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M° commun :
unique
M° intérieur :
€ : prix
M° : marché éco par ex
12/12/23
cour de la grande région
Place des V
matière tiré au sort : ? De cours mais forme problématisée et réflexion de la pensée
td : contrôle dontinue exercie de l’analyse d’arrêt
M°I :
ex juridisue etude analyse d’arrêt
dt de l’ue
evolution jurisprudensciel
Introduction :
- De la m^ façon :
• Le dt du M° intérieur est 1 dt qui est a priori difficile d’accès mais qui, dès le départ
était le moteur de la construction EU comme en témoigne le dvpt du dt matériel
de l’UE.
• Cet aspect éco du dt de l’UE encore très criant & cert. auteurs qualifient les traités
de constitution économique de l’union.
⇒ Cette qualification est le résultat des travaux menés par l’Ecole économique de
Fribourg, jetant les bases des théories ordo (ortho) libérales allemandes dans
les YO 30.
⇒ Selon cette qualification ⇒ les traités de l’UE sont 1 ensemble des principes
fondamentaux qui déterminent les structures & fonctions économiques & qui
règlent le cours du processus économique de l’union.
• Selon cette déf, les traités assignent des objf économiques & donnent les
moyens pour les atteindre.
• 1er moyen pour atteindre ces objf éco dans cette construct° :
→ L’union douanière qui garantie la libre circulation (des marchandises,
personnes ; des S & Kô = 4 grandes libertés de circulation).
• Les 4 grandes LC = vont s’élargir à tel point qu’on parle désormais de la LC des
jugements en matière pénale (mise en place du parquet européen).
- Ces 4 LC vont aussi donner 1 autre significat° à l’aspect / diM éco du M° intérieur ⇒
Le dt du M° intérieur est l’1 des parties du dt de l’UE, la + attractive car très vivante &
concrétise la constuct° EU / projet EU (car concerne indirecteM citoyens EU /
ressortissants des Etats membres) & participe à la réalisation des objf de l’UE / EU ⇒
objf fixés à l’art 3. du traité sur l’UE (TUE).
⇒ Le M°I = est 1 objf qui vient de l’UE. ⇒ l’objf du M°I n’est plus essentiellement
économique.
• Cette évolution = désormais ancrée dans les traités actuels (versions actuelles).
⇒ Pour y arriver = on constate que ce basculeM a été possible grâce à la
réalisation du M°I qui a permis d’apporter des avancées éco m aussi de mettre
au centre des préoccupat° l’individu, la personne, le citoyen EU ⇒ Car le M°I
doit tendre vers 1 économie sociale de M° où les prix sont stables & les individus
prospèrent.
- Problématique :
• Dans cette évolution = on retrouve toujours l’objf du M°I m^ si adj l’art 3. du traité
sur l’UE (TUE), de manière très symbolique fait passer les objf économiques au
2nd plan.
•
• La pérennité de l’objf du M°I dans la construction EU = cette objf est lié à l’objf 1er
voulu par les Pères F. ⇒ la paix.
- L’idée est de créer des unions de solidarités (des solid) entre les Etats pour garantir la
paix sur le continent EU à l’issue des 2GM & le terrain de consensus qui émerge, reste
l’économie pour 2 raisons :
• L’économie des EM très touchées apr la G= affaiblie par Noles G
• L’éco c’est le terrain le plus neutre pour créer 1 interdépendance entre les Etats
= pourrait les empêcher de se déclarer à nouveau la G. (= Car c’est 1 coût
économique.) ⇒ Théorie du faucon & colombe.
• Cette méthode est censée créer 1 effet d’engrenage = « spill over effect » = cad
l’intégrat° fonctionnelle & progressive domaine par domaine = moins conflictuel =
1er secteur
• 1er secteur à utiliser cette méthode = secteur du charbon & de l’acier & avec le traité
de Rome d’autres secteurs se sont intégrés ainsi que d’autres sphères de l’éco
nationale.
⇒ Méthode qui repose sur 1 autre principe = le libre-échange, « laissez-faire » =
ce consensus π s’est imposé dans les traités pour 2 raisons :
2. La csq néfaste de la 2GM & son prétexte jusque ds YO 30 à la suite de la crise éco
qui conduira les Etats à s’isoler économiqueM & cela ds l’objf de préserver
l’économie nationale = ce repli éco sur soi éco = fournir 1 état éco très favorable à
la montée du nationalisme = donc csq du déclenchement de la G & le contraire de
cette isolement = l’interdépendance éco entre les Etats.
• Choix du modèle éco dans les traités = par défaut & crainte afin d’éviter 1 nvl G.
(= pas de frais de douanes entre les Etats fondateurs / 6 EM (au déb) au motif du
franchissement de la frontière d’1 autre EM d’accueil.)
• Initialement dans Traité de Rome = La réalisation de l’union douanière / π de
d’union douanière devait se terminer au 01/07/1969 = Période transitoire de 12 ans
pdt laquelle les Etats ne sont pas pleinement tenus de respecter les règles des
traités mais doivent adapter leurs législations aux exigences des traités.
• Depuis 01/07/1968 : Il n’existe plus dans les relations commerciales entre les
Etats = des dts de douane / taxes d’effet équivalent = les EM disposent d’1 seul
tarif commun douanier = concrétise π commerciale = les Etats pratiquent le
même tarif douanier.
- Sur la table des négociations : nécessité de modifier les traités. Donner plus de
domaines économiques d’intervention à cette Communauté + modification des
règles de vote.
• 1er traité modificatif qui va s’emparer ces décisions ⇒ l’Acte unique européen =
va relancer la réalisat° du M°I puisqu’il va donner suite au Livre blanc publié par
la Commission intitulé compléter le M°I & q° passe en revue les obstacles qui
continuent à faire échec à la réalisat° du M°I.-
⇒ Parmi les mesures identifiées = on retrv des obstacles non tarifaires (union
douanière), davantage des barrières physiques (arrêts, contrôles douaniers /
sanitaires, procédures aD) = barrières douanières & présence de barrières
techniques, divergence des législations nationales applicable dans ≠ domaines.
(protect° consommateur & enviR.).
• Face à cette identification des barrières ⇒ L’acte unique EU va modifier les traités
en introduisant pour la 1ère fois 1 base juridique permettant aux institutions
d’adopter à la majorité qualifiée des mesures normatives/ législatives ayant pour
objet l’établissement & le fonctionnement du M°I. ⇒ art 114. du TFUE.
Le MI sera réalisé par l’intégration négative sous pression des obstacles et de l’autre côté
l’intégration positive normative, l’harmonisation, où les états admettes que les produits
fabriqués dans
un autre états membre ne seront pas différents qualitativement des produits nationaux. Le
libre échange se fera aussi grâce au principe de la reconnaissance mutuelle des produits
qui substantiellement ne présentent pas des différences avec les produits nationaux.
L’acte unique va conduire un changement terminologique : marché commun après l’acte
marché intérieur/unique et va fixer une nouvelle date : 31/12/1992. Des nouveaux
obstacles apparaissent et la réalisation du MI passe par la recherche constante des
solutions dans les différentes stratégies pour la réalisation du MI et la dernière évolution le
marché unique numérique, des nouveaux domaines d’interactions, la libre circulation des
donnés qui entre dans une sphère de cybersécurité.
Objectif qui n’est pas réalisable, simple situation pérenne, cet objectif étant ralenti par la
construction européenne, et s’adapte aux défis que cette dernière soulève aux regards
des nombreux domaine d’intervention.
Les institutions considèrent que le marché unique est un processus permanent qui
nécessite des efforts constants. D’où la place de cet objectif dans l’article 3 du TUE qui
fixe les objectifs de l’union. C’est cette idée fonctionnelle que l’on va retrouver dans la
réalisation par la cour de justice. Indicateur utile de l’évolution de la construction
européenne.
• la libre ciru des donnés = la libre ciruc M° intérieur entre dans la cybersecurite
perso
• la place de l’objf de réalisat° du M° intérieur de l’art 3 du traité sur l’union qui fixe
les objf de l’union
•
⇒ Cet arrêt marque la perception de la construction européenne, = volonté d’1
intégrat° totale dans son M°I = LC = impulser les fondements éco du M°I = des
fondements non éco = V de l’UE = car l’individu sera considéré comme 1 acteur
à part entier dans le projet EU. C’est un arrêt politique car il fait entrer un acteur
qui va pouvoir de l’ordre juridique de l’union et bouleverser la relation individu/ état.
• Objf construction EU : réalisation du M°I.
- Rôle de la CJ(CE/UE) :
• Les ? Préjudicielles / préjudiciaires = Possbilité pour les juridictions nationales de
saisir la CJ pour poser des ? sur l’interprétation des traités / soit sur la validité du dt
de l’UE ⇒ Instaurer 1 dialogue constant entre les juridictions nationales & EU.
• CJ invite les particuliers à s’en saisir si un doute sur l’interprétat° des traités = rôle
π de la CJ
• La ? préjudicielle = 1 ? introduite par 1 tribunal ou 1 autre organe judiciaire à 1
tribunal > ou à 1 CJ pour obtenir 1 avis juridique sur 1 ? de droit.
Dt communautaire
- Arrêt Van Gend en Loos, CJCE 5/02/1963, affaire 26/62. ⇒ Principe de l’effet direct
des traités
Faits :
Dans cette affaire, la société Van Gend en Loos conteste la décis° de l’aD fiscale
néerlandaise au motif que cette décision était contraire à l’art 12. du Traité de Rome
puisqu’il s’agit d’1 taxe d’effet équivalent. ⇒ litige nationale contesté au regard du dt
communautaire / EU = possibilité d’invoqué le dt EU au niveau national.
- Afin de concrétiser / réaliser l’union douanière = fin des droits de douanes / taxes d’effet
équivalent.
• L’art 12. du Traité de Rome rappelle / énonce : « Les EM s’abstiennent
d’introduire entre eux de nouveaux droits de douane à l’importation & à l’exportation
ou taxes d’effet équivalent, et d’augmenter ceux qu’ils appliquent dans leurs
relations commerciales mutuelles. » ⇒ Interdiction d’introduire (l’entrée) /
d’augmenter des nvx dts de douanes / taxes d’effet équivalent dans les échanges
commerciaux entre pays membres de la Communauté eco EU = suppression
progressive des restrictions aux échanges internationaux et à la réduction des
barrières douanières. = 1 interdict° absolue
- La CJ en reconnaissant l’effet direct des dispositions des traités ⇒ Reconnaît que les
indiV / ressortissants des EM = 1 rôle imP la réalisat° du M°I & construct° EU (pour statuer
sur ≠? & ≠ domaines).
affaire 26/62 où la société van Gend & Loos conteste la décision de l’administration
fiscale néerlandaise au motif que cette décision était contraire à l’ancien article 12
du traité parce qu’il s’agit d’une taxe d’effet équivalent d’un droit de douane et qui
doit être progressivement éliminé pendant la période translatoire afin de réaliser
l’union douanière. C’est un litige national. Cette interrogation est portée devant la
juridiction nationale : q° préjudicielle. Est-ce qu’une personne privée peut se
prévaloir des dispositions des traités et si oui, quelles en sont les conséquences
pour la juridiction nationale ? Certains EM plaident en faveur de l’irrecevabilité de la
q° préjudicielle pour incompétence et l’administration fiscale conteste l’application
e droit de l’UE et la CJ va faire sa première révolution, en précisant que les
dispositions de traités sont d’effet direct càd peuvent être directement invoquées
par les personnes devant les juges nationaux et ce faisant elle fait démarquer la
construction européenne du droit international classique car elle s’adresse aussi
aux particuliers. La société outre l’effet direct consacré, ouvre une nouvelle aire
dans la
réalisation du MI, puisqu’elle reconnait la participation des ressortissants dans l’UE.
Cet arrêt marque la perception de la construction européenne, car l’individu sera
considéré comme un acteur à part entier dans le projet européen. C’est un arrêt
politique car il fait entrer un acteur qui va pouvoir de l’ordre juridique de l’union et
bouleverser la relation individu/ état.
Pourquoi l’article 12 est d’effet direct ? IL est clair, précis et inconditionnel càd il
interdit les droits de douanes dans les échanges commerciaux entre les états, il
confère un droit aux personnes morales concernées à ne pas se faire imposer des
droits de douanes. C’est une interdiction absolue et s’applique tel quelle, càd elle
prend effet par son encorné et ne nécessite pas des mesures complémentaires de
mise en œuvre. Pour la CJ il y a une aptitude de conférer des droits aux particuliers
et répond aux conditions de l’effet direct et justifie parfaitement l’effet direct et sa
décision d’une administration nationale. Et elle ouvre la loi à d’autres.
- Faits :
Partie défendresse ⇒ Le secteur d’énergie n’était pas encore incorporé, tjr 1 compétence
nationale totale = pas encore 1 compétence transférée. ⇒ Pas contraire au dt
communautaire.
• Le dt EU est pour les EM ⇒ 1 « ordre juridique accepté par les (EM) sur 1 base de
réciprocité ». (garantie l’effectivité de l’union).
• Le dt communautaire est du dt interN car ces normes sont intégrées & prennent
sens dans l’ordre juridique national.
- IT est 1 des rares Etats guidé par le dualisme = rapport en l’ordre juridique interN &
national.
• L’ordre juridique interN ne prend effet que par 1 loi incorporée dans l’ordre
juridique national.
Faits : FR exporte Cassis de Dijon en ALL = ALL interdit / refuse importation &
commercialisation de la liqueur de cassis de Dijon en invoquant la loi nationale relative à
la protection des consommateurs pour les boissons alcoolisées (nécessité d’une
autorisation de mise sur le M° au préalable), au motif que sa teneur en alcool était
inférieure au taux minimal prescrit par le droit ALL. Entreprise FR conteste la décision
administrative de refus au motif que la loi ALL exige une autorisation de mise en place sur
le M° pour les boissons à forte teneur en alcool. Ce qui n’est pas le cas du produit.
L’entreprise évoque que la bière ALL ne fait pas l’objet d’une autorisation spéciale de mise
sur le M° (barrière non tarifaire).
La CJUE constate 1 divergence de législation entre les Etats sur la commercialisation,
production des boissons alcoolisées entre les EM.
⇒ Principe de reconnaissance mutuelle = des exigences de mise sur le M° ds 1 Etat.
• Repose sur l’idée que lorsqu’1 produit est légalement fabriqué &
commercialisé dans 1 EM = il n’y a pas a priori à ce que ces produits ne puissent
pas être commercialisés dans 1 autre EM.
• Aucune différence substantielle (équivalent) entre la production & la mise sur le M°
donc application du principe de reconnaissance mutuelle.
Solutions : Le principe Cassis de Dijon, développé par la CJCE , établit que les produits
qui sont légalement sur le M° d’1 EM de l’UE peuvent aussi être mis sur le M° des
autres EM, puisque les prescriptions techniques relatives aux produits des EM sont
considérées comme équivalentes (si aucun intérêt prépondérant ne commande la
restriction de ce principe).
⇒ La CJCE a statué que la restriction de la LC des marchandises n’était admise que
dans des cas exceptionnels fondés, (par ex : protéger la vie & la santé de l’être humain
etc...)
→ Cette condition n’étant toutefois pas remplie dans le cas de la teneur minimale en
alcool des liqueurs = a jugé que la liqueur FR pouvait être commercialisée en
Allemagne sans restriction.
La CJ a soutenu que puisque cette liqueur était licitement produite & vendue en FR, la
législation allemande apportait 1 restriction à la libre circulation des marchandises ;
restriction qui n'était en l'occurrence pas justifiée par un intérêt général. = l’interdiction de
commercialiser en ALL la liqueur française Cassis de Dijon, prononcée par l’Administration
fédérale allemande du monopole des alcools au motif que la liqueur française en cause
n’avait pas la teneur minimale en alcool requise par la législation nationale.
- Bilan :
• La CJUE va progressiveM donner 1 nouvel élan dans la réalisation du projet du M°I
en consacrant 1 nouveau principe fondamental : principe de reconnaissance
mutuelle.
• CJUE va contribuer à faire évoluer le M°I & reconnaissance de sa fonction
d’intégration sociale.
26/09/2023 :
- A partir des YO 1979 : de larret cassis de dijon : la cdj va se positionner coM l’acteur
incontournable ds la perenisation de l’objf de realisation du M° intéroieur & va
progressiveM lui réveler la diM sociale.
Ds 1 premier tps, la cdj va interpréter l’aspect éco de la lib circulat° afin d’élargir le spectre
du champ matériel du M° intérieur = donc va y inclure non seuleM les 4 facteurs de
product° (lib circulat° marchandises, S, Kô et trvaialleurs) mais aussi d’autres facteurs de
ciruclat° qui ne vise pas la réalisat° d’1 objf économiQ.
Ainsi, progressiveM la cdj en ce qui concerne la lib circulat° des perS = va étendre les
obligations des Etats memB en ce qui concernen les dts sociaux apportés aux
travailleurs migrants (travailleurs intracommunautaires = se deplace pour travailler )
progresisveM va reocnnaitre des dts sociaux a ces L selon la législaion de l’ETat d’accueil
& ce dans 1 1er tps sur le fondeM de primauté & d’effet direct des diposit° des traités
relatives à la liB circulat° des perS & ce faisant, la cdj va situer le travailleur migrant non
pas seuleM coM 1 acteur économiQ mais aussi coM 1 indiV. (= ayant 1 vie sociale en
dehors de son travail)
La cdj avait estime qu’il avait une discrimanaton entre les ressoritssants de l’Etat memB &
des autres ressortissants des Etats memB
contraire a leffectiviité du principe de l’UE = de liB ciruclation pour occuper 1 emploi car le
délai de 1 mois n’est pas 1 délai raisonnable (au cas par cas notion standard peuvent
évoluer au cas par cas selon nature de lempli recherché) pour avoir un succès pr occuper
1 nvl emploi.
Du tps pour lui laisser fr ses démarches
et préserve subitilité de l’Etta π, au cas par cas = arret 1 enjeu π ; cmt fr accepter a letat
cette possibilité alors qu’aucune legislation sur cette ?
La Cdj a partir de ce momemnt la ouvre 1 breche dan sla realisat° du M° intérieur & va
donner 1 autre impumsion à la lib circulation des personnes (va attirer davanateg
dattention de la cdj caer terrain e + propice pour révelrer l’intégrat° sociale = va donner 1
nvl dimension de l’obj de realisation du M° intérieur & le ressortissant des Etats memB
deviendra l’éleM central de la réalisat° du M° intérieur. = cette avancee juridsprudentielle
qui se retrv par la suite dans la discussiosn au moM de la discussion de la révision des
traités & qui ………. vont aboutir dans l’art 3 du traité sur l’UE est désormais il est
clairement assumer dans les traités que la realisat° du M° intérieur passent par la
concretisat°, recherche, mise en œuvre d’1 économie social de M°
La cdj continue de jouer son rôle π dans la réalisation de la creation du M° intérieur = faut
davantage
csq de cette lib circulation…..
progressiveM la déf de S
va inclure les soins médicaux = pr la cdj fait partie des S = le soin eldical acte éco mais a
vocation a fr un acte sociale = aspect éco ne prédomine pas au vue de l’apsetc d…. ; =
libre ciruclat° des S (soins medicuax) = on parle de la liB ciruclat° des patients = thx CdJ,
pas tnat aspect éco que M° intérieur mais
1970/80 : liB circulat° des patients = S médical = aux prestataires de se déplacer mais
aussi???= carak statque du S va profiter à l’émergence de la lIb circu des patients
(posisiblité daller se soigner dans Etats meB de l’UE = l’exporatabiltie des dts de sécu
sociale acquis dans son étt d’origine
Enjeu éco
en revanche pr les ressortissants de l’État daccueil qui n’ont jamais exercé = la cdj peut
appliquer mais cette législation ne doit pas dissuader
ex : la lib circu des étudiants = lib circu pas économiqu e= se depalce pas piur accéder a 1
emploi par 1 formation mais rattaché car en réalité 1 formation problématisée
la nationalié du diplôme qui prime sur la nationalité de la personne= car beneficie de la
protection de la lib ciruclation
Cela explique les raions pour lesuqleles les fondeM du M° intérieur ne sont plus
essentielleM éco
- Les préoccupat° purement éco & cette aspect éco n’est pas le seul qui permet
d’expliquer la réalisat° du M° intérieur chronologiquement cetait le cas mais cette aspect
éco a évolué de manière progresisve autour de l’expansion du phéno° de la liB circu qui
donne 1 apstect + social au M° intérieur de telle manière que les fondeM économiQ se
complètent w/ fondeM n économiQ sans qu’il y ait la prédominance des 1er sur les autres &
inverseM.
- Les fondeM éco, bien au contraire vont permettre d’ancrer durableM les fondeM n
économiQ. ⇒ signifie que même les fondeM éco (choix éco de pensée la realisat° du M°
intérieur ont été dès le départ déterminant pour permettre à LT l’émerrgence d’1 éco
sociale de M° et ce afin de permettre posterieurement l’approche sociale du M° intérieur
• Dans YO 1950, 2 théories éco ont naimé les acteurs des traités, vont inspirer les
fondateurs de la CEE = la théorie du libéralisme économiQ & la théorie ordo
libérale
• libéralisme éco = doctrine du liberalisme éco = est guidé par 1 logique de libre
échange, selon cette logique = le liB échange conduit à la prospérité & la réalisat°
d’1 M° commun = dun marché uniqu epar lunificat° des Etats EU à pr objf de créer
1 espace de libre-échange afin de stimuler l’éco par la multiplicat° des échanges.
→ IL était defendait par les penseurs de cette docitrne = est qu eles echanges
auront 1 effet bénéfique sur la situat° des resortissants (= ) des Etats memB.
→ L’initiateur de cette doctrine = Friedman, selon lequel il définit le libre-échange
de « transact° éco entre 2 bénéficiaires, à condit° que ces transact° soient
bilatéraleM volontaires & informelles » = selon la doctrine friedman il faut a rout prix
protéger le c araK volontaire de cette échange éco = cette déf de libre-échange en
tznt qu etransaction n’est pa suninament admise pr 2 raisons
→ posutle l’égalité de la transaction entre les 2 parties de la transaction = les
deux parties de la transaction ne sont pas sur 1 pied degalité économique
⇒ cette théorie eco présente des vertus, avantages lorsqu’il s’agit de dynamiser
l’éco mais la recherhce constante de la compétitivité conduit à des interrogat° plus
sociales où adj plsu environn,ementales = présenté comme 1 invonveniant le + imP
de cette approche éco au regard de la protect° sociale des travailleurs ou de
l’exploitat° des rsrces naturelles = fameuse ? De la délocalisat°
• cette théorie éco libéral = on sort la 2GM = cette lib éco est 1 choix par opposiiton
par rapport à l’éco planifié qui se passe àc ette époque & psq cette théorie éco
libérale s’inscrit ds 1 construct° π libérale, en ce sens le libéralisme éco est consiD
coM 1 éléM nécéssaire de la liB de csc π pouvant conduire à l’émergence du M° ; 1
contre pouvoir à la sphère π, contrepouvoir au sein de la société
incov de cette hteorie = la csq negative de cette lib éco, & la non prise en cpte des N
sociales voire celles relatives à la protect° de l’environneM. Car recherche de la
compétitivité qui prime à tout prix = 1 des incoV le + frappant de cette théorie libérale du
lib « change m presente des vettus quon va retrv de la cadre des traités.
La theorie ordo libérale : ets aussi 1 théorie éco libérale m qui n’exclue pas totalement
l’intevrentionnisme économique de l’autorisé public. Cette interV sera encadré& aura pr
objf de rétablir / de maintenir l’O éco sur le M°. = cela signifir que le libre écange se
déploiera dans 1 cadre éco prédéfinies et règle éconoies dvpt par la sphère éco et la
sphère π interviendra lorsque cette O n’est plus respecté. C’est 1 théorie éco ordo libérale
(ordre libéral) = cette théorie voit le jour en ALL apr 2GM et avaiet pour objf de recocncilier
par l’éco les ALL w/ les institutions de l’État.
Etat a minima present pr retblir l’O ou B le maintenir.
& thx à ces interv ponctuelles / au bon MomM = les All vont repdre dans leurs institutions
π
Et ces ordres libéraux qui vont progresisveM ordonner ce modele dans le cadre de la CEE
& que ns allons retrv dans les traités.
→ Le principe de libre-circulat°
→ leur concrétisation° ont conduit a contesté le rôle que doit jouer la liB concurrence
le principe de circulat° = est le principe qu’on peut qualifié d’éléM identidiant le M° intérieur
& ce principe repose sur l’idée économique de lib)échange (« laissez passer) et ceux ds
l’objf dfe créer le M° intérieur. Et ce quelque soit l’origine du facteur économiques de
productions dès que celui-ci revelève d’1 Etat meB.
1ère réalsalition & concrétisat° dans cadre M° intérieur est l’abolition de tous les obstacles
à cette libre-circulat° & dans les traités .. donfés su rla libre ciruclation est tjr concu au
regard de l’existence d’1 frontière qu’on peut quaifier de « barrières au échanges » qui
sont de 3 types :
→barrières naturelles = il s’agit dans 1 1er tps de la frontière phyisdique entre les Etats
memB. Celles-ci vont ê progressement remplacer de telle manière qu’elles n’existe plus,
on les traverse.
touche au proceSS de fbricat° qui sont ≠ au sein des Etats leB & qui peuV
engendre .coup. pr les enrreprises lorsqu’ils son tonlighées de transformer leur production
selon les N exigées par l’ETta memB.
Progressivemrnt ces obstacles à la lib circu vont fr laobjeft dune attentio particulière de la
cdj et du législateur EU & ceux dans l’objf de diminuer les divergences entre les Etats
memB afin de favoriser la liB ciruclat°
obtacles = crtl douaniers, crtl sanitaires (ex pas de crtl camions ESP) afin de ne pas
pénaliser systématiquem les transporteurs de produits frais =
lib cirucla on retrouve cette aproche liberale = liassez passez, laissez faire
Pour certains auteurs, il s’agit de 2 éléM distintcts car le protocole n°6 annexé au traité,
traite à la fois du M° intérieur & de la concurrence mais ce même protocole 6 précise que
le M° intérieur tel qu’il ait définit a lart 3 du TUE comprend 1 syst° garantissant que la
concurrence n’est pas fossé.
ET pour ds’autres auteurs, il faut se pencher sur la distantio(n ?) Dans la finalité des
règles relatives au M° intérieur & celles relatives à la libre concurrence.
Le M° intérieur est conçu dans son fontionneM de manière finaliste (1 fin en soi) tandis
que les règles relatives à la concurrence = sont instrumentalisés c’est-à-dire 1 moyen pour
atteindre d’autres objf = quoi quil en soit la π de la concurrence accomapognre la réalisat°
du M° intérieur & vise le dynamiser = elle a permit ainsi de libéraliser les échanges & à
condamner les monopoles économiQ des Etats = c’est la π intégrée par execllence, les
règles relatievs à la concurrence ds les Etats memB sont celles des traités π par
excellence le / aboutit ds les triatés cpote tenu de ?? exponentielle de al π de la
concurrence = les triatés prévoient actuellemnt la préevention des incidences négatives de
la concurrence.
La 1ère csq – de la lib concu : le risque des « dumping » compte tenu de la délocalisat°
que cela peut entrainer / que la concu peut engendrer. Ce « dumping » on essaie de le
contrer notaM dans la déf UE : « ..en matière sociale & environnementlae notaM en ce ui
cocnerne la protection sociale des salariés (de leurs santé ; & sur ctx de lenvir =
renforceM des législat° EU en ce qui cocnernent par ex : l’émisison de CO2 gaz à effet de
serre). Et de plus en plsu dette législtion UE vise la responsabuilité des entreP notaM = la
responsabilité sociale des entreprises = entrezP doivent avoir une charte qui doivent
resecter (nv purelent interne) mais l’idée qu’il faudra respinsabiliser emrge
Les fondements non économiques du fonctionenment du M° intérieur ont été dès l’origine
présent dans la construction EU mais ils étaient rlayés en qlq sorte au 2nd plan en raison
de leur connotation π.
Mais YO 1950, meme si ces elements téaient présents dans le Traté = l’échec de pensée
la construction π de l’EU = avait conduit à considerer comme 1donné commune aux
etats ???
Les efforts principaux se sont alors concentrés sur l’émergence d’1 interdépendance éco
(cela explique pq les fondements économiques de la construction EU sont svt très en
avant / prenant dans les traités)
- Mais si on lit attentitvement les traités = sans pour autant exclure la potentialité du M°
intérieur à créer 1 solidarité π entre les Etats & surtout entre les ressortissants des Etats
membres.
Acte Unique EU = 1 union d’État à laquelle on peut créer 1 citoyenneté = visent pas les
Etats mais les ressortissants des Etats membres.
arrêt Van & Loos 1963 = a revelé les potentielles π de la place de l’indiV / du ressortissant
EU pour la réalisation du M° intérieur.
Principe de primauté du dt de l’UE : pas explicitement inscrit dans les traités = fonctionne
= volonté π de mépriser ce qu’il se passe
? de l’UE projet spinelli en 1985 : aprojet addreséée au PE n’a pas aboutit mais resté ds
les csc = ? de l’avenir de la construction EU au-delà d’1 simple M°.
Les V commune = démocratie, repsect de dt de l’H = consiD dès le départ coMM qqqchn
de commun = autour desqueles les Etats ?
12e art du TUE = vont avr des csq non négligeables su rla teneur & la finalité que va
poursuivre la realisation de l’objf du M° intérieur.
La citoyenneté EU = introduit pr 1ère fois par Traité de Maastricht (1992) = traite l’UE &
lui donne 1 impulsion π.
• Ds 1 1er tps, l’approbation π de la construction EU se décelle ds la fiction juridique,
l’UE = cad que dans cette vresion de maastricht lunion nexist epas encore.
• Elle repose sur 3 pilliers
→ 1er pillier communautaire qui est rpz par la réalisat° du M° intérieur.
→ 2e pillier = la PESC = 1 π d’envergure de défense = relève de
l’intergouvenrementale
→ 3e pillier : Justice & Aff intérieures ⇒ Se consacrent davanatge aux π
migratoires ; coopération judiciaires & policières, matière pénale, civil & comemrcile
= des domaine suqi a priori revelevaitr e releve de la souv de de letat & dans lequel
1 exercice partagé des compétences ne pouvait être accepté par les Etats
membres.
les csq de la c
depend de la nationalité d’1 Etat = l’UE sur le fondement de la citoyenneté n’interfère pas
dans les compétences régaliennes des Etats en ce qui concerne = l’octroi ou le retrait de
la nationalité : les Etats demeurent libre d’octroyer ou de retirer la natioanlité.
La ciotyenneté vient se greffer sur les ressortissants des EM = principe posé ds cadre
traité de Maastricht (1992) = l’aspect 2ndaire / sulbalterne. ⇒ Ds le but d’apaiser les
craintes des Etats vis-vis de cette nvl catégorie jurifiqu qui est la citoyenneté EU.
En quoi la citoyenneté EU vient boulverser ses rapports. Son aport est double car va
octroyer des dts complémentaires aux ressortissnats / nationaux des Etats
membres.
• 2) la libre circulation = la libre circulation EU n’est pas statique. = les 2 sont liés
peut pas particper aux votes elections si on ne peux pas circuler.
Traité de lisbonne consolide cela & l’intitiative citoyenne est désormais possible pour des
citoyens qui souhaitent initier en invitant la CE à fr 1 proposition législative d’1 Acte
normatif sur tel ou tel domaine.
cohésion sociale
renfrocant les dts du trvaailleur ou persone qui se déplace pour raisosn éco = en oqp 1
emploi = conforte le statut du travailleur ligrant lorsqu’il perd ce statut = pdt temps
recherche d’emploi = va sur fondement citoyenneté EU : va apporter cette posisibite de
rester sur le etrri° de l’Etat membre.
Ce n’est que 10 YO plus tard, dsl’arrêt 17/09/2002 Bombast = que la Cour de Justice va
progressivement s’orienter vers 1 autre approche notamment lorsqu’il s’agit de la famille
du travailleur migrant & lorsque les membres de la fmailel du travailleur migrants n’exerce
pas 1 actv éco.
Et par csq ce statut fondamental fondée sur la citoyennté est indépendant de totue
considération économique & crée au profit de ce citoyen 1 dt de séjour & de libre
ciruclatio autonome, déconnecté de l’exercice d’1 actv éco. (qu’elle soit salarié /
libérale)
La Cour de Justice a crée 1 nv régime de libre circualtion fondée sur la citoyenneté EU.
Mais dans arret obmabst de 2002, la Cour de Justice = art relatif à la citoyenneté est
d’effet diretc / applciabilit direct = creé des dts direcmtent pour les ressoritssants des
Etats.
Pas des dts absolue. = directive 2004.38 (dt de sejoru de courte durée & plsu de 6 mois si
pas d’actv eco pas de prestation sociale par ex) intevrenue our cosnoldier & rendre
cohérente la jruisprudence de la cdjsutice acete de dt pv = harmoniser les législatiosn
pour pas d’entraves inutles
diretcive ft 1 distinction entre séjour de lognué durée = si citoyen pas éco doit disposer de
ressources financières suffisantes = doti pas devenir 1 charge financière lourde pour l’État
d’accueil
courte duree
⇒ La libre circulation pour motif éco devient l’exception. Mais en cas de perte la
citoyenneté qui pdrl le relais
- 1 citoyenneté qui crée 1 régime autonome de libre cirulaiton peu timporte le motif pour
lequel on s’est déplacé à la base.
Jsuqua arre bmbast on se déplaçait pr motif eco & que quan perdait cette qualité quon
sappuyait usr citoyenneté mais avec bomabst la libre ciruc basé sur la citoyentté = est
autonome
⇒ La Cour de Justice assure libre circulation des personnes sur fondement citoyenneté
tout en préservant les autres motifs de circulation
Arrêt bomabst carak clair precis article 18 du TUE & itnerpréter coM ocnférant ??? en
déconnexion de toute actv éco = libre circulation = autonomistion des personnes /
citoyens EU.
La citoyenneté EU n’est pas statique pour la déclencher = 1 faut circuler. = citoyenneté par
essence n’est pas statique. N ese délenche que si on a ciruclé. = le rattachelent au dt de
l’UE = lirbr cirulation & M° intérieur nécessite cela
Ex : 1 citoyen français, Jean, qui réside à Paris. Jean décide de prendre des vacances
d'été et de voyager en Italie avec sa famille. La citoyenneté de l'UE n'est pas statique.
Elle peut être activée lorsque des citoyens européens se déplacent à travers les frontières
et interagissent les uns avec les autres. La libre circulation des personnes au sein de l'UE
favorise ces rencontres et collaborations, renforçant ainsi le caractère dynamique de la
citoyenneté européenne.
l’arrêt Baumbast, la CJUE avait envisagé le maintien du droit de séjour pour un parent
ressortissant d’un pays tiers marié avec un citoyen de l’UE pour pouvoir assurer la garde
de leur enfant lui-même citoyen européen en cas de divorce. 11 Cette jurisprudence a
ensuite été consolidée dans la directive 2004/38.12 L’affaire NA vient enrichir cet édifice.
Cetet lirbe ciru et dts qui s’y atatche reconnsu aux memrbe de la fmille du citoyen qui sont
ou non ressoritassnas européennes = le lien familial avec 1 citoyen ressoritsant d’1 Etat
membre.
Tjr 1 mvt que la cour de justice requiert. La notion dextranelité ?? etre ne mvt pas faicel à
déceller = au cas par cas
L’arrêt baubast dans 1 arret du 8/03/2011 : Dans cette affaire il s’ets agit d’un couple de
provenance d’AML(Colombie) qui otn obtenu 1 contrat de travail en Belgique & qui se
sont installés en Belgique = ont eu 2 enfants nés en Belgique. Et ces enfnats selon la
législation belge, ont la nationalité Belge = dt de sol (depend de chat etat qui le decide) et
son par csq des citoyens EU.
rôle de la cjue = est ce qun 1 citoyen EU mineur confère 1 dt de sejour à ses parents
majeurs ressortissant d’1 Etat tiers. Les enfnats mineurs n’avaient jamais circulé = jamais
fait usage de leur citoyenneté EU.
Pour déclencher la citoyenneté il faut avoir au préalable circuler ds les EM
- Dans arrêt 05/2011, Ms Carthy, la CJUE va faire de l’affaire s’enprano 1 cas d’espèce et
non pas 1 cas de principe. Il faut pour pouvoir invouqer la citoyenneté = il faut circuler = 1
exceptio qui repnd à 1 situation exceptionnelle.
• Ms. McCarthy, 1 irlandaise qui vit aux RU car possède la double nationalité & n’a
jamais circulé = jamais installé dans 1 autre Etat membre. (jamais fait déplcaement
IR-RU)
• Se marie avec 1 ressortissant ??? & tente de faire bénéficer son mari d’1 droit de
séjour sur le fondement de la citoyenneté EU & donc de bénéficier du dt de l’UE
pusique les autorités britanniques avait refusé de délivrer 1 titre de séjour à son
mari.
• Ms. McCarthy conteste ce refus à la juridiction administrative & invoque la libre
ciruclation?? devant la Cour arrêt ???.
• La CJUE a fait 1 pas en arrière, qu’en espèce la citoeynneté EU, que le dt de séjour
qu’elle pouvait conférer aux melbre sde la famille d’1 ressortissant EU / d’1 Etat
membre ne pouvait produire des effets que si le citoyen à circuler en appliquant le
raisonnement de l’arrêt des colombiens.
• Car Ms. McCarthy est 1 ressortissante EU = qui n’a pas circulé comme les enfants
zaprano(colombiens) mais à la ≠ elle est majeure. = le fait que son mari ne
puissen tpas venir avec elle au RU ne l’empêche nullement à exercer les dts que lui
confère la citoyenneté. = pas privé de la « jouissance effective des dts conféré par
la citoyenneté / le statut de citoyen EU / de citoyen de l’UE. » ≠ des enfants
zamprano.(colombiens)
⇒ La CJUE dit que pour pvr b »énficier de la citoyennté il faut l’invoquer ds 1 cadre
transnationale & donc tranche la ? de savoir si la citoyenneté peut
produire . ?????? par 1 citoyen qui n’a pas circulé sauf lrosque prive la jouissance
effective des dts atatché au statut fondamental de la citoyennte = le dt de libre
circulation = demereurer / circuler / séjourner
• citoyenneté =
⇒ Cette libre circulation fondé sur la citoyenneté = pose des ? sur la position de l’indiV./
sur la liberté de disposer de soi = paradigme
2nd fondement :
• En ce sens, la CJUE précise que lorsqu’1 citoyen EU est économiqueM non actif =
il ne peut prétendre à totues les prestations sociales dans l’État membre d’accueil &
qu’1 inégalité de traitement peut subsiter & rappelle d’ailleurs au point 78 de
l’arrêt que ce type de réglementation qui exclut du béénfice des prestations
sociales, les ressortissnats d’Etats membres économiquement non actif = visent à
eviter de détourner la libre circulation de sa finalité 1ère qui est l’intégration EU. « 1
tourisme d’aide social »
• La Cjue dit qu’il est normal que les Etats reglementent les conditions d’accès à
certain prestation sociale pour les ressortissants d’Etats membres économiquement
non actifs et non pas de rscre suffisnate spour ne aps utiliser la libre circula tion
d’obtenir le bénéfice de l’aide sociale d’1 autre Etat.
• L’indiV a rompu le pacte sociale car est en prison = « isolé » directive 2004/38 = 1
cause interruptive de séjour = a été isolé de la société = 1 cause interruptive
5/09/2023 : Séance 4 :
- a permis a la CJUE de se prononcer sur des nvl ? ui n’avaient pas été anticipées dans la
redactions des traités.
- La citoyenneté
- la libre circulation va créer ce conflit de V entre les Etats & mettre des approches
nationales
= régler pbs de concu sociétale / actionol
• Thx Charte des dts fondamentaux que la ? de l’incorporation des V dans l’O
juridique de l’union = expliciteM posée / incorparation a été discuté lors des travaux
préparatoires s’agissant de l’intitlué même de la Charte « des dts & des V
fondamentales » = intitulé pas retenu mais le texte de la charte dès son préambule
fait explicitement référence à plusieurs reprises aux V qu’il qualifie : « soit de
commune ou d’indivisible & universel » = préambule de charte précise également
que l’union se fonde sur les V indivisibles & universelles de dignité humaine ;
de liberté ; d’égalité & de solidarité.
• donc apr cette demrache redcateur traiét de lsibonne = reocnnaise leur fondement
constitutionnel qui est renforcé par la reconnaissance de la force contraignante
de la Charte des dts fondamentaux. = double moment de la constitutionnalisat°
• Donc art 2. du TUE s’inscrit dans ce proceSS π de la construct° EU & permet aussi
d’exercer 1 influence certaine sur l’action normative des institutions & donc sur la
réalisation du M° intérieur.
• Cette intégration de art 2. du TUE, n’est pas si claire que ça = puisqu’elle soulève
1 ? en ce qui cocnerne leur place concrète effective dans l’ordre juridique de l’union
cad s’agit-il des N supérieures dont découlerait les principes qui régissent l’UE. =
qu’elle est exactement leur statut juridique = commun aux etats & queles est
excatement leur role et place, cmt sont elle concrétisés & qu’elle en sera la
csq ??????
• Dans art. 2 des V principes dts fondamentaux = plusœurs catégories juridiques qui
se cotoient
• N’a pas eu a avr 1 incidence aprè entrée en vigueur du traité de lisbonne = mais est
progressivement revenu à la CJUE = la mission de préciser leur portée & dans al
doctrien ?? de la jurisprudence ≡ ??? l’idée selon lal le s repstetc des V de l’union
est : « 1 impératif juridique & π » aussi bien pour les institutions de l’union qu epour
les Etats membres.
• Donc els V de l’UE n’ont pas qu’1 existence symbolique = s’isncrivent dans la
réalisat° de l’objf π … 9h30 a construction π du modèle EU de société défendu part
art 2. du TUE.
• Par csq, l’incorporation des Vds les traités = sera suivie des faits, ainsi art 3. §1 du
TUE assigne à l’UE = l’objf de promouvoir la paix, ces V & le b-ê de ses peuples
= nécéssairement ds réalisation M° intérieur : ??? == 1 concrétisaiton normative,
concrète du rôle des traités, rôles / place des V mais aussi dans réalisation du M°
intérieur ;
tfue & tue = pas dans version de Maastricht de 1992 = traité de lisbonne 2009 = la charte
des dts fondamentaux pdr 1 V normative
charte des dts fondamenteux = conseil EU de nice pour proclamation charte des dts
fondamentxu de Nice, 12/2000.
TFUE (2 partie du texte = se concentre sur le champ isntutut matériel de l’UE / TUE :
Ex : Arrêt Omega, 2004 : juste apr proclamation de la charte des dts fondamnetaux &
avant entrée en vigueur du Traité de Lisbonne.
• Ds cet arrêt, 1 société GB souhaite exporter en ALL, 1 concept qu’elle avait dvpt ;
commercialisé auprès des centres de loisirs qui sont établis au RU. Le concept de
laser-game
• mais comme s’agit d’1 S = libre circulation des S
• Sauf que les autorités ALL, ont refusé l’importation de ce concept en ALL au motif
que ce concept entre en conflit profond avec la dignité humaine tel qu’elle resulte
de l’art. 1 de la loi fondamentale allemande.
• CE concept entre en conflirt avec concept de loi fodnamentale ALL ; la constitution
ALL très inspirée d’1 ….. en raison de cxt historique où la loi fondamentale a été
élaboré. (entre en contradiction profonde w/ dignité humaine & peut avr csq sur sa
dignité humaine)
• Dans 1 1er tps, la CJUE va préciser la place de la dignité humaien dans l’ordre
juridique de l’union. Dit dans motifs de l’arrêt : « ne suffit pas que l’ALL est 1 … pour
que ce soit respecté au nv
• Les libertés de circulation ne sont pas absolues et ces restrictions peuvent résulter
de la dignité humaine car inérante …. ????.
• Et cela sans qu’il y ait besoin que ce soit les Etats qui revendiquent leur propre
conception.
art 19 ; du tue obligation de ne pas revenir sur les standards ????? = ex : en reaction axu
réformes judiciares de la pologne et remettent en cause l’indépendance de la justice.
• On trv ds ces 2 art. = l’idée d’1 espace de libre cioruclation des facteurs de
production (marchandises ; personnes ; S & kKô) entre les etats memrbes de
l’union & l’épanouissement du M° intérieur se fait thx stimulation de la liberté
d’exercer 1 actv éco.
⇒ Par csq, l’interdiciton des restricitons à la libre ciruclation à l’intérieur des territ°
de l’union = 1 condition essentielle pour la réalisation du M° intérieur.
• Motifs de dérogation que les Etats peuV opposer à la libre circulation. ???? À
l’égard de leur propre Etat.
• La suppression des frontières intérieurs = passe par la suppression des mesures
nartionales qui entravent la constitution du M° &
• Arrêt shull la CJUE avait précisé que le M° in,téireur vise à l’élimination de toutes
les entraves intra-communautaire en vue de la fusion des M° nationaux ds 1 M°
unique réalisant les conditiions aussi proche qu epossible de celle d’1 véritable M°
intérieur.
• Le M° intérieur ne concerne pas que les marchandises = la LC conclue de manière
plus la LC large es personnes, facteurs de production (travail & K).
- 1 union π :
• Aller au-delà aspecté co = disposer d’1 gouvernement commun en ce qui concerne
la π intérieure & π extérieure.
• Le M° intérieur ne fait pas cela car sa réalisation dépend de la volonté des Etats,
des compétences de l’union. ??????? = ne signfiie pas que n’y contribue pas.
• si M° intere pas 1 union π ne signiefie pas que sa réalisaie ???
- 2 éléM qui détermine l’intégration poussée à travers mais aussi éliminaiton rogressive
d’obstacles à la LC ;
• élimiantion progressive d’obstacles à la LC ⇒ Se fait de manière négative,
l’interdiction de principe qui pèse sur les Etats d’entraver la LC au sein du M°
intérieur. = qui est l’effet direct.
• De ne pas adopter de nvl mesures venant entraver la LC / de nvx obstalces à la LC
• Elimiantion est positive = car se sont les institutions de l’UE qui vont intervenir par
l’intermédiaire de normes communes afin de réduire les disparités entre les
législations des Etats. = C’est le mécanisme d’harmonisation.
• adopter les N communes que les Etats vont adopter dans leur O juridique national
= & ces N communes entraînent l’élimination des obstacles à la LC.
• Le process d’harmonisation = rendu possible thx introduction art 114. du TFUE qui
autorise les législateurs de l’union d’intervenir par le biais des directives / voir de
règlements afin de rapproher les disparités nationales dès lors que celles-ci ont 1
incidence sur le bon fonctionneM du M° intérieur.
- §2 de 3e section
2e principe :
09/10/23 :
Arrêts CJ rendu dans le cadre du M°I = cette LC a été la 1ère LC avait éét interprété par
la CJ d èemanire constructive & a permis de donner 1 cadre juridique transposable aux
autres LC.
• Cette LC n’est pas conçue de manière isolée, elle est l’1 des principes
fondamentaux / 1 des objf généraux qui commandent l’action de l’UE.
- La LC des marchandises :
• Toutefois, lecture des traités = montrent davanateg le côté éco & douanier de la LC
des marchandises.
En effet, art. 28 du TFUE précise que : « l’Union comprend une union douanière
qui s’étend à l’ensemble des échanges de marchandises & qui comportent
l’interdicition entre les EM des droits de douane à l’importation & à l’exportation &
de toutes taxes d’effet équivalent ainsi qu el’adoption d’1 tarif douanier commun
dans leus relations avec les Etats tiers. »
• Ce pend de l’union douanière & LC n’est pas le seul dans les traités = de nbr
dispositions des traités ont des incidences directes sur cette liberté (les entraves,
restrictions de nature fiscale).
• Quand bien même ses mesures entre ds le cas de la π fiscale dans le cadre de
l’union = peuvent avoir 1 incidence sur la LCM.
Produits qui se trouvent en libre pratique : pas des produits d’EM mais produits
d’ETiers qui se trouve en libre pratique = des produits importés d’1 Etiers qui ont
respecté & payé le dt = régulièrement introduit dans le M°I après avoir effectué les
démarches douanières & leur mise en libre pratique signifie qu’ils sont assimilés
aux produits des EM & bénéficie du principe de LC. ⇒ Sa LC ne doit pas être
entravé = produits ??
territoire douanier commun se caractérise par rapport à l’existence d’1 tarif douanier
commun pour impottation venant de l’ext & absence de droit de douane à l’intérieur. ⇒
Logique douanière inérante à cet espace.
- Territoire douanier de l’union = qui figure à l’art 52. du TFUE & art. 355 du TFUE qui
précise quels sont les territoires exclus du champ d’application des traités = donc qui ne
font pas partis du territoire douanier. & des territoires pour lesquelles les EM exercent 1
relation extérieur qui ne font pas partie du territoire de l’union mai spour lesquelles ces
Etats ont accepté d’étendre le champ d‘d’application des traités.
Quand on se trouve dans ce territoire douanier = dès qu’on a 1 échange territorial (càd 1
mvt) ⇒ La LCM s’applique.
⇒ L’élement territoriale de l’échange fait également préciser que sont exclus par
principe du champ d’appcation de la LCM qui ??? dans le cadre pûrement national
puisqu’il manque l’élement d’extranelité que caractérise la LCM.
• 1 faut 1 échaneg intra EU???mais sans que la LC s’applique = faut 1 élement pour
déclencher la LCM.
Des législations nationales pûremnt interne : pas 1 LC, tout se passe sur le ter° d’1 même
EM.
Va apprécier les effets potentiels de la législation nationale des échanges intraeuropéen.
Faits :
législation française = interne = qui ne concerne que les fromalges issus d’1 certaine
région mais qui empêche les producteurs étranegrs d’obtenir ce label sous prétexte qu’ils
ne s’y trouvent pas.
La CJ = ne permet pas aux producteurs étrangers de suivre cette procédure ???
Guimont croute
Conformément à l’art 28. du TFUE se définit par rapport aux échanges entre EM de l’UE
qu’il s’agisse d’importaiton / d’exportation ou de transit
• Selon, art 28. du TFUE la LCM s’applique tant de produits originels des EM ou des
produits en provenance de pays tiers qui se trouvent en libre pratique au sein de
l’UE.
Fait :
Cette LC cocnernait nons euelemnt le commerce professionnel mais également celui des
particuliers. (pas 1 vocation professionneelle économique pré)
• La LCM concerne particuliers & pro
• Mais dans 1 arrê tplus récent, 19/11/2020 : Dans le cadre d’1 question rpéjudicielle
introduire par la Cour d’appel d’Aix)en-Provence (FR) ⇒ La CJ s’est pronponcée en
faveur de la LC des produits CBD, cannabidiol à partir du moemnt oùm ces produits
léglament produits & commercalisés dans 1 autre EM mais subordonne cette
commercialisation à 1 double condition.
Libre pratique : dans formalité douanière = selon l’origine du tarif douanier commun ⇒
Principe de l’assimilation
Principe de l’assimilation :
Art 28 §2 sur le TFUe prévoit cette assimilation dans ce qui cocnerne dts de douane,s
taxes d, les restrictions qunztitves & mesures d’effets équivalente qui demeurent interdite
dans leur principe en ce qui concerne leur LC
L'Union comprend une union douanière qui s'étend à l'ensemble des échanges de
marchandises et qui comporte l'interdiction, entre les États membres, des droits de
douane à l'importation et à l'exportation et de toutes taxes d'effet équivalent, ainsi
que l'adoption d'un tarif douanier commun dans leurs relations avec les pays tiers.
Les dispositions de l'article 30 et du chapitre 3 du présent titre s'appliquent aux
produits qui sont originaires des États membres, ainsi qu'aux produits en
provenance de pays tiers qui se trouvent en libre pratique dans les États membres.
• Cette abolition prend sens par l’interdiction d’introduire des drroits de douanes qui
vont frapper la LCM.
• Réalisat° du M°I = accéder au M°.
Clause stand stil impiosé par art 12. du traitée CEE (ancien traité) = reconnu principe
d’effet direct ⇒ dans arrêt Van Gend en Loos ⇒ dernier droit de douane demantelé = dan
sa cosnruction du M°I, les dts de douane sont facilement identifiables car se sont des
charges objectives inscrite dans des documents administratifs nationaux ??? & donc a
éliminer.
L’action de l’UE dans le cadre de l’union douanière se consacre exlcusiveM sur le volet
extérieur cad ur la précision .. ; des trafics & des contrefaçons.
Plus problématique, est la qualification des taxes d’effets équivalent à 1 dt de douane.
→ Les taxes d’effet equivalen tpeut être perçu à l’occasion de ≠ ???
Dans cet arrete cj va définir la taxe d’effet équivalent comme 1 taxe quelque soit son
appelation & sa technique de perception dès lors qu’elle cosntitue 1 dt unilatéralment
imposé soit au moment de son importation, soit ultérieurement & qui frappe
spécifiquement 1 produit importé dans 1 EM à l’exclusion du produit national simillaire.
Cette taxe a pour résultat la même incidence qu’1 dt de douane sur la LC des produits
parce qu’elle altère son prix.
Dans cette déf , la CJ souligne le caractère discrimiantoire de la taxe d’effet = c’ad 1 taxe
qui s’applique à 1 produit importé & non pas aux produits nationaux.
Cette définition fait entrer dans la notion de taxe d’effet équivalent ⇒ 1 élément objectif
= Cette taxe est générée au moment où le produit franchit 1 frontière douanière (= d’1
Etat vers 1 autre), à l’exportation ou à l’importation ?
1 frontière douanière & depuis 2004 décision du Conseil qui avait acté l’existence de ce
régime exceptionneL
particularité insulaire = 1 régime dérogatoire autorisé ?? autorisé ?? = les DOM-TOM
En raison de ces définitons, taxes d’effets équivalent rentre en concu avec d’autres
charges ?????? se greffé sur les marchandises : redecevances, impositions intérieures.
Taxe d’effet équivalent par rapport aux redevances : pas de justification à leur maintien
la seule possibilité pour 1 Etat est d’introduire 1 charge pécunnaire dès lors que celle-ci
peut être qualifié de redevance.
La CJ 1 charge fiancière mais qui ne porte pas sur la mahandise mais qui entoure sa LC
La redevance : Ne vise pas le franchissement d’1 frontière qui est à l’origine de la taxe,
mais la contrepartie d’1 opération ???
Conclusion : Les dts de douane & taxes d’effet équivalement interdits de manière
aboslue. Les redevances & les impositions intérieures.
• Les dts d’axises ? Dts qu’ona cquite pour accéder à la consomamtion de certains
produits. Taxe perçu sur le commerce de certain produits sur 1 territoire
⇒ Les dts dt daxises à la ≠ de la TVA = porte sur 1 qté et non pas sur 1 V.
Ex : Commerce d’alcool dt d’axises
- Les Etats = grande marge de manœuvre en matière fiscale = cette imposition intérieure
peut constituer des prétextes pour taxer les produits importés.
Pour cela que les impsoitions intérieures ne sont comaptbiles avec le M°I qu’à certaines
conditions : sont itnerdites
• Interdiction des mesures fiscales discriminatoires = au terme de l’art 110. alinéa 1
du TFUE : « Les Etats sont interdits d’imposer directeM ou indirecteM les produits
des autres EM de manière plus importante quer celle que les taxes qui frappent les
produits nationaux similaires.
Distinction w/ effet équivalent reste le fait générateur = tant que franchisment d’1 frontière
intérieure = 1 taxe d’effet équivalent
La taxe d’effet équivalent frappe les produits importés, mais aussi les produits nationaux
qui sont exportés & la taxe d’effet équivalent ne peux pas être rattaché ni à la catégorie de
redevance, ni aux impositions intérieures ;
17/10/23 :
- Il peut arriver qu’1 opérateur économique paye 1 taxe = donc il conteste la légalité & que
cette taxe effectivement sera déclaré contraire à la LCM parce qu’elle est assimilé ) 1 dt
de douane ou 1 taxe d’effet équivalent.
- Ds ces codnitions nous avons 1 opérateur éco qui ets laisé & le dt de l’UE lui confère
dans cette situation, 1 dt à récupérer les sommes indûmment perçues nommé en T
juridique « la répétition de l’indu » (ce qui n’a pas été du)
La répétition de l’indu se définit = comme la réclamation de ce qui a été versé sans ê du &
eu égard à l’interdiction de principe de ne pas maintenir les dt de douanes ou des taxes
d’effet équivalent ; le dt d’obtenir le remboursement est consdiéré comme la csq & le
complément comme 1 complément des dts conférés aux particuliers au titre de cette
interdiction.
C’est ce qui résulte d’1 arrêt de la CJ du 21/09/2000 : Affaires jointes C441/98 & C-
442/98 : Affaire Michaïlidis.
• Dans cette arrêt la CJ a explicitement fondé le dt à la récupération des sommes
indument poerçues sur l’interdiction de principe d’introduire ou de maintenir des dts
de douanes / des taxes d’effet éauivalent pouant aller jusqu’à l’interdiction des
mesures fiscales discriminatoires voire protectionnistes.
• autonomie procedurale dont benefie les EM pour déf le régime juridique : des
actions en répétion de l’indu (la repetition de l’idni) n’est cpdt pas absolue pusique
les juridictions nationales doivent respecter les principes d’équivalences &
d’effectivités.
• Cela signifie,
• il ne faut pas que les règles procédurales nationales soient ≠ pour les actions
fodnées sur le fondement du dt de l’EU & celles intentées sur le fondement du dt
national ⇒ 1 égalité de traitement procédurale = « les mêmes modalités & non
modalités ≠ ».
• CJ va plus loin dans principe deffectivité:= ???? encore fuat-il que ces règles ne
rendent pas excessivement difficile voire pratiqueM impossible l’action en répétion
de l’indu fondée sur le dt de l’UE.
⇒ CJ va loin ⇒ dt de l’UE = 1 dt intégré a le statut du dt naitonala mais c 1 dt
autonome dont il faudra presevrer leffectivte = 1 logique spécifique
• sur le fondement de la primauté que la CJ justifie le principe d’effectivité.
législation IT =
parfois attaquer les délais nationaux : délais procédurale nationaux = pour que l’opérateur
éco puisse introduire 1 action en justice
- Quel est in fine l’î cette règlementation nationale ?de cette jurisprudence / de cette règle
procédurale
• ?? qui peut peser sur operateur
• de ne pas favoriser / éviter l’enrichissement sans cause. = car soit déjà repercuté
dans 1 certaine mesure donc eja refund ; soit par aD = exerce 1 action en répétition
⇒ C’est pour cela, pas simplement 1 ? procédurale, 1 situation complexe d’1 pdv éco.
Motnant svt ouléve ds les affaires & en fonction de la configuration éco soit le montant est
intégralement remboursée ; soit partiellement remboursé ; soit pas de remboursement (car
récupéré par d’autres moyens ou mesures fiscales plus légères) = 1 analyse d’ensemble
de la règlementation fiscale / douanière nationale & commerciale.
Arêt rewe & come= sujet de la législation IT en ce qui concerne les délais de prescriptons
des actions c’est-à-dire la recevabilité des actions = lorsque c delai trop court = les
operateurs éco nont pas 1 delai raisonnable pour réclamer le remboursement des taxes
indumment perçues ⇒ La CJ & pose le standard de délai raisonable sans pour autant le
définir (5mois ?; 2 mois??) par rapport à l’opérateur économique normalement invevrti. (ne
doit pas que l’ignorance joue en son profit)
Dans art. 34/45 du TFUE ⇒ interdise les RQ & mesures d’effets équivalent à celle-ci =
tant à l’importation qu’à l’exportation.
- Art. 36 du TFUE (si vise exhausivité) ⇒ Prévoit des limites & des dérogations à ces
dérogations mais seulement ne ce qui concerne les entraves non-tarifaires. ⇒ Les RQ &
mesures d’effet equi ont pr objf de réaliser M°I dans sa globalité = pas 1 choix éco mais 1
π commerciale.
Les mesures qui comprote des restrictions à la LCM = tjr des mesures concrètes.
- Cette évolution exponentielle du champ d’application des mesure sdeffet equi a des RQ
& correlativement l’etension des justificaitons que les E peuven tinvoquer s’explique par
l’intégration éco de + en + poussé dans le cadre du M°I & en m^ tps par législation
nationale de + en + disparate & nécessité d’harmoniser = processus de l’harmonisation ⇒
c’est l’élaboration d’1 N commune qui va fixer des exigences communes en T de N de
commercialisation & de fabrication des produits.
MEERQ :
• La mesure d’effet équivalent est 1 mesure qui de part ses effets produits /
enteainee,ntriane la meme csq sur le volume de la commercialisaton des
marchandises mais qui ne formule pas en tant que telle 1 quota ou 1
contingentement = Il faut rechercher dans ses effets si ne produit pas la même
restriction que lorsqu’elle posera clairement 1 quota / ou 1 contingelentemnt.
• La def meddfet pas clairement défini dans les traités & on voit dans art. 34/45 du
TFUE qseulement l’approche fonctionnelle de la mesure dreffet euqivalent = ses
effets sapparante à 1 RQ = thx CJ que la notion de mesures d’effet equi va ê
précisé & ce dans l’Arrêt 1974, Dassonville.
• CJ nous dit que ceux qu’ils sont vises = la susalification donnée dans Arrêt
Dassonville, 1974, précise dans cette déf le type de mesures nationales qui
peuvent tomber sous le coup de la notion de MEERQ & surtout ces mesures ont 1
effet restrictif aux échanges. & que cette effet restrictif qui permet de la qualifier de
mesures d’effet équivalent.
- Toutes les mesures qui pevuent ê imputées soit à l’E ; soit aux colelctivités locales ; soit
à des perosnens morales de dt public ; soit à 1 organisme de dt pv disposant d’1
prérogative de???P = tjr 1 imputabilité à l’E.
- Formes de la mesure :
• 1 MEERQ peut résulter d’1 N legislative, adminsitraitve
• peut ne pas ê obliagtorie & avoir 1 forme purement incitative
ex : Commisison contre IR 1982, bay irish = cj a condamne IR pur avoir financé 1
campagne de publcites enteprises par organismes pv & slogan « buy Irish » =
action des entrep pv mais financé ?? par l’E = pas E à l’origine de cette publicité
mais y a pariticpé en donnant les fonds.
- Paefois 1 MEERQ peut résulter d’1 action d’1 personne pv = Arrêt 1997, Commission
contre FR = Affaire dites de la G des fraises : à l’imoprtation des fraises d’ESP = FR
importés d’ESP
• producteurs FR dommages aux agriC ESP = destruction marhcandies importés =
recorus en manquement = manquement constaté en FR sur le fondement de art. 34
du TFUE = E n’a rien ft = la restriction à l’importaiton est 1 acte d’origine pûrement
pv = ce que CJ a retneu c que E s’est abtenu d’agir, dagir & dapoter les mesures
approprié pour fr cesser ces torubles à l’O public & police adminitrattive = le
rattachjement à l’E ets lié non pas d’1 action + (N??) mais de son inaction.
YO ??? = rôelt rs en retrait de l’E = modif fonction & rôle de l’em sur relaiton du M°I
- Faits : 1 manif’ d’eoclogiste sr 1 autor autirchi reliant ALL à l’IT & cette manif’ a blqoué
ciruclaion pdt 30h = le transporteur ALL transprotant marchandises perissables (produtios
frais) a attaqué l’autriche sur le fondement de art. 34 du TFUE 1 violation de la prohibiton
des MEERQ
CJ a qualifiéds cet arrêt de merers= labstention des autorités autrichiennes qui ‘nont pas
empêché le blocage des camions entre ALL & IT.
• ⇒ L’autriche a manqué à son obligation de fr respecetr sur son propre territoire le
principe de LCM. = aurait du agir. = fondamental dans traités
Dans cet arrêt, La qualification de MEERQ de cette abstention, a dans cett arret a été en
recvanche justifié au titre du respet d’1 dt fondamental, lib fondamentale = dt / liB de
manifester = mais également fondamental dans les traités
• 1 abstention qualifiée = E a autorisé cette manif’.
• Oppose dava,ateg nin pas mesure nationale mais comment E régule les liB
fondamentales sur son terri’.
Dans arrêt Omega, liberté et libre perestation du S garantie par les teaités & utre côte ???
la dignité humaine
encore faut-il que cette inaction / mesures produisent 1 effet restrictif aux échanges
La mesure peut avoir 1 effet restrictif au regard de la jurisprudence de la cour = mais cet
effet retsrictif est sans effet car ne concerne que des situations pûrement internes.
• Seule limite à cette extension large de la qualification de MEERQ & des
justifications = le champ d’paplciaiton teritoriale de la LCM = il faut 1 situation
présentant 1 élément d’etxrenatilite, la mesure d’effet équivalent ??? puremlnt
interne.
Arrêt Pistres & ??: la CJ va rechercher si potentiellemet sous pretetxe quon est sistuaiton
purement que cette mesure presnete de part ses effets 1 élément d’extrenlaite c’est-à-dire
quelle à vocation par principe à s’appliquer dans 1 situation intranationale.
⇒ CJ va vérifier si legsialtion reglemantion nationale a vocation à s’appliquer dans
1 cadre extraterritorial ? Ne s elimite pas ?? pûrement interne soumis????.
La MEERQ peut discriminer 1 discrimination à rebours dans situation pûrement interne &
échapper à la contestation de sa légalité au regard de la LCM.
1 effort ???? dès 1970 par la Commission & déf libérale & avait introduit 1 élément de
discirmination = élément discrimiantoire tant de manière directe ou indirecte.
• Déf propsoé par Commission par retenu par CJ pour laquelle le critère discriminiant
ou pas n’est pas décisif.
• L’apport de la jurisprudence qui étend le champd ‘apmicaiton des MEERQ non
suelement à l’importation (ilprotaiton de produtis en provenance d’EM sur le terri’
national) mais aussi son apport était de retenir la qualificaiton de mEERQ lorsqu’il
s’agit d’1 opération d’exportation.
Arrêt Groenveld,1979 :
Fits : Volonté d’1 fabriquant néerlandais d’invetir & de sourvrir dans l’actv de fabricaiton de
charcutertie à destination d’EM lorsqu’il s’agissait de l’utilisation de la viande de cheval.
La réglementation néerlandaise reposait sur l’interdiction ou sur l’établissement d’1
certificat démontrant que la fabrication de charcuterie ne contenait pas de viande
chevaline & négociant à ft l’obbj d’1 refus de la part de l’aD néerlandaise = reglmeentaiton
qu’il conteste devant les jurdiictions néeerlandaise, notamment l’interdicton de détenir en
stock + de transformer de la viande d cheval surtout lorsqu’il s’agit d’1 actv d’exportation.
- Dans cet affaire = CJ avait retenu l’application de l’interdiction des MEERQ mais a
posé 1 condition = il faut que cette mesure s’applique indistinctement aux produits
destinés à l’exportaiton & produits commercialsiés à l’intérieur de l’EM concerné / M°
national de l’EM cocnerne = sitelle est le ca s= mesure pas incomapgne w/ M°I ≠ si
s’apliqu e≠ement = il y a 1 entrave à l’edportation car à 1 effet proctetioniste du M°
nationale vis-àv-si du M° extereiru.
A permis à la CJ de dresser 1 bilan & opérer 1 typologie des mesures qui sont
considérées comme des mesures d’effets équivalent.
Concerné par cette qualifciatio,n
• Les mesures applciables uniquement aux amrchandises étrangères cad aux
produits importés (venant du M° extérieur) ⇒ laccomplsisment de formalité
particulière d’importaiton
ex : les contrôles sanitaires/techniques qui retardent l’acquisition du produit / Aff
Dassonsville, 1974 au sujet de la législation belge qui impoaient à l’imprtateur de
whisky e fournis en FR d’obtenir 1 certificat d’authenticité de la part de
l’amdinisutartion douanière britannique ??
• ??? les dispositions des reglmentaitosn douanières qui imposent des contriantes
excessives aux importateurs ou exportateurs comme la limitation des points
d’entrées ou des horaires d’ouvertures des pts de contrôle douanier.
• Ex : Aff Commission contre IR, 1982 au sujet de l’Aff « Buy Irish » soutneu
financièrement publcités des organismes vpvs pour inciter à l’achat de
amrchandises produites en IR.
3e catégorie de mesure :
• Mesures qui s’appliquent de manière différenciée au xproduits importés & produits
nationaux.
• Ex : Aff Commisison ocntre Fr, au sujet des publicités des alcools. Les alcools
produits à bse de fruits comme le vin ont 1 grande capacité publicitaire tandis que
alcools de grains (whisky, Gin) ont 1 faible capacité publicitaire.
• Dans cet aff, CJ confirme suil sagit d’1 discrimination indirecte. = car favorise vin
produits ren FR alors que autre alcools produits dans autre E.
4e catégorie :
• Aff Groenveld, 1979 ⇒ Les mesures qui sont indistinctement applicables = ces
mesures régissent la fabrication & comemrcialisaiton des marchandises nationales
& les marchandises importées par essence des mesures non dsicrimiantoires.
• Leu rqualification de mesures d’effet équivalent n’a été retenu que tardivement
dans Arrêt Cassis de Dijon, 1979.
• Sur le fondement de cet arrêt ⇒ CJ a ainsi consolider son approche libérale & a pu
aisni sanctionenr les EM au titre de l’interdiction de mesures d’effet équivalent, de
nbr mesures nationales lorsque cellesc-ci concernaient la fabrication &
comemricalsiaiton des marchandises.
• Cette situation a eu 1 effet négatif = explosion du contentieux devant CJ car totue
reglmeentaiton susceptible de comporter 1 MEERQ & 1 contestation de + en +
forte du rôle de la CJ de la part des EM.
• Evolutoon de la jurisprudence : Après 20 an d’1 jurisprudence libérale conduit la CJ
a préciser sa position initiale & revenir sur 1 interprétation plus consensuelle de la
qualification de MEERQ.
• princiupe de reonnaissance mutuelle
L’arrêtet qui pose prémisse approche libérale := qui étend l’interdiitvon de meerq à totues
mesurs nationales y compris indinstement imoputbale = Aff Cassis de Dijon, 1979.
Faits : implicationde la législaiton all, plsu de 25 % d’alcool = loi applciable au alcool ALL &
alcool etartnegrs & ne comportait aucun caraK discrimiantoire. = mesure sur produits ALL
& reste EM.
Producteur FR quand bien meme pas discriminé avait considere que cette legislation ALL
uqi portait 1 prejudice notamment par l’interdiction de commercialiser son alcool sous le
titre de ‘spirituex’ et pour fabriquant casiss de Dijon s’agissait d’1 entrave à la LCM.
CJ av opérer 1 raisonnement :
1. CJ rappelle que l’absence d’1 harmonision des législations des legislaitons
nationales (cad disparité entre législations nationales n’est pas 1 entrave à la
LCM) n’empêchent pas la LCM dès lors qu’il s’agit d’1 produit légalement fabriqué
conmmercialisé ds 1 EM conformémemnt à la reglementaiton & tradition nationale
de cette EM.
2. CJ admet au’ne l’absence d’harmonisation que les E restent libres pour établir
certaine restrictions aux échanges lorsque ces restrictions répond de manière
proportionnée ≡ exigence impérative d’î général. Comme en l’espèce ALL = la
protection des consomateurs & leur santé publique.
Dans laff cassis = quand esure a effet restrictif fmais justifie par 1 exiegnce ?? repodn au
crtl de protportion,alit e : n’est pas 1 mesure d’effet équivalent mais pour cela i faut 2
conditons
• Mais en revance cete mesure peut ê qualifié de MEERQ psq quand bien même elle
s’aplque indistinteme,t elle a pour efeftd e favoriser les produits à fortes teneurs
alcoolique & tout particulièrement ceux produits en ALL. (CJ va loin dans analysé
des effets de cette législation nationale) (principe de proportionnalité)
• résulte que les mesures sindcitntement applicable comporte 1 ??? à 1 double
cod,nition mais la CJ dit qu’il faut 1 motif d’î général (protection coson) & si tel par le
cas CJ va de pencher sur effets sur ctete reglmeentation au regard des produits
nationaux.
• Pas 1 meerq = A la double condition & répond principe de proportionnalité.
⇒ 1 double déf de MEERQ 1974 & 1979 & englobe totues les mesures de π éco &
comemrciales???natioanls
- Ex : ,IT
• La législation IT / reglementatio IT sur la composition des pâtes ⇒ réservé
l’appelation « pâtes » sur son propre territoire à base de blé dur & non pas à base
de blé tendre.
Dans sa jurisprudence Keck & Mithboaurd, 1993, CJ va exclure par principe les
réglementations nationales relatives aux modalités de vente.
24/10/23
évolution de la jurisoorudence de la CJ sur les modalités de vente
• En revanche, ne serons pls consiD comme des MEE les mesures qui sont
indistinctement applicables relatives aux conditions de vente ; elles ne sont donc
plus interdites ⇒ Ainsi CJ va accepter la possibilité pour les E d’adopter des
législaitons ≠s relatives aux modalités de vente sur le fondement d’1
expression d’1 π économique & sociale.
Pour la CJ d’embler par retenir...mais ne signifie pas qu’on les exclue par principe
mais CJ pourra ds certains cas pourra retenir 1 MEERQ mais 1 exam plus poussé.
La CJ à partir 11/1993 :
• va s’inscrire ds la logique de cette jurisprudence & va rester fidèle à cette ??
jurisprudentielle.
• Pour pas ê 1 MEERQ = 2 conditions = à partir où mesures discriminatoires
touchent produits IMP ou destinés à l’IMP = indistinctement applicable
• 1 jurisprudence qu’on va retrv ds les autres LC = 1 jurisprudence assez π = au-delà
de la rép de la CJ = se profile 1 idéologie libérale du M°I & fonction de protection
que va exercer l’E.
Est-ce que l’E peur se prévaloir ?? & quelles sont les hypothèses qui ouvrent pr les E cette
fonction de protection sans ê considéré comme ne respectant pas les engagement pris.
Les dérogations ?? des MEERQ ⇒ l’autorisation donnée par les traités aux E d’exercer 1
compétence normative au titre de la fonction de protection & par csq justifiée 1 restriction
à la LC.
Interdiction ds restrictions est au principe mais n’apparait pas de manière absolue car art.
36 du TFUE prévoit que la LCM peut ê limité losque celles-ci portent atteintes à la
santé publique ; ordre publique & à cette liste textuelle prévue ds les traités.
La jurisprudence va également adj d’autres hypothèses qui résultent de la jurisprudence
Cassis de Dijon, 1979 = ce sont les exigeances impératives d’î général. = la qualification
d’entrave à la LC.
Erxercer & action normative ds répartition des compétences = sur fondement des traités
& ds quelles mesures peuvent exercer ces compétences normatives csq sur le M°I
- En ce qui concerne l’ordre de sécurité publiqu ela CJ précise que ce sont des notions
souples & qui peuvent ê utilisées par les E afin d’assurer la sécurité publique en
fonction des aléas de l’évolution économique ; social de leurs situations.
C’est 1 liste exhaustive cad que si on veut invoquer les dérogations prévues par les traités
se référer sur les 4 cas de figure invoqués.
Sur le fondement des traités.
1. Il faut qu’on soit en présence d’1 Mesure restrictive contraire aux art 34/35. du
TFUE.
Art. 36 est applicable à l’ensemble des mesures restrictives.
2. La dérogation invoquée doit poursuivre l’1 des objf fixé par l’art. 36 du TFUE
(santé publique, poursuite d’1 objf d’î général etc.)
4. Il faut que la mesure soit nécessaire & proportionnée à l’objf = ce qu’on qualifie
de principe de proportionnalité = triple test = test de nécessité ; d’effectivité &
test de l’entrave minimale.
qui prime la mise en œuvre sur le fondement dérogatoire de l’art. 36= compétence
normative ??,,,,,,,, ???,
entrave à la retriction donc E peut se prévaloir 1 ?? ec qui n’est pas forcément le cas pour
les possibilités de dérogations dégagées par voie jurisprudentielle.
En ce qui concerne, ?,d’pi général les dérogations prévues par la jurisprudence = il faut
les positionner par rapport art. 36 du TFUE.
Liste art. 36 est exhaustive / limitative
La jurisprudence a permis aux E d’invouer doautes moyens d’o général sous pretxte qu’on
exigence ???; la protection des dts fondamentaux
Origine juridique des EIIG est subordonné à 3 conditions : de manière préalable c’est 1
exception à la LC.
1. Le recours à cette catégorie juridique n’est possible que pr justifier des
mesures restricitves ds 1 domaine qui n’a pas ft l’objet d’1 harmonisation = 1
divergence acceptable (cacophonie nécessaire au fonctionneemnt du M°I)
dérogations art. 36 & EIIG = ≠ = fondements sur art. 36 ont justifie des MEERQ & sur
fondement d’EIIG = 1 efeft restrictif justfié mais pas la qualificaiton de MEERQ car CJ dit
ds 3 conditons que ds ce cxt on a 1 effet restrictif mais pas la qualification de mEERQ =
effet restrictif justfié par la recherche d’1 EIIG
⇒ Il faut qu’en l’espèce on puisse démontrer en quoi y’a 1 atteinte à la santé = logique
libérale qui prédomine de la CJ.
• On déplace le pb sur la ? des dts fondamentaux MAIS aussi sur les rapports entre
la LC & la protection = se qu’on peut qualifier de l’identité constitutionnelle des EM.
• Affaire Omega, & Schmidberger = au sujet de la liB de manifester.
Conclue la ? De la LCM.
LCM a occupé la jurisprudence pdt 50 ans = a sevi de labo pr l’évolution & précision ???
La LCP & l’exercice des actv pro s’est progressivmeent ?? thx citoyenneté EU qui
ets venue modifier le paradigme de circulation & à fr évoluer l’objf initial de réalisation du
M°I.
La liB professionnel & celle qui d’1 pdv temporel reste la plus imP mais la LCP non actives
s’intègrent ds 1 objf π plus lointain de l’intégration EU.
La LCP pr accéder ou exercer 1 emploi a été d’emblée pensée ds son volet éco & elle
reste aussi promu par le champ d’application de la liB professionnelle. Ainsi que par
l’identification de ces bénéficiaires & des conditions de sa mise en œuvre.
Elle n’est pas non plus absolue = elle repose sur 1 logique d’accès privée & est encadrée
par la possibilité reconnue aux E de restreindre ou réglementer l’accès à certaines
activités dès lors qu’elle concourt à l’exercice de l’autorité publique.
Le libre accès aux emplois salariés prévu art. 45 du TFUE qui garantit la LC des
travailleurs = cad 1 personne qui est économiquement active & qui se déplace pr exercer
1 emploi salarié. ⇒ Il faut 1 relation de travail qui est déterminé par l’existance d’1 lien de
subordination entre le salarié & l’employeur ds l’exercice activité salariale.
ce libre emploi aux accès salariés suppose la liberté de circuler & séjourner sur les
territoires des EM de l’union & consiste en l’interdiction de toute discrimination fondée sur
la nationalité en ce qui concerne l’emploi ; la rémunération & conditions de travail.
La liB prestation des services = fondée sur les art. 56 & 57 du TFUE & la notion de
service est définie comme « toute prestation fournie par 1 personne à 1 autre contre 1
rémunération » à la différence de la relation de travail = lm’actv éco cad la prestation de
services exercé à titre independant , pas de relation de subordination.
La ????? rémunéraiton est la contrepartie effectivie du S rendu
art. 57 du TFUE donne également qlq éléments de déf puisque que « l’industrie,
commerce, artisant » peuvent donner lieu à des prestations des S & au titre de art. 57 =
les actv libérales ont vocation à recevoir cette qualification.
La notion de service n’est pas la plus aisée & certains auteurs la qualifie de notion balai =
on y met tout ce qui ne conerne pas les autre = par la négative = englobe bcp de choses
dès lors qu’il s’agit ???????
vont s’apprécier aux personnes qui sont les prestataires MAIS aussi destinataires des
services = reconnaître 1 dt de LC pr pvr bénéficier du S qui lui se trv & presté ds 1 autre
EM.
Les entraves à cette LC vont ê examiné à la fois au regard du prestataire du S & à la fois
au regard du destinatire de ce S.
direcitve 2011/24 l’accès transfrontalier = la prise en charge des frais du soin médical
prodigué à l’étranger.
Est ce que la caisse national peut refuser les frais engagés ??? reçu à l’étranger ??
• CJ prudente = 1 cas vital = qui démontre aussi la ≠ce qui peut exister ds les syst de
santé entre les EM de l’UE.
⇒ Pzrtiuclatiré de la LC des S
la Lib profesisonnel n’est pas non plus absolue & l’interdiction de discrimination fondée sur
la nationalité ne joue pas en ce qui cocnerne les actv qui relève de l’exercice de l’autorité
publique. C’est les traités eux m^ qui ont prévu cette exclusion = art 45. §5 du TFUE exclu
du chapd ‘applciation de la LC eds travailleurs = les emplois ds aD publique ; de m^article
51 alinea 1 du TFUE exclue les actv particpants meme a titre excepitonnel à l’exercice de
l’autorité publique du champ d’application de la LC de la prestation du service. 11h35
c’est 1 limité à la LC des travailleurs salriés = les E peuvent restreindre voire interdire
l’accès au emploi qui relève de l’aD publique.
La CJ exclue des actv m^ à titre occasionnel à l’exercie de l’aurorité publique résulte art.
51 §1 alinéa 1er du TFUE =
pr profession d’avocat = est-ce que 1 actv éco qui concourt à la réalisation d’1 objf d’î
général.
- Arrêt 1974, Reyners que CJ avaiat estimait que la profession d’avocat n’implique pas de
participation directe à l’autorité publique.
• Cet arrêt a par la suite permis de libérer d’autres activités telles que l’enseignment
pv ; l’actv des entrep de sécurité pv ; l’actv d’expert judiciaires traducteurs &
l’activité du médecin (reconnaissance des diplômes)
• Pour profession médecin = ressortissant d’1 autre EM pourra se voir refuser l’accès
à l’odre des médecins au motif qu’il exerce 1 fonction disciplinaire concourt à
l’exercice de l’autorité publique.
Les csq de cette ouverture sur les bééficaires & mise en œuvre
La ? de la discriminaiton
Les bénéficiaires sont les personnes physiques ressortissants des EM & surtout des EM
qui dispose d’1 qualification profesionnelle & la pb est ⇒ Est-ce ets ce que 1 perosnen phy
peut se prevaloir de ses qualification spro acquises ds son E d’origin epr povr se déplacer
& exercer son métier ds 1 autre EM ?
• CJ a dit oui
• au refus automatique pimpsoée par les autorités nationales
• CJ a invité les E a aplique le princiupe de reocnnaissance mutuelle = & a
procéder à 1 évaluation au titre de l’équivalence de la qualification
professionnelle
Les personnes morales = des entreP à condition B sur que la personne morale soit
rattachée à 1 EM = le critère de rattachement
La personne morale doit ainsi ê constituée conformément à la législation d’1 EM
2e condition : Doit avoir ds cet EM soit son siège statutaire ; soit osn aD centrale ; soit son
principale établissement.
• Lacces par ex, l’exercice = CJ a également consiD qu’un ressoritssant d’1 EM qui s
edéplace pr acquérir 1 formaiton pro ds 1 autre EM & qui revient apr ne pourra pas
se faire opposer la réglementation nationale & doit ê traité comme 1 ressortissant
d’EM ayant ciruclé = ? la LC des étudiants
• étudiants faisan leur études en Belgique pr études véto, kiné = ,FR leur opposé le
refus d’ê inscrit au motif qui ??? de part l’origine de son diplôme = la CJ ds 1 1er tps
va poser principe de recon mutuelele & des qualifications pro = jurisprudence va ê
= reocnnaissnc emutelel des diplômes & des qualifications professionnelles.
cette harmonisation a été ds 1 1er tps exercé sur le fondement de art. 53 du TFUE = s’ets
agit de 2 grandes categories de directives
1. directive sectorielle qui harmonise profession par profession notamment ds
YO 70 = la profesison d’avocat & ensuite profesison liée à la santé & enfin
profession d’architecte
2. catégorie = des directives générales de reocnnaissance des diplômes qui
instaurent 1 système général de reconnaissance mutelle = la particularité de ce
régime est que l’on ne résonne plus secteur par secteur = mais thx 1 système
généralisé
(ce quie st pas vu en corus sera vu en TD & depos apr vacance sparagraphe 3 de la
derniere)