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Introduction

Dr Kervin Maxwell déclaré « Notre travail est d’enseigner aux étudiants que
nous avons. Pas à ceux que nous aimerions avoir. Pas ceux que nous
avons eu auparavant. À ceux que nous avons en ce moment. À
chacun d’eux ». En ce sens, l'éducation forme l'homme pour adapter
à l'environnement en faisant des logiques claires et réelles et la
philosophie en tant que l'ami de la sagesse s'intéresse à l'éducation
en posant des questions sur l'éducation qui est une science permet
à l'homme de recevoir une partie négative et une partie positive en
vue de former sur le plan moral et intellectuel. En outre, la
philosophie de l'éducation c'est une interrogation de la philosophie
sur l'éducation dans le questionnement des valeurs et à quelle fin
être éduquer. Ces questions ont une grande importance pour dans le
développement de l'éducation. C'est dans cette perspective l'auteur
demande quelles différences faites vous entre la philosophie
éducative de Rabelais et celle de Montaigne ? Suivant un plan
détaillé, nous allons répondre à cette interrogation dans les lignes
avenirs.

1- La philosophie éducative de Rabelais


2- La philosophie éducative de Montaigne
3- Une synthèse des deux philosophies.

Développement

1- La philosophie éducative de Rabelais

François Rabelais( ) a commencé son parcours académique et théologique vers la fin de l'année
1510 , au sein de l'église , comme c'était l'habitude des enfants issus des familles aisées. Ensuite en
1520 il devient moine. C'est au début de 1523 qu'il aura ses premiers désaccords avec la façon
d'envisager l'éducation de la sardonne, car elle condamnait l'emploi du grec pour interpréter les
saintes écritures, opinions à laquelle adhéraient les supérieurs du couvent de Rabelais. En suite il
commence ses études en médecine. Et après il commence sa carrière littéraire avec la publication de
son ouvrage Pantagruel. C'était un vrai humaniste qui qui s'attaquait à plusieurs domaines du savoir
et de la science , comme la médecine et surtout la théologie , il appartient à ce moment de l'époque
moderne qui était la Renaissance. Au 15e et 16e siècle. Cette méthode de l'instruction de moyen âge
critique par Rabelais.

L'éducation ( scolastique ) au moyen âge

Le moyen âge est l'une des périodes les plus longues de l'histoire. Dans cette période il y a des
moments de lumière et des moments d'ombres. C'est à ce moment que se sont créés les premières
universités ou l'on étudie les arts libéraux . l'éducation médiévale n'a pas changé radicalement par
rapport à celle de l'antiquité , bien qu'elle place la foi en Dieu au centre de toute connaissance
(autrement dit, toute étude a comme but ultime de préparer l'apprenant a l'intérieur enseignement
de la théologie ). Dans les premières phases de la formation les arts libéraux, qui dans l'antiquité était
considérés les disciplines dignes de l'homme libre néanmoins ce n'ést pas un enseignement pratique
et il n'encourage pas particulièrement la réflexion. Ensuite, les étudiants apprennent des préceptes
par cœur sans raisonnement et fondés uniquement sur d'arguments d'autorité, souvent ils est très
obscurs et parfois même dénués de sens. Les récitations a voix haute de ces doctrines donnaient à
ces précepteurs et à ces étudiants des airs trop prétentieux et vaniteux. Cet aspect sera un des
aspects de l'éducation médiévale critiqué par les humanistes. De même Montaigne critique cet
enseignement sur le thème pédantisme. Rabelais propose un autre fonctionnement de méthode au
niveau de l'instruction.

L'éducation et l'instruction selon Rabelais.

Il propose plusieurs modèles de l'instruction .

1- chantre de l'instruction à domicile

Rabelais annonce clairement dans le chapitre XI intitulé : de l'adolescence de Gargantua ·· Rabelais


annonce clairement la couleur :

« Gargantua , depuis les Troyes jusqu'à cinq ans , feut nourry et institué' en toutes discipline
convenente , par le commencement de son père , et celluy temps passa comme les petits enfants du
pays : c'est assavoir a boyre , manger et dormir ; a manger , dormir et boyre. »

En tout cas Rabelais nous montre que les petits-enfants ont seulement besoins de boire, dormir et
manger sans dans le commencement d'une apprentissage de toutes sortes de choses.

2- Rabelais, Partisans d'une éducation bienveillante.

Cette éducation semble naturel suivant

« il se vautrait dans la frange, se nourrissait le nez, se barbouilliat, le visage, écoulait ses souliers,
baillait souvent aux mouches, et courrais volontiers après les papillons. Il pissait sur ses souliers,
chiait dans sa chemise, se couchait à ses manches, laisser tomber sa morve dans la soupe, et
pataugeait partout… »

Cette manière utilisé de Rabelais est très Scabreuse et Grivoise. Dans ces représentations au niveau
de l'enfant dans ce moment n'invoque aucune punition ni même la moindre désapprobation. Il est
clair sur ce point, n'essaie pas de modeler une punition suivant la conduite du jeune Gargantua, ni
même la remontrance. Il semble naturel à l'auteur. L'un des points importants pour Rabelais c'est la
raison et pas d'autorité. IlIl propose l’hygiène car la science ne peut pas loger dans un corps crasseux
et un extérieur mal propre, Gargantua consacré son temps dans le prendre soin de son corps.

3- L'institution (instruction) de Gargantua et Eudémon

Le père de Grandgousier, père de Gargantua, il décide d'endoctriner (instruire) son fils selon sa
capacité. Il cherche un grand Sophiste Docteur de l'enseigner. Le terme Sophiste utilisé dans un sens
péjoratif, quelqu'un qui veut toujours avoir de la raison différé des personnes qui recherchent la
vérité. Dans cet apprentissage, il le charge d'un gros écritoire qui pèse Sept mille quintaux et on lui
fait avaler des tonnes des livres indigeste. Au point qu'il devenait fou, niais, tout revezx et
complément sot. Dans cette ligne, l'éducation naturelle est mieux accepté parce qu’il fait appel à
l’expérience et au fait, qui ne forme pas seulement un théologien mais un homme sait et comprend la
vie réelle, instruire et le développement intelligence sans éliminer les grâces, la gentillesse et la
liberté de l'esprit. En comparant le jeune Eudemon, en seulement deux ans, avec des méthodes
nouvelles de présente sans les yeux baissés et l'instruit sans pédantisme.

4- L'instruction selon Rabelais : La pédagogie

Rabelais ne veut pas une éducation scolastique, il recherche plutôt de mettre l'homme dans le
monde scientifique, il convie l'esprit a de plein effort, un large épanouissement de la nature
humaine . Grandgousier dixit « qu'il vaudrait mieux ne rien apprendre que de tels livres avec de tels
précepteurs, car leur savoir n'est que bêtise, et leur sagesse que Stupidités ». En seulement deux ans,
l'enfant peut apprendre un cours de pédagogie propose par un savant en vue faire un meilleur
jugement, meilleurs paroles, meilleures propos, meilleures entretiens et honnêtetés". Suivant les
résultats s'avèrent décevants et il envoie son fils étudier à Paris. Puis, il met en disposition des jeux
« Tout leur jeu n'estoit qu'en liberté, car ils laisseront la partie quant à leur plaisoit et cessoient
ordinairement lors que soient parmi le coup, ou estoient autrement las. [ Puis, après s'être change]
allouent voir s'y le disent estoit prest ». Rabelais demande un horaire qui contient des heures de
travail. Et le sport est un élément essentiel et la lecture permet à Gargantua d'augmenter sa
connaissance. Il faut chercher beaucoup de connaissances dans divers domaines de visiter divers
espace de pratiquer la science et des lieux de relaxe.

2- La philosophies éducative de Montaigne.

De son vrai nom Michel Eyquem de Montaigne né 28 Février 1533 et Mort le 13 Septembre 1592 au
château de Saint-Michel-de-Montaigne (Dordogne), est un philosopher, humaniste, écrivaint érudit
et moraliste français de la renaissance. Montaigne a reçu une éducation familiale peu ordinaire. À
cette époque évolue Montaigne à l'évolution de la renaissance, il a publié Des Essais et des œuvres,
principalement sur l'instruction des enfants.

Reproche le système pédantisme

Il a reproché ce système éducatif en plusieurs point. En premier lieu, il critique le pédantisme ( ),


car le pédantisme est l'instruction de son temps qui fait l'abus de l'abus de la dialectique, qui ne
développe pas l'esprit de l'élève simplement Dans un bourrage de crane par Des connaissance stérile,
mal digérés dans deux périodes à travers le moyen âge et les hommes du seizième siècle. Il attaque la
dialectique déjà fait par Rabelais surtout dans la monotonie de leurs formules.

La question, on doit poser Comment se fait il qu'une âme riche de la connaissance de tant de chose
n'en devienne pas plus vive et plus éveillée? Il formule dans la lecture des savants qui emmagasinent
la substance qui n'arrive pas capable de les assimiler.

La pédagogie de Montaigne

En plus nous ne travaillons qu’à remplir la mémoire et laissons l'entendement et la conscience vides
et « il faut s'enquérir qui est mieuxlx sçavant, qui est plus sçavant » En outre , Cenèque déclare
« Étudie, non pour savoir plus, mais pour savoir mieux ». Cette déclaration rejoint Montaigne dans
l'objectif de l'instruction, il veut que les enfants apprenaient autrement, avec plus de réserve, de
discrétion et l'utilisation des autres méthodes. Dans la formation de l'entendement et la conscience
surtout avec le dessein au moins de remplir la mémoire. Il réclame une éducation et humaine. Selon
Montaigne, Avant d'être devenir un spécialiste, Il faut développer les facultés qui font de l'homme.
Au lieu de partir pour d'emprisonner notre vue dans une profession spéciale, Il faut songer à devenir
Des homes, c'est-à-dire des intelligences ouvertes, permet de comprendre tout, des cœurs sensibles
de ce qui est digne de l'être. Pour résumer toute la pédagogie de Montaigne, nous posons la
question que « doivent apprendre Les enfants? » Le mot emprunté à Plutarque, dixit ce qu'ils
doivent faire étant hommes. Dans un anecdote, il nous montre un grammairien et logicien mais non
un gentil homme. De plus l'homme éduqué veut Montaigne c'est l'homme de dix-septième siècle dira
l'honnête home. Une éducation générale de l'âme humaine. Cet home capable de faire de jugement,
de faire Des analyse devenir Des homes sages au moins de devenir un bon latineur, Il rejoint Socrate
dans l'utilité de la morale plus que la science et les lettres qu'on utilise comme un moyen et non un
but en déclarant « C'est une grande simplesse d'apprendre à nos enfants la science des astres, Avant
de leurs apprendre la science de l'homme » et il demande en général les livres qui usent des
sciences, non ceux qui Les dressent. Et interdit formellement de rien d'approfondir, quand il déclare
« Je ne me suis pas rongé les ingles à l'étude d'Aristote », pour montrer qu'il n'étudie pas beaucoup
le latin.

Les buts de Montaigne

Il n'intéresse plus à beaucoup d'étude, pour lui, c’est le temps perdu. L’apprentissage doit se faire
quand même pour être connaître la morale, l'homme qui est. Il propose l'étude des langues
étrangères, cette étude se fait c’est pas pour devenir un grand linguistes mais c'est quand on voyage
dans un autre pays pour être prêt à communiquer avec les autres, à demander des informations.
Ensuite, il impose moins de rechercher de l'instruction dans les livres plutôt dans l'observation et
accompagne des hommes, c'est-à-dire, ne perd pas tout le temps dans un livre de rechercher des
connaissances surtout dans l'apprentissage d'un enfant plutôt de faire visiter l'espace physique et
l'environnement pour mieux connaître le milieu qu'il vit. Au niveau des programmes de
l'apprentissage il y a des chose réelles et des choses de son temps, Ce que nous devons apprendre, se
consister dans une réalité et il marche avec le moment. À travers cette perspective, Montaigne
demande une éducation naturelle et non livresque et une éducation insensible qui est le résultat de
ce que nous faisons. Montaigne préfère un homme qui ait la tête bien faite plutôt que la tête Bien
pleine, il connaît très bien l'importance de la lecture, il n'exclut pas les livres, mais il veut utiliser le
livre avec plus de discrétion et de faire des jugements. Ainsi qu'il dit « qu'on me luy apprenne pas
tant les histoires qu'à juger », a partir le jugement, il demande la liberté chez les élèves, Il aime l'art
de bien vivre c'est pourquoi on doit apprendre a plus jeune âge. D’après lui, il ne faut pas perdre du
temps dans les travaux plus de 15 heures, dixit « D'étendues et d'enforcement fort inutile », Il doit
rendre compte de la nature en général. Et le jeu de l’éducation attache l'éducation Physique , Il
proteste contre avec l'énergie ces dureté et ces violence que les élèves subissent.

3- Différence entre les deux philosophies.

Nous voyons très bien que Rabelais est un prêtre, qu'il veut une éducation centré à l'étude des
sciences. Dans le recherche du savoir passé tout son temps entraîner de rechercher des
connaissances dans tout le milieu. Rabelais montre plus de connaissance scientifique est plus
essentielle dans le découverte de la nature suivant ce qu'on eût et ce qu'on a. On doit étudier les
sciences, lire beaucoup et faire des recherches pour découvrir la scientificité des chose cachées et
faire des visites dans des centrales qui pratiquent les sciences. De plus, le savoir est important dans
une capacité de l'analyser de faire d'autres découvertes.

Mais pour Montaigne qui est un Philosophe de manière Sceptique, il veut pas que nous perdons tout
notre temps dans le recherche du savoir, il veut que nous conformons a la nature humaine de rester
calme, de rechercher partout la morale comme Socrate qui abonne l'étude de la science pour faire
de la philosophie. De ce fait, la philosophie éducative de Montaigne correspond à l'honnête homme
suivant le comportement que nous devons adopter suivant l'éducation que nous recevons. Le savoir
plus n'est pas une grande importance mais l'utilisation de l'intérieur de l'homme pour bien vivre.
Cette philosophie ne conçoit que le savoir pour l'harmonisation, l'amour et la morale en disant que
nous apprennons l'histoire pas pour capter les dates mais pour tirer les leçons moraux de cette
histoire. En effet qu'il préfère des hommes de tête bien faite plutôt de tête bien pleine.
Conclusion

En guise de conclusion ces deux philosophie ont une importance pour l’éducation, car, elles répètent
un système qui mal traitent les élèves, produits des savants sans capable de faire des analyses et des
recherches et des découvertes. Suivant les pédagogues, l'une vient de compléter l'autre.

Celle de Montaigne donne un homme de tête bien faîte qui recherche le bonheur, la gentillesse et la
morale à travers l'éducation en préférant l'homme tête bien faite plutôt que bien pleine, tandis que,
la philosophie éducative de Rabelais, se concentre sur l'évolution scientifique de créer un homme
cultivé de connaissance, un homme restant à la recherche de connaissance partout il se passe.

Bibliographie

Montaigne, Michel, Les essais, Gallimard, 158

Rabelais, François. Pantagruel. 1532.

De Koninck, Thomas. Philosophie de l’éducation pour l’avenir. Presses de l'Université


Laval, 1997, 246 P.
Webographie

http://agora.qc.ca/documents/Francois_Rabelais--
Leducation_selon_Rabelais_par_Gabriel_Compayre (Consulté le Jeudi 1 Février 2024)

https://www.linternaute.fr/biographie/litterature/1775096-francois-rabelais-biographie-
courte-dates-citations/ (Consulté le Jeudi 1 Février 2024)
http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/
document.php?id=3215 (Consulté le jeudi 1 Février 2024)
http://agora.qc.ca/documents/leducation_selon_montaigne (Consulté le jeudi 1 Février
2024)
https://www.linternaute.fr/biographie/litterature/1775118-michel-de-montaigne-son-
tombeau-decouvert-a-bordeaux/
(Consulté le Jeudi 1 Février 2024)

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