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ROME 

DU Ier siècle av. J.C. au Vème siècle après J.C. :


UN EMPIRE, LIEU DE BRASSAGE DES CULTURES

AUTOUR DE LA MEDITERRANEE
De la ville
à l’empire
La République romaine,
une démocratie ?
Les noms d’Auguste

Nom Auguste

Raison du /
changement
Auguste vu par lui-
même, la Res Gestae Divi
Augusti, 14 après JC
L’Ara Pacis,
construit
entre -13 et -
9
De la République au Principat
Le culte impérial

Temple d’Auguste, 14 av. JC,


cité de Pula (Croatie
actuelle)
Un renforcement
de l’administration de l’Empire
Un empire étendu
Un empire bien
relié

Via Domitia en Occitanie


Une extension de la citoyenneté
La citoyenneté romaine, d’une situation
complexe à une simplification
Comment devenir citoyen ?
L’accès à la citoyenneté
comme moyen
d’intégration de
populations diverses
https://www.youtu
be.com/watch?v=3
D1WhEersxU

Menaces sur l’empire


Constantin, de 4 Empereurs à
un seul
Fondation d’une nouvelle Rome
Un empire, lieu de
brassage culturel
Romanisation
Rome, le modèle
Lugdunum, une cité romanisée
Timgad, une colonie romaine

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Culte impérial
Des loisirs romains
Naissance et
diffusion du
christianisme
Expansion du christianisme
Raisons du rejet
des Chrétiens
Des chrétiens persécutés
Passage d’une religion à l’autre
Edit de Milan, 313
Les co-empereurs Constantin et Licinius rédigent en 313 une lettre adressée à
tous les hauts fonctionnaires des provinces de l’Empire romain. On lui donne
souvent le nom de « l’édit de Milan » parce qu’elle a été écrite lors d’une
rencontre des deux empereurs à Milan.

Moi, Constantin Auguste, ainsi que moi, Licinius Auguste, réunis


heureusement à Milan pour discuter de tous les problèmes relatifs à la sécurité
et au bien public, nous avons cru devoir régler en tout premier lieu, entre autres
dispositions de nature à assurer selon nous le bien de la majorité, celle sur
laquelle repose le respect de la divinité, c’est-à-dire donner aux chrétiens comme
à tous la liberté et la possibilité de suivre la religion de leur choix. […] La même
possibilité d’observer leur religion et leur culte est concédée aux autres citoyens
ouvertement et librement, ainsi qu’il convient à notre époque de paix, afin que
chacun ait la libre faculté de pratiquer le culte de son choix. Ce qui a dicté notre
action, c’est la volonté de ne point paraître avoir apporté la moindre restriction à
aucun culte ni à aucune religion.

L’édit de Milan d’après Lactance, De Mortibus Persecutorum, v. 321.


Concile de Nicée, 325
Christianisation de l’empire
à la fin de l’Empire
Fin du paganisme

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