Risques Hospitaliers

LES RISQUES PROFESSIONNELS
EN MILIEU HOSPITALIER
'4,178 rie mec. I.
Le .3-xtear .1.--u.neu. L.
1 .31
..ste eml-14-8 r
Dr. A. Tiberguent
LE TRAVAIL A L'HOPITAL
+ TRIPLE TRANSFORMATION
COMPLEXITE
TECHNICITE (NTIC)
TRANSVERSALITE
CONTINUITE
COMPLETUDE
TEMPORALITE
EXIGENCES NOUVELLES
RESPONSABILITE
QUALITE
TRACABILITE
• 1I
•
YA 1 1 I1 el 01 1
***111If 11 Dil
DES CONTRAINTES ET DES RISQUES REELS ET/OU

POTENTIELS NOMBREUX
DES CONTRAINTES ORGANISATIONNELLES ET
TEMPORELLES - -
DES CONTRAINTES SPATIALES, POSTURALES,

 DES RISQUES BIOLOGIQUES
 DES RISQUES CHIMIQUES
 DES RISQUES PHYSIQUES
 DES RISQUES D'AGRESSION ET VIOLENCE AU TRAVAIL
 UNE CHARGE DE TRAVAIL PHYSIQUE ET PSYCHIQUE
Problème = Pas de solution

Solution à rechercher
Contrainte = solution connue

Mais …………
Manque de matériel
Manque de temps
Manque de Personnel
Manque de Autorisation
I
Manque de Spécialiste
Manque de Finances
Manque de Sécurité
1910,1 721.
LES PERSONNELS EXERCANT DANS LA FONCTION
•
re: eu'
1111 •
Personnels:
Médical
Paramédical
Médico-technique
Technique et logistique
Administratif et social
Fon!: Ssx]. ta et sen as nelLee.
dactrorPar, 1 I'Mçaal
1910,1721..
/.1.3érde Ve.miLeue, Lkuil el.
LES PERSONNELS EXERCENT

 Hôpitaux
•
 Maison de retraite
 Soins à domicile
l' àlà II à
 Etablissements publics relevant

de l'Aide Sociale à l'enfance,
 personnes handicapées...
11.">1.11,1"1 11101">MI Ii! Ug1 1 I LM I W-4- IL! VOMI!
. .
MANUTENTION & CHARGE DE

TRAVAIL PHYSIQUE
LES RISQUES ROFESSIONNELS
>
•
II d_ I I
aux gestes et postures contraignantes et

répétitives
LA CHARGE PHYSIQUE DE TRAVAIL
ORGANISATION ET CONDITIONS DE
TRAVAIL
Effectif/Planning
Travail seul/Travail d'équipe
Pics d'activité (Urgence) Accid majeurs
coordination visites de médecins/tâches de
soins
Nombre de chambres/malades/poste
Equipements : lits fixes/à hauteur variables
Les équipements modernes de levage
LA CHARGE PHYSIQUE DE
TRAVAIL
Conception des chambres, toilettes, salles de

bain, giration
Equipements fixes, mobiles
Les patients: âge, maladie, dépendants
Type de produits
Distance
Fréquence des déplacements
La Prévention se fait à la conception

ORGANISATION ARCHITECTURALE
Structure de l'établissement ; pavillons, bloc,
tour,
Communications et flux horizontal
Communications et flux vertical
%/Ascenseurs, monte-charge
Chambres individuelles/collectives
Distances postes de travail/chambres de
malades
LA CHARGE PHYSIQUE DE
 DISTANCE : 2.5 dans l’établissement

 Parcours du soignant-17.6 km
 Déplacements : 32 ……….à 188
 Maladies ostéo-articulaires
Maladies ostéo-articulaires et TMS et TMS
Les gestes et les postures : contrainte et répétitivité
Maladies ostéo-articulaires et TMS

10800 -11-
2
160-
140
1
120
100 darldioniadtkestrurejaviecieraoail
80
60
40 -
20
Jr/
re)

Fréquence des lombalgies dans la population étudiée

des Auxiliaires de Puériculture
Employées de bureau [ n = 320 ]57%
Auxiliaire de puériculture [ n = 483 ]64%
Ensemble des salariées [ n = 803 ]61%
[DS : z =1.99 ; p = 0.0476]


JAMBES LOURDES JAMBES LOURDES
INSUFFISANCE
VEINEUSE
Environnement : les facteurs physiques d'ambiance de travail


La manutention d'objets
Fatigue, pénibilité, lombalgie

Fatigue, pénibilité, lombalgie

w
.■/
.............
... •
Fatigue,
Pénibilité
lombalgie,

••
II. I '1 11 19 II '
Fatigue, pénibilité,
lombalgielombalgie
Maladies ostéo-articulaires: les lombalgies
LES RISQUES PROFESSIONNELS EN
MILIEU HOSPITALIER
ACCIDENTS de TRAVAIL dans

les ETABLISSEMENTS
PUBLICS de SANTE
ACCIDENTS de TRAVAIL dans les

ETABLISSEMENTS PUBLICS de
SANTE DE L'AP-HP
Les écarts en accidents sont dûs aux accid trajets, sports, violences externes
L'éducation thérapeutique du patient
LES RISQUES PROFESSIONNELS EN MILIEU HOSPITALIER
ACCIDENTS de TRAVAIL dans les ETABLISSEMENTS PUBLICS
de SANTE de l'AP-HP
REPARTITION DES MECANISMES D'AT

ACCIDENTS de TRAVAIL dans les ETABLISSEMENTS de SANTENOMBRE D'AT

avec arrêt pour 1000 Personnes en 2001
RISQUES %o
1.MANUTENTION 14.25 %o
2.DEPLACEMENT 13.43 %o
3.MASSE EN MOUVEMENT 2.20 %o
4.NON INFECTIEUX 0.91 %o
5.CONTACT MALADE AGITE 0/89 %o
•INFECTIEUX 0.81 %o
•PHYSIQUES 0.32 %o
1.MACHINES 0.31 %o
2.CHIMIQUES 0.15 %o
3.AUTRES 2.23 %o
TOTAL 35.51 %o
Source AP-HP Bilan HSCT 2001

MILIEU HOSPITALIER
Décret exécutif du 1er décembre 2003 définissant les règles de sécurité

applicables aux activités portant sur les matières et produits chimiques
dangereux a introduit les règles générales de prévention du risque chimique.
En ce qui concerne les utilisateurs, cette prévention est fondée sur:
La limitation et l’utilisation des substances et préparations chimiques

dangereuses,
la limitation du nombre de travailleurs exposés à leur action,
la mise en place de mesures préventives collectives ou, à défaut

individuelles, adaptées aux risques chimiques dangereuses, encourus.
MILIEU HOSPITALIER
Nouvelles signalisations conformes au référentiel REACH
LES PICTOGRAMMES
MILIEU HOSPITALIER
Selon l’encyclopedie u BIT
3.2. Critères de classification

3.2.1. Les critères de classification des produits chimiques devraient se fonder sur leurs dangers intrinsèques pour la santé et l’intégrité physique, notamment:
sur les propriétés toxiques, y compris les effets aigus et chroniques sur la santé affectant quelque partie du corps que ce soit;
sur les caractéristiques chimiques ou physiques, y compris les propriétés inflammables, explosives, comburantes et celles qui sont susceptibles d’entraîner des réactions dangereuses;
sur les propriétés corrosives et irritantes;
sur les effets allergisants et sensibilisants;
sur les effets cancérogènes;
sur les effets tératogènes et mutagènes;
sur les effets sur le système reproducteur.
■ r•
•
▪ à
• • à à a
à
àà
al.
• I
I V
Selon l’encyclopédie u BIT
3.3. Méthodes de classification

3.3.1. La classification des produits chimiques devrait se fonder sur les informations disponibles, à savoir par exemple:
les résultats des tests;

les informations fournies par le fabricant ou l’importateur, y compris les renseignements sur les recherches effectuées;
les informations provenant des règlements des transports internationaux, par exemple les Recommandations des Nations Unies relatives au transport des marchandises dangereuses, dont il devrait être tenu compte pour classer les produits chimiques en vue du
transport, et la Convention de Bâle du PNUE sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et de leur élimination (1989), dont il devrait être tenu compte à propos des déchets dangereux;
les ouvrages et la documentation de référence;
l’expérience
s’il s’agit de mélanges, soit les résultats des tests effectués sur le mélange, soit les dangers connus de leurs composants; .
r•
• • à à a
I V
al.
MILIEU HOSPITALIER
Est considéré comme agent CANCEROGENE,
toute substance ou préparation qui, par inhalation, ingestion ou

pénétration cutanée peut produire le cancer
ou en augmenter la fréquence
(pour l'étiquetage il comporte une mention indiquant

explicitement son caractère cancérogène)
ainsi que toute substance, toute préparation ou tout procédé

défini comme tel
Concernant les effets cancérogènes, les agents se
subdivisent en trois sous-classes :
Catégorie 1 : Substance que l'on sait être cancérogène pour l'homme.

On dispose de suffisamment d'éléments pour établir l'existence d'une
relation de cause à effet entre l'exposition humaine à cette substance et
l'apparition de cancers. (expl Amiante – Benzène)
Catégorie 2 : Substance que l'on sait être cancérogène pour l'homme.

■ A
•
On dispose de suffisamment d'éléments pour justifier que la présomption

de l'exposition humaine à cette substance peut provoquer l'apparition de
cancers.
- Catégorie 3 : Substance préoccupante pour l'homme en raison d'effets

cancérogènes possibles, mais pour laquelle les informations disponibles ne
permettent pas une évaluation satisfaisante. Les données issues d'études
chez l'animal sont insuffisantes pour classer la substance en catégorie 2.
MILIEU HOSPITALIER
MILIEU HOSPITALIER
Les agents mutagènes se subdivisent

en trois sous classes :
Catégorie 1 : Substance que l'on sait être mutagène pour l'homme. On

dispose de suffisamment d'éléments pour établir l'existence d'une relation de
cause à effet entre l'exposition humaine à cette substance et des défauts génétiques
héréditaires
Catégorie 2 : Substance devant être assimilée à une substance mutagène

pour l'homme. On dispose de suffisamment d'éléments pour justifier une forte
présomption que l'exposition humaine à cette substance peut provoquer
l'apparition de défauts génétiques héréditaires .
Catégorie 3 : Substance préoccupation pour l'homme en raison d'effets

mutagènes possibles. Les données issues d'études adéquates sont insuffisantes
pour classer la substance en catégoriel
MILIEU HOSPITALIER
Est considéré comme agent toxique pour la

reproduction, toute substance ou préparation qui,
par inhalation, ingestion ou pénétration
Cutanée, peut produire ou augmenter la fréquence
d'effets indésirables héréditaires ou non dans la
progéniture, ou porter atteinte aux fonctions ou
capacités reproductrices
Les agents toxiques pour la reproduction se
subdivisent en trois sous classes :
Catégories 1 : Substance que l'on sait altérer la fertilité dans l'espèce humaine. On dispose de
suffisamment d'éléments pour établir l'existence d'une relation de cause à effet entre l'exposition humaine à
cette substance et une altération de la fertilité ; ( expl R X)
Ou substance que l'on sait provoquer des effets toxiques sur le développement dans l'espèce humaine. On
dispose de suffisamment d'éléments pour établir l'existence d’une relation de causes à effets entre l’exposition
humaine et cette substance et des effets toxiques ultérieurs sur le développement de la descendance.
Catégorie 2 : Substance devant être assimilée à une substance altérant la fertilité pour l'homme On
dispose de suffisamment d'éléments pour justifier une forte présomption que l'exposition humaine à cette
substance peut altérer la fertilité ; (expl Glyphosate)
Ou substance devant être assimilée à une substance causant des effets toxiques sur le développement dans
l'espèce humaine . On dispose de suffisamment d'éléments pour justifier une forte présomption que
l'exposition humaine à cette substance peut entraîner des effets toxiques sur le développement.
Catégorie 3 : Substance préoccupante pour la fertilité dans l'espèce humaine. Les données issues
d'études adéquates sont insuffisante pour classer la substance en catégorie 2 ; Ou substance préoccupante
pour l'homme en raison d'effets toxiques possibles sur le développement. Les données issues d'études
adéquates sont insuffisantes pour classer la substance en catégorie 2 (expl drogues)
Stockages de Produits
médicamenteux
STOCKAGE DE
1111 ■11 V I/
MEDICAMENTEUX
Les cytostatiques sont des produits utilisés dans le traitement des cancers
pour inhiber la prolifération cellulaire. Il a énts té clairement démontré en
expérimentation animale que ce sont des agemutagènes, carcinogènes et
tératogènes (Texpl Tégrétol.carbamazépine)
LES RISQUES PROFESSIONNELS EN MILIEU
HOSPITALIER
RISQUES PHYSIQUES
HOSPITALIER
RADIATIONS IONISANTES
Il découvre un corps radioactif

nouveau, l'actinium devient
un proche de Pierre et Marie
Curie, études, il montre en
1905 que l'actinium, comme le
radium forme de l'hélium
hors de sa désintégration, ce
qui permettra à Rutherford de
comprendre la radioactivité
alpha.
IRRADIATION ET CONTAMINATION
Radiologie Médicale
LES EXAMENS
DE RADIODIAGNOSTIC
Ils comprennent les actes de radiologie conventionnelle,

mais également la radiologie numérisée,
la radiologie vasculaire et le scanner.
MEDECINE NUCLEAIRE RADIOTHERAPIE

Situation de la Médecine Nucléaire en France
A plus de 90% , sont applications sont a but diagnostique . Les gamma-
cameras sont soumises à la carte sanitaire et le dernier arrêté (décembre
2001) fixe les indices à 1 gamma-caméra par grans de 130.000 à 140.000
habitants.
Ces centres regroupent environ 430 spécialistes (depuis 1988 et le dernier fixe
les indices à 1 gamma-caméra par grans de 130.000 à 140.000 habitants.
Ces centres regroupent environ 430 spécialistes (depuis 1988
LES RISQUES DE
g5
LES RISQUES RADIATIONS
IONISANTES (RI)
Dose et activité : deux concepts très différents mais reliés
la dose absorbée est la quantité d'énergie délivrée dans les
tissus (les cellules, l’ ADN, par les R.I)
Elle se mesure en GRAY : Gy )
La dose efficace : pour les rayons X ou y irradiant les corps entier la
relation entre
la dose en Gray et
la dose efficace en Sievert ( Si) est égale à 1.
La dose efficace est l'unité essentielle pour évaluer les effets biologiques
aléatoires des RI (cancers et effets génétiques CMR).
Si = mesure de dose de R.i (symbole Sv). Un Si vaut 100 rems.


Conséquences de l'irradiation d'une cellule
SURVIE MAIS
PERTUE DE
LA FACULTE
DE DIVISION
EFFET NUL
ELIMINATION
PAR LE
SYSTEME
I
IMMUNITAIRE
EFFET NUL
PAS D'ELIMINATION PAR

LE SYSTEME
CELLULE CELLULE IMMUNITAIRE
MORTE, MUTEE
EFFET DIFFERES /
EFFETS A SEUIL 3 CAS
CANCERS?
DETERMINISTE, POSSIBLES
REVERSIBLE EFFETS GENETIQUES
LES RAYONNEMENTS IONISANTS
REGLEMENTATION
Décret n° 66-450 du 20 juin 1966 modifie par les
décrets 8du 8 mars 2001 relatif aux principes généraux de
protection contre les rayonnements ionisants.
DECRET N° 86-1103 DU 2 OCTOBRE 1986 MODIFIE RELATIF A
LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS CONTRE LES DANGERS DES
RAYONNEMENTS IONISANTS.
ARRETE DU 28 AOUT 1991 : SURVEILLANCE MEDICALE DES
TRAVAILLEURS EXPOSES AUX RAYONNEMENTS IONISANTS
ARRETE DI 31 JUILLET 1991 : MODALITES ET CONTENU DE LA
CARTE DE SUIVI MEDICAL
TABLEAU N°6 DES MALADIES PROFESSIONNELLES. AFFECTIONS
PROVOQUÉES PAR LES RAYONNEMENTS IONISANTS
HOSPITALIER
HOSPITALIER
LES CONTRAINTES
TEMPORELLES
 Horaires de travail
 équipe du matin
 équipe du soir
(équipe de coupures
 Travail de nuit
 Les astreintes
 Les Week-end
HOSPITALIER
Travail sue Ecran de Visualisation

Poste de travail sur T.E. V
HOSPITALIER
Travail sur Ecran de Visualisation (TEV)
Poignets, épaules genoux

Poste de l'appareilleur du plateau technique de rééducation
fonctionnelle de l'hôpital
Charge mentale, stress, charges
Emotionnelle et psychique
FATIGUE
STRESS
BURN-OUT
SOUFFRANCES
ABSENTEISME
TROUBLES DU SOMMEIL
Charge mentale, stress, charges émotionnelles et psychiques
ORGANISATION DU TRAVAIL ET CONTEXTE ACTUEL :
 Contraintes temporelles et difficultés des soins

 Difficultés Relationnelles
 Contraintes hiérarchiques
 Difficultés communicationnelles
 Exigences de qualité de soins et de traçabilité
 Exigences du malade et de son entourage
COMPLEXITÉ RAPIDE DES TECHNIQUES MÉDICALES
RESPONSABILITÉS ACCRUE DU SOIGNANT
CHARGE MENTALE
Enquête dans 26 Services de soin de 'AP-HP :
/1500
I
1
femmes : 20% des femmes
en charge mentale excessive

Soin relationnels
Leur manque = souffrance et sentiment de culpabilité

HARCELEMENT MORAL AU TRAVAIL

Définition :
L'intimidation sur le lieu de travail est un schéma persistant de
maltraitance de la part d'autrui sur le lieu de travail qui cause des
dommages physiques ou émotionnels. Cela peut inclure des tactiques
telles que la violence verbale, non verbale, psychologique et physique,
ainsi que l'humiliation.
..
la législation DZ du travail a reconnu au travailleur le droit au respect de

son intégrité physique et morale ainsi qu’à sa dignité (art. 6.2 de la loi
n°90.1, relative aux relations de travail).
La Constitution proscrit et réprime “toute forme de violence physique,
morale ou d’atteinte à l’intégrité de l’être humain” (articles 34 et 35 de la
Constitution).
EN MILIEU HOSPITALIE
DU MOBBING AU HARCELEMENT MORAL
MOBBING : en Suède : opprimer, attaquer, agresser quelqu'un

BULLYING : en Grande Bretagne : oppression de la part d'un plus fort
(un supérieur)
BOSSING : en Allemagne
EMPLOUEE ABUSE ; aux USA
PSYCHO-TERREUR : au Portugal
HARCELEMENT MORAL : en France (herser dans le sens de
torturer)

& ORGANISATION DU TRVAIL
Intensification du travail et ajustement étroit

•
 Logique financière au détriment de la logique

humaine
 Organisation des plannings en flux à effectif tendu
 Fragilisation du personnel et des collectifs de
travail
 Perte de repères et perte de sens dans le travail
Personnes déclarant avoir été l'objet d'une intimidation ou d'un

harcèlement moral au travail en%
s (plus de 20 000 entretiens réalisés dans 15 pays
en Europe en 2000
x
Hommes 8%
Femmes 10%
Total 9% contre (8% en 1995)
En France — 5%
MILIEU HOSPITALIER
Violences au travail
• • .
. . lb IP • % .
VIOLENCE AU TRAVAIL
_M
LES ACCIDENTS DE TRAVAIL AVEC ARRET LIES AU CONTACT
AVEC DES MALADES AGITES NE REPRÉSENTENT QUE : 1à

1.5% DE LA TOTALITÉ DES DÉCLARATIONS AU COURS DE
CES DERNIERES ANNÉES.
ACCIDENTS de TRAVAIL
ACTES DE VIOLENCE AU TRAVAIL ( 1999-2000-2001)

Lieux des actes de violence au travail (2000-2001)

v
LES MALADIES PROFESSIONNELLES/

NOMBRE DECLAREES 1999 2000 2001
• • • a • • • • a • • • • a •
I I I

LES MALADIES PROFESSIONNELLES

Nombre déclarées 1999- 2000- 2001
Multiple chemical sensitivity (MCS))

LES MALADIES PROFESSIONNELLES

Nombre déclarées 1999- 2000- 2001
MALADIES CONTRACTEES EN SERVICE/ NOMBRE

DECLAREES 1999-2000-2001
MALADIES CONTRACTEES EN SERVICE/ NOMBRE

DECLAREES 1999-2000-2001
MILIEU HOSPITALIER
RISQUES BIOLOGIQUES
Décret n°94-352 du mai 1994

Articles R. 231-60 à R. 231-65-3
encyclopédie BIT
L'arrêté du 18 juillet 1994 modifié par l'arrêté du 17 avril 1997 et du 30 juin 1998 fixe la liste des agents
biologiques pathogènes des groupes 2,3 et 4.
RISQUES BIOLOGIQUES
+Micro-organismes
 virus
 Bactéries
 Parasites
 ATNC (Prion)
 Culture cellulaire et
MGM
RISQUES BIOLOGIQUES
 Micro organisme
virus
 Bactéries
 Parasites
Champgnons
 ATNC (Prion)
 Culture cellulaire et MGM
RISQUES BIOLOGIQUES
 RISQUE INFECTIEUX
 RISQUE IMMUNO-ALLERGIQUES
 RISQUE TOXINIQUE
 RISQUE CANCEROGENE
RISQUES BIOLOGIQUES
(Adultes Education Survey, AES).
LES RISQUES ROFESSIONNELS EN MILIEU HOSPITALIER
AES enquête 2000 du GERES Indicateurs
d'Evolution des Pratiques 1990 2000
HOSPITALIER AES enquête 2000 du GERES
HIERARCHIE DES RISQUES
Nombre de piqûres pour 100 000 gestes
les Maladies professionnelles infectieuses
••
HEPATITE VIRALE C
Nombre de séroconversions professionnelles VHC chez

le personnel de santé selon l'année de l'accident,
situation au 30/06/2001.
Depuis la mise en place de cette surveillance, ont été
recensées 43 séroconversions professionnelles VHC
documentées chez le personnel de santé, dont 32 au
contact d'un patient source connu comme infecté par le
VHC (au moment ou à la suite de l'exposition
accidentelle).
Les séroconversions VHC ont fait suite à des accidents
survenus essentiellement entre 1993 et 1997
RISQUE D'ALLERGIE
DERMITES DE CONTACT CHEZ LES

INFIRMIERES : 12 à 14%
Source
BarbaudPr. A.
HOSPITALIER
RISQUE D'ALLERGIE
CADRE RÉGLEMENTAIRE
Directives CE 89-391 du 12 juin 1989

Loi N°91-1414 du 31 décembre 1991 : L230-1 à L 230-5
Loi N°2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale
Décret N°2001-1016 du 5 novembre 2001 portant création
D’un document relatif à l’évaluation les risques pour la

santé et la sécurité des travailleurs, prévue par l'article
L. 230-2 du code du travail;
Circulaire N° 6 DRT du 18 avril 2002
en application du décret N°2001-1016

LE CADRE RÉGLEMENTAIRE
LE CADRE RÉGLEMENTAIRE
Statut du fonctionnaire (loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 : portant droits

et obligations des fonctionnaires) complétée par l'article 6 quinquies
suite à l'article 178 de la loi de modernisation sociale :
« Aucun fonctionnaire ne doit subir les agissements répétés de harcèlement
moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de
travail susceptibles de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d'altérer sa
santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel ».
« Aucune mesure concernant notamment le recrutement, la titularisation, la
*notation, la discipline, la promotion, l'affectation et la mutation ne peut etre
prise à l'égard d'un fonctionnaire en prenant en considération :
1. le fait qu'il ait subi ou refusé de subir les agissements de harcèlement
moral visés au premier alinéa
2. le fait qu'il ait exercé un recours auprès d'un supérieur hiérarchique
ou engagé une action en justice visant à faire cesser ces agissements ;
3. ou bien le fait qu'il ait témoigné de tels agissements ou qu'il les ait relatés.
Conclusion sur les risques
PREOCCUPATIONS
SOUHAITS /PROJETS
1. APPROCHE PLURI-DISCIPLINAIRE
2. POLE DE COMPETENCE
3. COMITE DE PILOTAGE
4. GROUPES DE•• TRAVAIL OPÉTATIONNELS
•
III MI
5. TRAVAIL EN RESEAU
6. COMMUNICATION
7. TRANSPARENCE
8. PARTICIPATION ET IMPLICATION
9. LISIBILITE ET VISIBILITE ECONOMIQUE ET SOCIALE

Risques Hospitaliers

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LES RISQUES PROFESSIONNELS

DES CONTRAINTES ET DES RISQUES REELS ET/OU

DES CONTRAINTES SPATIALES, POSTURALES,

Problème = Pas de solution

Contrainte = solution connue

LES PERSONNELS EXERCANT DANS LA FONCTION

LES PERSONNELS EXERCENT

 Etablissements publics relevant

MANUTENTION & CHARGE DE

aux gestes et postures contraignantes et

LA CHARGE PHYSIQUE DE TRAVAIL

Conception des chambres, toilettes, salles de

La Prévention se fait à la conception

 DISTANCE : 2.5 dans l’établissement

Les gestes et les postures : contrainte et répétitivité

Maladies ostéo-articulaires et TMS

Maladies ostéo-articulaires et TMS

Fréquence des lombalgies dans la population étudiée

Employées de bureau [ n = 320 ]57%

Auxiliaire de puériculture [ n = 483 ]64%

Ensemble des salariées [ n = 803 ]61%

[DS : z =1.99 ; p = 0.0476]

Les gestes et les postures : contrainte et répétitivité

JAMBES LOURDES JAMBES LOURDES

Environnement : les facteurs physiques d'ambiance de travail

LA CHARGE PHYSIQUE DE TRAVAIL

Fatigue, pénibilité, lombalgie

Fatigue, pénibilité, lombalgie

LA CHARGE PHYSIQUE DE TRAVAIL

II. I '1 11 19 II '

Les gestes et les postures : contrainte et répétitivité

ACCIDENTS de TRAVAIL dans

ACCIDENTS de TRAVAIL dans les

REPARTITION DES MECANISMES D'AT

ACCIDENTS de TRAVAIL dans les ETABLISSEMENTS de SANTENOMBRE D'AT

Source AP-HP Bilan HSCT 2001

Décret exécutif du 1er décembre 2003 définissant les règles de sécurité

En ce qui concerne les utilisateurs, cette prévention est fondée sur:

La limitation et l’utilisation des substances et préparations chimiques

la limitation du nombre de travailleurs exposés à leur action,

la mise en place de mesures préventives collectives ou, à défaut

Nouvelles signalisations conformes au référentiel REACH

3.2. Critères de classification

3.3. Méthodes de classification

les résultats des tests;

Est considéré comme agent CANCEROGENE,

toute substance ou préparation qui, par inhalation, ingestion ou

(pour l'étiquetage il comporte une mention indiquant

ainsi que toute substance, toute préparation ou tout procédé

Catégorie 1 : Substance que l'on sait être cancérogène pour l'homme.

Catégorie 2 : Substance que l'on sait être cancérogène pour l'homme.

On dispose de suffisamment d'éléments pour justifier que la présomption

- Catégorie 3 : Substance préoccupante pour l'homme en raison d'effets

Les agents mutagènes se subdivisent

Catégorie 1 : Substance que l'on sait être mutagène pour l'homme. On

Catégorie 2 : Substance devant être assimilée à une substance mutagène

Catégorie 3 : Substance préoccupation pour l'homme en raison d'effets

Est considéré comme agent toxique pour la

Il découvre un corps radioactif

Ils comprennent les actes de radiologie conventionnelle,

MEDECINE NUCLEAIRE RADIOTHERAPIE

Si = mesure de dose de R.i (symbole Sv). Un Si vaut 100 rems.

PAS D'ELIMINATION PAR