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REMERCIEMENTS
Au nom d’Allah le plus grand merci lui revient de nous avoir guidés vers le droit chemin, et
de nous avoir aidés tout au long de nos années d’étude.
Nous voudrions aussi porter nos sincères remerciements :
A notre professeur encadreur Mr SECK pour sa disponibilité et sa compétence ;
Au Directeur du Centre de Formation Professionnel et Technique
(C.F.P.T) Sénégal /Japon ;
A l’ensemble du corps professoral du CFPT ;
Aux membres du jury qui ont accepté de juger ce modeste travail ;
A nos familles ;
A tous nos camarades de classe ;
A tous nos amis pour leurs encouragements et leur patience sans bornes ;
Bref à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué par le fruit de leur connaissance à la
réalisation de ce dossier documentaire.
DEDICACES
Nous dédions ce modeste travail :
A nos chers parents pour tous leurs sacrifices, leur amour, leur soutien et leurs prières
tout au long de nos études ;
A notre professeur encadreur, Monsieur SECK ;
A Monsieur BADIANE, professeur d’électrotechnique au CFPT ;
A tous les professeurs du CFPT ;
A l’ensemble du personnel administratif du CFPT ;
A nos camarades de classe ;
A Monsieur Youga THIAM, élève professeur en 6ème année à L’ENSETP/UCAD ;
A tous nos amis pour leurs encouragements permanents et leur soutien moral ;
Que ce travail soit l’accomplissement de vos vœux tant allégués, et le fruit de votre soutien
infaillible.
AVANT-PROPOS
Le centre de formation professionnelle et technique (C.F.P.T) du Sénégal/Japon de Dakar a
été créé en 1984. Le C.F.P.T est l’un des établissements de formation les plus connus au
Sénégal. Son action entre dans le cadre de la politique de développement du secteur industriel
A l’issu de la formation, nous sommes tenus de réaliser des projets et de les présenter
lors de l’examen de fin d’étude. C’est dans cette perspective que nous présentons ce travail
intitulé : « Réhabilitation du four de traitement thermique TL-5X de Thermal ». En effet
depuis le début de notre formation on nous a enseigné théoriquement le domaine d’application
des fours électriques de traitement thermique et leur importance dans le secteur industriel.
Mais nous n’avons jamais eu l’occasion de les manipuler jusqu’à notre arrivée au
CFPT /Sénégal/Japon. De ce fait nous avons choisi de réhabiliter le four de l’atelier BTS pour
mettre en pratique nos connaissances théoriques sur le traitement thermique des matériaux et
aussi pour permettre aux générations futures d’utiliser le four.
SOMMAIRE
Remerciements……………………………………………………….1
Dédicaces…………………………………………………………….2
Avant-propos………………………………………………………....3
Introduction générale………………………………………………...6
1èrePARTIE : GENERALITES
Soutenus et présenté par :
Maïmouna NIANG et Mamadou W. DIALLO Page 4
REHABILITATION DU FOUR ELECTRIQUE DE L’ATELIER BTS 2019/2020
Introduction générale
Un four électrique de traitement thermique est un appareil qui permet de faire subir des
transformations physiques et chimiques grâce à la chaleur.
De nos jours, cet appareil est devenu indispensable surtout dans les industries de pointes
(aéronautique, navale…).
En effet, son utilisation s’étant de la fonderie aux opérations de traitement thermiques.
En fonderie, il s’agit surtout de chauffer les pièces jusqu’à leur température de fusion pour
éventuellement effectuer des opérations de moulages. Tandis qu’en traitement thermique il
s’agit plutôt de faire des opérations de recuits, de trempe ou encore de revenu. Ces dernières
permettent de varier les caractéristiques des matériaux (essentiellement la dureté) en fonction
des besoins, car en fonction des systèmes dans lesquels elles sont utilisées, les pièces
possèdent des qualités (propriétés) différentes.
C'est dans cette optique que le CFPT Sénégal-Japon a entrepris la réhabilitation de son
four électrique en vue de rehausser son plateau technique. Fatigué par, les mauvais usages
ainsi que par les bricolages récurrents, cet appareil se trouve aujourd’hui dans un état de
dégradation avancé à tel point qu’il a perdu sa fonction requise. Dès lors il est plus qu’urgent
de trouver des solutions pour remettre le four dans un bon état surtout dans le contexte où le
CFPT est au cœur des enjeux de transformation de notre secteur industriel.
Pour atteindre notre objectif nous allons d’abord étudier la technologie du four à fin de
pouvoir faire un diagnostic, et ensuite nous évaluerons les causes du disfonctionnement avant
de donner des solutions pour remettre le four dans un état où il pourra remplir sa fonction
requise, et enfin nous proposerons un plan de maintenance pour éviter un autre problème dans
l’avenir.
1èrePARTIE :
GENERALITES
Les traitements superficiels, qui vont apporter les propriétés particulières en surfaces et
plus précisément sur une épaisseur selon le type de traitement réalisé. Les traitements
superficiels peuvent être scindés en deux groupes :
- les traitements de trempes après chauffage superficiel (chalumeau, induction, laser,
bombardement électronique…).
- les traitements thermochimiques qui permettent de modifier la composition chimique de la
surface. Ce sont : la cémentation, la carbonitruration, la nitruration…Néanmoins nous ne
parlerons que des traitements dans la masse sur ce document.
2. La trempe
a. Définition et principe
La trempe est un traitement thermique qui consiste :
à chauffer l’acier à une température d’austénisation égale à :
- A3 + 50°C (Ac3) pour les aciers hypoeutectoides
- A1 + 50°C (Ac1) pour les aciers hypereutectoides
à le maintenir un certain temps à cette température afin de permettre aux transformations
internes de se produire dans toute la masse.
à le refroidir suffisamment vite par immersion dans un fluide (eau, huile, bain de sel…)
a. Définition et principe
Le revenu s’applique qu’aux pièces trempées et doit être pratiqué aussitôt après la trempe. Il a
pour but de diminuer les effets de la trempe en augmentant la résilience, l’allongement, et le
coefficient de striction, en vue d’adapter les caractéristiques mécaniques de la pièce à son
utilisation.
Il consiste à :
Chauffer l’acier à une température comprise entre 200°C et AC1.
Le maintenir à la température de chauffe pendant un certain un temps en fonction de la
dimension de la pièce.
Le refroidir à une vitesse variable suivant l’alliage traité (généralement le refroidissement
est lent se fait à l’air, à l’huile en bain de sels fondus…)
b. Résultat obtenu après revenu
Un simple réchauffage, en conférant aux atomes de carbone une certaine mobilité, suffit à
provoquer leur expulsion hors de la maille du réseau sous forme de fines particules de
carbone. Cette décomposition de la martensite s’accompagne d’un adoucissement de la
structure, mais l’extrême dispersion des particules de carbone exerçant un effet de bridage au
sein du réseau de ferrite maintient une résistance élevée tout en améliorant la résistance aux
chocs (résilience).
Donc après trempe suivie de revenu, les résultats obtenus sont :
La trempe, le revenu et le recuit sont dits traitement de masse parce qu’ils s’étendent sur
tous les points de la pièce concernée si ce n’est pas nécessaire, on pratique une trempe
superficielle.
dire que toute source de lumière, solaire ou artificielle, faussait les appréciations de
température.
C’est en 1918 que Charles Borel a construit l’un des premiers fours électriques.
Le four électrique à résistances est sans doute le plus connu et le plus répandu des appareils
électrothermiques. Son utilisation industrielle remonte en effet au début des années 20, et sa
technique n'a cessé de se perfectionner depuis, avant les fabricants concevaient les fours selon
des processus traditionnels ce qui nécessite des dépenses plus ou moins importantes au cours
de leurs exploitation.
2. Les principaux types de fours de traitement thermique
La famille des fours de traitement thermique est large. On distingue deux grandes catégories :
Les fours à charge discontinus et les fours continus.
Néanmoins nous nous limiterons dans cette partie aux fours à charge discontinus.
Au sein des fours à charge discontinue il existe plusieurs variétés dont les plus utilisés sont :
- Les fours horizontaux
- les fours à cloche
- les fours à sole élévatrice
- les fours à tapis transporteur
- les fours à essai et de simulation sur les matériaux
a. Les fours horizontaux
Certains fours à charge horizontaux peuvent être multi chambres ou multi cellules, le plus
souvent à deux chambres de traitement précédées par un sas d’enfournement et terminées par
un sas de défournement contenant le bac de trempe.
Les fours multi-cellules sont soit conçus avec une mobilité de la ou des cellules de traitement
devant les moyens de refroidissement (bac de trempe, cellule de refroidissement) soit avec
une mobilité des moyens de refroidissement devant les cellules de traitement. Il peut
également y avoir une cellule mobile de transfert des charges des cellules de traitement vers
les cellules de refroidissement.
b. Les fours à cloche
Le principe du four à cloche est d’avoir la possibilité d’une ouverture verticale de l’ensemble
de la cellule de chauffe au-dessus de la charge placée sur une sole fixe. Il peut y avoir deux
soles pour une cellule de traitement, permettant le chargement et le déchargement. La cloche
est déplacée latéralement pour aller se placer sur la sole chargée. Ces fours peuvent être dotés
d’un moufle étanche (ou pot) pour les traitements sous atmosphère contrôlée.
Figure 9 : Photo d’un four à sole élévatrice Figure 10 : schéma d’un four à sole
Élévatrice
Ce type de four est notamment utilisé pour la trempe des alliages légers le bac de trempe est
placé directement sous le four de façon à réduire le temps de transfert de la charge lors de la
trempe.
Mis à part ces différents fours industriels cités, il existe aussi des fours d’essai et de traitement
thermique de simulation. Ces fours sont utilisés principalement dans les laboratoires des
écoles et universités en vue des travaux didactiques.
Généralement ce sont des fours transportables de petite taille dont la température maximale de
chauffage n’excède pas 1200°C.
Chariot de
Figure 13A déchargement des
pièces
Figure 13B
2èmePARTIE : ETUDE ET
DIAGNOSTIQUE DU FOUR DE
TRAITEMENT THERMIQUE TL-
5X DE Thermal Co. Ltd
2. Dimensionnement du four
Voire schéma ci-dessous pour plus de détails sur les caractéristiques dimensionnelles.
3. Installation du four
Le bâti est mis sur le sol. Si le sol n’est pas résistant à la charge, il faut prévoir une fondation
conforme au plan d’installation ; la profondeur dépend de la nature du terrain.
4. Mode opératoire du four
Il s’agit de la chronologie des actions à mener de la mise sous tension jusqu’à la mise hors
tension après avoir effectué le travail souhaité. Celui du four d’origine se déroule comme
suit :
1-ouvrir la porte et régler la butée
2-placer les pièces sur une plaque en acier inoxydable avec un support métallique.
3-Relâcher la butée de porte et fermer la porte
4-Allumer le disjoncteur. L’alimentation est fournie au thermo contrôleur.
5-Regler la température de traitement sur le thermo contrôleur
6-Regler le temps de rétention sur la minuterie
7-Allumer l’interrupteur de la minuterie. Le voyant de la minuterie s’allume.
Soutenus et présenté par :
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REHABILITATION DU FOUR ELECTRIQUE DE L’ATELIER BTS 2019/2020
Figure 19 : le thermocouple
Le TL-5X utilise un thermocouple de type K qui est constitué de 2 conducteurs : Un en nickel
+ chrome (le chromel) de fils positive et l'autre en nickel + aluminium + 5% de silicium
(l’alumel) de fils négative.
b-1) Montage des thermocouples
Un thermocouple est un montage exploitant l’effet Seebeck pour la détermination de la
température. Il est constitué de deux fils de métaux différents, soudés à l’une des extrémités.
Cette jonction porte le nom usuel de « soudure chaude » et sera installé dans le milieu dont la
température est à mesurer. Les deux autres extrémités sont à relier aux bornes d’un voltmètre.
Les deux jonctions formées aux bornes du voltmètre portent le nom usuel de « soudures de
référence » ou « soudures froides ».
Pour mesurer une température inconnue, l'une des deux jonctions doit être maintenue à une
température connue, par exemple celle de la glace fondante (0 °C).
Il est également possible que cette température de référence soit mesurée par un capteur
(température ambiante, par exemple).
4. Le schéma de commande
Tous les éléments de commande cités précédemment sont consignés dans le pupitre de
commande et sont alimentés selon le schéma suivant :
Figure 23: schéma montrant l'alimentation de la partie puissance du four en réseau triphasé
De plus I=j√3
⇒ j= I: √3 ⇒ j=16.7A
J est le courant dans un enroulement.
2. L’effet joule
L’effet joule est la dissipation de d’énergie électrique sous forme de chaleur lors du passage
d’un courant électrique à travers un conducteur.
Cette énergie souvent notée (W) est égale à :
R : la résistance du matériau
W= R I² t avec I : le courant traversant le matériau
(Périodique ou constant)
t : la durée du passage du courant électrique
De plus par définition, la puissance est la quantité d’énergie par unité de temps. Par
conséquent, on peut calculer la quantité d’énergie dissipé sous forme de chaleur en la
multipliant par la durée du phénomène :
P= W/t = RI²
De plus Grace à la loi de Pouillet, on sait que la résistance d’un conducteur dépend de la
nature, de la section ainsi que de la longueur conductrice, ainsi:
L : résistance spécifique du matériau en Ohm
R=(Ll)/s avec l : longueur en mm
S : section en mm²
Résistance spécifique pour quelques matériaux
Matériaux L
Cuivre 0.0179
Or 0.0244
Argent 0.0146
Aluminium 0.029
3. Le contacteur de puissance
Ces deux partie précédemment étudiées à savoir la partie commande et la partie puissance
sont reliées par un appareil qui commande l’établissement du courant dans les résistances
ainsi de la chaleur dans la chambre grâce à un signal électrique de la partie commande. Cet
appareil n’est autre que le contacteur de puissance.
a. Etude du contacteur
Soutenus et présenté par :
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REHABILITATION DU FOUR ELECTRIQUE DE L’ATELIER BTS 2019/2020
L1 L2 L3
Contacts auxiliaires
NO-43-44
Aimant mobile du
circuit magnétique Contacts auxiliaires
NC-31-32
b. Fonctionnement du contacteur
Lorsque la bobine est alimentée, elle génère alors un champ magnétique et la partie mobile de
son armature est attirée contre la partie rigide, cela entraine l’ouverture ou la fermeture des
contacts.
Si la bobine n’est pas alimentée le ressort de rappel divise les deux parties de l’armature et
garde les contacts ouverts ou fermés.
Quant au thermocouple, il a été démonté et à sa place nous avons un trou béant à travers
lequel la chambre de chaleur communique avec l’air ambiant.
Support du thermocouple
Figure 27A
Le Trou béant dû à l’absence du thermocouple
Figure 27B
Aussi le four a subi de nombreuses utilisations mal contrôlés qui ont causés d’importantes
calcinations sur plusieurs parties du four notamment à l’extérieur et sur la porte. Ceci est
anormal du fait qu’il est conçu pour supporter jusqu’à 1200°C sans qu’il ait des flammes à
plus forte raison à l’extérieur.
Les images suivantes montrent les mieux ces dégâts et d’autres encore :
Figure 28D :
Figure 28C :
Calcination sur le toit du four
Figure 28F :
Calcination et fissuration de
l’ardoise d’étanchéité
Figure 28E :
Figures 28A 28B 28C 28D 28E et 28F: Photos montrant La calcination sur différents parties
du four
2. Diagnostic de la partie électrique
La partie électrique constitue le problème majeur du four, hors mis la partie commande dont
certains appareils ne fonctionnent plus, nous avons une partie puissance qui pose un sérieux
problème d’alimentation.
Pour mieux cerner ces différents problèmes électriques, nous les étudierons en deux parties
d’abord la partie commande ensuite la partie puissance.
Cette étude se fera essentiellement par la comparaison du processus des opérations du cahier
des charges du four d’origine et celui qui est actuellement utilisable. De cette étude
comparative, nous en déduirons les différents problèmes et en dégagerons les solutions qui
s’imposent. Pour ce faire il sera judicieux de se référer sur le mode opératoire du four déjà
vu en amont.
a. Diagnostic de la partie commande
Le diagnostic de la partie commande commence donc avec la quatrième étape de notre
processus puisque ce qui précèdent concernent pour l’essentiel la porte dont le diagnostic a
déjà été fait en haut.
A la mise sous tension du disjoncteur, la partie commande est alimentée via le thermo
contrôleur ainsi les voyant s’allument notamment celui du thermo contrôleur.
Lorsqu’à la cinquième étape on appuie sur SP/EV, pour afficher SP sur la partie d’affichage
NO.1, le régulateur affiche AL01.
En se réfèrent sur le document technique, on apprend que ce signale indique trois hypothèse :
- soit il y a relâchement des bornes.
- soit il y a section des câbles du capteur.
- ou tout simplement une anomalie dans le câblage.
Toujours est-il qu’en poursuivant le réglage, après avoir entre une valeur de température de
réglage, si on appuie sur ENT il s’affiche sur la partie d’affichage NO.2, AL02.
De même se référant au dossier technique, on apprend que cela indique soit :
- une défaillance du porteur du capteur.
- Une anomalie dans le câblage.
Dans les deux cas nous avons le même problème (panne). Il s’agit de la sonde (thermocouple)
car une vérification de la continuité du courant dans les fils n’a révélé aucun sectionnement.
Cependant cela ne fut pas une surprise, car on savait déjà que le capteur n’était pas
opérationnel.
A la septième étape, la commande sur SS2 ne produit aucun effet ni même signal, pas plus
que SS1 à la huitième étape. De ce fait, une lecture du schéma de câblage de la partie
commande (PC), montre qu’il est tout à fait normal qu’en absence du thermocouple (Tic) SS1
ne fonctionnent pas car ces deux éléments sont en séries.
Figure 31: l'image de quelques résistances encore montés dans la chambre de chaleur
On avait trois rangés de résistances connectés chacune sur deux phase, maintenant il ne reste
que ces quelques portions de résistances.
Mis à part les dégâts liés aux résistances, l’alimentation de la partie puissance a été modifiée
en 2 alimentations monophasées. De ce fait 2 fils de phase seulement sont alimentés (l’autre
fil de phase est isolé) avec une tension simple de 220V chacune.
S’y ajoute le fait que cette partie n’est plus commandée automatiquement par la partie
commande.
En effet après que la partie commande soit détériorée, le câblage du contacteur a été modifié
pour permettre au four de fonctionner manuellement. C’est-à-dire que pour effectuer une
opération de chauffage il suffit de mettre sous tension le four via le disjoncteur (NFB) et
d’exciter manuellement la bobine du contacteur. On aura de la chaleur dans le four aussi
longtemps que le maintien est assuré.
ème
3 PARTIE :
REHABILITATION DU
FOUR
Figure 35B
Figure 35A
Figure35C
S’agissant du thermocouple, il est impératif d’en installer un. C’est même une condition sine
qua non à un fonctionnement optimal de l’équipement.
De ce fait, l’installation de nouvelles résistances ainsi que d’un nouveau thermocouple
permettront de réinstaller la partie électrique pour avoir le fonctionnent idéal du four.
Ainsi nous nous contenterons de remettre un thermocouple dans le circuit de commande
d’origine tout en réinstallant la partie puissance du four conformément au schéma suivant :
KM Couplage
triangle
Ainsi l’axe a été réalisé dans l’atelier BTS du centre à l’aide d’un tour parallèle.
L’axe de la porte
montée sur le tour avec
Figure39 : image de l’axe sur le tour un montage mixte
ème
4 PARTIE : PLAN DE
MAINTENANCE
Depuis 2001, elle a été remplacée par une nouvelle définition, désormais européenne (NF EN
13306 X 60-319) : « Ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de
management durant le cycle de vie d'un bien, destinées à le maintenir ou à le rétablir dans un
état dans lequel il peut accomplir la fonction requise. »
Un service de maintenance peut également être amené à participer à des études d'amélioration
du processus industriel, et doit, comme d'autres services de l'entreprise, prendre en
considération de nombreuses contraintes comme la qualité, la sécurité, l'environnement, le
coût, etc.
Nivea
u Travaux Lieu Personnel Exemple
Réglages simples - pas de démontage Remise à zéro d'un
2) Partie de contrôle
Poste Nom Modèle Fabricant Contenu de l’inspection Temps
Contrôleur thermique TIC SDC-210 Yamatake Confirmation de la commande par le 3 mois
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REHABILITATION DU FOUR ELECTRIQUE DE L’ATELIER BTS 2019/2020
CONCLUSION GENERALE
Soutenus et présenté par :
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REHABILITATION DU FOUR ELECTRIQUE DE L’ATELIER BTS 2019/2020
Dédicaces…………………………………………………………….2
Avant-propos………………………………………………………....3
Sommaire…………………………………………………………….4
Motivation……………………………………………………………5
Problématique………………………………………………………..6
Introduction générale………………………………………………...7
Bibliographie :
-Document technique du four ;
-Guide d’auto-apprentissage pour les opérateurs en traitement thermique de PERFORM ;
-Picomto (https : // www.picomto.com ) ;
-https : // fr. m.wikipedia.org / wiki/Fichier_montage thermocouple ;
-https : // fr. m.wikipedia.org / wiki_seebeck ;
-https : //thermocoupleinfo.com/type-k-thermocouple.htm
- www.fujielectric.co.kr
-www.borelswiss.fr