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Partie 3
• Particules chargées
Réactions nucléaire
o Directement ionisants
o indirectement ionisants
Projectile: Particule
chargée lourde de
masse Mp
• Démonstration
Et si la particule
incidente est un
électron?
n densité atomique(nombre
d’atome par cm3
• Aujourd'hui on ne connait pas une particule de matière qui ne soit pas massive (masse ≠ du
poids lié à la force de gravité (N)= Masse .AP)
• Par exemple quand vous allez sur la lune votre masse ne change pas, nombre de kilo n’est
pas modifier mais votre poids change car AP de la sur la lune est plus faible que sur la terre.
Chaque atome de votre corps est attirée par tous les atomes de la terre, dans la lune il y
a mois d’atome que dans la terre donc la force d’attraction est plus faible. C’est une
interaction de très faible intensité il est quasiment nulle
• La masse grave qui est l’étiquette qui porte un cops que reconnait la gravitation
( Poids=m(grave).
• La masse inertielle mesure l’inertie d’un corps c.-à-d. la difficulté qu’il y a à modifié le
mouvement d’un corps (fondamentale de la dynamique). =>Plus un corps à une masse
inerte élevée plus son inertie est grande et plus il est difficile de modifier son mouvement.
=> Pour Newton les deux masses sont égales il l’explique pas
Einstein va reformuler cela et il constate qu’il s’agit non pas d’une égalité mais d’une
identité ( les deux sont la même chose) => il invente la théorie de la relativité =>La vitesse
de la lumière comme vitesse limite que peut avoir les corps
• La vrai formule est celle-là E2=m2c4+p2c2 => particule au repos =>formule habituelle
=> s’il est pas au repos il faut ajouter l’impulsion.
• C’est une formule intéressante car il ronds possible l’existence des particules de
masse nulle (photons pas de masse)
• Si ces particules existe elle ne peuvent pas connaitre le repos il sont obliger d’aller à
la vitesse de la lumière c’est évidement le cas pour la lumière.
• Ces des particules dont on peut changer de l’énergie on peut pas changer leurs
vitesse.
=> l’inertie devient plus grand que la masse des que l’énergie cinétique est non nulle
=> En relativité la particule à une inertie qui augmente avec la vitesse ce qu’il veut dire plus
elle va vite plus il est difficile de la faire aller plus vite un nomment son inertie devient
tellement grand que même si on lui donner de l'énergie vous n’augmentez pas sa vitesse
vous buter sur une vitesse limite qui est la vitesse de la lumière.
Ce qu’on fait dans les accélérateurs des particules. Par exemple dans LHC on injecté les
protons à une certaine énergie 500 GeV. Il vont quasiment a la vitesse de la lumière on leurs
donne de l’énergie tour par tours et tous ca se fait a vitesse constante on leurs donne de
l’inertie de l'Energie pas de vitesse
• 1905 année miraculeuse 4 papiers de Einstein sur des sujets complétement différents.
• Hypothèse que la lumière n’est pas ondulatoire certaine phénomène physique qu’on ne peut
pas expliquer (l’effet photoélectrique).
• Donc il dit que dans la lumière il y a des corpuscules des photons (quanta de lumière).
Il dit que E=mc2 reste vrai même si le corps perd de l’énergie autrement qu’on émettant de la lumière => les sels de
radium récemment découvert par madame Curie pourrait en fournir la preuves. Il dit que la vitesse de la lumière est
une constante fondamentale de la physique qu’on retrouve dans la description des phénomène y compris les
phénomènes qui mette pas en jeu la lumière
• Tout corps massif se voit se doter d’une énergie « énergie de masse », en générale
beaucoup plus grandes que l ’énergie que nous pouvons lui communiquer en le chauffant
ou en l’accélérant
• 1 gramme (de beure, d’épinard, d’uranium) = 90 000 milliards de joules, soit de quoi
nourrir un être humain pendant des milliers d’années (pourvoi mangeant- nous autant?).
• L’énergie de masse d’un moustique est égale à l’énergie cinétique d’un airbus qui volait
à 10000 kilomètres par seconde
fusion fission
1) vous prenez deux noyaux légers Deutérium et 2) Prenons l’exemple du noyau d’ U (92p, 142n)
Tritium vous les faite fusionner (He-5) qui va C’est un corps fissile, lorsqu'un noyau d’uranium est
donner de He-4 avec émission d’un n si vous percuté par un n va se couper en deux => réaction en
calculez la masse totale de He-4 et du n vous verrai Ch=> lorsqu'on pèse le système =>la masse finale
qu’il est plus faible de la masse totale de Deutérium est plus légère que la masse initiale => il y a de la
et Tritium qui été au départ la différence de masse masse disparu dans cette interaction=>Elle est
c’est de l’énergie pure qui est transférer en énergie transformé en énergie en EC des deux noyau
cinétique au neutron est He qui vont pouvoir produits, cette énergie par différente stratagème pour
chauffer l’eau. produire de l’énergie électrique.
• Dans une collision de particules à haute énergie, la masse n’est pas conservée.
• Les particules produites ne sont pas des fragments des particules incidente
• Etrangement, une propriété d’objet (la vitesse) peut se transformer en un autre objet
• Il a fallut expliquer pourquoi alors que les équation implique que la masse des
particules devrai être de masse nulle pourquoi nous observons que la plupart des
particule de matière ont une masse non nulle.
• Après on a compris que la masse d’une particule n’est pas une propriété intrinsèque
d’une particule c’est pas une propriété primitive.
• On réalité c’est une propriété secondaire les équations ont raisons les particules
élémentaire n'ont pas de masse d’où vient alors que certain ont de la masse.
Il ont compris que la masse des particules élémentaire résulte des interactions des particules élémentaire sans masse
avec le vide qui est du coups n’est pas vide dedans il y a un champs qu’on appelle le champs de Higs qui vas donner
son nom au boson de Higs. La masse est le couplage des particules élémentaire et le champs de Higs qui remplit
tout l’espace. Le fait de détecter le boson de Higs en 2012 la preuve que cette idée est la bonne.
électrons neutrons
< 10-8
• PC-Lourdes
• PC-Légères
• Photons
• Particule incidente.
• A Ec égale, le pouvoir d’arrêt collisio est 10 fois plus élevé pour les α que les protons.
• Le pouvoir d’arrêt diminue avec l’énergie cinétique
• ρ est le facteur matériau qui a le plus d’impact sur le pouvoir d’arrêt linéique
• S/ρ indépendant de la masse volumique (dose est la même dans l’eau à différent état)
2017/2018 Physique des radiations 55
Point de vue particule chargée lourdes :
Pouvoir d’arrêt linéique S
252 keV
message: Modèle de Bethe plus adapté a Ec faible pour décrire la physique du freinage de la P incidente la
particule est susceptible de se neutraliser partiellement ou totalement. plus un noyau qui se déplace mais un
atome partiellement ioniser à terme un atome.
message: Malgré tout, en utilisant la formule de bethe jusqu’au bout de ces possibilité, on obtient des
résultats acceptable
2017/2018 Physique des radiations 57
Point de vue particule chargée lourdes :
Pouvoir d’arrêt linéique S
21,1 KeV
9,15 KeV
4,45 KeV
Cet effet est lié essentiellement à la masse volumique du matériau
message: Un proton de 10 MeV perd 4,45 KeV dans 1µm d’eau, 9,15 KeV dans 1 µm d’aluminium et de 21,1 KeV dans 1 µm de
plomb=>On comprend alors pourquoi le parcours des protons de 10 MeV est égale à 1230 µm dans l’eau, 628 µm dans l’aluminium
et 298 µm dans le plomb.
message: Cet effet est lié essentiellement à la masse volumique du matériau (pour ilustrer cet effet de densité le parcous dans
l’air des protons de 10 MeV est de 1,12 m.
26) message: cette équation ignore certains effets de diffusion coulombienne (sur
le noyau=>Le parcours calculé est petit que celui réel)
Pour les particules chargées lourdes ces effets sont souvent faibles et le calcul
est une bonne approximation pour des Ec > au MeV, on obtient des valeurs
comparables aux parcours calculés dans CSDA avec une très bonne précision.
dE/dx doit inclure le pouvoir radiative (souvent négligeable pour les tissus et
les énergies d’interet en dosimétrie médicale???? )
Ec << au MeV
Section efficace de
Rutherford
1 MeV 24,5 µm 6 µm
5 MeV 362 µm 37 µm
29) message: Dans les domaines de la radioactivité et des réactions nucléaires les
énergies d’émissions sont en générale inférieur à 10 MeV.
30) message: parcours devient millimétriques et éventuellement centimétrique a partir
de plusieurs dizaines de MeV, énergie généralement atteint avec des accélérateurs
31) message: On retrouve entre les parcours des protons et des particules α un
rapport de l’ordre de 10, comme c’était le cas entre les pouvoir d’arrêts.
• PSTAR
• ASTAR
https://physics.nist.gov/PhysRefData/Star/Text/intro.html
Un hadron est une particule former de quark et antiquark et cela peut être un neutron, un proton ou des noyaux d’atomes qui ont un numéro
atomique faible donc le carbone et on aurait pu imaginer l’azote, l'oxygène qui sont potentiellement à l’étude. La différence majeurs c’est
que il ont masse et une charge donc on peut les ciblées. Et puis non seulement ça permet de les ciblés mais aussi il vont avoir une efficacité
biologistes relative EBR élevé qui va être supérieur à celle des photons ce qui fait qui vont être plus efficaces alors c’est proportionnelle à
leurs masse pour les proton ça sera moins que les ions carbone qui sont plus lourd qui auront une EBR 2 à 3 fois supérieur à celle des
photons alors que pour les protons il est autour de 1,1 1,2.
Principe de la
Radiothérapie
D'après les chiffres de INC qui ont été publier en 2016 on sait que aujourd'hui en France se
sont près de la moitié des patients qui sont atteint d’un cancer qui vont êtres traités par RT.
Se qui concerne comme même 19200 par an. On peut revenir sur ce qui est la
Radiothérapie. La radiothérapie est traitement locorégional, qui ne s'adresse qu'un une
forme débutante du tumeurs lorsqu'il sont pas encore métastasés. Ce qui est comme même
70% des cas découvert en France. Cette radiothérapie vise grâce à ces radiation ionisant les
rayons X . Ces rayons X vont déposés de la dose dans les tissus en particulier dans les
tumeurs grâce un feu croisé de faisceaux. Ces faisceau vont traverser une seule fois les
tissus sains mais à chaque fois la tumeur. Cette dose va modifier l’ADN des tumeurs en
cassant l’ADN, ces lésions pour leurs immenses majorités vont être réparée par la tumeur
et pour un certain nombre sont suffisamment grave pour que la cellule ne peut pas les
réparés et elle va cesser toute fonction de multiplication cellulaire et à terme être détruit par
l'organisme avec les globules blanc les histiocyte (doué d'un grand pouvoir phagocytaire),
ce n'est pas une explosion ou destruction physique c'est une modification biochimique et
génétique qui va amener la cellule à stopper sa prolifération et à terme disparaître. Ça c'est
le principe de la RT.
Problémati
que
La radiothérapie ainsi que la radiobiologie qui sont deux domaine de recherche qui sont en perpétuel évolution. Puisque l'objectif est d'augmenter la dose
à la tumeur toute en épargnant les tissus saints c'est vraiment la problématique actuel et en particulier ces Hadron vont pouvoir répondre à cette question.
Quand on s’intéresse à la radiothérapie conventionnelle qui envoie des photons sur les tumeurs et si on s'intéresse à des tumeurs plus profondes le dépôt d'énergie des
photons se fait depuis la peau et décroît très peu jusqu'à la tumeur ce qui veut dire qu’on a une dose dans les tissus d'entrer et dans les tissus de sortie. Alors que lorsque on
s'intéresse au hadrons comme les protons ou les ions Carbone Au départ il ont plus d'énergie donc il traverse plus rapidement les tissus sans déposer de dose et par contre
donc en fin de leurs parcours sont plus ralentir c'est ce qu’on appelle le pis de Bragg donc ce qui épargne les tissus saint avant et après la tumeur. Alors si on peut traiter une
tumeur et parce que un seul pic de Bragg ne peut pas couvrir la tumeur on Module le faisceau l'intensité du faisceau et on va superposer un nombre de pic de brag
consécutifs de tel façon avoir un pic de Bragg étalé, donc ca va être la grande différence entre Radiothérapie conventionnelle et l’hadronthérapie.
Notion du pic de Bragg
Oui toute à fait c'est Robert Wilson en 1946 en étudiant la disparition de dose dans la
matière en générale à découvert ce fameux Bic de brag et il s’est dit voilà une solution à
cette RT qui irradier de part en part le patient.
La différence est absolument fondamentale dans la distribution de dépôt de dose entre les
photons et les hadrons. Parce que il une charge une charge il y a une masses. Parmi les
hadrons les neutrons sont pas chargés donc il se comporte comme des photons. Le fait qui a
une charge qui fait que l’interaction avec les tissus entraîne un freinage obligatoire qui est
minime lorsqu’ il sont très véloce à l'entrée du tissus, et ce phénomène va entraîner un
phénomène catastrophe plus une particule chargée se ralenti plus donc elle peut transféré de
l'énergie, et un moment il y a un phénomène de résonance qui se produit les tissus sont
parfaitement en accord avec la capacité d'absorption le reste de l'énergie et là en quelque
micromètre la particule s'arrêter avec un feu d'artifices d'ionisation et c’est ça qui est très
destructeur, et après il y a plus rien y a plus de faisceaux de sortie. Donc le pic de Bragg
c’est ce phénomène là si vous voulez et donc il faut le dompter et si on étale pas le pic Bragg
on peut strictement rien en faire. Et l'étalement du pic est une technique très complexe qui a
nécessité beaucoup d’approche qui sont en permanence améliorer.
Le fait qui a cette densité d'ionisation phénoménale en fin de parcours c'est quelque chose
qu'on jamais avec les particuliers neutron tel que les photons et les neutrons et du coups ça
produit une destruction. Toute à l’heure je parlais des dégâts d’ADN qui produit des grraps
d’ionisation en fin de parcours toute à fait modeste là on est à une autre échelle on dépose
pratiquement en fin de parcours presque 2000 fois plus d'énergie par Micromètre qu'avec
les rayons X donc les dégâts qu’on va occasionner à l’ADN des tumeurs sont d'une autre
mesures et là les cellules ne peuvent pas réparer comme ça on peut vaincre la
Notion du pic de
Bragg
A quelle type des tumeurs s’attaque ton lorsqu’on utilise cette
technique d’hadronthérapie?
Avec les protons on va s'intéresser aux tumeur proche des organes sensible à risque comme
l'œil comme la moelle épinière le cerveau, donc ca sera des tumeurs cérébrale comme des
sarcomes des endrosarcome. Et surtout une des indications majeur ça sera les tumeurs
pédiatrique puisque les enfants ont des tissus en cours de maturation donc radiosensible
donc il est important d'épargner les tissus saints. Quand à la radiothérapie avec les ions
carbone la on va traiter des tumeurs dit radio résistantes qui sont hypoxique car l'oxygène
est un radios-sensibilisant pour la radiothérapie conventionnelle avec les photons alors que
les C sont suffisamment efficace pour agir indépendamment de la présence de O2. Cellules
hypoxique faible taux de l’oxygène. Puisque dans les grosses tumeurs il peut avoir des
zones dit hypoxique voir également des tumeurs proche d'organes à risque on va parler des
endrosarcome, des cordome et des gliomes. Ces tumeurs se situe dans os dans le rachi dans
le cerveau pour la plupart des indications. Alors ensuite il y a des il y a des indications
nouvelles comme le cancer du ponceras et les cancers de la prostates.
Que ce que c’est que une tumeur résistante à la radiothérapie et pour quoi une tumeurs
résiste à la radiothérapie?
C'est une question m épineuse on peut définir la radiorésistance de deux manières. D'abord c'est une caractéristique relative c'est radiorésistant
parce que se qui est autour est très radiosensible en ce moment là vous nous pouvez pas apporter la dose qu'il faut à la tumeur sans avoir
apporter un effet très délétère sur le tissu avoisinant alors votre tumeur va résister puisque vous ne pouvez pas donner la dose qu'il faut, ca c’est
la première définition. là effectivement la balistique (avec les proton on parle de l'efficacité balistique ) peut être une réponse, et puis il y a des
tumeurs qui ont une résistance intrinsèque qui est à peine imaginable on peut donner dans certains tumeurs une dose phénoménale de plus de
100 Gry et il vont survivre et rechuter et là il faut vraiment passer à un autre principe thérapeutique qui est celui de ces dépôts d'énergies
extrêmement concentrés cette densité d'ionisation toute à fait exceptionnelle via des ions Carbon qui vont produits les phénomènes qu'on a
décrit tout à l'heure. Et ces tumeurs il peuvent se situer partout.
Il faut noter une chose la plupart des tumeurs radio-résistantes courantes sont tout simplement des indications chirurgicales des
adénocarcinome d’une manière naturelle sont assez radio- résistant on les opèrent tous se sont des formes de cancer glandulaire (cancer du
sein, rectum et prostate), ca se sont des indicateurs chirurgicales car on sait pas guérir à faible dose à coup sur ces tumeurs pars que sont
naturellement radio résistante.
Alors il y a pire que cas des tumeurs qui évolue progressivement qui sont capable d’envahir les tissus avoisinant avec peu de symptômes alors
qu’on ils sont découvert ne sont plus chirurgicales et on peut plus les opérés notamment comme les chordomes et les chordosarcome, qui sont
découverte extrêmement tardivement et donc y a plus possibilité de faire exérèses donc pour ces tumeurs là effectivement LHT par ion C peut
être une solution.
Quelle sont les limites
de l’HTce que vous avez des tumeurs qui essaime leurs
Il y a un point qu'il est très important
environnement des cellules tumorale et qui nécessite lorsqu’on les traite par radiothérapie
qu’on irradier un grand volume et dans ce grand volume il y a surtout des cellules saines
ces tumeurs là on ne peut pas les traiter par HT parce que les cellules saines qui sont
mélanger avec les cellules cancéreuse elle il vont avoir l’effet de la radiothérapie et se
n’est pas supportable, donc une des limites de la HT qui vient de son extrême précision
Sacrum
c’est le fait que vous devez avoir aussi une extrême définition de la tumeur et ca une des
limites importante. Une tumeur extrêmement envahissante très macroscopiquement
infiltrée dans les tissus peut être très difficilement appréhender par l’HT car on peut pas la
définir comme il faut a cause de cette précision.
L’utilisation des nanoparticules associé a la HT est une démarche tout à fait indispensable,
la radiorésistance des tumeurs est assez inimaginable et malgré la Carbonne thérapie il y a
des tumeurs qui résiste Il y a aussi un autre phénomène qu'il faut bien comprendre c'est
que vous avez dans certains tumeur bien évoluée l'incarcération des organes que l'on veut
protéger par exemple une tumeurs de l'hypothèse peut très bien entourer complètement ce
qu'on appelle le chiasma optique qui est le croissement des deux nerves optiques
intimement dans la tumeurs. Il est quasiment impossible avec seulement les artifices
balistiques de protéger cette structure si on est pas capable d'augmenter la sensibilité ou la
dose du tissus tumorale spécifiquement on arrivera jamais a faire vraiment des progrès
Quel est l’intérêt d’utiliser les nanoparticules radiosenssibilisantes associé à la CT?
Quelle est clairement la différence entre la
Outre le fait que laproton
protonetthérapie
l’HT? à un avantage balistique c-d-a le on peut viser très
précisément et HT va avoir un avantage plus biologique. Tout à fait ça les proton c'est le
ciblage avec une petit diffusion (la diffusion multiple des protons est d’autant moins
négligeable que la tumeur est profonde) un peu moins que les carbone donc on est un peut
plus cibler avec les C et que HT ca va être surtout pour les tumeurs hypoxique à
développement long et tumeurs radiorésistantes, les protons sont utilisés surtout pour les
pour pénétrer 30 cm de tissus il faut une
enfants parce que lahttps://doi.org/10.1016/j.ijrobp.2007.08.029
CT n'est pas encore utilisé chez les enfants parce que 220
énergie d’environ ceMeV qu’on
avec despas
protons,
et 400 MeV par nucléon pour des ions
encore évoqué les problèmes liés à la ceux du pic de Bragg on va carbone
avoir des fragment des
ions C et en particulier on va voir quelque neutron qui sont potentiellement
fragmentation toxiques et on etades
nucléaire des projectiles
atomes cible, qui pollue le faisceau au cours
pas assez de recul pour savoir si chez l'enfant peut avoir des cancerde sasecondaire
pénétration verssuite à la(effet
la tumeur
Carbonethérapie. d’autant plus important que la tumeur est
profonde)
• PC-Lourdes
• PC-Légères
• Photons
38) message:
La perte par Bremsstrahlung est ∞ à la charge au carré des noyaux du milieu et
de la charge de la particule (les tubes à rayons X utilise un faisceau d’électron avec
une cible de noyaux lourd comme le Tungsten (Z=76) ).
Plus la particule est proche d’un noyau (r), plus l’accélération est importante (ainsi
que la déviation) et plus les pertes radiatives sont importante (dépendance en 1/r 4)
Les PC-L seront peu soumises au RF du fait de leur masse élevée (un muon est 207
fois plus lourd qu’un e- et perd ainsi 40000 fois moins d’énergie par Bremsstrahlung
qu’un électron.
2017/2018 119
Point de vue particule chargée légères (e-, e+) :
Comparaison pouvoir d’arrêt électrons/protons
Zone III : à partir de 10 MeV, le pouvoir d’arrêt ne cesse d’augmenter, c’est ici le
domaine relativiste ou le pouvoir d’arrêt radiatif prédomine. A tel point que le
pouvoir d’arrêt des électrons rattrape, vers 165 MeV (pour un parcours dans
l’eau de l’ordre de 30 cm), le pouvoir d’arrêt des protons, et le dépasse.
43) message: dans l’eau la fraction rayonnée bremmshralung reste négligeable. Pour
des e- de 10 MeV, la fraction rayonnée est de l’ordre de 1 %, il faut 100MeV que la fraction
rayonnée soit proche de la fraction absorbé par effet collisionnel.
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 123
Point de vue particule chargée légères (e-, e+) :
Comparaison pouvoir d’arrêt collisionnel et radiatif (tungstène)
44) message: Il est intéressant de regarder cette même courbe pour des électrons
dans le tungstène matériau lourd au sens microscopique Z=74 et macroscopique
ρ=19, 3 g.cm-3
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 124
Interaction particules chargées-électrons: rayonnement de
freinage (Bremsstrahlung) et pouvoir radiatif
• La section efficace de rayonnement de freinage pour une particule relativiste de
masse m et de charge ze, varie en Z2 pour un milieu ralentisseur de numéro
atomique Z :
44) messages:
•Egalité des masses : les transferts de QM sont beaucoup plus important.
•Déflexion de trajectoire beaucoup plus importante que pour les (PCL).
•En fin de parcours les trajectoires sont plus des trajectoires rectiligne comme (PCL)
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 129
Point de vue particule chargée légères (e-, e+) :
L’allure diffuse des trajectoires des PC-Légères
45) messages:
•L’énergie cinétique de l’électron baisse car les échanges d’énergie et de quantité de mouvement sont
plus intenses à des faibles vitesses
•Le matériau est de numéro atomique élevé, car ce sont les noyaux qui sont responsable des effets de
diffusions violents.
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 130
Point de vue particule chargée légères (e-, e+) :
L’allure diffuse des trajectoires des PC-Légères
46) messages:
•Cet effet de diffusion et l’obliquité des trajectoire font que:
•La fluence des électrons baisse sensiblement en fonction de la profondeur
•Un é- peut passer plusieurs fois à la même profondeur
•Le pic de bragg des e- peut se produire à diverses profondeurs, d’un é- à un autre
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 131
Point de vue particule chargée légères (e-, e+) :
L’allure diffuse des trajectoires des PC-Légères
47) message: Caractère chaotique des trajectoires des e-, la profondeur max atteinte dans un
matériau est inférieure à la longueur effective (différente d’un e- a un autre)=>Cette profondeur
maximale est nommée « portée ». Pour simplifier les calculs, on modélise l’interaction e- matière
considérant les trajectoires rectilignes=>dans ce cas on parle du parcours virtuel de Bethe ou
encore (Parcours CSDA)=>Continus slowling down approximation
48) message: Si l’on s’intéresse à un grand nombre d’électrons, la portée moyenne se définit
comme la profondeur à laquelle la fluence est devisée par deux. De façon générale, cette portée est
inférieure au parcours de Bethe d’environ 10 à 30% suivant l’énergie, la portée tends vers le parcours
de Bethe lorsque l’énergie cinétique des électron augmente
49) message: quelque outils utile pour modéliser le parcours des particules Alpha, électron
et proton (SRIM, estar, Pstar)
47) message: Pour les électrons de 10 MeV dans l’eau. Le pouvoirs d’arrêt
radiatif reste très faible le long de la trajectoire et ne cesse de diminuer alors
que l’énergie de l’électron baisse. Sur l’ensemble du parcours, le rendement
de freinage moyen est ici égal à 4%.
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 140
Point de vue particule chargée (Alpha, Proton, e-, e+) :
Notion de pic de brag (e-, e+ )
49) message: En RT, par faisceaux e-, le pic de Bragg tend à se diluer sur une plus grande épaisseur
et donne aux profils de dose un aspect différent.On constate qu’avec les e- sur un parcours
maximum de 9 cm, la dose ne retombe pas à zéro comme en protonthérapie.Cet effet est lié au RF
générant une dose résiduelle plus en profondeur. =>effet augmente avec Ec e-
• PC-Lourdes
• PC-Légères
• Photons
γ -Caméra
5) message: la seul information que l’on puisse associer à chaqu’un des photons est
une probabilité Pd’interaction et 1-P de ne pas interagir => P=∆n/n= 18,7%
6) message: On peut parler avec les particules chargées d’atténuation en énergie à
fluence égale, avec les photons d’atténuation en fluence à énergie égale.
• Section efficace
• Coefficient d’atténuation
dP(x) = µdx
12) message: F(x) vérifie les conditions d’une densité de probabilité: Il est positive et
Son intégrale égale à 1
2017/2018
Interaction Photons matière: Aspect probabiliste
Rappel: f(ε) est la densité de probabilité
2017/2018
Interaction Photons matière: Aspect probabiliste
Rappel: f(ε) est la densité de probabilité(variable aléatoire)
Sa variance comme:
2017/2018
Interaction Photons matière: Aspect probabiliste
Application: PDF et la méthode Monte Carlo
Équation
d'échantillonna
ge de la
variable x dit
inverse
15)message: Maintenant, il est clair que si Ɛ est un nombre aléatoire, la variable x définie par
x = P-1 (ξ) est distribuée aléatoirement dans l'intervalle (x min; xmax) avec PDF p (x)
Il suffit de faire la somme des probabilités d’interactions pour toutes les valeurs
de x possible de x entre 0 et L:
Un photon qui
interagit est soustrait
de la fluence:
Probabilité d’interaction
Facteur de transmission
Eγ=60 keV
16) message: 87,3% des photons ont interagi ne signifie surtouts pas que la fluence totale
émergente est diminuée d’autant.
17) message: Cas des tissus biologiques l’interactions des photons se fait principalement par
des mécanismes de diffusions est une grands partie de ces photons de diffusions se trouvent dans la
fluence émergente
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 174
Interaction Photons matière: Aspect probabiliste
Effet connu des Radioprotectionnistes qui l’appellent « build-up en dose »
175
Interaction Photons matière: Aspect probabiliste
Application: PDF et certains grandeur d’intérêt
o Eau
o Air
o Aluminium
o Plomb
3)message: On constate qu’au-delà de 30 keV les libres parcours moyens sont très rapidement (cm)
4)message: Nous sommes nous-même, des cibles relativement épaisses pour les photons gamma et
que soumis à de telles irradiation, dans ce cas l’organisme entier sera susceptible d’être affecté d’une
dose en tous points.
Ei Proton alpha
0,1 MeV 1,6 µm 1,4 µm
1 MeV 24,5 µm 6 µm
5 MeV 362 µm 37 µm
49) message: quelque outils utile pour modéliser le parcours des particules Alpha, électron
et proton (SRIM, estar, Pstar)
3)message: Dans l’eau le libre parcours des photons de 1 MeV est de14
cm pour une même énergie le parcours des e- est de 0,44 mm (≠photons
vont « 32 fois plus loin »)
3)message: Dans l’eau le libre parcours des photons de 1 MeV est de14 e-
s’arrêterons tous au bout d’un parcours de 0,44 mm, photons, à 14 cm
valeur moyenne (63% photons auront interagie avant cette distance, et
37% après)
2017/2018 Bases physique de la radiothérapie 184
Interaction Photons matière: Aspect probabiliste
Application: Libre parcours moyen et parcours-PC
Exemple (3): Capacités de pénétration entre photon et électrons dans l’eau
• IM, on privilège des émetteurs γ les plus pures Tc99m (140 keV)
(unité: m2 kg−1 ))
µen/ρ = (1 − g) µtr/ρ
o Eau
o Air
o Aluminium
o Plomb
Coefficient
d’atténuation et
imagerie??????
Coefficient
d’atténuation et
radioprotection??????
Coefficient
d’atténuation et
détection??????
99m
Tc 511 keV
205
Coefficient
d’atténuation et la
dose??????
Dose absorbée 11 La "dose absorbée" dans un matériau irradié est : i est l'énergie
transférée, essentiellement par ionisation et " excitation, à un élément de volume, de
masse Am, du matériau " considéré. " Les paires d'ions produites sur l'ensemble des
éléments de trajec- " taire d'électron à l'intérieur de la masse À m (figure Ib) corres- "
pondent à la partie généralement mesurable de l'énergie A.EI (cas " des chambres
d'ionisation, par exemple). En toute rigueur, l'énergie ÛEj transférée au milieu dans
un élément de volume, de masse&m est "la différence entre la somme des énergies
de toutes les particules directement et indirectement ionisantes qui sont entrées
dans l'élément de volume et la somme des énergies de toutes celles qui en sont
sorties, moins l'énergie équivalente da tout accroissement de masse au repos qui
apparaît par suite des interactions dans l'élément de volume". La dose absorbée
s'exprime avec les unités suivantes : J/fcg (système MKSA) Il est également souvent
commode d'exprimer la dose absorbée en MeV/g.
"oùAEc est la somme des énergies cinétiques initiales de toutes les "particules
chargées libérées par un rayonnement indirectement ioni- "sant dans un élément
de volume, de masse âm, du matériau consi- "déré (figure la).
Le kerma s'exprime avec les unités suivantes : J/kg (système MKSA)
IL est également souvent commode d'exprimer le kerma en MeV/g
Effet photoélectrique
Effet Compton
Effet photoélectrique
"oùAEc est la somme des énergies cinétiques initiales de toutes les "particules
chargées libérées par un rayonnement indirectement ioni- "sant dans un élément
de volume, de masse âm, du matériau consi- "déré (figure la).
Le kerma s'exprime avec les unités suivantes : J/kg (système MKSA)
IL est également souvent commode d'exprimer le kerma en MeV/g
Dans le cas de l'irradiation d'un matériau par des photons, l'énergie cinétique des
électrons de l'émission corpusculaire associée est perdue, plus ou moins
progressivement, lors du ralentissement des électrons dans le matériau. Cette
perte d'énergie se produit essentiellement : - d'une part, par interaction des
électrons avec le champ coulombien des noyaux avec émission d'un
"rayonnement électromagnétique de freinage", - d'autre part, par interaction avec
les électrons des atomes qui se trouvent ainsi "ionisés" ou "excités". L'énergie
cinétique, extrêmement faible, des ions formés est pratiquement absorbée sur
place dans le matériau ionisé. La partie de l'énergie cinétique des électrons de
l'émission corpusculaire associée, perdue par ionisation, est donc directement
"absorbée" par le matériau, II en est sensiblement de même de l'énergie des
photons de désexcitation,
2.2. Cas des photons 2.21. Kerma Si l'on considère un faisceau de photons
caractérisé par : - une fluence de $ photons par cm^, - une énergie des
photons de E_ MeV, - un coefficient de transfert massique en énergie du
matériau considéré de/uT cm2 /g. Le kerma dans le matériau considéré est,
par définition du coefficient µt
Dose absorbée
Lorsqu'un faisceau de photons, supposé initialement sans émission corpusculaire
associée, est dirigé sur un écran matériel, 11 y a production, dans cet écran,
d'électrons secondaires par suite des effets photoélectrique, Compton ou de
production de paire. Désignons par E l'énergie cinétique moyenne des électrons
de cette émission corpusculaire associée ; cette énergie est nécessairement
inférieure: à l'énergie Ep des photons incidents.
La flue ne e F des électrons secondaires, d'abord voisine de zéro à la surface de
l'écran, croît, avec la profondeur x dans l'écran, pour atteindre une valeur
maximale Fe lorsque la profondeur est sensiblement égale au parcours xg des
électrons (figure 3) dont l'énergie cinétique est égale à l'énergie des photons
incidents.
Lorsque la profondeur x est supérieure à xe , on peut observer que la fluence F
décroît avec x comme la fluence Ω des photons.
Le rapport F/0 demeure alors constant : on dit que pour x>=xe " 'l'équilibre
électronique' est réalisé.
dans l'air
- dans le milieu considéré
Pour des milieux légers, de numéro atomique inférieur ou égal à 13, le rapport
demeure compris entre 0,75 et 1,2.
D’ou
Cette quantité
est exprimé en
barn (b) avec un
1b=10-24 cm2
Cette quantité
est exprimé en
barn (b) avec un
1b=10-24 cm2