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CHÈRE PATRIE
Le mot paix est ambigu. Nous appelons paix de réalités fortes différentes. Il convient donc den
préciser le sens et d’affirmer que d’emblée que la paix n’est pas seulement l’absence de conflit,
de lutte ou de guerre a grande échelle. Elle est une réalité bien plus vaste et bi+en plus
profonde. Notre monde est secoue par des violences de toute sorte qui sont incompatible avec
la paix. Les exemples ne manquent pas : La puissance économique engendre le sous
développement et la dépendance qui maintient les peuples dans la pauvreté, la faim, la maladie
et finalement la mort atroce, la force politique et sociale se manifeste dans la violation du droit
de l homme et des peuples. Sans détruire ces formes multiples de violences, la paix ne sera pas
possibles si non nous resterons plonges dans une guerre nucléaire, pas nécessairement nucléaire
mais une guerre économique ou social sinon davantage d’être humains.
Les peuples pauvres du sud ne se sentent pas vraiment concernes par la lutte menée pour éviter
un possible génocide nucléaire entre les peuples riches et les peuples pauvres. Ils sont en effet
engages dans une course désespères pour mettre fin au génocide actuel que provoquer
l’injustice sociale. Dans notre pays, chaque jour 500.000 personnes meurtre de faim et de
maladies dues a la malnutrition, un milliard homme souffre de paix chronique, cent million
d’enfant sont obliges de travailler des leur plus jeune âge, la moitie des hommes ne disposent
pas d’eau potable, dix sept personnes meurent de faim et de soif. Ce massacre équivaut à
l’explosion dune bombe comme celle Hiroshima! Quel sens pourrait avoir Our nos peuples un
éventuelgénocide dans le nord. La mort et la faim n’attendent pas que les grandes puissances se
mettent d’accord sur les contrôlesd’armes atomiques, sur les nouvelles technologies de
dissuasion ou sur les réductions des missiles. Le mot nucléaire apparait aux yeux des pauvres,
au vocabulaire des riches, de ceux qui se préoccupent avant tout de leur survie et de leur bien
être, de ceux qui ont créé la violence institionalise sous laquelle les pauvres meurent de faim et
de misère. La paix des riches tuent puisque l’équilibre de la terreur coute chaque jour, des
milliers de vies humaines dans les pays pauvre. En réalités les peuples riches devraient regarder
en face les deux tiers de humanité ne regretteraient guerre la fin de la brutale civilisation
opulente, de sa riche culture, de ses mira ; es technologiques. Ces miracles réalises depuis des
siècles grâce au pillage des peuples pauvres, dans l’indifférence la plus totale face a la mort
quotidienne des affames. Il faut vivre dans le sud, avec tout ce que cela implique, pour
comprendre que cela demandent la disparition des peuples du nord dans une éventuel guerre
nucléaire ne serait pas finalement une chance pour les peules du sud.
Ces origines sont le désir de la vengeance intiquamn et cela est un bilan bien lourd pour
ce siècle présent et à venir. Le soif de vengeance est en générale due à la jalousie
àl’envie, àunanimité, au zèle religieux et à la tentative de la formation dune dynastie.
Ce bilan repousse une fois la réalisation de la paix universelle profondément encre dans
le cœur de chacun, synonyme de bien être, l’équilibre légalité et de liberté. Cette paix
idéal serait un état d’esprit permettant a chaque homme de vivre avec ses semblable sen
toute quiétude et en leur apportant quelque chose en lus une sorte de bonheur mais qui
cherche le bonheur de tous. Tantôt par conviction, tantôt par r peur dune guerre
nucléaire la paix a été désire , formeur, accepte, approuve et signe. Pourtant elle na
jamais été effective. Le monde est toujours gouvernes par des forces négatives,
intolérance, abus de puissances, inégalités des richesses, dominatitions et militarisations
constituant la toile de fond de toute violence. La paix a aussi des résonnances bien
diverses selon que l’on se trouve au nord ou au sud, selon que l’on est en occident ou en
orient selon que l’on est noir ou blanche, catholique ou musulman, dictateur ou opprime,
Dun homme a l’autre, elle prend une couleur différentes.
Bref, face a tout ces différents facette la paix se conçoit comme une sommées facteurs
indispensable a la vie en commun, la paix apparait comme une idée qui traduit le mieux
la plus profonde des aspirations de Lhomme en quête dune société humaine.
Par exemple, n’est pas en effet la paix des bouddhistes, la paix des hommes politiques et
des militaires n’est pas celles des mouvements pacifistes, la paix des pays de lest n’est
pas celles des [pays occidentaux, le apax des mouvements pacifistes ouvriers est toutes
différentes de la paix du tiers mondes….
Que dire dune société a l’autre, d’un pays a l’autre. Cela se traduit par des dispositions
tranches et en de nombreux points de divergentes. Partout cependant affleure l’idée d’un
nouvel ordre mondial privilégiant le développement, le droit de Lhomme et la justice.
Cette idée de paire nait imperturbablement à chaque derarapage, a chaque conflit. Pur
encore sont les mouvements politiques, religieux ou philosophiques qui ne l’inscrit pas a
leur programme. En fin de compte, la paix entre les nations est elle vraiment de même
nature que la paix individuelle voire intérieur et théologique.
Un triple défit
Selon le lieu, selon les époques, selon les personnes, la paix prend milles visages
différentes. Elle perçuesintérieurement tout à la fois comme ordre, bonheur, harmonie,
vie, liberté, mais elle marque aussi de son empreinte les rapports entre les hommes et
entre les peuples. La, elle devient fraternité, justice, égalité.
Nous évoquerons qu’aux yeux du chrétien, la paix ne peut se limiter à la sérénité
intérieure : Sa quête est inséparable de la réconciliation avec les autres dans la justice.
Inséparables également dans harmonie avec le monde et avec le créateur, tel est le triple
défit qui nous interpelle.
Une même notion ne correspond pas à une même réalité : tels est l’un des plus grands
obstacles a la construction dune paix durable entre la nation.
La paix et le rôle de la force mobilisatrice
Dans la plupart des traditions, la notion de paix reste vague. Pour la comprendre, il est
utile de l’associeràd’autres concepts. Tout comme le bonheuren quelque s sortes
l’équivalent de paix au niveau individuel elle se conçoit davantage comme une sorte de
facteur indispensable a la vie en commun : l’ordre, harmonie, la justice, l’abondance, le
bien être, le dialogue, la richesse, la responsabilité, la coopération, la vie , l’entente, la
compréhension, l’épanouissement, la liberté, la fraternité, l’universalité, la communauté,
lhabondance, le bien être, la prospérité, le don, la gratuite, le développement, légalité, …
Quelque demandait un jour pourquoi les samaritains maitrisait aussi bien les arts de la
guerre et les arts de la paix,il lui fut répondu les armes remplacent la victoire a la
stratégie car elle fille des arts de lapaix C’est pourquoi il ya des arts de de Taitung un
chapitre sur les arts civils et militaires qui remplacent et qui constitue l’art en générale
Lorsque les uns et les autres font défaut comme chez chouan Huon et Kauno YING qui
ignorait les arts de la paix et chez SUI HU et LUCHIA qui ignorait les arts de la guerre,
on a toujours sujet de le déplorer. Il faut saisir sa chance, la stratégie ne se conçoit que
dans le secret. L a chance ne se laisse pas aisémentdécouvrir mais elle peut être
apprivoise par la ruse aussi longtemps que celle-ci n’est pas divulgue. Aussi aux yeux de
qui est rompu ou maintenant de la troupe les arts de la paix et de la guerre sont comme
une dextre et la senestreravail est le fruit. Engager un peuple ignare de la guerre, c’est le
sacrifier dans sa perte.
La guerre
La guerre est le fléau des Etats le tombeau de la justice et les lois sont muettes au milieu des
armes. Elle encourage le meurtre, l’opprobre, l’adultère et inceste. Un Etat se dissout lorsque
les méchants ont trop d’autorité. En temps de guerre les méchantsrésignent en maitre et ceux
que pendant la paix on mettrait en croix deviennent les exploits les plus remarquables
La guerre semble d’abord une jeune épouse qui charme et qui séduit, qu’on anime et qu’on
désire. Son visage à l’éclat de la saison nouvelle, sa chevelure est noire comme les nuits
Hiroshima. Qui la regarde sa face en devient folle d’amour, qui la voit s’avancer en est
ensorcelle. Ses flammes de la haine s’élancent vers le ciel. Ce quelles tuent sont les corps des
jeune sommes, ce quelle pille c’est la vie des combattants.
• Supposons qu’un INDE libre opte ainsi pour la non violence, devra tel se défendre
en cas d’agressionperpètre par un autre état souverain
Cette méthode de la non violence fournit une réponse a la vieille question de savoir ou pour
cultiver les Faus fuyants et qui déboucha s il faut progresser par degré ou chercher à tout
obtenir immédiatement. Dune part, le non violence nous empêche de nous laisser aller à un
genre de patience qui est une excuse pour ne rien faire.
D’autre part, elle nous épargne les discours irresponsables qui divisent sans soucis de
réconciliation et les jugements hâtifs qui ferecomaient les yeux sur l’exigence s du processus
social. Elles respectent le besoin de progresser vers l’objectif de justice dans la sage maitrise de
soi et dans le calme de la raison mais condamne l’immoralité qu’il aurait à ralentir notre
marche vers la justice et a capituler devant les gardiens d’un statut quo injuste. Elle admet que
le changement social ne peut pas se produire du jour au lendemain. Mais, elle nous pousse à
œuvrer comme la possibilité était pour demain matin
La guerre ce monstre qui fait s’entretue les hommes finira par êtreéliminer par le
développement de la société humaine et le sera même dans un avenir qui n’est pas
lointain. Mais pour supprimer la guerre, il ny que seul moyens opposer la guerre par
Laguerre, opposer la guerre révolutionnaire par guerre contre révolutionnaire, opposer
la guerre national révolutionnât par la guerre contre révolutionner national.
La guerre coute plus que ses frais, elle coute ce quelle empêche de gagner. Au reste, le
progrès lent mais infaillible des lumières change encore une fois les relations des
peuples entre eux et par conséquents des dépenses publiques qui ont rapports a la guerre.
Qui finira par comprendre qu’il n’est point dans intérêt des nations de se battre que les
maux de la guerre retombent sur elle et que les avants quelles recueillent des succès sont
absolument nuls.Quels que soit du être les propriétés privées de l esprit militaire pour
l’extension graduelle des associations humaine comme je lai soigneusement explique, il
est clair que sa puissance est à cet égard nécessairement limite et quelle aurait
essentiellement épuise tout le développement.
Le refus de coopérer avec le mal
Dire Nous voulons la paix ne signifie rien si cette volonté nets pas soutenu par des projets
concrets pour nos vies, notre société et pour la planète entière. La paix pas la non guerre. Elle
est la possibilité de construire une société neuve et juste, libre et digne au sein de laquelle tous
les pauvres seraient les premiers à recevoir la première véritable identité d’être humains en
totale égalité avec les autres. Oui, il faut éviter la guerre atomique, il faut éviter les fabrications
d’armes, il faut vaincre la faim, il faut établi la justice, c’est à dire des relations d’Egalite entre
et de respect entre tous les peuples du monde. Cette paix nait de l’établissement de la justice
dans la vie sociale et entre les peuples. Elle sera les fruits de la justice et rien d’autres. Par
contre des situations d’injustices dominant le monde sont toujours cause de violence et obstacle
a l’installation dune paix dune paix qui soit autre qu’impuissance devant la domination du nord
ou équilibre de la terreur entre les pays riches. Un fondement des structures mis en place telles
est la tache la plus urgente. La paix trouve sa source dans le sens authentique de la dignité
humaine, c’est adire dans la justice. Abasourdit que nous sommes par les cris affames et des
opprimes pourquoi ne décidons nous pas, une fois pour toutes de construire la paix sur une base
de justice ? Si ce dernier est offense dans lune de ces formes nationales, sociales et religieuse,
on ne peut parler de paix réelle. Il ne s’agit que de despotisme déguise en pacification. Seule
juste est un artisan de paix. Chacun de nous doit aller à la rencontre de ses frères et sœurs.
Toutes les nations doivent se rapprocher. C’est dans la compréhension et l’amitié mutuelle et
dans les rapports équitables que nous devons construire un avenir en commun et pacifique pour
humanité.
La justice est une volonté constante est perpétuelle de rendre a chacun ce qui lui est du.
Je réponds qu’il faut dire que pour qu’une guerre soit juste trois choses sont nécessaires :
• L’autorité de puissance d’après l’ordre duquel la guerre doit être entreprise, car il
appartient a un pays de faire la guerre parcequil peut y avoir e recours pour
obtenir justice au jugement de son supérieur. Puisque le soin de lEtat est confie a
une puissance c’est a eux qu’il appartient de défendre la cite le royaume de la
puissance qui se trouve dans leur autotorite.De mêmequ’il leur est permis de le
défendre par la glaive matériel contre ceux qui le trouve a l’intérieur en leur
punissant les malfaiteurs
• Il faut une juste cause c’està dire qu’il faut que ce que l’on attaque aient par une
faute mérited’être attaque
• Il faut nécessairement que l’intention de ceux qui combattent soit droite c’està
dire qu’il se propose de le bien et de éviter de faire du mal
Chez Saint Tomas d’Aquin, in verbis domini, les véritables services de Dieu, les guerres
pacifiques sont elles mêmes pacifiquenetantpas entreprise par cupidité ni par cruauté
mais par amour de la paix dans le but de réprimer les méchants et de secourir les bons.
Par suite, il peut y arriver que quoique la guerre aient été déclare par l’autorité légitime
et pour une juste cause, elle soit néanmoins rendue illicite par la perversité de l’intention
de celui qui la fait.
Toutes fois un handicap majeur dans l’esprit humaniste de la culture africaine, la réalité est
bien différent. Un peu partout des conflits l Un peu partout des conflits sanglants font rage
et des nombreuses plaies souvent difficiles a soigner s ensuivent. Les heurts et les antagonistes,
les misères et pauvretés, les mensonges et les escroqueries, les oppressions et les brutalités, les
dictatures et les injustices plongent, les flux financiers illicites en destination ses paradis
fiscaux de l’Europe plongent l’Afrique dans une situation de dépendance et de sous
développement. Pour eux, la paix ne peut se vivre en solitaire : elle est partage et
communion avec les siens, avec les pays environnants et finalement avec le monde
entier. Celui qui a dit que qu’il ya de la honte à être heureux tout seul a réussi à traduire
humiliation laquelle s’exposent tôt ou tard, les égoïsmes des faux heureux. Puisque les africains
considèrent légisme comme non seulement comme une simple humiliation mais comme une
insécurité à la fois psychologique et sociale. Sans partage ni communion, l’individu et le s
peuples ne peuvent pas épanouir pleinement. La paix pour l’africain c’est cette irremplaçable
sécurité que seule peut assumer harmonie avec les siens (famille ou comite villageoise, les
clans et les pays environnantes et finalement l’univers entières c’est à dire les vivants et les
morts. Pour euxc’est le point d’arrivé de humanité qui progressivement prend conscience
delle même et développe la civilisation sur la surface de la terre Nous en sommes
tellement convaincu quaujourdhui pour l’an nouveau et pour les années futures Nous
osons proclamer que la paix est possible malgré la conviction secrète et septique de
beaucoup que la paix est pratiquement impossible car dans l’esprit resurgit toujours
comme une logique inévitable, cette affirmation que ce qui comporte une logique
inévitable cette affirmation qui comporte la force . La paix n’est possible comme si on la
considère comme un devoir et que si chacun de nous aime la paix la défend.
Développer humanisme
Les humains doivent développer l’optimisme qui les pousse à donner tout, a se sacrifier eux
même pour la cause de l'autre, se lancer a la poursuite de l’idéal, refuser l’amitié mensongère
puisque homme est le capital le plus précieux le maitre du monde.Définir la spécificité de
humanitésuppose en effet que longdépasse la formulation par l’interdit et que longréussisseà
dire de façon positive ce qui, par delà la vie, préciserait le concept ambigüe de la dignité et
dirait en somme ce qu’il ya humain en lhomme.Mais comment durcir en mots l’essence vivante
de la personé ? On voit mal aujourd’hui comment définir humain de homme, donner des
réponses argumentes. Cette notion s’est juridiquement construite dans un rapport a la guerre et
a ces exactions, fait une place prépondérante a la protection de la vie Elle est oriente et tourne
uniquement vers la protection contre horreur, et adosse aux juridictions internationaux pénales
pour la protection de la vie et contres les pires violations des droits de homme et du droit
humanitaire. Aussi ajoutons qu’ils existent aujourd’hui des lois humanité entrant en scène
internationaux par le biais du droit de la guerre, afin de limiter les moyens et les dommages.
• Les haines E a la
Par exemple,
• le Japon est le seul pays à avoir subi le choc dune attaque nucléaire
• La guerre entre la Corée du nord et la Corre du sud base sur une militarisation
croissante
• Le conflit Indochine
Lorsqu’il s’agit de préserver la paix, d’écarter humanité la menace dune guerre nucléaire, il ne
peut y avoir ni étranger ni différends. C’estl’affaire de tous un chacun et de tous. Dans ce
domaine importe la contribution de chaque Etat grand et petit, socialiste et capitaliste. Dans ce
domaine importe la contribution de chaque parti politique responsable de chaque organisation
sociale de chaque personne. Ces nouvelles démarches en faveur de la paix et de la situation
internationale dans son ensemble forme la traves et l’esprit de notre politique intérieur et
extérieur sont l’expression de leur cohésion sociale conforme à la loi historique fondamentale
Devant la situation tragique qui menace humanité nous avons le sentiment que les
savants devraient se réunir en conférence pour dresser le bilan des dangers qui ont surgit
par la suite de l’extension des armes de destructions massives et pour discuter dune
résolution conçues dans l’esprit du projet communique. Le publique et même de
nombreuses personnalité publique na pas encore mesure les conséquences dune guerre
atomique, la majorité des gens pense a la disparition des villes les plus puissantes
comme New York, Londres et Moscou. Il est hors de doute lors dune guerre ou l’on
emploie de la bombe, les grandes agglomérations seront rayes de la carte du monde mais
ne serait comme un désastre mineur compare a celui qui nous menace. On sait que la
bombe actuelle fabrique est 2500 fois plus puissants que celle Hiroshima. Une telle arme
sil explose au ras du sol et sans l’eau envoi ra des particules radioactives dans la haute
atmosphère et ses radiations tombent sur la terre sous formes des pluies et des poussières
radioactives. C’est cette poussière qui a contamines les pécheurs japonais et le poisson
qui avaient pris dans le filet. Nul ne peut jusqu’ peut se propager les particules mortels
mais les spécialistes sont unanimes sur ce point. Une guerre employant des bombes a
Hydrogène sil explose en grande nombre sèmerait la mort dans l’univers entier \. Une
minorité pourrait d’un seul coup tandis que la majorité s’éteindrait à l’issue dune longue
et atroce maladie par atrocité maladie par désintégration lente. Bref, il faut bannir les
armes nucléaires.La présente
Le désarmement une nécessite mondiale
Depuis le début du siècle, les mouvements de paix l’affirment. Sils n’ont pas réussi à empêcher
que l’arsenal militaire s’installe en Europe, ils ont acquis, avec le temps et au fils des
événements pignon sur les rues dans la vie politique, économique et sociale. La ratification du
traite des forces nucléaires internationales est un exempleINF SIGNE A Washington le 8
décembre 1987 et ratifie le 31 décembre par MM. Reagan et Gorbatchev qui clôture 10 ans de
débats sur les euromissiles (Pershing-2, SS-20, Missile de croisière ou Cruise. Le premier
accord de démantèlement de toute une catégoried’armesnucléairesbaséesaux sols dune
portéeintermédiaire comprises entre 500 et 5500km), il supprime 3% des arsenaux des
superpuissances et constitue un précédent pour des accords futurs tant par le
caractèreasymétrique es réductionsopères que par l’ampleur des mesures de vérifications qui se
poursuivent. La traite se divise en quatre points essentielsà savoir :
• La destruction par Lurss, dans les prochaines années des missiles SS-20, SS-4 et SS-5 et
les CruisePershing -2
• Destruction par URSS des missiles SSS-12 et SS-23 et par les Etats Unies des Pershing
1-A
La plus grande victoire du pacifisme est la signature du Traite INF Int médiateNucléal forces
entre lest et ouest. Ce traite fixe les limites forces nucléairesentreposées en Europe et aboutit au
démantèlement des armes stratégique. Depuis la seconde guerre mondiale aucun accords ne
n’aurait pu être imagine. Fort de ce premier grand grand succès, les pacifistes entendent
poursuivre dans cette voie pour obtenir des résultats significatifs aussi probants pour d’autres
types d’armes (chimique ou biologique, cependant beaucoup reste à faire.
Quels que soit les accords conclues en temps de paix et qui interdit l’emploie de la
bombe, ils cesseront d’être respecte en temps de guerre et les deux belligérants se
mettront des le déclenchement du conflit fabriquerdesbombes H car celui qui les
fabrique remporteà coup sur sur l’ennemic’està dire la partie adverse qui n’en fabrique
pasLes accords de suppressions des armes atomiques dans le cadre d’un désarmement
progressive ne résout aucun problème mais présente néanmoins certains avantages :
• L’accord entre l’est et l’ouest serait salutaire dans la mesure où il résulterait une
détente entre les deux blocs
• Aucune traite de paix ne doit pas être considéré comme tel, lorsqu’on sy réserve
secrètement matière a une guerre future
• Aucune Etat indépendant petit ou grand cela n’importe ici ne peut être acquit par
un autre Etat, par un héritage échange éclat ou donation.
• État ne doit pas contracter des dettes en vues de ses conflits extérieurs
• Aucun Etat ne doit pas permettre dans une guerre avec un autre des hostilités qui
rendraient impossible au retour de la paix, la confiance civile est devenue un sujet
dichroïque, Telles sont par exemple l’utilisationd’assassinsd’empoisonnement la
violation dune capitulationl’incitation a la trahison dans État a laquelle on fait la
guerre.
Même si a ce jour aucun grand système d’arme na été démantèle, nous n’en avons pas
moins exerce une profonde influence sur le plan politique. La défense civile nid sondage
d’opinion effectue est devenue un sujet de sature sociale. Les résultats publies d’un
grand sondage d’opinion effectue aux Etats unies révélateurs sont d’esprit publique.
• 89% des personnes estiment qu’il ne peut y avoir de vainqueur ans une guerre
nucléaires puisque les deux adversaires seraient complètement anéanties
• 84% refusent d’admettre que la guerre nucléaire est une question dont la
complexité et l’importance le dépassent et qui doit être laisse à la seule discrétion
du président et des experts
• 685 refusent d’admettre que la guerre nucléaire est une question dont la
complexité et importancedépasse et qui doit être laisse à la discrétiondes
présidents et des experts.
Les tenants de la course aux arment nucléaires se retrouvent parmi les zélateurs aux
programmes de guerres des étoiles. C’est un nœud gordien à trancher mais sur le tapis des
négociations. Les Etats Unies réduiront 50% ainsi que URSS ce qui constituera un pas
important vers la liquidation totale des armes nucléaires
ous sommes tous contres les armes dans l’espace et du degré de responsabilité qui nous
incombe vis-à-vis des générations présentes et futures. Ce n’est pas le progrès de guerre des
étoiles qui doit nous accompagner au troisième millénaire mais des projets d’envergure en vue
de la mise en valeur du pacifique de l’espace par les efforts conjointe de humanité entière.
• Les accords sur l’interdiction de cet armement spécial devront revêtir une forme
multilatérale avec la participation des belligérantes des puissances induite.
• Des entreprises productrices de ces types d’armes doivent cesser et les responsables de
ces entreprises doivent se prononcer pour une prompte et totale liquidation de cette arme
• D
• Inter Nous
En outre, le peuple doit aussi avoir le pouvoir de remplacer ses représentants a tout moment
afin que ceux-ci agissent de façon a ne jamais abuser autrui au nom du peuple. Un grand
mépris des lois humaines et divines le jour ou le peuple la démocratie ? Cette question du
problème du maintien de l’ordre démocratique est un problème interne dont la solution
appartient au peuple lui-même. Par conséquent, si l’on en juge par histoire, un
systèmmocratique est un problème interne dont dont la solution appartient au peuple lui-même.
Par r conséquent, si l’on en juge par histoire, un système sociale démocratique est la prémisse
conditio préalable a tout développement et modernisation. En absence de cette prémisse
préalable a tout développement et modernisation, il serait impossible non seulement de
rechercher un développement futur mais aussi de préserver les fruits du développement de son
état actuel.
Par contre, le courage et l’espoir et endurance face a un pouvoir aine est généralement une
foi solide ddéchons le caractère acre des principes éthiques associes a un sens de histoire
qui veut qu’endépit de toute les régressions la condition de Lhomme soit voue en définitive
au progrès spirituelle et matérielle. Des notions comme la vérité, la justice, légalité, la
compassion ne peuvent être balayes comme des simples banalités alors que ce sont souvent
des seules remparts qui résistent contre un pouvoir sans scrupule.
Le Burundi pays d’Afrique des Grands lacs, frontaliers avec la république démocratique du
Congo a l’ouest, du Rwanda au Nord et de la Tanzanie a l’est est l’un des cinq pays membres
de la communauté Est africaine comprenant le Burundi, le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie.
Le Burundi est un pays en paix et stable et hospitalité légendaire et la gentillesse de son peuple
font du Burundi une meilleur destination touristique dans cette région. Aujourd’hui, le Burundi
est reconnu internationalement.
Au lieu de chercher des boucs émissaires pour nous donner bonne connaissance, au lieu de
cultiver la méfiance plutôt que de se laisse fasciner par un passe sombre et lourd, toutes les
forces patriotiques de ce pays doivent se mobiliser, réfléchir, tirer des leçons que l’on a trop
longtemps négligé, se lever pour mettre un chantier l’avenir de nos frères et sœurs de nos fils et
de nos filles qui ne nous pardonnerait pas l’attentisme l’immobilisme et la pusillanimité hier.
Le Burundi pays d’Afrique du grand lac, frontalier avec la République démocratique du Congo l’Ouest,
du Rwanda au nord et de la Tanzanie à l’est est
Le Burundi pays blotties au cœur est un petit joyau de 27000km de quelques six millions
habitants, love sur le flan ouest de la Tanzanie, biberonnant le long du lac Tanganyika par cette
bouche gourmande qui est le Bujumbura, devant muer sa vulnérabilité en puissance pour sa
sante de ces infrastructures et ses frontière.
C’est un pays des milles contrastes et couleurs ou le nil a choisie de perdre sa source. C’est un
pays des Grands lacs, frontaliers avec la république démocratique du Congo a l’ouest, du
Rwanda au Nord et de la Tanzanie a l’est est l’un des cinq pays membres de la communauté
Est africaine comprenant le Burundi, le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie. Le Burundi a
développe une langue unique pour que un peuple unie prie un Dieu unique. Épanouis par la
verdure exubérante des collines et par la luxuriante des vallées satisfaisantes par la fécondité
des vallées et des femmes, le paysans traditionnel s’abandonnait a l’ivresse du chant et de la
poésie. Les instruments de musique sont varies en forme poétique. Le Burundais par exemple
peut chanter son Dieu, son prince, son chien, sa lance, sa vache, son tabac, sa ruche, son
industrie…C’est un peuple fou qui danse comme sil allait mourir de joie. Le Burundi était
imprègne dans sa culture nationale. L’enfant tétait et donnait sous les mélodies envoutantes des
berceuses jeune et grandissait sous les rythmes des champs des tambours et des grêlons des
chiens et des chasse. Adulte, il caressait ses vaches de la main et des voies au son de Ike mb,
Inanga, Indonongo, Imporogama, Indingiti.
Le Burundi est un pays en paix et stable et hospitalité légendaire et la gentillesse de son peuple
font du Burundi une meilleur destination touristique dans cette région. Aujourd’hui, le Burundi
est reconnu internationalement.
En 2001, le Burundi a remporte au salon international du tourisme a Berlin en Allemagne,
le prix du meilleur exposant au niveau de lyrique Best Africa exhibitor En 2012, toujours au
salon international du tourisme le prix du meilleur exposant au niveau de Afrique Best of
the Best.
C’est cent nul doute grâces a ces énormes potentialités touristiques dans plusieurs
domaines, variétés des paysages qui est l’un des atouts touristiques parmi ses multiples
charmes. Sa beauté physique et sa richesse culturelle lui valent une multitude de nom Cœur
de l’Afrique, Pays de milles collines, pays de lait et de miel, pays de Tambour.
Lemusée vivant de Bujumbura qui est un espace de verdure au centre de la ville comprenant un
jardin zoologique ou long trouve des espaces animales comme les crocodiles, les chimpanzés,
les serpents,
Le Burundi sort de la guerre.,...). De nos jours, la bonne gestion des déchets est source de création d’emplois et
apporte bcp à l’économie du pays. Il faut des politiques claires dans ce sens. Une proposition, il faut une loi
immobilière qui interdit les latrines et autres fosses en contacte direct avec la nappe phréatique dans un rayon
de 50km autour des lacs car les études montrent que dans ce rayon la nappe préatique est à une profondeur
moindre. Bref tous les habitations autour du lac tanganyika doivent avoir des stations d’épuration( fosse
séptique ) avant de deverser dans le puis perdu(donc vers la nappe phréatique).
Il y a une question de sécurité jugée prioritaire. Je voudrais leur demander d’intégrer les questions
environnementales dans les réunions des conseils communaux. Car nous avons besoin d’avoir de l’eau potable,
de respirer de l’air propre sans pollution. Les questions environnementales sont transversales. Dans n’importe
quel domaine, l’aspect environnement doit apparaître.
Si l’administration de base a compris que les questions de l’environnement sont préoccupantes et importantes,
ceci va amener la population à comprendre que notre futur dépendra de la protection de l’environnement.
Pour ce Burundi qui a une vrai solution commune sur un bon chemin devenu dans lame du
citoyen du pays sauve d’anarchie de la haine raciale et de pauvreté arrive à l’indépendance et al
dignité la confiance et le travail. Cet effort nous le devons à l’ avenir de son bon peuple Urundi
pour faire du cœur de l’Afrique une autre suite bien nourri malgré la terre étroite,
Avec accord du cessez le feu intervenue le 8 septembre 2006 entre le gouvernement du Burundi
et la FNL, l’espoir dune paix durable se profile jusqu’a horion
Le Burundi est multiparti que puisque les parties regrouper en cartels avec une accession plus
au moins rapide a l’indépendance Ukwikukira. se du discours unitaire a caractérise le Burundi
depuis ces trente ans. Le détonateur de la crise politique a été dans ce cas le conflit de État avec
l’église catholique dans les années 1983 1987 qui a casse le régime du président BUYOYA EN
1987
Un pas important peut être franchie dans la recherche de la paix, matérialisé par la conclusion
des accords de cessez le feu. Nous devons garder à l’esprit qu’avec de tels accords le peuple
connaissent une accalmie. D’autres acquis ; c’est l’élan du peuple a cohabiter pacifiquement.
Dans la diversité de nos langage de nos pays de notre culture ; nous devons comprendre que
nous devons cohabiter pacifiquement c’est notre salut et cela viendra si ca devient une pratique.
La seule stratégie pour y arriver est celle de maintenir la porte ouverte du dialogue ; e la
consultation et de la concertation et notre argumentaire est clair : Le choix entre la vie et la
mort ; le choix entre la guerre et la paix.Nous espérons toutes fois vous avoir sensibilise aux
plus important d’entre eux avoir et alerte votre vigilance pour d’autre. Devant ces problèmes
garder à l’esprit toujours une attitude critique et plus. Certains choses sont possibles, d’autres
ne le sont pas. Certaines solutions sont plus pratiques que d’autres. Dans tout les cas informez-
vous, posez des questions, choisissez en connaissance de cause et assumez votre responsabilité.
Construire la pax est une aventure personnelle. Sauf circonstance exceptionnelle nous sommes
les principaux artisans de sa réussite et de son échec. Construire la paix implique les dépenses
des sommes considérable hors de proportion probablement avec les sommes que vous avez
l’habitude de manipuler jusqu’alors. Les erreurs que vous commettrez risquent de peser trop
lourds. Vous aurez sans doute du emprunter une somme importante exigeant des
remboursement pendant une longue période, ce qui demande de toute évidence une stabilité de
traitement de revenue et nous place devant des lourdes responsabilité. Pour y faire face,
conformez vous a la règle, ne vous laissez jamais rien imposer, informez vous renseignez vous,
prenez la discussion et les décisions vous-même que la construction soit bonne ou mauvaise
c’est finalement vous seule qui en subirez les conséquences et des questions se posant de
savoir jusqu'à quel point faut il prendre la décision, id est la part active a la construction ? Faut-
il laisser de professionnels le soin de s’occuper de tout ? Quels sont les moyens financiers dont
vous disposerez ? Quels financements peuvent vous espérer et comment l’obtenir ?
Le patriotisme au Burundi
Lamour de la patrie est une valeur lies au bien commun. Il est un devoir pour chaque citoyen.
Cette valeur a été la base de l’édification de la nation burundaise. Aujourd’hui l’attachement de
la défense de la patrie est une valeur qui mobilise les énergies de tous les citoyens.
Le Burundi retient les valeurs suivantes : Ubushingantahe, et le culte de la vérité qui lui est lie,
la solidarité social, Ibanga ou le sens de la responsabilité, Ubupfasoni ou le respect d’autrui et
de soi même le patriotisme et les soucis de compter d’abord sur soi même
• Ubushingantahe
Cette institution est propre au Burundi, elle allie avec un rare bonheur droiture morale, la
perspicacité juridiques le sens de la conciliation. Elle a toujours longtemps marque la société
Burundaise comme fondement de paix et harmonie sociale a travers la justice proche des gens
rendu avec impartialité dans un souci de conciliation. De plus, lune des caractères principaux
des Bashingantahes est le culte de la vérité à tout prix et leur sens de délibération pour faire
valoir la vérité et rendre la justice
A la base de la démocratie se trouvent d’autres valeurs qui ont un caractère inoubliable et les
institutions démocratiques doivent d’emblée garantir et respecter sous peine de se renier elle-
même
• Le respect de la vie
L Ubupfasoni ou le respect d’autrui et de soi même a cultive par la tradition burundaise. Il est
en même temps une vertu démocratique dans la mesure où il permet l’estime mutuelle même
lorsqu’on ne partage les mêmes idées. Il est à la fois le respect d’autrui et le respect de soi-
même. Il favorise la tolérance caractéristique de la démocratie. La culture démocratiquen’est
pas du tout celle de l’introduction ou des injures comme nous le montrent parfois certains
pratiques observes ailleurs Elle est celle de respect des positions et des propres de l’adversaire.
Seules cette tradition peut laisser la vérité émerger et s’imposer
La solidarité sociale
Abantu nimagiriranire les hommes sont solidaires ont reconnu sons ancetres. Ils ont fait la
expérience que personne ne peut se suffire a lui seul que chacun doit compter sur les autres
comme eux même doit compter sur eux. Cette expérience doiimposeret évolué de ces formes et
moyens. Elle devra se maintenir de s même s’approcher. De nouvelles formes de solidarité
devraient émergement inspires des nouvelles conditions de vie sociale
La tradition Burundaise reconnait Banga comme une valeur de tradition hautement importante.
Celle qui implique le respect du pacte, du serment, de la parole donne. C’est dans ce sens de la
responsabilité assume dans la discrétion et la fidélité aux règles éthiques et non pour les
avantages immédiats que l’on a retire.
L4AAFIP soutient chaque année un ou deux programmes d’assistance médicale dans les
prisons. En effet, dans beaucoup de pays les prisons ne sont pas surpeuplées et les conditions
sanitaires et d’hygiène sont bien. Les prisonniers sont bien nourries, ce qui n’affaiblit pas et ne
rend plus à la maladie en particuliers les épidémies telles que les tuberculoses, le cholera…
L’équipe prison Fellowship en collaboration avec les ONG Allemane Humedicase rend dans le
pays et arrive à soigner 1000 a1500 personnes dans ce laps de temps. Un aspect important de
leur mission est la transmission de connaissance (formation a une équipe sur place, qui pourra
assurer un suivi des soins
Distingue invite
Bonjour !
En cet avant midi de ce 2014, l’honneur nous échoie de vous présenter notre un travail
de fin d’études universitaire dans la faculté de Droit et des Sciences Economiques et
Administratives, dont le sujet est intitulé
PROTECTION DE LENVIRONNEMENT CONTRE LA POLLUTION
ATMOSPHERIQUE
Au Burundi et dans ce monde comme partout ailleurs le constant est que la protection de
l’environnement est devenue un enjeu majeur a cause des émissions polluantes au fils des
années. Par contre ce même air se détériore du fait que l’air qu’il s’agisse de l’air extérieur ou
celui de l’environnement clos est susceptible d’être polluée par des substances chimiques, des
bio contaminants ou des particules et fibres pouvant nuire a la sante. Pour proteger cet
environnement des moyens techniques ont été developpes pour adapter les methodes
industrielles aux impact de l ;activite humaine sur lénvironnement .
Ce paradoxe est logique puisqu’il ya épuisement des ressources naturels et du fait que 30% de
la superficie de la terre sont des couverts forestier, 60% de nos médicaments sont issus du
règne végétale représentative du réservoir génétique a long terme et 20% de la population
mondiale vivent de 80% des ressources de la terre et constitue 40% de l’économie mondiale.
LE BURUNDI EN 30 MOTS-CLÉS
Amafaranga
Amafaranga, c'est le nom kirundi pour l'argent (la monnaie, les billets), dérivé du mot " franc ". Le
franc du Ruanda-Urundi a été introduit par les colonisateurs belges et sa valeur est restée adossée au
franc congolais jusqu'à l'indépendance du Congo, en juin 1960. Le franc burundais a été mis en
circulation peu de temps après.
Un autre mot est aussi utilisé pour désigner l'argent : amahera. Il vient de " heller ", le nom d'une
ancienne pièce de monnaie en cuivre qui circulait dans l'Est africain allemand au début du XX e siècle
(100 hellers valaient une roupie).
Le kirundi favorise les jeux de mots et ici on peut établir un rapprochement avec le verbe guhera, qui
signifie " s'achever ", " se finir ". En d'autres termes, amahera (l'argent), c'est aussi " ce qui se
dépense ", " ce qui se termine " (trop vite !).
Amahoro
" La paix ". Le mot est employé seul pour dire bonjour, ou dans des formules de salutations plus
développées, comme " N'amaki ? " (" Quelles nouvelles ? "), à quoi on répond " N'amahoro " (" Tout
va bien ", " en paix "). On entend aussi " Tugire amahoro " (" Que la paix soit avec nous ") en début et
fin de discours lors des innombrables cérémonies telles que les dots, les mariages et autres remises de
diplômes.
C'est certainement l'un des mots les plus usités pour saluer un ami ou une connaissance, et celui dont la
concrétisation est la plus espérée par les Burundais, dans un pays meurtri par l'histoire depuis plusieurs
décennies.
Banane
La banane est centrale dans le système alimentaire des Burundais, consommée sous la forme de
légumes (plantains) et de fruits. Elle est également au coeur des relations sociales, puisque la
consommation de la bière de banane (urwarwa, prononcer " ourgwagwa "), en famille ou entre voisins,
est l'une des pratiques les plus répandues dans le pays, surtout en milieu rural.
Seule la région du Mugamba ne présente pas de pentes couvertes de bananiers, plantés partout ailleurs
autour de chaque rugo. Il existe un nombre considérable de termes pour désigner les différentes espèces
de bananes, dont le nom générique est ibitoke (au singulier : igitoke), depuis la banane douce
(igisahira) jusqu'à la banane amère (igikashi), produite pour fabriquer la bière, en passant par les
muzuzu (bananes longues) dont on se régale en accompagnement des brochettes de viande.
Bière
Le partage de la bière de banane à Bandaga.
Jean-Paul LABOURDETTE
La bière est la boisson nationale du Burundi, un breuvage " liant " par excellence, présent dans la
plupart des manifestations et des relations sociales. Un terme générique est utilisé pour la nommer,
inzoga, qui renvoie à l'ensemble des boissons fermentées. Ce mot désigne à la fois les bières
industrielles brassées sur place (Primus, Amstel) ou importées (Heineken, Skol, Mützig), et les bières
de production locale et familiale, bières de banane et de sorgho notamment, qui constituent un apport
nutritif considérable dans le régime alimentaire des ruraux.
Les bières locales prennent des noms différents selon leur stade de fermentation (un peu comme les
vins jeunes ou vieux) ou leur destination sociale (mariages, deuils...). Elles sont aussi couramment
appelées pombe, un mot du kiswahili qui désigne toutes les boissons alcoolisées obtenues par
fermentation de grains ou de fruits (bières ou vins de banane - urwarwa, insongo, rugombo -, de
sorgho, d'éleusine).
Brochettes et vétérinaires
Informations générales
Type Musée national (d)
Ouverture 1955
Localisation
Adresse Gitega
Gitega
Burundi
Coordonnées 3° 25′ 04″ S, 29° 54′ 31″ E
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Le Musée national de Gitega (en kirundi : Iratiro ry'akaranga k'Uburundi) est le musée national
du Burundi. Il est situé à Gitega et a été fondé sous la domination coloniale belge en 19551. Ce
musée est le plus grand des musées publics du Burundi, bien que sa collection soit exposée dans
une seule pièce2. En 2014, il y avait en moyenne 20 à 50 visiteurs par semaine3.
Fondé par les souverains belges du Burundi en 1955, le musée était destiné à préserver les objets
de la culture populaire burundaise. La collection du musée comprend des objets
ethnographiques et historiques originaires du pays, y compris des objets de la cour des
monarques burundais3.
En 2015, un catalogue de la collection du musée a été publié avec le soutien de l'Ambassade
d'Allemagne au Burundi intitulé Le Patrimoine Burundais: le Musée de Gitega4.
Références
Si sa superficie fait du Burundi l'un des plus petits Etats d'Afrique, sa nature généreuse et son
patrimoine biologique le classent parmi les territoires les plus variés du continent. En quelques
kilomètres, on appréhende plusieurs Afriques : celle des savanes souvent associée à la sécheresse
(dépression du Kumoso) ; celle de l'humidité en altitude qu'on éprouve sur les sommets de la Kibira où
se maintient une forêt primaire ; ou encore celle des vertes collines au centre du pays, couvertes de
bananiers et de plantes accrochés à la pente par on ne sait quelles racines magiquement puissantes. Les
paysages offrent souvent des vues simples, parfois ils sont grandioses.
Du Mugamba, où l'appellation de " Suisse africaine " prend tout son sens, au Bugesera où les lacs
apaisent le regard, en passant par les reliefs du Buyenzi couverts du vert sombre des caféiers, on
traverse différents terroirs et écosystèmes. Certes, dans ces environnements façonnés depuis des siècles
par les hommes, l'animal n'a plus la place qu'il a conservé chez les voisins comme la Tanzanie ou le
Kenya. Ici point de lions, d'éléphants ou de girafes, tout juste des crocodiles et des hippopotames se
partageant les eaux, quelques buffles et des singes peuplant les massifs montagneux de la crête Congo-
Nil. Mais les poches de maintien de la biodiversité sont nombreuses, et le voyageur curieux trouvera
quelques plaisirs particuliers : le Burundi est le paradis des ornithologues, des amateurs de papillons, de
poissons et de reptiles exotiques, et il constitue une réserve florale sans équivalent dans la région, avec
une variété considérable d'orchidées, souvent endémiques, comme le sont aussi les palmiers de la
Rusizi.
La population, premier attrait du pays
La meilleure raison de visiter le Burundi, outre l'originalité de la destination, c'est la perspective d'en
rencontrer la population. La première richesse du pays, c'est celle-là. Accueillants et sociables, les
Burundais sont ouverts aux visiteurs. Sur les visages intrigués par la présence étrangère inattendue se
dessinent la plupart du temps de larges sourires qui sont autant d'invitations à discuter et à se
familiariser avec la culture locale.
Ici on peut être réservé, mais la discrétion n'implique pas forcément la timidité : qui parle français ou
swahili entrera aisément en conversation avec un étranger, qui ne parle que le kirundi se fera
comprendre dans la langue de l'hospitalité, avec des gestes appropriés.
Malgré des conflits répétés depuis l'indépendance en 1962, qui ont meurtri les individus, les familles et
la société, et malgré la pauvreté et le dénuement qui touchent une majorité des Burundais, ils affichent
en réalité un optimisme et un courage exemplaires. Ceci mérite aussi d'être découvert.
La guerre civile a fermé les portes du pays au tourisme, et les seuls étrangers à le parcourir ont surtout
été des membres d'organisations internationales. Aussi, le visiteur est encore souvent accueilli avec
curiosité ou incrédulité, surtout là où n'existe aucun programme d'aide extérieure. La simple présence
d'un étranger sur une route ou dégustant des brochettes au " cabaret " suscite un attroupement spontané.
Serviabilité et spontanéité sont prodiguées au visiteur d'une heure comme à celui qui s'attarde. Voilà
qui contraste fort avec un certain individualisme occidental. Et cela aussi vaut la peine d'être vécu !
Un patrimoine culturel considérable
La population du Burundi comprend trois composantes principales, les Hutu, les Tutsi et les Twa.
Contrairement à ce qui peut être le cas ailleurs en Afrique, ces groupes " ethniques " (amoko) n'ont pas
forgé des cultures séparées. Ici, une langue (le kirundi) et des pratiques sociales communes ont
constitué au cours du temps une culture partagée l'ensemble de la population, réunie sur un territoire
unifié depuis le XVIIIe siècle.
Bien que les traces physiques du passé, ancien et monarchique, soient rares dans cette civilisation du
végétal et de la parole, le patrimoine culturel et historique du pays est d'une richesse considérable. A
qui prête l'oreille aux récits qui circulent sur le Burundi d'autrefois et à qui s'intéresse aux lieux de
mémoire du temps jadis (ici, des arbres-mémoire) et aux témoignages de la vie d'aujourd'hui, se dévoile
un univers culturel unique et d'abord déroutant.
Il est sans doute difficile d'accéder à cet univers en quelques jours, sans connaître le kirundi dont les
subtilités sont une autre manifestation de la complexité burundaise. Mais il est possible d'en effleurer le
sens en goûtant aux plaisirs de la vie quotidienne et en observant les codes de la société, en
s'émerveillant des prouesses et des facéties des tambourinaires ou en visitant les quelques musées et
attractions du pays.
Un climat doux
Qu'on soit frileux ou qu'on redoute l'intensité des chaleurs tropicales, tout un chacun pourra apprécier la
douceur du climat burundais. Ici pas de chaleur excessive, sauf parfois dans les basses plaines ou à
Bujumbura où le soleil peut frapper fort en saison sèche, et le froid typique des nuits en altitude ne
nécessite pas une garde-robe hivernale.
La différence entre les saisons est marquée par des écarts thermiques significatifs, mais c'est en réalité
la pluie qui constitue le déterminant principal des changements climatiques. Les précipitations peuvent
être fortes en saison des pluies, mais elles sont de courte durée (souvent en fin d'après-midi) et le soleil
reprend vite ses droits : tout sèche à vive allure, le bitume des routes comme les vêtements trempés par
les averses.
Attention quand même au rhume qui guette (on vous dira " la grippe ", mais voyez quand même un
médecin si ça dure) !
Un faible coût de la vie
Le Burundi est une destination encore peu coûteuse, en dehors du billet d'avion, mais la motivation
d'un voyage à peu de frais ne peut se suffire à elle-même. En effet le niveau des revenus est bas et le
coût de la vie exorbitant pour les plus pauvres, qui peinent souvent à survivre. Tout ceci contraste
violemment avec le confort financier, même modeste, qu'affichent la plupart des visiteurs étrangers,
surtout occidentaux. Peu d'étrangers échappent aux cas de conscience qui naissent de cette profonde
inégalité économique.
• « HYPERLINK "http://www.nationsencyclopedia.com/Africa/Burundi-LIBRARIES-AND-
MUSEUMS.html"Burundi - Libraries and museums HYPERLINK
"http://www.nationsencyclopedia.com/Africa/Burundi-LIBRARIES-AND-MUSEUMS.html" »
[archive] (consulté en 2017))
•
• « HYPERLINK "https://www.lonelyplanet.com/burundi/gitega/attractions/musee-national-de-
gitega/a/poi-sig/1503844/1330375"Musée national de Gitega HYPERLINK
"https://www.lonelyplanet.com/burundi/gitega/attractions/musee-national-de-gitega/a/poi-sig/
1503844/1330375" » [archive], Lonely Planet (consulté en 2017)
•
• Yvette Irambona, « HYPERLINK "http://www.ppbdi.com/index.php/extras/sports/448-musee-
national-de-gitega-etat-des-lieux"Musée national de Gitega: Etat des lieux HYPERLINK
"http://www.ppbdi.com/index.php/extras/sports/448-musee-national-de-gitega-etat-des-lieux" »
[archive], sur Publication de Presse Burundaise (consulté en 2017)
•
« Un livre pour immortaliser la richesse du Musée national de Gitega », IWACU : Voix du
Burundi, 25 janvier 2015 (lire en ligne [archive])
• Le musée vivant de Bujumbura est un zoo et un musée au Burundi . Le musée est situé
à Bujumbura, la plus grande ville du pays et ancienne capitale jusqu'en 2018, et est l'un
des deux musées publics du pays . Il est dédié à la faune et à l' art du Burundi1.
Le musée a été fondé en 1977 et occupe une surface de 3 ha au voisinage de la rue du 13
octobre au centre-ville de Bujumbura. En décembre 2016, la collection du zoo
comprenait six crocodiles, un singe, un léopard, deux chimpanzés, trois pintades, une
tortue, une antilope et un certain nombre de serpents et de poissons dans un aquarium
HYPERLINK "https://fr.wikipedia.org/wiki/Musée_vivant_de_Bujumbura#cite_note-
Akeza-1"1. Un certain nombre d'artisans burundais ont également des ateliers dans les
locaux du musée. Plusieurs types d'arbres différents se dressent dans le parc, à côté d'une
reconstruction d'une maison traditionnelle burundaise (rugo ).
Le nombre de visiteurs du musée a fortement chuté à la suite des troubles et
manifestation burundais de 2015, suite à une baisse plus large du nombre de touristes
dans le pays2.
Références
•
• « Le Musée Vivant de Bujumbura, un trésor unique aux oubliettes », Akeza.net, 13
décembre 2016 (lire en ligne [archive], consulté le 7 janvier 2017)
•
Yvette Irambona, « Musée vivant de Bujumbura: Il a subi des pertes d’au moins 10% »,
Publication de Presse Burundaise, 25 juin 2015 (lire en ligne [archive], consulté le 7 janvier 2017)
Burundi : carte physique
Burundi (1967 ; modif. le 27 sept. 1982). Ce drapeau est divisé en quatre par des bandes blanches en
sautoir, délimitant un chef et une base rouges, un guindant et un battant verts. Au centre est ménagé un
cercle blanc portant trois étoiles rouges bordées de vert, à six branches, qui...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Géographie : la Suisse de l'Afrique entre crise et paix
MOT DE L'AUTEUR
Le pays de nos parents et de nos enfants, dans notre passé et de notre
présent ; nous l'aimons tous, nous l'aimons tant. Il est notre foyer notre
maison et, il est à nous de le reconstruire de nouveau, de lui apporter du
renouveau, de ne pas lui tourner le dos ; chacun selon ses capacités, chacun
dans ses spécialités ; nul n'est censé ignorer son rôle, nul n'est à l'abri de ce
qui pourrait lui arriver si l'abstentionnisme et le je-m'en-foutisme nous
gagnent. Le Burundi ne nous donnera que ce que nous pourront tous lui
donner.
AU MUSEE VIVANT DU BURUNDI
Le Burundi compte quelque 9,8 millions d'habitants dont 93 sont des éleveurs et des
agriculteurs ; 500.000 personnes vivent à Bujumbara, la capitale. Fondée par les
Allemands, elle s'étend en largeur entre le lac Tanganyaka et les montagnes du
Mumirwa. Bujumbara, ou « Buja » comme l'appelle les Burundais, est une ville jeune et
très active. C'est aussi une vile verte… sans buildings.
Ancienne capitale royale, Gitega est la deuxième plus grande ville du pays et surtout le
berceau des fameux « Tambours sacrés du Burundi ».
Bien qu'au sud de l'Equateur, le Burundi n'est pas très chaud. Pays situé sur un plateau,
son climat équatorial est tempéré par l'altitude. La température annuelle moyenne est de
21,1°C. La saison sèche qui va de mai à août reste la période la plus propice pour
séjourner au Burundi.
Le pays est marqué par les tensions existantes depuis des décennies entre les
communautés Hutu et Tutsi, conflits qui se sont transformés en bain de sang notamment
au début des années 1990 lorsque la guerre civile qui faisait rage au Rwanda voisin s'est
propagé dans le pays. La réconciliation nationale de mise depuis le milieu des années
2000, le Burundi accueille aujourd'hui de nombreux réfugiés et demandeurs d'asiles
vivant dans des camps.
Le Burundi est un pays présentant une nature d'une exceptionnelle richesse et une
culture étonnante dont les fameux tambours sacrés sont la principale vitrine. Destination
encore méconnue, le Burundi est un pays qui a beaucoup à offrir : son mythique lac
Tanganyaka, ses splendides lacs aux oiseaux, ses monts et vallons, sa savane sauvage,
ses forêts énigmatiques et surtout un fabuleux accueil de la part de ces habitants.
DANS LA PROVINCE MURAMVYA J’AI EU DES ENTRETIENS AVEC LES
GENS QUI HABITENT LA LOCALITE POUR CONNATRE LA VRAI HISTOIRE
DE CETTE LOCALITE
El
oigne toi du mal et fait le bien, recherche la paix et la poursuis la.
Aucune loi ne peut créer ni réglementer un sentiment d’affection pour une personne ou un
système. On doit avoir le droit d’exprimer librement son affection ou toute sa désaffection,
pour autant que long envisage, ne favorise ni n’encourage le recours a la violence. Cela déduit
sans scrupule le refus de coopérer avec le males un devoir au même titre que la volonté de
coopérer avec le bien. Il faut s’abstenir de toute violence pour retirer tout appui au mal car la
voie du non violence supposer soumission volontaire a la sanction qu’entraine le non
coopération avec le maL
• DANS LA
LOCALITE DE BUJUMBURA RURAL J’AI EFFECTUE DES TRAVAUX
COMMUNAUTAIRE AVEC LA POPULATION DE LA LOCALITE
L’autorité de puissance d’après l’ordre duquel la guerre doit être entreprise, car il
appartient a un pays de faire la guerre parcequil peut y avoir e recours pour
obtenir justice au jugement de son supérieur. Puisque le soin de l’état est confie a
une puissance c’est a eux qu’il appartient de défendre la cite le royaume de la
puissance qui se trouve dans leur autotorite.De même qu’il leur est permis de le
défendre par la glaive matériel contre ceux qui le trouve a l’intérieur en leur
punissant les malfaiteurs
• Il faut une juste cause c’est à dire qu’il faut que ce que l’on attaque aient par
une faute mérite d’être attaque
• Il faut nécessairement que l’intention de ceux qui combattent soit droite c’est à
dire qu’il se propose de le bien et de éviter de faire du mal
Chez Saint Tomas d’Aquin, in verbis domini, les véritables services de Dieu, les guerres
pacifiques sont elles mêmes pacifiquenetantpas entreprise par cupidité ni par cruauté
mais par amour de la paix dans le but de réprimer les méchants et de secourir les bons.
Par suite, il peut y arriver que quoique la guerre aient été déclare par l’autorité légitime
et pour une juste cause, elle soit néanmoins rendue illicite par la perversité de l’intention
de celui qui la fait.
LA PAIX EN AFRIQUE
8. Pascal était
revenu s'asseoir à son bureau, à l'autre bout de la salle, devant la fenêtre de
gauche. C'était une simple table de bois noir, encombrée, elle aussi, de
papiers, de brochures de toutes sortes. Et le silence retomba, cette grande
paix à demi obscure, dans l'écrasante chaleur du dehors. La vaste pièce,
longue d'une dizaine de mètres, large de six, n'avait d'autres meubles, avec
l'armoire, que deux corps de bibliothèque, bondés de livres. Des chaises et
des fauteuils antiques traînaient à la débandade ; tandis que, pour tout
ornement, le long des murs, tapissés d'un ancien papier de salon empire, à
rosaces, se trouvaient cloués des pastels de fleurs, aux colorations étranges,
qu'on distinguait mal. Les boiseries des trois portes, à double battant, celle de
l'entrée, sur le palier, et les deux autres, celle de la chambre du docteur et
celle de la chambre de la jeune fille, aux deux extrémités de la pièce, dataient
de Louis XV, ainsi que la corniche du plafond enfumé. Le docteur
Pascal[ Emile Zola ] Citations paix - Citation et proverbe sur paix.
9. La vengeance est certes une violence faite au code civil et aux
préceptes religieux, mais c’est aussi un bonheur dont il me semble stupide de
se priver. Quand elle a été consommée, elle procure, comme l’amour, un
apaisement intérieur. Justice faite, c’est la meilleure façon de se retrouver en
paix avec soi-même et avec le monde. La cuisinière d'Himmler de Franz-
Olivier Gisbert [ Franz-Olivier Gisbert ] Citations paix - Citation et proverbe
sur paix.
10. Ton ami est la réponse à tes besoins. Il est le champ que tu sèmes
d’amour et récoltes en rendant grâces. Il est ta table chargée de mets et ton
âtre. Car tu viens à lui affamé et le recherches pour la paix. Le Prophète de
Khalil Gibran.[Khalil Gibran ] Citations paix - Citation et proverbe sur paix.
11. La seule vérité est peut-être la paix des livres. Courrier Sud[ Antoine
Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry ] Citations paix - Citation et
proverbe sur paix .
12. Les premiers mots d'abord. Le mot maman, le mot amour, le mot
caresse. Tous les mots ne sont pas dans les dictionnaires. Les vrais mots sont
dans le regard d'une maman, dans son sourire. C'est le sommeil retrouvé, la
grande paix de la nuit, les téléphones inutiles, le vol lent et bleu des rêves.
Elle danse dans le noir [ RenéFrégni ] Citations paix - Citation et proverbe
sur paix.
13. L'enfant, voilà la question suprême. L'enfant a dans son berceau la
paix ou la guerre de de l'avenir. C'est de ce berceau qu'il faut chasser les
ténèbres. Faisons lever l'aurore dans l'enfance. Lettre écrite aux membres du
Congrès international pour l'avancement des sciences sociales à Bruxelles le
22 septembre 1862 [Victor Hugo] Citations paix - Citation et proverbe sur
paix.
14. L’amour est
trop pensé sur le mode du soi, alors qu’il devrait s’agir des autres. Pour
vraiment pouvoir aimer, à mon avis, il faut être capable d’aimer tout le
monde. Il s’agit d’un lien très puissant, qui me lierait à vous, et à tous les
autres humains. Il me lie à tous. La question n’est pas Comment puis-je aimer
cette personne ? Mais Comment puis-je la servir et lui apporter la paix sans
être une victime ? Entretien avec Simon Van Boy
Quant à leur impact, la famille humaine assiste toujours aux catastrophes des
guerres et des conflits de guerres. La production et la vente des armes à
grandes échelle même les plus sophistiqués et les plus destructrices n’ont
jamais cessé tandis que le désarmement souhaité depuis d’un demi-siècle n’a
jamais été effectué. Si nous voulons être des frères, laissons tomber les armes
dans les mains surtout ceux qui sont modernes que la science nous a donné
avant de causer des victimes, des ruines, des rêves, des mauvais sentiments,
des cauchemars, des défiances, des sombres résolutions, des énormes
dépenses, des arrêts des projets de solidarité et d’utiles travail, de fausser la
psychologie du peuple. Notre courage et notre valeur nous poussera à étudier
les moyens de garantir la sécurité internationale sans recours aux armes. Le
fossé entre les pays développés et sous développées s’agrandit. Le tiers
monde sous le poids du sous développement et la dette internationale est
toujours victime de l’économie mondiale.
Au Burundi, avant la période coloniale, les seules réserves naturelles étaient des
étendues de forêts réservées à la chasse du roi. L’intérêt pour la conservation de la
nature s’est manifesté depuis longtemps. Selon les sources orales, déjà au début du
20ème siècle, le roi MWEZI GISABO avait refusé à des hommes de brûler la forêt où
était réfugiée l’armé rebelle qui combattait l’autorité royale. Ce roi disait que la forêt de
la Kibira constituait un trait d’union entre le ciel et la terre, que personne n’avait le droit
de le faire disparaître.
Pendant la période coloniale, plusieurs textes de lois ont été élaborés pour réglementer la
coupe et la vente du bois de la forêt naturelle, la chasse et capture des animaux sauvages
et des dispositions légales pour la gestion de l’environnement concernant les bois, les
forêts et les terres étaient prévues.
Il convient de dire que le Gouvernement du Burundi vient de promulguer la loi n o 1/010 du 30 juin
2000 portant code de l’environnement. Ce code fixe des règles fondamentales destinées à permettre la
gestion de l’environnement contre toutes les formes de dégradation, afin de sauvegarder et de valoriser
l’exploitant rationnel des ressources naturelles, de lutter contre les différentes formes de
a.Décret loi no 1/16 du 3 juin 1980 portant création des parcs nationaux et réserves naturelles ;
b.Loi no 1/02 du 25 mars 1985 portant code forestier ;
c.Loi no 1/10 du 30 juin 2000 portant code de l’environnement du Burundi ;
d.Acte constitutionnel de la République du Burundi
Dans le cadre de lutte contre la pollution au Burundi, des unités spécifiques existent comme l’Institut
national pour l’environnement et l’aménagement de la nature, l’Université, le ministère de
l’Agriculture et de l’Elevage et des instituts comme l’ISABU et l’IRAZ.80
Il y a lieu de remarquer que même des textes ponctuels relatifs à l’interdiction de la chasse et des feux
de brousse ont été initiés.81
La restauration
des états dégradés des forêts naturelles ; il s’agira de reboiser les espaces vides par des
espèces autochtones et exotiques ;
Le découragement des occupations illégales dans les forêts naturelles ;
La gestion participative des formations naturelles.85
84 On s’est rendu compte qu’à la fin des dernières décennies, le déboisement au
Burundi, synonyme de l’avancement des déserts, injectait dans l’atmosphère des
quantités considérables de CO2.
85 Selon les sources Thomson 1988, le Burundi ne possédait qu’un seul éléphant sur son
territoire, mais 96,3 tonnes d’ivoire d’éléphants ont fait en 1987 l’objet de commerce
illicite.
Accepter le Changement élément majeur du retour pacifique
La transformation de la vie de l’esprit est possible. L’éthique, la morale, la
religion les permettent.
-Par exemple le vrai christianisme est fondé sur l’interdiction du meurtre et
l’agression.
-Le Bouddhisme est fondé sur le non violence à l’égard de tout monde vivant
Mettre en place le ministère de la paix
Après avoir attendu, nous aurons besoins d’un ministère international de la
paix qui aurait comme tache de bannir toute promotion de violence à la
télévision comme aux cinémas. Seule l’éducation à la paix par la famille, les
médias peut inverser la vision de ce monde pour canaliser l’agressivité dans
des actions constructives de paix au niveau planétaire et la lutte contre le
laxisme. Elle pourra apprendre les hommes à ne pas se haïr malgré les
mauvaise souvenir des guerres mondiaux, des violences et des ressentiment
accumulées au cours des siècles entre nos peuples. Il faudrait enfin parler
ainsi comment contrôler le Complexe Industriel Militaire, et sur le
désarmement.
L’éducation comme spirale et un impératif de la paix et de l’espoir
Sur le plan de processus de paix dans le monde le besoin le plus urgent
consiste à élargir les capacités pédagogiques de manière a ce que les
ressources puissent être reparties plus uniformément entre tous les groupes
sans réduire l’accès à ceux qui sont actuellement favorisées. Cette question
est importantes non seulement en ce termes de possibilités pédagogiques
mais sur le plan de division plus profondes qui sont sous jacentes aux
conflits mondiale. L’éducation est une priorité pour les enfants de ce monde
et exige des mesures sérieuses et pus exigeante. Elle doit être reconnue par
les politiciens et bailleurs de fonds internationaux comme un impératif de
paix. Mais, Ici des interrogations surgissent .
Quelles sont ces évidences ? Quels sont ces directions ? Mais aussi science
sans conscience n’est que ruine de l’âme. Il faut qu’on fasse des études voire
même des longues études. Moi-même, j’ai fait l’école primaire, secondaire,
l’Université et j’espère sortir de l’impasse grâce au potentiel et bagage
intellectuelle acquit et en utilisant la sagesse, le savoir faire et le savoir vivre
acquit comme le prouve mes diplômes reçues dans différents domaine. La
guerre sources de tout les maux qui nous a poussé à agir détruit peu à peu le
milieu ou nous vivons et dont nous vivons. Elle réduit les moins favorisées à
la misère et celle-ci les pousse à détruire la nature qui les nourrit. Or, dans la
misère pas d’éducation possible et sans l’éducation comment sortir de la
misère ? Comment apprendre à vivre au niveau de son sol, dans son pays ?
c’est un cercle vicieux boucle infernale dont la clé existe cependant. Cette
éducation dont nous tous dépendent est le seul arrêt des guerres pour donner
les moyens et à son tour c’est cette éducation qui permettra la construction
durable de la paix. Nous devons pour cela combattre l’analphabétisme,
donner aux hommes une assistance sanitaire appropriée et moderne, mettre à
l’homme des merveilleuse ressources de la science de la technique, de
l’organisation, donner un développement contre la faim en faveur de ses
principaux besoins. Mais, il ne suffit pas seulement de faire des sciences mais
de construire sur des principes spirituels.
Œuvrer pour la protection de l’environnement
Dans mon travail de fin d’étude Universitaire intitulé : « La protection de
l’environnement contre la pollution atmosphérique »à l’Université de NGOZI
mon sujet était orienté dans la résolution du nœud de certains problèmes, de
certains dossiers et des questions complexes tels que :
• L’exposition croissante aux sécheresses et aux inondations ;
• Le gaspillage des ressources naturelles et la menace nucléaire ;
• Des prélèvements massifs et l’exploitation excessive des ressources
non renouvelable ;
• Diffusion dans notre environnement des déchets radio actives ;
• Des poussières dans certaines industries métallurgiques ;
• Fermentation des matières organiques dégageant des gaz hydrogènes
sulfureux ;
• La perte de la riche biodiversité suite au réchauffement de la planète
;
• La diminution de la couche d’ozone.
Ces faits frappants ont donné un rang pour la protection de la société contre
les risques inconnus ou incertains. Ils ont conduit selon le préambule de la
déclaration de Rio, à instaurer un partenarial mondial sur une base nouvelle.
Vingt deux recommandations sont sorties adressés à notre Université, aux
gouvernements, aux hommes de la pensée et de la science, aux citoyens du
monde, aux jeunes gens et des générations futures.
Pour nous et pour tous ceux qui accueille l’ineffable révélation que le christ
nous a
Fait de lui, C’est le Dieu vivant, le père de tous les hommes qu’il faut bâtir.
Vivre ensemble en paix sur la terre c’est gérer les seules choses que nous
ayons tous en commun (RES communes)
Suivre les objectifs de la célébration de la journée internationale de la paix
Parmi ces objectifs c’est un moment de:
-Défendre la vie, respecter la liberté, les minorités, aller à la rencontre des
pauvres, faire le dialogue entre les pauvres et les riches, renforcer la vérité, le
dialogue, la réconciliation, le respect mutuel, l’amour fraternel, le droit
internationale qui sont les véritables armes.
-De communion et de service pour les hommes en établissant des liens
pacifiques entre les peuples, les nations et soutenir les institutions
internationales
-Etablir au niveau des nations, continent, une circonstance de grande
envergure qui peut entrainer un grand nombre de gens à s’impliquer dans le
projet de paix .
Je recommande de reviser l'article 5 Loi n° 1/10 du 30 juin 2000 portant code de
l’environnement de la République du Burundi
Article 5
En vue de la protection de l’environnement, l’Etat, les collectivités locales, les
organismes publics et parapublics ainsi que les opérateurs privés sont, en vertu des
responsabilités qui leur sont distributivement confiées par la réglementation en vigueur,
tenus principalement :
-
d’utiliser rationnellement les ressources naturelles en veillant à leur efficacité
économique conformément aux exigences de la conservation et de l’amélioration de la
qualité de l’environnement, en assurant les conditions de régénération et de
développement des ressources naturelles, notamment dans le secteur forestier ;
-
d’aménager le territoire et notamment les localités urbaines et rurales, en prenant toutes
les mesures nécessaires à la protection de l’environnement ;
-
d’adopter des technologies de productions qui n’entraînent pas de pollution de
l’environnement ou d’équiper les installations existantes qui engendrent des polluants de
dispositifs susceptibles de réduire les polluants jusqu’aux valeurs limites admissibles par
voie réglementaire ;
-
de prendre des mesures nécessaires pour la prévention ou la limitation des phénomènes
susceptibles de porter atteinte à l’environnement ;
IV
-
de récupérer et valoriser, autant que cela est possible, les substances utilisables
contenues dans les déchets ou dans les résidus provenant des activités économico -
sociales ;
-
de déposer et neutraliser les déchets et résidus irrécupérables dans les lieux et conditions
établies par voie réglementaire ;
-
de produire, d’importer ou d’utiliser des pesticides, engrais ou autres substances
chimiques présentant des risques aussi réduits que possible pour l’environnement et la
santé humaine et conformes aux normes et prescriptions établies par voie réglementaire ;
-
d’adopter les mesures appropriées aux fins d’informer et d’éduquer les citoyens en vue
de leur participation active à la préservation et à la mise en valeur de l’environnement
burundais ;
-
d’intégrer dans leurs projets la protection de l’environnement et la mise en place de
programmes permettant d’assurer une meilleure connaissance de l’environnement du Burundi ;
-
de promouvoir les actions de coopération internationale à caractère technique, économique et scientifique dans le
domaine de la protection de l’environnement.
Pour guider ces choix, les Nations, les chefs d’Etats, les citoyens pourraient
méditer cette profession de foi d’un nouvel homme décrit par Montesquieu. Il
dit que lorsque j’avais quelque chose utile à ma nation mais ruineuse, je ne la
proposerai pas à mon prince parce que je suis un homme avant d’être citoyen
du monde. C’est sur cette conversation de se sentir homme avant d’être
citoyen Russe, Français, Chinois et elle seule qui peut nous rendre la paix et
un avenir meilleur.
11. Pour faire la paix on doit combattre les grands régimes totalitaires
dans le monde :
Les régimes totalitaires : dans la terminologie juridique l’on parle de régimes
de confusion de pouvoirs dans ce sens que ce sont des régimes dans lesquels
un organe ou un individu va détenir tous les pouvoirs. Ou alors il s’agit des
régimes dans lesquels les fonctions sont séparées sans être pour autant
indépendantes les unes des autres. La confusion tient surtout à la
subordination du pouvoir législatif par rapport au pouvoir exécutif. S’il
apparaît nécessaire c’est qu’ils ont été la cause de plusieurs dizaines de
millions de morts, le fascisme, le nazisme et des régimes communistes ont
profondément marqué l’histoire de l’Europe. Ils sont des régimes et des
points communs. Ces régimes sont les trois dotées d’un discours idéologique.
Ils ont en communs un parti unique qui contrôle tous les moyens
d’informations la terreur y est omniprésent et ces trois régimes ont en
commun recours à une police spéciale qui surveille et réprime tout ce qui
parait contraire à l’idéologie dominatrice. La paix disparaît sous leur ferrure.
D’autres ennemies plus éminentes plus dangereuses de la paix les moins
contrôlables sont des groupes paramilitaires des guérillas, des
narcotrafiquants, des mafias fondamentalistes, religieux des particularismes
régionaux et des terroristes.
12. Combattre la xénophobie
AVEC LE CHANTEUR COMPSITEUR DESIRE ALIAS BIG FIZZO