Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
symboliques
Partie 2: Sémiologie psychomotrice des troubles neurovisuels
I. Regard psychomoteur sur les processus neurovisuels : de la prise d’information à l’action
II. Troubles neurovisuels
1. Les agnosies visuelles
1.1 Les agnosies aperceptives :
L'agnosie de la forme :
L'agnosie intégrative
L'agnosie de transformation :
1.2 Les agnosies associatives :
L'agnosie sémantique :
L'agnosie d'accès sémantique :
Les agnosies des visages
2. Les Troubles visuo-spatiaux
2.1 Les Troubles visuo-spatiaux classification de NEWCOMBE et RATCLIFF
Trouble de l’attention spatiale
Trouble de la perception et de l’analyse sensorielle
Trouble de la cognition spatiale et de la pensé spatiale
Trouble de l’orientation topographique
Troubles de l’orientation égocentrée et trouble de l’image du corps
2.2 Les Troubles visuo-spatiaux classification de VIADER (1995)
Trouble de l’analyse perceptive de l’espace
La négligence spatiale unilatérale :
Le trouble de la connaissance de l’espace dans son ensemble »
La perte des notions topographiques
Syndrome de Balint
3. Le trouble visuo-constructif
1. La dyspraxie visuo-constructive
2. Prérequis à la visuo-construction
L’attention
La planification
La reproduction praxique
Le contrôle
L’analyse visuelle
II- Manifestations psychomotrices dans les troubles visuels
Bilan psychomoteur des troubles neurovisuels
III- Dépistage et diagnostic
A. Bilan neurovisuel
B. Diagnostics différentiels et co-morbidités
C. Répercussions scolaires et dans la vie quotidienne
D. Les items psychomoteurs perturbés chez l’enfant malvoyant
1
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
I- REGARD PSYCHOMOTEUR SUR LES PROCESSUS
NEUROVISUELS : DE LA PRISE D’INFORMATION À
L’ACTION
3
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
La réussite à ce jeu d’observation témoigne d’une stratégie
de balayage visuel efficace, d’un maintien attentionnel de qualité
ainsi que d’une capacité de discrimination visuelle permise grâce à
la visuo-perception que nous allons à présent décrire.
4
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
ça a marché pour vous ?
5
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
temporale) permettant la réponse à la question
du « QUOI ? » : l’identification. On parle à ce titre de gnosie visuelle.
Identifier un dessin pertinent parmi des distracteurs, percevoir
un élément simple dans un ensemble confus, repérer des
similitudes…constituent des exemples typiques de tâches visuo-
perceptives que l’enfant est amené à traiter quotidiennement à
l’école et dans sa vie de tous les jours.
Au moyen de différents tests et épreuves, le psychomotricien
compare les habiletés visuo-peceptives de l’enfant avec les
performances attendues au regard de son âge de développement.
Selon les outils d’évaluation, nous veillons à différencier ce qui relève
du perçu (en lien avec l’équipement visuo-perceptif) de ce qui relève
du connu (en lien avec le niveau de vocabulaire de l’enfant).
La rééducation porte sur l’analyse visuelle (verbalisation de ce que
l’enfant perçoit), le renfort de l’attention, la proposition d’exercices
spécifiques (jeux au bureau de type « cherche et trouve », jeux des
différences…) ainsi que l’adaptation de matériel si nécessaire (feuilles
avec lignage contrasté, etc.).
Extrait d’un test pour enfant : désigner quels éléments de
l‘encadré composent la figure globale
6
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
triangles dépendra de votre bonne discrimination visuelle
(constance des formes) dans un ensemble complexe.
7
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Par volonté pédagogique nous isolons les différents aspects
neuro-visuels dans nos descriptions mais ils sont en réalité tout à fait
intriqués
Illustrons cela par l’exemple ci-dessous : identifier le carré le plus
proche de la sphère
8
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Le traitement visuo-spatial est particulièrement sollicité
compte tenu du besoin de localisation des objets, d’orientation et de
structuration spatiale, nécessaire à l’évaluation de leur distance
relative.
En toile de fond, la mémoire de travail conserve les informations
pertinentes de la consigne (la « boucle phonologique » – Baddeley,
1974) et l’attention visuelle assure le maintient de la concentration
sur la tâche sans se laisser distraire.
Le psychomotricien porte une attention toute particulière à la façon
dont l’enfant s’organise dans l’espace
Par des mises en situation et dispositifs ludiques, il renforce :
– les repères spatiaux corporels afin de consolider le référentiel de
base (le « corps propre », à partir de l’axe corporel notamment).
– l’orientation spatiale (exercices impliquant les notions
d’horizontalité, de verticalité, de rotation, de repérage droite/gauche,
de symétrie…dans l’espace environnant comme sur l’espace
graphique).
– l’organisation topologique (exercices nécessitant de situer les
éléments visuels les uns par rapport aux autres, percevoir leur
position relative, etc.).
– l’aspect « gnosique » de nomination des éléments (notamment
auprès des personnes âgées ou avec lésion cérébrale spécifique).
– les processus métacognitifs d’analyse visuelle de la tâche de
perception spatiale par la verbalisation et
d’éventuelles stratégies organisationnelles.
Après la compréhension des notions visuo-perceptives et visuo-
spatiales (correspondantes plus particulièrement au traitement
cérébral de l’information visuelle), voyons à présent les débouchés
moteurs, consécutifs à cette prise d’information.
9
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
C’est la fonction qui règle et ajuste les mouvements d’après les
informations provenant de la vision (Larousse).
Il s’agit de l’association entre les aptitudes perceptives et
l’activité motrice coordonnée (Korkman et al., 2003).
La coordination visuo-motrice renvoie ainsi à « la capacité d’un
organisme à transformer des données visuelles en mouvements
adaptés » (Jeannerod, 1994, p. 217). Certains auteurs
parlent d’intégration visuo-motrice (Ruel, 1981).
Nous ciblons les exercices perceptivo-moteurs conciliant
informations visuelles et kinesthésiques vers une finalité
fonctionnelle (pour améliorer le graphisme par exemple).
11
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
12
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Remarque : La dyspraxie visuo-spatiale (DVS)
TDC
13
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Les dernières recommandations INSERM (2020) encouragent à moins
se préoccuper des sous-types de dyspraxies finalement peu
discriminantes et non consensuelles à l’international pour englober
tous les troubles praxiques sous l’appellation des Troubles du
Développement des Coordinations (TDC) malgré les différents
modèles théoriques pouvant s’y rattacher.
Le soin psychomoteur cible l’amélioration de l’organisation et
l’automatisation gestuelle tout en y associant souvent guidance
parentale et préconisations pédagogiques, sans omettre le renfort
de la confiance et de l’image de soi souvent dévalorisées.
La dimension de plaisir à manipuler et/ou à investir corporellement
l’espace par le mouvement accompagne ces pistes de rééducation.
Remarque : Si tous les aspects décrits sont enchevêtrés lors de leur
mise en action, ils ne sont pas confondus pour autant dans la
rééducation. En effet, si un trouble visuo-spatial et/ou visuo-perceptif
risque fortement d’entrainer des difficultés constructives, un trouble
visuo-constructif n’inclut pas nécessairement de déficit visuo-spatial
si la seule difficulté réside dans la planification de la construction.
5/ Modélisation récapitulative
14
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Sémiologie psychomotrice d’un sujet présentant un trouble visuel
Sémiologie psychomotrice et troubles neurovisuels
15
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Les aires visuelles associatives (V3, V4, V5),
16
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Les troubles de l’exploration visuelle, telle qu’une négligence spatiale, se
caractérisent par une impossibilité de prendre en compte un stimulus dans une
partie de l’espace et donc une absence de comportement moteur en réponse au
stimulus.
17
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
18
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
I. LES TROUBLES NEUROVISUELS
19
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Une personne atteinte de troubles neurovisuels ne peut pas faire confiance à sa
vision. Dans la rue, il peut ne pas bien analyser un carrefour (forme, sens de
circulation), ou ne pas percevoir une voiture en mouvement. Cela peut le mettre en
danger. Ce trouble peut aussi rendre difficile la copie de dessin, la reconnaissance de
formes, objets ou visages. La personne « voit » des choses mais n’arrive pas à bien
les traiter pour les analyser et les identifier ou les localiser.
20
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
1. Les agnosies visuelles
Le terme "agnosie" vient du grec a- qui signifie « absence » et « gnosis » qui veut dire «
connaissance ». L'agnosie est un trouble de la reconnaissance qui ne peut pas être
expliqué par une atteinte organique, c'est un trouble du traitement de l’information
visuelle au niveau perceptif, ou de l’accès au stock sémantique. Il existe différents
types d'agnosies, elles peuvent être visuelles, tactiles, auditives ou bien spatiales.
Dans notre cas, ce sont les agnosies visuelles et spatiales qui vont nous intéresser. Ces
deux types d'agnosies apparaissent suite à des atteintes de localisations différentes.
L'agnosie visuelle qui touche la reconnaissance des objets est due à une atteinte de la
voie ventrale (voie du «quoi»). L'agnosie spatiale, elle, touche à la connaissance
spatiale, l'atteinte se trouve donc au niveau de la voie dorsale (voie du «où»).
21
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
revanche, l'objet peut être reconnu par une autre modalité sensorielle, par le
toucher par exemple.
Exemple :
L’agnosie associative des couleurs:
C’est l’incapacité à associer une couleur particulière avec un objet particulier. La
perception des couleurs est normale. Elle se caractérise par une incapacité à associer
une couleur particulière (par exemple le jaune) à des objets précis (par exemple le
poussin ou la banane).
22
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Dans le cas de cette agnosie, il n'y a pas d'intégration globale des informations. Il est
difficile de détacher un ensemble de formes du fond afin de les synthétiser. ( figure de
Rey)
L'agnosie de transformation :
Ici, le défaut de perception se situe au niveau tridimensionnel. La rotation mentale de
l'objet dans l'espace est difficile. Dans ce cas, la symétrie et le volume est mal perçu.
23
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
l’odeur. Le trouble est mis en avant quand la personne atteinte se retrouve devant une
personne assise qui ne parle pas, ou devant une photo.
24
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
- Trouble de l’orientation topographique : la représentation spatiale de
l’environnement est difficile, ainsi que l’orientation sur une carte.
VIADER (1995)
Lors du séminaire Jean-Louis SIGNORET en 1995, VIADER propose une
classification des troubles visuo-spatiaux rassemblés sous le terme d’ «
agnosies spatiales ». Ce terme est peu reconnu du fait qu’ « agnosie » renvoie
à un trouble de la reconnaissance, ce qui ne correspondrait pas, par exemple, à
un défaut d’attention visuelle décrit dans l’héminégligence spatiale. VIADER a
répertorié 3 catégories :
Syndrome de Balint.
Le syndrome de Balint est surtout connu chez l’adulte. Il est issu de la
description de sujets cérébrolésés par BALINT en 1909, puis HOLMES en 1918.
25
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Ces patients présentaient des troubles de l’exploration visuo-motrice. Le
syndrome de Balint se définit par 3 symptômes.
26
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
- Perception des formes : cette catégorie est mise en évidence suite à une
épreuve de classement de formes géométriques sans signification
27
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
- La négligence spatiale unilatérale :
Elle porte aussi le nom d'héminégligence spatiale, la personne atteinte ne fait
plus attention à tout ce qui se passe du côté d'un hémi-espace, et se comporte
comme s'il n'existait plus. Elle va, par exemple, manger seulement la moitié de
son assiette ou se cogner contre des obstacles positionnés du côté négligé. Le
côté touché est controlatéral à la lésion. Une lésion à droite (grande majorité
des cas), entraîne donc une héminégligence à gauche.
28
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Aujourd'hui, les difficultés neurovisuelles intéressent de plus en plus les
neuropsychologues et les psychomotriciens.
1. Bilan neurovisuel
Ce bilan, en vue du dépistage des troubles neurovisuels, est réalisé en général
par les neuropsychologues, les psychomotriciens et les orthoptistes. Le
praticien doit connaître la problématique de ce trouble afin de mieux le
détecter. Les observations qui en découlent sont mises en lien avec les
observations faites par les membres de l’équipe interdisciplinaire :
ophtalmologue, orthophoniste, ergothérapeute, psychomotricien, …
Par une batterie de tests variés, le bilan neurovisuel va permettre d’éloigner
ou confirmer d’éventuels diagnostiques différentiels
Ensuite, en fin de grande section de maternelle l’enfant ne sait pas écrire son
prénom, et l’apprentissage de l’écriture est très difficile à l’âge scolaire. La
dysgraphie peut être très sévère. La copie est difficile, le contrôle du modèle
est fréquent et il y a des sauts de lignes, de mots ou de lettres. Il y a des
difficultés de mémorisation du mot dans sa forme globale. La difficulté peut se
30
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
trouver au niveau du contrôle du geste par la vision (cas de l’ataxie optique). La
composante spatiale de l’écriture peut aussi être un frein à son apprentissage.
Une répétition de lettres ou de mots par exemple peut être due à une
négligence spatiale unilatérale.
Lecture
La lecture demande d’acquérir des stratégies visuelles de types balayage. La
présence d’un trouble neurovisuel, autant gnosique que visuo-spatial, va
entraver cet apprentissage. Un trouble de la reconnaissance rend difficile
l’intégration orthographique des mots. S’il y a une atteinte du champ visuel,
selon sa localisation l’anticipation en vision périphérique, ou la fixation d’un
mot par la zone centrale peut être déficitaire. La lecture est alors lente et
manque de fluidité avec des sauts de mots, de lignes, des inversions de
phrases, et un manque de compréhension. La présence d’une simultagnosie
va entraver le traitement global du mot. La focalisation sur les détails
empêche donc la compréhension globale du mot et de la phrase. Globalement
ces enfants disent ne pas aimer lire.
Calcul
À partir de l’école primaire des difficultés en numération et calcul
apparaissent. Il y a des difficultés pour poser les opérations, leur organisation
spatiale, pour se repérer dans les tableaux à doubles entrées… L’origine de
ces déficits peut se trouver dans le défaut de représentation spatiale
(mémoire de travail visuelle, représentation des nombres). Ainsi, l’utilisation
des nombres dans un calcul en devient compliquée. Lorsqu’il s’agit de compter
des éléments, il peut y avoir des erreurs d’oublis ou d’ajouts. On peut qualifier
ce trouble de dyscalculie spatiale.
Géométrie
La géométrie demande une certaine organisation spatiale et un contrôle
visuo-moteur important. On retrouve alors des difficultés pour reproduire une
figure géométrique dans un quadrillage, relier deux points, mesurer
précisément une distance…. La difficulté peut se trouver au niveau de la
reconnaissance des formes elles-mêmes ou au niveau de l’interprétation de ce
qu’on voit : la perception des longueurs, l’obliquité (diagonales,
perpendiculaires, parallèles). De plus, l’utilisation d’outils géométriques
31
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
(équerre, règles, compas) pose aussi des difficultés car pour un bon tracé ils
doivent être orientés et placés correctement.
32
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
à l’habillage par exemple, on se retrouve aussi confronté à une tâche qui met
en jeu les compétences spatiales (est-ce le devant ? le derrière ? le vêtement
est-il à l’envers ou à l’endroit ?). Pour certains, la reconnaissance d’un
vêtement peut devenir difficile en cas de présentation sous une vue
inhabituelle. Cela rend difficile le choix des vêtements. Ensuite, il s’agit de
contrôler le mouvement dans le but d’enfiler le vêtement et dans certains cas
de fermer la fermeture éclair, attacher les boutons
Interactions sociales
La vision est un élément très important dans les relations sociales dès la
naissance (plus de 80% des informations relèvent de la vision). La présence de
troubles neurovisuel dès l’enfance peut entraver les interactions sociales. Par
exemple, l’enfant va privilégier le regard au sol car il y a moins d’informations à
trier. Le regard n’est alors pas utilisé dans la communication et a tendance à
diminuer les interactions. Dans le cas d’une prosopagnosie, le fait de ne pas
reconnaître les personnes que l’on rencontre et ne pas mémoriser les visages
peut aussi avoir une incidence sur les interactions sociales.
Déplacements
Les troubles neurovisuels visuo-spatiaux ont une répercussion sur la
perception ou la représentation de l’espace, ainsi que l’orientation. La
représentation topographique de l’environnement est difficile. Parfois, il y a
une mauvaise perception de la profondeur, des reliefs, du mouvement et
donc des obstacles. La mauvaise analyse du milieu extérieur peut rendre un
déplacement insécurisant.
Jeux
Des difficultés du traitement de l’information visuelle vont avoir un impact
dans la réalisation des jeux. C’est le cas pour un trouble de la reconnaissance
d’objet ou d’image dans un jeu de Memory, ou un trouble visuo-spatiale dans
un jeu de Lego. On peut facilement imaginer que ces enfants vont davantage
vers des jeux sociaux, moteurs, ou intellectuels ne sollicitant pas les
compétences visuo-spatiales et visuo-perceptives.
4. Les items psychomoteurs perturbés chez l’enfant malvoyant
Lorsque des troubles neurovisuels existent, les psychomotriciennes sont
régulièrement confrontées aux aspects suivants :
Une dérégulation tonique
33
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca
Des troubles des coordinations générales et de
l’équilibre
Des troubles de la coordination oculomotrice et/ou
bimanuelle
Des troubles de la motricité fine
Des troubles graphiques
Un trouble de la latéralité
Un trouble de l’orientation et de la structuration
spatiale
Un trouble de la représentation du corps et une
blessure narcissique pour ce qui est de l’image du
corps
Des troubles réactionnels sous forme d’instabilité
motrice ou d’inhibition
Un trouble de l’attention qui peut être associé à une
hypersensibilité aux stimuli auditifs
34
Pr DARRAJ Brahim UIC Casablanca