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Droit Civil
Droit Civil
Introduction :
Droit objectif :
– règles de droit
(article 240 du code civil)
Droits subjectifs :
– droit à réparation
– droit de propriété
– droit de vote
– ...
Un homme pour devenir femme peut conserver ses attributs sexuels, mais il
est possible de changer de sexe
Comme le mariage pour tous est possible.
Il faut que l’Etat soit rapidement au courant de la naissance = déclarer son enfant à
l’officier d’état-civil du lieu de naissance de l’enfant, dans les 5 jours qui suivent
l’accouchement. Ce délai a été rallongé en 2016, avant il était de 3 jours.
En droit positif, le sexe de l’enfant ne peut que être masculin ou féminin. Cela peut
poser problème car defois, à la naissance, on arrive pas a déterminé le sexe de
l’enfant. On parle alors de sexe neutre.
La cour de cassation a statué que : «La loi française ne permet pas de faire figurer,
dans les actes de l’état civil, l’indication d’un sexe autre que masculin ou féminin. »
Le sexe neutre n’est donc pas reconnu.
Art 99 du C.civ : « La rectification des actes de l'état civil est ordonnée par le
président du tribunal.
La rectification de l'indication du sexe et, le cas échéant, des prénoms est ordonnée
à la demande de toute personne présentant une variation du développement génital
ou, si elle est mineure, à la demande de ses représentants légaux, s'il est
médicalement constaté que son sexe ne correspond pas à celui figurant sur son acte
de naissance. »
Il existe un adage en droit interne comme quoi l’enfant conçu serai considéré comme
né chaque foi qu’il poura en tiré avantage. A la condition de naître vivant et viable.
Si il naît vivant et viable, il pourra se voir aquérir des droits de manière rétroactive
dès l’instant de sa conception.
Art 906 du C.civ : « Pour être capable de recevoir entre vifs (personnes vivantes), il
suffit d'être conçu au moment de la donation.
Pour être capable de recevoir par testament, il suffit d'être conçu à l'époque du
décès du testateur.
Néanmoins, la donation ou le testament n'auront leur effet qu'autant que l'enfant
sera né viable. »
Testament = legs
Que se passe t’il si l’enfant né vivant et viable et décède peu de temps après ?
Il n’a pas de personnalité juridique car c’est une chose. Il est donc soumis à ce
régime.
loi du 8 janvier 1993 : possibilité de délivrer aux parents du mort-né un acte d’enfant
sans vie. Ce texte à été inscrit dans le code civil à la partie droit des personnes. C’est
l’officier de l’état-civil qui va produire l’acte d’enfant sans vie, une fois que les
parents lui ont transmis les documents relatifs à la naissance et au décès de l’enfant.
On l’incrit dès lors au registre des décès.
La démarche pour obternir l’acte de l’enfant sans vie est volontaire et non-
obligatoire.Il n’y a aucun délai pour demander cet acte.
Il peut être inscrit sur le livret de famille si les parents le souhaite. Il est aussi
possible de lui donné un prénom.
Les parents peuvent bénéficier d’un congé maternité/paternité, récupérer le corps de
l’enfant, organiser des obsèques.
Le fait qu’il soit inscrit sur le livret de famille n’est qu’une reconnaissance
administrative (symbolique).
LE NOM
4e :
La filiation n’est établie qu’a l’égard d’un seul parent. Dans cette hypothèse, l’enfant
portera le nom du parent en question. (art 311-23 al.1).
Si le lien de filiation est établie à l’égard du second parent est établie au cour de la
minorité de l’enfant, les parents peuvent par une déclaration conjointe changer le
nom de famille de l’enfant. Une fois qu’ils ont effectuer cette déclaration conjonte,
cela est valable pour tous les autres enfants. Si l’enfant à plus de 13 ans, son
conscentement est obligatoire.
Lorsque un enfant est conçu au moyen d’une PMA, au sein d’un couple de femme, le
législateur prévoit que la reconnaissance de l’enfant est effectué conjointement,
devant notaire, au moment du conscentement de l’assistance médicale à la
procréation. Lorsque l’on transcrit cette reconnaissance à l’état civil, cela à pour effet
d’établir la filiation de l’enfant à l’égard
La filiation est établie par le nom de la mère biologique sur l’acte de naissance :
l’enfant peut se voir attribuer le nom d’une des mères soit les 2 noms accolé dans
l’ordre choisi dans la limite d’un nom par personne. Si elle ont 2 noms, elle
choississent celui qu’elle veut donner.
5e :
En cas de naissance à l’étranger d’un enfant dont l’un au moins des parents est
français, les parents peuvent donner leur nom lors de la demande de transcription de
l’acte. Cela doit intervenir dans les 3 ans suivant la naissance de l’enfant.
-en cas d’adoption plénière les parents donnent à l’enfant le nom de l’un 2 ou bien
les 2 accolé dans l’ordre choisie. (règle d’attribution général du nom). Le choix qui
est fait pour l’un des enfant vaut pour tout les enfants du couple, adopté ou pas.
Lorsqu’il y a mariage, la loi de 2013 (notamment le mariage pour tous) n’a pas
modifié les règles d’attribution du nom.
Lorsqu’une femme se marie, elle ne perd pas son nom de jeune fille.
Chacun des époux peut porter à titre d’usage le nom de l’autre époux, ou porté les
deux noms.
Si les époux divorcent en principe on perd le nom de son conjoint (art 264 al.1). Les
époux recouvre leur liberté et leur nom. C’est pour afficher leur nouvelle
indépendance. Dans certain cas, les époux garde le nom du conjoint même après le
divorce (raison professionnelle, familliale (avoir le même nom que ses enfants), pour
cela il faut magnifester un intérêt particulier, c’est la seule condition).
L’attribution administrative intervient lorsque la filiation n’a pas été établit (enfant
pas reconnue, abandonné,…) : dans ce cas la c’est l’Officier d’état civil qui choisira
un nom qui ne revelera pas l’origine de l’enfant. Cette attrubution se fait sous le
contrôle du juge. Il donne une suite de prénom et le dernier prénom sera le nom de
famille. Si il est par la suite adopté pleinement, les parents peuvent changé les
prénom sous le contrôle d’un juge.
Avant la loi du 2 mars 2022, la plupart des français étaient très attaché aux
patronyme. On a constaté une sorte de prééminence masculine dans le régime du
nom ceci explique que mle législateur est intévenu par la loi du 23 décembre 1985,
une réforme prudente, aucour de laquelle toutes personnes majeurs peux ajouter à
titre d’usage le nom du/des parents qui ne lui on pas transmit. On constate aussi que
par cette loi le législateur à laisser une place importante à la volonté individuelle dans
l’attribution du nom de famille.
Le parent qui exerce seul l’autorité parentale, il exercera seul la faculté de substituer
ou d’ajouter au nom de famille de l’enfant à titre d’usage son propre nom.
Le nom d’usage à la même fonction que le nom de famille cad que l’on peut signer,
être identifier dans les document adminoistratif avec le nom d’usage mais il a 2
faiblesse :
-Il n’est pas transmissible, il a disparaitre lorsque celui qui le portait disparait.
-Ce nom d’usage ne figure pas dans les actes d’état civil.
B) L’immutabilité du nom
§1 Principe
Cette immutabilité s’explique pour des raison politique notamment dans l’intérêt de
l’état : dans les rapports de la personne avec les autorités publiques, l’immutabilité a
une conséquence direct de l’obligation de porter un nom et le droit de porter un
nom.
Le nom est imprescritible, il ne peut pas être acquis par prescription et ne peut pas
être perdu par prescription.
§2 Les tempéraments
En principe, depuis une loi de 1993, seul une administration administrative (pas une
procédure judiciaire) peut permettre un changement de nom. Pour changer de nom,il
faut faire état d’un intérêt légitime. Le CE est extrêmement strict pour autorisé le
changement de nom, il l’acceuille que dans les cas suivant :
Lorsque le nom est ridicule, grossier ou si il est tristement célèbre. On été considéré
les noms d’animaux comme ridicule (bourique, bécasse, chameau, non pas été
considérer (bœuf, taureux, chèvre, rossignol, léopard) d’autre aussi : (Trippe,
fromage, dodo, cimetiere, folachier, cocu, cucu,…) D’autre demande non considérer
(lepoil, lepied, crétin, niggaut, moche)
Si le changement de nom est autorisé, c’est qu’il produit des effets sur l’individu,
mais aussi sur ça famille, on dit que cela à un « effet collectif ». Si les enfants ont
plus de 13 ans, il faut leur consentement.
-Relèvement des noms : concerne les héritiers d’un nom illustre ou de citoyen mort
pour la patrie et sans postérité. Dans ce cas les héritiers peuvent demander à relever
le nom par une procedure judiciaire de rectification du nom de l’état civil. La
demande ne peut pas avoir pour but de rectifier une erreur de retranscription
consernant le nom d’un ascendant.
Le prénom est immuable aussi et dans certains cas d’exception, on peut changer de
prénom :
-françisé le prénom
La loi du 25 octobre 972 est relative à la francisation des personne qui acquière la
nationalité française. « Toute personne qui acquière ou recoiuvre la nationalité
française peut demander la françisation de son nom et prénom lorsque leur
apparence, consonnance peut déranger à lors intégration »
Avant 2016 la demande de changement de prénom pour intérêt légitime devait etre
adrésser a un juge au affaire familiale. Depuis c’est l’officier d’état civil. La demande
doit lui être transmit au lieu de la personne intéressé ou du lieu ou son acte de
naissance à été dressé.
Lorsque l’on regarde plus près des texte on se rend compte que si l’officier d’état civil
estime que la demande ne revet pas un interet légitime, il doit saisir le procureur de
la république et informé le demandeur de la sainsine du procureur de la république.
Si le procureur s’oppose, le demandeur devra sisir le juge aux affaires familliale (JAF)
La simplification de la loi de modernisation est relative car en cas de problème il y a
l’intervention de 3 personnes.
L’identité sexuel à été intégré parmis les critères de discrimination (art 225)
Cass. Civ. 1ere 21 mai 1990 : « Le transexualisme même lorsqu’il est médicalement
reconnu ne peut s’analyser en un véritable changement de sexe, le transexuel, bien
qu’ayant perdu certains caractère de son sexe d’origine n’ayant pas pour autant
acquis celui du sexe opposé »
CEDH 25 mars 1992 « Botella contre France » JCP1992 2e partie N°21355 Thirry
Garé : Il s’agissait d’une transexuelle française qui était pssé du sexe féminin à
masculin et elle n’avait pas pu obtenu son changement de sexe à l’état civil. Un des
textes des droits de l’Homme n’avairt pas été respecté par la France. Arrêt : La CEDH
condamne la France pour violation de l’article 8 de la convention. Cette violation
consiste pour la France d’avoir refusé le changement de mention de sexe à l’état
civil.
En utilisant l’article désormais, le changement de sexe à l’état civil ne vaut que pour
l’avenir.
La Ccass à estimer que pour obtenir ce changement de sexe à l’état civil la personne
doit établir au regard de ce qui est admis par la communauté scientifique, la réalité
du syndrome transexuel dont elle est atteint ainsi que le caractère irréverssible de la
transformation de son apparance. La Cc indique quelle sont les 2 conditions qu’il faut
réunir pour obtenir le cha,gement de mention de sexe :
-La preuve du syndrôme transexuel. Elle devait être prouver par expertise judiciaire
jusquand 2012 (1992-2012) or dans ces arrêt le recours à une expertise judiciaire
devient facultatif. Les juges du fonds on tendance à y recourir car cela est une
preuve solide.
LE DOMICILE
Le domicile fait partie de l’état des personnes, au même titre que le nom,…
L’état des personne recouvre des qualités permanentes mais qui en principe peuvent
être modifiées. Le domicile en temps que tel n’est pas une qualité de la personne car
la personne peut changer de lieu et donc de domicile au cours de sa vie.
A) La détermination du domicile
Art 102 al.1 : « Le domicile de tout français quant à l’exercice de ses droits civils est
au lieu ou il a son principale établissement »
Art 107 : « Les fonctionnaires nommés à vie sont domiciliés dans la ville à dans le
lieu où il doit exercer ces fonctions.»
Les mimeurs non-émanciper sont domicilié chez leurs père et mère (Art 108)
Les domestiques et les employés qui travaillent auprès d’une personne sont
domiciliés chez leur employeur.
Art 109 : « A condition qu’il serve ou travail habituellement chez cette employeur et
qu’il demeure chez cette employeur »
Le domicile est le lieu où une personne demeure en droi. La résidence est affecté par
les déplacements de la personne. La résidence produit aussi des effets juridiques.
1) Le domicile d’origine
Le caractère de la nécéssité du domicile est critiqué par certain auteur car il n’y a
aucun texte qui le mentionne de manière expresse. Parfois il est arbitraire de
considérer que la personne à conservé son domicile dans un endroit qu’elle a connue
depuis longtemps.
2) Le domicile de nationalité
Le domicile est considérer comme une émanation de la personne. Nul ne peut avoir
plusieurs domiciles, le domicile de chaque personne est unique. Cette règle trouve
son fondement notamment dans l’art 102. Principe franco-français. En droit romain il
y avait une règle de pluralité de domicile.
Ce principe interdit à une personne d’avoir des domiciles de même nature, cela
signifie qu’une personne peut avoir un domicile personnel et un domicile
professionnel.
Le domicile spécial par opposition au domicile général est unlieu autre que le
principale établissement. Le domicile spécial dans les rapport avec certaines
personne où pour exercer certains droits peut de façon exceptionnel être considéré
comme le domicile de l’intéressé. Cela conduit à affirme que dans certains cas une
même personne peut avoir des domiciles de natures différentes.
Les domiciles spéciaux sont variés : le domicile de secours, le domicile commercial,
matromonial.
Dans l’évantualité ou les personnes n’ont pas de domicile de secours, les dépences
incombe au département où réside la personne au moment de la demande
d’admission à l’aide sociale.
Pour les personnes handicapé, c’est la MDPH (maison départementale des personnes
handicapés) du lieu de résidence qui sera l’interlocutrice pour effectuer les demandes
d’aides.
Ce domicile ne vaut que pour les activité commerciale de l’intéressé. Dès lors qu’il y a
une activité étrangère, alors on se tourne vers le domicile général de l’intéressé qui
sera pris en considération.
C’est le lieu où peut être célébré le mariage. Le domicile matrimonial est donc
distinct de ce qu’on appelle le domicile conjugale. Il permet de déterminer le lieu ou
sera célébrer le mariage
Art 74 : « Le mariage sera célébré, au choix des époux, dans la commune où l'un
d'eux, ou l'un de leurs parents, aura son domicile ou sa résidence établie par un mois
au moins d'habitation continue à la date de la publication prévue par la loi. »
Art 11 du Code électoral dispose : « Son inscrit sur la liste électoral sur leur
demande : tout les électeur qui ont leur domicile réel dans la commune ou y habite
depuis 6 mois au moins et leur enfant de – de 26 ans »
Ce domicile électoral peut être confondu avec le domicile général. Le législateur fait
preuve de souplesse car les élections se font le dimanche et donc l’intéressé peut
aller dans sa résidence secondaire (dans laquelle il habite au moins 6 mois).
La 2e Chambre civile de la CC a dit qu’il n’y a pas atteinte à l’article 8 de la CEDH car
il y a liberté du choix de domicile pour aller voter.
Toutes personnes morales ont pour seul domicile leur siège sociale et parfois elles
ont des sucursalles qui corresponde à des domiciles spéciaux.
La jurisprudence a admis qu’on peut assigné devant tous les tribunaux ou se trouve
des sucursalles de la société en question (arrêt du 4 mars 1857). Si le litige concerne
une personne. Si il s’agit d’un litige avec une compagnie de chemin de fer, on pourra
l’assigner devant le tribunal du lieu où se situe une gare principale.
Le code des assurance prévoit qu’il est possible d’assigner l’assurance au tribunal du
domicile du demandeur.
C’est une théorie qui s’applique à toute les personnes morales sans exception.
1) Le principe
Toute personne, sauf mineur, ont la liberté d’élir domicile dans le lieu de leur choix.
Pour que tout le monde soit informer du chnagement de domicile, le législateur a
prévu des conditions de forme et de fond.
C’est la condition pour qu’il y est changement de domicile (sous réserve de l’intention
de fixer son domicile dans cet autre lieu). L’intention est insuffisante si la personne
n’habite pas dans le lieu. Il faut faire une double déclaration : dans la mairie de notre
ancien domicile et déclaration dans la mairie du nouveau domicile.
Grâce à cette notion d’habitation réel, on peut fixer le domicile de l’intéressé car si
une personne décède ou change de domicile, la succession s’ouvrira au lieu de son
dernier domicile.