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Introduction
En esta presentación, discutiremos dos conceptos ampliamente utilizados en las ciencias sociales: la
acción en la ingravidez y el nacionalismo metodológico. Estos dos conceptos han desempeñado un
papel central en la comprensión de las dinámicas sociales contemporáneas. Sin embargo, también
han sido objeto de un examen crítico en los últimos años. La acción en la ingravidez nos lleva a
reflexionar sobre cómo la globalización ha llevado a la separación de las actividades económicas de
sus lugares físicos tradicionales. Al mismo tiempo, el nacionalismo metodológico destaca la
tendencia de los investigadores a considerar la nación-estado como la unidad principal de análisis en
sus investigaciones. En esta presentación, exploraremos en detalle las críticas dirigidas a estos dos
conceptos, cuestionando su validez y relevancia en el contexto actual de las ciencias sociales.
Les critiques
Il est indéniable que le stato-centrisme crée des barrières à la diversité de nos perspectives
politiques et sociales. En définissant souvent le politique comme étant "relatif à l'État" et en ancrant
nos notions fondamentales telles que la liberté, l'égalité, la justice sociale et mondiale, dans le
contexte étatique, nous réduisons notre capacité à envisager des alternatives novatrices.
Même les théories qui contestent l'État, comme le libertarianisme, souvent défendent l'idée d'un
État minimal. Ce cadre étroit limite notre compréhension des dynamiques politiques et sociales dans
leur diversité et leur complexité, en excluant la possibilité d'explorer des modes d'organisation
alternatifs.
le groupisme. Défini par Roger Brubaker comme une propension à percevoir les groupes comme des
entités distinctes, clairement différenciées, homogènes à l'intérieur et délimitées à l'extérieur, le
groupisme se manifeste de manière particulièrement frappante lorsqu'il s'applique à des groupes
construits sur des bases ethniques, raciales ou nationales.
Ce présupposé inhérent au groupisme imprègne notre quotidien, se révélant dans des formulations
telles que "les Français pensent ceci..." ou "le peuple veut cela". Cependant, il va au-delà de simples
expressions linguistiques. Il sous-tend la notion complexe de "peuple" avec une charge symbolique
multiple, comme l'ont souligné Andreas Wimmer et Glick Schiller. Le "peuple" devient ainsi une
entité souveraine, un ensemble de citoyens égaux devant la loi, un groupe à solidarité obligatoire,
une famille étendue unie par des obligations d'assistance réciproque, et enfin, une communauté
ethnique unie par un destin commun et une culture partagée.
Le présupposé territorialiste est profondément ancré, infiltrant tant le langage courant que les
sciences sociales. Les déictiques, tels que "ici/ailleurs" ou "chez nous/chez vous", qui étaient
autrefois dépendants du contexte d'énonciation, désignent aujourd'hui des territoires nationaux
dans le langage ordinaire. De même, les sciences sociales renforcent la polarisation
intérieur/extérieur, national/international en construisant des connaissances distinctes pour chaque
"conteneur" et leurs relations.
Cependant, vouloir circonscrire des phénomènes dans des conteneurs nationaux ou régionaux
fournit une vision biaisée de leur dimension spatiale. Cette approche risque de masquer les réalités
complexes des relations entre les différentes parties du monde, en adoptant une perspective qui
"voit comme un État" et traite tous les points entre les frontières de manière égale.