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Passé par appel d’offres ouvert national sur offres de prix en application des dispositions des
paragraphes I-1 et I-3 de l'article 19, du paragraphe 1 de l'article 20 et de l’alinéa b du paragraphe 3 de
l'article 20 du décret n° 2-22-431 du 15 chaabane 1444 (8 mars 2023) relatif aux marchés publics.
Entre :
Madame la Déléguée du ministère de la santé et de la protection sociale à la préfecture de
Skhirat-Témara désignée ci-après par "le Maître d’Ouvrage".
D'une part,
ET
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Inscrit au registre de commerce de : …………………….Sous le n° :
Affilié à la C.N.S.S. sous le n° : …………..Taxe professionnelle n° :…..…………………………….………..
Faisant élection de domicile au : ………………………………………………………………...…………………………………….
……………………………………………………………………..………………………………………………………………………
Titulaire du compte bancaire n° :
Ouvert auprès de :
Désigné ci-après par le terme « Entrepreneur » ou « Titulaire »
D’AUTRE PART
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ICE n° :
……………………………………………………………………………………….................................................................
D’AUTRE PART
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CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES, FINANCIÈRES ET
TECHNIQUES
ARTICLE N° 1. OBJET DU MARCHE
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- Le Dahir n° 1-23-22 du 19 rejeb 1444 (10 février 2023) portant promulgation de la loi n° 54-22
modifiant et complétant la loi n° 69-00 relative au contrôle financier de l’Etat sur les entreprises
publiques et autres organismes ;
- Le Dahir du 9 ramadan 1331 (12 août 1913) formant code des obligations et contrats ;
- Le Dahir n°1-15-05 du 29 rabii II 1436 (19 février 2015) portant promulgation de la loi n°112-13
relative au nantissement des marchés publics ;
- Le Dahir n°1-56-211 du 11 décembre 1956 relatif aux garanties pécuniaires des soumissionnaires et
adjudicataires des marchés publics ;
- Le Dahir n°1-03-194 du 14 rejeb 1424 (11 septembre 2003) portant promulgation de la Loi n°65-99
relative au code du travail ;
- Le Code Général des Impôts institué par l’article 5 de la loi de finances n° 43-06 pour l’année
budgétaire 2007, promulguée par le Dahir n° 1-06-232 du 10 hija 1427 (31 décembre 2006), tel que
modifié et complété ;
- Le Décret n° 2-22-431 du 15 chaabane 1444 (8 mars 2023) relatif aux marchés publics ;
- Le Décret n°2-14-394 du 06 chaabane 1437 (13 mai 2016) approuvant le Cahier des Clauses
Administratives Générales applicable aux marchés de travaux (C.C.A.G-T) ;
- Le Décret n°2-16-344 du 17 chaoual 1437 (22 juillet 2016) fixant les délais de paiement et les intérêts
moratoire relatifs aux commandes publiques ainsi que le décret n°2-19-184 du 19 chaabane 1440
(25 avril 2019) le modifiant et le complétant ;
- Le Décret n°2-94-223 du 6 moharrem 1415 (16 juin 1994) instituant, pour le compte du Ministère
des Travaux Publics de la Formation Professionnelle et de la Formation des Cadres, un système de
qualification et de classification des entreprises de bâtiment et de travaux publics ainsi que les
arrêtés d’application n° 2477-22 du 19 safar 1444 (16 septembre 2022) et n° 2399-22 du 10 safar
1444 (7 septembre 2022) ;
- Le Décret n° 2-22-606 du 07 septembre 2022 portant fixation des montants du salaire minimum légal
dans l'industrie, le commerce, les professions libérales et l'agriculture ;
- Le Décret n°2-14-272 du 14 rejeb 1435(14 mai 2014) relatif aux avances en matière de marchés
publics ;
- L’Arrêté du Chef du gouvernement n°3-302-15 du 15 safar 1437 (27 novembre 2015) fixant les règles
et les conditions de révision des prix des marchés publics ;
- L’Arrêté du Ministre Délégué auprès de la Ministre de l’Economie et des Finances, chargé du Budget
n°1692-23 du 4 hija 1444 (23 juin 2023) relatif à la dématérialisation des procédures, des documents
et des pièces relatives aux marchés publics ;
- La Décision conjointe du Ministre de l’Economie et des Finances et du Ministre de l’Equipement et de
l’Eau portant gestion des fonds versés par les Maîtres d’Ouvrages (MO) à l’Agence Nationale des
Equipements Publics (ANEP) pour la réalisation de leurs projets dans le cadre de la Maîtrise
d’Ouvrage Déléguée (MOD) ;
- La Décision du Ministère de l’Economie et des Finances relative à la représentation du Ministère de
l’Economie et des Finances au sein des Commissions d’Appel d’Offres lancés par l’Agence Nationale
des Equipements Publics (ANEP) ;
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- La Décision de la Ministre de l’Economie et des Finances n°1536/22/DEPP du 29 août 2022 fixant
les seuils de visa du Contrôleur d’Etat de l’ANEP ;
- La Circulaire du Premier Ministre n°72/CAB du 26 novembre 1992 d’application du Dahir n°1-56-
211 du 11 décembre 1956 relatif aux garanties pécuniaires des soumissionnaires et adjudicataires
des marchés publics ;
- Tous les textes réglementaires ayant trait aux marchés publics rendus applicables à la date de
signature du marché.
Et d’une façon générale toutes les lois et tous les règlements en vigueur au Maroc ayant un rapport avec
l’objet du marché.
B/ Textes techniques
Les obligations de l'entrepreneur pour l'exécution des travaux, objet du marché résultent de l'ensemble des
documents suivants :
1/- Le D.G.A.
2/ - Le devis général des travaux pour l'assainissement (édition 1961)
3/ - Les conditions d'exécution du gros œuvre, des toitures terrasse en BA (édition 1946), de l'institut
technique du bâtiment et travaux publics).
4/ - L'arrêté N° 127.63 du 15.3.63 du Ministère des travaux publics portant règlement sur les conditions
techniques auxquelles doivent satisfaire les distributions d'énergie électriques.
5/ - Par dérogation à l'article III du DGA les règles pour le calcul des ouvrages de béton armé dites CCBA
68.
6/ - Les règles d'utilisation des aciers crénelés et lisses pour béton armé élastique supérieure ou égale à
40 kg/mm² dites "Règle 1948, ronds de 40-60".
7/ - Les règlements locaux concernant l'alimentation en eau potable et en électricité des immeubles.
8/ - L'arrêté N° 350/67 Juillet 1967 du ministère des travaux publics communication portant règlement
sur les installations électriques dans les immeubles et les branchements qui les alimentent.
9/ - La circulaire N° 6001Bis du 07.07.68 relative aux transports de matériaux.
10/ - Le cahier des charges applicables aux travaux d'étanchéité des toitures inclinées édité en Décembre
1959 par les cahiers du centre scientifique du bâtiment N°41(Cahier Noir).
11/ - Le CPS applicable aux travaux de l’Administration des travaux publics tel que ce cahier est défini par
la circulaire N° 6019 du 7.7.72.
Toutes clauses non insérées dans les documents auxquels se réfère le présent marché et aux dispositions
du décret n° 2-22-431 du 15 chaabane 1444 (8 mars 2023) doit être considérée comme abrogée.
L'entrepreneur devra s'il ne les possède pas déjà, se procurer ces brochures au Ministère des
Travaux publics ou à l'imprimerie officielle. Il ne pourra en aucun cas exciper de l'ignorance de
ces documents pour se soustraire aux obligations qui en découlent.
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ARTICLE N° 5. MAITRE D’OUVRAGE – MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE
LE MAITRE D’OUVRAGE :
- Ministère de la Santé et de la Protection Sociale représenté par Madame la Déléguée du
ministère de la santé et de la protection sociale à la préfecture de Skhirat-Témara ;
L’entrepreneur devra fournir dans les délais indiqués ci-dessous les divers documents suivants, décrits
dans les articles du présent CPS :
Article de
Désignation du document Délai
référence
20 jours calendaires à dater du
Cautionnement définitif lendemain du jour de la notification de Article 16
l’approbation du marché
Attestations d’assurance Avant tout commencement des travaux Article 17
7 jours calendaires à dater du lendemain
Planning du jour de la notification de l’approbation Article 24 et 26
du marché
Désignation du responsable du Avant le commencement de l’exécution
Article 28
chantier des travaux
15 jours calendaires à dater du
Sous-détail des prix lendemain du jour de la notification de Article 39
l’approbation du marché
Plan d’installation et d’organisation 7 jours calendaires à dater du lendemain Article 41
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Article de
Désignation du document Délai
référence
du chantier du jour de la notification de l’ordre de
service prescrivant le commencement des
travaux
7 jours calendaires à dater du lendemain
du jour de la notification de l’ordre de
Agrément du matériel Article 32
service prescrivant le commencement des
travaux
15 jours calendaires à dater du
Plans d’exécution des travaux lendemain du jour de la remise des plans Article 20
de la maitrise d’œuvre
7 jours calendaires à dater du lendemain
du jour de la notification de l’ordre de
Mémoire technique Article 24
service prescrivant le commencement des
travaux
15 jours calendaires à dater du
Plans de recollement lendemain du jour de la réception Article 44
provisoire des travaux
30 jours calendaires à dater du lendemain
Plan d'assurance qualité du jour de la notification de l'approbation Article 53
du marché
ARTICLE N° 8.
Les travaux à exécuter au titre du présent marché consistent en ce qui suit :
Fluides médicaux :
- Gaines tête de lit
Electricité :
- Cellules MT
- Câbles BT
- Equipment de télé-conduite et télémesure
- Télédistribution
Fluides :
- Plomberie sanitaire
- Désenfumage
- Chauffage, ventilation et climatisation
- Traitement d’air hygiénique
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ARTICLE N° 10. CONTROLE DES BATIMENTS ADMINISTRATIFS
Nonobstant le contrôle et la surveillance normale des travaux par l’Administration, la maîtrise d’œuvre,
l’architecte et le BET, l'entrepreneur devra laisser libre accès à son chantier aux agents chargés du contrôle
des bâtiments administratifs leur présenter s'ils le demandent toutes les pièces du projet ou dessins
d'exécution et leur fournir tous les renseignements et explications utiles pour l'exécution de leurs missions.
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Les travaux en hauteur doivent être signalés par des panneaux, visiblement placés à
la limite des zones dangereuses et comportant l’inscription « attention, travaux en
hauteur, chute de matériaux »
Aucune évacuation de matériaux en hauteur ne devra être exécutée par jet ou
lancement.
Chaque soir, les outils et matériaux restant sur les chantiers ou sur les échafaudages
seront rangés pour qu’ils n’encombrent pas les passages ou ne risquent pas de tomber
en contrebas.
Lorsque des ouvriers sont appelés à être occupés à moins de trois mètres de
conducteurs électriques mis sous tension, l’Entrepreneur devra avant de commencer
les travaux, faire prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des
ouvriers se trouvant sur son chantier.
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ARTICLE N° 16. AJOURNEMENT OU CESSATION DES TRAVAUX
Pour l’ajournement ou cessation des travaux, il est fait application selon les conditions prévues dans les
articles 48 et 49du C.C.A.G-T.
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ARTICLE N° 21. RESPONSABILITÉ DE L’ENTREPRENEUR
1/ L'entrepreneur sera tenu de provoquer lui-même les instructions écrites et figurées qui
pourraient lui manquer, dans ces conditions, il ne pourra jamais se prévaloir du manque de
renseignements pour justifier une exécution contraire à la volonté du maître de l’œuvre.
2/ L'entrepreneur ne pourra élever aucune réclamation, ni prétendre à une indemnité ou plus-
value pour le gène et les sujétions résultantes de la présence d'ouvriers d'autres corps d'Etat
appelés à travailler sur le chantier.
3/ Il est précisé que parmi les dépenses incluses dans les prix figurent également les frais
suivants :
a) Les consommations correspondantes à l’eau et l’électricité pendant la durée des travaux.
b) Les frais d'héliographie et de copies en dehors des deux exemplaires des plans et pièces
écrites fournis gratuitement.
4/ En application de l'article 44 du C.C.A.G-T le délai fixé pour le dégagement, le nettoiement et
la remise en état des emplacements mis à la disposition de l'entrepreneur est fixé à quinze jours
(15 jours) du calendrier à compter de la réception provisoire.
L’entrepreneur devra obligatoirement se soumettre à tous les règlements de police et de voirie
en vigueur de la ville du projet en question.
Il sera responsable de tous les dégâts ou détournements commis par son personnel ou par des
tiers sur son chantier ou dans les bâtiments mis à sa disposition.
Il devra s’acquitter de ses obligations vis-à-vis des organismes sociaux (inspection de travail,
C.N.S.S, assurances, etc.)
L’entrepreneur, de par sa signature, reconnaît qu’il est seul responsable de tous accidents ou
dommages de matériels ou corporels, du fait direct ou indirect des travaux ou fournitures objet
du marché, ou causés par son personnel ou son matériel.
Cette responsabilité s’entend aussi bien pendant l’exécution des travaux qu’après leur
achèvement, pendant la période de responsabilité légale et à la complète décharge de
l’Administration.
Il devra soumettre à l’approbation de l’Administration le programme d’exécution assorti des
plans de sécurité et d’hygiène pour répondre à l’article 33 du C.C.A.G.T Ces plans seront tenus à
jour par le titulaire qui en signalera les modifications à l’administration.
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ARTICLE N° 24. REGLEMENT DE POLICE ET DE VOIRIE.
L'entrepreneur devra obligatoirement se soumettre à tous les règlements de police et voirie en
vigueur.
L'entrepreneur sera responsable de tous les dégâts ou détournement commis par son personnel
ou par des tiers sur son chantier ou dans les bâtiments mis à sa disposition.
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maître d’œuvre.
L’entrepreneur devra s’assurer sur place avant toute mise en œuvre de la possibilité de suivre
les côtes et les indications des plans et dessins de détail. Dans le cas de doute, il se référa
immédiatement à l’Administration.
Toutes les notifications lui seront faites au domicile qu’il a élu à proximité des travaux ou à
défaut à l’adresse indiquée dans son acte d’engagement.
Il sera tenu d’adresser toutes correspondances ou lettres recommandées concernant son
marché à l’Administration.
L’entrepreneur est tenu de fournir à l’Administration et à sa demande tous les renseignements
intéressants l’exécution et l’avancement des travaux.
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faisant apparaître le montant de la TVA, ils devront indiquer les références du présent marché.
Les décomptes accompagnés des situations justificatives doivent rappeler l'intitulé exact de son
compte courant postal bancaire ou de trésor.
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1- La liquidation des sommes dues par le Maitre d’Ouvrage Délégué, en exécution du présent marché,
sera opérée par les soins de madame la Déléguée du ministère de la santé et de la protection
sociale à la préfecture de Skhirat-Témara ;
2- Le fonctionnaire chargé de fournir au titulaire du marché ainsi qu’aux bénéficiaires des
nantissements ou subrogations les renseignements et états prévus par les dispositions du Dahir n°1-
15-05 du 29 rabii II 1436 (19 février 2015) portant promulgation de la Loi n° 112-13 relatif au
nantissement des marchés publics, est madame la Déléguée du ministère de la santé et de la
protection sociale à la préfecture de Skhirat-Témara ;
3- Les paiements prévus au présent marché seront effectués par monsieur le Trésorier préfectoral
de Témara seul qualifié pour recevoir les significations des créanciers du titulaire du présent
marché.
En cas de nantissement du marché, le Maitre d’Ouvrage délivre sans frais, au titulaire, sur sa demande et
contre récépissé, un exemplaire spécial du marché portant la mention « exemplaire unique » et destiné à
former titre conformément aux dispositions du Dahir n°1-15-05 du 29 rabii II 1436 (19 février 2015) portant
promulgation de la Loi n° 112-13 relatif au nantissement des marchés publics.
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matériaux ou de fournitures qu'il propose d'employer, il ne pourra mettre en œuvre ces
matériaux qu'après acceptation donnée par ordre de service délivré par le MO
Les échantillons acceptés, seront déposés au bureau de chantier prévu à l'article n°201
paragraphe n°2 du DGA et serviront de base de vérification pour la réception des travaux.
L'entrepreneur devra présenter à toute réquisition, les certificats attestant de la qualité des
matériaux proposés ainsi que des fiches techniques de chaque élément.
En application de l’article 42 du C.C.A.G.T, les matériaux destinés à l’exécution des travaux ne
seront d’origine étrangère qu’en cas d’impossibilité de se procurer des matériaux similaires de
fabrication Marocaine.
En outre, et à chaque livraison, l'entrepreneur doit produire les pièces justifiants la provenance
des matériaux approvisionnés (bon de livraison).
Dans un délai de sept (7) jours à dater du lendemain du jour de la notification de l’ordre de
service lui prescrivant de commencer les travaux, l’entrepreneur doit indiquer la carrière de
provenance du sable et l’estimation de la quantité à extraire ou à produire. La carrière de
provenance doit être autorisée selon la réglementation en vigueur.
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ARTICLE N° 43. INSTALLATION ET ORGANISATION DU CHANTIER
L'entreprise disposera pour l'installation de son chantier des terrains avoisinant les constructions. Il devra
prévoir, dès l'ouverture du chantier, la construction d'un local à usage de bureau pour les réunions de
chantier. Ce local devra avoir 20 m² minimum et comportera des panneaux d'affichage pour les plans,
planning, etc. Une table de travail sera installée avec les chaises. Le local sera équipé éventuellement du
téléphone et des sanitaires nécessaires. Un cahier de chantier sera en permanence à la disposition du maître
d'ouvrage ou de ses représentants.
Les frais d'installation du bureau de chantier et toutes autres installations nécessaires sont à la charge de
l’entreprise. Il est à rappeler que tous les locaux nécessaires à l'entreprise pour le stockage de matériaux ou
matériel seront établis en dehors des constructions et à un emplacement soumis pour approbation du Maître
d’Ouvrage Délégué et de la Maîtrise d’œuvre.
Dans un délai de quinze (15) jours à dater du jour de la notification de l’ordre des services lui
prescrivant de commencer les travaux, l’Entrepreneur devra faire agréer par le MO, les
dispositions détaillées qu’il compte adopter pour ce qui concerne sa propre organisation du
chantier (installation, stockage, hébergements, …etc.), ainsi que le matériel qu’il compte utiliser
pour atteindre les objectifs fixés par le planning directeur.
Il est spécifié que l’agrément du matériel par le MO ne diminue en rien la responsabilité de
l’Entrepreneur quant au respect des délais et aux conséquences dommageables que son
utilisation pourrait avoir à l’égard des tiers.
En cours des travaux, le MO pourra exiger que soient modifiées ou complétées les dispositions
agréées initialement si celles-ci paraissent insuffisantes, et si à l’expérience elles ne donnent pas
satisfaction, en particulier, si l’usure du matériel est la cause d’une qualité ou d’une cadence
insuffisante dans l’exécution des travaux.
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L'Entrepreneur étant réputé homme de l'art, il lui appartient de soumettre à l’approbation de
de BET, BCT et l’architecte tout détail d'exécution, à partir des plans de base, qui lui semblerait
nécessaire pour la pérennité des ouvrages qu'il doit réaliser.
L'Entrepreneur est tenu de vérifier les plans DCE, par écrit, en temps voulu, toutes erreurs
matérielles qui auraient pu se glisser dans les plans ou pièces écrites qui lui seraient notifiés.
La non observation de cette prescription entraînera la responsabilité de l'Entrepreneur qui
endossera les frais nécessaires à la remise en ordre des ouvrages.
Aucune côte ne sera prise à l'échelle sur les plans, pour l'exécution des travaux.
L'Entrepreneur devra s'assurer sur place avant toute mise en œuvre, de la possibilité de suivre
indications des plans et dessins de détail. Dans le cas de doute il se référera immédiatement à
l'Administration, par écrit.
Si les désignations des descriptions techniques ne sont pas jugées suffisantes, il demeure bien
entendu que la signature du marché implique que les renseignements complémentaires ont été
obtenus par l'Entrepreneur avant la remise de ses offres de prix.
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ARTICLE N° 51. TROUS ET SCELLEMENTS - RESERVATIONS.
Il est rappelé à l'entrepreneur les restrictions du service de contrôle concernant les percements
saignées et scellements.
Il est strictement spécifié que les éléments de structures en béton armé ne doivent pas être
touchés sans avis du BET, de l’architecte et Bureau de Contrôle, il importe donc que les différents
corps du métier précisent dès le début des travaux leurs plans de montage et de percements
afin de prévoir initialement la pose de tampons en bois panneaux dans les coffrages ou
fourreaux pour permettre les scellements et passages sans distinctions. Les saignées dans les
cloisons seront rigoureusement interdites, dans le cas où des percements, scellement ou
saignées seraient indispensables, ils seront effectués par chaque entreprise intéressée après
accord du maître de l’œuvre mais les rebouchages et raccords nécessaires, seront
obligatoirement faits par L’entrepreneur du présent lot.
2. CAUTIONNEMENT DEFINITIF
Le montant du cautionnement définitif est fixé à trois pour cent (3%) du montant initial du marché arrondi
au dirham supérieur.
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Le cautionnement définitif doit être constitué dans les vingt (20) jours qui suivent la notification de
l'approbation du marché. Il reste affecté à la garantie des engagements contractuels de l'Entrepreneur
jusqu'à la réception définitive des travaux.
3. RETENUE DE GARANTIE
Le paiement des acomptes s'effectue au même rythme que celui fixé pour l'établissement des décomptes
provisoires sauf retenue d'un dixième (1/10) pour garantie.
La retenue de garantie cesse de croître lorsqu'elle atteint sept pour cent (7%) du montant initial du marché
augmenté, le cas échéant, des montants des avenants.
Les cautionnements et la retenue de garantie peuvent être remplacés par des cautions personnelles et
solidaires dans les conditions prévues par la réglementation en vigueur.
Les modalités de constitution et de restitution des cautionnements ainsi que de la retenue de garantie sont
fixées par les articles 14, 15, 16, 17, 18, 19 et 64 du C.C.A.G-T.
Conformément à l’article 519 de la Loi n° 65-99 relative au Code du travail, la restitution du cautionnement
définitif ou la libération de la caution qui le remplace, est conditionnée par la production, par le titulaire,
d’une attestation administrative délivrée par le délégué préfectoral ou provincial chargé du travail certifiant
le paiement des sommes dues à ses salariés.
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Tous les attachements seront établis et signés en trois exemplaires par la maîtrise d’œuvre
(BET, Architecte.), l’administration et l’entrepreneur, chacun des signataires conservera une
copie dûment signée.
Au cas où l’entrepreneur n’assiste pas aux prises d’attachement ou ne les signe pas, ils lui seront
transmis sous pli recommandé par l’administration et lui sera accordé un délai d’acceptation.
Passé ce délai, les attachements sont censés être acceptés par lui comme s’ils étaient signés sans
aucune réserve.
Le paragraphe ci-dessus s’applique aussi au cas où des rectifications seront apportées par
l’administration sur les situations et métrés présentés par l’entreprise.
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L'Entrepreneur s'engage à respecter et à suivre au jour le jour les divers plannings et à prendre
les dispositions nécessaires pour récupérer tout retard éventuel tant sur le chemin critique que
sur le délai général.
2- DOSSIER D’EXECUTION
Tous les ouvrages sont matérialisés par l'Entrepreneur sur des plans détaillés d’exécution. Le
dossier d'exécution se compose des documents d'exécution et des documents techniques exigés
par la M. Œuvre. Ces documents sont établis en français et réalisés en DAO (Dessin Assistée par
Ordinateur).
L’Entrepreneur établit ses plans d’exécution sur base du dernier indice des plans d’Architecture
et de BET "Bons pour les études d’exécution" en tenant compte :
- des documents du Dossiers d'Appel d'Offres,
- des plans de Parachèvement et de Stabilité dans leur dernière édition,
- des plans d’Exécution réalisés par les autres Entrepreneurs.
L’Entrepreneur est tenu de réclamer, en temps utile, les documents qui lui sont nécessaires.
L'Entrepreneur détermine le type, le nombre et la localisation précise des équipements à mettre
en place en fonction des performances exigées, du matériel proposé et des délais
d'approvisionnement.
Si des modifications d'emplacement, de choix d'équipements ou de principe interviennent par
rapport au Dossiers d'Appel d'Offres, il appartient à l'Entrepreneur d'en tenir compte dans
l'élaboration de ses plans d'exécution et de se conformer aux instructions reçues lors des
réunions d'études d'exécution et de coordination.
L’Entrepreneur doit coordonner ses études d’exécution avec celles des autres Entreprises. Pour
ce faire, il participe activement aux réunions de coordination et/ou de synthèse
multidisciplinaire et il étudie l’exécution des solutions techniques coordonnées en tenant
compte :
Des performances à réaliser
Du matériel proposé
Des contraintes liées à l’Architecture, au Parachèvement, à la Stabilité ou aux autres
Installations Techniques.
Les documents d’exécution sont établis en nombres exemplaires suffisant (voir partie
administrative) et doivent être transmis dans le cadre du planning d'Entreprise. Ce planning
doit tenir compte des études de coordination d'exécution, du délai nécessaire à la vérification
des documents d'exécution par la Maîtrise d’œuvre, des délais d'approvisionnement des
équipements et du planning d'exécution de l'Entrepreneur.
Les percements, découpes, réservations et éléments à incorporer dans d’autres ouvrages
doivent être communiqués, afin que les études de coordination puissent s'effectuer et que les
Entrepreneurs concernés puissent assurer ces travaux dans le cadre de leur planning
d’exécution.
Avant toute commande de la part de l'Entrepreneur et à fortiori avant d'entamer l'exécution des
Travaux, les équipements, systèmes et logiciels doivent être soumis à la vérification préalable
par la Maîtrise d’œuvre. Celle-ci refuse de recevoir des documents incomplets ou ne justifiant
pas le choix proposé par rapport aux performances imposées. Elle se réserve le droit de refuser
toute fourniture, exécution ou Installation pour des documents qui n'auraient pas été
préalablement vérifiés ou pour des équipements, systèmes ou logiciels qui ne respecteraient
pas les descriptions ou les performances imposées dans le Dossiers d'Appel d'Offres. Dans ce
cas, l’Entrepreneur doit les remplacer par des équipements, systèmes ou logiciels conformes et
cela sans modification de prix ou de délais.
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L'Entrepreneur corrige les documents d'exécution en fonction des remarques émises en
coordination ou suite à la vérification par la Maîtrise d’Œuvre et rediffuse ces documents en y
indiquant l'indice de modification.
Lorsque le document d’exécution est accepté sans remarque et que les ouvrages peuvent être
mis en exécution, le plan est considéré comme "Bon pour exécution".
La délivrance du "Bon pour exécution" ne diminue en rien la responsabilité de l'Entrepreneur
et l'obligation pour lui de fournir et de placer des équipements ou des Installations dont les
performances et les spécifications correspondent aux exigences imposées dans le Dossiers
d'Appel d'Offres et les décomptes acceptés faisant partie du Marché.
3- NOTES DE CALCUL
Les notes de calculs à introduire par l'Entrepreneur seront effectuées pour la vérification et
l’actualisation des études et plans fournis par le maître d’ouvrage
Ces notes de calcul doivent être approuvées par le B.E.T et le bureau de contrôle.
4- FICHES TECHNIQUES
La maîtrise d’œuvre refuse de recevoir des fiches techniques partielles, incomplètes ou trop
commerciales n'apportant pas les renseignements techniques nécessaires à l'examen. Les
fiches techniques sont remises globalement pour le matériel proposé et donnent les
spécifications et les sélections retenues dans le cadre du projet.
A ces fiches techniques sont annexés des catalogues ou extraits de catalogues ainsi que les
certificats de conformité aux normes ou règlements.
L’Entrepreneur indique clairement les caractéristiques spécifiques de l’équipement et de ses
accessoires avec les références des produits concernés.
Afin de se faire une idée plus précise du matériel proposé par l'Entrepreneur, le Maître de
l'Ouvrage et la maîtrise d’œuvre se réservent le droit de visite des lieux de fabrication ou de
vente afin de voir ce matériel, d'en vérifier les performances annoncées par des essais
complémentaires. Ces essais complémentaires ne peuvent entraîner de supplément de prix de
l’entreprise adjudicataire.
En complément des fiches techniques, l’entrepreneur doit soumettre des échantillons des
matériaux ou produits pour vérification à la maîtrise d’œuvre, Maître d’ouvrage ou autre
intervenant.
5- CERTIFICATS D’AGREMENT
Afin de prouver la conformité du matériel proposé aux Spécifications Techniques,
l'Entrepreneur doit fournir des certificats d'agrément ou de conformité aux normes imposées. .
6- ECHANTILLONS
En complément aux fiches techniques, l'Entrepreneur doit soumettre des échantillons des
matériaux, matériels, produits ou équipements à la vérification de la Maîtrise d’œuvre.
Afin de faciliter l'intégration de certains équipements ou matériels dans le parachèvement, il
peut être demandé à l'Entrepreneur de monter des échantillons en nombre suffisant dans une
cellule type. Les frais relatifs à la fourniture et au montage de ces échantillons et de cette cellule
type sont à charge de l'Entrepreneur pour les équipements liés à ses travaux. Sont également à
sa charge, les frais de raccordement provisoire et de démontage des équipements.
Ces échantillons sont à introduire par l'Entrepreneur au même moment que la fiche technique
correspondante.
Il s'agit bien d'échantillons et pas de prototype devant encore subir des mises au point.
7- PLANS D’EXECUTION
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L’Entrepreneur établit les plans d'exécution en coordination avec le génie civil, le
parachèvement et les autres techniques, de la totalité des Installations. Ces plans sont cotés et
dessinés à échelle compatible avec les directives de coordination
Ces documents doivent être approuvés par l’Architecte, le BET, le BCT, le Maitre
d’ouvrage et le distributeur d’énergie pour la partie qui la concerne.
8- DOSSIER DE RECOLLEMENT
En cours d'exécution, les plans sont corrigés et mis à jour par l'Entrepreneur dans les moindres
détails, de manière à reproduire avec exactitude les Installations et leurs particularités telles
qu'elles sont réellement exécutées.
Après l'achèvement des travaux et avant le contrôle des installations par la Direction des
Travaux, l'Entrepreneur remet plusieurs exemplaires complets des documents de recollement.
Il tient compte des remarques émises par la Direction des Travaux et fournit avant la Réception
Provisoire. Il fournit également une copie des plans et schémas de recollement sous forme de
fichier informatique au format commun d'échange DWG. Ce fichier informatique est fourni sur
CD-Rom.
Le dossier de recollement doit permettre d'effectuer ultérieurement la maintenance,
l'exploitation et toutes les modifications et adaptations éventuelles aux installations réalisées.
Le dossier de recollement se compose :
Des notes de calcul,
Des fiches techniques,
Des certificats d’agrément,
Des plans complets d’exécution des Installations telles qu'elles auront été réalisés,
Schémas électriques multifilaires des armoires électriques.
Des Spécifications Techniques avec marques, types, provenance et quantité du matériel
placé,
De la liste des pièces de rechange,
De la description de l’organisation des différents programmes du logiciel et en particulier
:
Les programmes opérationnels
Les programmes de tests et de maintenance
Les programmes de gestion
Des rapports de contrôle et essais des équipements et des Installations effectués en usine
et sur site,
Des rapports de contrôle et essais des liaisons inter-équipements et de fonctionnement
intégré des systèmes,
Des rapports de vérification par les Organismes de Contrôle,
Du manuel d'exploitation comprenant :
Les notices de conduites précisant les directives à suivre pour assurer la
conduite des équipements et des Installations dans les meilleures conditions de
sécurité des personnes et des biens.
Les notices d'entretien contenant l'ensemble des prescriptions nécessaires à
l'entretien et à la maintenance des équipements (contrôle et travaux d'entretien
périodique, liste des pièces de rechange...)
Le manuel explicatif du fonctionnement de tous les équipements contenant des
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informations quant au mode d'utilisation, aux consommations électriques,
tolérances de tension et de fréquence, durée autorisée d'interruption
d'alimentation, aux réglages et paramètres divers...
9- CONTROLE ET ESSAIS
a) Généralités
A chaque étape de la réalisation des ouvrages, la vérification des performances est
consignée dans un document contractuel établi sur base des rapports de contrôle et d'essais des
ouvrages rédigés par l'Entrepreneur.
La Maîtrise d’œuvre est en droit de refuser les ouvrages dont les performances exigées ne sont
pas respectées.
Les Contrôles et Essais que l'Entrepreneur doit effectuer avant la vérification des performances
par la Maîtrise d’Œuvre concernent ses propres Installations ainsi que les liaisons vers les
autres Installations. L'Entrepreneur participe aux Contrôles et Essais des systèmes intégrés.
La liste des contrôles et des essais est précisée dans les Spécifications Techniques.
Le Maître de l'Ouvrage se réserve la faculté d'exiger soit en cours des travaux, soit lors de leur
réception, l'exécution de tous les essais complémentaires qu'il jugera nécessaires.
L'Entrepreneur est tenu de les faire exécuter. Ils sont à charge du Maître de l'Ouvrage si leur
résultat est satisfaisant et à charge de l'Entrepreneur dans le cas contraire.
Les contrôles et les essais ainsi que les visites des organismes de contrôle et les Mises en Service
doivent être organisés par l'Entrepreneur de manière à respecter les délais d'exécution. Les
programmes de ces activités doivent être transmis par l'Entrepreneur à la Direction des
Travaux suffisamment tôt pour permettre des adaptations ou des compléments éventuels.
Les prestations de la Maîtrise d’Œuvre relatives aux Contrôles et Essais dont les résultats sont
négatifs ainsi qu'aux visites liées aux réceptions qui doivent être recommencées suite aux
carences de l'Entrepreneur font l'objet d'une facturation à charge de l'Entrepreneur.
Pour les Contrôles et Essais, l'Entrepreneur met à disposition de maîtrise d’œuvre, le matériel
et les agents qualifiés. Ces derniers effectuent les manipulations.
Tous les frais de contrôles et d'essais du matériel dans les laboratoires, en usine, par un
Organisme de Contrôle ou sur site sont à charge de l'Entrepreneur.
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Les contrôles sont effectués sur base des indications de l'Entrepreneur. Celui-ci garde l'entière
responsabilité de ses travaux notamment en cas d'"oubli" d'un équipement dans les parties de
l'ouvrage fermées ou parachevées.
Avant d'entamer ces essais, l'Entrepreneur transmet à la Maîtrise d’œuvre les procédures
d'essais qu'il compte appliquer. Les procédures tiennent compte des possibilités d'exploitation
ou d'utilisation à préciser par la Maîtrise d’œuvre et/ou par le Maître de l'Ouvrage et des autres
travaux en cours.
Les résultats des contrôles et des essais des Installations sont rassemblés par l'Entrepreneur
dans des rapports détaillés qui sont transmis à la Maîtrise d’œuvre pour examen.
Au cours de cette période, les ouvrages restent placés sous la direction et la responsabilité de
l'Entrepreneur. L'exploitation se fait à ses risques et périls et par du personnel qualifié, procuré
par l'Entrepreneur et nécessaire à cette exploitation. Ce personnel est éventuellement assisté
par du personnel d'exploitation fourni par le Maître de l'Ouvrage mais travaillant sous le
contrôle et la responsabilité de l'Entrepreneur.
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L'Entreprise comprend l'ensemble des prestations nécessaires à l’écolage et la formation du
personnel du Maître de l'Ouvrage ou de tiers qui seront préposés à l'exploitation des
Installations (utilisateurs et techniciens de maintenance).
Cet écolage se fait obligatoirement par des techniciens spécialisés. Il se poursuit après la
Réception Provisoire pendant la période d’assistance à la conduite des Installations. Ces
différentes formations sont détaillées dans les Spécifications Techniques.
L'Entrepreneur transmet au Maître de l'Ouvrage un programme détaillé d'écolage et de
formation reprenant les durées prévues pour chaque partie d'Installation.
Il fournit les dossiers de recollement deux semaines avant le début de l'écolage.
Selon le type d’Installation, l'écolage est réalisé sur site, chez l’Entrepreneur ou chez son
Fournisseur sous-traitant sur un équipement et sur un logiciel identique à ceux installés dans le
cadre du présent Marché. L’équipement et le logiciel sont supportés par un réseau reconstitué
en miniature, installé pour la mise au courant du personnel.
La formation porte sur :
Niveau 1 : la manipulation des équipements et du logiciel au niveau de l’utilisateur exploitant.
Niveau 2 : tout ce qui concerne la métrisation de l’Installation et la gestion du système.
Le cours est basé sur le manuel d’exploitation qui reprend notamment toutes les pages d’écran
qu’il y a lieu de compléter pour les différentes fonctions avec explication des différents champs
figurant sur ces pages d’écran.
Selon le type d’Installation, cet écolage et formation doit être de deux jours minimum et en
langue Française.
Une assistance à l’exploitation est également prévue, elle doit permettre aux opérateurs et
utilisateurs de se familiariser avec le fonctionnement et les consignes d’exploitation.
13- GARANTIE
La période de garantie prend cours à la date de la Réception Provisoire des Installations pour
une durée de 12 mois à partir de la date de la réception provisoire.
Pendant la durée du délai de garantie, l’entrepreneur demeure responsable de ses ouvrages et
est tenu de les entretenir à ses frais, il reste de même responsable des actions ou indemnités
formulées par les tiers pour dommages résultant de l’exécution des travaux.
Pendant cette période, l'Entrepreneur doit effectuer :
La garantie relative au matériel fourni par l’entrepreneur est celle fixée par les normes en
vigueur.
Si, au moment de la réception définitive, il est reconnu que certains ouvrages ne sont pas en
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bonne état, l’administration peut prolonger le délai de garantie jusqu’à ce que les travaux
nécessaires aient été exécutés par l’entrepreneur, ou faire exécuter les travaux aux frais de
celui-ci.
L'Entrepreneur reste responsable de tous les vices cachés que recèleraient les équipements et
ce pendant une durée de trois ans à partir de la date de Réception Provisoire.
L'Entrepreneur est responsable du dommage causé par un défaut de son produit.
Dans le cadre de ses obligations l'Entrepreneur doit intervenir dans les délais fixés par l'urgence
de l'intervention, celle-ci étant appréciée par le Maître de l'Ouvrage.
Faute de respecter ces obligations, le Maître de l'Ouvrage peut faire exécuter par un autre
Entrepreneur spécialisé, les réparations jugées nécessaires aux frais, risques et périls de
l'Entrepreneur du présent Marché. En outre, ce dernier ne pourra invoquer cette intervention
pour se soustraire à ses obligations et responsabilités ultérieures.
La garantie de l'Entrepreneur ainsi que ses obligations restent pleines et entières, même dans
l'hypothèse où le Maître de l'Ouvrage soit effectué lui-même l'exploitation, soit confié cette
mission à une entité tierce.
Une erreur trouvée dans un logiciel après la période de garantie est corrigée gratuitement par
l’Entrepreneur s’il est prouvé que cette erreur existait pendant la période de garantie.
Les obligations du titulaire du marché pendant la période de garantie sont celles prévues par
l'article 75 du C.C.A.G-T.
La garantie relative au matériel fourni par l’entrepreneur est celle fixée par les normes en
vigueur.
Pendant la période de garantie l'Entrepreneur s'engage à exécuter à ses frais la maintenance
préventive avec garantie totale des équipements ainsi que toutes les modifications et
améliorations aux parties reconnues défectueuses, y compris le démontage et le remontage, en
bref l'entretien correctif, et ce jusqu'à la Réception Définitive.
Pour réaliser cette maintenance, l'Entrepreneur fait éventuellement appel à des pièces de
rechange ou à un équipement correspondant de remplacement.
Lorsqu’au cours des trois derniers mois de la période de garantie, le fonctionnement des
Installations ou d'une partie de celles-ci n'a pas donné satisfaction par le fait d'imperfections ou
d'autres causes pour lesquelles l'Entrepreneur est responsable, la Réception Définitive est
reportée, après réparation, jusqu'à ce que l'Installation donne entière satisfaction durant une
période ininterrompue de trois mois. L'Entrepreneur supporte tous les frais directs et indirects
du report de la date de Réception Définitive.
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Pendant cette période, l'Entrepreneur doit effectuer :
Le suivi régulier des Installations,
La poursuite de l'écolage du personnel du Maître de l'Ouvrage,
Les adaptations éventuelles des paramètres introduits dans les bases de données,
Les adaptations éventuelles des interfaces avec les autres Lots, compte tenu du
fonctionnement journalier de routine,
Les corrections et adaptations des Installations ayant fait l'objet de remarques ou de
réserves dans le Procès-verbal de Réception Provisoire,
Les corrections de nouvelles remarques ayant été constatées,
L’entretien et les prestations nécessaires pour assurer la garantie totale de bon
fonctionnement des équipements et des Installations.
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A l’issue de la période de garantie, l'Entrepreneur peut demander au Maître de l'Ouvrage de
procéder à la Réception Définitive des travaux.
Selon les conditions précisées au Marché et lorsque :
La Réception Provisoire a été prononcée,
Toutes les remarques émises dans le Procès-Verbal de Réception Provisoire ont été
corrigées et les réserves émises ont été levées,
Le fonctionnement des ouvrages pendant la période de garantie a été satisfaisante,
L’entretien des équipements et Installations a été effectués pendant la période de
garantie,
La Réception Définitive pourra être accordée.
L’entrepreneur doit solliciter la réception définitive par lettre recommandée adressée à
l’administration vingt jours (20 jours) avant la date prévue.
La réception définitive aura lieu en principe douze mois (12 mois) après la date de réception
provisoire des travaux et la retenue de garantie sera débloquée après que la réception définitive
soit prononcée par l’administration.
Après cette réception, l’entrepreneur restera soumis à la responsabilité de droit commun défini
par les lois en vigueur dans le Royaume du Maroc.
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Chaque Entrepreneur sera tenu pour responsable des détériorations qu’il pourrait causer au
matériel et aux fournitures appartenant aux entrepreneurs des autres corps d’état, ou aux
ouvrages exécutés par les entrepreneurs intéressés, qui porteront les dépenses
correspondantes au compte prorata.
Seront portées aussi à ce compte, tenu par l’Entrepreneur adjudicataire : des travaux de GROS-
ŒUVRE, sous la surveillance déterminée, tous les frais de consommations, en eau et électricité,
sonorisation du chantier, de téléphone, de nettoyage de clôture et de gardiennage du chantier,
l’installation, l’entretien, les consommations d’eau, d’électricité des locaux réservés au Maître
de l’œuvre.
L’entrepreneur adjudicataire des travaux de Gros œuvre, fera l’avance de ces dépenses, qui
seront réparties au prorata des montants des marchés et pour toutes les entreprises
participantes à l’ouvrage.
En cas de contestation, La Maîtrise d’œuvre abritera le différent, son jugement sera sans appel
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CAHIER DES PRESCRIPTIONS TECHNIQUES
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A- PRESCRIPTIONS CONCERNANT L’ELECTRICITE :
Tous les travaux seront réalisés suivant les prescriptions particulières du D.G.A article 199 et les
prescriptions fixées par les DTU (n°70.1 - 70.2) dans leurs dernières éditions y compris leurs annexes, les
prescriptions de la norme françaises NFC 15.100 applicable au Maroc, les fascicules du C.P.C., ainsi que toutes
les normes marocaines.
ARTICLE 1 : OBJET DU PRESENT DOCUMENT
Le présent document définit les prescriptions générales que l'entrepreneur doit respecter pour l'exécution
des travaux d’électricité. Il donne également la description des fournitures et des travaux à réaliser listés
dans chapitre description des ouvrages.
ARTICLE 2 : CONTENU DES PRIX
Les prix de l'entrepreneur correspondent à des ouvrages terminés tels que définis par les prescriptions du
présent document, normes, règles de l'art, etc.... et les autres documents formant le dossier marché sans que
cette liste soit limitative :
. Toutes relations avec le distributeur et les différentes administrations.
. Etudes techniques, établissement des plans de détails, des plans de réservations.
. Exécution des schémas électriques et des plans de distribution électrique.
. Fabrication en usine.
. Fourniture des différents équipements et composants.
. Transport à pied d'œuvre des éléments, manutention, répartition, stock, etc...
. Engins de levage ou de manutention, échafaudages.
. Synthèse technique entre les différents corps d'état, plans de synthèse.
. Sujétions diverses pour interventions en plusieurs phases, éventuellement.
. Mise en place des protections provisoires et enlèvement de celles-ci.
. Mise en place des ouvrages, compris tous travaux préparatoires, tous travaux de fixation, tous
travaux de finition, mise en jeu, nettoyage, etc...
. Tous frais de main d'œuvre, compris indemnités légales, charges, taxes, etc...
. Assurances obligatoires et assurances complémentaires, si nécessaire.
. Quote-part de participation aux frais des dépenses communes du chantier.
. Licences ou redevances éventuelles.
. Impôts et taxes de toutes natures.
. Etablissement des programmes d'essais et exécution de tous les essais de contrôle et de conformité.
Note importante :
Les prix de l’entrepreneur comprennent également la fourniture et la pose de tous les équipements et
installations nécessaires à l’alimentation et l’éclairage du chantier pour tous les corps de métier. Cette
installation comprend les armoires et coffrets, les câbles, les luminaires et prises nécessaires. Le montant
relatif à cette installation est considéré compris dans les prix unitaires.
ARTICLE 3 : PROVENANCE DES MATERIAUX
Les matériaux destinés à l’exécution des travaux seront d’origine marocaine ; il ne sera fait appel aux
matériaux d’origine étrangère qu’en cas d’impossibilité de se les procurer sur les marchés marocains ; les
matériaux proviendront en principe des fournisseurs suivants :
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Par le fait même du dépôt de son offre, l’entrepreneur sera réputé connaître les ressources et dépôts indiqués
ci-dessus ainsi que leurs conditions d’accès et d’exploitation.
Aucune réclamation ne sera recevable concernant le prix de revient à pied d’œuvre de ces matériaux.
ARTICLE 4 : NORMES, REGLEMENTS ET TERMINOLOGIE
a) la terminologie applicable aux matériels est celle des normes de l’association française de
normalisation,
b) Le matériel électrique sera choisi en conformité avec les prescriptions de la norme marocaine
PNM 7.1 C.L. 005,
c) Les travaux à exécuter comprennent la fourniture, la pose et le raccordement de tous les appareils,
organes et accessoires nécessaires au bon fonctionnement de l’installation, les essais préalables à la
réception provisoire et l’entretien de l’installation pendant la période de garantie.
ARTICLE 5 : ECHANTILLONNAGE
L’entrepreneur soumettra au maître d’œuvre un échantillonnage complet des appareils et matériels à mettre
en œuvre avant le commencement des travaux ; aucun approvisionnement ne pourra être entrepris avant
l’accord du maître d’œuvre.
Les conditions imposées par le présent devis sont à respecter ; ne sont admises que les dérogations ; ayant
obtenu l’agrément du maître d’œuvre par écrit et concernant :
La qualité du matériel à installer,
Les délais d’approvisionnement ou de réalisation.
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Il appartiendra à l’entrepreneur de demander au fur et à mesure des besoins les renseignements
nécessaires à la mise au point des détails d’installation qui pourraient lui manquer.
6.2 - Notice d’entretien
Une notice d’entretien détaillée et une notice descriptive et technique ou fiche technique (catalogue)
du fabricant précisant la nature, la périodicité des visites et opération d’entretien, devront être
fournis 60 jours avant la date de la réception provisoire.
6.3 - Conformité aux normes
L’installation devra répondre aux exigences des normes en vigueur et notamment :
• NM 06.1.002 : Matériel pour réseau à courant alternatif à haute tension – coordination des
isolements- REGLES
• NM 06.5.001 : Transformateurs de puissance
• NM 7.10.100 : Coordination des isolements
• Arrêté du Ministère des TP et des communications n° 566-70 du 02 Octobre 1971 portant
approbation du règlement pour la construction et l’installation des postes de livraison et de
transformation raccordés à un réseau de distribution d’énergie électrique publique ou privé de
deuxième catégorie
• NM 7.34.110 : Conducteurs en cuivre dur (06.3.015).
• NM 7.62.411 : Disjoncteurs pour travaux de contrôle des installations de première catégorie.
• NM 6.3.004 : Conducteurs et câbles isolés pour installation. Conducteurs et câbles isolés au
caoutchouc de tension assignée au plus égale à 450 V/750 V.
• NM 6.3.002 : Méthodes d’essais pour les enveloppes isolantes et les gaines de câbles
électriques rigides et souples.
• NM 6.3.001 : Conducteurs et câbles isolés pour installations âmes de câbles isolés.
• NM 6.3.003 : Conducteurs et câbles isolés pour installations essais de classification de
conducteurs et câbles, du point de vue de leur comportement au feu.
• NM 6.3.006 : Conducteurs et câbles isolés pour installations, câbles rigides isolés au
polyéthylène réticulé sous gaine de protection en polychlorure de vinyle.
• NM 6.7.026 : Appareils d’éclairage : ballast pour lampes tubulaires à fluorescence.
• NM 6.7.002 : Appareils électrodomestiques et analogues aptitude à la fonction des
chauffe-eaux fixes non instantanés.
• NM 6.6.002 : Matériel pour installations domestiques et analogues : interrupteurs et
commutateurs de courant nominal supérieur à 10 A, interrupteurs et commutateurs pour
tableaux.
• NM 6.4.001 : Compteurs d’énergie active à courant alternatif.
• NM 06.6.009 Matériel pour installation domestiques (Fiches de PC et socles mobiles de
prolongateurs d’usage courant de courant nominal 6A et de tension nominale 250V) –REGLES
• NM 06.6.010 Matériel pour installation domestiques (Fiches de PC et socles mobiles de
prolongateurs d’usage courant de courant nominal 6A et de tension nominale 250V) –
CARACTERISTIQUES.
• NM 06.6.018 Disjoncteurs de protection contre les surintensités pour les installations
domestiques et analogues.
• NM 06.3.040 Conducteurs et fils entrant dans la construction électrique.
• NM 06.3.035 Conducteurs et câbles isolés pour installations.
• NM 06.6.026 Matériel pour installation domestiques et analogues (Culots de lampes et
douilles ainsi que calibre pour le contrôle de l’interchangeabilité et de la sécurité)
• NM 06.6.038 Matériel de pose des canalisations
Installations HTA :
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• Arrêté du Ministère de TP et de communication n° 566-70 du 02 Octobre 1971 portant
approbation du règlement pour la construction et installation des postes de livraison et de
transformation raccordés au réseau de distribution d’énergie électrique publique ou privé de
deuxième catégorie
• NF C 13-100 - Postes de livraison
• NF C 13-200 Installations électriques à haute tension – Règles, complétées et modifiées.
Installations BT :
• Décret n° 721.120 du 14 Décembre 1972
• NF C 13-100 - Postes de livraison
• NF C 13-200 - Installations électriques à Haute Tension
• NF C 15-100 et ses additifs - Installations électriques à Basse Tension, (nouvelle édition)
• NF C 15-400 - Installations des groupes électrogènes
• NF C 15.401 - installation de groupes moteurs thermiques générateurs,
• NF C 15.402 - installation des Alimentations Sans Interruption,
• NF C 15.201 - installations des grandes cuisines,
• NF C 15.211 et additifs - installations électriques à basse tension dans les locaux à usage
médical,
• NF E 37.312 - Groupe électrogène de Sécurité
• NF ISO 8528 -1 à NF ISO 8528-7 constitution des groupes électrogènes à courant alternatif à
combustion interne.
• NF S 61-940 Systèmes de Sécurité (S.S.I.) – Alimentations Electriques de Sécurité (A.E.S.).
Règles de conception, complété et modifié.
• NF C 11.001 - conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les distributions d'énergie
électrique,
• NF C 15.103 – Choix des matériels électriques,
• NF C 12-101 - Textes officiels relatifs à la protection des travailleurs dans les établissements
qui mettent en œuvre des courants électriques
• NF C 17-100 - Protection contre la foudre – Installations de paratonnerres – Règles
• NF C 17-102 - Protection des structures et des zones ouvertes contre la foudre par
paratonnerre à dispositif d’amorçage
• NF C 61 740 - Parafoudres pour installations basse tension, complété et modifié.
• NF C 17-300 - Conditions d’utilisation des diélectriques liquides.
• NF C 33-323 - Câbles isolés HT
• NF C 20.030 - matériel électrique à basse tension (protection contre les chocs électriques),
• NF C 32.070 - essais de classification des conducteurs et câbles au point de vue de leur
comportement au feu,
• EN 60.742 - concernant les transformateurs d'isolement,
• Publications de l'UTE n° 71.800 à 71.150 - appareils d'éclairage,
• NF C 71.800, 71.801, 71 803, 71 805, EN 60598-22 - blocs autonomes d'éclairage de sécurité,
• NF C 74.010 - sécurité des appareils électro-médicaux,
• NF C 20-010 (EN CENELEC 60 529) (CEI 529) – Degré de protection procuré par les
enveloppes
• EN CENELEC 60 439.1) (CEI 439.1) – Ensembles d’appareillages B.T.
• DTU du CSTB régissant les installations électriques dans les bâtiments autres que ceux
réservés aux logements d'habitation,
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• Au décret du 14 novembre 1988 et tous additifs relatifs à la protection des travailleurs contre
les courants électriques,
• Arrêté du 26 février 2003 relatif aux blocs autonomes de sécurité,
• EN 12464-1 – Eclairage des lieux de travail
• Recommandations de l'Association française d'éclairage et concernant en particulier
l'éclairage des hôpitaux,
• Normes ISO 8877, ISO 10173, ISO/CEI 11801,
• Norme C 91.100 et additifs - perturbations radioélectricité,
• Guide n° 54 de décembre 2000 / Février 2001 sur la sécurité électrique dans les
établissements de santé.
• Circulaire du ministère de la santé DHOS/E4/2006/393 du 8 septembre 2006 relative à la
sécurisation de l’alimentation des établissements de santé
• Dispositions de l'arrêté du 25 juin 1980 concernant le règlement de sécurité contre l'incendie
• Règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les Etablissements
Recevant du Public (E.R.P) – Etablissements de soins (type U)
• Arrêté du 23 mai 1989 concernant la réglementation contre l'incendie dans les
établissements du type U, et modificatifs
• Arrêté du 19 novembre 2001 portant approbation de dispositions complétant et modifiant le
règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les établissements recevant
du public.
• Décret 1056 du 14 novembre 1988 prix pour l’exécution des dispositions du livre II du Code
du travail (titre III : Hygiène, sécurité et conditions de travail) en ce qui concerne la protection des
travailleurs dans les établissements qui mettent en œuvre des courants électriques.
• Instructions techniques IT 246 - 247 - 248,
• Normes françaises éditées par l’UTE, le CENELEC et la CEI :
• L'ensemble des normes et décrets régissant le matériel utilisant l'énergie électrique (voir
section spécifique)
• Code du travail.
• Spécifications, recommandations et documents suivants :
• Arrêté du 2 janvier 1986 relatif à la limitation du niveau sonore des bruits aériens émis par
les groupes électrogènes de puissance.
• Les spécifications techniques de l’Office National de l’Electricité pour les équipements de
raccordement au réseau Haute Tension, avec entre autres ; cellules préfabriquées,
transformateurs, canalisations.
• Essais : COPREC CA7, CH7
En cas de contradiction entre les divers textes, les derniers en date prévalent.
Tous les matériaux et matériels proposés par l’entrepreneur devront être de fabrication standard,
sauf dérogations spéciales soumises à l’agrément du maître d’œuvre.
Le matériel et les types d’installation devront être conformes aux recommandations du CEI et plus
particulièrement aux normes françaises UTE, et à la norme marocaine N.M. 7.11 CL.005.
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les caractéristiques qu’il préconise. Dans le cas contraire, l’entrepreneur est réputé admettre la
consistance du présent programme. La responsabilité pleine et entièrement de l’ouvrage incombera
à l’entrepreneur.
7.2 - Bases de calculs
Les caractéristiques des ouvrages seront déterminées en appliquant les dispositions suivantes :
7.2.1 – Canalisations
Les calculs des câbles seront effectués sur les bases suivantes :
Circuit d’éclairage : chute de tension admise 6% pour lampe la plus éloignée du tableau
général B.T.,
Circuit force prise de courant : chute de tension admise 8% pour la prise de courant
la plus éloignée du tableau général B.T.
7.2.2 - Facteur de simultanéité
Conforme au tableau 3IGA de la NFC 15.100.
ARTICLE 8 : MISE EN OEUVRE DU MATERIEL
8.1 - Percement, scellements et fixations diverses
Tous les percements, scellements et fixations diverses seront à la charge de l’entrepreneur du
présent lot. Pour l’exécution des scellements que l’entrepreneur serait amené à effectuer, le ciment
doit être à prise rapide (type Vassy), l’emploi du plâtre est interdit. Pour les fixations éventuelles
prévues sur les parties métalliques, l’entrepreneur devra exécuter les raccords indispensables de
peinture antirouille au cas où des percements ou soudures auraient fait disparaître celle-ci. Les
fixations métalliques seront prévues peintes, galvanisées ou cadmiées métallisées et peintes d’une
première couche avant mise en œuvre.
8.2 - Traversées des parois
Elles devront répondre aux spécifications générales des normes UTE et de la norme marocaine PNM
7.11.CL.005. Tous les fourreaux ainsi que les percements, scellements nécessaires à leur pose seront
effectués par l’entrepreneur. Ils devront être d’un diamètre approprié à celui des câbles dont ils
assurent le passage et dépasser sur chaque face la paroi qu’ils traversent sur 0.01 mètre minimum.
8.3 - Repérage des câbles
Les câbles spécifiques aux appareils seront repérés tous les 3 m, à leurs points de départ, de
changement de direction et d’aboutissement par une bague dont l’indication doit correspondre aux
schémas fournis.
8.4 - Visserie et boulonnerie
Seul l’emploi de visserie et boulonnerie cadmiées est autorisé.
8.5 – Tôles
Les tôles seront de qualité double décapage, traitées au chromate de zinc, soigneusement mastiquées
et poncées avant peinture.
8.6 – Peinture
Toutes les parties métalliques (sauf les tablettes perforées des chemins de câbles) seront peintes à
une couche de minimum de plomb contenant au minimum 20 % d’huile de lin. Il sera appliqué deux
couches de peinture glycérophtalique pure dont la couleur sera précisée à l’exécution des travaux.
Toutefois, tous les produits éventuels nouveaux, pourraient être utilisés après accord du maître
d'œuvre.
8.7 – Câbles
Les câbles utilisés seront :
De la série H07 VU pour l’alimentation des prises et luminaires,
De la série U.1000 RVFV pour la distribution depuis le compteur et TE
De la série U.1000 RO.2. V pour la distribution et l’alimentation des équipements.
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8.8 - Conduits
Les conduits électriques seront réalisés en tube ICD (ISORANGE) en encastré et IRO (ISOGRIS) en
apparent.
8.9- Tableaux de protection
Les tableaux sont étanches IP549, en tôle d’acier peinte à la laque glycérophtalique ou en polyester,
équipés d’un vantail fermant par batteuse avec serrure et clef.
Ils comprennent l’appareillage nécessaire pour la protection, le sectionnement et la commande des
circuits. Ils sont réalisés conformément aux prescriptions ci-dessus :
- Appareils fixés sur barreaux oméga.
- Câblage du H05 V-K ou H07 V-K Appareillage prise avant ou arrière
- Repérage de tous les appareils par étiquette gravée fixée sur barreau
- Barres de terre et de neutre pour les départs
- Les tableaux doivent s’ouvrir côté circulation
- 1 borne générale de terre et un distributeur de terre pour les départs. Ils seront réalisés suivant les
indications ci-après.
- Appareillage repéré par étiquettes idiophones gravées et fixées.
- Sorties de câbles par presse-étoupe.
- Arrivées et départs ramenés aux borniers, avec repérage,
- Bourrelet d’étanchéité sur le pourtour de l’ouvrant.
8.10- Mise à la terre, régime des masses :
A- Principe :
- Le régime des masses est du type séparé
- La protection des personnes doit être en stricte conformité avec les textes en vigueur.
- La prise de terre des masses doit être inférieure à 5 Ohm.
- La prise de terre des masses doit être constituée par un conducteur de cuivre nu de 28 mm²
minimum posé en fond de fouille, ceinturant l’ensemble de l’ouvrage et remontant en boucle TGBT
et aux boîtes d’alimentation.
L’Entrepreneur du présent lot doit s’assurer de la valeur exacte de la prise de terre en place et, si
nécessaire la compléter par piquets (battus ou forcés) de façon à obtenir une prise en générale ayant
la résistance souhaitée. Il doit prévoir un regard de visite pour les éventuelles prises de terre sur
piquet.
B- Mise à la terre des masses d’utilisation :
Chaque appareil décrit ci-dessous sera relié à la boucle de terre :
- Les bornes de terres des prises de courant
- Les carcasses des luminaires
- Les carcasses métalliques des appareils d’éclairage
- Les organes métalliques de la distribution (coffret de dérivation, boîtes, chemin de câbles).
- Les châssis des tableaux, armoires, etc. ...
- Les masses métalliques de la construction au sens de l’article 63 de la norme N.M.7.II CL.005.
L’Entrepreneur amène préalablement à chacune des alimentations qu’il installe pour les autres corps
d’état un conducteur à proximité immédiate de l’extrémité de chaque ligne, laissée en attente et ceci,
notamment pour toutes les installations des machines prévues.
Les sections de dérivation doivent être strictement conformes à la norme UTE C 15.100.
C-Interconnexion des masses
L’interconnexion des masses de l’ensemble du bâtiment sera réalisée d’une part dans le cadre des
travaux de gros œuvre d’autre part dans le cadre du lot électricité.
L’entrepreneur aura enterré à fond de fouille un conducteur en cuivre nu sur tout le contour des
bâtiments (pour assurer une résistance de prise de terre inférieur à un ohm.
Page 41
L’entrepreneur doit exécuter :
- Le raccordement au ceinturage du réseau de mise à la terre de toutes les masses de
l’installation électrique basse tension, y compris celles des tableaux de protection, des appareils
d’éclairage, canalisations, boîtes de dérivation métalliques, chemins de câbles métalliques etc...
- De toutes les masses métalliques du bâtiment : canalisations, liaisons équipotentielles des
salles d’eau.
Certaines masses de l’installation électrique seront ramenées aux tableaux par un conducteur
réservé à cet effet, les autres masses seront raccordées en dérivation sur le circuit d’interconnexion
par un câble U 1000 RO2V de section appropriée.
ARTICLE 9 : CONDITIONS DE RECEPTION DES TRAVAUX
La réception provisoire sera prononcée lorsque les conditions ci-après auront été réunies :
9.1 - remise de la notice d’entretien.
9.2 - liste du matériel employé.
9.3 - essais de réception ci-après concluants.
9.4 - vérification de l’isolement des différents éléments de l’installation.
9.5 - vérification des chutes de tension.
9.6 - vérification de l’équilibrage des phases sur les différents circuits des tableaux et coffrets.
9.7 - essais systématiques de fonctionnement des divers éléments de l’installation et ses
protections.
9.8- vérification de la continuité des circuits de protection.
ARTICLE 10 : ENTRETIEN
L’entrepreneur s’engage à assurer pendant la période de garantie d’un (1) an après la date de
réception provisoire l’entretien complet et systématique des appareils faisant l’objet de sa
soumission et à intervenir sur demande du maître d’œuvre pour effectuer les dépannages éventuels.
ARTICLE 11 : PIECES DE RECHANGE
L’entrepreneur devra approvisionner sur place les pièces de rechange nécessaires pour assurer
l’entretien et les dépannages durant la période de garantie et un (1) an après la date de réception.
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PLOMBERIE SANITAIRE
NORMES ET REGLEMENTS
Règlements régis locaux de distribution.
Normes NFP N°41 – 201 à 301.
Normes NFP 30 – 201.
DTU 60.11/60.31/60.32/60.33/60.41.
BASE DE CALCUL
Vitesse dans tuyauterie enterrée : 2,00 m/s
Branchement d'appareils : 1 m/s
Alimentations principales : 1,5 m/s
Simultanéité blocs sanitaires : 1/Racine
1- (n : nombre appareillage) x1.25
Simultanéité douches collectives :1
Eau pluviale : 0,05 l/s/m²
Section minimale chute verticale : Ø75
Pression résiduelle sur point d'alimentation : 0,5 bars
PLOMBERIE SANITAIRE :
TRAVAUX DE PLOMBERIE COMPRENNENT :
La production d'eau chaude sanitaire.
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Les réglages et contrôles pendant la période de garantie.
La fourniture des plans et schémas d'installation, d'une notice d'exploitation et de fonctionnement avec
nomenclature des pièces de rechange.
Les schémas plastifiés dans les locaux techniques avec repères numérotés correspondant aux étiquettes
sur les matériels.
L'Entrepreneur devra fournir tous les renseignements concernant ses propres travaux qui pourraient
être nécessaires aux autres corps d'état : Electricité, Gros Œuvre, Climatisation, etc. ...
Pendant les travaux, il faudra maintenir le chantier propre et le ranger chaque soir
DESENFUMAGE
Le désenfumage a pour objet d’extraire, en début d’incendie, une partie des fumées et des gaz de combustion
afin de maintenir praticables les cheminements destinés à l’évacuation du public. Ce désenfumage peut
concourir également à limiter la propagation de l’incendie ; facilité l’intervention des secours.
Les installations de désenfumage mécanique doivent être alimentées par une alimentation électrique de
sécurité (AES) conforme à la norme NFS 61-940. Toutefois, dans le cas où les dispositions particulières
propres à chaque type d’établissement n’imposent pas un groupe électrogène, les installations suivantes
peuvent être alimentées, dans les conditions de l’article EL 14(2), par une dérivation issue directement du
tableau principal du bâtiment ou de l’établissement.
Lorsqu’un groupe électrogène est imposé la puissance nécessaire au désenfumage doit permettre
l’alimentation des moteurs d’extraction.
En cas de mise en fonctionnement du désenfumage, la climatisation et la ventilation mécanique, doit être
interrompue dans le volume concerné, à moins qu’elle ne participe au désenfumage. Cette interruption
s’effectue par arrêt des ventilateurs. L’arrêt des ventilateurs est obtenu :
- depuis le CMSI, à partir de la commande de désenfumage de la zone de désenfumage concernée, dans le cas
d’un SSI.
Vérifications techniques
(Arrêté du 4 juillet 2007)
§1. Les installations de désenfumage doivent être vérifiées dans les conditions prévues aux articles GE 6 à
GE 10 (13).
§2. La périodicité des visites est d’un an. Elles concernent :
- le fonctionnement des commandes manuelles et automatiques ;
- la fermeture des éléments mobiles de compartimentage participant à la fonction désenfumage ;
- l’arrêt de la ventilation de confort mentionné à l’article DF 3 § 5 ;
- le fonctionnement des ventilateurs de désenfumage ;
- les mesures de pression, de débit et de vitesse, dans le cas du désenfumage mécanique.
Caractéristiques des équipements de désenfumage
.
Dispositifs de commande
Les dispositifs de commande doivent être réalisés conformément aux dispositions prévues au §3.6 pour le
désenfumage par tirage naturel. Ils doivent en outre assurer la mise en route des ventilateurs, avec une
temporisation maximale de 30 secondes afin de permettre le fonctionnement des DAS (volets et portes)
assurant le désenfumage et le compartimentage de la zone de désenfumage.
Implantation
- coffret de relayage : doit être installé en dehors de la zone de mise en sécurité qu’il dessert. En général, le
coffret est installé hors zone de sécurité.
- boîtier de réarmement : il doit être situé dans la zone de mise en sécurité correspondant au ventilateur
commandé. Lorsque le ventilateur dessert plusieurs zones.
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- boîtier de commande arrêt pompier : il doit se situer dans un local protégé. Il est souvent situé dans le local
du CMSI, ou tout autre endroit préconisé par les pompiers.
- contrôleur de débit d’air : doit être placé de façon à obtenir une information précise et fiable.
- interrupteur de proximité : il doit être implanté à moins de 2 m du ventilateur.
Volet de désenfumage
Dispositif destiné au compartimentage dans le système de sécurité incendie il est obligatoire pendant lequel
une gaine traversant deux locaux satisfait au critère coupe-feu exigé entre ces deux locaux, il commandé
électriquement associer d’une commande manuelle.
Normes relatives aux systèmes de sécurité incendie (SSI)
NFS 61930 Systèmes concourant à la sécurité contre les risques d’incendie et de panique
NFS 61931 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Dispositions générales
NFS 61932 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Règles d’installation
NFS 61933 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Règles d’exploitation et de maintenance
NFS 61934 Centralisateurs de mise en sécurité incendie (CMSI)
NFS 61935 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Unités de signalisation (US)
NFS 61936 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Equipements d’alarme (EA)
NFS 61937 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Dispositifs actionnés de sécurité (DAS)
NFS 61938 Systèmes de sécurité incendie (SSI) :
Dispositifs de commande manuelle (DCM)
Dispositifs de commandes manuelles regroupées (DCMR)
Dispositifs de commande avec signalisation (DCS)
Dispositifs adaptateurs de commande (DAC)
NFS 61939 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Alimentations pneumatiques de sécurité (APS)
NFS 61940 Systèmes de sécurité incendie (SSI) - Alimentations électriques de sécurité (AES)
FDS 61949 Commentaires et interprétations des normes NFS 61931 à NFS 61939
NFC 15100 Relative aux installations électriques à basse tension.
Conduit
Doivent être construits en matériaux M0 2h et tous les accessoires d’assemblages doivent être M0.Le débit
de fuite doit être inférieur à 20% du débit exigé au niveau le plus défavorisé.
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DESCRIPTION DES OUVRAGES
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PRIX N°1: GAINE TETE DE LIT TYPE 1
Chaque lit sera équipé d'une gaine tête de lit (gaine continue et homogène sur toute la longueur du local
concerné) multifonction permettant la distribution du courant électrique fort, du courant électrique faible
et des fluides médicaux. Cette gaine technique à usage médical sera horizontale et intégrera aussi l’éclairage
de la chambre et ponctuel pour le patient et de soins pour le personnel soignant. Cette gaine aura les
caractéristiques suivantes :
Réalisée à partir de profiles en aluminium peint sur toutes les surfaces visibles d'une peinture
poudre époxy polymérise blanc ou gris aluminium naturel suivant au choix du maître d'œuvre.
La gaine constitue un ensemble ä plusieurs compartiments pouvant recevoir séparément les
courants forts, courants faibles et fluides médicaux
Ces gaines comportent un certain nombre d'équipements en toute sécurité permettant
d'apporter au patient les services et utilités nécessaires ä son séjour dans l'hôpital, d'assurer son
confort et de faciliter l'efficacité du personnel médicale.
Par ses qualités propres de maintenance, elles doivent faciliter le montage et le raccordement,
permettre un accès simple et direct aux réseaux qu'elles contiennent et permettre aisément ses
évolutions ultérieures.
Elles doivent permettre un accès total et permanent aux canalisations des prises de fluides sur
toute la longueur sans avoir la possibilité de toucher une connexion électrique et cela, par simple
ouverture du couvercle répondant à la norme EN 11197.
Tous les éléments métalliques, même amovibles, seront mis ä la terre en équipoten tiel suivant
EN 60601-1 de façon permanente (frotteur interdit).
Tous les accessoires seront accessibles en face avant.
Les équipements fluides médicaux seront fixés en fond de gaine, tubés en cuivre inerte à l’azote,
soudés à l’argent et repérés au niveau du point d’alimentation aux couleurs ISO du gaz correspondant
avec indication du sens du flux.
Chaque gaine devra avoir une attestation de contrôle d’étanchéité, reprenant les références
des appareils de contrôle (test inférieur deux fois à la pression de service), de propreté (par soufflage
avec les filtres), de contrôle pour les impuretés et le test anti-confusion.
La qualité de cuivre à employer est du cuivre électrolytique et rectiligne qualité dur (conforme
aux prescriptions de la norme EN 13348).
Tous les accessoires électriques sont câblés sur des borniers fixés en fond de gaine et repérés
suivant les plans de câblage.
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o Eclairage indirect (ambiant) au-dessus de chaque lit par 1 tube fluo 58W (ou équivalent
en LED). Eclairage de veille intégrée (incandescence ou fluo compacte ou LED) par lit.
o Eclairage direct (lecture/soins) (incandescence ou fluo compacte ou LED) procurant un
éclairement moyen de 300 lux pour chaque lit.
La gaine de tête de lit sera de marque BIOLUME, KONCARE, TRATO TLV ou similaire.
Ouvrage payé à l’unité y compris pose, prises de fluides, prises de courants forts et faibles accessoires de
montage, support, raccordement, accessoires d'installations, toutes fournitures et sujétions.
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Fluides médicaux :
o Deux (02) prises pour le Vide.
o Une (01) prise pour l’air comprimé médical.
o Une (01) prise pour l’Oxygène.
Electricité /courants faibles :
o Huit (08) prises de courants 10/16A-2P+T.
o Deux (02) prises informatique type RJ45.
o Deux (02) prises téléphone type RJ45.
o Les interrupteurs de commande d’éclairage direct et indirect de même type que les
prises de courants.
o Deux fiches pour rallonge de commande de l’éclairage direct et indirect.
o Attentes pour bloc d’appel infirmier.
o Eclairage indirect (ambiant) au-dessus de chaque lit par 1 tube fluo 58W (ou équivalent
en LED). Eclairage de veille intégrée (incandescence ou fluo compacte ou LED) par lit.
o Eclairage direct (lecture/soins) (incandescence ou fluo compacte ou LED) procurant un
éclairement moyen de 300 lux pour chaque lit.
La gaine de tête de lit sera de marque BIOLUME, KONCARE, TRATO TLV ou similaire.
Ouvrage payé à l’unité y compris pose, prises de fluides, prises de courants forts et faibles accessoires de
montage, support, raccordement, accessoires d'installations, toutes fournitures et sujétions.
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Les équipements fluides médicaux seront fixés en fond de gaine, tubés en cuivre inerte à l’azote,
soudés à l’argent et repérés au niveau du point d’alimentation aux couleurs ISO du gaz correspondant
avec indication du sens du flux.
Chaque gaine devra avoir une attestation de contrôle d’étanchéité, reprenant les références
des appareils de contrôle (test inférieur deux fois à la pression de service), de propreté (par soufflage
avec les filtres), de contrôle pour les impuretés et le test anti-confusion.
La qualité de cuivre à employer est du cuivre électrolytique et rectiligne qualité dur (conforme
aux prescriptions de la norme EN 13348).
Tous les accessoires électriques sont câblés sur des borniers fixés en fond d e gaine et repérés
suivant les plans de câblage.
La gaine de tête de lit sera de marque BIOLUME, KONCARE, TRATO TLV ou similaire.
Ouvrage payé à l’unité y compris pose, prises de fluides, prises de courants forts et faibles accessoires de
montage, support, raccordement, accessoires d'installations, toutes fournitures et sujétions.
Page 50
et des équipements de transmission ;
Contrôle commande locale des cellules motorisées (HTA);
Transmission et réception des données à partir du système de supervision ;
Dialogue opérateur/ poste système via une interface locale face avant et/ou avec PC portable pour
le paramétrage du poste système ;
Les signalisations les plus importantes sont visualisées sur la face avant à partir du système de supervision
; à savoir :
Signalisation position interrupteur ouvert ;
Signalisation position interrupteur fermé ;
Signalisation position sectionneur de terre ouvert ;
Signalisation position sectionneur de terre fermé ;
Détection de courants de défauts homopolaires et polyphasés sur seuils de réglage configurables ;
L’ensemble de l’ouvrage décrit ci avant y compris tous les accessoires nécessaires et toutes autres sujétions
de fourniture, de pose et de raccordement sera payé à l’ensemble.
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• Fourniture et pose d'un grillage de signalisation en plastique e=1,5mm) de couleur rouge. Il sera
placé sur toute la tranchée à une profondeur de 0,40 m.
• Remblaiement par couches successives de tout-venant tamisé au crible soigneusement arrosés et
damées et évacuation des gravois et des déblais excédentaires aux décharges publiques.
• Toutes sujétions pour la réfection des dallages asphaltage et revêtement démolis au cours des fouilles
de manière à rendre l'aspect initial des lieux avant les travaux.
REGARDS DE TIRAGE
Réalisation des regards de tirage avec tampon en fonte pour tirage des câbles.
Ces regards seront réalisés en béton de 0,15 m d'épaisseur et posés sur un lit de cailloux avec 0,10 m de sable
pour permettre l'écoulement des eaux d'infiltration en partie basse. Le tampon supérieur sera réalisé en
fonte d’acier type léger.
L’ensemble de l’ouvrage sera payé à l’unité comme suit :
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PRIX N°12: STATION DE TETE POUR CHAINE TERESTRE ET TRONSPONDEUR SATELLITE
Ce prix rémunère une station de tête numérique de marque ALCAD ou similaire.
Le niveau de gain de sortie doit être maintenu même en utilisation des répartiteurs et dérivateurs.
Ce prix comprend :
Le boitier station de tête
La console de commande
Bloc d’alimentation
Transmodulateurs de chaine.
Logiciel
Tous les accessoires additionnels de liaison, de répartition et d’amplification.
Campagne de mesures :
La campagne de mesures, ou analyses spectrales, doit repérer dans la bande de 5 à 870 Mhz :
Les meilleurs émetteurs pouvant être captés.
Le niveau des brouilleurs (toute source confondue) susceptibles de perturber la distribution des
canaux TV et RADIO.
La campagne de mesure doit être menée sur l’ensemble du site à équiper, au moyen d’appareils de mesure
qualifiés.
Le plan de fréquence :
Tenant compte du résultat de la campagne de mesures, l’installateur proposera au Maître de
l’ouvrage l’élaboration du plan de fréquences qui doit tenir compte :
Des résultats de la campagne de mesures (canaux brouilleurs terrestres reçus sur l’ensemble du
site, y compris les canaux retenus pour la réception des chaînes terrestres).
Des programmes internes dont les canaux devront être choisis afin d’éviter les intermodulations.
Le multiplex doit, en termes de caractéristiques électriques, être conforme aux spécifications du document
UTE C90-125.
Les équipements :
Les programmes terrestres seront remodulés conformément à la norme de transmission hertzienne utilisée
sur site. Dans le cas de réception en champ fort, les canaux seront remodulés sur des canaux différents de
ceux reçus, afin d’éviter la réception directe par les téléviseurs.
Les programmes satellites seront remodulés en norme B et G.
Les programmes internes, en norme BG, provenant de la régie seront couplés en station de tête.
L’ensemble de l’ouvrage fourni, posé et raccordé y compris toutes sujétions d'accessoires d'installations est
payé à l’ensemble
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Ouvrage payé à l’unité
Fourniture, pose, raccordement, mise en œuvre et installation complète en ordre de marche des volets de
désenfumage coupe-feu 2H 400°C de type portillon avec cadre en acier galvanisé et un vantail en matériau
réfractif, de marque FRANCE AIR, SYSTEME AIR, ALDES ou équivalent.
Ils seront d'une section 30dm2
Le volet de type portillon sera fermé en position d'attente.
Le boitier de déclenchement sera fermé. Après déclenchement un système anti-retour maintiendra le volet
ouvert. Le volet sera encastré dans le mur à déclenchement automatique par ventouse électromagnétique
(24 ou 48 Vcc) assurant le déclenchement par émission ou rupture de courant. Le réarmement des volets
sera automatique.
Le volet comportera :
Un caisson en matériau réfractif
Un obturateur en matériau réfractif abattant venant au droit de la paroi traversée.
Un contact début de course
Un déclenchement par bobine fonctionnant par émission ou rupture de courant (24 ou 48 Vcc) pour
asservissement à la détection Incendie)
Un dispositif de réarmement automatique
Protection de même marque
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Le volet sera muni d'une bobine début et fin de course et d'un loquet à ressort pour assurer la commande du
volet, réarmement automatique.
Une trappe de visite sera prévue pour permettre un accès facile au chaînon et au loquet.
Un indicateur de position sera aussi fourni pour un montage en faux plafond.
les dimensions des clapets seront en fonction de celles des gaines et des pressions du réseau.
La grille de désenfumage en aluminium et aura un encadrement à visser sur le volet ou sur le mur et une
partie centrale à ailette basculants sur charnière pour accéder au mécanisme.
Cette partie centrale sera maintenue dans l'encadrement pat clips.
La couleur sera au choix de l'Architecte et La Maitrise d'Œuvre, les dimensions seront adaptées aux
dimensions du volet de désenfumage.
Ouvrage payé à l'unité, fourni, posé et raccordé en ordre de marche, y compris grille rectangulaire mural,
raccordement, fixation et toutes sujétions de fourniture, de pose et d'exécutions.
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d'une conception anti-légionellose qui permettra une meilleure circulation de l'eau (Arrivée d'eau froide
orientée vers le fond du ballon) pour éviter les zones mortes. Le ballon sera équipé en anodes au magnésium,
outre d'un robinet de purge manuelle et d'une vanne de vidange 1/4 de tour accessible. Le ballon sera équipé
en outre d'un antitartre débit 7.6m3 /h marque Calonic, Dropson ou équivalent et de purge manuelle et d'une
vanne de vidange 1/4 de tour accessible. Le remplissage en eau doit être orienté vers le niveau bas du ballon
pour éviter la stagnation
Ouvrage payé à l'unité fourni, posé, et raccordé en ordre de marche, deux soupape de Sécurité tarée,
compris toutes pièces de raccords, percements, scellements, système de fixation, toutes fournitures
nécessaires et toutes sujétions d'exécution
Ce prix rémunère la fourniture et pose des centrales de traitement d'air hospitalier de marque SYSTEMAIR,
EUROCLIMA. TRANE, ou similaire.
Les centrales de traitement d'air devront être fabriquées sur site de production certifié 150 9001-2008 et
classe énergétique A.
Les performances et les caractéristiques mécaniques des unités de traitement d'air devront être certifiées
par Eurovent, et listée sur le site Eurovent-certification. Elles devront répondre aux exigences de la norme
EN 13 053.
Les unités devront être sélectionnées pour répondre à la classe énergétique A ou B au minimum selon la
certification Eurovent.
Afin de minimiser les pertes de charge internes et d'optimiser l'encombrement, les dimensions internes des
unités devront être basées sur les dimensions universelles des cadres de cellules filtrantes, soit 610x610 et
610x 305mm
Les centrales de traitement d'air seront fabriquées à partir de panneaux autoporteurs d'épaisseur minimale
60 mm. Les panneaux seront composés d'une double peau. Ces derniers seront isolés thermiquement et
phobiquement par de la laine de roche de densité minimale de 80 kg/m3 collé sur chaque face et maintenue
mécaniquement par des rivets insérés aux panneaux, classement au feu A.
Le caisson forme un ensemble rigide muni d'un socle boulonné de hauteur minimum 100 mm.
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Les panneaux seront parfaitement fermés de manière à éviter tout entraînement de fibres minérales dans le
flux d'air et d'assurer une bonne tenue de l'isolation dans le temps. L'étanchéité sera obtenue grâce à un
profile fixé sur le pourtour de chaque panneau.
Les panneaux constituant l'enveloppe devront être classés au feu MO
Un double joint néoprène sera monté sur la tranche de chaque panneau de manière à assurer une excellente
étanchéité du caisson (Classe B selon Eurovent 2/2).
Les critères de sélection des CTA des zones à risque suivant la norme EN 1886 doivent être :
Etanchéité à l'air de l'enveloppe : Classe L2 ou B
Transmittance thermique de l'enveloppe : Classe T2
Pont thermique : Classe TB2
Resistance mécanique de l'enveloppe : Classe Dl ou 2
Fuite de dérivation sur filtre : classe F9
L'extraction d'air doit être asservie au fonctionnement du soufflage d'air pour éviter la mise en dépression
accidentelle des zones à environnement maitrisé.
Dispositifs indiquant le niveau de gradient de pression qui doit être visible par l'utilisateur.
Les batteries des CTA seront sélectionnées avec le modèle standard de puissance immédiatement supérieur
au besoin déterminé pour chacune d'elle ;
Les CTA seront équipés d'un détecteur autonome déclencheur sensible aux fumées, installé en aval du
caisson de traitement d'air et à l'origine des conduits de distribution.
Ce détecteur doit commander automatiquement l'arrêt du ventilateur et la fermeture d'un registre
métallique situe en aval des filtres.
Chaque CTA sera composé de :
Une ouïe aspiration grillagée pare insectes avec prise vers le bas sur casquette
Une première filtration type G4/ F7 (Classement NF EN 779)
Une deuxième filtration type F9 niveau situé en aval de tous les éléments de la centrale (Classement
NF EN779)
Une batterie mixte
La vitesse frontale au niveau de la batterie ne doit pas excéder 2,5 mjs ;
Le montage de la batterie mixte sera Montage sur glissière en inox.
Batterie électrique en cas de déshumidification de puissance appropriée.
Humidificateur à vapeur : taux d'humidité relative de consigne pour les zones à risque est de 55%.
Une manchette de raccordement ;
Thermostat d'ambiance ;
Liaisons hydrauliques, y compris isolation séparée du refoulement et de l'aspiration en gaine
polyuréthanne et protection anti-UV en terrasse, type Armaflex Classe MI ;
Tuyau en PVC pour raccordements condensats
Un socle anti vibratile avec plaque de liège 4cm (suivant plans à faire approuver par le BET)
Protection électrique sur armoire suivant instructions du BET.
Registre d'air neuf motorisée
Dispositifs d'indication de l'encrassement des différents filtres de chaque CTA
Un ventilateur a réaction « tropicalisé » à roue libre, variateur de vitesse.
Bac à condensat doit être en inox AISI 304, incliné pour éviter toute stagnation et développement
microbien avec raccords sur l'extérieur. Ce bac ne réduit pas la section intérieure. Panneau d'accès
démontable équipé de 4 verrous et d'une poignée pour le nettoyage et la désinfection du bac à
condensat.
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Séparateur de goutte en inox, Extractible, lavable et résistant aux amplitudes de température. Lame
en d'une largeur minimum de 105 mm, 100% d'efficacité jusque 3 m/s, monté sur cadre aluminium.
Boite de mélange,
Les Ventilateurs seront à roue libre (piug fun) avec variateur de vitesse, à courant continu et chacun sera
monté avec son moteur d'entraînement sur chissis commun. Les eliftssis seront fixés sur le fond des unités
par l'intermédiaire de plots vibratiles d'efficacité minimum 90%. Equilibré statiquement et dynamiquement.
« Groupe monté sur glissières » de manière à pouvoir retirer facilement et rapidement le groupe moto
ventilateur.
Y compris caissons d'extractions.
N.B : La pression est à calculer par l'entreprise de façon A vaincre les pertes de charges causées par tous les
éléments de la CTA,
- Y compris les pièges à sons, dispositifs d'équilibrage des débits, hublots de visite et éclairage, jeu de filtres
de rechange. socle asti vibratile, plots anti-vibratile et toutes sujétions de fourniture et pose.
- Un plénum de raccordement des gaines.
- Régulateur de traitement d'air y compris les thermostats, les pressostats différentiels pour les filtres, les
thermomètres ... et tous les organes de régulation pour bon fonctionnement
- Accessoires : - capteurs, sondes, manomètres, pressostats avec contrôle de cascade de pression -
interrupteur de proximité
- Les câbles de liaisons de l'alimentation électrique depuis l'armoire électrique jusqu'aux CTA (le câble
d'alimentation sera laissé en attente par le lot électricité à partir du TGBT y compris sa protection), y compris
protections électrique, raccordement électrique à partir du diruptor placé â proximité de la CTA et toutes
sujétions de fourniture et de pose.
- La pose de CTA sera sur socle anti vibratile en BA ou métallique UPN 100 en minimum.
- La régulation de marque Jonhsons Control, permettra le fonctionnement automatique et le contrôle des
équipements. Module unité logique équipée d'un microprocesseur 16 bits minimum qui devra gérer les
programmes, les transmissions de données et le stockage de celles-ci sur des mémoires eprom protégée par
batterie pendant environ 30 jours et devra réaliser les fonctions suivantes pour les unités périphériques
telles que télécommandes et retour d'états de marche et défauts pouvant être connectés à des modules
différents :
Module d'alimentation
Module d'acquisition des variables d'entrées digitales et des impulsions de totalisation
Module de commutation digitale et commandes des sorties via des relais intégrés
Les programmations et adaptations nécessaires au bon fonctionnement.
La régulation automatique permettra d'obtenir les fonctions suivantes :
Le contrôle de la température ambiante par action sur la batterie mixte.
Le contrôle de l'humidité ambiante par l'intermédiaire d'une sonde d'ambiance par action soit sur la
batterie à résistance électrique (déshumidification), soit sur la rampe de l'humidification
(humidification)
Une dérogation forcée depuis commandes situées à proximité de chaque salle permettra de choisir
le régime d'occupation, le décalage du point de consigne de température. Chaque commande locale
comprendra un bottier
Qui comporte :
1 potentiomètre de décalage des consignes de température
1 commande de dérogation de la programmation matérialisée par communication 2
positions (Automatique)! (Marche forcée)
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1 commande de désinfection matérialisée par commutateur 2 positions « salle isolée
désinfection » / « salle ventilée » • 2 voyants de report d'état « automatique » « marche
forcée » • 2 voyants de report d'état « salle isolée - désinfection » / « salle ventilée »
1 affichage numérique de la température et hygrométrie ambiante.
Dispositif de contrôle compensation automatique de l'encrassement des filtres absolus terminaux
Dispositif de contrôle de la surpression des salles d'opération par l'intermédiaire de pressostats qui
agiront sur les régulateurs de débit de reprise.
Dispositif de contrôle de pressions seront toutes mesurées par rapport à une pression de référence.
Dispositif de contrôle des débits soufflés et repris. –
Les divers asservissements et sécurités y compris notamment défaut électrique, pressostat manque
de débit, asservissement à la DI, etc... avec signalisation d'alarmes. •
L'installation de 2 manomètres à tube incliné par salle d'opération pour permettre le contrôle visuel
de la cascade de pression entre la salle et la circulation du bloc opératoire, et la perte de charge des
filtres.
Silencieux et protection acoustique sur les gaines afin d'atteindre les critères de niveaux sonores
Nota :
• L'entreprise fournira un ensemble de filtre G4, F7 et F9 pour les essais et les réceptions et un 2ème jeu de
pièces de rechange sera livré au Maitre d'ouvrage pour chaque CTA.
• L'entreprise procédera aux essais et mesures liées aux paramètres suivants au niveau de chaque local traité
: Température / Hygrométrie / Niveau sonore / Pression / Débit / Vitesse d'air / Contrôle particulaire, etc....
Ouvrage évalué à l'ensemble y compris manchettes souples, cadres, socles anti-vibratiles, fixation,
repérage, essais et toutes sujétions de fourniture et de pose aux prix suivants :
VIDEOSURVEILLANCE
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Prise en charge du mode couloir 9:16 • Micro intégré
Alarme : 1 entrée/1 sortie, audio : 1 entrée/1
Smart IR, jusqu'à 40 m (131 pieds) de distance IR • Prend en charge la carte Micro SD
256 G
IK10 anti-vandalisme
Protection IP67
Prise en charge de l'alimentation PoE
L’ensemble de l’ouvrage fourni, posé et raccordé y compris toutes sujétions d'accessoires
d'installations et de mise en œuvre, sera payé à l’unité
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PRIX N°25: CAMERA IP FIXE COULEUR JOUR ET NUIT TYPE EXTERIEURE
Fourniture, pose et mise en service de caméra IP Bullet fixe couleur jour et nuit pour usage à l’extérieur,
montée dans support de fixation étanche avec pour RJ45 femelle étanche, type jour/nuit.
Les caméras seront positionnées à une hauteur suffisante de manière :
- À les protéger contre les actes de malveillance.
- À visualiser une profondeur de champ suffisante malgré des obstacles potentiels.
- À ne pas être directement éblouies par les feux des véhicules ou les éclairages du bâtiment.
Caractéristiques techniques :
Image de haute qualité avec capteur CMOS 2MP, 1/2,7"
2MP (1920*1080) @30/25fps ; 720P (1280*720) @30/25fps
2,8 ~ 12 mm, mise au point automatique AF et objectif zoom motorisé
Ultra 265, H.265, H.264, MJPEG
120dB la véritable technologie WDR permet une image claire dans une scène de forte
lumière
Prise en charge du mode couloir 9:16
Micro intégré
Smart IR, jusqu'à 50 m (164 pieds) de distance IR
Prend en charge la carte Micro SD 128 G
Protection IP67
Prise en charge de l'alimentation PoE
3 axes
L’ensemble de l’ouvrage fourni, posé et raccordé y compris toutes sujétions d'accessoires
d'installations et de mise en œuvre, sera payé à l’unité
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Résolution d'enregistrement jusqu'à 8 mégapixels
Récupération précise, lecture instantanée
4 disques durs SATA, jusqu'à 8 To pour chaque disque dur
Technologie ANR pour améliorer la fiabilité du stockage lorsque le réseau est déconnecté
Prise en charge de la mise à niveau vers le cloud
L’ensemble de l’ouvrage fourni, posé et raccordé y compris toutes sujétions d'accessoires
d'installations et de mise en œuvre, sera payé à l’unité
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NTSC/PAL compatible avec fonction d’auto détection.
L’ensemble de l’ouvrage, fourni, posé, et raccordé en ordre de marche y compris toutes sujétions
d'accessoires d'installation et de mise en œuvre sera réglé à l’unité
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24 ports 10 Gigabit non bloquants SFP+ minimum pour assurer la gestion de
l’infrastructure.
Débit : 390 Mbps, Capacité de routage/commutation : 520 Gbps, Bande passante de
commutation : 1000 Gbps
Une latence faible de 2,1 mu
Capacité : Entrées de table de routage IPv4 : 10000, Entrées de table de routage IPv6 :
5000 ;
Logements d'extension : 6 (total) / 6 (libre) x Logement pour extension
Tous les câbles et accessoires nécessaire au montage en rack ;
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L’entreprise devra inclure les modules optiques SFP et de stack ainsi que les jarretières nécessaires pour
l’ensemble des ports.
L’ensemble de l'ouvrage fourni, posé, raccordé y compris toutes sujétions de mise en œuvre et de mise
en service conformément aux normes et règlements en vigueur et selon les règles de l’art sera payé à
l'unité
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BORDEREAU DES PRIX – DETAIL ESTIMATIF
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TRAVAUX DE CONSTRUCTION DE L’HOPITAL DE PROXIMITE DE TAMESNA
LOT : Travaux complémentaires des fluides, d’électricité et installation des gaines tête de
lit
Marché Passé par appel d’offres ouvert national sur offres de prix en application des
dispositions des paragraphes I-1 et I-3 de l'article 19, du paragraphe 1 de l'article 20 et de
l’alinéa b du paragraphe 3 de l'article 20 du décret n° 2-22-431 du 15 chaabane 1444 (8 mars
2023) relatif aux marchés publics.
Approuvé par :