• INTRODUCTION • Généralités • DHBNN/DHBN • SIGNES • DIAGNOSTIC • BILANS • EVOLUTION • TRAITEMENT • CONCLUSION • Infection bactérienne non suppurative • Atteignant le derme et l’hypoderme • On distingue en fonction de la lésion cutanée: - les dermohypodermites aigue bacteriennes non nécrosnte (DHBNN) ou cellulites infectieuses des Anglo-saxons et - les dermohypodermites aigues bactériennes nécrosantes (DHBN) • Intérêt(s) • Epidémiologique: fréquent en pratique quotidienne • Diagnostique: clinique+++ • Thérapeutique: - la DHBNN est sensible a la famille des beta lactamines (pénicilline) : urgence médicale - la DHBN est une urgence médico-chirurgicale • Pronostic: Gravité fonction de la profondeur de l’atteinte anatomique 30% de mortalité dans les Fasciites nécrosantes GENERALITES 1. Rappels anatomiques Dermohypodermite bactérienne non nécrosante = érysipèle DHBN = nécrose du tissu conjonctif et adipeux sans atteinte de l’aponévrose Si atteinte de l’aponévrose on parle alors de fascite nécrosante GENERALITES 2. Agents pathogènes DHBNN: le plus souvent due au streptoccoque beta hemolytique A Autres germes: - Streptocoques B, C, G - Staphylocoques Aureus DHBN: • Pseudomonas, • Escherichia coli, • clostridium perfringens, Aéromonas • Streptocoque beta hémolytique du groupe A 3. Porte d’entrée La porte d'entrée des DHB est une effraction cutanée. Elle est retrouvée dans 60 à 80% des cas Intertrigos inter orteils: mycoses des plis Dermatoses excoriées: vésicules, papules bulle prurigineuse, fissures Traumatismes: coupure, injections, morsures, chirurgie Ulcères chroniques 4. Facteurs de risque 1- Généraux: Obésité, Diabète, HTA , Immunodépression: VIH+++ Malnutrition La prise de corticoïdes ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens est retrouvée dans 15 à 40% des DHBN Hémopathies, cancer, chimiothérapies, immunosuppresseurs 2-Locaux : Lymphœdèmes congénitaux et acquis Insuffisance veineuse Dépigmentation cutanée volontaire Application de cataplasme GENERALITES