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PLAN DU COURS DE TECHNIQUE DE L’EXPRESSION ORALE ET


ECRITE EN FRANÇAIS
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
 Expression orale
CHAP I : API
CHAP. II : LES LIAISONS
 Expression écrite
CHAP. I : LA MAJUSCULE
CHAP. II : LA PONCTUATION
CHAP III : LA SYLLABE
CHAP. IV : LES ACCENTS
CHAP. V : LES CLASSES GRAMMATICALES
CHAP. VI : LA REDACTION
A) LA DEMANDE D’EMPLOI
B) LA LETTRE DE MOTIVATION
C) LE CURRICULUM VITAE
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INTRODUCTION
Relation langue-culture
La langue enracinée dans une culture des locuteurs fait que l’emploi des mots transmet et
reflète, directement, leur interprétation et leur vision de la réalité, leurs attitudes, leurs valeurs
et leurs comportement qui sont connus et validés par tout celui qui habite une aire géographique.
A travers la langue on peut facilement accéder à la culture partagée dont l’accès se fait
spécialement à travers les mots à charge culturelle. Rappelons que trois raisons sont à l’origine
de l’interdépendance langue et culture :
 Premièrement, la langue en général est le véhicule de la littérature, des arts, des sciences,
des mythes, des rites et comportements;
 Deuxièmes, la langue est le produit en évolution continue qui crée des néologismes,
comme le nom déposés lexicalisés en kiswahili de Lubumbashi, pour s’adapter aux
réalités;
 Troisièmement, la langue, par recours à ces néologisme et mots à charge culturelle, est
productrice de représentation et attitude personnelles ou collectives dans les échanges
communicatifs.
Les contenus culturels exprimés dans une langue sont propres à cette langue et à sa culture, et
peuvent également variés d’une société à une autre. Ce qui revient à dire que quand on entre en
contact avec autres peuples, on peut se rendre vite compte qu’ils parlent une langue différente,
s’habillent d’une manière différente et ont des pratiques différentes, lesquelles les font identifier
comme des membres d’une société à part entière. D’où l’impossibilité de dissocier le lexique
et la culture.
Les 4 compétences de la pratique des langues
Ainsi, chaque niveau vise 4 compétences : la compréhension orale, la compréhension écrite,
.l’expression orale et l’expression écrite. Nous pouvons résumer ces 4 compétences sous 4
verbes :
 Ecouter : l’étudiant peut comprendre des mots familiers et des expressions les plus
courantes au sujet de lui-même, de sa famille et de l’environnement concret et immédiat.
 Lire : l’étudiant peut comprendre des mots familiers, des mots courants ainsi que des
phrases
 Prendre part à une conversation : l’étudiant peut communiquer, poser des questions sur
des sujets varies ou sur ce dont il a immédiatement besoin, ainsi que répondre à des
questions.
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 S’exprimer oralement en continu: l’étudiant peut utiliser des expressions et des phrases
pour décrire son lieu d’habitation et les gens qu’il connait...
 Ecrire: l’étudiant peut remplir un document administratif ou établir un document.
L’étudiant peut porter des détails personnels dans un questionnaire.

PREMIERE PARTIE
L’EXPRESSION ORALE :
CHAP I L’ALPHABET PHONETIQUE INTERNATIONAL (A.P.I.)
LIMINAIRE : L’API
Il n’y a qu’une correspondance assez faible en français entre les sens des mots tels qu’ils sont
prononcés dans la langue parlée et les signes par lesquels ils sont représentés dans les langues
écrites. D’où découle une des grandes difficultés de la prononciation et d’ailleurs aussi de
l’orthographe.
Cette différence provient du fait que la langue parlée évolue beaucoup plus rapidement que la
langue écrite.
C’est ainsi que de siècle en siècle le fossé entre l’une et l’autre s’est agrandi. En gros,
l’orthographe française est demeurée ce qu’elle était au XIIe siècle et représenté donc à peu
près l’état de la prononciation d’alors.
 Tandis que l’alphabet comprend 26 lettres, le français parlé d’aujourd’hui recourt à 36
 Sons.
 Parmi les 26 lettres de l’alphabet, on compte 5 voyelles, alors que le français parlé
d’aujourd’hui en compté 16.
 Ii y a donc nécessairement des lettres qui servent à représenter plus d’un son. Par
exemple S qui représente S dans « SON »,
 Qui représente Z dans « MAISON » Et que dans « NOS » soit ne représente rien:
«NOS » soit représenté Z : «NOS AMIS ».
 De plus, on a délibérément ajouté à l’orthographe française, surtout il y a trois ou quatre
siècles, des lettres parfaitement inutiles dont la seule valeur en certains cas est de
rappeler pour l’œil des formes originelles, surtout latines, depuis longtemps disparues
dans la prononciation.
Exemple : baptême : P ont prononcé.
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Œufs : F5 non prononcés


Accroc : C final non prononcé
Corps: PS non prononcé.
 Enfin, le français écrit offre non seulement des lettres qui ne représentent rien en langue
palée, mais aussi des suffixes entiers purement graphiques.
 Exemple :
o lis rient
o Ils riaient
o Deux amies
Pour pallier cette difficulté, a été créé l’alphabet phonétique international dans lequel chaque
signe correspond à un son et â un seul son, et chaque son correspond à un signe et à un seul
signe. I es signes phonétiques sont notés entre crochet.
LA PHONETIQUE, QIJ’EST-CE?
La phonétique est l’étude des sons du langage dans leur matérialité et leur réalisation concrète,
indépendamment de leur fonction linguistique.
Durand M. pour sa part, définit la phonétique comme : « la science des sons émis par l’appareil
phonateur humain et destinés à « signifier » définition à double face qui plonge la phonétique,
d’une part, dans le monde des phonèmes et, d’autre part dans le monde des activités
intellectuelles.
 Dans le monde des phonèmes, puisque la phonétique comporte :
 . L’étude de la production des sons par l’appareil phonateur
 . L’étude de ces sons
 . L’étude de leur transmission
 . Et enfin, l’étude de leur réception par l’appareil auditif.
 Dans le monde des activités les deux faces de cette définition : en effet, toute activité
vocale n’est pas nécessairement phonétique. Si j’émets des sons qui n’ont aucun sens ni
pour moi ni pour les autres, ces sons n’intéressent pas la phonétique. Inversement, si je
transmets un message à l’aide de signe non produits par les organes phonateurs (signaux,
coups de sifflets, images...), ces signes ne sont pas du ressort de la phonétique. Ils
pourront être étudiés par la sémiologie. La sémiologie étudie les signes en général et la
linguistique n’est donc qu’une branche certes la plus développé des sémiologies.
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LES PRINCIPES SUIVANTS SONT A OBSERVER


Premier principe
Maitriser l’A.P.I
C’est aussi un ensemble des symboles caractérisant la réalisation des sons. Transcription
phonétique entre deux crochets.
Deuxième principe :
Connaitre les sons d’une langue (exemple: la langue française), c’est maitriser leur caractérise
phonétique, c’est donc connaitre le système phonétique de la langue en question.
Troisième principe :
Il faut retenir que la prononciation des Sons isolés pose peu de problème que celles des sons
combinés formant des mots phoniques et des phrases phoniques.
Quadrirème principe :
Il faut respecter la réglementation sur la liaison en français
Cinquième principe :
Il faut avoir des compétences de la lecture et savoir soigner son expression en bien éduquant sa
voix.
Sixième principe :
La bonne expressivité exige que (‘on tienne compte de l’intonation de la mélodie et du rythme
Septième principe :
Il faut faire attention à toute interférence de la langue maternelle dans le français parlé
Huitième principe:
Il faut s’exercer fréquemment à la lecture expressive ou la lecture courante pour améliorer sa
prononciation (direction).
Neuvième principe :
Il faut éviter la cacophonie (désordre dans le langage ou dans l’expression).
Dixième principe :
Il faut éviter des métaphores (comparaison inexactes). Eviter les tics, les hésitations et le
balbutiement (bégaiement).
LES SONS DU FRANÇAIS ET LEUR UTILISATION
En français, nous distinguons 3 catégories de sons :
 . Les voyelles;
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 . Les consonnes;
 . Les semi-voyelles ou semi-consonnes.

Les voyelles
Le français à 16 voyelles parmi lesquelles nous distinguons 12 voyelles orales et 4 voyelles
nasales (voir tableau ci-dessous).
Tableau à compléter

VOYELLES
CONSONNES
[i] il, épi, lyre
[p] père, soupe
[e] blé, aller, chez, épée
[t] terre, vite
[ε] lait, merci, fête
[k] cou, qui, sac, képi
[a] ami, patte
[b] bon, robe
[ɑ] pas, pâte
[d] dans, aide
[ɔ] fort, donner, sol
[g] gare, bague, gui
[o] mot, dôme, eau, saule, zone
[f] feu, neuf, photo
[u] genou, roue
[s] sale, celui, ça, dessous, tasse, nation
[y] rue, vêtu
[ø] peu, deux [ ʃ] chat, tache, schéma

[œ] peur, meuble [v] vous, rêve

[ə] premier [z] zéro, maison, rose

[˜ε˜] brin, plein, bain [Ʒ] je, gilet, geôle

[ɑ˜] sans, vent [l] lent, sol

[˜ɔ˜] ton, ombre, bonté [R] rue, venir

[œ˜] lundi, brun, parfum [m] mot, flamme


[n] nous, tonne, animal

SEMI-CONSONNES [ ɲ] agneau, vigne

[j] yeux, paille, pied, panier [*] (pas de liaison) héros, onze, yaourt
[w] oui, fouet, joua (et joie) [ŋ] (mots empruntés à l’anglais) camping

[ɥ] huile, lui


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PRATIQUES
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CHAPITRE II : LES LIAISONS


Les liaisons se font entre un mot qui se termine par une consonne et un mot qui commence par
une voyelle.
Elles sont obligatoires :
- Entre un déterminant (défini, possessif, démonstratif...) et un nom ou adjectif (Ex : mes amis/
dix ans/ nos amour/ les enfants/ ces anciens bâtiments);
- Entre un adjectif et un nom; Ex un grand effort
- Entre pronom et un verbe ; Ex : vous avez/ ils ont/ vous êtes;
- Entre un pronoms personnel et en /y; Ex: vous y allez/ on y court/ on en acheté;
- Lorsque le pronoms est après: Ex : que dit-elle ?/ allons-y;
- Apres des adverbes ; Ex moins évident;
- Apres des prépositions ; i-x : dans une rue/chez elle;...
- Dans des expressions figées ; Ex : tout à fait /de moins en moins/ mot à mot/ nuit et jour;
- Quand il y a une liaison avec (f), il se prononce en (v) ; quand il y a liaison avec (d), il se
prononce (t). Ex : A neuf heures (neuve ) ; quand il viendra (quanti viendra).

Obligatoire : _ Interdit : # Facultatif : ...

- déterminant + nom - nom singulier + mot suivant - nom pluriel + adjectif


- déterminant + adjectif -
C'est un plat # appétissant Ce sont des jeux...idiots.
adjectif + nom
Groupe
nom J'ai vu les_immenses_éléphants
d'Afrique.

C'est le dernier_examen.
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- verbe ↔ pronom - verbe + verbe infinitif - auxiliaire être + participe


complément - après le « s » du verbe passé ou adjectif attribut.
- verbe ↔ pronom sujet - à la 2ème personne du
Elle est...élégante.
pronom sujet + EN / Y singulier
- passé composé +
Je suis...allée au cinéma et
Allez – y, nous_arriverons plus
complément
Groupe tard. Paul et Julie sont...allés se

verbe promener.
Vous pensez # obtenir un
Aiment - ils ces gâteaux ? Je
rendez-vous ?
les_emmène ?
Tu gardes # un secret.
Allez-vous – en ! Ils_y vont
demain. Nous sommes allés # au
cinéma.
- adverbe + mot suivant - groupe nom ↔ groupe - dont + mot suivant
- préposition + mot verbe - quand + mot suivant
suivant - et + mot suivant
Quand...on le voit, on est
- quant (= en ce qui - préposition + nom
impressionné.
concerne) propre
- mot composés / - devant un « h » aspiré
Ce dont...il parle est
locutions - devant 1, 8 et 11
passionnant.
Autre
J'ai trouvé ce film est Et # après # Angers, nous
très_intéressant, mais celui-là sommes_allés manger des #
est sans_intérêt. haricots avec mes # huit
cousins. Mes cousins # adorent
Quant_à moi, je n'ai aimé aucun
ça !
des deux.

C'est - à-dire ; tout_à_coup

PRATIQUES
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II. EXPRESSION ECRITE

CHAPITRE III : LA MAJUSCULE


 Quelle que soit leur place dans une phrase, les noms prennent la majuscule quand il
s’agit de:
 Noms propres désignant des personnes, des localités, des pays, des peuples, des
familles : Marie Dupont, Bruxelles, le Sénégal, l’Allemagne, les Bantous; les
Bourbons, l’Orient, l’Extrême-Orient; une Française, un Ivoirien, un Canadien;
 Noms désignant des divinités, des personnages de la mythologie, un Dieu
unique, des abstractions personnifiées : Junon, Vénus, Dieu, l’Eternel, le Messie,
la Providence, la Justice, l’Etre suprême ; cette règle s’applique également dans
les mots composé : oreille-de-Judas (champignon), œil-du-Christ (plante), prie-
Dieu; noms désignant les Etoiles, les constellations, les planètes, dans la langue
scientifique : 1’ l-toile du Berger, la planète Terre, le Soleil, la Lune. Mais
«terre»
«Lune », «soleil » ne prennent pas la majuscule dans l’usage courant : travailler
la terre ; claire de lune ; une place au soleil;
 Noms des points cardinaux, de même que « centre » et « midi » quand ils
désignent une région, un lieu géographique ou leur population : le département
du Nord; l’Estropée, l’Afrique du Sud ; partir en vacances dans le Midi ils ne
prennent pas la majuscule quand ils situent un lieu, indiquent une direction, etc.
: cette ville est dans l’est de la France ; à l’ouest de Montréal;
 Noms désignant des institutions, des sociétés savantes ou sportives, etc. Des
évènements historiques notables, des fêtes : l’Assemblée nationale ; le ministère
de la Défense ; l’Ecole centrale ; la Restauration ; la révolution française ; la
Reforme ; Pâques.
 Titres d’ouvrages : les Fleurs du mal ; la Chartreuse de Parme;
 Titres Honorifiques ou de dignité et des appellatifs comportant ce titre ; Son
Altesse; Monsieur le Préfet.
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 Les adjectifs ne prennent pas la majuscule, sauf quand :


 Ils forment avec Le nom de rein, d’institution, etc.., un mot composé avec
trait d’union : la Comédie-Française, les Etats-Unis,
 Ils précèdent un nom dans un titre d’ouvrage (sans trait d’union): la
Divine comédie;
 Ils entrent dans la dénomination d’un lieu géographique: l’océan
Atlantique; le lac, Majeur;
 Ils indiquent le surnom d’un personnage (avec l’article) : Charles le
Téméraire, Jean le Bon, Louis le Gros.
 Les mots dérivés de noms de pays, de régions, de villes, etc. prennent une majuscule
quand ils désignent des personnes, mais une minuscule quand ce sont des adjectifs ou
des noms de langue : les Parisiens / les théâtres parisiens, les Arabes / le pétrole arabe;
une Anglaise / écrire en anglaise; les Bruxellois/ la pâtisserie; les Suisse /les cantons
suisses ; les Québécois / la chanson québécoise.
 Le mot initial d’un texte ou d’une phrase, après un point, prend toujours une majuscule.

PRATIQUES
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CHAPITRE IV. LA PONCTUATION


Les signes de ponctuation servent à séparer Les phrases, les propositions, les mots entre eux,
pour obéir à un besoin de clarté ou pour marquer une nuance de la pensée ou une intonation.
 Le point (.) indique la fin de la phrase :
La maison est au sommet de la colline.
 La virgule (,) sépare des éléments juxtaposés ou apposés : sujets, verbes, adjectifs, etc.
ou des propositions circonstancielles, relatives à valeur explicative, incises, participiale.
Elle marque une courte pause :
On voit le ciel, la mer, la cote
Cette maison, veille, massive, sorte de forteresse, était inhabitée.
Je vois, dit-il, que vous comprenez.
 Le point-virgule (;) sépare deux aspects d’une même idée, deux phases d’une action. Il
marque une pause un peu plus longue que la virgule : Le chien, qui sommeillait, s’éveilla
en sursaut ; il dressa l’oreille.
 Le point d’interrogation ( ?) : se place à la fin des phrases qui expriment une
interrogation directe : Quand aurons-nous terminé ? Que veut-elle?
 Le point d’exclamation (!)s’écrit après les interjections ou les phrases exprimant un
sentiment vif:
Attention! Comme je vous plains!
 Le tiret (-) indique le début d’un dialogue ou le changement d’interlocuteur ; ii s’emploie
aussi pour mettre en valeur un mot ou une expression : Es-tu prête ? — Pas encore.
L’autre chien —le vieux — dormait.
 Les points de suspension (...) indiquent que la pensée n’est pas complètement exprimée.
Ils marquent aussi une pause mettant en valeur ce qui suit: Si elle avait voulu... Cette
absence me parait... surprenante.
 Les guillemets (« » se mettent au commencement et à la fin d’une citation ou de la
reproduction exacte des paroles de quelqu’un, ou encore pour marquer qu’une
expression est étrangère au langage courant : « Venez me voir demain », dit-il. La «
polenta » est un mets italien.
 Le deux-points (:) précède une citation ou un développement explicatif : Elle s’écria:
«La chez-moi! » Je n’avance pas : je suis sans cesse dérangé.
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 La parenthèse () indiquent une phrase ou une réflexion accessoires ou encadrent le nom


de l’auteur d’une citation : On annonça (et chacun s’en doutait) que le vainqueur ne
viendrait pas.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point (La Fontaine).
 Les crochets [] s’emploient parfois à la place des parenthèses, par exemple pour insérer
une précision, une remarque personnelle dans une citation:
Elle [La cigale] alla crier famine... (La Fontaine).
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CHAP. IV LA SYLLABE

I. On a une syllabe de manière générale, lorsqu’il y a assemblage de consonnes plus


voyelles prononcées en une seule émission de voix.
II. Une syllabe est dite ouverte, lorsqu’elle se termine par une voyelle.
Elle est dite fermée, lorsqu’elle se termine pour consonne.
III. Quelques règles du découpage syllabique à l’écrit.

1. On coupe après une voyelle.


Ex : Voi / tu / re
1 2 3
2. On coupe entre deux consonnes.
Ex : Par / Tir , Syl / la / be
1 2 1 2 3
3. Lorsque trois consonnes se suivent, les deux premières appartiennent à la
syllabe suivante.
Ex : Obs / cu / ri / té
1 2 3 4
4. Lorsque quatre consonnes se suivent, les deux premières constituent une
syllabe et les deux autres syllabes.
Ex : OBS / TRUC / TION
1 2 3
IV. EXCEPTIONS

 On ne sépare pas les digrammes (ph, th, cl…)


Ex : Té / lé /pho / ne
1 2 3 4
 On ne coupe pas en syllabe les mots composés
 On n’isole le préfixe du radicale
Ex : Im / mo / ra / le
1 2 3 4

V. LA SYLLABE ORALE ne compte pas le [ e ] muet alors que la syllabe écrite le


compte.

Ex : E / cole / = syllabe orale


1 2
E / co / le / = Syllabe écrite
1 2 3
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CHAPITRE V. LES ACCENTS


Les accents, qui se mettent sur les voyelles, sont au nombre de trois : l’accent aigu, l’accent
grave et l’accent circonflexe.
Les accents aigu et grave
L’accent aigu sur le —e- (é) note le son fermé [e], l’accent grave sur le —e- (-é-) note le son
—é-ouvert [e] :
Elan, fêté, appétit, compléter, cédé représentent des —- fermés;
Pèle, cède, acheté, abrège représentent des —é- ouverts.
Toutefois, l’évolution des Sons en français et les différences entre les régions font qu’il est
difficile de se lire à la seule prononciation ; il s’agit seulement d’une indication générale. Ainsi
l’accent aigu ou grave note le même son dans :
Règlement de réglementation.
Remarques
1. Quand un mot se termine par-s au singulier (prononcé ou non), on met toujours l’accent grave
sur le —e- qui précède:
Accès, après, congrès, herpès, procès, succès.
2. ii n’y a pas d’accent sur le —e- dans les cas suivants, --é- ouvert:
- devant une consonne finale
Nez, aimer, mer, pied, grec, sert; levez, et, effet:
- à l’intérieur d’un mot devant un groupe de consonnes ou une consonne double:
Belle, festin, mettre, interpelle, acquiescer;
Sauf si la deuxième consonne du groupe est —r- ou—l-:
Ex : Trèfle, lèvre.
3. l’accent grave sert à distinguer certains homonymes:
A (préposition), a (du verbe « avoir »). Où / ou, dès / des, là / la
L’Accent circonflexe
L’accent circonflexe a des origines divers : ii remplace un —s- qui figurait dans la graphie
ancienne d’un mot, ou transcrit une ancienne prononciation allongée des certaines voyelles.
Environ 2000 mots s’écrivent avec un accent circonflexe par exemple:
Ane, allo, hôpital, hôtel.
 L’accent circonflexe se trouve dans certaines formes verbes.
- A 3 personnes du singulier du subjonctif imparfait, qui se différencie ainsi de la 3 personne
du singulier de J’indicatif passé simple:
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Qu’il fut innocent, je l’ai pensé un moment (subjonctif imparfait).


Il fut Couronné empereur â Paris (passé simple).
Le tréma
Le tréma est un graphique qui se met sur une voyelle pour indiquer que la voyelle précédente
est prononcée séparément:
Haïr [air], canoë [Kano-e], égoïste [ego-st], Saul, archaïsme, caraïbe.

La cédille
La cédille se place sous le —c- devant —a-, -o-, -u- pour transcrire le son [s] ; sans la cédille,
le
—e- placé devant ces voyelles transcrit le son [k]:
Il avança / il capota ; nous avançons f nous racontons ; un aperçu / elle recula
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CHAPITRE VI. LES CLASSES GRAMMATICALES


La combinaison des mots dans une phrase pour produire le sens se fait selon les règles propres
aux différentes classes, ou catégorie grammaticale auxquelles ces mots appartiennent.
Chaque mot appartient à une classe grammaticale, définie par certaines propriétés syntaxiques
et sémantiques ; ii entre donc dans une catégorie grammaticale.
 Le verbe exprime une action ou un état :
Le jardin reste inculte depuis qu’elle est partie (« reste » = verbe d’état).
Il part en vacance demain (« partir » = verbe d’action).
 Le nom désigne un être ou une chose qui est dans un état, qui participe à une action, qui
est en relation avec un autre être ou une autre chose:
Depuis plusieurs jours, les vagues frappaient la digue avec violence.
 L’article détermine le nom et en précise le genre et le nombre :
Un concert sera donné dans la salle des fêtes.
 L’adjectif indique une qualité ou précise le nom:
Une fin voiler entre dans le port.
Ma sœur a lu ce livre deux fois.
 Le pronom remplace un nom ou indique la personne qui agit ou subit:
J’ai prêté mon stylo à Luce, car elle avait perdu le sien.
 L’adverbe modifie le sens d’un adjectif, d’un verbe ou d’un autre adverbe:
Elle s’installe confortablement.
Il fait trop beau pour travailler.
«très peu, dit-il ».
 La conjonction et la préposition établissent des rapports entre les mots ou les groupes
de mots :
Les parents et les amis de Jean le félicitèrent pour sa promotion.
 L’interjection souligne une exclamation de colère, de surprise, ...
Hélas ! Tout est perdu! Oh! ii n’est pas rentré!
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QUELQUES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS


LA DEMANDE D’EMPLOI
Au cours d’une lettre de demande d’emploi, il convient de respecter le plan suivant : formuler
la demande (parfois préciser même le moyen à travers lequel on a connu la vacance d’un agent),
se présenter brièvement par l’état civil, les études faites, le diplôme le plus important, insister
sur votre performance afin de persuader le lecteur : exprimer l’espoir d’une réponse favorable,
conclure par une formule simple et signe de courtoisie.
LETTRE DE MOTIVATION
Une motivation est une argumentation qui accompagne votre lettre, surtout une demande
d’emploi. C’est le document dans lequel vous essaierez de vanter vos capacités, vos atouts,
votre mérite et promettre au futur d’employeur que votre présence au sein de son service
changeraìtgrand-chose.ette lettre ne doit pas se substituer à la demande d’emploi, mais
l’accompagnera si nécessaire.
CURRICULUM VITAE
Un CV est un document administratif qui retrace clairement le parcours vital, scolaire et
professionnel de quelqu’un. Il a pour avantage de servir de témoignage afin de persuader le
lecteur sur la demande du rédacteur. Ce document accompagne toujours une demande ou un
autre dossier si possible. Le CV peut être rédigé à la machine. Il comprend quatre étapes.
Il est rédigé sans pronom, sauf si la formule finale le permet.
LES ETAPES IMPORTANTES SONT LES SUIVANTES :
I. IDENTITES
II. ETUDES
III. EXPERIENCES
IV. LES LANGUES
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LES DIFFÉRENTES FIGURES DE STYLE


Qu’est-cc qu’une figure dc style?
Une figure de style est une manière particulière de s’exprimer, rendant le discours expressif, à
l’aide de différentes ressources de la langue.
Il existe plusieurs figures de styles, regroupées en figures d’amplification, figures d’analogie,
figures d’atténuation, figures de construction, figures de sonorités, figures d’insistance, figures
d’opposition et figures de substitution.
Les différentes figures de style
On distingue généralement huit principales catégories de figures de style : figures d’ampliation,
d’analogie, d’atténuation ou d’omission, de construction, de diction ou de sonorités,
d’insistance, d’opposition, de substitution.
I. Figures d’amplification
Ces sont des ressources stylistiques qui permettent de modifier le sens des mots en les rendant
plus forts, plus évocateurs. Dans cette catégorie, on distingue: la gradation et l’hyperbole.
I.1. La gradation
La gradation est une succession ordonnée de termes de sens voisins. C’est une forme
d’énumération. Il peut s’agir de gradation ascendante ou descendante. La gradation est
ascendante lorsque les termes utilisés sont de plus en plus forts. Elle est descendante lorsque
les termes sont de plus en plus faibles.
Exemple de gradation ascendante:
 Il a construit des châteaux, des villes et des empires.
Exemple de gradation descendante:
 Paris est un monde, un pays, une ville de merveilles.
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I.2. L’hyperbole
L’hyperbole est l’ensemble des procédés d’exagération. Ils touchent aussi bien la syntaxe que
le lexique, par une exagération rendue manifeste par l’accumulation ou par l’emploi de mots
exagérés.
Exemple
 J’ai une faim de loup. (Pour dire :j’ai très faim.)
II. Figures d’analogie
Les figures d’analogie sont des figures qui établissent des liens entre des idées pour mettre en
relief leurs similitudes et leurs ressemblances. Dans les figures d’analogie, il se crée toujours
un lien entre deux idées ou deux mots. Dans cette catégorie de figures, on compte : l’allégorie,
la comparaison, la métaphore, la personnification et la prosopopée.
II.1. Allégorie
Une allégorie est une figure de style caractérisée par abstraction par une image, souvent par un
être
vivant. C’est aussi une métaphore prolongée, elle concrétise une idée abstraite pour la faire
mieux comprendre.
Exemple
Cet enfant est doux, c’est un agneau, c’est un prêtre.
II.2. Comparaison
Une comparaison est l’établissement d’un rapport de ressemblance entre deux éléments (idées
ou objets), par une analogie entre ces deux éléments: le comparé et le comparant. La
comparaison se fait grâce à un terme de comparaison. (Comme, ainsi que, plus... que, moins..,
que, de même que, . . semblable à, pareil à, ressembler, on dirait que...)
Exemple
 Une belle jeune fille aux cheveux noirs comme le jais aux yeux veloutés comme ceux
de la gazelle, se tenait debout et adossée à une cloison.
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II.3. Métaphore
Le terme “métaphore” vient du grec metaphora, (le transport, transposition, transfert de sens).
La métaphore est la désignation d’un objet ou une idée par un terme qui convient pour un(e)
autre, et qui est lié au précédent par une analogie. C’est en quelques sortes une comparaison
sans termes comparatifs.
Exemple
 L’homme est un loup (1’homme est méchant comme un loup)
II.4. Personnification
La personnification est l’attribution des caractéristiques propres aux êtres humains à des entités
abstraites, à des animés ou inanimés. Dans la personnification, on associe un élément inanimé
ou animal à un mot réservé d’ordinaire à un être humain.
Exemple
 L’habitude venait me prendre dans les bras et me porter dans son lit.
II.5. Prosopopée
La prosopopée est une figure d’analogie qui consiste à faire parler une personne morte ou
absente, un animal, un objet inanimé ou encore une abstraction.
Exemple
 La nature lui dit « Je suis l’impassible théâtre»
III. Figures d’atténuation ou d’omission
Une figure d’atténuation est une figure visant à réduire la force d’un mot ou d’une expression.
Dans cette catégorie, on retrouve l’euphémisme et la litote.
III.1. Euphémisme
Le terme “euphémisme” vient du grec phêmi (je parle) et eu (bien, heureusement) : Le terme
était utilisé dans 1’ Antiquité pour éviter les termes qui pouvaient attirer le malheur, des termes
comme la mort, l’accident, la stérilité.
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Un euphémisme est l’emploi d’un mot ou une expression adoucie pour exprimer une idée ou
une réalité choquante ou désagréable.
Exemple
 Pays en voie de développement au lieu de pays sous-développé.
III.2. Litote
La litote est une figure consistant à dire moins pour suggérer davantage.
Exemple
Si je la haïssais, je ne la fuirais pas.
La double négation fréquemment utilisée en français fait aussi partir de la litote
IV. Figures de construction
Une figure de construction est une figure consistant à utiliser la construction syntaxique, non
pas le lexique, pour rendre un énoncé expressif Dans cette catégorie, on trouve — l’anacoluthe,
l’asyndète, le polysyndète, la parataxe, l’ellipse, le parallélisme.
IV.1. Anacoluthe
Une anacoluthe est une figure de construction qui consiste à effectuer volontairement une
rupture dans la cohésion syntaxique d’un énoncé pour lui donner un effet rhétorique.
Exemple
 La vielle hypocrisie, je me souviens d’elle avec regret
IV.2. Asyndète
Une asyndète est figurée de construction caractérisée par la suppression de conjonctions de
coordination dans l’ordre grammatical ou sémantique. De la sorte, on supprime délibérément
les conjonctions qui normalement sont nécessaires dans la construction de la phrase, à la place,
on utilise la ponctuation.
Exemple
 Les femmes, les enfants, les oncles.
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IV.3. Polysyndète
Le polysyndète est un procédé contraire à l’asyndète, elle consiste à multiplier les liens de
coordination plus qu’il ne serait nécessaire.
Exemple
 Puisque tu reconnais ta faute, puisque tu l’avoues je te pardonne.
IV4. Parataxe
La parataxe est une ellipse du lien syntaxique (conjonction, adverbe de liaison) entre deux
phrases ou propositions. Elle se traduit par la juxtaposition de deux propositions qui devraient
normalement être unies par un rapport syntaxique de subordination. C’est une manière de
construire des énoncés en juxtaposant leurs éléments sans spécifier les rapports qui les unis.
Exemple :
«D’accord. Mais pesez le mal et le bien. Dans mille ans d’ici, il fera verser des larmes; il sera
l’admiration des hommes.
IV.5. Ellipse
Une ellipse est l’omission de certains éléments nécessaires à la compréhension d’un texte.
L’ellipse permet d’accélérer la narration en supprimant certains mots ou événements.
 Exemple
Paul va à l’église trois fois par semaine, Michel, lui, deux fois.
IV.6. Parallélisme
Un parallélisme est la reprise d’éléments symétriques au sein d’un énoncé. Il peut s’agir d’une
reprise sonore, prosodique ou métrique.
Exemple
 Ta haine, il la guérit; ta démence, il te l’ôte.
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V. Figures de diction ou de sonorités


Une figure de diction est une figure dans laquelle on formule une idée ou un sentiment en
recourant à une utilisation particulière de sons pour lui donner plus d’expressivité.
V.1. Allitération
Une allitération est une figure de sonorité qui consiste à répéter un son identique dans un
énoncé.
L’allitération est souvent utilisée quand il s’agit des sons consonantiques.
Exemple
 Ne cherche, ne regarde, et n’écoute que toi.
V.2. Assonance
Une assonance est une figure de sonorité qui consiste à répéter une même voyelle dans un vers
ou dans une phrase.
Exemple
 Éparses lieux en cent, sans secours, et sans guides.
V.3. Paronomase
Une paronomase est une figure de sonorité qui consiste à rapprocher des mots ayant des
sonorités semblables, mais qui ont cependant des sens différents.
Exemple
 Qui se ressemblent, s’assemblent.
VI. Figures d’insistance.
Une figure d’insistance est une figure qui permet de mettre en relief une idée ou un mot par
répétition pour rendre un discours expressif.
VI.1. Anaphore
Une anaphore est la répétition d’un même mot au début d’une phrase, d’un vers ou d’un énoncé.
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Exemple
« Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris libéré!
L’anaphore est fréquemment utilisée en grammaire où il est défini comme étant un procédé par
lequel un mot ou un groupe de mots rappelle un autre mot ou groupe de mots déjà énoncé dans
le texte (un antécédent).
VI.2. Répétition
La répétition est l’emploi des mêmes mots plusieurs fois dans un vers, phrase ou proposition.
On recourt à la répétition pour mettre en relief un mot ou pour donner du rythme.
Exemple
 Cet ami connaît mes alarmes, [s}’] Son amour guérit ma douleur. Sa main essuie toutes
mes larmes, {s} Doux Sauveur, doux Sauveur
V.3. L’anadiplose
L’anadiplose est la répétition du dernier mot employé dans une phrase, au début de la phrase
suivante pour le mettre en relief
Exemple : Je suis un gardien de brebis, {s1’jLes brebis, ce sont mes pensées {a t mes pensées
sont toutes sensations.
VII. Figures d’opposition
Les figures d’opposition sont des figures qui font intervenir dans un même énoncé, des idées
contraires. Ce rapprochement d’idées dans un même énoncé permet de créer l’opposition entre
elles en rapprochant les contraires ou en simulant la confusion des sentiments.
VII.1. Antiphrase
L’antiphrase est un procédé qui consiste à employer un mot ou une phrase dans un sens contraire
à son sens véritable. L’ironie repose souvent sur l’antiphrase.
Exemple
 Beau cadeau d’anniversaire, ma maison a été cambriolée.
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VII.2. Antithèse
Une antithèse est un rapprochement de deux idées opposées dans un même énoncé pour mettre
en relief une opposition.
Exemple:
 Les pieds ici, les yeux ailleurs.
VII.3. Chiasme
Un chiasme est une figure d’opposition qui consiste à disposer des termes de manière croisée
suivant la structure AB I BA.
Exemple
 Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu. Ces murs maudits par Dieu, par
Satan profanés.
VII.4. Oxymore ou oxymoron
Un oxymore est une figure qui consiste à rapprocher dans un même syntagme deux termes de
sens opposé.
Exemple C’était une merveilleuse grimace.
VIII. Figures de substitution
Ces sont des figures de style qui permettent de remplacer des termes par d’autres dans le but de
mettre en valeur l’expressivité du discours.
VIII.1. La métonymie
La métonymie est la désignation d’un objet ou d’une idée par un terme différent de celui qui lui
convient. La compréhension se fait par analogie ou par relation de cause à effet. La métonymie
peut se faire par désignation de :
 un tout par une de ses parties : les ailes pour un avion;
 un objet par sa matière : un verre pour un récipient en verre;
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 un contenu par son contenant : boire un verre pour dire boire le contenu d’un verre;
 un lieu par l’activité qui s’y pratique : un théâtre, une cuisine;
 une activité par l’instrument ou l’objet qu’on utilise: faire du piano, jouer aux cartes;
 une cause par l’effet qu’il produit: boire la mort pour boire le poison;
 un écrivain par son œuvre : lire un Flaubert;
VIII.2. Périphrase
Une périphrase est une figure de substitution qui consiste à dire en plusieurs mots ce qu’on
pourrait dire en utilisant un seul mot
Exemple
 Le pays au mille collines (le Rwanda)
VIII.3. Synecdoque
Une synecdoque est une figure du discours qui consiste à élargir ou à restreindre le sens d’un
mot.
C’est une forme particulière de la métonymie dans laquelle on prend une partie pour désigner
le tout (ou l’inverse). Lorsqu’on prend une partie pour désigner le tout, on parle de la
synecdoque généralisant À l’inverse, il s’agit de la synecdoque particularisante.
Exemple
 La Belgique a déjà joué une demi-finale de la coupe de monde de football. (La Belgique
au lieu de l’équipe nationale de football de la Belgique) II s’agit d’une synecdoque
particularisante car on prend un tout pour l’une de ses composantes.
 Avec la faillite du Camair, le Cameroun n’a plus des ailes. (Ailes partie d’un avion
prisses pour désigner l’avion). II s’agit d’une synecdoque généralisant car on prend une
partie pour un tout.
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CONCLUSION SYNTHESE DU COURS

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