurs
Dt du M° intérieur : En vertu de l’article 26, paragraphe 2, TFUE, le marché intérieur est un
espace où circulent librement marchandises, personnes, services et capitaux. Sont ainsi
consacrées par le droit de l’Union des libertés de circulation dont la Cour de justice de
l’Union européenne a reconnu le caractère fondamental.

B. Réalisation du marché intérieur & premières crises économiques et politiques :


- A partir de la création de l’UE = réalisation de l’union douanière & l’objf de la
réalisation du M°I va se concrétiser & va connaître 1 ralentissement pour 2 raisons :
1. La crise éco en 1973 = choc pétrolier de 73-79 ⇒ vont avoir 1 csq néfaste
pour la libéralisation des échanges économiques intracommunautaires. = Car
réalisation du M°I repose sur 1 interdépendance éco entre les Etats = la
libéralisation des échanges & interdépendance éco va être ralentie en raison de
l’incapacité de certains Etats à faire face. ⇒ Lors crise éco, les Etats ne sont pas
touchés de manière égale.
• Cette crise éco conduit à 1 crise π = qui va se ressentir au nv de l’UE / en EU =
qd s’agit d’inviter la Communauté à adopter des mesures éco afin de relancer
les économies nationales.

2. La crise π : Blocage du Conseil de l’UE provoqué par Général de Gaulle ⇒ refus


de siéger au sein du Conseil = la pratique de la chaise vide (1965 – 1966) (impose
son dt de veto).

• ⇒ La proposition sur le financement de la Politique agricole commune (PAC),


élaborée en 1965 par le président de la Commission va inciter cette crise. = FR ne
peut accepter 1 telle évolution qu'elle considère comme 1 abandon inacceptable
de souveraineté. = Veto de De Gaulle = reproche à la Commission d'avoir
préparé sa proposition budgétaire / initiave de financement sans que les gouV des
ÉM ait été consultés (pas de la part des EM).

• De Gaulle a refusé la disparition du vote à l’unanimité = le Conseil de l’UE ne


pouvait plus adopter ses actes et par la même occasion faire face à la crise
économique. = blocage institutionnel car interdépendance éco.

⇒ 1 acte d’émancipation = Acte marquant la volonté π de ne plus ê subordonné


au Conseil & jouant son rôle de gardienne des traités.
• C’est pk, cette crise π a contribué à la réalisation du M°I.

⇒ Depuis 1974/75 : Le vote au sein du Conseil de l’UE en tant qu’institution de


décisions = ne peut plus se faire à l’unanimité ⇒ il faut adapter les règles du vote.
= Conseil de l’UE ne peut plus être le lieu du consensus π (en raison de l’enjeu
des mesures à adopter). ⇒ Création du Conseil européen (EU). = Face à la crise
éco & institutionnelle = les traités doivent être modfiés & simplifier les règles de
vote.
• Traité 1974 : créat° du SAS d’express° des Etats sans enjeu de vote sans bloquer
l’adoption de vote conseil de leU ?????

C. Réalisation du marché intérieur et les modifications des traités :


- La réalisat° du M°I = se retrv dans tous les textes & discussions π = vont venir enrichir la
construction EU.

- Sur la table des négociations : nécessité de modifier les traités. Donner plus de
domaines économiques d’intervention à cette Communauté + modification des
règles de vote.

• 1er traité modificatif qui va s’emparer ces décisions ⇒ l’Acte unique européen =
va relancer la réalisat° du M°I puisqu’il va donner suite au Livre blanc publié par
la Commission intitulé compléter le M°I & q° passe en revue les obstacles qui
continuent à faire échec à la réalisat° du M°I.-

• Le livre blanc de la CE = identifie 300 mesures nécessaires à sa réalisat°.

⇒ Parmi les mesures identifiées = on retrv des obstacles non tarifaires (union
douanière), davantage des barrières physiques (arrêts, contrôles douaniers /
sanitaires, procédures aD) = barrières douanières & présence de barrières
techniques, divergence des législations nationales applicable dans ≠ domaines.
(protect° consommateur & enviR.).
• Face à cette identification des barrières ⇒ L’acte unique EU va modifier les traités
en introduisant pour la 1ère fois 1 base juridique permettant aux institutions
d’adopter à la majorité qualifiée des mesures normatives/ législatives ayant pour
objet l’établissement & le fonctionnement du M°I. ⇒ art 114. du TFUE.

• Le M°I sera réalisé par l’intégration négative s pression des obstacles


(empêchant la LC) & de l’intégration positive normative = l’harmonisation, où les
Etats admettent que les produits fabriqués dans réalisation du M°I ??? & que
la LC des 4 facteurs de production se fera avec le principe de
« reconnaissance mutuelle » = admettre comme équivalent / subtantiellement
similaires, puisqu’elle reconnait la participation des ressortissants dans l’UE.

Le MI sera réalisé par l’intégration négative sous pression des obstacles et de l’autre côté
l’intégration positive normative, l’harmonisation, où les états admettes que les produits
fabriqués dans
un autre états membre ne seront pas différents qualitativement des produits nationaux. Le
libre échange se fera aussi grâce au principe de la reconnaissance mutuelle des produits
qui substantiellement ne présentent pas des différences avec les produits nationaux.
L’acte unique va conduire un changement terminologique : marché commun après l’acte
marché intérieur/unique et va fixer une nouvelle date : 31/12/1992. Des nouveaux
obstacles apparaissent et la réalisation du MI passe par la recherche constante des
solutions dans les différentes stratégies pour la réalisation du MI et la dernière évolution le
marché unique numérique, des nouveaux domaines d’interactions, la libre circulation des
donnés qui entre dans une sphère de cybersécurité.
Objectif qui n’est pas réalisable, simple situation pérenne, cet objectif étant ralenti par la
construction européenne, et s’adapte aux défis que cette dernière soulève aux regards
des nombreux domaine d’intervention.
Les institutions considèrent que le marché unique est un processus permanent qui
nécessite des efforts constants. D’où la place de cet objectif dans l’article 3 du TUE qui
fixe les objectifs de l’union. C’est cette idée fonctionnelle que l’on va retrouver dans la
réalisation par la cour de justice. Indicateur utile de l’évolution de la construction
européenne.

Ex : Mesures d’harmonisation sur les législations sur la composition des produits.


• L’acte unique EU va égaleM conduire 1 changeM terminologique = va parler du M°
intérieur ou M° unique = l’unité des M° des Etats membres et va fixer 1 nvl
30/12/1980

• la libre ciru des donnés = la libre ciruc M° intérieur entre dans la cybersecurite
perso
• la place de l’objf de réalisat° du M° intérieur de l’art 3 du traité sur l’union qui fixe
les objf de l’union

• La paix avait été pensée par l’économie. L’obkjf de réalsaition du M° intérieur


‘importé par projet de cour de justice).



• 2. Une réalisation impulsée par la Cour de justice
L’objectif de la réalisation du MI s’explique, par la réalisation de cour de justice
parce que la CJ va s’émanciper aussi et va progressivement jouer un rôle politique
et surtout parce qu’elle va épouser une fonction d’intégration sociale. Le motif de la
libre circulation est déconnecté de l’aspect économique et à partir de ce moment la
CJ va donner une autre tonalité à la réalisation du MI et va modifier les fondements
du marché intérieur économique.


⇒ Cet arrêt marque la perception de la construction européenne, = volonté d’1
intégrat° totale dans son M°I = LC = impulser les fondements éco du M°I = des
fondements non éco = V de l’UE = car l’individu sera considéré comme 1 acteur
à part entier dans le projet EU. C’est un arrêt politique car il fait entrer un acteur
qui va pouvoir de l’ordre juridique de l’union et bouleverser la relation individu/ état.
• Objf construction EU : réalisation du M°I.

- Rôle de la CJ(CE/UE) :
• Les ? Préjudicielles / préjudiciaires = Possbilité pour les juridictions nationales de
saisir la CJ pour poser des ? sur l’interprétation des traités / soit sur la validité du dt
de l’UE ⇒ Instaurer 1 dialogue constant entre les juridictions nationales & EU.

• CJ invite les particuliers à s’en saisir si un doute sur l’interprétat° des traités = rôle
π de la CJ
• La ? préjudicielle = 1 ? introduite par 1 tribunal ou 1 autre organe judiciaire à 1
tribunal > ou à 1 CJ pour obtenir 1 avis juridique sur 1 ? de droit.

A. Le rôle politique de la Cour de justice


La CJ va s’emparer la particularité du control juridictionnel et va aussi permettre la
réalisation du marché intérieur. En effet dès le départ la CJ a été institué et avait été
considérée comme un institut indispensable dans la concertation européenne càd que les
actions des états seront contrôlées par un organe juridictionnel et vont instituer au même
moment les différentes voies de recours mais aussi une procédure spécifique : la
procédure préjudicielle (poser une question sur l’interprétation, invalidité, d’une
disposition du droit de l’UE, c’est un dialogue constat). Grace à cette procédure la cour de
justice va jouer un rôle politique important. Jusqu’en 1960 la CJ a été prudente en
appliquant les dispositions décrétées, relatives à ses compétences et va progressivement
s’émanciper et va donner un coup d’élan très important à la construction européenne à
l’occasion des questions très techniques posées sur la réalisation sur marché intérieur et
plus particulièrement relative à la réalisation de l’union douanière.
En 1960 la CJ va être saisie de deux questions relatives à la réalisation du MI :
- d’un côté sur le rôle des ressortissants des EM pour la réalisation du marché intérieur
- d’autre coté, se prononcer sur la nature de l’ordre juridique issue des traités càd est-ce
du droit international/ national ? quels sont les principes qui vont gouverner les rapports
entre l’ordre juridique communautaire et national.

- La CJ va être saisie de 2 ? relatives à la réalisat° du M°I : se prononcer sur le rôle des


ressortissants des EM & sur la nature juridique de l’ordre juridique issue des traités cad ⇒
est-ce du dt interN, est-ce du dt national... = s’est prononcée sur ces ? à l’occasion de 2
affaires.

Dt communautaire

- Arrêt Van Gend en Loos, CJCE 5/02/1963, affaire 26/62. ⇒ Principe de l’effet direct
des traités

Faits :

Dans cette affaire, la société Van Gend en Loos conteste la décis° de l’aD fiscale
néerlandaise au motif que cette décision était contraire à l’art 12. du Traité de Rome
puisqu’il s’agit d’1 taxe d’effet équivalent. ⇒ litige nationale contesté au regard du dt
communautaire / EU = possibilité d’invoqué le dt EU au niveau national.

- CJ Interrogée sur la question de savoir « si l’article 12 du traité CEE a un effet interne,


en d’autres termes, si les justiciables peuvent faire valoir, sur la base de cet article, des
droits individuels que le juge doit sauvegarder ». (affirmatif CJ)
• CJ a constaté que le traité CEE institue la Communauté / UE constituait : « 1
nouvel ordre juridique de droit international, au profit duquel les Etats ont
limité, bien que dans des domaines restreints, leurs droits souverains & dont
les peuples sont non seulement les EM mais également leurs
ressortissants. » (citoyens & entreprises peuvent directement le droit EU).
• En substance, la CJ considère que par leur adhésion à la CEE = les EM ont
accepté une limitation de leur souveraineté et que par conséquent il est possible
pour les citoyens des États membres de s'appuyer sur les traités pour contester les
décisions des autorités nationales, c'est ce que l'on appelle l'effet direct de l'ordre
juridique communautaire en droit interne.
⇒ Aussi, cette arrêt, la CJ des Communautés européennes va préciser les
dispositions des traités qui sont d’effet directs = principe de l’effet direct des
traités entre les EM.

• La CJCE/CJUE institue principe selon lequel le droit [communautaire devenu droit]


de l’Union engendre des droits au profit des ressortissants européens et que, par
conséquent, ces derniers peuvent se prévaloir du droit européen devant leurs juges
nationaux afin de faire sanctionner les éventuels manquements des États.⇒ d’effet
direct : S’applique, en raison de leur nature, aux règlements qui sont
d’application directe dans les EM. ⇒ droit qui s’applique aux EM membres &
leurs ressortissants. = primauté du droit de l’Union sur les droits nationaux.

- Afin de concrétiser / réaliser l’union douanière = fin des droits de douanes / taxes d’effet
équivalent.
• L’art 12. du Traité de Rome rappelle / énonce : « Les EM s’abstiennent
d’introduire entre eux de nouveaux droits de douane à l’importation & à l’exportation
ou taxes d’effet équivalent, et d’augmenter ceux qu’ils appliquent dans leurs
relations commerciales mutuelles. » ⇒ Interdiction d’introduire (l’entrée) /
d’augmenter des nvx dts de douanes / taxes d’effet équivalent dans les échanges
commerciaux entre pays membres de la Communauté eco EU = suppression
progressive des restrictions aux échanges internationaux et à la réduction des
barrières douanières. = 1 interdict° absolue

• Interdiction de l’entrée de barrières tarifaires ⇒ Repris également dans l’art. 30 du


TFUE : « Les dts de douane à l’importation & à l’exportation ou taxes d’effet
équivalent sont interdits entre les EM. Cette interdiction s’applique également aux
dts de douane à caractère fiscal. » = union douanière

- La CJ en reconnaissant l’effet direct des dispositions des traités ⇒ Reconnaît que les
indiV / ressortissants des EM = 1 rôle imP la réalisat° du M°I & construct° EU (pour statuer
sur ≠? & ≠ domaines).

affaire 26/62 où la société van Gend & Loos conteste la décision de l’administration
fiscale néerlandaise au motif que cette décision était contraire à l’ancien article 12
du traité parce qu’il s’agit d’une taxe d’effet équivalent d’un droit de douane et qui
doit être progressivement éliminé pendant la période translatoire afin de réaliser
l’union douanière. C’est un litige national. Cette interrogation est portée devant la
juridiction nationale : q° préjudicielle. Est-ce qu’une personne privée peut se
prévaloir des dispositions des traités et si oui, quelles en sont les conséquences
pour la juridiction nationale ? Certains EM plaident en faveur de l’irrecevabilité de la
q° préjudicielle pour incompétence et l’administration fiscale conteste l’application
e droit de l’UE et la CJ va faire sa première révolution, en précisant que les
dispositions de traités sont d’effet direct càd peuvent être directement invoquées
par les personnes devant les juges nationaux et ce faisant elle fait démarquer la
construction européenne du droit international classique car elle s’adresse aussi
aux particuliers. La société outre l’effet direct consacré, ouvre une nouvelle aire
dans la
réalisation du MI, puisqu’elle reconnait la participation des ressortissants dans l’UE.
Cet arrêt marque la perception de la construction européenne, car l’individu sera
considéré comme un acteur à part entier dans le projet européen. C’est un arrêt
politique car il fait entrer un acteur qui va pouvoir de l’ordre juridique de l’union et
bouleverser la relation individu/ état.
Pourquoi l’article 12 est d’effet direct ? IL est clair, précis et inconditionnel càd il
interdit les droits de douanes dans les échanges commerciaux entre les états, il
confère un droit aux personnes morales concernées à ne pas se faire imposer des
droits de douanes. C’est une interdiction absolue et s’applique tel quelle, càd elle
prend effet par son encorné et ne nécessite pas des mesures complémentaires de
mise en œuvre. Pour la CJ il y a une aptitude de conférer des droits aux particuliers
et répond aux conditions de l’effet direct et justifie parfaitement l’effet direct et sa
décision d’une administration nationale. Et elle ouvre la loi à d’autres.

- Arrêt Costa c/. Enel, CJUE/CJCE : 15/07/1964 ⇒ La primauté du Dt de l’Union EU


sur les dts des EM.

- Faits :

Mr Costa, actionnaire d’1 société de product° d’électricité = nationalisée secteur


d’électricité en 1962 par gouV IT = 1 législation nationale & transféré à la société Enel. ⇒
Mr Costa perd ses droits de dividendes = refuse de payer ses factures électriques. =
assigné devant justice IT.
Pour se défendre contre la demande de paiement, Mr Costa ⇒ affirme que la
nationalisation décidé par le gouV IT ne respecte par les dispositions du Traité de Rome
en rappelant l’art 37 = serait donc contraire au dt EU ⇒ que la législation nationale serait
interdite.
- Solution :

Partie défendresse ⇒ Le secteur d’énergie n’était pas encore incorporé, tjr 1 compétence
nationale totale = pas encore 1 compétence transférée. ⇒ Pas contraire au dt
communautaire.

⇒ Dans cet arrêt la CJUE impose la primauté du dt communautaire indépendamment


de la législation nationale.
• En raison de la posture du droit intégré.
• Le droit communautaire étant du droit national, aucun besoin de les transposer
automatiquement dans l’ordre juridique national.
⇒ Arrêt non contesté.
- La CJ va se prononcer sur le principe de primauté càd quels sont les rapports entre
l’ordre juridique national & communautaire & cmt conçoit la règle communautaire vis-à-vis
de la règle nationale. → Arrêt qui va permettre de préciser le principe de primauté de l’UE.
• Traité CEE, 1957 / TFUE ⇒ Institue principe de primauté du dt de l’UE sur les
dts nationaux.
• Le dt EU doit primer sur le dt national qu’il soit antérieur ou postérieur au dt
EU. = Primauté du dt de l’UE sur dt national = en raison de sa posture du dt
intégrée.

⇒ Le TFUE a institué 1 ordre juridique propre intégré au système juridique des EM


lors de l’entrée en vigueur du traité & qui s’impose à leurs juridictions. »

• Le dt EU est pour les EM ⇒ 1 « ordre juridique accepté par les (EM) sur 1 base de
réciprocité ». (garantie l’effectivité de l’union).

⇒ « 1 nouvel ordre juridique de droit international , au profit duquel les Etats


ont limité, bien que dans des domaines restreints, leurs droits souverains &
dont les peuples sont non seulement les EM mais également leurs
ressortissants. » = Les Etats ont limité leurs dts souverains.

• Le dt communautaire est du dt interN car ces normes sont intégrées & prennent
sens dans l’ordre juridique national.

- IT est 1 des rares Etats guidé par le dualisme = rapport en l’ordre juridique interN &
national.
• L’ordre juridique interN ne prend effet que par 1 loi incorporée dans l’ordre
juridique national.

- Arrêt Cassis de Dijon, 20/02/1979 CJCE affaire 120/78 :

Faits : FR exporte Cassis de Dijon en ALL = ALL interdit / refuse importation &
commercialisation de la liqueur de cassis de Dijon en invoquant la loi nationale relative à
la protection des consommateurs pour les boissons alcoolisées (nécessité d’une
autorisation de mise sur le M° au préalable), au motif que sa teneur en alcool était
inférieure au taux minimal prescrit par le droit ALL. Entreprise FR conteste la décision
administrative de refus au motif que la loi ALL exige une autorisation de mise en place sur
le M° pour les boissons à forte teneur en alcool. Ce qui n’est pas le cas du produit.
L’entreprise évoque que la bière ALL ne fait pas l’objet d’une autorisation spéciale de mise
sur le M° (barrière non tarifaire).
La CJUE constate 1 divergence de législation entre les Etats sur la commercialisation,
production des boissons alcoolisées entre les EM.
⇒ Principe de reconnaissance mutuelle = des exigences de mise sur le M° ds 1 Etat.
• Repose sur l’idée que lorsqu’1 produit est légalement fabriqué &
commercialisé dans 1 EM = il n’y a pas a priori à ce que ces produits ne puissent
pas être commercialisés dans 1 autre EM.
• Aucune différence substantielle (équivalent) entre la production & la mise sur le M°
donc application du principe de reconnaissance mutuelle.

• Principe de reconnaissance mutuelle s’applique (2 conditions) :

1. Si divergence de législation nationale entre les EM +


2. Absence d’harmonisation. = Pas de normes communes = rapport entre droit
communautaire et national.

Solutions : Le principe Cassis de Dijon, développé par la CJCE , établit que les produits
qui sont légalement sur le M° d’1 EM de l’UE peuvent aussi être mis sur le M° des
autres EM, puisque les prescriptions techniques relatives aux produits des EM sont
considérées comme équivalentes (si aucun intérêt prépondérant ne commande la
restriction de ce principe).
⇒ La CJCE a statué que la restriction de la LC des marchandises n’était admise que
dans des cas exceptionnels fondés, (par ex : protéger la vie & la santé de l’être humain
etc...)

→ Cette condition n’étant toutefois pas remplie dans le cas de la teneur minimale en
alcool des liqueurs = a jugé que la liqueur FR pouvait être commercialisée en
Allemagne sans restriction.
La CJ a soutenu que puisque cette liqueur était licitement produite & vendue en FR, la
législation allemande apportait 1 restriction à la libre circulation des marchandises ;
restriction qui n'était en l'occurrence pas justifiée par un intérêt général. = l’interdiction de
commercialiser en ALL la liqueur française Cassis de Dijon, prononcée par l’Administration
fédérale allemande du monopole des alcools au motif que la liqueur française en cause
n’avait pas la teneur minimale en alcool requise par la législation nationale.

- Rappelle principe de reconnaissance mutuelle :


• Découle de l'ancien art. 28 du traité CE / art 34. du TFUE, interdisant des mesures
protectionnistes techniques.
• Contraire à l’art 34. du TFUE : « Les restrictions quantitatives à l’importation
ainsi que toutes les mesures d’effet équivalent, sont interdites entre les EM ».

• mesures d’équivalents dans l’arrêt = argument de l’intérêt général.

• Mesures d’effet équivalent ⇒ ? préjudicielle = principe de reconnaissance


mutuelle.

• Arrêt Schul, 05/05/1982 ⇒ Reconnaît la notion de M°C, de M°I & de M°Unique


⇒ Définit le fonctionnement du M°I /cM°C comme : « L’élimination de toutes
les entraves aux échanges intercommunautaires en vue de la fusion des
marchés nationaux dans un marché unique réalisant des conditions aussi
proches que possible de celles d'un véritable M°I ».
• Ce principe n'est pas absolu & un État peut introduire des restrictions techniques
lorsqu'un intérêt général non économique, par exemple sanitaire, le nécessite (art.
36 du TFUE), ou dès lors que cela est nécessaire pour une « raison impérieuse
d'intérêt général (protection santé publique) » autre que celles énumérées à l'article
36 précité, par exemple la protection des consommateurs, (arrêt C-366/04 du ,
Schwarz, point 30 et 31).

• Harmonisation négative ? Harmonisation fonctionnelle ?

• Reconnaissance mutuelle se double avec la coopération administrative entre les


autorités nationales.

• Principe du Câssis de Dijon ⇒ Fondamental à la LC des marchandises. ⇒


Obligation de reconnaissance mutuelle des produits fabriqués légalement dans 1
autre EM en l’absence d’1 législation plus spécifique.

- Bilan :
• La CJUE va progressiveM donner 1 nouvel élan dans la réalisation du projet du M°I
en consacrant 1 nouveau principe fondamental : principe de reconnaissance
mutuelle.
• CJUE va contribuer à faire évoluer le M°I & reconnaissance de sa fonction
d’intégration sociale.

26/09/2023 :

B) La fontion d’intégration sociale de l’obj du M) intérieur inmpulsee par cour d j


Rôle π de la cour de justice (CdJ)

- A partir des YO 1979 : de larret cassis de dijon : la cdj va se positionner coM l’acteur
incontournable ds la perenisation de l’objf de realisation du M° intéroieur & va
progressiveM lui réveler la diM sociale.

Ds 1 premier tps, la cdj va interpréter l’aspect éco de la lib circulat° afin d’élargir le spectre
du champ matériel du M° intérieur = donc va y inclure non seuleM les 4 facteurs de
product° (lib circulat° marchandises, S, Kô et trvaialleurs) mais aussi d’autres facteurs de
ciruclat° qui ne vise pas la réalisat° d’1 objf économiQ.

Ainsi, progressiveM la cdj en ce qui concerne la lib circulat° des perS = va étendre les
obligations des Etats memB en ce qui concernen les dts sociaux apportés aux
travailleurs migrants (travailleurs intracommunautaires = se deplace pour travailler )
progresisveM va reocnnaitre des dts sociaux a ces L selon la législaion de l’ETat d’accueil
& ce dans 1 1er tps sur le fondeM de primauté & d’effet direct des diposit° des traités
relatives à la liB circulat° des perS & ce faisant, la cdj va situer le travailleur migrant non
pas seuleM coM 1 acteur économiQ mais aussi coM 1 indiV. (= ayant 1 vie sociale en
dehors de son travail)

ex : en ce qui concerne le dt au chômage = le dt de ce maintenir sur le sol de l’ETat memB


d’accueil (de disposer d’1 dt de séjour) afin de pouvoir effectuer des nvl démarches pour
rechercher & retrouver 1 nvl emploi. = la cdj va etendre dans 1 1Er tps qui cherche un
emploi des prestations de chômage (audio)
arrêt 1904 Mr Antonissen : La cdj avait jugé la législation nationale incompatible / contraire
au dt de l’UE au motif que cette législat° imposait 1 délai de 1 mois après la perte de
l’emploi pour en retrouver 1 nv. = naurait plus dt au prestatoons sociale, de chô

qd on parle de la protection sociale = revele des Etats normalement


la cdj dit que l’objf de la lib circu est linterdiction de la discrimination envers ressortissant
d’1 autre Etat meB(car ≠ des personnes nationales) = lorsquon utilise son dt de lib circu =
pas une égalité de traiteM = la liB circulations des trvaailleurs na pas été appliqué

La cdj avait estime qu’il avait une discrimanaton entre les ressoritssants de l’Etat memB &
des autres ressortissants des Etats memB
contraire a leffectiviité du principe de l’UE = de liB ciruclation pour occuper 1 emploi car le
délai de 1 mois n’est pas 1 délai raisonnable (au cas par cas notion standard peuvent
évoluer au cas par cas selon nature de lempli recherché) pour avoir un succès pr occuper
1 nvl emploi.
Du tps pour lui laisser fr ses démarches

et préserve subitilité de l’Etta π, au cas par cas = arret 1 enjeu π ; cmt fr accepter a letat
cette possibilité alors qu’aucune legislation sur cette ?

cas par cas = cette a

La cdj va transformer cette aspect éci en 1 aspect + sociale = de l’intégration sociale


dans l’étta memB d’accueil & va révéler progressiveM la participat° de cet aspect social à
la réalisat° du M° intérieur.

La Cdj a partir de ce momemnt la ouvre 1 breche dan sla realisat° du M° intérieur & va
donner 1 autre impumsion à la lib circulation des personnes (va attirer davanateg
dattention de la cdj caer terrain e + propice pour révelrer l’intégrat° sociale = va donner 1
nvl dimension de l’obj de realisation du M° intérieur & le ressortissant des Etats memB
deviendra l’éleM central de la réalisat° du M° intérieur. = cette avancee juridsprudentielle
qui se retrv par la suite dans la discussiosn au moM de la discussion de la révision des
traités & qui ………. vont aboutir dans l’art 3 du traité sur l’UE est désormais il est
clairement assumer dans les traités que la realisat° du M° intérieur passent par la
concretisat°, recherche, mise en œuvre d’1 économie social de M°

Et cette fonction sociale dintégration sociale résulte adj à a fois de la jurisprudence de la


cdj & de l’action normative des institutions au titre des objf de l’UE.

La cdj continue de jouer son rôle π dans la réalisation de la creation du M° intérieur = faut
davantage
csq de cette lib circulation…..

impulser la construct° π de l’UE


par le bas ?

Cela se retrv aussi dans le fondeM du M° intérieur.


1 enjeu π de la cdj car revele la diM sociale du M° intérieur thx lib circulat° des personnes

progressiveM la déf de S
va inclure les soins médicaux = pr la cdj fait partie des S = le soin eldical acte éco mais a
vocation a fr un acte sociale = aspect éco ne prédomine pas au vue de l’apsetc d…. ; =
libre ciruclat° des S (soins medicuax) = on parle de la liB ciruclat° des patients = thx CdJ,
pas tnat aspect éco que M° intérieur mais

& reconnaissance prestataiosn sociales = chomage


ces dts vont occulter =dj va apporter des dts aux memb de sa famille qui vont devenir des
dts autonomes en raison de la lib ciruclation des personnes = qui se deplacent non plus pr
exerc la cer 1 atv éco

& la liB ciruclat° des patients ??

cmt peut-on penser les soins médicaux sur le prisme éco ?


Art 3 du TUE consolide cette aspect de la realsiation du M) onteireur = interpdepende eco
recherche deès le depart & la pl sociale que doit jouer l’indiV ressortisant des etats memB
dans l’i,tégration de l’UE

ex : medecine en belgique car refus equivalent de son diplôme


fr valoir son diplôme au regard du principe de non discrimiantion

pirncipe d’égalité de traitement et c lobjf dintegration se du M° intérieur = ê traité de la


meme manière pour le ressortissant de l’État memB = l’enjeu ???? de ne pas aller au-delà

1970/80 : liB circulat° des patients = S médical = aux prestataires de se déplacer mais
aussi???= carak statque du S va profiter à l’émergence de la lIb circu des patients
(posisiblité daller se soigner dans Etats meB de l’UE = l’exporatabiltie des dts de sécu
sociale acquis dans son étt d’origine

directive 2011:24/34) : ????

Enjeu éco

egalite de traitement entre nationaux de cette etat et ressoritissanst des Etats


memB ex pour la lib circu de marchandises = princioen de non discriminat° =
prinicpe de l’UE = aplicable S, personnes..

en revanche la cdj & = discrimination à rebours = c’est-à-dire dans la jurisprudence et


logique de re larealisation du M° interieur pour déclencher principe de la réalisat° du M°
intérieur = éléM dEtat franchissement des frontières (champ dapplication du dt de l’UE =
declenche lapplication des principes de non discirmiantio, protection sociale = thx cette
application on =
on intègre cette spociété & emporte aussi notre propre iD = 1 intégrat° qui se fait par la
libre circu (repand sa C ds sa société d’accueil) le but de cette lib ciruc = ne pas ê
discirminé psj on sets deplacé

en revanche pr les ressortissants de l’État daccueil qui n’ont jamais exercé = la cdj peut
appliquer mais cette législation ne doit pas dissuader
ex : la lib circu des étudiants = lib circu pas économiqu e= se depalce pas piur accéder a 1
emploi par 1 formation mais rattaché car en réalité 1 formation problématisée
la nationalié du diplôme qui prime sur la nationalité de la personne= car beneficie de la
protection de la lib ciruclation

aspect micro = proche de & ≠ macro

2) Les fondements du M° intérieur :

Cela explique les raions pour lesuqleles les fondeM du M° intérieur ne sont plus
essentielleM éco

- Les préoccupat° purement éco & cette aspect éco n’est pas le seul qui permet
d’expliquer la réalisat° du M° intérieur chronologiquement cetait le cas mais cette aspect
éco a évolué de manière progresisve autour de l’expansion du phéno° de la liB circu qui
donne 1 apstect + social au M° intérieur de telle manière que les fondeM économiQ se
complètent w/ fondeM n économiQ sans qu’il y ait la prédominance des 1er sur les autres &
inverseM.

- Les fondeM éco, bien au contraire vont permettre d’ancrer durableM les fondeM n
économiQ. ⇒ signifie que même les fondeM éco (choix éco de pensée la realisat° du M°
intérieur ont été dès le départ déterminant pour permettre à LT l’émerrgence d’1 éco
sociale de M° et ce afin de permettre posterieurement l’approche sociale du M° intérieur

Adj on a cet aspect sociale du M° intérieur = c’est lié

- Les fondeM éco du M° intérieur :


• Ils invitent ds 1 1er tps à s’î aux théories éco qui ont présidés à la rédact° des
traités fondateurs pr mieux cpdr les choix opérés dans les traités & donc la
cocnretisat° de ces théories éco ds les traités.

• Dans YO 1950, 2 théories éco ont naimé les acteurs des traités, vont inspirer les
fondateurs de la CEE = la théorie du libéralisme économiQ & la théorie ordo
libérale

• libéralisme éco = doctrine du liberalisme éco = est guidé par 1 logique de libre
échange, selon cette logique = le liB échange conduit à la prospérité & la réalisat°
d’1 M° commun = dun marché uniqu epar lunificat° des Etats EU à pr objf de créer
1 espace de libre-échange afin de stimuler l’éco par la multiplicat° des échanges.
→ IL était defendait par les penseurs de cette docitrne = est qu eles echanges
auront 1 effet bénéfique sur la situat° des resortissants (= ) des Etats memB.
→ L’initiateur de cette doctrine = Friedman, selon lequel il définit le libre-échange
de « transact° éco entre 2 bénéficiaires, à condit° que ces transact° soient
bilatéraleM volontaires & informelles » = selon la doctrine friedman il faut a rout prix
protéger le c araK volontaire de cette échange éco = cette déf de libre-échange en
tznt qu etransaction n’est pa suninament admise pr 2 raisons
→ posutle l’égalité de la transaction entre les 2 parties de la transaction = les
deux parties de la transaction ne sont pas sur 1 pied degalité économique

→ 2e raison : Il faut préserver cet échaneg de toute intéract° intéieur = la


transaction est volontaire, acpt donc le libre echange repose sur le principe de
« laissez-faire » = 1 intervention a minima voir exclu ; de la part de toute autorité
publique
• le libre-échaneg selon cette doctirne neo liraberale doit est exempt de tte
intervention etatatiques et sur la sreule volonté privée.
La sule interv possible de l’État est de stimulelr les échanges c’est-à-dire leur offrir
1 situat° éco qui épanouit les échange

• ⇒ l’î éco du libre-échange est la spécialisat° de l’actv éco (= la sectorisation de


lactv éco) qui conduit à produire + & parfois – chères en se spécilisant notamment
en appliquant la théorie des avanatges comparatifs ⇒ & au final cette spécialisation
conduit à 1 utilisat° optimale des rsrces
• Dans cette théorie de lib échange, tout cela est alissé au jeu libre de la concu

• Selon le snéo libéraux, la régulation du lib échange vient de la concu elle-même.


Les néolibéraux prêtent à la concu, 1 rôle primordial dan sla situmulation des
échanges commericuax. = « laissez-fr » = ceest la sphere pv qui soccupera de se
regulait elle m = par le jeu vertueux de la concu qui est selon les neo liebraux = qui
va provoquer une baisse de prix et stimuler l’innovaton

⇒ cette théorie eco présente des vertus, avantages lorsqu’il s’agit de dynamiser
l’éco mais la recherhce constante de la compétitivité conduit à des interrogat° plus
sociales où adj plsu environn,ementales = présenté comme 1 invonveniant le + imP
de cette approche éco au regard de la protect° sociale des travailleurs ou de
l’exploitat° des rsrces naturelles = fameuse ? De la délocalisat°

• cette théorie éco libéral = on sort la 2GM = cette lib éco est 1 choix par opposiiton
par rapport à l’éco planifié qui se passe àc ette époque & psq cette théorie éco
libérale s’inscrit ds 1 construct° π libérale, en ce sens le libéralisme éco est consiD
coM 1 éléM nécéssaire de la liB de csc π pouvant conduire à l’émergence du M° ; 1
contre pouvoir à la sphère π, contrepouvoir au sein de la société

→ Ce modèle va inspirer, PF en raison de ???


• En même tps,n cela conduit à l’élaboration de la spécialisat° de l’aspect éco ; fait
égaleM obstacle à l’émergence de la société de masse. Car y’a 1 diversité de
production
lib échange, lib éco laisasnt fr le marché, la sphère éco pv = 1 moyen de liB vis à vis de la
sphère π= aucune interV de la sphère éttaique, ...au jeu de la liB concu uqi conduit à la
quête constante d’innovation

incov de cette hteorie = la csq negative de cette lib éco, & la non prise en cpte des N
sociales voire celles relatives à la protect° de l’environneM. Car recherche de la
compétitivité qui prime à tout prix = 1 des incoV le + frappant de cette théorie libérale du
lib « change m presente des vettus quon va retrv de la cadre des traités.

- Ce qui la ≠cie de la théorie ordo libérale :

La theorie ordo libérale : ets aussi 1 théorie éco libérale m qui n’exclue pas totalement
l’intevrentionnisme économique de l’autorisé public. Cette interV sera encadré& aura pr
objf de rétablir / de maintenir l’O éco sur le M°. = cela signifir que le libre écange se
déploiera dans 1 cadre éco prédéfinies et règle éconoies dvpt par la sphère éco et la
sphère π interviendra lorsque cette O n’est plus respecté. C’est 1 théorie éco ordo libérale
(ordre libéral) = cette théorie voit le jour en ALL apr 2GM et avaiet pour objf de recocncilier
par l’éco les ALL w/ les institutions de l’État.
Etat a minima present pr retblir l’O ou B le maintenir.
& thx à ces interv ponctuelles / au bon MomM = les All vont repdre dans leurs institutions
π

dans la pensée ord libérale il ny a pas d’absence d’interventionnisme étatiques m 1 autre


façon d’interveni r= c’est-à-dire le rôle de la sphère π est de fr ce que le M° ne veut pas fr
lui ê:e c’est-à-dire de déterminer & fr accepter les règles = donc linterV de la P publique ne
se fait pas sur le M° m en dehors du M°.
1 M° qui se régule par lui Même mais dans 1 cadre reglemente par ???

Et ces ordres libéraux qui vont progresisveM ordonner ce modele dans le cadre de la CEE
& que ns allons retrv dans les traités.

Leur concretisation des theories éco dans dans ??


ont 1 double concrétisat

→ Le principe de libre-circulat°
→ leur concrétisation° ont conduit a contesté le rôle que doit jouer la liB concurrence

le principe de circulat° = est le principe qu’on peut qualifié d’éléM identidiant le M° intérieur
& ce principe repose sur l’idée économique de lib)échange (« laissez passer) et ceux ds
l’objf dfe créer le M° intérieur. Et ce quelque soit l’origine du facteur économiques de
productions dès que celui-ci revelève d’1 Etat meB.

Objf de créer 1 M° comme s’il sagissait de créer 1 M° national

laissez fr (le libre jeu de la transaction éco)


rde de l

1ère réalsalition & concrétisat° dans cadre M° intérieur est l’abolition de tous les obstacles
à cette libre-circulat° & dans les traités .. donfés su rla libre ciruclation est tjr concu au
regard de l’existence d’1 frontière qu’on peut quaifier de « barrières au échanges » qui
sont de 3 types :
→barrières naturelles = il s’agit dans 1 1er tps de la frontière phyisdique entre les Etats
memB. Celles-ci vont ê progressement remplacer de telle manière qu’elles n’existe plus,
on les traverse.

→ tarififaire & quantitatives = s’agit daanateg de la égislation nationales qui toucghe au x


exporations d’exportation & d’importantatiion
→barrières administatives & techniques = taxes par ; &
ex : « les dts de douanes » -, « t

touche au proceSS de fbricat° qui sont ≠ au sein des Etats leB & qui peuV
engendre .coup. pr les enrreprises lorsqu’ils son tonlighées de transformer leur production
selon les N exigées par l’ETta memB.
Progressivemrnt ces obstacles à la lib circu vont fr laobjeft dune attentio particulière de la
cdj et du législateur EU & ceux dans l’objf de diminuer les divergences entre les Etats
memB afin de favoriser la liB ciruclat°
obtacles = crtl douaniers, crtl sanitaires (ex pas de crtl camions ESP) afin de ne pas
pénaliser systématiquem les transporteurs de produits frais =

lib cirucla on retrouve cette aproche liberale = liassez passez, laissez faire

Dès la 2nd concretisation des triatés écomique


→ la libre concu & les choix qui ont été opérés ds les traités ne sont pas clairement
identifiés dans la mesure où la libre concu est 1 objf de l’UE = on le retrv dans Art 3,
pararaphe 3 du TUE : « Etablissement dune eco sociale de M° hautement compétititives »
1 objf de l’UE masi cet article laisse susbster ??? est-ce la libre cocnu ou la réalisation du
M° intérieur. Estce que la ocncu est 1 éléM de la réalisat° du M° intérieur ou est-ce que la
concu reste 1 π a part entière que doit stimuler & mettre en œuvre l’UE ? Ée par théories
éco que l’on retrv ds les traités pr certains auteurs.

Pour certains auteurs, il s’agit de 2 éléM distintcts car le protocole n°6 annexé au traité,
traite à la fois du M° intérieur & de la concurrence mais ce même protocole 6 précise que
le M° intérieur tel qu’il ait définit a lart 3 du TUE comprend 1 syst° garantissant que la
concurrence n’est pas fossé.

ET pour ds’autres auteurs, il faut se pencher sur la distantio(n ?) Dans la finalité des
règles relatives au M° intérieur & celles relatives à la libre concurrence.

Le M° intérieur est conçu dans son fontionneM de manière finaliste (1 fin en soi) tandis
que les règles relatives à la concurrence = sont instrumentalisés c’est-à-dire 1 moyen pour
atteindre d’autres objf = quoi quil en soit la π de la concurrence accomapognre la réalisat°
du M° intérieur & vise le dynamiser = elle a permit ainsi de libéraliser les échanges & à
condamner les monopoles économiQ des Etats = c’est la π intégrée par execllence, les
règles relatievs à la concurrence ds les Etats memB sont celles des traités π par
excellence le / aboutit ds les triatés cpote tenu de ?? exponentielle de al π de la
concurrence = les triatés prévoient actuellemnt la préevention des incidences négatives de
la concurrence.

La 1ère csq – de la lib concu : le risque des « dumping » compte tenu de la délocalisat°
que cela peut entrainer / que la concu peut engendrer. Ce « dumping » on essaie de le
contrer notaM dans la déf UE : « ..en matière sociale & environnementlae notaM en ce ui
cocnerne la protection sociale des salariés (de leurs santé ; & sur ctx de lenvir =
renforceM des législat° EU en ce qui cocnernent par ex : l’émisison de CO2 gaz à effet de
serre). Et de plus en plsu dette législtion UE vise la responsabuilité des entreP notaM = la
responsabilité sociale des entreprises = entrezP doivent avoir une charte qui doivent
resecter (nv purelent interne) mais l’idée qu’il faudra respinsabiliser emrge

C’est 1 débat = qui est aliment

La π de la cohésion régionale = certaines régions et il s’agit de rendre plus attractive


certaines régions des Etats memB qui se voient déserter par ‘linvestissemlent éco des
entreprises. = afin d’éviter la délocalisation

w/ la prise en considD des csq néfastes


taxe d’effet & dts de douanes

Les fondements éco


-
3/10/23 : (3e s éance

Section 2 : une façon ≠ de voir la réalisation du M° intérieur va se retrv ds le raisonnement


de la Cour de Justice & va modifier la def de la libre ciruclation

para 2 : les fondements non économiques

Les fondements non économiques du fonctionenment du M° intérieur ont été dès l’origine
présent dans la construction EU mais ils étaient rlayés en qlq sorte au 2nd plan en raison
de leur connotation π.

En effet, dès le départ la construction EU concernait ⇒ les ressortissants des Etats


membres & reposait sur 1 socle de V partagé par les Etats membres = ce qui justifiait le
projet initial de reconstruire l’EU / de reconstruct° de l’EU.

Mais YO 1950, meme si ces elements téaient présents dans le Traté = l’échec de pensée
la construction π de l’EU = avait conduit à considerer comme 1donné commune aux
etats ???

faisant consensus & ayant davatange 1 portée symbolique.

Les efforts principaux se sont alors concentrés sur l’émergence d’1 interdépendance éco
(cela explique pq les fondements économiques de la construction EU sont svt très en
avant / prenant dans les traités)

- Mais si on lit attentitvement les traités = sans pour autant exclure la potentialité du M°
intérieur à créer 1 solidarité π entre les Etats & surtout entre les ressortissants des Etats
membres.

• Cette potentialité s’imposera progressivemùent au fil de la révision des traités


puisque dès l’Acte Unique EU de = 1er traité qui va venir modifier les traités originels
= la ? De la naissance d’1 citoyenneté de l’union / d’1 union européenne va se
poser.

Or YO 1988-85 : Encore très tot pr l’envisager = thx Traité de Maastricht de 1992 et


entrée vigueur en 93 = que l’UE allait être crée & 1 signe distinctif = la citoyenneté
EU

• L’introduction dans les traités expliciteM d’1 citoyenneté EU = va exercer 1


influence certaine sur la réalsiat° du M° intérieur = celle-ci va progressiveemnt pdr
de l’ampleur ds la jurisprudence de la Cour de Justice = va réveler les aspects
sociaux & sociétaux de la libre-circulation & va fr venir sur le devant de la scène
les V autour desquelles les Etats se sont initialement groupés. = dualité des
fondements (d’1 cote fondement éco & autre fondeM éco = va conduire 1
particularité à la réalsiation du M° intérieur) = 1 instrument éco & π de la
construction EU
? de la majorité qualifiée = remet en ? l’unanimité au sien du conseil pr avancée sur
l’élaboration..

Acte Unique EU = 1 union d’État à laquelle on peut créer 1 citoyenneté = visent pas les
Etats mais les ressortissants des Etats membres.

arrêt Van & Loos 1963 = a revelé les potentielles π de la place de l’indiV / du ressortissant
EU pour la réalisation du M° intérieur.

Principe de primauté du dt de l’UE : pas explicitement inscrit dans les traités = fonctionne
= volonté π de mépriser ce qu’il se passe

? de l’UE projet spinelli en 1985 : aprojet addreséée au PE n’a pas aboutit mais resté ds
les csc = ? de l’avenir de la construction EU au-delà d’1 simple M°.

Les V commune = démocratie, repsect de dt de l’H = consiD dès le départ coMM qqqchn
de commun = autour desqueles les Etats ?

Thx citoyenneté EU = que la Cour de Justice a pu imposer dans la construction EU des V


=

12e art du TUE = vont avr des csq non négligeables su rla teneur & la finalité que va
poursuivre la realisation de l’objf du M° intérieur.

Théorie ordo libérale

démarche d’exclusio mais de complémentarité.

A) Quel a été l’influence de la citoyenneté EU.

La citoyenneté EU = introduit pr 1ère fois par Traité de Maastricht (1992) = traite l’UE &
lui donne 1 impulsion π.
• Ds 1 1er tps, l’approbation π de la construction EU se décelle ds la fiction juridique,
l’UE = cad que dans cette vresion de maastricht lunion nexist epas encore.
• Elle repose sur 3 pilliers
→ 1er pillier communautaire qui est rpz par la réalisat° du M° intérieur.
→ 2e pillier = la PESC = 1 π d’envergure de défense = relève de
l’intergouvenrementale
→ 3e pillier : Justice & Aff intérieures ⇒ Se consacrent davanatge aux π
migratoires ; coopération judiciaires & policières, matière pénale, civil & comemrcile
= des domaine suqi a priori revelevaitr e releve de la souv de de letat & dans lequel
1 exercice partagé des compétences ne pouvait être accepté par les Etats
membres.

→ 1 union w/ 1 logique d’intégration & 2


• 1 fiction car existe qu’à travers ces 3 pilliers = ne pèse pa ssu rle plan interN ;
fiction jurifique & π mais qui a justement 1 existence π thx à la citoyenneté EU.

• Dès 1992, 1 union π avec 1 citoyenneté EU.


- L’introduction de la citoyenneté EU, va venir boulverser les rapports classiques =
individu / Etat pour 2 raisons :
1. Qu’1 fois q’1 Etat est devenu de l’Union / de la Communauté = ses ressortissants
ont automatiqueM la citoyenneté EU. L’adhésion d’1 etat dans l’UE entraine par la
meme occaz entraine des csq directe pour les ressortissants de ces Etats

les csq de la c

depend de la nationalité d’1 Etat = l’UE sur le fondement de la citoyenneté n’interfère pas
dans les compétences régaliennes des Etats en ce qui concerne = l’octroi ou le retrait de
la nationalité : les Etats demeurent libre d’octroyer ou de retirer la natioanlité.

La ciotyenneté vient se greffer sur les ressortissants des EM = principe posé ds cadre
traité de Maastricht (1992) = l’aspect 2ndaire / sulbalterne. ⇒ Ds le but d’apaiser les
craintes des Etats vis-vis de cette nvl catégorie jurifiqu qui est la citoyenneté EU.

En quoi la citoyenneté EU vient boulverser ses rapports. Son aport est double car va
octroyer des dts complémentaires aux ressortissnats / nationaux des Etats
membres.

Et ces droits sont de 2 ordres :


• Des dts π = on va potentiellement connaître le rôle éco d’1 ressortissant d’1 Etat
membre.
→ le dt de vote & d’éligibilité = au nv UE pr designation des députés EU = pr
elections du PE & pour les Etats = 1 dt de regard, 1 implication citoyenneté ds l’État
memnbre d’accueil. => 1 rôle π du citoyen = infleunce la citoyenneté EU = en
raison de ses dt sπ qui sont inérants à la notio meme de citoyenneté & vienne
boulverser rôle des ressortissants des Etats membres = dt de vote & d’éligibilité =
voter & se rpz & oqp 1 mandat électif = 1 acteur π ; antional & au nv local.
Eligibilité pr la FR en raison participation maires ds les sénateurs car rpz nationale
= ressortissants des Etats membres peuvent être sur 1 liste //////

• Ces dts π car citoyenneté EU va garder 1 élément circulatoire = va surtout pdr du


sens en raison de la 2e cat des dts.

• Le rôle π se fait au nv macro & micro.

• 2) la libre circulation = la libre circulation EU n’est pas statique. = les 2 sont liés
peut pas particper aux votes elections si on ne peux pas circuler.

• Les dts qui se rattachent à la libre circulation du citoyen EU / & à la citoyenneté


EU :
→ dt de circuler & d’y demeurer & d’y séjourner

• Des dts de libre circulation = permettre à la citoyenneté EU de réveler son potentiel.

Traité d’Amsterdam / de nice : la citoyenneté EU n’a pas changé = dépendante de l’octroi


de la nationalité d’1 Etat mais ce côté sulbalterne du traité de maastricht va
progressivement s’effacer afin de rendre davantage compte de son évolution ds la
jurisprudence de la cour de justice & surtout la conforter (citoyenneté EU) ds sa dimension
π.
Ainsi dès le Traité d’Amsterdam () a été evosue la possibilité de créer 1 initiative
citoyenne = ds l’objf d’associer davanatage le citoyen ds le process normatif de
l’union. ???

Traité de lisbonne consolide cela & l’intitiative citoyenne est désormais possible pour des
citoyens qui souhaitent initier en invitant la CE à fr 1 proposition législative d’1 Acte
normatif sur tel ou tel domaine.

⇒ La seul exigence = conditions de formes & de fonds (entre dans le champd es


compétences de l’UE)
ex : formes / fonds

- Cmt la Cour de Justice a trnadfomer la pl de la citoyenneté EU thx libr cirulation & en


raison du potnetil π de la que la citoyenneté EU recele :
PAUSE

cohésion sociale

- La connotation π progressivement introduite dans les traités = situé cxt historuque = YO


1992, la citoyenneté EU va davanatge être ??? sous l’aspect éco de la libre ciruclation &
de manière prudente la Cour de Jsutice ds les 1ères années du fonctionneemnt du M°
intérieur (1ères années de la citoyenneté EU) & va consdiéréer que la citoyenneté EU
confère des dts qu’à la personne économiquement active = qui se déplace pr exercer ou
occuper 1 emploi.

- Donc la citoyenneté EU = va bénéficier aux travailleurs migrants ou à la personne qui est


économiquement active = va venir renforcer osn dt de séjour & de libre ciruclation.

Jusqu’alors la citoyenneté EU ne roesnete pas de spécificités sauf en ce qui cocnerne


l’exercice des dts π au sein de l’État membre d’origine & l’Etat membre d’accueil.
Pdt 10 yo, Cour de Justice va être prudente car va integrer citoyenneté EU comme 1
complément mais ????libre circulation
ex : Mr Antonissen

renfrocant les dts du trvaailleur ou persone qui se déplace pour raisosn éco = en oqp 1
emploi = conforte le statut du travailleur ligrant lorsqu’il perd ce statut = pdt temps
recherche d’emploi = va sur fondement citoyenneté EU : va apporter cette posisibite de
rester sur le etrri° de l’Etat membre.

Ce n’est que 10 YO plus tard, dsl’arrêt 17/09/2002 Bombast = que la Cour de Justice va
progressivement s’orienter vers 1 autre approche notamment lorsqu’il s’agit de la famille
du travailleur migrant & lorsque les membres de la fmailel du travailleur migrants n’exerce
pas 1 actv éco.

Ds cet arrêt la CdJE va déconnecter la citoyyenté EU de cette exigeance d’exercie d’1


actv éco = pour ce fr la C de justice va adopter 1 interprétation en 2 tps = ds 1 premier
temps = va rappeler que le dt des ressortissants d’1 Etat membre d’entrée sur le terri° d’1
autre Etat membre & d’y séjourner constitue 1 dt directeM conféré par le Traité aux
ressortissants des Etats membres. = dt d’effet direct = peut sen prevaloir lrosque lautorite
ad dun etat ne signifie que nous devons quitter le terri = citoyen EU je dispose d’1 de
séjourner sur le terri° d’1 Etat membre d’accueil.
Precise la cour de justice ds son raissonemeent que par principe sur le fondement de la
citoyyentté est conditionné par l’exercice d’1 actv éco. & Cour de justice opere 1
revirmeent de jurisprudence = va qualifier le statut de citoyen de l’union = de statut
fondamental pour tous ressortissants des Etats membres / d’1 etat membre.

Et par csq ce statut fondamental fondée sur la citoyennté est indépendant de totue
considération économique & crée au profit de ce citoyen 1 dt de séjour & de libre
ciruclatio autonome, déconnecté de l’exercice d’1 actv éco. (qu’elle soit salarié /
libérale)

La Cour de Justice a crée 1 nv régime de libre circualtion fondée sur la citoyenneté EU.

Jusqua arret bomnabst de 2002,… de renforcer le statut du mogrant favorablement


(chomage) mais avait tjr l’idée qu’il ait exercé / exerce 1 actv éco à titre salarié / libéral.

Mais dans arret obmabst de 2002, la Cour de Justice = art relatif à la citoyenneté est
d’effet diretc / applciabilit direct = creé des dts direcmtent pour les ressoritssants des
Etats.

Art 18 du traité = déconnecté de l’aspect eco


pas d’exigeance de circuler pour motif de

libr eciruc = dt de cirucler & séjourner


qd aspect éco se perd = citoyenneté qui prime = tjr citoyen donc dt de circulation (d’y
demeurer / séjourner) = on se fonde sur la citoyennté = le passé eco de la personne n’est
plus d’actu

avant promesse d’embauche / contrat de L.

Citoyenneté vient renforcer statut du travailleur.


Citoyenneté prend le relais thx arret bombast, depasse les codntiiosn éco = dts fondé sur
sa qualité de citoyen.

Pas des dts absolue. = directive 2004.38 (dt de sejoru de courte durée & plsu de 6 mois si
pas d’actv eco pas de prestation sociale par ex) intevrenue our cosnoldier & rendre
cohérente la jruisprudence de la cdjsutice acete de dt pv = harmoniser les législatiosn
pour pas d’entraves inutles

diretcive ft 1 distinction entre séjour de lognué durée = si citoyen pas éco doit disposer de
ressources financières suffisantes = doti pas devenir 1 charge financière lourde pour l’État
d’accueil
courte duree

Fait basculer la citoyenneté EU ds le domaine de la libre circulation. = libre cirulation fondé


sur la citoyenneté = citoyenneté va engloebr la libre cirulaiton des personnes actives &
non actives
si perd dt = notre circulation thx citoyenneté.

⇒ La libre circulation pour motif éco devient l’exception. Mais en cas de perte la
citoyenneté qui pdrl le relais

- 1 citoyenneté qui crée 1 régime autonome de libre cirulaiton peu timporte le motif pour
lequel on s’est déplacé à la base.
Jsuqua arre bmbast on se déplaçait pr motif eco & que quan perdait cette qualité quon
sappuyait usr citoyenneté mais avec bomabst la libre ciruc basé sur la citoyentté = est
autonome

dt de citoyenneté confère dt de libre circulation indépendamment du motif de


déplacement

⇒ La Cour de Justice assure libre circulation des personnes sur fondement citoyenneté
tout en préservant les autres motifs de circulation

directive 2004.38 dt de séjour permannt : octoryés à tt citoyens EU = légalement


sejourné / demeurer pdt durée ininterrompue de 5 ans

dt de séjour permanant = dt à l’assimilation

Arrêt bomabst carak clair precis article 18 du TUE & itnerpréter coM ocnférant ??? en
déconnexion de toute actv éco = libre circulation = autonomistion des personnes /
citoyens EU.

- La Cour de Justice va rappeler au cours de sa jurisprudence, le statut essentiel de la


citoyenneté EU & en raison de son potentielle d’intégration très fort.

1 csc EU qui se crée thx cette facilité de libre circulation. (Erasmus)

La citoyenneté EU n’est pas statique pour la déclencher = 1 faut circuler. = citoyenneté par
essence n’est pas statique. N ese délenche que si on a ciruclé. = le rattachelent au dt de
l’UE = lirbr cirulation & M° intérieur nécessite cela

Ex : 1 citoyen français, Jean, qui réside à Paris. Jean décide de prendre des vacances
d'été et de voyager en Italie avec sa famille. La citoyenneté de l'UE n'est pas statique.
Elle peut être activée lorsque des citoyens européens se déplacent à travers les frontières
et interagissent les uns avec les autres. La libre circulation des personnes au sein de l'UE
favorise ces rencontres et collaborations, renforçant ainsi le caractère dynamique de la
citoyenneté européenne.

l’arrêt Baumbast, la CJUE avait envisagé le maintien du droit de séjour pour un parent
ressortissant d’un pays tiers marié avec un citoyen de l’UE pour pouvoir assurer la garde
de leur enfant lui-même citoyen européen en cas de divorce. 11 Cette jurisprudence a
ensuite été consolidée dans la directive 2004/38.12 L’affaire NA vient enrichir cet édifice.

Cetet lirbe ciru et dts qui s’y atatche reconnsu aux memrbe de la fmille du citoyen qui sont
ou non ressoritassnas européennes = le lien familial avec 1 citoyen ressoritsant d’1 Etat
membre.

Tjr 1 mvt que la cour de justice requiert. La notion dextranelité ?? etre ne mvt pas faicel à
déceller = au cas par cas

L’arrêt baubast dans 1 arret du 8/03/2011 : Dans cette affaire il s’ets agit d’un couple de
provenance d’AML(Colombie) qui otn obtenu 1 contrat de travail en Belgique & qui se
sont installés en Belgique = ont eu 2 enfants nés en Belgique. Et ces enfnats selon la
législation belge, ont la nationalité Belge = dt de sol (depend de chat etat qui le decide) et
son par csq des citoyens EU.

- Mr adrano colobmlien eprd sa qualifte de trvaailleur & demande rneovuelelment crate de


séjour aux autorités belges qui lui refusent l’octroi au motif qu’il n’occupe plsu un emploi.
Leur avocat de les conduire 1 recours en contestant le refus des autorits nationalités en
invoquant cette-fois que Mr & Mme adrano aprent d’ 1 citoyen EU bénéficie d’1 dt de
séjour dérivé sur le fondement de la citoyenneté EU de leurs enfants.(qui habitent avec
eux en Belgique)
La juridicrtion admonistative belge

rôle de la cjue = est ce qun 1 citoyen EU mineur confère 1 dt de sejour à ses parents
majeurs ressortissant d’1 Etat tiers. Les enfnats mineurs n’avaient jamais circulé = jamais
fait usage de leur citoyenneté EU.
Pour déclencher la citoyenneté il faut avoir au préalable circuler ds les EM

• La CJUE va rendre 1 arrêt qui n’tai tpas attendu = va complètement boulverser


perception de la citoyenneté EU = car dans le cas de l’espèce la CJUE va justifier
l’existence d’1 dt de séjour des parents (parents ressortissants d’Etats tiers) sur le
fondement exclusif de la citoyenneté.

• La CJUE va se placer sur = la csq du refus d’1 carte de séjour / prolongement de la


carte de séjour pour le citoyen EU & l’enfant mineur. =
Que se passe-t-il si les parents quitte la belgiquer = enfant doit quitter terri ° et se
retrv dans l’impossibilité de beneficier « de la jouissance effective des dts essentiels
attahcé à leur citoyenneté EU »
exercice de ses dts de ciruclation conditionné par l’obtention du visa de leur parent. =
possibilité de reocnnaite 1 dt de séjour dérivé sur le fondement de la citoyenneté.

La citoyenenté EU va au-delà de la libre circulation = donen possibilité de nous depakcer


pour sejourner & demeurer mais le caractère statique de citoyen EU n’empêche pas aussi
son application.

La CJUE fait 1 pas en avant. La citoyenneté entre désormais ds l‘approche sociale de la


consturction EU = 1 citoyenneté à part entière car pas d’autres conditions….

- Dans arrêt 05/2011, Ms Carthy, la CJUE va faire de l’affaire s’enprano 1 cas d’espèce et
non pas 1 cas de principe. Il faut pour pouvoir invouqer la citoyenneté = il faut circuler = 1
exceptio qui repnd à 1 situation exceptionnelle.
• Ms. McCarthy, 1 irlandaise qui vit aux RU car possède la double nationalité & n’a
jamais circulé = jamais installé dans 1 autre Etat membre. (jamais fait déplcaement
IR-RU)
• Se marie avec 1 ressortissant ??? & tente de faire bénéficer son mari d’1 droit de
séjour sur le fondement de la citoyenneté EU & donc de bénéficier du dt de l’UE
pusique les autorités britanniques avait refusé de délivrer 1 titre de séjour à son
mari.
• Ms. McCarthy conteste ce refus à la juridiction administrative & invoque la libre
ciruclation?? devant la Cour arrêt ???.
• La CJUE a fait 1 pas en arrière, qu’en espèce la citoeynneté EU, que le dt de séjour
qu’elle pouvait conférer aux melbre sde la famille d’1 ressortissant EU / d’1 Etat
membre ne pouvait produire des effets que si le citoyen à circuler en appliquant le
raisonnement de l’arrêt des colombiens.

• Car Ms. McCarthy est 1 ressortissante EU = qui n’a pas circulé comme les enfants
zaprano(colombiens) mais à la ≠ elle est majeure. = le fait que son mari ne
puissen tpas venir avec elle au RU ne l’empêche nullement à exercer les dts que lui
confère la citoyenneté. = pas privé de la « jouissance effective des dts conféré par
la citoyenneté / le statut de citoyen EU / de citoyen de l’UE. » ≠ des enfants
zamprano.(colombiens)

⇒ La CJUE dit que pour pvr b »énficier de la citoyennté il faut l’invoquer ds 1 cadre
transnationale & donc tranche la ? de savoir si la citoyenneté peut
produire . ?????? par 1 citoyen qui n’a pas circulé sauf lrosque prive la jouissance
effective des dts atatché au statut fondamental de la citoyennte = le dt de libre
circulation = demereurer / circuler / séjourner

• citoyenneté =

- L’arrêt de 12/2022 : ob contr emunicpalité de ? = réglé sur le fondement de la


citoyenneté
• Couple de femmes,
• ressoritssnate de gilbratar
• bulgare : mère biologisu = l’exercice de l’autorité parentale pour l’enfant mineur
• refus au motif que la bulgarie ne reconnaît le mariage entre personne du même
sexe & sur l’acte de naissance = mention que d’1 seul mère.
• Ressortissante bulgare a ft usage de sa libre ciruclatio mais n’est pas plus
considéré comme ressortissnate bulgare
• pour ne pas porter atteinte à la libre circulation du citoyen = liberté = a ciruclé =
exercé sa libre cirulation = s’est établi en ESP = rentr en tant que citoyen ayant
cirulé et sa famille l’a suit

⇒ Cette libre circulation fondé sur la citoyenneté = pose des ? sur la position de l’indiV./
sur la liberté de disposer de soi = paradigme

Cette volonté économique de fondemednt économique = libre circulation

2nd fondement :

- art 2 sur les V de l’union = rendre 1 certaine normativité

- La question des valeurs se pose qd ??,

mais ces ? De valeurs de vire ensemlbe = posé dans la juridsprudence de la CJUE au dt


de séjour du citoyen.

- Arret 11/11/2014 DANo ?: de l CJUE a également eu a préciser le rôle de citoyeneté EU&


du dt de séjour qu’elle accorde dans l’État m’mebre d’accueil
• Affaire dano la CJUE rappelle =
• Mme Dano ressortissante roumanie qui vit en ALL & qui a travaillé de manière
très ponctuelle & souhaite bénéficier d’1 prestation spzciale poiur son fils mais en
raison de sa qualité de citoyen ressrotissant d’1 etat membre non actif = elle se
retrouve exclut de la législation ALL pour l’octroi de ses prestations sociales & elle
estime que cette législaion est contraire à son statut de citoyen EU & donc par csq
contste le refus des autorité ALL devant les autorités nationales au motif que ce
refus crée 1 discrimination fondée sur la nationalité & dans cet arrêt la CJUE saisit
l’opportunité pour préciser la signification & surtout la finalité de l’utilisation de libre
circulation fondée sur la citoyenneté EU = la CJuE rappelle que c’est 1 staut
fondamental de citoyen EU cocnrétisé ds le dt de libre ciruclation de demeurer & de
séjourner que thx àc etet concrétisaiton la citoyenneté EU a pour finalité
l’integration sociale ???? & que le dt de séjour des citoyens EU est conditioné /
réglementé par la directive 2004/38 en ce qui concerne les prestations sociales &
que l’octroi de ses Psociales sont subordonnées à l’exigeance de rsrces suffianates
comme 1 condition de légalité de séjour longue durée.

• En ce sens, la CJUE précise que lorsqu’1 citoyen EU est économiqueM non actif =
il ne peut prétendre à totues les prestations sociales dans l’État membre d’accueil &
qu’1 inégalité de traitement peut subsiter & rappelle d’ailleurs au point 78 de
l’arrêt que ce type de réglementation qui exclut du béénfice des prestations
sociales, les ressortissnats d’Etats membres économiquement non actif = visent à
eviter de détourner la libre circulation de sa finalité 1ère qui est l’intégration EU. « 1
tourisme d’aide social »

• La Cjue dit qu’il est normal que les Etats reglementent les conditions d’accès à
certain prestation sociale pour les ressortissants d’Etats membres économiquement
non actifs et non pas de rscre suffisnate spour ne aps utiliser la libre circula tion
d’obtenir le bénéfice de l’aide sociale d’1 autre Etat.

- Dans 1 arrêt de 01/2014 :


• La CJUE avait déjà anticipé cette approche ⇒ au sujet de l’acquisition d’1 dt de
séjour permanat.
• En l’espèce dans cet arrêt, Mr Noukware est 1 ressortissant d’État tiers = qui se
marient avec 1 citoyenne EU. Au bout de 2 ans, on 1 enfant & après divorce = il fait
l’objet d’1 procédure pénale pour des faits avérés de viols sur mineurs =
emprisonné & sort de prison & il demande l’acquisition d’1 dt de séjour permanant
en raison de 5 ans de présence sur le territoire de l’ETat membre = autorité
nationale refuse.

• Contestation de ce refus : saisine de la CJUE qui doit se prononcer = ?????


l’assimilation des nationaux

⇒ Peux-on se prévaloir de la durée de maintien sur le terri° natioanle en situation


carcérale / en prison pour revendiquer la condition de 5 ans ininterrompue de
présence sur le territoire nationale.

• La Cjue rappele que le dt de séjour permanant conduit à l’assimilation d’1


ressortissant = l’assimialtion = des V & l’odre sociale = la reconnaisance à part
entière que le ressortissnat citoyen / d’ETat tiers / membre de la famille d’1 citoyen
+ ???

• En rappelant cela, la CJUE prend 1 position qui n’est pas neutre.


• La CJUE on ne peut pas revendique les périodes passées en prison comem des
périodes constitutives de la durée de 5 ans exigé par , ???.

• 1 peine primative de liberté = comme s’il était isolé


• les peines de prisons pas prise en considération

• La CJUE ⇒ Le dt de séjour permanant conduit à cette assimilation & donc par


essence, présume l’acceptation des V de vivre ensemble que l’État d’accueil a
définit pour ses propres ressrotissants. = 1 autre dimension d’intégration sociale

• L’indiV a rompu le pacte sociale car est en prison = « isolé » directive 2004/38 = 1
cause interruptive de séjour = a été isolé de la société = 1 cause interruptive

• Approche actiologique de la libre circulation = fondement non économique

5/09/2023 : Séance 4 :

- la citoyeneté venue boulverse la paradigme éco de la libre circualtio

- a permis a la CJUE de se prononcer sur des nvl ? ui n’avaient pas été anticipées dans la
redactions des traités.

- reconstruire leur par leco & entriané soldiarite π sur le LT

- La citoyenneté

- la libre circulation va créer ce conflit de V entre les Etats & mettre des approches
nationales
= régler pbs de concu sociétale / actionol

- Approche actiologique actiologique (= se qui se rapporte aux V / fr entrer dans la


réalisaion du M° intérieur des symbole qui viennet déterminer 1 projet éco donné) du M°
intérieur : approche actiologique s’est progressivement imposé & a permisa de joue r1 rôle
depresque de 1er ordre pr la réalisaiton du M° intérieur.

• Ce processuss d’actiologisat° de l’UE aussi ancien que la cosntruct° EU = il est


iénrant aux discours πs, qui a tjr été associé à la formation de l’identité de l’UE.
Lors des révsiosns succesives des traités ; ??? des V n’était pas conseusuel car on
le retrouvai pas dans les traité
• et la ref aux valeurs était timidement annoncé soit préambule des traités / ou thx au
recours au principe de la liberté de la démocratie & du respect des dts de l’H & des
liB fondamentales.

• Thx Charte des dts fondamentaux que la ? de l’incorporation des V dans l’O
juridique de l’union = expliciteM posée / incorparation a été discuté lors des travaux
préparatoires s’agissant de l’intitlué même de la Charte « des dts & des V
fondamentales » = intitulé pas retenu mais le texte de la charte dès son préambule
fait explicitement référence à plusieurs reprises aux V qu’il qualifie : « soit de
commune ou d’indivisible & universel » = préambule de charte précise également
que l’union se fonde sur les V indivisibles & universelles de dignité humaine ;
de liberté ; d’égalité & de solidarité.

= pas de force obliagtoire donc on ne pouvait pas l’invoquer


• Traité de Lisbonne ne fait que le repred et lofficialite = il constitutionnalsi =
donne 1 portée constitutionnel aux V de l’union puisqu’il les inscrit à l’art 2 du
TUE : « l’union est fondé sur les V de respect de la dignité humaine ; de liberté ; de
démocratie ; d’égalité ; de l’état de droit ainsi que de respect des dts de l’homme y
compris des dts de personnes apaprtenant à des minorités. Ces V sont communes
aux Etats membres ds 1 société caratérisée par le pluralisme ; la non-
discrimination ; la tolérance ; la justice ; solidarité & l’égalité entre les femmes & les
hommes. »

• donc apr cette demrache redcateur traiét de lsibonne = reocnnaise leur fondement
constitutionnel qui est renforcé par la reconnaissance de la force contraignante
de la Charte des dts fondamentaux. = double moment de la constitutionnalisat°

• Inscription formelle??? dans les traités = pas le seul signe de leur


constitutionnalsiaiton, cette inscription formalle a aussi 1 csq plus substantielle psq
fait entrer également dans les traités pour al 1ère de fois de manière explicite la
notion de V qui relève davanatage du langage cosntitutionelle (ce aui se passe en
etats) & actiologique = cela est en effet ft propre à toute constitution pusique on
retrv dans chaque constitution les V fondamentales de la société π qu’elle institue &
qu’elle entend organiser.

• Donc art 2. du TUE s’inscrit dans ce proceSS π de la construct° EU & permet aussi
d’exercer 1 influence certaine sur l’action normative des institutions & donc sur la
réalisation du M° intérieur.

• Cette intégration de art 2. du TUE, n’est pas si claire que ça = puisqu’elle soulève
1 ? en ce qui cocnerne leur place concrète effective dans l’ordre juridique de l’union
cad s’agit-il des N supérieures dont découlerait les principes qui régissent l’UE. =
qu’elle est exactement leur statut juridique = commun aux etats & queles est
excatement leur role et place, cmt sont elle concrétisés & qu’elle en sera la
csq ??????

• Dans art. 2 des V principes dts fondamentaux = plusœurs catégories juridiques qui
se cotoient
• N’a pas eu a avr 1 incidence aprè entrée en vigueur du traité de lisbonne = mais est
progressivement revenu à la CJUE = la mission de préciser leur portée & dans al
doctrien ?? de la jurisprudence ≡ ??? l’idée selon lal le s repstetc des V de l’union
est : « 1 impératif juridique & π » aussi bien pour les institutions de l’union qu epour
les Etats membres.

• Donc els V de l’UE n’ont pas qu’1 existence symbolique = s’isncrivent dans la
réalisat° de l’objf π … 9h30 a construction π du modèle EU de société défendu part
art 2. du TUE.

• Par csq, l’incorporation des Vds les traités = sera suivie des faits, ainsi art 3. §1 du
TUE assigne à l’UE = l’objf de promouvoir la paix, ces V & le b-ê de ses peuples
= nécéssairement ds réalisation M° intérieur : ??? == 1 concrétisaiton normative,
concrète du rôle des traités, rôles / place des V mais aussi dans réalisation du M°
intérieur ;

• Art 3. §3 du TUE = réalisation du M° intérieur en tant qu’objf de l’action de


l’UE

tfue & tue = pas dans version de Maastricht de 1992 = traité de lisbonne 2009 = la charte
des dts fondamentaux pdr 1 V normative

charte des dts fondamenteux = conseil EU de nice pour proclamation charte des dts
fondamentxu de Nice, 12/2000.

TFUE (2 partie du texte = se concentre sur le champ isntutut matériel de l’UE / TUE :

• La promotion des V de l’union = 1 objf transversale & général ds la réalisat°


immédiate (médiate) ?? = a pour finalité la cosntruction π de l’UE.
• Art 2. / 3. 1 intéract° entre art 2. & art 3. = la question va se poser concrètement de
se demander quelle sera lr pole des V dans la réaliastion du M° intérieur = est ce
que ces V permettrait de voir differement la réalisation du M° intérieur.

• Pour cela préciser 2 éléments :


→ de savoir ds quel mesure il peut y avoir 1 conflit au moment de la réalisation du
M° inteireur ou seront implique les V de l’union ?
→ Comment résoudre ces situations conflictuelles thx aux V de l’union / UE.

• 1° Au moment de la libre ciruclation des personnes, qui va contester cette libre


ciruclaiton = l’ETat membre d’accueil (car entre en conflit avec ma propre législation
‘remet en cause la protection de la sécurité sanitaire etc...’) = cela suffit pour
m’opposer à la libre circulation. = je m’y oppose. = mais porte atteinte à la ???? =
incompatible avec cmt l’ETat pense sur son propre terri°.
• Bénéficiaire de la libre ciruclation = Va contester le dt de l’Etat de limiter sa libre
circulation = privée de son dt de la libre ciruclation.

• Quand s’agit protection des dts fondamnetaux = la CJUE va pdr l’habitude de


préciser que la protect° des dts fondamentaux est également assuré dans l’ordre
juridique de l’union & que al libre circulation contient cette conceptiNN ??? pensé
aussi pour protéger les dts fondamentaux.

• ⇒ 2 conceptions ≠ des dts fondamentaux = protection des dts fondamentaux au nv


des Etats = protection natipale & protection des dts fondamentaux au nv de l’UE.
Art 2. du TUE fait référence à cette protection des dts fondamentaux.

Ex : Arrêt Omega, 2004 : juste apr proclamation de la charte des dts fondamnetaux &
avant entrée en vigueur du Traité de Lisbonne.
• Ds cet arrêt, 1 société GB souhaite exporter en ALL, 1 concept qu’elle avait dvpt ;
commercialisé auprès des centres de loisirs qui sont établis au RU. Le concept de
laser-game
• mais comme s’agit d’1 S = libre circulation des S
• Sauf que les autorités ALL, ont refusé l’importation de ce concept en ALL au motif
que ce concept entre en conflit profond avec la dignité humaine tel qu’elle resulte
de l’art. 1 de la loi fondamentale allemande.
• CE concept entre en conflirt avec concept de loi fodnamentale ALL ; la constitution
ALL très inspirée d’1 ….. en raison de cxt historique où la loi fondamentale a été
élaboré. (entre en contradiction profonde w/ dignité humaine & peut avr csq sur sa
dignité humaine)

• 2e raison : Les laser games potentiellement permettent de tenir en respect 1


personne & donc la subordonner à la volonté d’1 autre joueur qui lui fait semblant
de la tuer.
• La libre ciruclation de la société & protection des dts fondamenteux & de la dignité
humaine de l’ALL.

• Dans 1 1er tps, la CJUE va préciser la place de la dignité humaien dans l’ordre
juridique de l’union. Dit dans motifs de l’arrêt : « ne suffit pas que l’ALL est 1 … pour
que ce soit respecté au nv

• Constat : La dignité humaine fait partie intégrante de l’ordre juridique de l’union =


compte tenu de l’importance de la dignité humaine = la CJUE tire la csq suivante :
« toutes les libertés de circulation cad la réalisation du M° intérieur est pensé dans
la dignitié humaine & que les restrictions qui peuvent y être apporté resulte de
l’ordre juridique de l’union lui-même.

• Les libertés de circulation ne sont pas absolues et ces restrictions peuvent résulter
de la dignité humaine car inérante …. ????.

• Et cela sans qu’il y ait besoin que ce soit les Etats qui revendiquent leur propre
conception.

Principe de reconnaissance mutuelle = etats doivent se fr confiance or ovr recnnaitre que


les oroduits legalement et comemriclaises repondantn aux mêmes exigeances de sécurité.

⇒ Le rôle des V dans réalisation du M° intérieur = possède la fonction de permettre la


libre circulation tout en diffusant 1 conception commune de ce qui est essentielle pour
l’union & ???

art 19 ; du tue obligation de ne pas revenir sur les standards ????? = ex : en reaction axu
réformes judiciares de la pologne et remettent en cause l’indépendance de la justice.

Section 3 : Fonctionnement du M° intérieu

- Le fonctionnement du M° itnerieur reposé sur la fnilité 1ère de celui-ci = l’intégration


« conomique poussé = implique des principes qui vont gouverner le fonctionneM du M°
intérieur.
- Intégration économiqu epoussé : Cette notion se construit à travers la notion de M°
intérieur fondé sur le le principe de libre circulation & explique que cette intégration
économique poussé se concrétise dans l’élimination progressive d’obstacle à la libre
circulation.
Notion de M° intérieur : s’est imposée progressivement dans les traités puisqu’au départ le
M° intérieur n’était pas visé, les traités faisait référence au M° commun (= ).

• Le M° intérieur repose sur 1 integration économique poussé par comparaisona vec


les autres espaces promoeuvent le principe de libre circulation.

- Dès traité de Rome, 1957 qui institue la CEE :


• Prévu dans 1er artciles de ces traités = l’étbalissement d’1 M) commun entre les
Etats mmebres de la CEE mais bien que l’on trouve dans ces traités la mention des
4 libertés de circulations (perosnnes, S, Kô ; marchandises) on peut relever
l’absence de toute définition xplciite de ce qu’est le M° intérieur.

• Mais avant l’ACte Unique EU = la CJUE avait ouvert la voie de l’assimilation du M°


commun au M° intérieur dans 1 arrêt Shull du 5/05/1982 = la CJUE avait précisé
que le M° commun visait à l’élimination de toutes les entraves aux échanges
intracommunautaires en vue de la fusion des M° nationaux ds 1 M° unique réalisant
des conditions aussi proche que possible de ce véritable M° intérieur & résulte de
cet arret que la CJUE, les expressio ns de M° commun ; de M° unique & de M°
intérieur s’appliqaueint à 1 process continue de réalisation d’1 même projet.

• Le M° commun aboutissant à 1 M° unique, lequel devait tendre à s’identifier à


1 M° intérieur = cette conception partagée par la Commission dans son Livre Blanc
sur ??? du M° intérieur du 14/06/1985 = dans sonn livre bl commisisone stimait que
la création du M° intérieur unique était dès le départ voulu par les traités ; auteurs
des traités & ont retrouvent 1 déf dans les traités, celui de Maastricht, 1992 ⇒ Au
terme de ce traité, le M° intérieur est caractérisé par l’aboltion entre els Etats
membres des obstacles à la libre circulation des marchandises, personnes, S ; Kô.

• Dans le langage de la comlmsiisonj M° M° intérieur, M° unique & M° commun sont


tenus pour équivalent = cette approche a été rappelé dans le libre blanc de la
commission de 2007 = 1 M° unique pour l’EU du 21e s .

• Adj le T de M° commun = remplacé par M° intérieur ???????????

• Pour rép à cette ? = se référer à l’art 3. §3 du TUE = qui indique la construct° d M°


intérieur est 1 objf de l’union & se référer à l’art. 26 du TFUE qui apporte des
précisiosns en indiquant que le M° intérieur est 1 espace sans frontière intérieur
dans lequel la libre circulation des marchandises ; personnes ; des S ; Kô est
assuré selon les dispositions des traités.

• On trv ds ces 2 art. = l’idée d’1 espace de libre cioruclation des facteurs de
production (marchandises ; personnes ; S & kKô) entre les etats memrbes de
l’union & l’épanouissement du M° intérieur se fait thx stimulation de la liberté
d’exercer 1 actv éco.

⇒ Par csq, l’interdiciton des restricitons à la libre ciruclation à l’intérieur des territ°
de l’union = 1 condition essentielle pour la réalisation du M° intérieur.

• Motifs de dérogation que les Etats peuV opposer à la libre circulation. ???? À
l’égard de leur propre Etat.
• La suppression des frontières intérieurs = passe par la suppression des mesures
nartionales qui entravent la constitution du M° &

• Cette abolition des obstacles :


→ 1 obstacle + = supprimer les obstacles tarifiaires & non tarifiaires = c’est en cela
que la notion du M° intérieur se distignue des autres espaces où d ????

- ≠ M° intérieur & zone de libre-échange :


• Zone de libre-échange : Embryon du M° intéireur : zone dans laquelle on supprime
les dts de doaunes apllciables aux marchandises entre les membres de cette zone
de libre-échange= mais les Etats restent libre de ????? = pas de tarifs douaniers
communs. = chaque Etat garde sa propre π commerciale. = si pas de tarifs
douaniers communs = cvonduit à 1 concu entre les Etats pour l’importation des
produits venus de l’extérieur.

• 2e zone de libre-échange : L’union douanière = zone de libre échange où la LC des


produits ; marchandises ; aboltion des dts de douanes au sien union douanière &
pratique d’1 tarif douanier commun.

• M° intéireur : au-delà de barrières douanieres tarifaire s= tarifiares non tarifiardiare


s= plus loin que union douanire & zone libre chaneg car M° intérieur interieur
repose sur lemlimiantiond ‘autres types d’obstacles que les dts de doaunes / taxe
au-delà de la π commune commerciale. (a minima zone libre-échange & union
douanière)

• Arrêt shull la CJUE avait précisé que le M° in,téireur vise à l’élimination de toutes
les entraves intra-communautaire en vue de la fusion des M° nationaux ds 1 M°
unique réalisant les conditiions aussi proche qu epossible de celle d’1 véritable M°
intérieur.
• Le M° intérieur ne concerne pas que les marchandises = la LC conclue de manière
plus la LC large es personnes, facteurs de production (travail & K).

- M° intérieur & U.E.M :


• U.E.M : vise à la mise en pl d’1 π économique commune qui se concrétise dans
traités par coordination des économies nationales & la mise en place d’1 monnaie
unique = l’Euro.
• Le M° intérieur est en partie 1 UEM = car LC des Kô.

- 1 union π :
• Aller au-delà aspecté co = disposer d’1 gouvernement commun en ce qui concerne
la π intérieure & π extérieure.
• Le M° intérieur ne fait pas cela car sa réalisation dépend de la volonté des Etats,
des compétences de l’union. ??????? = ne signfiie pas que n’y contribue pas.
• si M° intere pas 1 union π ne signiefie pas que sa réalisaie ???

⇒ Son objf de pérennité pour la réalisation du M° intérieur = 1 instrument π pour la


réalisation de l’intégration π / de l’UE.

- 2 éléM qui détermine l’intégration poussée à travers mais aussi éliminaiton rogressive
d’obstacles à la LC ;
• élimiantion progressive d’obstacles à la LC ⇒ Se fait de manière négative,
l’interdiction de principe qui pèse sur les Etats d’entraver la LC au sein du M°
intérieur. = qui est l’effet direct.
• De ne pas adopter de nvl mesures venant entraver la LC / de nvx obstalces à la LC
• Elimiantion est positive = car se sont les institutions de l’UE qui vont intervenir par
l’intermédiaire de normes communes afin de réduire les disparités entre les
législations des Etats. = C’est le mécanisme d’harmonisation.

• adopter les N communes que les Etats vont adopter dans leur O juridique national
= & ces N communes entraînent l’élimination des obstacles à la LC.

• Le process d’harmonisation = rendu possible thx introduction art 114. du TFUE qui
autorise les législateurs de l’union d’intervenir par le biais des directives / voir de
règlements afin de rapproher les disparités nationales dès lors que celles-ci ont 1
incidence sur le bon fonctionneM du M° intérieur.

• 1 harmonisation du M° intérieur pas absolu : ponctuelle; spécifique ; concrète

- YO 2000, pour la LC des marchandises :


• De nbr ??? que la reglementations de l’union tlm technique

- §2 de 3e section

- Quels sont les principes inérants aux M°I :


• M°I repose sur la LC
• LC possible s’il n’y a pas de discrimination = car se fonde sur ce principe de
discirmination = interdiciton de discrimination fondé sur la nationalité, de
provenance d’Etats membres.
• Egaleité de traitements entre EM = égalité de traitement = principe de
l’assimilaiton = principe de non discrimiantion

2e principe :

• Principe de reconnaissance mutuelle & confiance mutuelle = la reconnaissance


mutuelle permet …. la LC quand bien m^ il n’y a pas d’harmonisation.
• C’est action spontanée des Etats de reconnaître au profit de la LC.

& enjeux que doit affronter dans ce nouvel objf


- Le M°I est 1 espace om circule les facteurs &co de production mais aussi 1 espace qui
joue 1 rôle π dans l’intégration EU & à l’origine d’1 multitude de LC qui s’épanouissent…
où le facteur éco ne sera pas prédominant = 1 difficulté en doctrine
• 1 difficulté = Celle de classer les LC car quand on lit art des traités = on identifie 4
LC.
• La LC des patients,

⇒ Des LC qui s’épanouissent ≠ement

• Ces LC / cet épanouissement du champ matériel du dt de l’UE : touche davantage


les actes / décision de justice (enjeu constitutionnel) & les
• L’1 des difficultés que l’on rencontre ;

• cette multiplication d’apporhc : rveelatrice de classer les LC par rapport au M°I


pensé dans les traités.
Pour cette raison, il n’y a pas de mauvais ou meilleure classement de la LC. La LC
dans le cadre du M°I change = s’intègre non plus suelement dans réalisation éco
du M°I & à la fois 1 dimension matérielle, personnelle & financière (éco). = dualité
dimension matérielle & personnelle.

09/10/23 :

Partie I : La LC des marchandises ⇒ La LC ??? du M°I


(dans le cadre du M°I)

Arrêts CJ rendu dans le cadre du M°I = cette LC a été la 1ère LC avait éét interprété par
la CJ d èemanire constructive & a permis de donner 1 cadre juridique transposable aux
autres LC.

• La LC des marchandises a permis a la CJ de s’initier dans l’inteprétation des traités


& de consolider l’approche libérale au sein du M°I. → 1 LC qui a été dès l’origine la
1ère liberté utilisée par les particuliers / entreprises. Pas étonnant compte tenu de
l’objf historique = l’union douanière ⇒ la LC des marchandises (dans les échanges
intracommunautaires / entre les EM) = 1 élément essentiel pour la mise en pl de
l’union douanière.
• & le pricnipe de LC = aux Etats d’empêcher cette liberté… ???

• En effet, la LC dans les textes originels constitue w/ la LC des personnes 1 des 4


libertés fondamentales qui concourrent à la réalisation du M°I.

• Cette LC n’est pas conçue de manière isolée, elle est l’1 des principes
fondamentaux / 1 des objf généraux qui commandent l’action de l’UE.

• Ainsi la LC des marchandises, s’isncrit ds le cadre d’1 constitution économique EU


& selon la CJ la LC des marchandises est le corrollaire principe fondamental
« d’unité du M° ».

Dès 1981, la CJ rappelle : Que la LC des marchandises n’est pas subordonnée à la


condition préalable du rapprochement ou d’harmonisation des législations nationales =
comme ayant 1 effet direct.

- La place des LC des marchandises au sein du M°I :


• 2 éléments fondamentaux qui doivent nous guider pour déterminer la place de la
LC.

1. En quoi la LC des marchandises a 1 caractère fondamental ?

1) Le caractère fondamental de la LC des marchandises :


• Résulte des dispositions des traités.
• & jurisprudence des traités de la CJ. ??? dans l’interprétation des dispositions
1) Le caractère fondamental de la LC des marchandises : dans disposition des
triatés

- La LC des marchandises :

• Prend place au coeur du projet EU puisque le Traité de Rome, 1957 = donnait 1


place de 1er choix en lui réservant le ????? de sa 2e partie, qui était normativement
la plus lourde car consacrée aux fondements de la Communauté. ⇒ des
marchandfises = LC la + imP
• Adj Traité de lisbonne, isnère dans la 3e partie du TFUE qui triate des π & actions
internes de l’union.

• Au sein de cette 3e partie, 1 nvl subdivision.


I) Qui traite du M°I & 1 titre II) Qui traite de la LC des marchandises.

• Ainsi le Traité de Lisbonne distingue le M°I de la LC des marchadises ⇒ celles-ci


étant traitées de la même manière que le M°I.
• Le M°I est déconnecté de la seule LC des marchandises & prend 1 dimension
matérielle + imP que celle réduite de la LC des marchandises.

• Toutefois, lecture des traités = montrent davanateg le côté éco & douanier de la LC
des marchandises.
En effet, art. 28 du TFUE précise que : « l’Union comprend une union douanière
qui s’étend à l’ensemble des échanges de marchandises & qui comportent
l’interdicition entre les EM des droits de douane à l’importation & à l’exportation &
de toutes taxes d’effet équivalent ainsi qu el’adoption d’1 tarif douanier commun
dans leus relations avec les Etats tiers. »

pose l’interdiction des restrictions quantitatives entre les EM.


• Ce dispositif spécifique relatif à la LCM & à l’union douanière lève l’ambiguité en ce
qui concerne le rôle & la place de la LCM.
En effet, l’élimination progressive des entraves à la LCM est 1élement constitutif de
l’union douanière. Cette union douanière présente 1 caractère général en ce qui
concerne la LCM & vise tous les produits (sauf produits illégaux : armes) &
progressiveM va inclure d’autres produits qui relèvent davanatge d’1 π commune
comme c’est le cas de la PAC.

• Ce pend de l’union douanière & LC n’est pas le seul dans les traités = de nbr
dispositions des traités ont des incidences directes sur cette liberté (les entraves,
restrictions de nature fiscale).

• Quand bien même ses mesures entre ds le cas de la π fiscale dans le cadre de
l’union = peuvent avoir 1 incidence sur la LCM.

• En est de même de la ? du rapprochement des législation lorsqu’il s’agit de


rapprocher les législations nationales dont la disparité à 1 incidence sur la LCM
( exerce compétence normaitve art. 144 TFUE rapprochement des législations
nationales = incidence sur le Bon fonctionnement du M°I)
• 1 LC qui permttra de penser ≠ement l’union douanière.
Quel est selon la CJ la place de la LCM au sein du M°I ?
• pour la cj dès le départ la LCM constitute 1 principe fondamental du traité →
qualifie la LCM. / ou de liberté fondamentale garantie par le traité en ce qui
cocnerne la LC. = vocab qui prête à l’ambiguité.

Dans le cadre de l’établissement du M°I.


• Cette qualification de la LC/ rendu possible psk CJ estime qu’en raison de la place
que lui accorder les traités la LCM se trouve au fond ,???de la
• Cette LC est associée au principe général = de liberté de transit des marchandises
àl’intérieur de l’union = approche liébrale de la circulation = « Laissez circuler » =
principe qui est d’applicabilité directe & qui engendre des droits aux profits des
particuliers que les juridictions nationales ont l’obligation de sauvagearder. Même
en l’absence d’une harmonisation préalable des législations nationales.
La CJ interprête donc l’interdiction d’entraves & principe général de circulation
comme imposant aux Etats de gêler des situations ?????????

• Cette LC repose sur la Clause du Stand Still ⇒ au moment de l’entrée en vigueur


du Traité de Rome = maintenir le statu quo pas le modifier ; en attendant d’éliminer
les barrières progressives = s’abtenir de rajouter de novuelles entraves = pas de
modification. = de maintenir.

• L’adhésion de l’UE = entraîne 1 clause de Stand Still.

2) Le champ d’application de la LCM :


2. Mais aussi par rapport à son champ d’application

L’interdiction de principe d’entrave à la LC des marchandises

quand on parle de chalp dappliation = On vise à 1 matière déterminée cad on affirme sa


vocation d’appliquer cette règle à 1 domaine ou à le régir.

La notion de champd d’applciation concerne le domaien d’application de la loi tant dans sa


dimension territoriale & dimension substantielle (l’ensemble des amtières, des persones)
auxquel s’applique 1 règle juriduque mais aussi son application dans ??

art 28. du TFUE pose 2 critères : pour le champ d’application de la LCM


• Le marchandfises
1. Vise l ’ensemble des échanges des marchandises entre les ME tant à l’importation
quà l’exportation
2.
3. Vise le marchandises, tarifs douaniers communs, produits originaires des EM ou
qui se trouve en libre pratique.

Produits qui se trouvent en libre pratique : pas des produits d’EM mais produits
d’ETiers qui se trouve en libre pratique = des produits importés d’1 Etiers qui ont
respecté & payé le dt = régulièrement introduit dans le M°I après avoir effectué les
démarches douanières & leur mise en libre pratique signifie qu’ils sont assimilés
aux produits des EM & bénéficie du principe de LC. ⇒ Sa LC ne doit pas être
entravé = produits ??

Du respect des formalités douanières


⇒ Ces 2 critères définissent le champ d’application de la LC par rapport au territoire sur
lequel la LCM est amené à déployer ses effets. Mais aussi par rapport à son contenu cad
quels sont les produits, les bénéficiaires de cette LC.

- Le champ d’application territorial :

⇒ La LC des marchandises s’applique à l’intérieur de l’union douanière = sur l’ensemble


du territoire douanier de l’union.
Les territoires des EM qui font partis de cette union douanière qui se définit à l’intérieur par
rapport à l’absence d’entrave = l’abollition des dts de douanes / taxes d’effet équivalent +
& la pratique du tarif douanier commun).

territoire douanier commun se caractérise par rapport à l’existence d’1 tarif douanier
commun pour impottation venant de l’ext & absence de droit de douane à l’intérieur. ⇒
Logique douanière inérante à cet espace.

- Territoire douanier de l’union = qui figure à l’art 52. du TFUE & art. 355 du TFUE qui
précise quels sont les territoires exclus du champ d’application des traités = donc qui ne
font pas partis du territoire douanier. & des territoires pour lesquelles les EM exercent 1
relation extérieur qui ne font pas partie du territoire de l’union mai spour lesquelles ces
Etats ont accepté d’étendre le champ d‘d’application des traités.

Ce qui importe pour cette qualification en combinant :


• Art. 52 TUE & 355 du TFUE est « l’existence dun échange à l’intérieur de ce
territoire douanier commun ».

Quand on se trouve dans ce territoire douanier = dès qu’on a 1 échange territorial (càd 1
mvt) ⇒ La LCM s’applique.

⇒ L’élement territoriale de l’échange fait également préciser que sont exclus par
principe du champ d’appcation de la LCM qui ??? dans le cadre pûrement national
puisqu’il manque l’élement d’extranelité que caractérise la LCM.

• 1 faut 1 échaneg intra EU???mais sans que la LC s’applique = faut 1 élement pour
déclencher la LCM.

Des législations nationales pûremnt interne : pas 1 LC, tout se passe sur le ter° d’1 même
EM.
Va apprécier les effets potentiels de la législation nationale des échanges intraeuropéen.

- Arrêt Pistre, CJCE, 7/05/1997, Pistre, C-321/94 :

Faits :

législation française = interne = qui ne concerne que les fromalges issus d’1 certaine
région mais qui empêche les producteurs étranegrs d’obtenir ce label sous prétexte qu’ils
ne s’y trouvent pas.
La CJ = ne permet pas aux producteurs étrangers de suivre cette procédure ???

porte atteinte à la LCM

l’élément territorial n’est pas exclusif


14h50

sur la possiblité d’accéder au M°.

rglemntaiton nationale qui s’applique que sur les territoires nationaux


les effets de la législation nationale sur la potentialité d’1 échange intra-européen.

À cette appelation d’origine

Guimont croute

art. 355 du TFUE Gilbraltar territoire

§2 : Le champ d’application matériel (de la LCM) :

Conformément à l’art 28. du TFUE se définit par rapport aux échanges entre EM de l’UE
qu’il s’agisse d’importaiton / d’exportation ou de transit

• Selon, art 28. du TFUE la LCM s’applique tant de produits originels des EM ou des
produits en provenance de pays tiers qui se trouvent en libre pratique au sein de
l’UE.

• Sur le fondement de art 28. du TFUE se dégage 2 notions qui déterminent le


champ d’application de la LCM.
→ Notion d’échange
→ Notion de marchandises

• La notion d’échange : définit de manière étendue par la CJ pusiqu’elle a considéré


quelle tombe sur la qualificationd ‘échange qui déclenche la LCM, toute activité qui
se rattache à la LCM quelque ce soit la finalité professionnelle ou non de cette actv.

• Ex : Aller acheter en ALL 1 voiture polo d’occasion = la LCM ⇒ conetster mesure


contraire à la LCM.

- Arrêt 11/06/1987, Affaire 406/486 : Mesures de contrôler opérer sur 1 véhicule


d’occasion achété par 1 particulier.

Fait :

sujet de l’interdiction d’importation d’unpartifulie rpour ses beosins perosnnels de


médicaments azchétés dans 1 pharmacie d’1 autre EM.
La CJ ⇒ considère qu’il s’agit d’1 entrave à la LCM.

Cette LC cocnernait nons euelemnt le commerce professionnel mais également celui des
particuliers. (pas 1 vocation professionneelle économique pré)
• La LCM concerne particuliers & pro

- Marhcnaidses couvertes par cette LC :

• La notion de marchandises dans dispositions des traiiés = souvent définit par


rapport à d’autres ?? que sont les produits / les biens.
• Ainsi, la CJ avait adopté 1 définition extensible de la notion de marchandise. A
également considérée que cette notion s’appliquait aux produits qui sont
appréciables en argent & susceptibles de former l’objet de transaction commerciale.
Mais que le sproduits non appréciables en argent tombe également sous le coup
de la LCM.

• Notion de marchansie = sapplqiue à l’esenbmel des B de production ; de
consommation ; de loisirs tombe,t sous le cout de la LCM ⇒ les œuvres d’art ;
déchets & tout bie quelquil soit à condition que celui-ci présente 1 caractère légal.

• Question de savoir si le cannabis pouvait rentrer dans le champ d’application de la


LCM ⇒ La CJ avait jugée que le cannabis ne pouvait pas bénéficier de la LCM en
raison de son caractère illégal ?? certains EM.

• Mais dans 1 arrê tplus récent, 19/11/2020 : Dans le cadre d’1 question rpéjudicielle
introduire par la Cour d’appel d’Aix)en-Provence (FR) ⇒ La CJ s’est pronponcée en
faveur de la LC des produits CBD, cannabidiol à partir du moemnt oùm ces produits
léglament produits & commercalisés dans 1 autre EM mais subordonne cette
commercialisation à 1 double condition.

• → 1 fabrication exclusivement à partir de la plante de cannabis (et non pas de ses


seules fibres & graines)

→ La commercialisation de ses produits soit la seule possibile pour garantir l’objf de


la protection de la santé publique.
De même pour la circulation des armes pour ne pas détourner la LCM, d’autres finalités
étrangères ??? & donc du M°I.

- La notion de marchandise &également étendue au produit de provenance des Etiers. La


LCM bénéficie avant tout ??,est étendue aux produits de provenance d’Etiers qui se
trouve en libre pratique.

Libre pratique : dans formalité douanière = selon l’origine du tarif douanier commun ⇒
Principe de l’assimilation

Principe de l’assimilation :
Art 28 §2 sur le TFUe prévoit cette assimilation dans ce qui cocnerne dts de douane,s
taxes d, les restrictions qunztitves & mesures d’effets équivalente qui demeurent interdite
dans leur principe en ce qui concerne leur LC

L'Union comprend une union douanière qui s'étend à l'ensemble des échanges de
marchandises et qui comporte l'interdiction, entre les États membres, des droits de
douane à l'importation et à l'exportation et de toutes taxes d'effet équivalent, ainsi
que l'adoption d'un tarif douanier commun dans leurs relations avec les pays tiers.
Les dispositions de l'article 30 et du chapitre 3 du présent titre s'appliquent aux
produits qui sont originaires des États membres, ainsi qu'aux produits en
provenance de pays tiers qui se trouvent en libre pratique dans les États membres.

Chapitre 2 : L’interdiction de principe d’entrave à la LCM

- Cette interdiction de priuncipe résulte des dispositions des traités.


On les retrouve dans l’idée de la réalsiation de l’union douanière & cette union douanière
se réalise à teavers l’abolition des dts de douane taxe.

• Cette abolition prend sens par l’interdiction d’introduire des drroits de douanes qui
vont frapper la LCM.
• Réalisat° du M°I = accéder au M°.

⇒ Cette inrterdiction de principe se cocnrétise à la fois dans l’élimitionation des


entraves à caractère financier & des entraves à caractère non financier.

1) L’élimination des entraves à caractère financier :

- Caractère financier : Le droit de douane & taxes d’effet équivalent

• 1 droit de douane : Des charge spécunnaiires qui frappent les marchandises au


passage d’1 frontière.
• Entre les EM, les droit de douane interdit à l’importation comme à l’exportation

• Ces droits prennent la forme de dt spécifique en fdonction du poids, des mesures,


caractérisriques du produit, soit la forme de droit calculée de la V en douane du
produit.
• Cela entre dans le cadre de la π douanière fiscale de chaque Etat.

Dès 1957, Traité de Rome,


la Clause de Stand Still obligeait les EM à ne pas introduire de nvx dts de douanes & à
gêler des dts existants → art 12.

Clause stand stil impiosé par art 12. du traitée CEE (ancien traité) = reconnu principe
d’effet direct ⇒ dans arrêt Van Gend en Loos ⇒ dernier droit de douane demantelé = dan
sa cosnruction du M°I, les dts de douane sont facilement identifiables car se sont des
charges objectives inscrite dans des documents administratifs nationaux ??? & donc a
éliminer.

L’action de l’UE dans le cadre de l’union douanière se consacre exlcusiveM sur le volet
extérieur cad ur la précision .. ; des trafics & des contrefaçons.
Plus problématique, est la qualification des taxes d’effets équivalent à 1 dt de douane.
→ Les taxes d’effet equivalen tpeut être perçu à l’occasion de ≠ ???

et osn assimilation à 1 dt de douane pas si facile parce qu’elle rentre parfois en


concurrence avec d’autres notions telles que les redevances ou les impositions intérieures
(TVA) qui sont tout aussi des charges pécunniaires mais qui restent admissibles dans le
cadre du M°I.

Mesures d’effet equivalent à ?? participe passé

• La notion de taxe à 1 dt de douane : La CJ va prononcer 1 déf & ce dans arrêt de


199_62, Commission contre Luxembourg.

Dans cet arrete cj va définir la taxe d’effet équivalent comme 1 taxe quelque soit son
appelation & sa technique de perception dès lors qu’elle cosntitue 1 dt unilatéralment
imposé soit au moment de son importation, soit ultérieurement & qui frappe
spécifiquement 1 produit importé dans 1 EM à l’exclusion du produit national simillaire.
Cette taxe a pour résultat la même incidence qu’1 dt de douane sur la LC des produits
parce qu’elle altère son prix.

Dans cette déf , la CJ souligne le caractère discrimiantoire de la taxe d’effet = c’ad 1 taxe
qui s’applique à 1 produit importé & non pas aux produits nationaux.

1962 : Tentative de définition de la notion.

• Après la CJ va élargir cette déf en se fondant sur l’objf même de la suppressiond es


taxes d’effet équivalent qui est noin seuelment d’éviter les discirminations entre
produits étrangers & produits naitonaux mais également de fr disparaître toutes les
législations susceptibles de faire obstacle aux importations.

- Arrêt 1969, Commission contre IT,

- La CJ va donner 1 nvl déf de la taxe d’effet équivalent.


• La taxe d’effet équivalent : Est 1 charge pécunnairie quelque soit sont mntant,
elle est unilatéralement imposée quelque soit son appelation & sa technique & elle
frappe les marchandises nationales mais aussi les marchandises étrangères parce
qu’elles franchissent 1 frontière lorsque cette charge pécunnaire n’est pas 1 dt de
douane proprement dit.

• Indiffernert que cette charge soit perçue au profit de l’Etat , ni … 1 effet


protecteur ???.

Cette définition fait entrer dans la notion de taxe d’effet équivalent ⇒ 1 élément objectif
= Cette taxe est générée au moment où le produit franchit 1 frontière douanière (= d’1
Etat vers 1 autre), à l’exportation ou à l’importation ?

Taxe d’effet que = objectif = : finalité générée ????


1 qualificaiton objefcective de la taxe d’effet équivalent

- La CJ adopte 1 position neutre, objective = ???? car ⇒ 1 précision

• Taxe d’effet équivalent : est 1 charge pécunniaire percu en raison du


franchissement dune frontière en raison technique ?? sont complètement
indifférents, touche produits nationaux ou en provenance de d’autres EM ?
• Indépendamment d ????
• fait générateur de la taxe= franchissement de la frontière
• 1993 : fin des contrôles étatiques
• étrieur ??? ou de la transformation du produit mais que son origine n’est pas la
commercialisation ni la transformation
• le process de commrcialisaiton ? Quel moment de la vie de la comemrcialsiation du
produit pourra justifier la perception de cette taxe ??

- La CJ a également adopter 1 approche extensible de la notion de taxe d’effet équivalent :

frontières douanières = frontières interrégionales ou inter étatique

- Arrêt, 16/07/1992, Legros :


Lambri octroi de mer perçus ???

1 frontière douanière & depuis 2004 décision du Conseil qui avait acté l’existence de ce
régime exceptionneL
particularité insulaire = 1 régime dérogatoire autorisé ?? autorisé ?? = les DOM-TOM

- Arrêt frontière douanière île de jersey :

- Arrêt 2004 de la CJUE taxation du transport de marbre :

⇒ Objf d’unicité du territoire douanier de l’union.

• L’interdiction des taxes d’effet équivalent s’explique par l’imépratif de suppression


de toutes entraves à la LCM qui résulte des charges pécunnaires appliquées en
raison du franchissement des frontières ?? artificlelement le prix des marchandises
importées ou exportées.
• Simple taxation du déplacement de la circulation qui va être sanctionné au sein du
M°I.

En raison de ces définitons, taxes d’effets équivalent rentre en concu avec d’autres
charges ?????? se greffé sur les marchandises : redecevances, impositions intérieures.

Taxe d’effet équivalent par rapport aux redevances : pas de justification à leur maintien
la seule possibilité pour 1 Etat est d’introduire 1 charge pécunnaire dès lors que celle-ci
peut être qualifié de redevance.

En raison de la tangibilité, la CJ a été très prudente lorsqu’elel s’est prononcée en faveur


de cette possibilité car émis « qu’il n’téiat pas exlcu, 1 S determiné effectivement rendu
puisse faire l’objet d’1 éventuelle contrepartie proportionnée aux ???? »

La CJ 1 charge fiancière mais qui ne porte pas sur la mahandise mais qui entoure sa LC
La redevance : Ne vise pas le franchissement d’1 frontière qui est à l’origine de la taxe,
mais la contrepartie d’1 opération ???

redevance prestation de S qui se greffe sur le produit, 1 act° annexe à la LC = 1 actv de


transport / conditionnement / de contrôle. Mais faut que son montant soit fonction de S
effectuyé & non pas de la marchandise elle même
- La CJ a dégagé 4 conditions cumultatives qui sont d’interprétation stricte pour pvr
qualifier 1 charge pécunnaire d’1 redevance :

1. Le S en question doit offrir à l’opérateur économique 1 avanateg effectif = le


montant de la redevance doit être fonction de la prestation effectuée & non pas
du volume, du poids, ou de la valeur de la marchandise. = déconnexion entre S
rendu & caractéristique intrinsèque de la marchandise.

2. L’avantage doit être personnel ⇒ Le S doit profiter spécifiqueM & exclusivement à


la personne qui le rémunère.
Ex : Les contrôles sanitaires qui sont opérés par des opérateurs privés & qui
percervaient 1 taxe de l’État & cette taxe ne profitaient pas à l’opérateur privé qui
faisait crtl mais au nom de la collectivité , ?? pour lequel le contrôle était ??

3. Le S doit être facultatif. ⇒

4. La rémunération du S doit être proportionnée à son coût réel.

Conclusion : Les dts de douane & taxes d’effet équivalement interdits de manière
aboslue. Les redevances & les impositions intérieures.

• Les impositions intérieures. : 1 chargé pécunnairie qui entre dans le système


d’imposition national & qui frappe tant les produits importés que les produits
nationaux.
• Cette imposition frappe tous les produits au même stade de commercialisation sur
la base de critères objectifs indépendamment de leur origine. (TVA) déterminée
en fonction des critère = taxes qui porte sur la V d’1 B ou d’1 S

• Les dts d’axises ? Dts qu’ona cquite pour accéder à la consomamtion de certains
produits. Taxe perçu sur le commerce de certain produits sur 1 territoire

⇒ Les dts dt daxises à la ≠ de la TVA = porte sur 1 qté et non pas sur 1 V.
Ex : Commerce d’alcool dt d’axises
- Les Etats = grande marge de manœuvre en matière fiscale = cette imposition intérieure
peut constituer des prétextes pour taxer les produits importés.

Pour cela que les impsoitions intérieures ne sont comaptbiles avec le M°I qu’à certaines
conditions : sont itnerdites
• Interdiction des mesures fiscales discriminatoires = au terme de l’art 110. alinéa 1
du TFUE : « Les Etats sont interdits d’imposer directeM ou indirecteM les produits
des autres EM de manière plus importante quer celle que les taxes qui frappent les
produits nationaux similaires.

- 2 critères pour démontrer caractère discriminatoire :


1. Les produits nationaux & importés doivent être similaires. ⇒ cad présenter au
regard du consommateur des propriétés analogues & doivent répondre aux mêmes
besoin.
Ex : mar de vin & ??? =des alcools forts & cigarettes brunes & blondes.
2. Créer 1 désavantage financier qui se répercute sur le prix de la commercialisation
ou bien 1 imposition ≠ plus importante notamment ce qui concerne le critère de
cette imposition.

⇒ Art 110, alinéa 2 du TFUE : « interdit au EM de maintenir ou d’adopter des


mesures fiscales protectionnistes qui visent à protéger la production nationale
directement ou indirectement. Cette interdiction est mobilisée lorsqu’il n’y a pas de
marchandises similaires produites dans le pays d’importation mais que la
marchandise importée entre ds 1 rapport de concurrence avec le produit national.

- Art 110, alinéa 2 du TFUE : Pose également 2 conditions :


1. Doit exister entre 1 pays national & étranger.

2. L’imposition doit avoir 1 effet protecteur pour le produit national.

Le rapport de concurrence s’apprécie en fonction de l’État actuel du M°, ses évolutions


futures & les habitudes des consommateurs ainsi que les produits pouvant constituer 1
alternative possible. Et l’effet protecteur résulte essentiellement de la représentation des
produits importés en tant que catégorie plus lourdement taxée.

Système de protectionnisme sur le M° national.

Distinction w/ effet équivalent reste le fait générateur = tant que franchisment d’1 frontière
intérieure = 1 taxe d’effet équivalent

& voir l’objet du prélèvement.

La taxe d’effet équivalent frappe les produits importés, mais aussi les produits nationaux
qui sont exportés & la taxe d’effet équivalent ne peux pas être rattaché ni à la catégorie de
redevance, ni aux impositions intérieures ;

récupération des sommes indûmment perçues.

17/10/23 :

§3. LA ? De la récupération des somme sinduments percus

- Il peut arriver qu’1 opérateur économique paye 1 taxe = donc il conteste la légalité & que
cette taxe effectivement sera déclaré contraire à la LCM parce qu’elle est assimilé ) 1 dt
de douane ou 1 taxe d’effet équivalent.

- Ds ces codnitions nous avons 1 opérateur éco qui ets laisé & le dt de l’UE lui confère
dans cette situation, 1 dt à récupérer les sommes indûmment perçues nommé en T
juridique « la répétition de l’indu » (ce qui n’a pas été du)

La répétition de l’indu se définit = comme la réclamation de ce qui a été versé sans ê du &
eu égard à l’interdiction de principe de ne pas maintenir les dt de douanes ou des taxes
d’effet équivalent ; le dt d’obtenir le remboursement est consdiéré comme la csq & le
complément comme 1 complément des dts conférés aux particuliers au titre de cette
interdiction.
C’est ce qui résulte d’1 arrêt de la CJ du 21/09/2000 : Affaires jointes C441/98 & C-
442/98 : Affaire Michaïlidis.
• Dans cette arrêt la CJ a explicitement fondé le dt à la récupération des sommes
indument poerçues sur l’interdiction de principe d’introduire ou de maintenir des dts
de douanes / des taxes d’effet éauivalent pouant aller jusqu’à l’interdiction des
mesures fiscales discriminatoires voire protectionnistes.

- Comment ce dt sera-t-il mis en œuvre ?


• 1 des particularités du dt de l’UE que l’on retrouve dans tous les domaines du dt de
l’union.
• Dt du remboursement = qui trouve son fondement dans les traités = En raison de la
posture du dt intégrée = ce dt s’exerce selon les modalités procédurales
nationales. = on va introduire 1 action en justice comme s’il s’agissait d’1 action
introduire sur le fondement du dt national. = logique du dt de l’UE & csq du principe
de primauté & d’effet direct ce qu’on appelle l’autonomie procédurale des EM.càd
le dt de l’union concerne des particuliers, leurs confères 1 dt ?? des ce sindus &
aux E de le mettre en œuvre selon
• le dt de l’union ‘nexige pas par prinicpe la création ?????; ni des jurdictions
spécialisées aux questions EU ; ni l’évolution des instiutitons nationales (afin que
celle ci applique exlcusivement le dt de l’union).

l’autonomie institutionnelle & procédurale (9h31)


Pas si facile à mettre en palce

- YO 1976, La CJ dans l’Arrêt Rewe & Comet


• Dans cette arrêt CJ a précisé exactement quels sont les obligations qui pèsent sur
les E lorsqu’ils s’agit d’1 action en répétion de l’indu
• La Cour précise ainsi que les E sur le fondement du dt de l’UE se trouve dans 1
oblugation de rembourser & que les modalités de ce remboursement restent
librement déterminées par chacun d’entre eux ???.
• Ainsi , la CJ indique dans cette arrêt : « Quand l’absence de réglementation
communautaire en la matière, il appartient à lO juridique intenre de désigner les
juridictions compétentes & de régler les modélaité sprocédurales de recours en
justice destinées à assurer la sauvegarde des dts que les particuliers tirent de
l’effet direct du dt de l’UE. » ⇒ le dt de ne pas ê assuejeti à 1 taxe contraire au dt
de lunuon ??

• autonomie procedurale dont benefie les EM pour déf le régime juridique : des
actions en répétion de l’indu (la repetition de l’idni) n’est cpdt pas absolue pusique
les juridictions nationales doivent respecter les principes d’équivalences &
d’effectivités.
• Cela signifie,
• il ne faut pas que les règles procédurales nationales soient ≠ pour les actions
fodnées sur le fondement du dt de l’EU & celles intentées sur le fondement du dt
national ⇒ 1 égalité de traitement procédurale = « les mêmes modalités & non
modalités ≠ ».

• CJ va plus loin dans principe deffectivité:= ???? encore fuat-il que ces règles ne
rendent pas excessivement difficile voire pratiqueM impossible l’action en répétion
de l’indu fondée sur le dt de l’UE.
⇒ CJ va loin ⇒ dt de l’UE = 1 dt intégré a le statut du dt naitonala mais c 1 dt
autonome dont il faudra presevrer leffectivte = 1 logique spécifique
• sur le fondement de la primauté que la CJ justifie le principe d’effectivité.

• Thx principe d’effectivité que la CJ va modifier le stattut du dt UE & ft évoluer le dt


national.
• Jurisprudence très précise

Arrêt saint giorgio, 1971 : 1983 ???


• Ds cet arrêt CJ a condamné = de procédure négative ????

Faits : entrep a payé taxe ?????& aD fiscale IT subordoné le remboursement de cette


taxe à la preuve apportée par l’opérateur éco qui n’a pas répercuté la taxe ds le prix final
du produit commercialisé auprès des consommateurs. =
Donc cette exigence de la legislation de la reglementation IT =

la CJ saisi a titre prejudicielle = 1 modalité procédurale diffidile qui rendait l’exercice de


laction en repetion de l’indu difficile voire imposible car dissaudé l’opérateur économique
de l’exercer.

CJ au titre du principe d’effectivité = que ces preuves, ? rendait excessivement difficle


voire impossible lexercice d’1 action en répétition ???

1 mdoalité procédurale de preuve = empêcher opérateur eco de se prevaleur de son dt à


la repetition
1 ex, de comment 1 modalité nationale qui a priori ne cree pas de discrimination = peut
avoir 1 effet dissuasif sur opérateur éco en raison du ??? au regard de cette action.

législation IT =

parfois attaquer les délais nationaux : délais procédurale nationaux = pour que l’opérateur
éco puisse introduire 1 action en justice

- Quel est in fine l’î cette règlementation nationale ?de cette jurisprudence / de cette règle
procédurale
• ?? qui peut peser sur operateur
• de ne pas favoriser / éviter l’enrichissement sans cause. = car soit déjà repercuté
dans 1 certaine mesure donc eja refund ; soit par aD = exerce 1 action en répétition

⇒ C’est pour cela, pas simplement 1 ? procédurale, 1 situation complexe d’1 pdv éco.
Motnant svt ouléve ds les affaires & en fonction de la configuration éco soit le montant est
intégralement remboursée ; soit partiellement remboursé ; soit pas de remboursement (car
récupéré par d’autres moyens ou mesures fiscales plus légères) = 1 analyse d’ensemble
de la règlementation fiscale / douanière nationale & commerciale.

⇒ 1 ? de fait = sera au juge nationale en fonction des caractéristiques de chaque espèce


(cas) = de fr 1 appréciation ???
art 19 TFUE les EM ont 1 obligation d’introudire des voies recours effectifs pour les actions
fondées ?? sur le dt de l’UE.

Arrêt Comatheb, 14/01/1997 Aff C92 à C218/95 :


dans cet arret la CJ avait admis q1 EM puisse sopposer à 1 tel refund sil apaprait que
loperateur éco a effectivement repercuté les taxes sur d’autres sujets & dc la plupart des
cas le consommateur = il incombe à la juridiction nationale qui doit vérifier si charge
transférée en tout ou en partie.

Arêt rewe & come= sujet de la législation IT en ce qui concerne les délais de prescriptons
des actions c’est-à-dire la recevabilité des actions = lorsque c delai trop court = les
operateurs éco nont pas 1 delai raisonnable pour réclamer le remboursement des taxes
indumment perçues ⇒ La CJ & pose le standard de délai raisonable sans pour autant le
définir (5mois ?; 2 mois??) par rapport à l’opérateur économique normalement invevrti. (ne
doit pas que l’ignorance joue en son profit)

La CJ également prononcé sous égide de principe d’effectivité au sujet des coûts de


procédures excessifs qui avaient été introduits par le RU.

Est-ce que l’opérateur éco peut intenter cette action ou non ?


• Seule limite au remboursement ⇒ L’enrichissement sans cause.
CJ dit que enrichissent sans cause peut jouer sur le montant de la répartition / du
montanr eembourse = soit total ; partielle ou pas de remboursement.

Elimiantion entraves à caractère financiers

- L’élimination des entraves à caractère non financier

Dans art. 34/45 du TFUE ⇒ interdise les RQ & mesures d’effets équivalent à celle-ci =
tant à l’importation qu’à l’exportation.

Pas de jsutifications pour ?? finaicères = aucunes justifications possibles (le caractère


objectif de cette taxe franchissement d’1 frontière/ a
ont pr objf réaliser M°I d’1 pdv éco &

- Art. 36 du TFUE (si vise exhausivité) ⇒ Prévoit des limites & des dérogations à ces
dérogations mais seulement ne ce qui concerne les entraves non-tarifaires. ⇒ Les RQ &
mesures d’effet equi ont pr objf de réaliser M°I dans sa globalité = pas 1 choix éco mais 1
π commerciale.

- 3 évolutions en ce qui cocnerne ce rpocessus d’élimiantion des entraves qualifiées de


Mesure deffet equivalent :
• tt dabd la CJ se fondant sur le principe de LC a adopté 1 approche large de
mesures d’effet équivalent dès lors que lon se trouve ds le cadre de la π éco &
cpmemficale des EM.

• Cette extension du champ d’application de la notion des mesures d’effets


équivalnet a eu pr csq dans 1 2e tps = l’extension des justifications que les EM
peuvent invoquer pour faire échec à la qualification de mesures d’effet équivalent.
⇒ La , ? qui s epose ici = est de trouver le juste équilibre netre la promotion à tout
prix de la LC & rôle de protection que doit exercer l’E sur son propre territoire,
notamment au titre de principe de précaution.
L’extension du champ d application des entraves non-tarifaires / 1 meersure deffet equi
s’accompagne de l’extension des justifications que les E peuvent invoquer pour justifier la
restriction à la LC & c’est la CJ qui va dvpt 1 jurisprudence très fournie en ce qui concerne
l’équilibre à trouver entre la promotion de l’î de la LC & de l’î national au titre du principe
de proportionnalite = va utiliser le principe de proporitionnalité.= la restriction est-elle
jsutifie / ets ce que la mesure nationale poursuit 1 objf d’î général (proetction snaté, conso,
enviR, santé publique, ordre î), est ce que la mesure est proportionnée = est ce quelle est
aquedate & strictmenrt necessaire au trouble quelle intend empêcher = examne CJ au cas
par cas.

Les mesures qui comprote des restrictions à la LCM = tjr des mesures concrètes.

- Cette évolution exponentielle du champ d’application des mesure sdeffet equi a des RQ
& correlativement l’etension des justificaitons que les E peuven tinvoquer s’explique par
l’intégration éco de + en + poussé dans le cadre du M°I & en m^ tps par législation
nationale de + en + disparate & nécessité d’harmoniser = processus de l’harmonisation ⇒
c’est l’élaboration d’1 N commune qui va fixer des exigences communes en T de N de
commercialisation & de fabrication des produits.

En fonction des produits = des exiegnces communes = ne plus revendiquer des


divergences ds legislation natiolale & exigence d’1 harmonisation neutralise la possibilité
pur les E d’invoquer 1 justification.

- Les RQ & Mesures d’effet équivalent (MEERQ) & les justifications :

• RQ : 1 RQ ou des contingentements constiue 1 obstacle ds les échanges


commerciaux pusqui’il ont pour but de limiter le volume du commerce des
marchandises. = s’agit d’1 limitation quantitative qui entrvanet la LCM puisqu’au
dela du contigent l’importation ou l’exportation devient impossible.
• Outre le volume / quota, l’interdiction d’importer 1 cat de marchandises est
également considéré comme 1 RQ
• RQ qui prenent la forme de quota ou ont des motifs purement économiques =
disparu progressivement ds les échanges intraeuropéens = c’est restriction on été
au meme titre que les dts de douanes = ont facilement identifiales & ont été
rpaidement léiminé preque concomittament à la réalisation de l’union douanière.
• Les mesures qui s’apparent à 1 RQ de part leur effet vont occuper la plupart de la
jurisprudence de la CJ psq sont moisn faciles à identifier.

MEERQ :
• La mesure d’effet équivalent est 1 mesure qui de part ses effets produits /
enteainee,ntriane la meme csq sur le volume de la commercialisaton des
marchandises mais qui ne formule pas en tant que telle 1 quota ou 1
contingentement = Il faut rechercher dans ses effets si ne produit pas la même
restriction que lorsqu’elle posera clairement 1 quota / ou 1 contingelentemnt.
• La def meddfet pas clairement défini dans les traités & on voit dans art. 34/45 du
TFUE qseulement l’approche fonctionnelle de la mesure dreffet euqivalent = ses
effets sapparante à 1 RQ = thx CJ que la notion de mesures d’effet equi va ê
précisé & ce dans l’Arrêt 1974, Dassonville.

Dans cet arrêt,


• CJ déf la MEERQ comme : « Toute reglementaiton commerciale des E susceptibles
d’entraver directment ou indirecment, actuellemen tou potentionnelemnt le
commerce intracommunautaire. »
• déf très large = aprpéhende la majorité des reglementatiosn éco & comemricales
des EM.
• Cette jurisprudence / def jurisprudentielle se justifie par 1 libéralisme excessif au
profit LCM.

- CJ poursuit 1 double objf :


• Tt d’aB, Neutraliser les reglementations éco & commerciales des EM au profit de
l’activité économique pv & ensuite donner sens à l’interdiction formuler à art. 34 du
TFUE à l’égard des E c’est-à-dire l’interdiciton de créer des RQ & des mesures
d’effet équivalent.
• Les obliagtions qui pèsent sur les E pour permettre cette réalisation. ???????

• CJ nous dit que ceux qu’ils sont vises = la susalification donnée dans Arrêt
Dassonville, 1974, précise dans cette déf le type de mesures nationales qui
peuvent tomber sous le coup de la notion de MEERQ & surtout ces mesures ont 1
effet restrictif aux échanges. & que cette effet restrictif qui permet de la qualifier de
mesures d’effet équivalent.

- Toutes les mesures qui pevuent ê imputées soit à l’E ; soit aux colelctivités locales ; soit
à des perosnens morales de dt public ; soit à 1 organisme de dt pv disposant d’1
prérogative de???P = tjr 1 imputabilité à l’E.

- Formes de la mesure :
• 1 MEERQ peut résulter d’1 N legislative, adminsitraitve
• peut ne pas ê obliagtorie & avoir 1 forme purement incitative
ex : Commisison contre IR 1982, bay irish = cj a condamne IR pur avoir financé 1
campagne de publcites enteprises par organismes pv & slogan « buy Irish » =
action des entrep pv mais financé ?? par l’E = pas E à l’origine de cette publicité
mais y a pariticpé en donnant les fonds.

- Paefois 1 MEERQ peut résulter d’1 action d’1 personne pv = Arrêt 1997, Commission
contre FR = Affaire dites de la G des fraises : à l’imoprtation des fraises d’ESP = FR
importés d’ESP
• producteurs FR dommages aux agriC ESP = destruction marhcandies importés =
recorus en manquement = manquement constaté en FR sur le fondement de art. 34
du TFUE = E n’a rien ft = la restriction à l’importaiton est 1 acte d’origine pûrement
pv = ce que CJ a retneu c que E s’est abtenu d’agir, dagir & dapoter les mesures
approprié pour fr cesser ces torubles à l’O public & police adminitrattive = le
rattachjement à l’E ets lié non pas d’1 action + (N??) mais de son inaction.

Abstention qualfiée = pas jsutifie

YO ??? = rôelt rs en retrait de l’E = modif fonction & rôle de l’em sur relaiton du M°I

Affaire, Schuintberger, 12/06/2003 : affaire autrichienne

- Faits : 1 manif’ d’eoclogiste sr 1 autor autirchi reliant ALL à l’IT & cette manif’ a blqoué
ciruclaion pdt 30h = le transporteur ALL transprotant marchandises perissables (produtios
frais) a attaqué l’autriche sur le fondement de art. 34 du TFUE 1 violation de la prohibiton
des MEERQ
CJ a qualifiéds cet arrêt de merers= labstention des autorités autrichiennes qui ‘nont pas
empêché le blocage des camions entre ALL & IT.
• ⇒ L’autriche a manqué à son obligation de fr respecetr sur son propre territoire le
principe de LCM. = aurait du agir. = fondamental dans traités

Dans cet arrêt, La qualification de MEERQ de cette abstention, a dans cett arret a été en
recvanche justifié au titre du respet d’1 dt fondamental, lib fondamentale = dt / liB de
manifester = mais également fondamental dans les traités
• 1 abstention qualifiée = E a autorisé cette manif’.
• Oppose dava,ateg nin pas mesure nationale mais comment E régule les liB
fondamentales sur son terri’.

Dans arrêt Omega, liberté et libre perestation du S garantie par les teaités & utre côte ???
la dignité humaine

encore faut-il que cette inaction / mesures produisent 1 effet restrictif aux échanges

2e condition : La CJ va adopter 1 approche très large de ce qu’est 1 effet restrictif aux


échanges = il faut 1 effetr etsricitif qu’il soi tminime ou imP, de façon sensible ou pas sur
les échanges intrzeuroppénes. = pour CJ cela est in≠ de la m^manière il est in≠ que la ??
soit actuelle ; potentielle & que le prejudice qui en reuslte soit acutelle ou potentielle, il en
est de même s’agissant du caractère indirect o indirect de ?? & complètement in≠ à ce
que l’entrave soit discriminatoire ou protectrice.

Déf dans Arrêt dassonville, 1974 ⇒ S’applique indistinctement aux marchandises


nationales & à celles de provenance d’autres E(??M).

La seule limite dans la qualification d’1 mesure d’effet équivalent m^ si la mesure


comporte 1 effet restrictif reste le champ d’application de la LCM.

La mesure peut avoir 1 effet restrictif au regard de la jurisprudence de la cour = mais cet
effet retsrictif est sans effet car ne concerne que des situations pûrement internes.
• Seule limite à cette extension large de la qualification de MEERQ & des
justifications = le champ d’paplciaiton teritoriale de la LCM = il faut 1 situation
présentant 1 élément d’etxrenatilite, la mesure d’effet équivalent ??? puremlnt
interne.

Arrêt Pistres & ??: la CJ va rechercher si potentiellemet sous pretetxe quon est sistuaiton
purement que cette mesure presnete de part ses effets 1 élément d’extrenlaite c’est-à-dire
quelle à vocation par principe à s’appliquer dans 1 situation intranationale.
⇒ CJ va vérifier si legsialtion reglemantion nationale a vocation à s’appliquer dans
1 cadre extraterritorial ? Ne s elimite pas ?? pûrement interne soumis????.

La MEERQ peut discriminer 1 discrimination à rebours dans situation pûrement interne &
échapper à la contestation de sa légalité au regard de la LCM.

A partir Yo 1969 au moement de la ralisaiton de luinon douanière jusqua YO 2000. =


exclusivement sur la LCM.
Son attention sur les MEERQ é peuvent toucher commercialsier ; fabrication = 1 effet
restrictif aux échanges.

1 effort ???? dès 1970 par la Commission & déf libérale & avait introduit 1 élément de
discirmination = élément discrimiantoire tant de manière directe ou indirecte.
• Déf propsoé par Commission par retenu par CJ pour laquelle le critère discriminiant
ou pas n’est pas décisif.
• L’apport de la jurisprudence qui étend le champd ‘apmicaiton des MEERQ non
suelement à l’importation (ilprotaiton de produtis en provenance d’EM sur le terri’
national) mais aussi son apport était de retenir la qualificaiton de mEERQ lorsqu’il
s’agit d’1 opération d’exportation.

Arrêt Groenveld,1979 :
Fits : Volonté d’1 fabriquant néerlandais d’invetir & de sourvrir dans l’actv de fabricaiton de
charcutertie à destination d’EM lorsqu’il s’agissait de l’utilisation de la viande de cheval.
La réglementation néerlandaise reposait sur l’interdiction ou sur l’établissement d’1
certificat démontrant que la fabrication de charcuterie ne contenait pas de viande
chevaline & négociant à ft l’obbj d’1 refus de la part de l’aD néerlandaise = reglmeentaiton
qu’il conteste devant les jurdiictions néeerlandaise, notamment l’interdicton de détenir en
stock + de transformer de la viande d cheval surtout lorsqu’il s’agit d’1 actv d’exportation.

- Dans cet affaire = CJ avait retenu l’application de l’interdiction des MEERQ mais a
posé 1 condition = il faut que cette mesure s’applique indistinctement aux produits
destinés à l’exportaiton & produits commercialsiés à l’intérieur de l’EM concerné / M°
national de l’EM cocnerne = sitelle est le ca s= mesure pas incomapgne w/ M°I ≠ si
s’apliqu e≠ement = il y a 1 entrave à l’edportation car à 1 effet proctetioniste du M°
nationale vis-àv-si du M° extereiru.

• CJ a retenu 1 MEERQ à l’exportation à condition qu’elle en s’applique pas


différement. CJ ne retient pas à MEERQ à l’exportation.

A permis à la CJ de dresser 1 bilan & opérer 1 typologie des mesures qui sont
considérées comme des mesures d’effets équivalent.
Concerné par cette qualifciatio,n
• Les mesures applciables uniquement aux amrchandises étrangères cad aux
produits importés (venant du M° extérieur) ⇒ laccomplsisment de formalité
particulière d’importaiton
ex : les contrôles sanitaires/techniques qui retardent l’acquisition du produit / Aff
Dassonsville, 1974 au sujet de la législation belge qui impoaient à l’imprtateur de
whisky e fournis en FR d’obtenir 1 certificat d’authenticité de la part de
l’amdinisutartion douanière britannique ??
• ??? les dispositions des reglmentaitosn douanières qui imposent des contriantes
excessives aux importateurs ou exportateurs comme la limitation des points
d’entrées ou des horaires d’ouvertures des pts de contrôle douanier.

• 2e catégorie de mesure : les mesures uniquement applicables aux produits


nationaux. =mesures qui ont 1 effet pro = ca rocnfere des avantages spécifiques à
la production nationale

• Ex : Aff Commission contre IR, 1982 au sujet de l’Aff « Buy Irish » soutneu
financièrement publcités des organismes vpvs pour inciter à l’achat de
amrchandises produites en IR.
3e catégorie de mesure :
• Mesures qui s’appliquent de manière différenciée au xproduits importés & produits
nationaux.

• Ex : Aff Commisison ocntre Fr, au sujet des publicités des alcools. Les alcools
produits à bse de fruits comme le vin ont 1 grande capacité publicitaire tandis que
alcools de grains (whisky, Gin) ont 1 faible capacité publicitaire.
• Dans cet aff, CJ confirme suil sagit d’1 discrimination indirecte. = car favorise vin
produits ren FR alors que autre alcools produits dans autre E.

4e catégorie :
• Aff Groenveld, 1979 ⇒ Les mesures qui sont indistinctement applicables = ces
mesures régissent la fabrication & comemrcialisaiton des marchandises nationales
& les marchandises importées par essence des mesures non dsicrimiantoires.
• Leu rqualification de mesures d’effet équivalent n’a été retenu que tardivement
dans Arrêt Cassis de Dijon, 1979.
• Sur le fondement de cet arrêt ⇒ CJ a ainsi consolider son approche libérale & a pu
aisni sanctionenr les EM au titre de l’interdiction de mesures d’effet équivalent, de
nbr mesures nationales lorsque cellesc-ci concernaient la fabrication &
comemricalsiaiton des marchandises.
• Cette situation a eu 1 effet négatif = explosion du contentieux devant CJ car totue
reglmeentaiton susceptible de comporter 1 MEERQ & 1 contestation de + en +
forte du rôle de la CJ de la part des EM.
• Evolutoon de la jurisprudence : Après 20 an d’1 jurisprudence libérale conduit la CJ
a préciser sa position initiale & revenir sur 1 interprétation plus consensuelle de la
qualification de MEERQ.
• princiupe de reonnaissance mutuelle

L’arrêtet qui pose prémisse approche libérale := qui étend l’interdiitvon de meerq à totues
mesurs nationales y compris indinstement imoputbale = Aff Cassis de Dijon, 1979.
Faits : implicationde la législaiton all, plsu de 25 % d’alcool = loi applciable au alcool ALL &
alcool etartnegrs & ne comportait aucun caraK discrimiantoire. = mesure sur produits ALL
& reste EM.

Producteur FR quand bien meme pas discriminé avait considere que cette legislation ALL
uqi portait 1 prejudice notamment par l’interdiction de commercialiser son alcool sous le
titre de ‘spirituex’ et pour fabriquant casiss de Dijon s’agissait d’1 entrave à la LCM.

CJ av opérer 1 raisonnement :
1. CJ rappelle que l’absence d’1 harmonision des législations des legislaitons
nationales (cad disparité entre législations nationales n’est pas 1 entrave à la
LCM) n’empêchent pas la LCM dès lors qu’il s’agit d’1 produit légalement fabriqué
conmmercialisé ds 1 EM conformémemnt à la reglementaiton & tradition nationale
de cette EM.

2. CJ admet au’ne l’absence d’harmonisation que les E restent libres pour établir
certaine restrictions aux échanges lorsque ces restrictions répond de manière
proportionnée ≡ exigence impérative d’î général. Comme en l’espèce ALL = la
protection des consomateurs & leur santé publique.
Dans laff cassis = quand esure a effet restrictif fmais justifie par 1 exiegnce ?? repodn au
crtl de protportion,alit e : n’est pas 1 mesure d’effet équivalent mais pour cela i faut 2
conditons

disparité en legisaltion absence dhamonisation & la mesure nationale indistintmeent


applicable

• Mais en revance cete mesure peut ê qualifié de MEERQ psq quand bien même elle
s’aplque indistinteme,t elle a pour efeftd e favoriser les produits à fortes teneurs
alcoolique & tout particulièrement ceux produits en ALL. (CJ va loin dans analysé
des effets de cette législation nationale) (principe de proportionnalité)
• résulte que les mesures sindcitntement applicable comporte 1 ??? à 1 double
cod,nition mais la CJ dit qu’il faut 1 motif d’î général (protection coson) & si tel par le
cas CJ va de pencher sur effets sur ctete reglmeentation au regard des produits
nationaux.
• Pas 1 meerq = A la double condition & répond principe de proportionnalité.

⇒ 1 double déf de MEERQ 1974 & 1979 & englobe totues les mesures de π éco &
comemrciales???natioanls

A la suite de cette jurisprudence, 1 simple obstacle à la commercialisation ??,


Arrêt Cassis de Dijon va avoir des prolongements imP → 3 grandes catégories identifiées.
1. Vont ntrer dans la qualificaiton de MEERQ = les mesures économiques nationales
relatives au condition d’accès au M°, notamment posant des règles de
conditionen,emnt, compositon, ou étiquetage des produits (forme) = des mesures
indistinctement nationales entre produits nationaux & produits importés. = engendre
des couts supplémentaires pour se conformer augmentaiton du cotu des expor ou
import = limite donc els échanges ??? & producteurs nationaux obligé de le faire
car prévu au départ dans le processus de fabrication du produit.

Ex : Commission contre ALL, 1987, loi dites sur la pureté de la bière :


• Loi de 1512.
• Cette reglementation restreint ?? = Bière composé que de 4 ingrédients orge ; eau
alors que bières produite à l’étranger à partir d’autres ingrédients ne peuvent pas
être vendu en ALL sous l’appelation de bière ⇒ CJ condamne cette reglmentztion
quand bien mesur eidnsitinctemen tapplciable.

Affaire bRau,1982 : La reglementzion belge qui imposait pour la regementiton de la


margaarine sous la forme eclusiveme,nt cubique & empêchait comemrcialsié margarine

si d’autres EM voulait importés leur produits en belgique = si forme cubique = CJ


cosnidéré que generes des couts financiers > pour produtceurs étrangers & avait odn 1
effet dissuasif à la procédure à l’exportation.

- Ex : ,IT
• La législation IT / reglementatio IT sur la composition des pâtes ⇒ réservé
l’appelation « pâtes » sur son propre territoire à base de blé dur & non pas à base
de blé tendre.

- Ex : , FR, 1998 Foie Gras


• obligation pour la FR d’accepter des produits appelés Foie Gras
2e catégorie de mesures nationales : celles relatives au prix

s’agit de mesures nationales qui imposent 1 prix minimum ou maixmum pour 1


marchandise & que ces mesures sont indistinctement applicables suqleuqeosit
marchandises marchadnise snationales ou d’importations. ⇒ CJ considère comme des
MEERQ en raison du prix concurrentiel & de désavantage économique qui peu têtre
engendré pour les opérateurs économiques qui importent car transp a déjà 1 cout & si prix
trop bas = importeur, operauer éco est dissaudé d’importer & au contraire si prix trop élevé
= on neutralise l’avanatge concurentielle qui peut se créer sur le M°.

3e catégorie de mesures : relatives aux modalités de vente de marchandises


• Tous les procédés de vente comme concernant par ex, la fermeture des magasins
le dimanche, les publicités & mesure nationale qui réglementent la vente de
certains produits le (alcool, tabac, médoc) & concernent également des mesures
nationales qui?? monopole (en dehors tabc presse é médoc vendu dans officines
de pharmacies par le cas dasn d’autres EM)

- Si on applique jurisprudence Cassis de Dijon = ces modalités de vente entre également


dans la qualification de MEERQ & la CJ vient dans ce contexte contester les choix πs &
économiques des E (dans leu rπ éco, comemrcale,??) choix π de commercialisation &
d’économie

Dans sa jurisprudence Keck & Mithboaurd, 1993, CJ va exclure par principe les
réglementations nationales relatives aux modalités de vente.

24/10/23
évolution de la jurisoorudence de la CJ sur les modalités de vente

CJ a adopté 1 jurisprudence relativement libérale = mesures d’effet d’équivalent à la


fabrication, au prix, concernnat l’accès aux marchés des produits

1 explosion de contentieux ds la mesure où potentiellement toutes les législations


écononomiques nationales y compris celles qui sont parfois indistinctement applicable.
s
LA CJ se positionner ≠ciement sur sa jruisrudence

- L’arrêt 24/11/1993, keck & mithbouard = qui va permettre à la CJ de déterminer sa


position de manièr eplus ou moins définitive en ce qui concerne la qualification d’1 MEE
• Ds cette affaire, la CJ exclue par principe de la quaification de MEE les
réglementations nationales relatives aux modalités de vente à condition qu’elle
fasse toutefois que ces modalités soient indistinctement applicable.
• Dans cette arrêt CJ va saisir l’opportunité pr distinguer les ≠ catégories de mesures
qui étaient jusque lors analysé comme des MEE pr préciser celle qui tombe sous
cette qualification & celles qui ne le sont plus.
• Quels sont les mesures ; quels sont les réglementations qui tombent sous cette
reglementations = les mesures formellement discriminatoires restent des MEE ; les
mesures nationales qui sont indistinctement applciables relatives aux caraK du
produit cad à la forme du produit restent égaleM interdite.

• En revanche, ne serons pls consiD comme des MEE les mesures qui sont
indistinctement applicables relatives aux conditions de vente ; elles ne sont donc
plus interdites ⇒ Ainsi CJ va accepter la possibilité pour les E d’adopter des
législaitons ≠s relatives aux modalités de vente sur le fondement d’1
expression d’1 π économique & sociale.

- Les modalités de vente :


• Interdiction de fr la publicité
• La fermeture des magasins le dimanche
• L’existence de système de distribution en ce qui cocnerne certains produits comme
tabac / alcool & pour ces types de catégorie = il existe 1 presomption de conformité
aux traités mais à 1 double condition :

1. Ces réglementations doivent ê indistinctement applicables


2. Ces réglementaitons ne doivent pas affecter de manière significative les IMPs
ou les EXPs

Pour la CJ d’embler par retenir...mais ne signifie pas qu’on les exclue par principe

mais CJ pourra ds certains cas pourra retenir 1 MEERQ mais 1 exam plus poussé.

La CJ à partir 11/1993 :
• va s’inscrire ds la logique de cette jurisprudence & va rester fidèle à cette ??
jurisprudentielle.
• Pour pas ê 1 MEERQ = 2 conditions = à partir où mesures discriminatoires
touchent produits IMP ou destinés à l’IMP = indistinctement applicable
• 1 jurisprudence qu’on va retrv ds les autres LC = 1 jurisprudence assez π = au-delà
de la rép de la CJ = se profile 1 idéologie libérale du M°I & fonction de protection
que va exercer l’E.

Est-ce que l’E peur se prévaloir ?? & quelles sont les hypothèses qui ouvrent pr les E cette
fonction de protection sans ê considéré comme ne respectant pas les engagement pris.

Les dérogations ?? des MEERQ ⇒ l’autorisation donnée par les traités aux E d’exercer 1
compétence normative au titre de la fonction de protection & par csq justifiée 1 restriction
à la LC.

Interdiction ds restrictions est au principe mais n’apparait pas de manière absolue car art.
36 du TFUE prévoit que la LCM peut ê limité losque celles-ci portent atteintes à la
santé publique ; ordre publique & à cette liste textuelle prévue ds les traités.
La jurisprudence va également adj d’autres hypothèses qui résultent de la jurisprudence
Cassis de Dijon, 1979 = ce sont les exigeances impératives d’î général. = la qualification
d’entrave à la LC.

Erxercer & action normative ds répartition des compétences = sur fondement des traités
& ds quelles mesures peuvent exercer ces compétences normatives csq sur le M°I

- Les dérogations prévu à l’art. 36 du TFUE :


• prévoit la protection ??? d’ordre pubique ; sécurité publique & c’est 1 possibilité que
CJ a du déterminer à l’occaz de l’importation de certains produits qui peuvent
heurter les mœurs au sein d’1 EM en raison de leur caractère indecent ou obscène.
• C’est au sujet de l’interdiction législative en ANG ds l’Affaire Henn & Darby, 1979 au
sujet de l’importation au RU des sextoys & arrêt Conegath de 1986 au sujet de
l’IMP de poupée gonflable sur le M° en ANG = relevé d’1 disposition législative.
• Ds cette aff la CJ = l’interdiciton d’imP est la MEERQ absolue & l’E A?NG invoquait
art. 46 protection moralité publoique & mœurs publqiues au motif qu’il s’gaisait de
produits indécents & obscènes.
• La CJ a tt d’aB accepté le caraK obscène & indécent d’1 produit = pouvait entrer ds
le champ d’applicatiopn de la moralité publique MAIS lorsque l’E l’a invoqué il fallait
par la suite déterminer en quoi l’interdiction d’IMP était la mesure la plus appropriée
& donc adéquate & nécessaire ; proprotionnée à la réalisation de cette objf.

• En l’espèce la CJ a jugé que cette interdiction n’était pas cohérente w/ la législation


anglaise puisqu’elle n’interdisait pas la commercialisation de ces m^s produits
lorsque ces produits ont été fabroqués sur le territoire national.
• La législation ANG = a 1 effet protecteur de la fabrication des produits nationaux.
• Car produits similiaires déjà comemrcialisé au RU
• ≠ de l’aff Omega car interdit territoire nationale ou IMP = que ce soit sur concept
nationale ou concept importé dde FR.

- En ce qui concerne l’ordre de sécurité publiqu ela CJ précise que ce sont des notions
souples & qui peuvent ê utilisées par les E afin d’assurer la sécurité publique en
fonction des aléas de l’évolution économique ; social de leurs situations.

- 2e cas de figure prévu à art. 36 du TFUE : la protection de la santé ; de la vie des


personens & des animaux ou de préservation des végétaux.
• Ainsi la jurisprudence abondante sur la ?.
• Ar jurisprudence imp en ce qui cocnerne la protection des personnes mais aussi
animaux → l’interdiction de certains produits = vente de bonbons sans emballage
ds les distributeurs = 1 risque sanitaire = 1 attainte à la santé publique.

• Il en est de m^ au monopole réservé aux opticiens pr comemrcialiser les lentilles de


contact.
• En ce qui concerne animaux, Arrêt Bluhle 1998 = CJ avait admis comme étant
justifié l’interdiction d’& race d’abeilles ds 1 île danoise au motif que ces abeilles
mettait en péril la biodiversité.

3e cas : Protection des trésors nationaux = ayant 1 V artistique, historique ou


archéologique
• idée = pour éviter que le M°I soit à l’origine d’1 atteinte au patrimoine.
• Dès 1993, 1 directive a été adopté au sujet de la restitution des B culturels ayant
quitté illégalement le territoire d’1 EM de l’UE.

4e : Protection de la pté industrielle & commerciale :


• au titre art 36. 1 MEERQ peut ê justifiée au titre de la pté industrielle.
• Dt de brevet = 1 monopole exclusif
• 1 monopole réservée mais rattrapé par π de dt de la libre concurrence sur les IMP
parallèle.
• Dt fondamental protégé = dt de l’inventeur de préserver son invention a
juridiquement 1 titre de protection donc de protection de mise sur le M° MAIS
n’échappera pas aux règles de concurrence. ⇒ Dt de concurrence qui pdr le relais

C’est 1 liste exhaustive cad que si on veut invoquer les dérogations prévues par les traités
se référer sur les 4 cas de figure invoqués.
Sur le fondement des traités.

Quels est les î de les invoquer & qd peut-on les invoquer ?


• Il s’agit d’1 fondement, titre de compétence reconnu au E en vue d’adopter ?????
restrictive & ce régime dérogatoire au profit des E en étant l’exception au prince =
interprétation stricte & repose sur 5 conditions.

1. Il faut qu’on soit en présence d’1 Mesure restrictive contraire aux art 34/35. du
TFUE.
Art. 36 est applicable à l’ensemble des mesures restrictives.

2. La dérogation invoquée doit poursuivre l’1 des objf fixé par l’art. 36 du TFUE
(santé publique, poursuite d’1 objf d’î général etc.)

3. La mesure ne doit pas constituer 1 moyen de discrimination arbitraire ou restriciton


déguisée aux échanges. = si ne poursuit pas l’objf sous pretexte d’1 objf d’î général

4. Il faut que la mesure soit nécessaire & proportionnée à l’objf = ce qu’on qualifie
de principe de proportionnalité = triple test = test de nécessité ; d’effectivité &
test de l’entrave minimale.

5. La possibilité de justifier 1 entrave est subordonnée à l’absence d’1 législation


d’harmonisation = en cas d’hamronisation c’est de concrétiser l’harmonisation ???
10:21

qui prime la mise en œuvre sur le fondement dérogatoire de l’art. 36= compétence
normative ??,,,,,,,, ???,

entrave à la retriction donc E peut se prévaloir 1 ?? ec qui n’est pas forcément le cas pour
les possibilités de dérogations dégagées par voie jurisprudentielle.

En ce qui concerne, ?,d’pi général les dérogations prévues par la jurisprudence = il faut
les positionner par rapport art. 36 du TFUE.
Liste art. 36 est exhaustive / limitative
La jurisprudence a permis aux E d’invouer doautes moyens d’o général sous pretxte qu’on
exigence ???; la protection des dts fondamentaux

1 exigence impérative d’î général :


• Arrêt Cassis de Dijon, 1979 ds lequel ALL invoqué la protection des
consommateurs.
• Raisonnement de la JC = dit y’a entrave mais peut ê potentiellement justifiée en ne
recourant pas à l’art 36 du TFUE = possible psq l’entrave qui est contestée n’est
pas 1 MEERQ = c’est 1 exigence impérative d’î général.
• A partir de ce moment = l’E peut adopté des ?? ?? pour toutes 1 série d’objf = la
protection des consommateurs en 1979 ; protection santé publique qd bien m^
redondant w/ art. 36.

• santé publique à la fois 1 exigence impérative d’î général & 1 MEERQ


• stabilisation du système fiscale
• la loyauté des transactions commerciales.
• La protection de l’environnement & la ? de la protection de dts fondamentaux.

Origine juridique des EIIG est subordonné à 3 conditions : de manière préalable c’est 1
exception à la LC.
1. Le recours à cette catégorie juridique n’est possible que pr justifier des
mesures restricitves ds 1 domaine qui n’a pas ft l’objet d’1 harmonisation = 1
divergence acceptable (cacophonie nécessaire au fonctionneemnt du M°I)

2. Le recours au EIIG possible pr justifier des mesures indistinctements


applicables.

3. Le contrôle / principe de proportionnalité

dérogations art. 36 & EIIG = ≠ = fondements sur art. 36 ont justifie des MEERQ & sur
fondement d’EIIG = 1 efeft restrictif justfié mais pas la qualificaiton de MEERQ car CJ dit
ds 3 conditons que ds ce cxt on a 1 effet restrictif mais pas la qualification de mEERQ =
effet restrictif justfié par la recherche d’1 EIIG

⇒ EIIG ne peuvent jamais justifier 1 mesure discriminatoire

⇒ Il faut qu’en l’espèce on puisse démontrer en quoi y’a 1 atteinte à la santé = logique
libérale qui prédomine de la CJ.

En cas de divergence & absence d’hamornisaiton = principe de reconnaissance


mutuelle.

Sur la ? des dts fondamentaux :


• Les dts fondamentaux font partie intégrante de l’ordre juridique de l’UE & on sait
que l’UE n’a pas de compétences pr harmoniser la protection des dts
fondamentaux ds l’odre juridique les ordres juridiques nationaux. = sont des EIIG
que le E peuvent exercer au titre de leur constitution par ex.

• On déplace le pb sur la ? des dts fondamentaux MAIS aussi sur les rapports entre
la LC & la protection = se qu’on peut qualifier de l’identité constitutionnelle des EM.
• Affaire Omega, & Schmidberger = au sujet de la liB de manifester.

Conclue la ? De la LCM.

LCM a occupé la jurisprudence pdt 50 ans = a sevi de labo pr l’évolution & précision ???

La LC des personnes (LCP)


§3
https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/la-libre-circulation-des-personnes/
Chapitre 1 : La LC pr exercer 1 emploi

La LCP & l’exercice des actv pro s’est progressivmeent ?? thx citoyenneté EU qui
ets venue modifier le paradigme de circulation & à fr évoluer l’objf initial de réalisation du
M°I.
La liB professionnel & celle qui d’1 pdv temporel reste la plus imP mais la LCP non actives
s’intègrent ds 1 objf π plus lointain de l’intégration EU.

La LCP pr accéder ou exercer 1 emploi a été d’emblée pensée ds son volet éco & elle
reste aussi promu par le champ d’application de la liB professionnelle. Ainsi que par
l’identification de ces bénéficiaires & des conditions de sa mise en œuvre.

La liB professionnelle au m^ titre que la LCM s’inscrit parfaitement ds réalisation


économique du M°I & cette liB professionnelle n’est pas unique = en qlq sorte éclatée ds
≠ LC protégées ds le cadre du M°I.

Elle n’est pas non plus absolue = elle repose sur 1 logique d’accès privée & est encadrée
par la possibilité reconnue aux E de restreindre ou réglementer l’accès à certaines
activités dès lors qu’elle concourt à l’exercice de l’autorité publique.

Champ d’application de la lib profesisonelle = lib protégé par M°I.

Il s’agit de la LC des travailleurs salariés ; de la liB d’établissement & la libre prestation


des S.

Le libre accès aux emplois salariés prévu art. 45 du TFUE qui garantit la LC des
travailleurs = cad 1 personne qui est économiquement active & qui se déplace pr exercer
1 emploi salarié. ⇒ Il faut 1 relation de travail qui est déterminé par l’existance d’1 lien de
subordination entre le salarié & l’employeur ds l’exercice activité salariale.
ce libre emploi aux accès salariés suppose la liberté de circuler & séjourner sur les
territoires des EM de l’union & consiste en l’interdiction de toute discrimination fondée sur
la nationalité en ce qui concerne l’emploi ; la rémunération & conditions de travail.

- La liB d’établissement en quoi concrétise la lIb professionnelle


• prévu à l’art 49 du TFUE qui dispose que la lib d’établissement visent l’accès aux
actv non salariés & à leur exercice ainsi que la constitution & gestion d’entreprise
ds 1 autre EM.
• Cette liB concerne la liB professionnelle puisqu’elle garantie 1 liB de circulation ;
d’établissement tant personnes physiques, des trvaialleurs qui font exercer des
actv à titr eindépendant & tant personnes morales (les entreprises) = la LC des
sociétés.
• Pr garantir cette liB = il faut attribuer aux personnes privées le dt de s’installer ds
l’EM d’accueil pr y exercer 1 activité eco. =+> Il faut donc permettre à cette
personne pv le dt de créer 1 entreprise
• la liB d’établissement se distingue de la libre prestation de S dès lors quemme
serxerce à titre permanant = pr CJ l’établissement est définie comme « la poursuite
effective d’1 actv éco ds 1 EM pr 1 période indéfinie » = il y a donc ds la notion de
liB d’établissement le caraK perenne de l’actv. = ce qui n’est pas le cas ds la liB
presttions des S = du au craK temporaire = temporalité limité.
• 3e permetent qui permettent la liB d’établissement
1. L’xistence d’1 actv éco
2. Le déplacement vers 1 autre EM
3. L’existence d’1 établissement relativement stable ds cet EM

La liB prestation des services = fondée sur les art. 56 & 57 du TFUE & la notion de
service est définie comme « toute prestation fournie par 1 personne à 1 autre contre 1
rémunération » à la différence de la relation de travail = lm’actv éco cad la prestation de
services exercé à titre independant , pas de relation de subordination.
La ????? rémunéraiton est la contrepartie effectivie du S rendu

art. 57 du TFUE donne également qlq éléments de déf puisque que « l’industrie,
commerce, artisant » peuvent donner lieu à des prestations des S & au titre de art. 57 =
les actv libérales ont vocation à recevoir cette qualification.
La notion de service n’est pas la plus aisée & certains auteurs la qualifie de notion balai =
on y met tout ce qui ne conerne pas les autre = par la négative = englobe bcp de choses
dès lors qu’il s’agit ???????

rémunération effective = la CJ qualificaiton de S au sens des traités pr certaines


catégories éco est purement forfaitaire ?? ou bien effectué ds le cadre d’1 S public.
Ex : L’accès au soin médicaux.

La CJ qualifie le soin médicale comem 1 actv ?, S au sens des traiéts qd B m^ soin


médical est dispensé ds 1 hôpital public & donc potentiellement les actv du médecins
tolmbent sur le cout de la LCS = la csq est que pr la realisaiton effectivite de cette LC = la
LC des destinataires du service = particularité de la liB prestation du S.

vont s’apprécier aux personnes qui sont les prestataires MAIS aussi destinataires des
services = reconnaître 1 dt de LC pr pvr bénéficier du S qui lui se trv & presté ds 1 autre
EM.

S presté en FR mais s’adresse à tous les ressortisansts des EM de l’UE = l’entrave ne


s’appreciera pas seuleemlnt pr prestatire du S mais aussi pr destinataire du S =
reconnaître 1 accès aux S u sien de l’UE = 1 jurisporudence assez révolutionnaire ds la
mesure où va reocnnaitre que destinaitires snt les conso = à parti r YO1976/80 au sujet
soin medical que la CJ va faconner 1 regime de LC des destinaires des S / de soins
médicaux & leurs reocnnaitre 1 dt de séjourner ??? n’exerce pas 1 actv éco.

Les entraves à cette LC vont ê examiné à la fois au regard du prestataire du S & à la fois
au regard du destinatire de ce S.
direcitve 2011/24 l’accès transfrontalier = la prise en charge des frais du soin médical
prodigué à l’étranger.
Est ce que la caisse national peut refuser les frais engagés ??? reçu à l’étranger ??

règlement coordination des sécurités sociales = possibilité envisagée ds cadre


d’aurorisation préalable = 1 autoR administrative préalable de la sécurité nationale que le
soin prodiguée sera remboursé & thx jurisprudence = on a inversé

& directive 2011/24 = principe de remboursement


Principe d’autorisation préalable pr certains soins médicaux
cat exclu = chirugie esthétique comem certains soins médicaux PMA exclue.
Car des atv médicales qui nécessite 1 prise en charge + imP.
LC des patients & parfois refund sans autorisation ad préalable = le patient peut accéder à
1 soin médical ????= dispose d’1 choix thx UE.
- Ds Arrêt Eljinof, 05/10/2010 :
• Mr Elijinof souffrait cancer à l’oeil & voilait se soigner sauf que l’O de soin prévu pr
ce type de cancer en Bulgarie (ressrotissant bulgare) assez radicale ps de traitment
en tant que telle = devoir fr ablation de loeil pr cellules cancéreuses = avait
découvert ds 1 clinique en ALL procédzit 1 traitemet alternatif = laser pr tuer cellules
cnacéreurses & garder l’oeil sain.
• Pr pvr y accéder avr 1 autorisation préalable de la caisse de sécurité = compte tenu
de son E n’a pas attendu la décision de la caisse nationale = opération a fonctionné
rentré & a sollicité le remboursement des frais engagés en ALL & caisse nationale a
refusé de lui refund les frais pr le motif qu’il ne disposait pas d’1 décision
d’autorisation préalable.
• Conetste cette décison = nvoque dt de l’UE & incopaptible lgislation nationale
• ? prejudicielle = CJ si ???
• decision doit tjr intevrneir au soin préalable prodiguée
• directive élaboré & devant instances de discussions
• CJ dit qu’il ne faut pas attendre & avoir 1 autorisaiton préalable car 1 soin qui
devrait ê pris en charge quand B m^ il y a 1 alternative natilnael ; 1 traitement de la
pathologie du patient ds l’EM = dès lors que l’alterntive nationale présente 1
moindre efficacité pr l’état de santé du patient
• CJ ft primer l’efficacité du soin pr 1 meilleure vie ensuite du patient.
• En bulagrie avait 1 procédure tairemznt mais pdv de ces csq = élimination par
laser des cellules cancéreuses au lieu de l’extraction de son œil = ne faut pas
attendre ⇒ le principe du remboursment

• CJ prudente = 1 cas vital = qui démontre aussi la ≠ce qui peut exister ds les syst de
santé entre les EM de l’UE.
⇒ Pzrtiuclatiré de la LC des S

la Lib profesisonnel n’est pas non plus absolue & l’interdiction de discrimination fondée sur
la nationalité ne joue pas en ce qui cocnerne les actv qui relève de l’exercice de l’autorité
publique. C’est les traités eux m^ qui ont prévu cette exclusion = art 45. §5 du TFUE exclu
du chapd ‘applciation de la LC eds travailleurs = les emplois ds aD publique ; de m^article
51 alinea 1 du TFUE exclue les actv particpants meme a titre excepitonnel à l’exercice de
l’autorité publique du champ d’application de la LC de la prestation du service. 11h35

c’est 1 limité à la LC des travailleurs salriés = les E peuvent restreindre voire interdire
l’accès au emploi qui relève de l’aD publique.

l’aD publique n’est pas définie ds les traités.


• Ds 1 1er tps la CJ avait retenue 1 approche restrictive de la notion d’emploi ds la
fonction publique.

• Pr CJ = 1 tel emploi emporte « 1 participation directe ou indirecte aux actv


spécifiques de l’aD publique en tant qu’elle est investie de l’exercice de la P
publique & de la responsabilité de la sauvegarde des î généraux de l’E. »
• CJ adopte 1 approche fonctionnelle par rapport à la nature & finalité de l’actv = par
npquel type d’actv mais l’exercice de la P publique & de la responsabilité de la
sauvegarde des î généraux de l’E = approche fonctionnelle mais finaliste restricitve
= sauvagearde des pi généraux de l’E.

Fonction publique Plus subordonné … national


⇒ Raison pr laquelle thx cette approche restrictive les emplois ds fonction publique
nationale se sont progressivement ouverts aux ressortissants des EM y compris pr passer
des concours ds la fonction publique.

= Pas de discrimiantion fondée sur la nationalité ds la fonction publique.

En revanche CJ identifie des domaines de la fonction publique où 1 discrimination fondée


sur la nationalité n’est pas contraire au dt de l’UE

Domaines exclues = polices, forces armées, magistratures, diplomatie & administration


fiscale = des emplois qui forment le noyau dur de la souverianeté de l’E = reserve de
nationalité pas consiD comme discirminante ds la LC.

La CJ a adopté ??? la LC des S

La CJ exclue des actv m^ à titre occasionnel à l’exercie de l’aurorité publique résulte art.
51 §1 alinéa 1er du TFUE =
pr profession d’avocat = est-ce que 1 actv éco qui concourt à la réalisation d’1 objf d’î
général.

- Arrêt 1974, Reyners que CJ avaiat estimait que la profession d’avocat n’implique pas de
participation directe à l’autorité publique.
• Cet arrêt a par la suite permis de libérer d’autres activités telles que l’enseignment
pv ; l’actv des entrep de sécurité pv ; l’actv d’expert judiciaires traducteurs &
l’activité du médecin (reconnaissance des diplômes)
• Pour profession médecin = ressortissant d’1 autre EM pourra se voir refuser l’accès
à l’odre des médecins au motif qu’il exerce 1 fonction disciplinaire concourt à
l’exercice de l’autorité publique.

Des actv réservés aux nationaux


L’ouverture de la profession de notaire aux ressortissants des autres EM a été
particulièrement médiatisé & ette opuverture à l’accès à la profession de notaire.

⇒ Rendu possible thx arrêt de manquement rendu par CJ en 2011 qui a


enjoint à 15 EM dont la FR d’amender sa législation en la matière. = on peut
accéder à 1 actv économique mais discirmination fondée sur la nationalité = ne
signifie pas qu’il n’y aura pas d’autres exiegnces pr mise en œuvre de cette activité.

L’accès aux ressortissants des EM aux profesisons indépendantes


avocat 1 actv para-judiciaire = 1 actv libérale

Les csq de cette ouverture sur les bééficaires & mise en œuvre

La ? de la discriminaiton

Les bénéficiaires sont les personnes physiques ressortissants des EM & surtout des EM
qui dispose d’1 qualification profesionnelle & la pb est ⇒ Est-ce ets ce que 1 perosnen phy
peut se prevaloir de ses qualification spro acquises ds son E d’origin epr povr se déplacer
& exercer son métier ds 1 autre EM ?
• CJ a dit oui
• au refus automatique pimpsoée par les autorités nationales
• CJ a invité les E a aplique le princiupe de reocnnaissance mutuelle = & a
procéder à 1 évaluation au titre de l’équivalence de la qualification
professionnelle

Les personnes morales = des entreP à condition B sur que la personne morale soit
rattachée à 1 EM = le critère de rattachement
La personne morale doit ainsi ê constituée conformément à la législation d’1 EM

2e condition : Doit avoir ds cet EM soit son siège statutaire ; soit osn aD centrale ; soit son
principale établissement.

Qeuls sont condiitons de mise ne œuvre de liB prof :


• Ds triatés, eu égard caractère succint des triatés
• la CJ & sa jurisprudence qui a précisé la mise en œuvre des Lpro & qui s’est
concretisée ds 1 législation EU en ce qui cocnerne la reconnaissance mutuelel & la
qualification professionnelle.
• Adj, 1 autre pend du dt de l’union qui se dvpt = celui des travailleurs dit détachés

Apport de la jurisprudence de la CJ ds la mis en œuvre des LP


rôle CJ fondamental pr la mise ne œuvre de libre prestation de services & de la libertés
d’établissement
• les atcv qui relèvent des S & établissemen = très varié
• mais jurisprudence de la CJ se concentre autour des idées fortes suivantes = pose
le principe d’interdivtion des netraves à la libre pretsation des S & à la liB
d’établissement qu’elle rend opératoire à l’égard des législations nationales
discriminatoires & ?? étend sa jurisprudence aux législaitons nationales qui sont
indistinctmeent applicables mais qui exerce à l’égard des ressortissants des EM 1
effet dissuasif
• Ainsi Arret Klopp, 1984 = CJ sanctionné la législation FR en ce qu’elle faisait
obstacle à la création d’1 étbalissement 2ndaire
• en effet, en espèce 1 avocta au barreau de Apris ne pourv avoir qu’1 cabinet .. de la
juridcition dont il releève & dc législation FR s’opposait ds cette aff à ce qu’1 avocat
établi à titre principal ds 1 autre EM que la FR puisse créer 1 établissement 2ndaire
en FR = donc Mr Klopp 1 avocat ALL a vu son isncription au barreau de Paris
refusé car pensait maintenir son cabinet principale en ALL = docn 1 entrave à la lib
d’ztablsiement & de la prestation des S = qd B m^ cette législaiton concernait les
FR = indistinctement applicable.

• Lacces par ex, l’exercice = CJ a également consiD qu’un ressoritssant d’1 EM qui s
edéplace pr acquérir 1 formaiton pro ds 1 autre EM & qui revient apr ne pourra pas
se faire opposer la réglementation nationale & doit ê traité comme 1 ressortissant
d’EM ayant ciruclé = ? la LC des étudiants
• étudiants faisan leur études en Belgique pr études véto, kiné = ,FR leur opposé le
refus d’ê inscrit au motif qui ??? de part l’origine de son diplôme = la CJ ds 1 1er tps
va poser principe de recon mutuelele & des qualifications pro = jurisprudence va ê
= reocnnaissnc emutelel des diplômes & des qualifications professionnelles.

cette harmonisation a été ds 1 1er tps exercé sur le fondement de art. 53 du TFUE = s’ets
agit de 2 grandes categories de directives
1. directive sectorielle qui harmonise profession par profession notamment ds
YO 70 = la profesison d’avocat & ensuite profesison liée à la santé & enfin
profession d’architecte
2. catégorie = des directives générales de reocnnaissance des diplômes qui
instaurent 1 système général de reconnaissance mutelle = la particularité de ce
régime est que l’on ne résonne plus secteur par secteur = mais thx 1 système
généralisé

ne signifie pas 1 reconnaissance automatique = 1 syst devaluation d’équivalence & toutes


ces directives ont été fusionné & codifié ds 1 seule directive adopté en 2005 & entrée en
vigueur en 2007.
Le nv système isntauré par cette directive = laisse très peu de marge de manœuvre
aux E = puisqu’elle pose le principe de reconnaissance des qualifications professionnelles
exigé pr l’exercice permanant soit à titre indépendan (libéral)t ; soit en qualité de salarié

ex : en Fr pr accédé à la pratique d’1 formation = 5 YO & autre E : 3 YO = 1 ph de durée =


face à cette directive = principe de reconnaissance mutuelle mutuel qui doit jouer & la csq
ui en deocule = la preosmption d’équivalence des législations
en raiosn dififcultés = réfomrs ds les études apportés au nv de l’UE & des E = pr licence,
master = en ECTS = pas durée qui compte mais octroi des crédits = 1 réform eimpulsé YO
2000 pr favoriser la reconnaissance des qualifications professionnelles.

(ce quie st pas vu en corus sera vu en TD & depos apr vacance sparagraphe 3 de la
derniere)

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