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Jean-Paul SARTRE & l’Existentialisme athée
A. VIE & ŒUVRE
Sartre est né à Paris, le 21 juin 1905. Issue d’une famille de la
bourgeoisie. En 1929, il est agrégé de la philosophie, Sartre fut
professeur au Lycée du Havre puis à Paris.
Plus tard, dans les mots (1964), un livre autobiographique dont la
lecture est intéressante à qui veut connaître Sartre.
Il raconte à quel point, le climat familiale crée par son grand-père l’a
marqué. Le jeune Sartre découvre très tôt le sentiment de ce qu’il
appelle sa bâtardise, le sentiment de ce qu’il a de trop, l’expérience
de la mauvaise foi et sa vocation d’écrivain.
A. ŒUVRE
En 1943 parait : L’Etre et le néant, ou sont exposées les
thèses de l’existentialisme sartrien. En 1964, L’Existentialisme est
un humanisme, confèrent pour le grand public ou il présente de
A. ŒUVRE
En 1943 parait : L’Etre et le néant, ou sont exposées les thèses de
l’existentialisme sartrien. En 1964, L’Existentialisme est un
humanisme, confèrent pour le grand public ou il présente de manière
simplifiée les grandes thèses de sa philosophie.
Néanmoins, Sartre s’est fait connaître par ses récits, nouvelles et
romans : le mur, la nausée et ses pièces de théâtres : Huis-clos, le
Diable et le bon Dieu, … La scène offre à Sartre la forme la plus
efficace qui permet de montrer « un caractère en train de se faire le
moment du choix, de la libre décision qu’engagent une morale et
toute la vie » et d’exposer les thèmes de son existentialisme. C’est
par le biais du théâtre, roman, et journalisme que la notoriété de
Socrate va l’intéresser.
En 1964, Sartre refuse le Prix Nobel de la littérature,
journaliste, critique littéraire, essayiste, Sartre aura une vocation
celle d’interpeller le monde contemporain au nom de l’homme et de
la liberté.
B. La Philosophie de Sartre ou l’Existentialisme athée
1. Le fait de l’existence est Absurde
Sartre a éprouvé l’Etre avant d’expliciter sa structure.
Antoine Roquentin, le héros d’un roman la « Nausée », découvre un
jour que tout est gratuit, le jardin, cette ville et moi-même ; quand il
arrive qu’on s’en rende compte, ca vous tourne le cœur et tout se
met à flotter, voilà la Nausée.
Exister c’est être là simplement. Ainsi, le fait même de
l’existence est « absurde », non déductible par la raison. L’existence
est le fait d’être là sans raison.
2. L’Existence précède l’Essence
L’Existence dont il s’agit plus haut c’est « mon existence »
seul l’homme existe, il est un « Pour soi » c’est-a-dire un être
conscient et libre. Les choses existent mais s’ignorent, elles
constituent un « En-soi ».
Mais, l’homme existe avant de pouvoir être défini par aucun
concept. Sa personnalité n’est pas construite selon un nature, un
modèle, dessiner d’avance, ni pour un but précis : cela signifie
« l’homme existe d’abord, se rencontre surgit dans le monde et se
définit après.
L’homme tel que le conçoit l’existentialisme s’il n’est pas
définissable, c’est qu’il n’est d’abord rien. Il ne sera qu’en suite, et il
sera tel qu’il se sera fait. Ainsi, il n’y a pas de nature humaine… »
3. Une philosophie de la liberté
« L’homme existe tout simplement … sa personnalité n’est pas
construite par un modèle dessiné d’avance et pour un but précis… »
Sartre tirera les conclusions qu’il est responsable de ce qu’il est ; il
est libre.
a. Libre par rapport au monde
Tout homme est « en-situation ». Mais on ne peut pas dire que les
situations « déterminent sa conduire ».
b. Libre par rapport à lui-même
Aucune essence déterminée d’elle-même n’oriente à priorisons
comportement. Par ses projets, par sa conscience, l’homme est au-
delà de lui-même. L’homme n’a pas de choix : « il est condamné à
la liberté ».
c. La liberté est absolue
« L’important n’est pas ce qu’on a fait de nous, mais ce que nous
faisons nous-mêmes de ce qu’on a fait de nous », résume bien sa
conception de la liberté, car c’est un appelle à la responsabilité.
 La Mauvaise foi :
Pour Sartre, celui qui ne veut pas prendre conscience de sa liberté,
qui la fuit et s’en ferme dans sa condition pratique « la mauvaise
foi » et devient un salaud au sens sartrien du terme.
Nier la liberté chez Sartre c’est la lâcheté
parce que qu’il n’y a pas « une essence toute faite. Le salaud est très
exactement chez Sartre ce « ce gros plein d’être » qui oublie
l’existence et s’arroge quelque supériorité existentielle ».
 L’athéisme de Sartre :
1. L’existence n’apparaîtra qu’au terme de l’activité de l’artisan, il
conçoit Dieu comme un super artisan. Dartre s’en prend au Dieu
mécaniste des rationalistes.
2. La liberté chez Sartre, est une fin en elle-même, est incompatible
avec l’existence de Dieu. Car si Dieu existe, l’homme n’est pas
libre.
a. Libre par rapport au monde
Tout homme est « en-situation ». Mais on ne peut pas dire que les
situations « déterminent sa conduire ».
b. Libre par rapport à lui-même
Aucune essence déterminée d’elle-même n’oriente à priorisons
comportement. Par ses projets, par sa conscience, l’homme est au-
delà de lui-même. L’homme n’a pas de choix : « il est condamné à
la liberté ».
c. La liberté est absolue
« L’important n’est pas ce qu’on a fait de nous, mais ce que nous
faisons nous-mêmes de ce qu’on a fait de nous », résume bien sa
conception de la liberté, car c’est un appelle à la responsabilité.
Nier la liberté chez Sartre c’est la lâcheté parce que qu’il n’y a pas
« une essence toute faite. Le salaud est très exactement chez Sartre
ce « ce gros plein d’être » qui oublie l’existence et s’arroge quelque
supériorité existentielle ».
Conclusion
Sartre a voulu aborder les problèmes de la violence, des
conséquences, de l’action, des rapports de la personne et de la
collectivité, de l’entreprise individuelle avec les constantes
historiques.
En philosophie existentielle, la liberté était au centre
de sa pensée : il montre, sur le fond d’un pessimisme métaphysique
que vie humaine commence de l’autre côté du désespoir. Son
principe d’espérance se résume en cette formule : « la liberté, un
beau risque, inévitable ».
. Gabriel et MARCEL  l’Existentialisme croyant
a-Vie et Œuvre
a1 Vie
Marcel est né à Paris, le 07 Décembre1989 et il meurt en 1973. A 20
ans, il obtient son agrégation en philosophie. Très tôt, il abandonne
la craie pour se consacrer à la musique littéraire, au théâtre et surtout
à une œuvre philosophique qui le classe parmi les grands penseurs
de son temps.
En 1925, lors de la publication de : Existence et objectivité, Marcel
donne à la philosophie existentielle Française sa charte d’origine.
Ainsi, il et classé parmi les initiateurs du mouvement existentiel
dont il représente une des tendances les plus originales.
Marcel est élevé dans une atmosphère agnostique, il s’interroge
pendant des longues années sur l’etre , la destinée, la foi, la priére …
A 40 ans, il rencontre Dieu Dieu l’invite dans sa catholicisme Il
est fidèle à ses principes, il demande le baptême ; il s’engage
irrévocablement. Il est un écrivain précis, toujours en quête du terme
juste.
a2Œuvre
Gabriel Marcel a publié :
1° Etre et avoir
2° Position et approche concrètes du Mystère Anthropologique
3° Du refus à l’’invocation
4° Le Mystère de l’être humain
5° Les hommes contre l’humain
6° Existence et objectivité
a. Philosophie de Gabriel et MARCEL
Marcel condamne les relationnistes, les idéalistes, les
scientistes qui ont fait de ce monde un monde casé c'est-à-dire un
monde dépersonnalisé, inhumain. Il nous fait dit Marcel restitué son
poids anthologique (l’étude de l’origine) à l’expérience
humaine.Marcel entend Philosopher sur l’expérience humaine. Il
cherche la vérité, accepte la situation telle qu’elle s’offre.
Pour Marcel, l’admiration est une importance capitale.
La vrai philosophie débute par la découverte émerveillée et par la
reconnaissance aussi lucide que possible de la situation existentielle
qui est même et au seuil de la quelle je me fais moi.
1. L’être en situation : le point de départ de sa philosophie est
l’existence non pas le je pense mais plutôt lej’existe or je
n’existe que situé dans le temps et dans l’espace : je me trouve dans
les situations matérielles, psychiatriques et spirituelles dans
lesquelles j’agis et qui influencent ainsi, notre conditions humaine
c’est l’être en situation.
2. Les relations constitutives : l’existence est constituée de quatre
relations fondamentales : avec le monde, avec moi-même, avec les
autres et avec Dieu.
a. L’existence
1° J’existe en relation avec le monde
Ou j’occupe une certaine place, à un certain moment
2°J’existe en relation avec moi- même
 Tel corps, telles qualité physiques, psychiques, …
3° Les autres
Parents, éducateurs, milieu social, civique, culturel tels que
camarades de travail, d’étude, de jeu, tels amis…
4° J’existe en relation avec Dieu : origine et fin dernière,
même si je l’ignore
b. Gabriel MARCEL : Méthode
Si nous voulons comprendre le réel, et en particulier notre entre-en-
situation, il importe la connaissance.
 Problème et mystères.
Marcel, opère une distinction fondamentale de deux grande :
1. Celle du problème ou la réalité du problème
2. Celle du mystère ou la réalité mystère
a. Un Problème : le problème est une réalité dont les données
sont devant moi ; objectives, extérieures à moi –même ou condensé
comme telles.
b. Le mystère : une réalité où je me trouve moi-même engagé,
dont je suis moi-même une des données ou la frontière entre l’en-
moi et le devant-moi est aboli.
Un problème devant moi, je puis en faire le contour, l’extrapoler, le
regarder sous toutes ses forces mais, quand il est également un moi,
ils dévient un mystère.
Ex : la maladie, la famille, mon corps, la souffrance, la fidélité.
-Expliquer le comment la réalité – problème → science
-Comprendre le pouvoir : réalité Mystère → philosophie
Ainsi, devant le monde, devant moi, les autres, Dieu, deux attitudes
sont possible
A l’égard du réel deux attitudes sont possibles :