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Plan du cours

Chapitre 1 : Est un chapitre introductif sur

Origine de la monnaie et éclairage historique


Comment définir la monnaie ?
Quelles sont les formes de la monnaie ?(évolution)
La relation entre la monnaie et l’économie .
Évolution des formes de monnaie:
 La monnaie marchandise : à travers le système d’échange via le troc
 La monnaie métallique : elle a connu trois grandes étapes :
La monnaie pesée : en Egypte , 2000 ans avant notre ére , la monnaie pesée
apparut sous forme de lingots encombrants dont il fallait mesurer le poids au
moment de chaque transaction

•La monnaie comptée : vers 800 avant Jésus-Christ, les lingots furent divisés en
pièces , invention que se généralisa sous l’antiquité , en Grèce puis à Rome, ainsi
qu’a la chine , en inde et dans le monde islamique .

•La monnaie frappée : les monnaies métalliques furent peut à peut frappées
d’une inscription indiquant le poids de la pièce.
•La valeur de la pièce en unités de compte est fixée par son poids en métal la
fiabilité du système de paiement est garanti par la pérennité du métal.
•L’objectif des systèmes monétaires métalliques est de garantir la stabilité de la
monnaie contre l’arbitraire politique en imposant des règles concernant la
définition et l’usage de celle-ci
La monnaie papier :
c’est à dire les billets :Il constitue une étape importante dans le processus de la
dématérialisation des signes monétaires
•il est accepté en vertu de la confiance accordée à son émetteur, d’où le nom

monnaie fiduciaire donnée au billets ( fiducia veut dire Confiance en Latin),


•au départ , le billet est un certificat représentatif de métaux précieux, puis les
billets contre les dépôts en Or…
Donc , la monnaie fiduciaire de confiance : regroupe les billets dont la valeur ne repose que
sur un consensus social

 La monnaie scripturale :
Elle est ainsi dénommée, car elle est inscrite sur le s livrets des établissements émetteurs,
essentiellement les banqeus
-la monnaie scripturale qui est une écriture en compte. Le chèque , lettre de change, le
virement de compte à compte et la carte de crédit permettent l’utilisation de la monnaie
scripturale mais ne sont pas des monnaies en soi. Cette forme de monnaie est la plus
largement répandue dans les économies modernes.

La monnaie moderne ou fictive

-
Pour quoi y a eu une évolution de la monnaie ?

1.Multiplicité et Evolution des échanges


2.Il faut que la monnaie soit pratique :l’esprit pratique de l’échange (divisibilité)
3.La sécurité :

• l’argent a besoin toujours de sécurité .

• L’argent à besoin toujours de rentabilité et stable ( cas monnaie

régionale ).

• L’argent a besoin toujours de liquidité .


Comment définir la monnaie ?

Traditionnellement par la fonction qu’elle exerce , estimées au


nombre de trois :

1. La monnaie est un étalon des valeurs (ou unité de compte ), elle


sert à exprimer la valeur (ou le prix) des marchandises.
2. Elle est intermédiaire des échanges , elle permet de remédier
aux contraintes du troc , elle est un moyen ou instrument de
paiement.
3. Elle est enfin réserve de valeur , car elle peut être conservée
sous forme d’un pouvoir d’achat .
La monnaie n’est pas un bien comme les autres , c’est sa nature
qui est différente . (Clower)
Le système monétaire
monométallique et bimétallique
• Le premier est un système monétaire dans le
quel la monnaie est définie par un poids
donné d’un seul métal précieux .
• le second, les deux étalons existent
simultanément, dans les deux cas, la monnaie
quelque soit sa forme, a pour contrepartie le
stock de métal détenu par son émetteur,
elle est donc parfaitement convertible en
métal.
• La loi du 07 avril 1803, définit la valeur du
franc à la fois en argent (05 g d’argent au
titre de 9/10, c’est-à-dire 4.5 g d’argent
pur ) et en Or ( 290 milligrammes à d’or fin)
le rapport entre Les deux métaux est de 1 g
d’or contre 15,5 g d’argent .
L’impacte de la monnaie sur
l’activité économique :
Question , pour quoi on étudie la monnaie ?
c’est par ce qu’il y a une relation entre la
monnaie et l’économie, car L’économie c’est :
 La production,
 La consommation,
 L’échange,
 L’investissement et l’épargne

Donc elle concerne tout les agents


économiques .
• Les ménages …….. »la consommation et
l’épargne.
• Les entreprises …….. »la production et
l’investissement
• L’Etat……………….. » A la fonction
d’administration , la régulation…..
Comment la monnaie influence
l’économie ?
• L’effet des prix : équation de fisher , il ya une relation
entre la quantité de monnaie et l’augmentation des prix
( inflation)
• L’effet revenus : le revenu c’est le capital, profit ,
salaire, rente….
La différence entre les trois revenus :
 Salaire : c’est le revenu du travail .
 Profit : rémunération du capital
 Rente : c’est la rémunération des deux éléments , la
propriété , bourse, pension….
Comment mesurer la monnaie?
• La mesure de la monnaie fait partie des outils
utilisés par l’autorité monétaire.
• La politique monétaire à pour objectif de
contrôler la masse monétaire.
• Il faut pas que la masse monétaire augmente
bcp, cars son augmentation doit être suivie par
l’augmentation de la production. C’est pour ça
qu’on mesure la Masse monétaire
(monétaristes).
1.Les agrégats monétaires, à
quoi servent t-ils?
• Sont des indicateurs statistiques de la quantité
de monnaie en circulation

• Ils reflètent la capacité des dépenses des


agents non financiers résidents, c’est-à-dire
regroupant les moyens de paiements de ces
agents ( ce qui peut être transformé facilement
et rapidement sans risque important de perte
en capital ).
Ils sont trois : M1 - M2 - M3
• l’agrégat le plus étroit est M1
• M1: correspond à la monnaie fiduciaire (billets et pièces
en circulation) détenue par les agents non financiers,
plus les dépôts « à vue » (dans les banques et les
caisses d'épargne). À fin juin 2008, en zone euro,
M1 = 3 838 milliards d'euros.

• M2 = M1 + les dépôts à terme à moins de 2 ans et


dépôts avec préavis de moins de 3 mois (tels les livrets
A et bleu, CODEVI, compte d'épargne logement, livrets
d'épargne populaire, livrets jeunes, etc). À fin juin 2008
en zone euro, M2 = 7 667 milliards d'euros.
M3 = M2 + les titres de pension, les titres de
créance émis à moins de 2 ans (tels les obligations
et les bons à moyen terme négociables, ainsi que
les titres d'OPCVM et les instruments du marché
monétaire (SICAV monétaires, certificats de dépôts,
bons des institutions et sociétés financières). À fin
juin 2008 en zone euro, M3 = 9 022 milliards
d'euros.

M0 : Qui n'est plus guère utilisé (on parle plutôt de


« base monétaire ») n'est pas un agrégat
monétaire: il correspond à la monnaie émise par la
banque centrale (billets + solde créditeurs des
banques secondaires à la banque centrale). En
2005 en Europe, M0 = 514 milliards d'euros.
• M2 - M3 - M4 : intègrent des actifs de plus en plus nombreux et
de moins en moins liquides , c’est-à-dire moins aisément
transformables en monnaie
• Ces agrégats donnent aux autorités monétaires une
information sur le rythme d’évolution des différentes
liquidités
• M1 + M2 + M3 = masse monétaire

• Nb : Tout ce qui affecte la masse monétaire peut avoir un effet


direct et massif sur l'activité « réelle ».

• L’agrégat monétaire M2 évalué à 2901,5 Milliards DA
fin 2002 ( en Algérie).

• Un indicateur significatif de la situation de la liquidité


dans l’ économie est représenté par l’évolution du ratio
de liquidité (M2/ produit intérieur brut).

• La banque centrale surveille particulièrement M3 dans


le cadre de la politique monétaire , une hausse trop
rapide peut traduire un risque d’inflation.
• Le 23 mars 2006, la Réserve fédérale
américaine a cessé de publier M3,
considérant que cet indicateur « n’était pas
utilisé ». La BCE continue à le faire même
si le gouverneur de la Banque de France
a précisé que l’introduction de nouveaux
produits en changeait l’interprétation.
• A fin Janvier 2011, les 330 millions de
citoyens de la zone euro, utilisent une
monnaie M3 de densité moyenne 30 000
€ / Citoyen.
• Les billets de banque et les pièces de monnaie
ne constituent qu'une fraction de la monnaie en
circulation, la monnaie scripturale en représente
maintenant plus de 90 %. Si la banque centrale
produit la monnaie fiduciaire, les banques
commerciales créent la monnaie scripturale en
accordant des crédits sous l'égide des banques
centrales. « Les crédits font les dépôts », selon
un adage toutefois simplificateur.
2.Les agrégats de placement
• La frontière entre actifs monétaires, définis
comme des liquidités destinées à servir de
moyens de paiement, et avoirs non
monétaires, représentatifs d’un
comportement d’épargne à plus long terme,
étant devenue plus floue,
• En 1991, la Banque de France a donc
constitué un ensemble d’agrégats de
placement (P1,
P2, P3) englobant les actifs financiers non
monétaires au sein de sous-groupes
homogènes,
Classés par ordre de substituabilité
décroissante avec les avoirs monétaires.
L’agrégat P1 était constitué par les produits
d’épargne contractuelle, l’agrégat P2 par les
instruments de
type « obligations » et l’agrégat P3 par «
actions et autres participations ».

À la différence des agrégats monétaires, les


agrégats de placement ne s’emboîtaient pas
entre eux, compte tenu du large éventail des
actifs couverts.
Les agrégats de placement (définition adoptée en 1991 par la Banque de
France)
Actifs détenus par les agents non financiers résidents
• P1
Plans d’épargne-logement (PEL)
Plans d’épargne populaire (PEP)
Comptes-espèces associés aux plans d’épargne en actions (PEA)
Bons de capitalisation
Livrets d’épargne-entreprise
Contrats d’épargne auprès des caisses d’épargne et des établissements de
prêts
Titres d’OPCVM garantis
• P2
Obligations
Titres d’OPCVM obligataires
Placements d’assurance vie

• P3
Actions
Titres d’OPCVM « Actions »
Titres d’OPCVM diversifiés
Autres titres d’OPCVM
La vitesse de circulation de la monnaie
• Pour les classiques et néoclassiques, la vitesse de circulation de
la monnaie (tout comme le volume des transactions) est
insensible aux variations de la quantité de monnaie. Néanmoins,
il est admis que celle-ci diminue en période de crise.
Mécaniquement, puisque MV=PT, les prix et/ou le nombre de
transactions diminue. Dès lors, on peut voir dans l'équation
quantitative de la monnaie une justification de
l'instrumentalisation de la monnaie à court terme: une hausse
du niveau de la masse monétaire permettrait, en effet, de
compenser cette diminution de la vitesse de circulation de la
monnaie et de rétablir un niveau des prix qui rétablirait un
équilibre macroéconomique.
Calcul :
• Le calcul de la vitesse de circulation de la
monnaie V nécessite de connaître pour une
période T la quantité M de monnaie disponible et
le montant P des richesses créées pendant cette
période (typiquement, un PIB). P et M doivent
être dans la même unité (devise).
• Le taux de liquidité est égal à l'inverse de la
vitesse de circulation de la monnaie, soit 1/V.
• Dans la zone euro, le PIB était en 2006 de
8 378 milliards d'euros alors que les
masses monétaires étaient respectivement
de 3 756 (M1), 6 728 (M2) et 7 788
milliards d'euros (M3). La vitesse de
circulation a donc été de 2,23 fois M1, de
1,25 fois M2 ou de 1,08 fois M3, selon le
choix de présentation d'un agrégat du plus
liquide vers le moins liquide.
• La valeur a une borne inférieure nulle (la vitesse ne peut
pas devenir négative) mais n’a pas de raison d’être bornée
supérieurement. Elle peut être supérieure ou inférieure à 1,
qui ne représente aucune signification particulière :
lorsqu'une unité de monnaie est dépensée par un agent
économique, celui-ci ne va pas forcément garder cette
monnaie pour lui, mais va lui-même en dépenser tout ou
partie. La même pièce peut ainsi servir plusieurs fois, et la
vitesse de 1 (où elle ne sert en moyenne qu'une fois dans
l'année) n'est qu'un cas particulier improbable.
Le mécanisme de la création monétaire
Lorsque la monnaie était constituée de
métaux précieux, la création monétaire
était tributaire de la découverte de
gisements. Aujourd’hui, largement libérée
du support matériel, la création monétaire
est beaucoup plus facile : il en résulte plus
de souplesse mais également plus de
danger pour la stabilité monétaire.
• Les principaux acteurs de la création
monétaire sont :
• les banques de second rang (la banque de
premier rang est la Banque centrale) dans
lesquelles pratiquement tous les ménages
français ont un compte.

• A chaque fois qu’une banque accorde un crédit à


un agent économique, il y a création monétaire
car les moyens de paiement à la disposition de
l’économie sont augmentés d’autant.
La création monétaire
• Elle consiste à transformer des créances sur
les agents non bancaires en moyen de
paiement immédiatement utilisable pour
effectuer des règlements (ex crédit
d'exploitation pour régler les fournisseurs,,,,)
Le système bancaire est structuré en trois
niveaux hiérarchiques :
• Au 1er rang se trouve la banque centrale.
• Au second rang se trouve les banques
commerciales qui créent la monnaie
scripturale .
• Au troisième rang se trouve les agents non financiers
• La source de la création monétaire,
les banques de second rang
• Les banques de second rang créent
de la monnaie scripturale à l'occasion
de trois types d'opération :
Crédits à l’économie : emprunts réalisés
par les entreprises et les particuliers.
crédits au Trésor public : partie du déficit
public qui n’est pas financée par des
ressources d’épargne, mais par des
emprunts du Trésor public aux
banques(en souscrivant des bons de
trésor)
lorsqu'elles créditent le compte d'un agent
en échange de devises, elle acquièrent en
contre partie des créances sur
l'extérieur( la banque crée de la monnaie
lorsqu’elle achète des devises à un agent
non financier et elle détruit lorsqu'elle
vent de la monnaie

la Banque centrale prête de la “monnaie


banque centrale”(monnaie fiduciaire, dite
“liquide”) aux banques de second rang en
échange de titres ou de créances déposés
par ces banques.
La banque centrale crée de la monnaie à
l’occasion de trois types d’opérations :
1.Lorsque le trésor éprouve des difficultés
de trésorerie elle lui vient en aide et
acquiert en contrepartie une créance
appelée concours au trésor public.
2.Lorsque les banques de second rang ont
besoin de monnaie banque centrale
liquidité)
3.Lorsqu’elle acquiert des devises, la
banque centrale procède à la création
monétaire
Les différentes formes de la création monétaire :
• Toutes formes de crédit : dans une opération de crédit,
la banque crédite le compte du bénéficiaire et met ainsi
à sa disposition de la monnaie scripturale(les crédits
font ainsi les dépôts)
• Le découvert : avance en compte ou crédit de
trésorerie
• L’escompte : un effet de commerce, c’est un titre
portant créance d’une somme d’argent payable à vue à
l’échéance indiquée, en général 90 jours.
Le fournisseur peut escompter sa créance
auprès de sa banque qui va lui faire
l’avance des fonds moyennant un taux
d’intérêt ; on dit que la banque escompte
l’effet de commerce : elle l’endosse, c’est-
à-dire qu’en signant au dos de l’effet, elle
devient propriétaire de la créance.
2 - La création monétaire aujourd'hui,
une simple double écriture au bilan
d'une banque commerciale
La bancarisation des ménages et la
généralisation des instruments de paiement
scripturaux (chèque, virement, carte...) ont en
effet relégué depuis longtemps l'émission
fiduciaire au second plan. Afin d'exposer
toujours le plus simplement possible le
principe de la création monétaire, nous
supposerons maintenant l'absence totale de
pièces et de billets (nous les réintroduirons
dans la partie B) et l'existence d'une banque
unique.
• Quand un client, par exemple une entreprise
X, demande un prêt de 100 000€ à sa banque,
celle-ci :
crédite son compte du montant emprunté (la
somme est inscrite en dépôt à vue) en
échange d'un engagement de remboursement
aux échéances prévues dans le contrat.
L'opération correspond à une double
inscription à l'actif (détention d'une créance)
et au passif (approvisionnement d'un compte)
de la banque :
Bilan de la banque commerciale
• Actif
• Créance sur X : + 100 000 €

 Passif

Dépôts à vue : + 100 000 €


(compte courant de X)
Le processus de création monétaire est similaire
lorsque des agents économiques résidents
perçoivent des devises étrangères (suite à des
exportations, des dépenses de touristes étrangers ou
des entrées de capitaux étrangers en vue
d'investissements). Ces devises représentent un
pouvoir d'achat à l'extérieur du territoire et donc une
créance sur l'extérieur. Le plus souvent leurs
détenteurs peuvent désirer les échanger contre du
pouvoir d'achat intérieur et ils vont céder ces devises
contre de la monnaie domestique à une
banque commerciale (qui elle-même
pourra les négocier auprès de la Banque
centrale). Il y a échange d'une créance en
devises sur l'étranger contre un actif
monétaire domestique. Toute entrée de
devises, du moment qu'elle transite par
une banque, est à l'origine d'une création
monétaire domestique, et inversement
toute sortie engendre une destruction.
Que l'avoir soit converti ou non en monnaie
domestique, la quantité de moyens de
paiement augmente

aucun résident n'a vu ses encaisses diminuer.


Aussi longtemps que la banque conserve cette
créance sur l'extérieur et qu'elle n'en
demande pas la conversion, elle fait crédit à
l'extérieur.
• NB :Un acte de création monétaire
consiste à transformer des créances sans
pouvoir libératoire (titres de crédit,
actions, obligations) en moyens de
paiement. C'est donc nécessairement un acte
qui met en relation un agent non financier -
particulier, entreprise, collectivité publique - et
une institution disposant d'un pouvoir
monétaire, c'est-à-dire ?
• Le processus de destruction monétaire : la
symétrique à la création monétaire est le
mouvement de destruction monétaire lors du
remboursement des crédits.

• L’accroissement de la masse monétaire : la


masse monétaire s’accroît parce que les
processus de création monétaire l’emportent sur
ceux de destruction de monnaie.
Les billets de 200 DA Représentent 15% de la masse monétaire en Algérie

Développement durable,
croissance economique :
documentaion à voir?
Le marché monétaire
• Est un marché institutionnalisé, officiel et
règlement
• Le marché monétaire se rapporte aux échanges
de monnaie à court terme, il concerne donc les
opérations à cour terme
• Par contre le marché financier est spécialisés
dans l’ échange de titres à long terme contre de
la monnaie
• ce marché est divisé en deux compartiments:
1. Le marché interbancaire
2. Le marché des titres de créances négociables.
• Les intervenants dans le marché interbancaire:
• ce sont les établissements de crédit, le trésor
public, la banque centrale, la caisse de dépôts et
consignations et des sociétés d’investissements.
• Les opérateurs peuvent intervenir soit en tant que
préteurs, soit en tant qu’emprunteurs, soit le plus
souvent en tant que préteur et emprunteur
• Les négociations ont lieu par l’usage de système de
télétransmission, la fluidité des marchés est assurée par
des intermédiaires dont le rôle sur le marché intrebancaire
est de rapprocher préteurs et emprunteurs.
• Les intremdiaires :
• Ce sont les entreprises d’investissement qui ont pour
professsion habituelle et princippale de fournir des
services d auprés de client’investissement
• Les ets d’investissements peuvent assurer différents
services :
• Réception et transmission d’ordreportant sur la négociation
d’instruments financiers pour le compte de tiers
• Execution d’ordres pour le compte de tiers
• Négociation (achat ou vented’instruments financiers) pour son
compte propre
• Gestion de de porteffeille pour le compte de tiers
• Prise ferme d’instruments financiers en vue de las placer
auprés de client
• Placement : recherche de souscripteurs ou d’acquéreurs pour
nle compte d’un émetteur ou d’un vendeur d’instruments
financiers .
• L’activité des entreprises d’investissement est controlée
par l’autorité monétaire des marchés finnaciers
• Les opérations :
• Il peut s’agir de simple transfert de capitaux (prêt et
emprut balanc) , dachat ou de vente derme d’effets
(publics ouy privés ),de pensions, de ventes à réméré
de titres et d’opértions diverses.
• Les supports sont le plus souvents des effets publics,
les effets privés représentatifs de crédits distribués,
des billetsreprésentatifs de créances éligibles
• au marché hypothécaire, des titres de créances
négociables TCN? Il s’agit de billets émis par
l’emprunteur en représentatiin de sa dette
• Les opérations peuvent théoriquement s’établir
entre 1à 20 jours , en pratique du jour au jour
représente une grande partie des opérations sur
le marché interbancaire.
• Les taux s’établissent à des conditionsblibrements
débattues, suivant la loi de l’offre et la demande .
• Les marchés des titres de créances négociable
• À coté du marché interbancaire réservé aux
professionnels ont été créés, en 1985,des marchés de
titres de créances négociables sur lesquels tous les
agents économiques sont habilités à traiter .
• Caractérristique techniques à tous les titres de
créances négociables:
• Ce sont des formules de placement ànéchénce
fixe .d’une durée minimum de 1 jour (sauf pour les
bons à moyen terme).
• De montant unitaire élevé à (150000 euro), ils ont
rarement souscrit par des particuliers mais plutot par
des grands investisseurs, notamment les compagnies
d’assurances , les caisses de retraites les ddfonds de
pension et es organismes de placements collectif en
valeurs mobilières
• Les marchés secondaires (permettant une événtuelle
revente des titres) de ces différents instruments sont
assez peu développés.
• Les différents titres de créances négociables
• Les certoficats de dépots CD
• Ils sont émis par les établissements de crédit
• Leur durée est comprise entre 1 jour et 1 an
• Les billets de trésorerie BT :
• Ils sont émis par les entreprises , hors
établissements de crédit, ayant plus de 2 ans
d’existance (sociétés par actions pouvant
fairte appel à l’épargne , Ets du secteur public
• Leur durée est comprise entre 1 jour et 1 an
• L’émetteur doit publier une situation trimestrielle de
trsorerie, et pour les emetteurs à plus de 2 ans, une
notice identique à celle exigée lors des émission de
valeurs mobilières
• Les bons de trésor négociables BTN:
• Is sont émis par le trésor pour une durée
comprise,entre 13 semaines et 5 ans .
• Ils sont émis par adjudication à la banque centrale et
sont gérés en compte courant à la banque centrale .
• Les bons à moyens terme négociables
BMTN:
• Créés en février 1992, les BMTN ont une
échéance sup à un an , il ny pas de durée
maximal

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