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Sidi Askofaré
Dans La clinique lacanienne 2009/2 (n° 16), pages 47 à 59
Éditions Érès
ISSN 1288-6629
ISBN 9782749211541
DOI 10.3917/cla.016.0047
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15. « J’ai donc parlé à ce niveau de la métaphore paternelle. Je n’ai jamais parlé
du complexe d’Œdipe que sous cette forme. Cela devrait être un peu suggestif,
non ? J’ai dit que c’était la métaphore paternelle, alors que ce n’est tout de
même pas ainsi que Freud nous présente les choses ». J. Lacan, Le séminaire,
Livre XVII, L’envers de la psychanalyse, Paris, Le Seuil, 1991, p. 129.
16. J. Lacan, Le séminaire, Livre I, Les écrits techniques de Freud, Paris, Le
Seuil, 1975, p. 220-223.
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17. J. Lacan, Le séminaire, Livre IV, La relation d’objet, Paris, Le Seuil, 1994.
18. J. Lacan, Le séminaire, Livre X, L’angoisse, Paris, Le Seuil, 2004.
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23. Ibid.
24. S. Askofaré, M.-J. Sauret, « La question du père : père et symptôme », L’évo-
lution psychiatrique, avril-juin 2004, vol. 69, n° 69, p. 257-278.
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27. Il suffit de se souvenir que c’est de la critique de l’Œdipe en tant que struc-
ture ternaire que Lacan en vient lui-même à introduire la structure quaternaire
comme fondement de la névrose dans « Le mythe individuel du névrosé », puis,
plus radicalement, comme celle de la structure du sujet comme tel dans Le moi
dans la théorie de Freud et dans la technique psychanalytique, pour mesurer la
difficulté et les embrouilles de la question.