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dE 1 dE (k )
vg
dP dk
1
v g k En (k )
-3-
Chap: III
Concept de masse effective
2- Action d'une force extérieure
dk d dk
F k
dt dt dt
En reportant cette relation dans l'expression donnant
l'accélération, on obtient:
1 d
k En (k ) dk
F
dt dt
1 dk
. k k En (k )
dt
Donc:
1
2 F . k k En (k )
Chap: III -5-
Concept de masse effective
1
2 F . E (k )
k k n
1 2 En (k ) 1 2 En (k ) 1 2 En (k )
x 2
Fx .
k x
2
2 Fy .
k y k x
2 Fz .
k z k x
y
1
2
Fx .
2 En (k ) 1
k y k x
2 Fy .
2 En (k ) 1
k y
2
2 Fz .
2 En (k )
k z k y
1 2 En (k ) 1 2 En (k ) 1 2 En (k )
z 2
Fx .
k z k x
2 Fy .
k z k y
2 Fz .
k z2
Chap: III -6-
Concept de masse effective
2 En (k ) 2 En (k ) 2 En ( k )
k 2
x k y k x k z k x
x 2 Fx
1 En (k ) En (k ) En ( k )
2 2
. Fy
y
2
k y k x k y2 k z k y
z Fz
2 En (k ) 2 En (k ) 2 En (k )
k z k x k z k y k z
2
C’est un tenseur
2 En (k ) 2 En ( k ) 2 En ( k )
k 2
x k y k x k z k x
2
1 En (k ) 2 En ( k ) En ( k )
2
2 .F
k y k x k y2 k z k y
2 En (k ) 2 En ( k ) 2 En ( k )
k z k x k z k y k z2
1 1 En (k ) 2
2
m * ij k j ki
Chap: III -8-
Concept de masse effective
1 1 2 En (k )
2
m * ij k j ki
soit, explicitement,
2 En (k ) 2 En (k ) 2 En (k )
k 2
x k x k y k x k z
2 Appelée: tenseur
1 1 En (k ) 2 En (k ) En (k )
2
2 de masse effective
m* k y k x k y2 k y k z de l'électron
2 En (k ) 2 En (k ) 2 En (k )
k k k z k y k z2
z x
Explicitement, 1 1 1
* *
mxx m*xy mxz
1 1 2 En (k ) 1 1 1 1
2 *
*
mij k j ki m * mxy m*yy m yz
*
1 1 1
m* m*yz m*zz
xz
Ce concept de masse effective est très utile puisqu'il permet de
traiter la dynamique de l'électron quasi-libre dans un cristal en
utilisant les lois de la mécanique classiques, à condition de
remplacer la masse au repos de l'électron par sa masse effective.
Chap: III -10-
Concept de masse effective
Diagramme E-k, vitesse et masse effective
E
Au point k = 0, m* de l’électron a
une valeur positive constante et
elle monte rapidement quant la dE/dk
valeur de k augmente. Après
avoir connu une singularité (masse
infinie) la masse effective devient
négative au sommet .
d2E/dk2
• Par conséquent:
- m * est positive vers le bas de
toutes les bandes,
- m * est négatif, près du
sommet de toutes les bandes
En (k ) situé en k k0
on peut développer la fonction En(k) en série de Taylor.
En se limitant au deuxième ordre, on obtient :
En (k ) En (k0 ) k k E (k )
0 k n
k k0
1 2 En (k )
2 ij k j ki
k k k
i 0,i j k0, j ...
k k0
or k En (k ) 0 Car extremum
k k0
En (k ) En (k0 ) k k E (k )
0 k n
k k0
1 2 En (k )
2 ij k j ki
k k k
i 0,i j k0, j ...
k k0
On aura donc
2
2 En (k )
ki k0,i k j k0, j ...
1
En (k ) En (k0 )
2 ij k j ki k k
0
2 k k 2 k k 2 k k0, z
2
En (k ) En (k0 ) x 0, x
y 0, y
z
2 *
mx *
my mz*
kz
c’est l’équation d’une ellipsoïdes
kx
ky
ky kx
la masse effective est alors un scalaire noté m*. Les surfaces
isoénergétiques sont des sphères et l'énergie s'écrit :
k k
2
2
0
En (k ) En (k0 ) *
2 m
Faisons un changement d’origine dans l’espace réciproque c.a.d
k0 0
kz
l'énergie s'écrit
kx
2 2
k
En (k ) E0
2 m* ky
4 3 1
Dans une sphère on a : N c ( E ) k niveaux d’énergie
3 (2 ) 3
2mC* ( E EC )
k 2
2
k2
Or: E EC
2mC* dk 2mC
*
dE
2
2 ( E EC )
3/ 2
1 2
Nc ( E ) 2 * ( E EC )3/ 2
6 2mc
2
k2
En (k ) EV
2mV* k
énergie potentielle
énergie cinétique
trous.
Bande de valence
pleine
Les trous
Pour les semi-conducteurs, les « manques » d’électrons dans
la bande de valence sont aussi important que les électrons
dans la bande de conduction.
Un trou est une façon alternative pour décrire une bande dans
laquelle il manque un électron.
4 3 1
Dans une sphère on a : NV ( E ) k niveaux d’énergie
3 (2 ) 3
2mv* ( EV E )
k 2
2
Or: k2
EV E
2mv* dk 2mv
*
dE
2
2 ( EV E )
3/ 2
1 2
NV ( E ) 2 * ( EV E )3/ 2
6 2mv
Entre la surface d’énergie E et la surface d’énergie E +dE il y a NvdE états
dNV ( E )
gV ( E )
dE
3/2 C’est la densité
1 2
1/2 des états dans
gV ( E ) 2 * ( EV E ) la BV
4 2mV -21-
Chap: III
Concept de masse effective
Cas d’un ellipsoïde de révolution
k k k
2 2 2
2
x k x ,0 2
y k y ,0 2
z k z ,0
En (k ) En (k0 ) *
*
2 m x 2 m y 2 m*z
k2 2 2
k y2 2
k z2
En (k ) En (0) x
*
*
2 m x 2 m y 2 m*z
2
k i2
En (0)
2 i mi*
Chap: III -22-
Concept de masse effective Cas d’un ellipsoïde de révolution
2m
E (k )
En (k ) EC *
k 2
i
i iC
Equation équivalente l’équation
de l’ellipse :
k
k12 k22 k32
2
2 2 1
a b c
4
Le volume de l’ellipse est: Vk a b c
3
1/2
4 2m1C 2m2C 2m3C
* * *
Vk ( E E ) 2/3
2 2 2 C
3
Chap: III -23-
Concept de masse effective Cas d’un ellipsoïde de révolution
1/2
4 2m 2m 2m
* * *
Vk
1C
( E 2C
E ) 2/3 3C
2 2 2C
3
Le nombre des états par unité de volume :
Vk M est le nombre
N (E) M des ellipsoïdes
2
3
d’énergie
1/ 2 Si Ge
1 2m 2m 2m
* * *
2 1C
2C 3C
M ( E EC ) 2 / 3
6 2
2
2
3/ 2
1 2m *
2
C
( E EC ) 2/3
avec m m m m
* * *
* 1/ 3
M 2/3
6 2 C 1C 2C 3C
La densité des états: 3/2
1 2m *
g (E) 2
C
( E EC )1/2
4
2
3 1 3kT T
E kT m0 vth2 vth 105 m/s
2 2 m0 300
A 300K, on obtient vth ≈ 105 m/s (soit 400 000 km/h).
Les porteurs ont ainsi une vitesse thermique moyenne, orientée
dans toutes les directions de l’espace.
vth 0
1 3
m0 vth kT
2
vth 105 m / s
2 2
v 0
1 3
m0 v kT
2
2 2
E
Chap: II -31-
Mouvement de dérive
F = Fappliquée + Flocale
Cette dernière est due à toutes les interactions avec le réseau
(vibration thermique).
dv Trajectoire
F qE Fl m0 m0 incurvée
dt
q 1 entre choc
v (t )
m0
Et
m0 Fl dt
q
Soit la mobilité: v E
m0
Pour les Semiconducteurs: Si v << vth ou E faible
E
vn Vitesse moyenne des électrons vn n E qE
E
vp Vitesse moyenne des trous vp p E qE
q q
n p (cm2/Vs)
mn* m*p
m*p et m*psont les masses effectives de conduction
Chap: II -33-
Mouvement de dérive
La mobilité est une grandeur déterminante pour les composants électroniques →
performances des dispositifs
Elle est inversement proportionnelle à la masse effective et dépend des collisions
dans le cristal
Ces collisions peuvent être dues aux impuretés, aux phonons, aux autres porteurs,
et à tout autre défaut
La mobilité s’exprime en cm2/Vs
Cristal
n(cm2/Vs) p(cm2/Vs)
À T=300K La masse effective des électrons est
plus faible que celle des trous et le
GaAs 8000 300
temps de relaxation est plus long →
mobilité des électrons est supérieur à
InAs 30000 450
la mobilité des trous
Diamand 1800 1200
Le temps de collision augmente quand
la température diminue, du moins dans un
Si 1350 480
SC pur
Ge 3600 1800
In0.53Ga0.47As 11000
Chap: II -34-
Influence du dopage du matériau sur de la
température sur la mobilité
Les atomes d’impuretés vont influer sur les trajectoires des
électrons dans le cristal car, à température ambiante, ils sont tous
ionisés. Le nombre de collisions va augmenter et cela va se
traduire par une diminution de la mobilité .
T 3/2
• Pour dopage
faible, μ est
limitée par
collisions avec
réseaux. Si T↑;
μ ↓.
• Pour dopage
élevé, μ est
limitée par
collisions avec
impuretés
ionisées.
• Trous "plus
lourd" que les
électrons:
Pour le même Mobilité des (a) électrons et (b) trous dans le silicium en fonction de T
pour diverses concentrations de dopage. Les insertions montrent une
niveau de
dépendance à la température pour le silicium intrinsèque. (Pierret, R. F.
dopage, μn> μp Semiconductor Device Fundamentals. Reading, MA: Addison-Wesley, 1996..)
-36- Chap: II
Mouvement de dérive
Densité de courant et Mobilité
Courant causé par le champ électrique due aux électrons:
q
Q qn n At A
j
A t At
vnt
nq 2 n
j qn n *
E nq n E (A/cm2)
mn
nq 2 n
Loi d’Ohm : j E n *
qnn (due aux électrons
seulement)
mn
Chap: II -38-
Mouvement de dérive
nq 2 n
n *
nq n ( 1cm 1 ) pour les électrons, et
mn
pq 2 p
p pq p ( 1cm 1 ) pour les trous.
m*p
n p
Chap: II -39-
Mouvement de dérive
Le courant total étant la somme des courants de trous et d'électrons, la
conductivité totale du matériau s'écrit naturellement:
nq E n 2
pq 2 E p
J Jn J p *
mn m*p
j qn n qp p nqn pq p E
J ( n p ) E E
q ( n n p p ) p 1 si p n
qp p
Chap: II -40-
Mouvement de dérive
Exercice: Calculer la vitesse d'un électron dans un morceau de
silicium de type n causée par son énergie thermique à température
ambiante et sa vitesse due l'application d'un champ électrique de
1000 V/m à travers le morceau de silicium.
Vth ? T 300 K me* 1.18 m0
Vd ? E 1000 V / m 0.15 m 2 / (V s )
3kT
Vth
Vth 1.08 10 m / s
5
Vd E Vd 150 m / s
Conclusion : Vd Vth
Chap: II -41-
Mouvement de dérive
Densité de courant et Mobilité
• Importance de la mobilité sur les composants
– Facteurs limitant:
• Dopage
• Défauts (cristallins, structuraux, …)
• Température
• Champ électrique de saturation + géométrie
Chap: II -42-
Mouvement de dérive
Densité de courant et Mobilité
Vitesse de saturation des électrons
• La relation linéaire vitesse – champ valide
uniquement pour:
– Des champs électrique pas trop
élevés
– Porteurs en équilibre thermique avec
le réseau Si champs électriques faibles, la
• Sinon: proportionnalité (vitesse–champ)
est valable et la pente définit la
− Au-delà d’un champ critique, mobilité
saturation de la vitesse
vn n E
− Apparition d’un autre phénomène:
« velocity overshoot » pour des SC Dès que les champs électriques
multivallée. deviennent importants, la vitesse
converge vers la vitesse thermique.
− Régime balistique: pour des dispositifs
de dimensions inférieures au libre l’énergie thermique reste très
supérieure à l’énergie apportée entre
parcours moyen (0.1µm)
ces chocs et la mobilité décroît
Chap: II -43-
Mouvement de dérive
Vitesse de saturation
Apparition du phénomène: Différents comportement en
« velocity overshoot » fonction du SC
pour des SC multivallée.
Survitesse
(« overshoot »)
-44- Chap: II
Mouvement de dérive
Resistance
1 1
qnn qp p
V I
V L I
R
I S L w
L
t
wt
C ( x )
I
x proportionnel au
gradient de
négatif car les particules concentration
diffusent vers les régions de
plus faible concentration
-50-
Mouvement de diffusion
F D C
i
C
-51-
Mouvement de diffusion
Courants de Diffusion : En considérant macroscopiquement la diffusion
des électrons et des trous, leur déplacement est équivalent à un
courant. On peut donc exprimer les densités de courant de diffusion
des électrons et des trous en multipliant le flux des porteurs par la
charge élémentaire.
1
Fn .J n , D J n , D q.Dn n
q
-52- Chap: II
Mouvement de diffusion
1
Fp .J p , D J p , D q.Dp p
q
-53- Chap: II
Mouvement de diffusion
J p , D ( q ).Fp q.D p p Pour les trous
J D q.( Dn n D p p ) Total
-54-
Phénomènes de transport
Au courant de diffusion s’ajoute:
• Courant thermique
3kT T
vth 10
5
m/s
m0 300
vth 0 m / s
J th 0
Phénomènes de transport
Au courant de diffusion s’ajoute
• Courant de dérive
j jn j p qn n qp p
nqn E pq p E
nqn pq p E
E
Densité de courant totale
Densité de courant total d’électrons dans un SC :
dn( x)
J n J n ,deriv J n , Dif q n nE qDn
dx
Densité de courant total de trous dans un SC :
dp ( x)
J p J p ,deriv J p , Dif q p pE qDp
dx
Densité de courant total dans un SC :
J J n J p J deriv J diff
n, p n, p
En général Dn>Dp.
Les équations présentées ici ne sont valables que pour un SC
homogène et à température constante.
Ces équations sont profondément modifiées quand le dopage, le «
gap » ou la température varient.
Le modèle à 1 dim permet de mener à bien des calculs analytiques.
Relations d’Einstein
Démonstration simple de la relation d’Einstein;
dan le cas à une dimension on a:
1 1 q
m0 vth kT
2
n
2 2 m0
m0 n kT
Dn vthl vth (vth ) v
2
th n
q q
kT
De même pour les trous: Dp p
q
Dp Dn
kT
Relation d’Einstein
p n q
-58-
Equations de Maxwell
pour des matériaux isotropes et homogènes
B D
E , H J cond J tot
t t
B 0 , B 0 H
D sc E , D ( x, y, z )
E et D sont le champ et l’induction électrique.
H et B sont le champ et l’induction magnétique.
sc et 0 sont la permittivité du semi-conducteur et la perméabilité du vide.
(x, y, z): densité de charge électrique totale,
Jcond la densité de courant de conduction et
Jtot la densité de courant total.
Parmi les six équations de Maxwell, la plus importante est sans doute
celle de Poisson.
-59-
Equation de Poisson
D scE ( x, y, z )
V2
Concentration de charges C/m3
x 2
0 r Permittivité du semi-conducteur en
F/cm
Laplacien en V/cm²
d 2V dE ( x)
On peu l’écrire comme:
dx 2
dx sc
-60-
Equation de Poisson
e( p n N N )
D
A
p ( x ) n( x ) N D ( x ) N A ( x )
2
dV e
dx 2
sc
Charge mobiles Charges fixes
(électrons et trous) (dopants ionisés)
C dF
G U
t dx
-63-
Equations de continuité
C dF
G U
t dx
Pour les électrons:
J n qFn , J n q n nE qDn n
n 1
div J n G U
t q
Pour les trous:
J p qFp , J p q p pE qD p p
p 1
div J p G U
t q
-64-
Equations de continuité
Hors équilibre thermodynamique, on cherche à déterminer le taux
de variation de la concentration des porteurs (électrons et trous)
en fonction du temps (modèle unidimensionnel).
n 2n
1 tot
Fn jn
q t
Dn 2 n
x x
nE G U
p 2n
Fp
1 tot
q
jp
t
Dp 2 p
x x
pE G U
-65-
Hypothèse de faible injection i.e la densité de porteurs injectés
est inférieure à la densité de porteurs majoritaires à l’équilibre
le taux de recombinaison
U (np-np0)/n
Ou np : densité de porteurs minoritaires,
np0 : densité de porteurs minoritaires à l’équilibre thermique
n : temps de vie des électrons.
n=p.
-66-
Dynamique de l'électron 3
3-1: Concept de masse effective
3-2: Phénomènes de transport
Mouvement thermique
Mouvement de dérive
Mouvement de diffusion
3-3: Génération et Recombinaison
Injection ou extraction de porteurs, durée de vie
n p n
0 0
2
i
Lorsqu’on perturbe cet équilibre np ni , on peut définir
2
deux cas:
- Extraction de porteurs: np n 2
i
n n0 n et p p0 p
On peut classer les phénomènes d’injection en deux catégories.
n n pour type N
p p pour type P
-Fort niveau d’injection si elle devient du même ordre de
grandeur.
n n pour type N
p p pour type P
-69-
Phénomènes de génération recombinaison
Dans un SC, les densités de porteurs existant
dans les bandes sont le résultat de deux
mécanismes permanents : la Génération et
de la Recombinaison.
Si h E g
Pas de création de paire électron
/trou
Si h Eg
Possibilité de création de paire
électron /trou
Conservation de l’énergie:
E f Ei Eg ( E f EC ) ( EV Ei ) Eg=1,46eV
2
Pour GaAs
k2 2 2
k
Eg *
2mC 2mV* kx
-73-
Génération des porteurs pour SC
Coefficient absorption
h Eg
(h ) A trans. directe
h
(h ) B h Eg trans. indirecte
avec A B
Le début de l'absorption est au gap
x
I I 0e I0 : Intensité de la lumière incidente
x : distance de la surface
-74-
Génération et recombinaison
1.24
E ph eV
E
m
EC
EV
x
Génération Recombinaison Génération Recombinaison
thermique thermique radiative radiative
-75-
Les Processus de recombinaison les plus
importants
EC
EC
Recombinaison hn =Eg
phonons
directe
k
EV EV
e- E~Eg
Recombinaison
Recombinaison
par pièges
Recombinaison Auger
e- e-
indirecte
ET
h+ h+
-76-
Recombinaison radiative par transition directe
-77-
Recombinaison radiative par transition directe
E
Efficace dans les SCs à structure de
bande directe III-V ( GaAs,…)
On les utilise EC
- Diodes électroluminescentes
- Laser à SC.
n n0 n, p p0 p,
EV
avec n p x
génération recombinaison
R np U R R0 (np n0 p0 ) radiative radiative
U ((n0 n)( p0 p ) n0 p0 )
p 1
U p (n0 p0 p ) R
R (n0 p0 p)
-78-
Recombinaison par transition directe
1
R En cas de faible injection
( n0 p0 )
1
R SC intrinsèque:
1 2 ni
R
(n0 p0 p ) 1
R SC type n:
ND
1 SC type p:
R N
A
-79-
Recombinaison Auger
La recombinaison Auger domine au dopage fort ou injection très
forte
L’électron e1 passe de la BC
vers la BV et disparaît.
L’électron e2 gagne Ef-Ei =Eg.
e1 e1
Eg BC
e2
e2’
BV e2
e1
e2
Ee1
Egap
Plus probable dans les Plus probable dans les
SC type n fortement SC type p fortement
dopés distance entre dopés distance entre
h k électrons très petite trous très petite
-80-
Recombinaison Auger EC
R n 2 p np 2 ; R0 n02 p0 n0 p02
U R R0 EV
Pour un semiconducteur type n:
U n 2 ( p0 p) n 2 p0 n( p0 p ) 2 np02
U n 2 p np 2
p
U p ( n np )
2
A
1 1
n 2 np N D2 Pour un SC type n
A A
Pour un semiconducteur type p:
1 1
p np
2
N A2
A A
-81-
Recombinaison par pièges
Les recombinaison par pièges sont liés aux défauts du cristal.
Ce sont les impuretés qui entraînent l’existence de centres de
recombinaison..
Il existe tjrs des impuretés chimiques dans le cristal réel, constituées
d’atomes autres que ceux du SC considéré (Exp: S, Au, Cu, Ag, Fe, ..)
Ces impuretés induisent des niveaux d’énergie supplémentaires situés
dans la bande interdite du SC et qui sont appelés centres de
recombinaison
Ces niveaux peuvent se comporter comme des centres accepteurs ou
donneur d’électrons.
Ces niveaux mettent en jeu des énergie plus faibles que celles
correspondant à une transition bande-à-bande.
Les recombinaisons SRH (Shockley, Read, Hall) sont décrites par
quatre processus: capture d’un électron, émission d’un électron,
capture d’un trou, émission d’un trou.
-82-
Recombinaison par pièges
Niveaux d’énergie d’impuretés chimiques dans la Bande
interdite du Silicium
Représentation
Schématique de la
recombinaison par piège
EC
ET
EV
-83-
Recombinaison par pièges (SHR)
E
Centre de
recombinaison
EC (trap)
ET
EV
x
capture émission capture émission
électron électron trou trou
SHR = Shockley-Hall-Read
-84-
Recombinaison par pièges (SHR)
Quelque définitions f t ( Et )
1
E EF
Probabilité d’occupation d’un niveau piège: 1 exp t
kT
rn: taux de capture d’un électron Taux de recombinaison
rp: taux de capture de trous
gn: taux de génération d’électrons: émission
gp: taux d’émission de trou
en: probabilité d’émission d’électron
ep: probabilité d’émission de trou
Cn: Probabilité de capture Cn vth n
σn: section de capture: surface à l’intérieur de laquelle les porteurs
.
sont capturés
Nt: densité volumique des pièges Ntft = nombre des électrons piégés
(1-ft): probabilité d’avoir des pièges vides
-85-
Recombinaison par pièges (SHR)
Capture
Et Et Et Et
rn vn n n N t (1 f t ) rp v p p p N t f t
Cn n N t (1 ft ) C p p Nt ft
n 10 cm15 2
p 1015 cm 2
-86-
Recombinaison par pièges (SHR)
Emission
Et Et Et Et
g n en Nt ft g p ep Nt (1 ft )
-87-
Recombinaison par pièges (SHR)
Taux net de recombinaison à l’équilibre thermodynamique
rn g n
Et = Et Cn N t (1 ft )n en N t ft
en Cn n 1 ft / ft
E EF Et EF
n N c exp
kT t t
1 f / f exp kT
Et EF E EF
en Cn exp N c exp
kT kT Ei Et
en Cn ni exp
kT
rp g p
Et = Et
C p Nt ft p e p Nt (1 ft )
ft
ep C p p
1 ft
E EV E EF
p N v exp F f t / 1 ft exp t
kT kT
Et EF EF EV
e p C p exp N v exp
kT kT
Et Ei
e p C p ni exp
kT
Si Et<<Ei Et≈EV émission des trous et prédominante pièges remplis
-89-
Recombinaison par pièges (SHR)
Hors d’équilibre thermodynamique
U n rn g n Cn Nt [1 ft ]n en Nt ft
U p rp g p C p Nt ft p en Nt (1 ft )
-90-