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EN FRANCE
Universidad de Zaragoza
1. INTRODUCTION
4. CONCLUSIONS
5. BIBLIOGRAPHIE
INTRODUCTION
Nous nous sommes posé des milliers de questions sur le mouvement des “Gilets jaunes” apparu
en France en 2018.
Qui sont les Gilets Jaunes? Comment commence le mouvement Gilets jaunes? Comment une
protestation, aussi atypique que celle des Gilets jaunes, a‐t‐elle pu gagner en consistance?
Qu’est‐ce qui a montré le mouvement Gilets jaunes? Qu’est‐ce qui a été mis sur la table?
Néanmoins, nous voulons commencer à faire un petit résumé pour expliquer ce qui est arrivé,
selon les entretiens faits aux gens dans la rue, aux personnes qui ont commencé à se manifester
et à réclamer les droits perdus ou jamais acquis. Les paroles des personnes qui ont été dans les
rues et qui ont commencé et continué la lutte. Après, on verra les opinions des différents médias
et pour finaliser on avait écrit une petite conclusion.
Rien de ce qui nous avons cherché et écrit dans ce travail ou de ce qui nous pouvons dire à
propos du mouvement des Gilets jaunes est la vérité totale et abosolue, nous voulons que vous
mêmes tiriez vos propres conclusions. L’histoire est toujours différente et ça dépend de la
personne qui la raconte.
Une nation bâtie sur les rébellions, la colère d’un peuple contre le pouvoir.
Quelles sont les injustices qui ont conduit les français à bout? et jusqu’où les gilets jaunes sont‐
ils prêts à mener leur révolte?
Ils allèguent la misère qu’il y a dans les rues, la souffrance des retraités, c’est difficile pour
beaucoup de personnes de joindre les deux bouts. Le système n’est pas juste. Les politiciens
achètent des costumes dont le prix correspond au salaire annuel d’une personne, et quand il y
a de la pauvreté... ça fait mal!
La politique gouvernementale étouffe le peuple. La goutte finale est l’augmentation des taxes
sur les carburants et les gens commencent à se concentrer sur les ronds‐points. Après un mois,
cela continue et le soulèvement va plus loin, une large population qui s’est sentie exclue rejoint
le mouvement.
Comment combattre un mouvement qui n’a pas de leader?
Tous les samedis, les Gilets jaunes empruntent les ronds‐points et le troisième samedi, le
premier de décembre, la France crie « le moment est venu ». Une bagarre éclate à nouveau. Des
milliers de personnes descendent dans les rues partout en France. Paris est plongé dans le chaos.
Les manifestants blâment les autorités pour les gaz lacrymogènes, alors que les gilets jaunes ne
montrent aucun signe de violence, les concentrations ont été pacifiques jusqu’à présent.
Le 4 décembre 2018, Edouard Philippe décide de suspendre les mesures fiscales pour 6 mois.
Cependant, le geste attise la colère du mouvement, ils ne se contentent pas de geler les impôts
pendant seulement six mois. Les gens se réunissent pour faire face aux problèmes auxquels ils
sont confrontés dans leurs vies quotidiennes. L’union entre toutes les personnes qui composent
le mouvement prévaut malgré la diversité entre elles. Le seul objectif commun de tous et toutes
est d’une part la démission d’Emmanuel Macron et d’autre part la réduction des impôts et
l’augmentation du salaire minimum.
Ça fait longtemps que la classe ouvrière souffre des mesures d’austérité, qu’Emmanuel Macron
continue à appliquer et les Français sont étouffés.
Les émeutes atteignent une violence qui n’a pas été vue en France depuis longtemps. Les
manifestants accusent la police d’avoir provoqué les émeutes, en acculant les personnes, en
utilisant des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes. La police prétexte qu’elle essaie
seulement de contenir les soulèvements. Il y a des gens qui en profitent pour piller les magasins,
on ne sait pas s’ils appartiennent au mouvement. Certains disent qu’avec ce vandalisme, les
Gilets jaunes veulent faire réagir le gouvernement plus tôt.
Sera‐ce suffisant pour arrêter la révolution de ce peuple? Pour le moment, nous pouvons
constater, que tous ceux et celles qui étaient ignoré.es par le pouvoir ont commencé à être
visibles. (Euronews, 2018)
LE POURQUOI, COMMENT ET D’AUTRES QUESTIONS SUR LE MOUVEMENT “GILETS JAUNES”
Pour mieux comprendre le mouvement des “Gilets jaunes” il faut regarder le passé et nous
réalisons que la centralisation en France a été un problème pendant longtemps.
En 1947, Jean‐François Gravier publie le livre Paris et le désert français qui est un témoignage,
un symbole de la révolte contre une France déséquilibrée, entre la puissance de Paris et les
différentes provinces.
Jean‐François Gravier défend la décentralisation, pour une plus grande égalité économique et
pour le bien‐être de toute une population oubliée.
L'auteur se demande si la centralisation est le meilleur moyen d’y arriver: "Peut‐on fonder
l'avenir d'une nation sur l'hémorragie interne? Peut‐on fonder sa renaissance sur le gonflement
congestif de 4 % de son territoire et sur l'appauvrissement continu en hommes et en productions
de la moitié de ses provinces ?" (Andréani 2008).
En octobre 2013, le mouvement des Bonnets rouges est né, en réaction à la taxe sur les poids
lourds et aux nombreux plans sociaux d'agro‐industrie. Cette mobilisation massive qui a eu lieu
en Grande‐Bretagne a déstabilisé le gouvernement français, au point de pousser le Premier
ministre à annoncer, en moins de deux mois, une réforme fiscale majeure et un «Pacte du futur
pour la Grande‐Bretagne». Après deux grandes manifestations de masse à Quimper et Carhaix‐
Plouguer en novembre 2013, elle se poursuit sous la forme de comités collectifs et locaux.
Le mouvement Gilets jaunes commence le 17 novembre 2018, en réaction à une hausse des
taxes des carburants.
Deux personnes ont mené cette mobilisation depuis le début, Priscilla Ludosky, qui a fait
connaître la pétition contre l'augmentation des taxes sur les carburants et Eric Drouet, qui était
en charge au début de la visualisation de la mobilisation à travers les réseaux, a de nouveau
appelé à manifester le samedi, 8 décembre 2018, à Paris. (France‐Soir 2018)
C’est Priscilla Ludosky qui avait recueilli plus d’un million de signataires. En même temps, une
vidéo de Jacline Mouraud a comptabilisé plus de six millions de vues en novembre.
Les Gilets jaunes appellent à bloquer les routes le 17 novembre 2018 à cause de l’annonce par
Emmanuel Macron de la hausse des taxes sur les carburants.
Les ronds‐points sont les symboles en France de la mobilité automobile. Tous les samedis, des
appels à se rassembler dans les grandes villes françaises ont été lancés et beaucoup de
personnes ont commencé à se mobiliser et à se rejoindre autour des ronds‐points. Selon le
Ministère de l’Intérieur, les mobilisations ont été suivies par près de 30.000 personnes à la fin
de l’année 2018. (Algan, Beasley, Cohen, Foucault, Péron, 2018)
On ne peut pas dire que le gouvernement ne savait pas ce qui allait se passer. Il a essayé de
pacifier l'esprit des gens avec de vagues promesses comme un bonus de conversion de voiture
et une aide au kilométrage exonérée d'impôt. Les réseaux sociaux ont joué un rôle énorme, ils
stockaient de la poudre à canon depuis longtemps, la hausse des prix du carburant était le match
que cette poudre à canon avait besoin pour exploser.
Des “gilets jaunes” sont évacués par la police, en marge du déplacement d’Emmanuel Macron,
à Albert (Somme), le 9 novembre 2018. Crédits: Philippe Hugen ‐ AFP
Mais, il n'y a pas une personne ou un groupe de personnes pour surveiller, rationaliser et
s'organiser contre les politiques d'austérité menées par le gouvernement. Les procès sont
dispersés, certains plaident en faveur de l'annulation des taxes sur le diesel, d'autres demandent
des remises, il n'y a pas d'interlocuteur direct en charge pour négocier avec le gouvernement
Le mouvement «Gilets jaunes», apparu sur les réseaux sociaux, recueille le mécontentement de
la population et entreprend différents moyens d'action, des manifestations aux barrages
routiers et d’opérations d'escargots.
C'est un mouvement qui n'est pas promu par les canaux traditionnels, tels que les partis
politiques et les syndicats. La mobilisation tente de paralyser le pays pour que le gouvernement
l'écoute. (Erner 2018)
La Coordination Nationale des Régions (CNR) s'associe à la lutte des «Gilets jaunes» pour
parvenir à une France plus juste, plus écologique et plus riche dans toutes ses régions, pour
réaliser une transformation profonde du pays et de ses institutions. (France‐Soir 2018)
Les médias étrangers n'ont pas été impliqués dans les problèmes survenus en France et les
médias nationaux ont fait preuve de préjugés cachés.
Manifestations des gilets jaunes contre la hausse du prix de gazoil, le 9 novembre 2018. Crédits:
Philippe Huguen / AFP ‐ AFP
Le livre Paris et le désert français, de Jean‐François Gravier, publié en 1947, exposait déjà le
problème de la centralisation des richesses en France. Le gouvernement a créé un réseau de
lignes ferroviaires reliant les métropoles régionales. Le problème a été aggravé par
l'impossibilité de vivre dans ces métropoles régionales avec un salaire moyen et le terrible
transport qui existe entre ces métropoles et les milliers de petites villes où vivent des gens qui
n'ont pas les moyens de payer un appartement en ville. (France Culture 2018)
De la France, des misérables arrondissements des villes et des petits villages déshérités, cette
périphérie de la France qui se sent misérable, des petits villages déshérités, à travers lesquels
les élites des villes passent et survolent sans regarder et sans s'arrêter.
C'est un modèle de révolution populiste à la française, menée par des chômeurs, des retraités
avec des pensions minimales, des mères célibataires avec un salaire minimum dérisoire.
Comment expliquez‐vous que dans un des pays les plus généreux du monde, il y ait tant de
colère?
Le problème ne réside pas seulement en France, c'est un problème qui traverse l'Europe du Nord
au Sud et d'Est en Ouest, et on peut affirmer que le problème est mondial.
La même faille dans toute l'Europe… “L’Europe est traversée par une faille qui va de Londres à
Rome, en passant par Paris et Berlin, écrit, de son côté, le Handelsblatt hollandais (traduit
par Eurotopics). Elle sépare les métropoles en plein boom et les provinces en déshérence. Entre
les travailleurs du savoir qui gagnent bien leur vie et ceux qui vivent dans la précarité, l’univers
des gagnants et des perdants –qui n’ont pratiquement plus de contacts. Pour assurer la cohésion
de nos sociétés, il faudra non seulement faire la promotion de ces régions faibles, mais consentir
un très gros effort de formation continue. Mais tout cela ne suffira pas, si nos élites cossues
continuent de vivre dans un monde parallèle, qui ignore tout de la réalité de la vie de beaucoup
de gens.” (France Culture 2019)
Le 16 mars 2019, la violence est revenue dans les rues de Paris. Bien qu'il y ait eu moins
d'arrestations que le 8 décembre 2018, il a été constaté que le mouvement était toujours en vie.
Le Premier ministre français, Edouard Philippe, s'est rendu sur place à l'endroit où les émeutes
ont éclaté, tandis que le président français séjournait, avec sa femme, dans une station thermale
des Pyrénées. (Le Figaro, 2019)
Alors que dans le premier acte du mouvement, les autorités avaient dénombré 282.000
manifestants, après un an il n’en restait que quelques milliers dans les rues, mais le mouvement
continuait à secouer l’actualité française.
Les slogans en faveur du pouvoir d'achat, de la lutte contre les inégalités sociales et de
l'instauration d'une démocratie participative restent au centre de son défi.
Ils continuent d'occuper des espaces ou certains ronds‐points et ils fondent quelques
associations. Ils considèrent que le mouvement est nécessaire pour continuer le combat pour
leurs droits, des paysans aux chauffeurs de bus scolaires. (Kieffer, Delpont 2019)
Dans certains endroits, comme Nice, un an plus tard, ils ont organisé des collectes de nourriture,
cette fois via Internet, puis ont distribué tout ce qu’on collecte aux sans‐abri.
Même si le mouvement semble s’être inscrit dans le conflit de la hausse du prix de l'essence, en
raison du problème environnemental, le problème sous‐jacent est l'inégalité sociale et fiscale et
le manque de légitimité du gouvernement d'Emmanuel Macron, qui soutient des mesures
fiscales au profit des «riches». En outre, ils revendiquent le manque d'infrastructures et de
transports en milieu rural, la question de la transition écologique n’étant pas vraiment soutenue
par le gouvernement, la rémunération injuste des élus, la baisse du pouvoir d'achat, la baisse de
la rémunération des élus. fonctionnaires, la réintégration de l'ISF, l'augmentation du salaire
minimum de 15%, la revalorisation des retraites, la création de taxes pour les gros pollueurs
(pétroliers, navires de croisière), etc.
La diffusion des différentes revendications chez Gilets jaunes est devenu très complexe à cause
de l’émergence du mouvement à travers les réseaux sociaux. Les comptes privés ou des groupes
sur des sites, comme Facebook ou Instagram, ont parfois été fermés, bloqués ou disparus. Ces
manifestations ou textes n’apparaissent plus sur la toile. Il n’y a aucune trace des articles qui
revendiquent les droits de personnes, écrits par certains auteurs ou autrices, les sources ont
aussi disparu. Il ne reste que les témoignages des personnes qui ont publié tout ce qu’elles ont
vu, lu ou enregistré. (Sebbah, Souillard, Thiong‐Kay, Smyrnaios, 2018)
Après presque un an depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, pouvons‐nous deviner
quels en seront les effets?
Un mouvement social sans leader stable, sans ressources et sans expérience politique ne semble
pas pouvoir continuer.
Les Gilets jaunes ont défié les classifications, c'est un mouvement sans genèse claire, inventif
dans ses expressions, sans idées idéologiques.
Il a exigé la justice sociale sans vouloir s'identifier à aucun parti de gauche. Il symbolise une
gauche fragmentée, un déclin total de la politique menée par les gouvernements en France.
Tout le monde a sa place dans ce mouvement, en particulier toutes les personnes exclues ou
celles qui ne s’identifient à aucun parti politique. Néanmoins, malgré cette grande diversité, ils
parviennent à s'unir et à exprimer les sentiments d'injustice sociale et politique d'une grande
majorité de la population.
Partant d'une révolte contre les limitations de vitesse et les taxes sur les voitures et l'essence,
ce mouvement a rassemblé des personnes de positions sociales différentes, la classe moyenne
et la classe populaire se sont réunies.
Il faut remarquer que le mouvement, malgré la répression policière et judiciaire qu’il a subie,
continue à lutter.
Une nouvelle fracture s’est‐elle ouverte dans la société française?
Le politicien américain, Eric Lesser, compare le mouvement des «gilets jaunes» à d'autres
mouvements populistes, tels que Trump, Brexit, 5 étoiles et la Ligue du Nord.
Il estime que la société française a échoué, que la division que le mouvement a créée n'est pas
seulement sociale et territoriale, mais aussi culturelle. Affirmant qu'à cette époque, deux pays
coexistent en France. (Lesser 2019)
D’ailleurs, l'écrivaine française Danièle Sallenave met également en évidence cette division
culturelle, mais aussi une profonde séparation entre les élites et le peuple.
L'élite politique, intellectuelle et culturelle a montré son vrai visage: “Début janvier 2019, le
président a promis d'éviter ces "petites phrases" qui pourraient être mal interprétées, mais qui
ont immédiatement rechuté, "les médias ne devraient pas", a‐t‐il dit, "donner" à Jojo le gilet
jaune autant d'espace qu'un ministre ". les ondes radio".
Cela révèle la portée et la profondeur de la division entre les «élites» et les «prolos». Écart
géographique, économique, politique et social. Et surtout une division culturelle, entre les
habitants des grandes villes et le reste du pays.
Les «élites» ont usé de la violence et de l'usage abusif du langage par certains «gilets jaunes»
pour occulter la force d'un mouvement qui réclamait justice et égalité, parfois confus, mais
toujours profondément démocratique. (Sallenave 2019)
D’un côté, il n'est pas étonnant qu'une partie des militants de ce mouvement ait tenté de se
présenter aux élections européennes de mai 2019, mais sans succès.
D’un autre côté, l'extrême droite n’a voulu que se bénéficier du mouvement depuis le début, de
capitaliser la mobilisation.
Pour le moment, il a été démontré que les municipalités ont fait l'objet d'une attention
particulière du gouvernement pendant la durée du mouvement. Ils représentaient un maillon
faible, puisque les mobilisations sont organisées au niveau local.
Des rassemblements sont organisés sur des manifestations spécifiques contre le capitalisme
néolibéral, y compris les antifascistes, sur la crise écologique ou l'immigration.
Le mouvement environnemental a promu des discours et des pratiques d'action locale pendant
des décennies. En ce sens, les idéaux du mouvement des Gilets jaunes peuvent trouver refuge
dans les lieux communs.
La politique de la Municipalité, ou plutôt des municipalités, n'est pas seulement un caprice
d'anarchistes et des révolutionnaires sans révolution. C'est un appel pour l'avenir auquel les
mouvements sociaux devront sans aucun doute répondre. On ne sait pas encore si les Gilets
jaunes contribueront à cette avancée ou ce qu'il restera de ce mouvement sans précédent.
(Jeanpierre 2019)
C’est évident que tout le monde n’est pas d’accord avec les actions des Gilets jaunes. Néanmoins
si on veut que le mouvement continue avec les défis qu’il a eu dès le début, il est nécessaire
d’avoir un représentant dans la démocratie actuelle, ça veut dire dans le système politique.
Actuellement, Jacline Mouraud, ancienne figure des Gilets jaunes, a annoncé sa candidature à
la presidentielle de 2022.
CONCLUSIONS
Nous pouvons comparer les Gilets jaunes au mouvement “des Bonnets rouges”, qui s’est
poursuivi sous la forme de comités collectifs et locaux, après deux grandes manifestations de
masse, qui ont eu lieu à Quimper et Carhaix‐Plouguer en novembre 2013.
On peut s’attendre à que “les Gilets jaunes” continuent de la même façon, au niveau local ou à
travers de petites associations. Quand il y a tellement de difficultés pour mettre en commun
tous les défis et marcher dans la même direction, les élites profitent de ces différences pour
diviser le peuple.
L’histoire de l’humanité démontre constamment la lutte des peuples pour leurs droits, pour ne
pas se laisser écraser par les élites, peu importe si cette élite est l'Église, les rois ou les
gouvernements des pays.
Les gens ont toujours lutté pour défendre leurs droits, mais les élites qui ont le pouvoir les
oppriment, les effraient et après elles offrent aux personnes une vie un peu plus facile pour les
maintenir dans leurs satisfactions. La peur divise les personnes, la peur fait que nous nous
cachons dans nos maisons et là nous pensons que nous avons de la chance.
Nous, le peuple, maintenant on en a marre d’être exploité, de laisser ces élites faire n’importe
quoi, soit de tuer des personnes ou de nuire notre environnement, il nous appartient, pour leur
enrichissement. Comment pouvons‐nous nous organiser et réussir à vivre sans la peur de voir
notre liberté coupée? Est‐ce que c’est possible de combattre les élites en devenant élite?
BIBLIOGRAPHIE
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