A/ La représentation du bien et du mal

La représentation du bien et du mal est souvent représenté de façon contrasté

dans le milieu du cinéma, c’est ce que nous allons analyser dans cette partie. Tout
d’abord, nous remarquons que dès le début de le scène, de par le positionnement
de la camera qui est placé d’un point de vu immersif, nous sommes plongé dans
le regards des représentant du bien « le royaume de Rohan ». Dans les premiers
plans de la scène nous constatons que le bien est démontré de façon ordonné et
régulière, il semble y avoir une hiérarchie de pouvoir. Tandis que le mal (les uruk-
hai) est représente de façon désordonné, irrégulière et anarchique.Il ne semble pas
y avoir d’ordre hiérarchique, ils sont représenté à l’état de nature, un société sans
ordres, sans dirigeants, ou les êtres semblent être aliéné et dépourvu de sens
moral comme le démontrait Jean Jacques Rousseau.
Il y a une représentation manichéenne dans cette bataille, nous avons le bien
contre le mal sans aucunes nuances, le mal est représenté de façon obscure et le
bien est mis en lumière ce qui crée un réel contraste entre les deux partis. Le bien
est représenté en hauteur tandis que le mal est en contre bas ce qui fait référence
au paradis et l’enfer ainsi qu’aux anges et aux démons, les anges sont en hauteur
et illuminés avec une apparence humaine tandis que les démons sont représentés
en contre bas avec une apparence monstrueuse.
Les armes des uruk-hai sont bien plus lourdes et massive que celles des cavaliers
du Rohan, ce qui représente l’épopée traditionnelles avec le choc des armes La
trompe dans cette scène nous fait rappel au jour du jugement dernier, Raphael
sou era dans une trompe pour avertir que la n du monde arrive. Dans cette
scène ce moment nous rapporte à un nouveau tournant de la bataille.

Dans cette nouvelle scène, les cavaliers traverse un pont qui peut faire référence
au pont sirat, en islam le pont sirat est un pont à traversé au dessus de l’enfer lors
du jugement dernier, ceux qui tombent iraient donc en enfer tandis que ceux qui
arrivent à le traverser iraient au paradis. C’est exactement le cas de cette scène,
les uruk-hai sont massivement en bas du pont et représente les démons et celui
qui aurait le malheur de tombé de ce pont serait destiné à une mort certaine. Au
bout de ce pont nous apercevons Gandalf soit, le paradis. La reference religieuse
est plus que présente voir identique.

Lors de cette bataille lorsque l’ont croit que le mal l’a emporté sur le bien, Gandalf
et les cavaliers du Rohan arrivent de l’ouest et en hauteur tel le Messi venu sauver
son peuple, il est sur un cheval blanc et le cheval blanc dans la mythologie est
typiquement monté par des héros ou les divinité lorsqu’ils triomphes les forces du
mal. Le cheval blanc est aussi un symbole de guerre et de domination. Cette
scène fait référence à l’oeuvre d’Alexandre-Évariste Fragonard, qui est une
représentation du roi François Premier sur son cheval blanc et ses alliés vénitiens
faces aux mercenaire suisses qui défendaient le duché de Milan lors de la bataille
de Marignan. La lumière blanche sur Gandalf représente la pureté, le bon, le divin,
le paradis. Nous retrouvons cette univers biblique tout au long de cette scène, de
par le retour du sauveur, du Messi, de Jesus avec le peuple élu qui décide de le
suivre envers et contre tout. Ils arrivent à l’aube tel le bien qui vient vaincre
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l’obscurité soit, le mal. Les gentils sont une fois de plus placés en hauteur, venu
pour écrasés le mal.

Dans une seconde partie nous allons voir en quoi tous les éléments d’un
blockbuster américain ont été mit en scène. Dans un premier temps nous pouvons
parler du style de musique utilisé, il y a une dimension épique, le type de musique
est le même que l’ont retrouve dans les lms de super héros tel que Avengers, la
justice League. Cette scène a inspiré bien des scènes tels que celle du
rassemblement dans Avengers Endgame. Les codes du spectacles sont mis en
scène plus que jamais avec l’utilisation de ralentis, on voit Legolas descendre des
escaliers sur une planche mais ont pourrait croire qu’il vole tel un héros, le fait
qu’un plan ai été fait spéci quement sur cette scène alors qu’il y a un chaos autour
de lui représente l’univers du spectacle à son paroxysme.
Le manicheisme atteint dans les blockbuster une ampleur singulière car la lutte est
alors celle du Bien absolu contre le Mal absolu. Il y a un mépris de la parole dans
cette bataille et le culte de la puissance est mit en avant plus que tout, référence a
l’Amérique qui a une puissance militaire très forte et il est donc nécessaire de
l’utiliser et le mettre en avant. Ce culte se retrouve dans plusieurs autres ouvres
cinématographiques tel que Star Wars, Narnia ..
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