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SPECTROSCOPIE D’ABSORPTION

ATOMIQUE

Présenté par: Dr benabdallah Imene


Encadré par: Pr Rezk-Kallah.H
2eme année post graduation Pr Chefirat .B
2022/2023
Dr Bendjemaa.A
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PLAN

Introduction

Principe

Instrumentation

Applications

Avantages/ Limites

Conclusion

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INTRODUCTION GÉNÉRALE

▸ La spectroscopie est un vaste domaine regroupant plusieurs sous-disciplines qui peuvent être
classées selon le type de matrice analysée.

Spectroscopi Spectroscopie
e atomique
moléculaire • SAA
• UV-VIS Molécules Atomes • MP-AES
• UV-VIS-PIR • ICP-OES
• FTIR
• ICP-MS
•Fluorescenc
e

Résonance
magnétique
Critallographie à rayons X Cristaux Noyaux nucléaire

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INTRODUCTION GÉNÉRALE

▸ La Spectroscopie Atomique est une technique


d’analyse spectrale qui étudie les absorptions ou les Absorption Émission
émissions de lumière par l'atome libre.
▸ réalisable qu’à la condition qu’une partie significative
de l’échantillon moléculaire, solide ou liquide, soit
transformé en gaz atomique (vaporisation et Flamme Flamme
atomisation).
▸ Les principales techniques mettant en jeu la SA sont :
▸ Le choix de la méthode se fera selon le type
Électrochimique
d’information que l’on désire obtenir mais aussi selon s
Plasma d’argon
le type d’échantillon à analyser
▸ La SAA est une technique décrite pour la 1ère fois par
Walsh en 1955. Elle fournit un puissant instrument -Génération
analytique quantitatif qui permet l’analyse d’une 60 d’hydrures Arc ou éteincelle
aines d’éléments -Vapeurs froides

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PRINCIPE DE LA SAA

▸ Repose sur le fait qu'un élément atomisé


absorbera la lumière d'une longueur d'onde
caractéristique, le faisant quitter l'état
fondamental vers un état excité.
▸ La quantité d'énergie lumineuse absorbée est
proportionnelle au nombre d'atomes analytes
dans le trajet optique.

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INSTRUMENTATION

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INSTRUMENTATION

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1. Source de radiation : Instrumentation

▸ c’est une source lumineuse qui émet le


spectre caractéristique de l’élément à
analyser.
▸ émet des raies plus étroites que la raie
d’absorption,

Ainsi trois types de lampes sont


répandues :
-Les lampes à cathode creuse (Hollow
Cathode Lamps, HCL)
-Lampe à décharge sans électrode
-Lampes à vapeur métallique

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1.Source de radiation : Instrumentation

 Lampe à cathode creuse

Tres bon résultats pour les


métaux non volatils

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1.Source de radiation :
Instrumentation

 Lampe à vapeurs métallique:


Les lampes à décharge de vapeur de
mercure par exemple sont utilisées dans
les appareils d’absorption atomique qui
sont dédiés au dosage de ce métal.

 Lampe à décharge sans électrodes


Les métaux volatils: As, Bi, Ge, Pb, Sb, Se,
Sn). Elle est constituée d’un tube en quartz
scellé contenant un gaz inerte et une petite
quantité d’une espèce métallique, où d’un
de ses sels

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Instrumentation
2.L’atomiseur :

.
Doit donc fournir des atomes libres sans les exciter.
Il faut de la chaleur pour faire passer l'échantillon
généralement en solution à l’état d’un gaz atomique.

Cette chaleur peut être générée par une flamme ou par


un four de graphite.

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Instrumentation
2.L’atomiseur :

 Flamme:
▸ La flamme est produite à l’aide d’un brûleur
alimenté par un mélange
combustible/comburant. Ex: acétylène/air
▸ introduction dans la flamme se fait par
pulvérisation dans le gaz comburant,
▸ fractionnement dans le jet gazeux en
gouttelettes de diamètre variable

▸ On choisit le mélange de gaz en fonction de la


température nécessaire pour obtenir l’atome à
l’état de vapeur. Exemple :
▸ Na (1800 °C) ⟹ butane ou propane
▸ Al (plus de 2000 °C) ⟹ hydrogène

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2.L’atomiseur : Instrumentation

 Four graphite: électrochimique


tube cylindrique, traversé par le faisceau incident
provenant de la lampe utilisée.
À l’intérieur, on trouve une petite plate-forme
Un petit orifice va permettre de réaliser une injection
d’un certain volume d’échantillon
on travaille en atmosphère inerte sans oxygène
(Argon) Le chauffage de l’échantillon à l’intérieur du
tube, se déroule en trois étapes principales :
séchage 100 C°, décomposition 400 C°, et
atomisation 2000C°.
Après l’atomisation, une étape de nettoyage à
température élevée 2300C°permet d’évacuer les
résidus subsistant dans le tube
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2.L’atomiseur : Instrumentation

 Atomisation des hydrures:  Technique de vapeur froide


Certains éléments dificiles à doser par Utilisée spécifiquement pour le mercure (à
SAAF, SAAGF : Se, Sb, Bi ont la propriété de une pression de vapeur assez importante à
former des hydrures volatils température ambiante) qui peut être réduit
Le générateur d’hydrures est situé en à l'état atomique par un agent de réduction
dehors du spectrophotomètre. fort, comme le borohydrure de sodium
La cellule d’atomisation qui est placée dans NaBH4 , ou le chlorure stanneux SnCl2 .
le faisceau optique, à la place de la flamme
ou du four.

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2.L’atomiseur : Instrumentation

▸ La SAA flamme permet de ▸ SAA four graphite permet de


déterminer des concentrations de déterminer des concentrations en
l’ordre de ppm (mg/L) ppb (µg/L).
▸ Bonne précision ▸ Très haute sensibilité: tous
▸ Analyse courte l’échantillon est atomisé en une seule
fois, les atomes restent plus
▸ Nécessite des gazs inflammables,
longtemps dans le trajet optique
▸ Opération impossible sans
▸ Plus d’interférences chimiques
surveillance
(étape de décomposition)
▸ Analyse lente, couteuse

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2.L’atomiseur : Instrumentation

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Instrumentation

1. 3. Monochromateur 1. 4. Détecteur:
Le rôle du monochromateur consiste à Il mesure les intensités lumineuses
éliminer toute la lumière, quelle que soit nécessaires au calcul des absorbances.
son origine, ayant une longueur d’onde
différente de celle à laquelle on travaille

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INTERFÉRENCES ET CORRECTIONS

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INTERFÉRENCES

Superposition de la  Chimiques
raie de l’élément à Elles sont dues à la formation
doser et les raies dans la flamme d’oxydes
appartenant à un autre réfractaires ou de sels peu
 Spectrales élément. volatils.
affectent la mesure spectrale Elles résultent des
Superposition
d’absorbance de l’analyte en modifications, dans la source
d’absorbances
causant des erreurs dans la d’atomisation, des processus
provenant de
détermination de sa de dissociation,
molécules
concentration par : d’oxydoréduction ou
Diffusion de la lumière d’ionisation.
incidente sur des petites
particules solides
formées dans l’atomiseur
pendant la nébulisation

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INTERFÉRENCES

 Physiques  Ioniques:
liées aux propriétés physiques Les interférences d’ionisation
des solutions étudiées. Ce se rencontrent lorsque
type d’interférences se l’analyte est un élément
remarque plutôt en SAAF facilement ionisable, car tout
un changement, par exemple, atome qui s’ionise ne peut
de la viscosité entre les plus être dosé
étalons et les échantillons
peut apporter des erreurs.

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CORRECTION
Le rôle des correcteurs est de mesurer automatiquement les
Absorbances Non Spécifiques dues aux interférents en tout genre afin
de les soustraire de l’absorbance totale.

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CORRECTION:
 Spectrales:
 Correction par lampe de ▸ la source primaire = la lumière est
Deutérium : atténuée par les absorptions
produisant une lumière L’atomiseur est éclairé spécifiques et non spécifiques.
continue dans tout l’UV, alternativement par : ▸ la lampe à deutérium = la lumière est
Le monochromateur atténuée par les absorbances non
sélectionne la raie spécifiques.
caractéristique de l’analyte λ0
tandis qu’il laisse passer la
lumière de la source continue
sur toute la largeur de la AS =A totale−Ans
bande passante .

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CORRECTION:

 Spectrales:
 La correction par effet Smith-Hieftje ▸ Alimentation de la cathode en 2 phases:
1. la lampe est alimentée normalement
(courant faible) et la raie d’émission est
normale
2. durant un court instant, elle est
suralimentée (courant élevé) = la densité
du nuage atomique à l’extrémité de la
cathode augmente et les atomes peuvent
absorber les photons qui sortent de la
cathode. = raie d’émission large et le
centre auto absorbé par les atomes

A corrigée=A totale(raie normale)−Anon spécifique.(raies renversées)

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CORRECTION:

▸ parce que l'analyte ne peut absorber que la longueur d'onde qui était déjà auto-
absorbée par les atomes de la cathode , l'analyte n'absorbera rien. La matrice et
les autres impuretés, cependant, absorberont les longueurs d'onde de la ligne
élargie

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CORRECTION:

 Spectrales:
 Par Effet Zeeman ▸ Les deux autres sont
▸ lorsqu’ on est en présence répartis symétriquement
d’un champ magnétique, de part et d’autre du
le niveau excité va se niveau central. Ce sont les
diviser en trois sous- niveaux E+ 1 et E-1
niveaux,. Un de ces
niveaux, E1 (le meme
▸ Les niveaux énergétiques
niveau quen absence de
des atomes produits dans
champs magnétique
la lampe à cathode creuse
sont démultipliés de telle
sorte que l’émission est
décomposée en trois raies,
π /λ0 ​et deux σ/ λ’ λ ‘’ qui
sont légèrement décalées.

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CORRECTION:
 Spectrales:
 Effet zeeman:
​Lorsque le polariseur est
parallèle au champ, la raie π
passe dans l’atomiseur
=absorption spécifique et
absorption non spécifique.

Lorsque le polariseur est


perpendiculaire, les raies σ
éclairent l’atomiseur et sont
atténuées uniquement par les
absorbances non spécifiques
. A corrigee =A totale(π)−A non specifique(σ)

) .

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CORRECTION:

 Chimiques: Éviter la Formation de sel réfractaire


Éviter la Formation d’oxydes Ca3(PO4)3+3LaCl2⟶La3(PO4)3+3CaCl2
Exemple : Al2O3, AlOH. ▸ on ajoute un sel (tampon spectral) dont le cation est
on utilise une flamme dite réductrice : capable de former des sels encore plus insolubles et
•Faible teneur en oxygène dans le gaz. susceptibles de donner des sels plus volatils avec
l’élément à doser.
•utiliser le protoxyde d’azote (N2O) comme oxydant
▸ Les sels les plus utilisés sont: Chlorure de strontium:
Chlorure de lanthane:

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CORRECTION:

 Physiques:  Ioniques:
un changement, par exemple, de la présence d’un autre
la viscosité entre les étalons et les élément plus facilement
échantillons peut apporter des ionisable modifie l’équilibre
erreurs.
d’ionisation de l’analyte. Il
Pour corriger ces interférences peut être ajouté afin de
on: diminuer l’ionisation de
Rend la solution iso-visqueuse: l’analyte (effet tampon) et
addition d’albumine, ou d’agents donc accroître l’absorbance
mouillants.
Pour doser les alcalins, il
existe un élément qui s’ionise
plus facilement qu’eux : un sel
de tantale. Il y a protection de
l’alcalin

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APPLICATIONS

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La SAA couvre un vaste éventail d’applications

Biologie: sang, urine Pharmacie:


Dosage du: Ca2+ , Mg2+ -Pour vérifier la teneur en
Dosage des oligo-éléments: Zn2+, aluminium (risque
Cu2+ , Ce2+ d’encéphalopathie) dans les
solutions de dialyse péritonéale.
-du Zinc dans les préparations
Toxicologie injectables d’insuline.
-Dosage des métaux lourds : Al, Cr, du Cadmium, Plomb et Nickel
Cd, Hg dans diverses matrices. dans le stéarate de magnésium
-Dosage du Pb dans le sang
(suspicion de saturnisme,
surveillance professionnelle)
-Dosage du Cu dans les urines
(maladie de Wilson)
-Dosage de As dans les cheveux
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(intoxication)
1. Préparation de l’échantillon Applications

la SAA nécessite deux qualités des échantillons :


fluidité et homogénéité.

Humeur et urine dans le cas


du dosage de Cu: nébuliser
 Cas des échantillons directement
liquides:
urine, sang, humeur, LCR:
Urines dilués pour dosage des
Mg

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Applications
1. Préparation de l’échantillon Minéralisation :
Par voie sèche
Par voie humide
Plasma ou sérum:( viscosité)
on doit diluer au 1/5 ou 1/10 ce Déproteinisation:
qui va entrainer la diminution des Précipitation des protéines
Concentrations (- en cas de qui peuvent interférer avec
dosage d’oligoéléments) les éléments à doser Ca
Pour éviter ces problèmes de
concentration: Extraction:
Par solvant Toluène
pour dosage de As

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Applications
1. Préparation de l’échantillon
 Cas des organes:
Après broyage ou pulvérisation de l’organe, on procède à une extraction
par des solvants volatils

Digestion nitro-perclorique: Digestion nitro chlorhydrique:


HNO3, HCLO4 HCl, HNO3
Métaux ayant des liaisons fortes Faible liaison au protéines:
Cu-Fe alcalins alcalino-terreux

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Applications
2. Mesures

▸ La spectrométrie d’absorption atomique est une méthode analytique comparative ;


elle implique un étalonnage.
Étalonnage externe : L’étalonnage le plus courant s’obtient en mesurant l’absorbance
de solutions à concentrations progressives et connues en analyte.
Etalonnage par ajouts dosés :

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Applications
3. Exemples de dosages

▸ Dosage de l’Aluminium par SAAE


Pour établir une corrélation entre les variations du taux d Al dans le sérum ou dans le (LCR) et certaines
affections neurologiques, dosage réalisé chez 20 sujets
-25 µl de sérum sont injecté dans le four.
-La programmation en température : séchage de 60 s 2OO C°, minéralisation de 60 s à 3OO C°,
minéralisation de 120 s avec montée de la température jusqu’s 1550°C et atomisation avec interruption du
courant d’argon.
-Longueur d’onde 309,3 nm
-Réalisation d’une gamme détalonnage et mesure d’absorbance
-La concentration des échantillons est obtenue à partir de la courbe tracée
-Taux extrêmes : Sérum 28-40 µg/l LCR 16.5-25,5 µg/l

Analytica Chimica Acta, 101 (1978) 385-391 Q Elsevier Scientific Publishing Company, Amsterdam

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3. Exemples de dosages
Applications

▸ Dosage de l’Arsenic par SAAE et correction Zeeman:


Un homme de 75 ans est hospitalisé en Dermatologie pour une pigmentation cutanée diffuse du
tronc avec des petites taches achromiques et des papules kératosiques palmaires dans un
contexte d'altération de l'état général
-Dosage de l’As dans l'urine : une extraction par le chloroforme='arsenic inorganique (Asi) et ses
metabolites MMA + DMA. = 1772 µg/l
-Dosage de l’As dans le plasma: Après une précipitation des protéines par l'acide sulfosalicylique,
l'échantillon subit la même préparation que l'urine avant d'être analysé par GFAAS. La
concentration d'arsenic mesurée correspond à la somme As¡ + MMA + DMA.
-Dosage de l’As dans les phanères Les cheveux ou les ongles: lavage par du dichlorométhane puis
de l'eau déminéralisée et ensuite séchés à l'étuve à 37° C. Environ 100 mg sont digérés l'acide
nitrique. La concentration d'arsenic mesurée correspond à l'arsenic total. Cheuveux=80 µg/ml,
ongles = 120 µg/l

Annales de Toxicologie Analytique, vol. XIH, n° 3, 2001 :Chronic arsenic poisoning

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AVANTAGES ET LIMITES

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AVANTAGES ET LIMITES

 Cependant, on peut noter un certain nombre de


limites :
 La SAA est une méthode
quantitative simple, rapide,  nécessité d'utiliser pour chaque élément à doser une
sensible, source caractéristique,
 très sélective et relative (il faut  technique d'analyse destructrice,
donc faire une courbe  domaine d'application limité presque exclusivement
d'étalonnage). aux métaux (Cu, Zn, Pb, Cr, Fe, Cd, etc.…)
 Elle nécessite une faible quantité  L'existence parfois d'interférences chimiques
d’échantillon. sévères.
 Les solutions étalons sont faciles  L'aspect non qualitatif de la technique impose la
à préparer. connaissance des éléments à doser afin de choisir la
source adaptée.
 Ne permet pas l’analyse simultanée d’éléments.
 Nécessité d'avoir des concentrations assez faibles
(afin de respecter le domaine de linéarité de la loi de
Beer-Lambert).
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CONCLUSION
La spectrométrie d’absorption atomique est une méthode très répandue, grâce à son prix faible, et
compte tenu de sa polyvalence et de sa simplicité d’utilisation, considérée comme la méthode de
référence pour l’analyse élémentaire quantitative , elle a donner de l’essor dans beaucoup de
domaines (Biochimie, Toxicologie , Environnement … ).
À cause des limitations de la SAA, le fait qu’elle nécessite pour chaque élément à doser une source
lumineuse caractéristique, la complexité des matrices, ainsi que la non maitrise des perturbations
éventuelles qui peuvent influer sur la sensibilité et la précision de l’analyse; la SAA est complétée
ou remplacée par une autre technique spectrale qui ne nécessite pas une lampe dédiée pour
chaque élément et qui permet une analyse simultanée multi-élémentaire sans choix préalable
appelée spectroscopie d'émission atomique (AES).

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RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
▸ Anne LE BOUIL et AL. Chronic arsenic poisoning (document en ligne), CHU Angers, Annales de Toxicologie Analytique vol. XI
n° 3, 2001, http://www.ata-journal.org .
▸ Chimie Analytique, La spectrophotométrie d’absorption atomique (en ligne) 05/06/19: http://
La spectrophotométrie d'absorption atomique — Chimie Analytique, (consulté le 18/11/22).
▸ Dr Bouklif.S, Spectroscopie d’absorption atomique, cours post graduation 2019/2020.
▸ Elhajji , Techniques Spectroscopiques, Chapitre 4 : Spectroscopie d’absorption atomique (document en ligne) , http://w
ww.fsr.ac.ma.
▸ Fundamentals de la Spectroscopie atomique, (document éléctronique), 2016, https://www.agilent.com
▸ Méthodes d’analyses chimiques, Chapitre 1; Spectrométrie d’absorption atomique (en ligne)
http://www.foad.uadb.edu.sn/mod/book/ (consulté le 18/11/22)
▸ Maurice Pinta et AL. Spectrométrie d’Absorption Atomique: Application à l’analyse chimique. Chapitre 3: Sources
d’atomisation, Tome I, Paris, 1971, p 181, 192.
▸ Maurice Pinta et AL. Spectrométrie d’Absorption Atomique: Application à l’analyse chimique. Chapitre 10: Préparation des
échantillons, Tome II, Paris, 1971, p 541-545.
▸ M. DE KERSABIEC et M. L. RICHARD, Possibilités d‘exploitation de l’effet Zeeman pour la correction d‘absorptions non
spécifiques en absorption atomique . Applications pratiques , Analusis v. 10, no 5, p 207 à 215, 1982 (en ligne)
https://www.documentation.ird.fr/ (consulté le 18/11/22).
▸ Yves Pegon, Dosage de l’Aluminium dans les liquides biologiques par absorption atomique sans flamme, Elsevier Scientific
Publishing Company (en ligne), 1978, https://www.sciencedirect.com/science/article/,
40 (consulté le 20/11/22).

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