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AERONAUTIQUES
DE
BASE.
1
1.LES
ORGANISATIONS
INTERNATIONALES
2
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
1.1 L’O A C I
3
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
INTRODUCTION
Durant la deuxième guerre mondiale l’industrie aéronautique
avait atteint un essor tel que ; la quantité d’avions civils
produits allaient saturer le ciel.
A ce problème “d’engorgement du ciel” allaient s’ajouter de
multiples difficultés d’ordre juridique, liées à la circulation des
aéronefs dans l’espace aérien international.
Ces difficultés incitèrent certains pays industrialisés à se réunir
à CHICAGO, le 7 décembre 1944. Cette réunion ou conférence
donna naissance à la signature par tous les pays participants
d’une convention. Cette convention s’appellera CONVENTION
DE CHICAGO.
4
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
6
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
DROITS DE TRAFIC :
Une des fonctions supplémentaires régissant la
navigation aérienne tel que le droit de trafic s’appelle
la liberté de l’air.
Ce droit de trafic a été établi car chaque état a la
souveraineté complète et exclusive de l’espace aérien
situé au-dessus de son territoire.
Ce qui fait qu’un avion ne peut survoler un territoire
étranger sans une autorisation du gouvernement
intéressé.
9
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
Chaque état peut refuser ou autoriser le survol de son
propre espace aérien à un avion d'un état étranger.
C’est ce qui a amené l’O.A.C.I à se pencher sur ce
problème, et à établir ce droit de trafic, en édictant un
certain nombre de libertés de l’air.
Ces libertés de l’air au nombre de 5 sont négociées sur
des bases réciproques par les ministères des transports
des pays concernés.
Ces libertés de l'air peuvent être divisées on deux
catégories :
Non commerciales
Commerciales.
Les libertés de l’air non commerciales, sont les deux
premières et sont généralement reconnues par tous les
états contractants.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
1ère LIBERTÉ DE L’AIR ( NON COMMERCIALE):
Le privilège de survoler un territoire étranger sans y
atterrir.
Ex : Un avion AH faisant la ligne ALG - LHR, survolera la
France.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
LES TROIS AUTRES LIBERTÉS DE L’AIR SONT
COMMERCIALES.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
LE DROIT DE CABOTAGE:
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
PUBLICATIONS O.A.C.I :
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
LES ANNEXES :
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
Annexe 9 : Facilitations.
Annexe 14 : Aérodromes.
Volume I. Conception et exploitation
technique des aérodromes.
Volume II. Héli stations.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
Annexe 16 : Protection de l’environnement.
LANGUE DE l’OACI :
La langue utilisée, sur recommandation de l’OACI, pour
toute l’activité aéronautique est : L’ ANGLAIS.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES LES
CODES ALPHABETIQUES DE L’AERONAUTIQUE
A ALPHA N NOVEMBRE
B BRAVO O OSCAR
C CHARLIE P PAPA
D DELTA Q QUEBEC
E ECHO R ROMEO
F FOX TROT S SIERRA
G GOLF T TANGO
H HOTEL U UNIFORME
I INDIA V VICTOR
J JULIETTE W WHISKEY
K KILO X X-RAY
L LIMA Y YANKEE
M MIKE Z ZOULOU 24
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
1. 2 I A T A
(Association Internationale du Transport Aérien)
L’Organisation générale.
Qualifiée à prendre les décisions les plus
importantes.
Quand cela est nécessaire , cette Organisation
provoque une conférence où les Compagnies
intéressée se réunissent.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
Ces Compagnies à l’unanimité décident d’un tarif.
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
RATIONALISATION DE L’EXPLOITATION
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1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
32
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ES
4- EXPLOITATION EN COMMUN.
34
1.LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
6- LES COMPAGNIES NATIONALES.
Pendant longtemps, la plupart des Etats tinrent à
disposer de leur propre compagnie aérienne nationale.
Largement subventionnée, celle-ci était souvent plus ou
moins concurrencée par des compagnies privées de
même nationalité à caractère plus commercial.
Donnant l’exemple, les États-Unis libéralisèrent
entièrement leur transport aérien en197 8 une
déréglementation qui entraîna, notamment, la disparition
de la Pan American Airlines.
Aujourd’hui, la plupart des monopoles intérieurs des
compagnies nationales sont remis en cause, le processus
de déréglementation s’étant désormais généralisé, tant
au niveau international qu’à l’intérieur de l’Union
européenne. Cette évolution se traduit par une
multiplication des alliances entre les compagnies. 35
2.EXPLOITATION
TECHNIQUE D’UN
AÉRONEF
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2.EXPLOITATION TECHNIQUE D’UN AÉRONEF
LA CERTIFICATION.
LA VALIDATION.
Le CDN accompagnant un aéronef a
une durée de validité déterminée. Avant
de revalider le CDN, l’exploitant de
l’aéronef est tenu de procéder à toutes
les réparations et les vérifications
programmés par le constructeur.
L’autorité intermédiaire qui veille sur le
bon déroulement et le respect du
contrôle est le BUREAU VERITAL .
39
2.EXPLOITATION TECHNIQUE D’UN AÉRONEF
Le BUREAU VERITAL .
Ce bureau agrée par la direction de l’aviation civile,
est composé d’experts dans le domaine
aéronautique.
Son objectif est de veiller et de s’assurer que les
travaux exécutés l’aient été dans les normes
recommandées par le constructeur, avant de donner
son aval : matérialisé sur le CDN par le symbole
“V”, ou matérialisant son refus par le symbole “R”.
Ce qui va condamner cet aéronef à rester au sol,
tant que les travaux de réparation des pannes , ou
défectuosités, signalées lors du contrôle, n’ont pas
été engagées par la compagnie propriétaire, avant
qu’un nouveau contrôle de VERITAL, ne détermine
l’aptitude au vol de l’aéronef. 40
2.EXPLOITATION TECHNIQUE D’UN AÉRONEF
LE DEVIS DE POIDS.
C’est un document rempli avant chaque vol, par les services
d’escale, il relate, dans le détail, l’ensemble du poids
embarqué, sur la base de certaines données constantes : Le
poids des passagers .
Celui des P N ( P N T et P N C)
Celui de la quantité du fuel .
Et celui du poids de l’ avion etc ……
LA FEUILLE DE CENTRAGE.
C’est un document rempli par les agents d’escale avant le
vol.
Ils tracent sur un diagramme les courbes qui visualisent la
répartition du poids embarqué. Ces courbes sont nécessaires
au pilote, car elles lui permettent d’équilibrer l’aéronef.
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2.EXPLOITATION TECHNIQUE D’UN AÉRONEF
LE PLAN DE VOL.
C’est un document très important.
Rempli, par les services d’escale, au moins deux heures
avant l’ETD du vol considéré, sur ce document est rédigé un
ensemble d’informations concernant le vol, parmi lesquelles :
Immatriculation de l’Aéronef
Type de l’Aéronef
Aéroport de destination
Aéroports de dégagement
Nombre d’équipage
Quantité de carburant embarquée
Nombre et types de matériel de secours à bord en
cas de survol de zones inhospitalières
Altitude de vol
ETD
Route suivie.
Etc.…. 45
2.EXPLOITATION TECHNIQUE D’UN AÉRONEF
LE DOSSIER MÉTÉO.
Ce dossier Météo, est présenté au PILOTE,
avant le vol.
Ce dossier comporte une ou plusieurs cartes
météorologiques régionales, sur lesquelles
apparaissent les mouvements, (datant de
moins de six à douze heures) des Pressions,
des Dépressions, et les Directions des
VENTS.
46
3.REGLEMENTATION
47
3. REGLEMENTATION
LE MANUEL D’EXPLOITATION (MANEX)
Le manuel d’exploitation est un document mis à la
disposition du personnel de l’entreprise , les
règles et procédures à suivre, ainsi que toutes les
informations nécessaires pour que les divers
objectifs de l’exploitation soient atteints dans des
conditions de sécurité et de sûreté satisfaisantes.
Une entreprise de transport aérien ne peut
mettre en exploitation un avion si elle ne
dispose pas du manuel d’exploitation
correspondant et si elle ne l’a pas mis
préalablement à la disposition du personnel
intéressé. 48
3. REGLEMENTATION
Le manuel d’exploitation doit être
facilement utilisable pour la
préparation, la conduite, la
surveillance et le traitement des
données du vol.
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3. REGLEMENTATION
53
3. REGLEMENTATION
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3. REGLEMENTATION
Partie « A » comprend douze sections
Section 1 : Organisation et responsabilités : structure,
autorité du C.D.B.
Section 2 : Contrôle et encadrement de l’exploitation
Section 3 : Système qualité
Section 4 : Composition de l’équipage
Section 5 : Exigence en matière de qualification
Section 6 : Précaution de l’équipage en matière de santé
Section 7 : Limitation des temps de vols
Section 8 : Procédures d’exploitation
Section 9 : Marchandises dangereuses et armes
Section 10 : Sûreté
Section 11 : Traitement des accidents et incidents
Section 12 : Règles de l’air
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3. REGLEMENTATION N
B.UTILISATION :
La partie Utilisation est établie pour chaque ensemble d’avion
présentant des éléments suffisamment proches pour que leur
exploitation puisse se faire avec des consignes identiques. Elle
donne au personnel concerné, plus particulièrement à l’équipage,
toutes les instructions, consignes et informations notamment :
Celles nécessaires à la mise en œuvre et à l’utilisation d’avion au
sol et en vol, depuis l’instant où l’équipage prend en charge la
préparation et la conduite du vol jusqu’au moment où il a terminé
toutes les opérations qui lui incombent à l’issue du vol :
La liste minimale des équipements (ML / LME) nécessaire pour
entreprendre ou poursuivre un vol dans des conditions données.
Cette partie doit être compatible avec la documentation associée au
Certificat de Navigabilité et au Certificat de Limitation de Nuisances,
notamment avec le manuel de vol.
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3. REGLEMENTATION
Elle comprend onze sections :
section 1 : Type de l’avion
section 2 : Limitation
section 3 : Aménagements
section 4 : Performances opérationnelles.
section 5 : Chargement, centrage
section 6 : Conduite de vol, procédures normales
section 7 : Conduite du vol, procédures occasionnelles
section 8 : Conduite du vol, procédures d’urgence
section 9 : Tolérances techniques en courrier
section 10 : Sécurité – sauvetage
section 11 : Equipements, description et utilisation des
instruments de bords, systèmes, circuits, alarmes et tests.
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3. REGLEMENTATION
C.LES LIGNES
Il y a quatre sections :
section 1 : Règles de conduite des avions
section 2 : Préparation des vols
section 3 : Conduite du vol
section 4 : Aérodromes.
D.FORMATION :
La partie Formation doit comprendre l’ensemble des
dispositions relatives à la formation et au maintien des
compétences du personnel nécessaires pour assurer la
sécurité de l’exploitation.
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3. REGLEMENTATION
DOCUMENTATION DU PNC.
Chaque membre d’équipage PNC est seul
responsable de la tenue à jour et de la validité de
l’ensemble de ses documents. Il est, en outre, tenu
d’être en règle vis à vis des autorités de chaque
pays.
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3. REGLEMENTATION
Le membre du Personnel Navigant Commercial doit, pour
exécuter chaque vol, être en possession des documents
suivants :
1) Le CSS En cours de validité (24 mois pour les hôtesses de
bord, 24 mois pour les stewards ainsi que le dernier compte
rendu de l’expertise médicale).
2) La Carte d’identification de l’employeur (Badge
Compagnie).
3) Le Passeport en cours de validité.
4) Le Certificat de vaccination mentionnant les dates de
vaccination contre :
La Fièvre Jaune
5) Le Laisser passer en cours de validité pour évoluer dans
les zones réglementées. (Badge police)
6) Carte Récurrent
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3. REGLEMENTATION
LE PERSONNEL D’ÉQUIPAGE (P.E.Q)
62
3. REGLEMENTATION
LES FONCTIONS:
Equipage technique CDB
PNT
F/O
Personnel de Cabine
C/C
PNC
PEQ
F/A
Personnel de Cabine
complémentaire
« PCB »
F/A
Tous les membres d'équipage sont placés sous
l’ autorité du commandant de bord.
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3. REGLEMENTATION
OBLIGATIONS DE L’ÉQUIPAGE ( PNT ET PNC )
Tout membre d’équipage doit
s’abstenir d’exercer ses fonctions dès qu’il
ressent une déficience physique ou
mentale de nature à le mettre dans
l’incapacité d’exercer en sécurité ses
tâches s’il se trouve sous l’influence de
boissons alcoolisées, de narcotiques ou de
stupéfiants.
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3. REGLEMENTATION
LE PERSONNEL NAVIGANT TECHNIQUE (P.N.T):
Le Commandant de Bord (CDB).
Copilote (OPL).
L’Officier Mécanicien Navigant
Eventuellement, le Navigateur et le
Radionavigant.
Le Commandant de Bord a autorité absolue sur la
sécurité et la sûreté aérienne à bord.
De même qu’il a la totale autorité sur toutes les
personnes embarquées.
Il a la faculté de débarquer toute personne, qu' elle
fasse partie de l’équipage ou des passagers, mais aussi
toute partie du chargement qui peut présenter un
danger pour la sécurité. 65
3. RÉGLEMENTATION
67
3. REGLEMENTATION
68
3. REGLEMENTATION
LE PERSONNEL NAVIGANT COMPLÉMENTAIRE DE BORD (PCB) :
70
3. REGLEMENTATION
STAGE DE SPÉCIALISATION :
Nul ne peut être PNC à bord d’un avion s’il n’a pas suivi un
stage de spécialisation organisé par l’entreprise, pour chaque
type d’avion, afin de le familiariser avec les particularités,
l’emplacement et la mise en œuvre du matériels et
équipement des avions sur lesquels il est appelé à exercer.
Ces stages de spécialisation doivent être effectués soit à bord
d’un avion du type correspondant à l’avion sur lequel on doit
exercer, soit à l’aide de maquette comportant les mêmes
caractéristiques et matériel de sécurité – sauvetage que
l’avion considéré.
Les stages doivent comporter une visualisation complète des
équipements de sécurité – sauvetage à bord d’un avion du
type considéré.
77
3. REGLEMENTATION
78
3. REGLEMENTATION
MAINTIEN DE COMPÉTENCES :
L’entreprise de transport aérien doit s’assurer du
maintien des compétences (récurrent)de ses
personnels pour exercer leurs tâches au sein d’un
équipage et notamment pour appliquer l’ensembles
des procédures décrits dans le manuel d’exploitation
en sa partie « D ».
Les méthodes d’entraînement sont approuvées par la
DAM. Les programmes varient d’une année sur
l’autre et peuvent éventuellement faire l’objet
d’amendements pendant l’année d’instruction. Ils
doivent faire l’objet d’un nouveau dépôt auprès De
l’Autorité chaque fois qu’intervient une modification
significative. 79
3.RÉGLEMENTATION
Cet entraînement doit comprendre les stages théoriques
et pratiques portant sur :
Les connaissances générales spécifiques à
chaque fonction , sur les connaissances
générales de Sécurité Sauvetage et de Sûreté,
DGR, CRM et SMS (Safety Management
System).
81
3. REGLEMENTATION
82
3. REGLEMENTATION
CARTE RECURRENT ( CARTE DE STAGE DE RECYCLAGE )
83
3. REGLEMENTATION
CALCUL DU NOMBRE DE PNC REGLEMENTAIRES
84
4. L’ATMOSPHÈRE
85
4. L’ATMOSPHÈRE
DÉFINITION :
L’atmosphère est l’enveloppe gazeuse qui entoure la
terre. Elle est composée de plusieurs couches ayant
leurs propres caractéristiques. Nous étudierons ci-
dessous les deux couches inférieures, correspondant aux
altitudes de vol des avions de Transport Public actuel.
86
4. L’ATMOSPHÈRE
87
4. L’ATMOSPHÈRE
STRUCTURE DE L’ATMOSPHÈRE :
LA TROPOSPHÈRE :
LA STRATOSPHÈRE :
89
4. L’ATMOSPHÈRE
LA TEMPÉRATURE
La température diminue avec l’altitude de façon régulière
de 2° par 1000 ft (6°C par 1 000 m), jusqu’à la
tropopause, se stabilise ensuite à 20 Kms d’altitude à
moins 56,5°C.
Puis, la température augmente jusqu’à la stratopause,
pour arriver à O°C.
4 LA PRESSION ATMOSPHÉRIQUE
Elle diminue avec l’altitude.
90
4. L’ATMOSPHÈRE
LES NUAGES (EXCLUSIVEMENT EN TROPOSPHÈRE)
92
4. L’ATMOSPHÈRE
LE CUMULONIMBUS:
C’est nuage qui est :
soit isolé, dans ce cas il doit être
soigneusement évité,
soit eu forme continu et sa traversée, si elle ne
peut être évitée, entraînera des turbulences très
sévères, car Le cumulonimbus est un nuage à
déplacement vertical.
A l’intérieur les vents vont de 20 à 200 km/h.
Son aspect de tour bourgeonnante et bouillante
surmontée d’une enclume.
De loin, le plus dangereux en aéronautique.
93
4. L’ATMOSPHÈRE
94
4. L’ATMOSPHÈRE
4.7 LE GIVRAGE
Le givrage est dû à la formation de glace et de
givre sur les ailes ou sur les empennages. Les
conséquences du givrage sont multiples :
Augmentation du poids de l’avion.
Modifiant la géométrie de l’avion
En cas d’ une constatation de dépôt de
givre, informer immédiatement le CDB
95
4. L’ATMOSPHÈRE
96
4. L’ATMOSPHÈRE
97
4. L’ATMOSPHÈRE.
Décoller ou pas.
Dans sa prise de décision le Commandant de Bord s’appuie sur :
23. 1 Le PNC doit s’assurer que les surfaces des ailes ne présentent
aucun signe visible de dépôt de givre, de glace.
Ce constat doit se faire, à partir des hublots situés au dessus des ailes.
23. 1. 1 En cas de mauvaise visibilité sur l’aile, le PNC, doit
demander au CDB d’allumer les lumières de plans, afin d’avoir
une meilleure visibilité pour son contrôle.
23. 1. 2 En cas de présence de givre ou de glace, le PNC
doit, immédiatement, informer le Chef de Cabine Principal,
qui, à son tour en informera le Commandant de Bord.
23. 1. 3 Dans le cas, au sol, où un passager signale au PNC la
présence suspecte de givre ou de glace sur la surface de (ou des)
ailes,
117
4. L’ATMOSPHÈRE.
LES TYPES DE TURBULENCES :
119
4. L’ATMOSPHÈRE..
ATMOSPHÈRE STANDARD
L’atmosphère standard est définie par l’Organisation de
l’Aviation Civile Internationale (OACI).
Au niveau de la mer, la température est de + 15°C et la
pression de 1013,2 hpa. La température diminue de façon
régulière jusqu’à la tropopause (= 35000 ft), se stabilise à –
56,5°C et augmente ensuite pour arriver à 0°C à la
stratopause.
La pression diminue également mais irrégulièrement, très
rapidement en basses couches et de façon plus faible ensuite.
Unités de pression (P) :
1 Hectopascal (hps) = 100 Pascal = 1 millibar (mb)
UNITÉS DE VITESSE :
Le Mach : C’est une unité de vitesse utilisée pour les avions très rapides, il
s’agit du rapport entre la vitesse de l’avion sans vent .
Vitesse de croisière d’un avion passagers varie entre 0,7 et 0,8 Mach.
L’unité de mesure de la vitesse en nœuds(Knots)
1 nœud = 1,852 Km/h
UNITÉS DE TEMPÉRATURE :
123
5. CONNAISSANCES
AERONAUTIQUES
DE
BASE
124
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
LA DESINSECTISATION.
La désinsectisation est une procédure définie par l’OACI .
Elle vise certaines zones géographiques qui peuvent être
représentées par un, ou plusieurs pays déclarées par l’OMS
‘’’ZONES Contaminées’’ par certaines maladies infectieuses,
transmises à l’homme par un insecte ou autres. Exemple le
PALUDISME ( ou MALARIA ) transmise par le moustique
(anophèle femelle )
;126
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
127
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
LA PORTANCE.
LE POIDS.
LA TRACTION.
LA TRAINEE.
128
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
129
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
1° LA PORTANCE :
C’est la force qui s’oppose au poids, elle permet à l’avion
de s’élever dans l’air.
Elle naît du mouvement de l’air autour de l’aile lorsque
celle-ci s’y déplace, de son profil et de l’angle d’attaque.
Appelée aussi force ascensionnelle. Qu’il s’agisse d’un
oiseau ou d’un avion, la force ascensionnelle est
engendrée par l’écoulement de l’air le long des ailes.
C’est le déplacement de l’avion qui crée cet écoulement
de l’air. Cet écoulement de l’air s’appelle aussi Vent
relatif.
130
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
131
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
Le mot PORTANCE doit être pris littéralement, l’avion
est en fait porté par l’air qui s’écoule autour de son
aile. Le dessin de l’aile ou Profil de l’aile est en effet
réalisé de telle sorte qu’il y a rupture d’équilibre entre
les pressions régnant au-dessus et au-dessous de l’aile.
La pression sur l’Extrados de l’aile est inférieure à celle
régnant sur l’Intrados.
L’aile est de cette façon entraînée dans un mouvement
ascendant et par-là entraîne l’ensemble de l’avion.
132
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
2° LE POIDS :
C’est la force que doit combattre la portance pour
permettre la sustentation de l’avion dans l’air.
Cette force varie avec la charge et le poids de
l’avion.
Cette charge se compose du nombre de passagers,
de la quantité de carburant embarquée, de la
quantité de bagages transportés.
133
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
3° LA TRACTION :
C’est la force qui donne à l’avion son mouvement en avant.
Elle est due soit à la rotation de l’hélice (Moteur à pistons,
Turbopropulseur), soit à la poussée du réacteur.
4° LA TRAINEE :
C’est la force qui s’oppose à la traction.
Elle est due aux frottements de l’air sur les parois de l’avion.
Certaines parties de l’avion sont particulièrement génératrices
de traînée.
Ces parties sont essentiellement ; le train d’atterrissage, les
volets, l’empennage, le fuselage, le poids (Lorsque le poids
augmente, la traînée augmente aussi) 134
5. CONNAISSANCES AERONAUTIQUES
DE BASE
1° LE FUSELAGE:
136
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES
D’UN AERONEF
137
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
LE FUSELAGE COMPORTE :
La soute à bagages.
De part et d’autre du fuselage, issues mobiles au
poste de pilotage, des hublots fixes en cabine et
des moyens d’accès et d’évacuation (portes d’accès,
issues de secours) que nous étudierons dans le
paragraphe « équipements généraux ».
Le fuselage supporte:
Le train d’atterrissage
139
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
140
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
141
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
143
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
LA VOILURE
Ensemble des deux ailes, permettant la sustentation,
supporté par le fuselage et qui forme avec ce dernier
un angle de flèche très variable, d’autant plus
important que la vitesse de l’avion est importante
(jet).
Pour qu’une aile soit porteuse il faut qu’elle se déplace
dans l’aire à grande vitesse sous angle faible (angle
d’incidence), il se crée une pression sur l’intrados (1/3
de la force de portance) et une dépression sur
l’extrados (2/3 de la force de portance).
144
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
La voilure supporte :
Une des trois commandes principales :
les ailerons (commandes d’inclinaison) ;
Selon les types d’avions : des commandes
secondaires qui peuvent être des dispositifs
d’hypersustentation (les volets et becs du bord
d’attaque) ou des dispositifs de destruction de
portance ou d’augmentation de traînée (les
spoilers et aérofreins) ;
les réservoirs de carburant
145
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
Présentation
146
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
Réservoirs de carburant:
Les réservoirs de carburant sont situés dans
les ailes.
Sur certains avions un réservoir est situé en
soute centrale (entre les deux ailes dans le
fuselage).
147
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
RESERVOIRES DE CARBURANT
ENVIRON 21 T
148
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
Tous ces réservoirs communiquent entre eux.
Ils sont gérés par un ordinateur qui corrige en
vol l’assiette de l’avion .
149
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
150
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
151
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
152
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
153
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
154
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES PARTIES D’UN AERONEF
156
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
157
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
158
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
A l’arrière du fuselage se trouvent les empennages .La partie verticale comprend une partie fixe dénommé dérive à l’arrière
de laquelle est articulée la gouverne de direction.
159
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
Une partie horizontale est constituée par un plan fixe sur lequel
s’articule la gouverne de profondeur.
160
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
Selon le type de l’avion, l’empennage horizontal peut avoir des
positions différentes sur la dérive (basse ou en T).
161
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
Le train d’atterrissage :
Le train d’atterrissage est constitué :
D’un train avant (roulette de nez), situé sous
le poste de pilotage,
Et d’un train principal, placé sous les ailes.
La roulette de nez permet de diriger l’avion
lors du roulage tandis que le train principal a pour
rôle d’amortir les chocs.
A cet effet, il est équipé d’amortisseurs et de freins.
Afin de limiter la traînée en vol, le train d’atterrissage
est rétractable.
162
6.DESCRIPTION DES DIFFERENTES
PARTIES D’UN AERONEF
Roulette de nez
Train principal
163
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
164
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
165
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
167
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
169
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
170
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
LA GOUVERNE DE DIRECTION :
obtenue par une plaque mobile, située sur
le bord de fuite de la dérive, actionnée par
les Palonniers, elle permet à l’avion un
changement de direction et une rotation
autour de l’axe de lacet.
171
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
La Gouverne de Direction :
172
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
L’AXE DE LACET.
La Gouverne de Direction
173
9.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
La Gouverne de Direction
LE COCKPIT
174
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
175
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
LE COCKPIT
176
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
177
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
178
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
WINGLETS
179
7.LES LIBERTES DE MOUVEMENTS
D’UN AVION
Les extrémités des ailes recourbées vers le
haut sont appelées WINGLETS.
180
8. LES SYSTEMES
DE
BORD
181
8. LES SYSTEMES DE BORD
SYSTÈME ÉLECTRIQUE :
182
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CIRCUIT ÉLECTRIQUE :
183
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CIRCUIT ÉLECTRIQUE :
184
8. LES SYSTEMES DE BORD
186
8. LES SYSTEMES DE BORD
ECLAIRAGE DE SECOURS :
187
8. LES SYSTEMES DE BORD
189
8. LES SYSTEMES DE BORD
190
8. LES SYSTEMES DE BORD
191
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CHEMINEMENT:
192
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CHEMINEMENT:
LE CHEMINEMENT
EST CONSTITUE DE DEUX
BANDES FLUORESCENTES
LE LONG DU COULOIR
193
8. LES SYSTEMES DE BORD
194
8. LES SYSTEMES DE BORD
195
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CIRCUIT DES EAUX :
Des réservoirs d’eau à bord des
aéronefs (capacité et emplacement selon le
type) assurent l’alimentation en eau des
toilettes, lavabos, galleys, chauffe-eau.
Les réserves sont stockées en un
endroit où la température ne descend pas à
0°C .
196
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CIRCUIT D’EAU POTABLE ET EAU USEE DES EVIERS
197
8. LES SYSTEMES DE BORD
SYSTÈME D’EVACUATION DES EAUX USEES
les eaux usées des éviers et des galleys sont
vidangées par-dessus bord par les mats extérieurs de
vidange. ces mats de vidange sont chauffés
électriquement
( drain mast ).
198
8. LES SYSTEMES DE BORD
199
8. LES SYSTEMES DE BORD
200
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CIRCUIT HYDRAULIQUE :
202
8. LES SYSTEMES DE BORD
203
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE CONDITIONNEMENT D’AIR
207
8. LES SYSTEMES DE BORD
9. LES SYSTEMES
DE BORD
208
8. LES SYSTEMES DE BORD
209
8. LES SYSTEMES DE BORD
LE DISPOSITIF DE PRESSURISATION :
210
8. LES SYSTEMES DE BORD
L’air prélevé passe par des packs de
climatisations avant d'être injecté en
cabine.
211
8. LES SYSTEMES DE BORD
Si l’air est pressurisé à l’aide du compresseur il est toutefois
nécessaire de le ramener à une température compatible
avec le confort des passagers de l’ordre de 20°C la nuit.
L’air est enfin distribué de façon générale et individuelle et
lorsqu’il est vicié, rejeté vers l’extérieur par la soupape
d’échappement.
De ce fait, pour tout avion volant à haute altitude :
213
8. LES SYSTEMES DE BORD
215
8. LES SYSTEMES DE BORD
Circuit fixe en Cabine : (oxygène de subsistance) :
Il est toujours prévu des masques
supplémentaires par rapport au nombre de sièges, aux
offices et dans les toilettes.
216
8. LES SYSTEMES DE BORD
217
8. LES SYSTEMES DE BORD
218
8. LES SYSTEMES DE BORD
219
8. LES SYSTEMES DE BORD
220
8. LES SYSTEMES DE BORD
Equipements pour vol à haute altitude
221
8. LES SYSTEMES DE BORD
Equipements pour vol à haute altitude
222
9.LES SIÈGES
A
BORD
223
9.LES SIÈGES A BORD
224
9.LES SIEGES DE BORD
LES SIÈGES DU POSTE DE PILOTAGE
225
9.LES SIEGES DE BORD
• Il y a trois types de sièges à
bord d’un avion de transport
civil :
• 1° Les sièges du Poste de
Pilotage :
• Les sièges du poste de Pilotage
sont des sièges certifiés pour
les Décollages & Atterrissages
ainsi que pour toute situation
d’urgence.
• Ces sièges doivent être équipés
d’une ceinture avec un harnais
de sécurité et comportant un
point de verrouillage unique.
226
9.LES SIEGES DE BORD
REPOSE TETE
ACCOUDOIR
DOSSIER
FOURCHE
ceinture
boucle
ASSISE
SOCLE
227
9.LES SIEGES DE BORD
2° SIÈGES PNC
Les sièges PNC en cabine:
Les sièges du PNC en
Cabine sont des sièges
certifiés pour les
Décollages &
Atterrissages ainsi que
pour toute situation
d’urgence.
228
9.LES SIEGES DE BORD
229
9.LES SIEGES DE BORD
3°SIÈGES PASSAGERS
Les sièges des Passagers en
Cabine sont certifiés pour les
Décollages & Atterrissages ainsi
que pour toute situation
d’urgence.
231
10.LES PORTES ET ISSUES
232
10.LES PORTES ET ISSUES
Une issue est considérée inutilisable quand:
233
10.LES PORTES ET ISSUES
235
10.LES PORTES ET ISSUES
236
Porte type A
237
10.LES PORTES ET ISSUES
Les issues de secours
• Porte de type 1 :
• Est considéré comme issue
de type I, toute issue :
• donnant de plain-pied à la
cabine
• et dont les dimensions
(plus réduites que celles
du type A) ne peuvent
permettre l’évacuation
que d’un seul passager de
front
238
10.LES PORTES ET ISSUES
239
Porte type 1
240
10.LES PORTES ET ISSUES
ISSUE DE TYPE 3:
Est considéré comme
issue de type 3, toute
issue :
Donnant sur
l’extrados de l’aile, (OVER
WING)
Comportant un
obstacle que les
passagers, au cours
d’une évacuation,
doivent enjamber, pour
atteindre l’extérieur 241
10.LES PORTES ET ISSUES
242
ISSUE type 3
243
11.LES PORTES
EMPLACEMENT DES CHOP OUT
ET
ISSUES
244
11.LES GROUPES
MOTOS PROPULSEURS
245
11.LES GROUPES MOTOS PROPULSEURS
246
11.LES GROUPES MOTOS
PROPULSEURS
Le réacteur est une machine thermopropulsive qui
crée une réaction en accélérant une masse d’air
grâce à un apport thermique.
Le rendement d’un réacteur augmente avec la
vitesse. Pour augmenter la poussée, à
consommation de carburant comparable, on utilise
des réacteurs à double flux .
247
11.LES GROUPES MOTOS
PROPULSEURS
REACTEUR
248
11.LES GROUPES MOTOS
PROPULSEURS
REACTEUR
249
11.LES GROUPES MOTOS
PROPULSEURS
250
11.LES GROUPES MOTOS PROPULSEURS
251
11.LES GROUPES MOTOS
PROPULSEURS
252
11.LES GROUPES MOTOS PROPULSEURS
253
11.LES GROUPES MOTOS
PROPULSEURS
254
11.LES GROUPES MOTOS PROPULSEURS
Parties Fixes
255
12.LES INSTRUMENTS DE BORD
256
12.LES INSTRUMENTS DE BORD
257
12.LES INSTRUMENTS DE BORD
1 - L’ALTIMETRE.
C’est un appareil utilisé pour mesurer l’altitude.
258
13.LES INSTRUMENTS DE BORD
2 - LE VARIOMETRE
C’est un indicateur de vitesse verticale
(Vertical Air Speed).
C’est un instrument de mesure de la vitesse
ascensionnelle ou descensionnelle en pieds par
minute. (Ft / mn)
259
12.LES INSTRUMENTS DE BORD
3- L’ANEMOMETRE.
Ou indicateur de vitesse de l’avion par rapport à
l’air (Air Speed), qui indique la vitesse en KNOTS (nœuds).
260
12.LES INSTRUMENTS DE BORD
4- LE COMPAS.
Il est utilisé pour connaître le cap suivi par
l’avion par rapport au Nord magnétique.
261
12.LES INSTRUMENTS DE BORD
HORIZON ARTIFICIEL
Horizon artificiel ou
indicateur d’altitude
est un instrument de
bord qui mesure
l’assiette et
l’inclinaison d’un
avion par apport a
l’horizon.
262
12.LES INSTRUMENTS DE
BORD
ECRAN RADAR
263
12.LES INSTRUMENTS DE
BORD
ECRAN RADAR
264
12.LES INSTRUMENTS DE
BORD
ECRAN RADAR
265
13.TERMINOLOGIE
266
13.TERMINOLOGIE
Greenwich, méridien (de)
C’est une des lignes imaginaires formant la
moitié d'un grand cercle et reliant les pôles Nord et
Sud.
Les méridiens correspondent ainsi aux lignes de
longitude. L'utilisation conjointe des latitudes et
longitudes permet de localiser des points sur le
globe au moyen des coordonnées sphériques.
Le méridien de Greenwich passe par le centre
du cercle méridien de l'ancien observatoire royal de
Greenwich, à l'est de Londres.
267
13.TERMINOLOGIE
268
13.TERMINOLOGIE
LE DÉCALAGE HORAIRE
Il est dû :
D’une part à des corrections d’ordre
géographique – 1 heure de décalage pour 15° de
méridien d’écart à Greenwich (en plus vers l’est et
en moins vers l’ouest),
D’autre part, éventuellement, à des corrections
propres à chaque Etat (en France, par exemple, 1
heure de plus l’été – économie d’énergie).
269
13.TERMINOLOGIE
270
13.TERMINOLOGIE
LA LATITUDE :
C’est la distance qui sépare un point du globe
de l’équateur ( au nord ou au sud )
LA LONGITUDE :
C’est la distance qui sépare un point du globe
du méridien de Greenwich ( a l’est ou a l’ouest)
C’est un système de coordonnées géométrique utilisé
pour déterminer la localisation d’un point sur la surface
du globe
La latitude et la longitude sont calculés en angle et
s’exprime en degrés, minutes et secondes
271
13.TERMINOLOGIE
272
14.CONTROLE
DE LA
CIRCULATION
AERIENNE.
273
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
LES FONCTIONS :
Les fonctions des organismes du contrôle de la circulation
aérienne définie par l’Annexe 11 relative à l’Aviation Civile
Internationale, sont les suivant:
a)- Empêcher les abordages entre les aéronefs.
b)- Empêcher les collisions entre les aéronefs au sol et
les obstacles.
c)- Régler et accélérer le trafic.
d)- Donner aux pilotes toutes les informations utiles
pour l’exécution sure et rapide des vols.
e)- Alerter éventuellement les services de sécurité et
de recherche.
274
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
275
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
277
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
278
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
L’Espace aérien contrôlé.
LA FIR AFRICAINE
279
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
L’Espace aérien contrôlé.
280
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
.
281
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
282
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
ZONES RÉGLEMENTÉES.
Il existe des zones ou la circulation aérienne
des aéronefs est sujette à restriction.
Ces zones généralement réservée aux écoles
de pilotage et aux centres d'instruction.
Elles ne peuvent être traversées qu’avec une
autorisation.
ZONES DANGEREUSES.
Mais non interdites, où il peut être dangereux de
traverser, il s’agit souvent de zones militaires.
283
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
- ZONES INTERDITES
Régions inhospitalières
284
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
ORGANES DU CONTRÔLE DE LA CIRCULATION AERIENNE
285
15.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
287
15.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
LES SERVICES FONCTIONNANT SUR LES AERODROMES :
289
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
290
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
Conditions à respecter :
291
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
LE PLAN DE VOL :
Les renseignements concernant un vol
seront soumis au contrôle de la circulation
aérienne avant le départ sous la forme
d’un plan de vol.
292
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
294
14.CONTROLE DE LA CIRCULATION
AERIENNE.
295
15.AIDES A LA
NAVIGATION
296
15.AIDES A LA NAVIGATION
1° L’AÉROPORT :
C’est l’ensemble des infrastructures comprenant :
L’Aérogare
Le Tarmac
298
15.AIDES A LA NAVIGATION
2° Le RUNWAY :
Est la piste de
décollage ou
d’atterrissage.
299
15.AIDES A LA NAVIGATION
301
15.AIDES A LA NAVIGATION
302
15.AIDES A LA NAVIGATION
303
15.AIDES A LA NAVIGATION
3° LES TAXIWAYS :
• Les taxiways sont
l’ensemble des bretelles
et voies de
cheminements qui
mènent un aéronef de
la piste d’envol (après
un atterrissage) vers
l’aire de parking
(tarmac)
304
15.AIDES A LA NAVIGATION
305
15.AIDES A LA NAVIGATION
Ou de l’aire de
stationnement vers la
piste d’envol (pour un
décollage)
306
15.AIDES A LA NAVIGATION
4° LE BALISAGE :
BALISAGE DIURNE
BALISAGE NOCTURNE
BALISES D’APPROCHE
307
15.AIDES A LA NAVIGATION
BALISAGE DIURNE :
308
15.AIDES A LA NAVIGATION
BALISAGE DIURNE :
309
15.AIDES A LA NAVIGATION
Il y a aussi des
bandes de seuil pour
indiquer, de jour, par
temps couvert, le
début et la fin de la
piste.
310
15.AIDES A LA NAVIGATION
BALISAGE NOCTURNE
311
15.AIDES A LA NAVIGATION
BALISAGE NOCTURNE
312
15.AIDES A LA NAVIGATION
313
15.AIDES A LA NAVIGATION
314
15.AIDES A LA NAVIGATION
315
15.AIDES A LA NAVIGATION
d) les lumières axiales
du taxiway :
De couleur différente de
celles du Run Way, sont
disposées tout le long
de l’axe des taxiways.
Elles servent, de nuit,
au « cheminement ou
roulage » d’un avion
dans le taxiway, jusqu’à
son arrivée au Parking.
316
15.AIDES A LA NAVIGATION
317
15.AIDES A LA NAVIGATION
318
15.AIDES A LA NAVIGATION
319
16.LE SAR
320
16.LE SAR
Services de Recherches et de Sauvetage
322
16.LE SAR
Le SAR : en Algérie dépend, pour une très grande part,
des services du MINISTERE DE LA DEFENSE
NATIONALE :
Les services de l’institution militaire Algérienne
organisent les différents plans, les méthodes et
déterminent les procédures des recherches et de
sauvetage.
Ces mêmes services coordonnent l’action des divers
moyens de sauvetage mis à la disposition des SAR.
Ils participent au contrôle du fonctionnement de ces
différents moyens.
Ils mettent, enfin, à disposition des C.C.S ses différents
moyens de sauvetage terrestres, aériens et maritimes.
323
16.LE SAR
324
16.LE SAR
Mise en œuvre
Le service d’alerte sera assuré :
A tous les aéronefs auxquels est assuré le
service du contrôle de la circulation.
Dans la mesure du possible, à tous les autres
aéronefs pour lesquels un plan de vol a été déposé,
ou dont la présence est connue des services de la
circulation aérienne pour toute raison.
A tous les aéronefs que l’on sait ou que l’on
croit être l’objet d’une intervention illicite.
325
16.LE SAR
Services de Recherches et de Sauvetage
MISSION DU SAR
328
16.LE SAR
Services de Recherches et de Sauvetage
1° La Phase d’incertitude (INCERFA)