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ZAD AL MUSTAQNI' - Imam Al Hajjawy

Commentaire par Salih ibn Fawzan al Fawzan

CHAPITRE – SECTION 1 IMAMAT :

Hajjawy : Le plus méritant à être imam : le plus connaisseur par rapport à la prière, qui est
le plus connaisseur dans le Fiqh, le plus vieux d’entre eux, le plus noble, celui qui est
partit le plus tôt pour faire la Hijra, le plus pieux, celui choisit par tirage au sort et le
résidant de la maison. L’imam de la mosquée est le plus méritant à l’exception de celui qui
détient l’autorité.

Fawzan : Cette section (Fasl) explique les règles concernent comment choisir l’imam pour diriger
la prière. Deux qualités sont requises pour l’imam : 1) Il doit être habile dans la récitation du
Qur’an donc cette qualité est la meilleure.
2) Il devra être versé dans la science et les règles de la prière. Cela car il pourrait se passer certaines
situations qui nécessitera la connaissance de la prière. S’il n’est pas versé dans la science, il
pourrait discréditer la prière ou il ne saura pas comment rectifier une situation difficile qui
pourrait se passer dans la prière.

Quant à savoir qui mérite le plus d'être un imam, il faut que :

1) Si un imam est désigné officiellement pour diriger la prière, il n’est pas permis pour quelqu’un
d’accomplir la prière si l’imam est présent, même s’il est apte et qu’il récite mieux le Qur’an que
l’imam. Comme l’auteur l’a dit précédemment « Il est interdit de diriger la prière dans la mosquée
avant que l’imam désigné ou payé dirige la prière, à moins qu’il le permette ou s’il y a une excuse
valable. »

2) Ceux qui ont l’autorité devront diriger la prière et personne ne les surpasse en ce qui concerne
ce droit car ils ont une autorité générale sur toutes les questions ; mener la prière incluse.
Cela est valable si la mosquée n’a pas un imam officiel et la prière sera suivit par un qui détient
l’autorité.

3) Le résidant de la maison. Personne n’est plus méritant que lui pour diriger la prière dans sa
maison. Le Prophète (Alayhi salat wa salam) a dit : « Aucun homme ne devrait diriger un autre
dans la prière où ce dernier à l’autorité ou celui qui vous donne l’hospitalité, sans sa permission.

4) « Le plus versé » ne veut pas dire celui qui a mémorisé le plus du Qur’an, cela se réfère à celui
qui à le plus de connaissance dans les règles de récitation (tajwid), dans l’articulation et qui ne fait
pas d’erreur grammaticale lorsqu’il récite. Il devra avoir une bonne connaissance de la prière et
bien-versé dans le Fiqh de la prière.

5) Si deux hommes sont égaux dans la récitation et la compréhension de la prière, l’un des deux
sera choisit selon sa connaissance du Fiqh.

6) Si deux hommes sont égaux dans la récitation du Qur’an, dans la connaissance de la prière et du
Fiqh, cela sera le plus âgé d’entre eux. Le Prophète (Alayhi salat wa salam) : « Laissez celui qui est
le plus âgé parmi vous diriger la prière. » [Hadith rapporté par Al Bukhary (1/162,175) (9/107) et
Muslim (2/134)]

7) La noblesse, si deux hommes sont égalités dans les qualités cités précédemment, celui qui sera
le plus noble dans la filiation devra avoir priorité pour diriger la prière.

8) Si toutes les qualités sont égales, on choisira la personne qui à effectuer la Hijra dans une terre
musulmane. Si tous sont des muhajirun (émigrés), cela sera celui qui a émigré en premier dans
une terre musulmane et devra être l'imam. Il est meilleur que les autres car il a effectué la Hijra
pour l’amour d’Allah avant les autres.

9) Le plus pieux, si toutes les qualités sont égales, cela sera le plus pieux parmi eux qui dirigera la
prière. Allah a dit : « Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. » (Sourate
Al Hujurat – V13)

10) Quand toutes les qualités sont égales, cela se fera par tirage au sort pour savoir qui deviendra
imam et qui dirigera la prière.

Hajjawy : L’homme libre, le citadin, le résidant, le voyant, le circoncis et celui qui a le plus
de vêtement sur lui est plus méritant que ceux qui n’en n’ont pas.

Fawzan: L’homme libre à la priorité sur un esclave si les deux sont égaux dans les qualités
désignés plus haut.

Le citadin aura la priorité sur les bédouins si toutes les qualités sont égales cela car le citadin
connait mieux les règles, habitudes de ceux qui vivent dans sa ville ou pays.

Le résidant aura la prévalence sur le voyageur car le résidant ne raccourcira pas la prière alors que
le voyageur oui.

Le voyant a priorité sur l’aveugle car ils peuvent se tenir debout face à la Qibla. L’aveugle aura plus
de mal a trouvé la Qibla. Le voyant pour se rendre compte des impuretés qu’il peut avoir sur lui
alors que l’aveugle non.
Le circoncis, si quelqu’un est circoncis et qu’un autre ne l’est pas, celui qui est circoncis aura la
priorité pour diriger la prière. Le circoncis a plus de mérite au regard de la purification que celui
qui ne l’est pas.

Celui qui est couvert par des vêtements et qui aura sa ‘awra la plus couverte aura priorité sur celui
qui n’a pas de vêtements suffisant pour couvrir sa ‘awra, car cacher la ‘awra est une condition pour
la prière. Allah a dit : « O Enfants d’Adam, dans chaque lieu de Salat portez votre parure (vos
habits). » (Sourate Al A’raf – V31)

Hajjawy : La prière n’est pas valide quand on est dirigé par un fasiq (pervers) ce qui est
similaire que d’être diriger par un kafir (mécréant).

Fawzan : L’imamat dans la prière n’est pas pour les cas suivants :

1) Le Fasiq (le pervers), cela se réfère à celui qui a abandonné l’obéissance à Allah. (Voir Al Mutla
p.51) Qui commet des péchés majeurs, est considéré comme fasiq, il est aussi considéré comme
quelqu’un qui a une déficience dans la foi comme cela est mentionné dans les livres de aqida
(croyance). La prière du fasiq est valide mais il ne devrait pas diriger la prière comme imam pour
que les gens ne suivent pas ce mal.

Il y a deux types de perversités :


- Dans la croyance, comme le Mu’tazili, Qadari, Jahmi, Asha’ri ou autre membre d’une secte
qui est déviante en matière de croyances.
- Dans les actions, par exemple, quelqu’un qui consomme de l’alcool, tue ou commet
l’adultère, voici quelques exemples de perversité dans les actions.

2) Le kafir, cela par consensus des savants (Voir Al Mughni 3/32) que la prière n’est pas valide si
elle est dirigée par un kafir même s’il est bien versé dans la récitation du Qur’an et du Fiqh. Car sa
croyance est corrompue et toutes ses actions sont invalides.

Hajjawi : Ni une femme, un hermaphrodite dirigeant les hommes, un enfant ne peut pas
diriger ceux qui ont atteint la puberté, un sourd, celui qui n’est pas capable de faire le
ruku’, sujud, être debout ou être assis excepté celui qui est imam d’un quartier et qui a
l’espoir de se rétablir. Celui qui prie derrière un tel imam, il est recommandé de prier
aussi assis. Si l’imam commence la prière en position debout et puis s’assoie plus tard, il
est obligatoire pour ceux qui le suivent derrière de rester debout tout au long de la prière.

Fawzan : 3) Une femme, elle ne peut pas être imam pour les hommes comme le Prophète (Alayhi
salat wa salam) a dit : « Une femme ne devra pas être imam pour un homme. » [Hadith rapporté
par Ibn Majah (1081)] Toutefois elle peut être imam pour une femme, ceci est l’avis de la majorité
des savants du passé et d’aujourd’hui. (Voir Al Mughni 3/37) Si un homme prie derrière une
femme, sa prière est invalide.
4) Un hermaphrodite, ne peut pas être imam pour les hommes. Un hermaphrodite est une
personne qui n’a pas un genre (masculin ou féminin) clair c’est-à-dire qu’il à la fois un organe
génital masculin et féminin.

5) Un enfant, qui dirige la prière de personnes qui sont pubères, celui-là ne peut pas être imam
pour de gens pubères. Cela est l’avis du Madhab Hanbali (Voir Al Insaf 2/266).

6) Un muet ne peut pas être imam pour ce qui ne le sont pas (muet).

7) Quelqu’un qui ne peut pas accomplir physiquement un pilier de la prière (rukn), comme rester
debout ou accomplir la prosternation, son imamat n’est pas valide tant qu’il n’est pas capable
d’accomplir ces actes qui sont des piliers.

« Excepté celui qui est imam d’un quartier qui à l’espoir de se rétablir » L’imam mentionné se
réfère ici à celui qui est l’imam officiel et qui est payé pour diriger la prière.
S’il est confronté à une situation difficile et qui doit accomplir les prières assis, la prière des
suiveurs est valide sous deux conditions : - Premièrement, qu’il soit l’imam officiel et qui perçoit
un salaire pour cela et deuxièmement s’il a espoir qu’il recouvre sa santé et ses capacités
physiques.

Le suiveur devra rester debout même si l’imam s’assoit après qu’il est commencé la prière. Ils ne
devront pas s’asseoir si l’imam a commencé la prière debout, c’est une obligatoire pour le suiveur
de rester debout. Toutefois si l’imam commence la prière assis, il est obligatoire pour le suiveur de
s’asseoir.

Hajjawy : La prière est valable si ceux qui souffrent d'incontinence sont dirigés par
quelqu'un qui leur ressemble. Il n'est pas valable derrière celui qui est impur et celui qui
est souillé par des impuretés et en est conscient.

Fawzan : 8) Celui qui souffre d’incontinence ne devra pas diriger la prière sauf si les suiveurs sont
comme lui.
Les incontinents sont ceux qui ne peuvent pas controler le flux de leur urine. Toutefois ils ne sont
pas exempts d’accomplir la prière, ils devront faire les ablutions avant d’accomplir la prière et la
prière est valide même si l’urine coule pendant leurs prières. Allah a dit : « Et craignez Allah
autant que vous le pouvez. » (Sourate At-Taghabun – V16)

9) L’impur et celui qui est souillé par des impuretés en le sachant ne peut pas être imam et la
prière derrière un tel individu est invalide puisque cela annule les petites ablutions. Donc cette
prière est invalide pour le suiveur également dû au faite qu’ils savaient que l’imam n’était pas en
état de pureté. Mais s’ils ne le savaient pas, la prière du suiveur est valide à l’inverse de l’imam, le
suiveur est excusé dans ce cas.
Hajjawy : Si les deux, l’imam et le suiveur, ne sont pas conscients que l’imam n’est pas en
état de pureté (taharah) jusqu’à après la prière, seule la prière du suiveur est valide.
L’imamat de l’illettré (quelqu’un qui ne sait pas lire Sourate Al Fatiha correctement) est
invalide.

Fawzan : « Si les deux, l’imam et le suiveur, ne sont pas conscients… » Pour l’imam, il devra refaire
la prière. Cela car Umar Ibn Khattab (Radiya’Allahu anhu) avait dirigé la prière du Fajr pour les
musulmans, plus tard il se rendit compte de signes sur lui (son vêtement) d’un rêve érotique qu’il
n’avait pas vu avant et durant la prière, il a refait sa prière mais n’a pas ordonné aux Musulmans de
la refaire car les musulmans ne savaient pas cela durant la prière.

10) L’illettré, la définition du l’illettré est mentionné par l’auteur, toutefois il n’est pas excusé pour
la prière et il devra l’accomplir ses cinq prières quotidiennes même s’il ne récite pas bien Al Fatiha.
Le Prophète (Alayhi salat wa salam) a dit : « Lorsque vous vous levez pour la prière, faites le takbir.
Si vous pouvez réciter le Qur’an faites-le, sinon dites « Al hamdoulilah », « la ilaha illa Allah » et
« Allahu akbar », puis fait le takbir et inclinez-vous. » [Hadith rapporté par Abu Dawud (861) et
At-Tirmidhi (302)] La prière est obligatoire pour lui même s’il ne sait pas réciter Al Fatiha, il
pourra dire le tahmid, le tahlil, le tasbih et le takbir comme substitut, toutefois il ne peut pas
diriger la prière s’il n’est pas capable de réciter Al Fatiha.

Hajjawy : Ou si l'on accentue un mot où il ne devrait pas être, remplace une lettre par une
autre ou prononce mal un mot de telle sorte que le sens est modifié. Cependant, si celui
qui récite et ceux qui suivent sont déficients dans la récitation, il peut la diriger. S'il est
capable de rectifier sa récitation, alors sa prière est invalide.

Fawzan : Il accentue un mot qui ne devrait pas l’être et il n’a pas la connaissance dans le Tajwid
du Qur’an. Ses erreurs l’incombe et l’entraine a oublié un mot dans sourate Al Fatiha, cela invalide
la récitation de toute la sourate.

« Remplace une lettre » Par exemple, il prononce la lettre « ra » comme la lettre « ghayn ».

« Prononce mal un mot… » Par exemple, au lieu de dire « Al Hamdoulilahi rabbil 3alamin », il dit
« Al Hamdoulilahi rabbil alamin », le « alamin » au lieu de « 3alamin » ou encore dire « iyyaki
na’3budu » à la place de « iyyaka na’3budu ». Dans le deuxième exemple, au lieu de s’adresser à
Allah, la personne s’adresse à une femelle (« ka » se réfère à la deuxième personne masculin
singulier et « ki » se réfère au singulier féminin) La prière d’une telle personne est valide si il prie
seul, toutefois son imamat n’est pas valide et il est inéligible pour le poste d’imam.

C’est-à-dire si tous ceux qui prient, l’imam et les suiveurs, ont une déficience dans leurs
récitations. Un d’entre eux peut diriger les autres si les autres ne peuvent pas réciter le Qur’an
correctement. Néanmoins il est interdit pour eux de rester dans cette ignorance, c’est une
obligation d’apprendre le Qur’an s’ils en ont la capacité.
C’est-à-dire s'il a suffisamment de temps pour la prière et qu'il a accès à un enseignant qui peut
corriger sa lecture tout en ayant la capacité d'apprendre la bonne façon de la lire (Sourate Al
Fatiha). Il n’a pas d’excuse pour cette personne de réciter Al Fatiha de manière incorrecte.
Toutefois s’il n’a pas assez de temps avant la prière ou s’il n’y a personne capable de lui apprendre
de réciter correctement, il pourra réciter dans la prière ce qu’il arrive à réciter.

Hajjawi : Il est détestable qu’une personne qui fasse des erreurs grammaticales dans sa
récitation dirige la prière. Egalement celui qui répète la lettre « Fa » ou « Ta » lorsqu’il
récite. Celui qui n’arrive pas à prononcer correctement les mots, cela est aussi détestable
qu’il soit imam. Il est détestable qu’un homme dirige une prière où seul des femmes non
apparentées prient derrière lui et qu’il n’y a pas d’homme apparenté présent.

Fawzan : L’imamat de ces personnes suivantes est détestable :

1) Celui qui commet des erreurs grammaticales dans sa récitation. Il ne connait pas le sens de
ce qu’il récite et donc il peut facilement commettre des erreurs grammaticales, par
exemple, faire le « marfu’ (nominatif)» à la place du « mansub (accusatif)» ou le « mansub
(accusatif) » à la place du « majrur (génitif)».
2) Celui qui répète (bégaie) la lettre « fa » ou « ta » lorsqu’il récite, ils sont connus en arabe
comme « Al Fa’fai » et « Al Tamtami ».
3) Celui qui ne prononce pas correctement les mots en raison d’un empêchement de la parole
ou une autre raison.
4) Un homme non-parenté qui dirige la prière où il n’y a que des femmes qui prie derrière lui
et il n’y a pas d’homme parenté qui soit présent ou quand une femme qui a pour mahram
(tuteur) l’imam mais qui n’est pas présente, cela est dû à la possibilité de la fitna qui
pourrait en résulter.

Hajjawi : Ou une personne détestée d'être l'imam par la majorité des gens et que leur
aversion soit justifiée. L'imamat de l'enfant né hors mariage et le soldat est valable si ce
sont des personnes pieuses.

Fawzan : 5) Si la majorité des gens déteste la personne qui est imam pour une raison justifiée.
Si seulement une minorité d’entre eux le déteste, qu’il dirige la prière, cela n’est pas détestable.

Quand les gens détestent qu’il soit imam pour une raison justifié, par exemple, ils trouvent que cet
imam est déficient sur plusieurs aspects du dîn. Le fait qu’il dirige la prière est détestable comme
le Prophète (Alayhi salat wa salam) a dit : « La prière de trois personnes ne se lève pas au-delà de
leurs têtes… » Parmi elles « Une personne qui dirige la prière et qui détestée par les gens. »
[Hadith rapporté par At-Tirmidhi (360)]
L’enfant né hors mariage peut devenir imam s’il est pieux même si il provient d’une naissance
illégitime. L’accent est mis sur sa droiture et non sur ses origines. Similairement, l’imamat du
soldat ou du policier est valide.

Hajjawy : Ou ceux qui prient dans le temps de la prière derrière quelqu’un qui accomplit
une prière manquée ou vice versa. Toutefois, l’imamat est invalide pour celui qui a
l’intention de prier une prière surérogatoire (nafl) et qui dirige quelqu’un qui a l’intention
de prier une prière obligatoire et celui qui a l’intention de prier Dhur qui dirige la prière
de quelqu’un qui a l’intention de prier la prière de l’Asr ou une autre prière obligatoire.

Fawzan : Si quelqu’un prie avec l’intention de prier la prière en cours mais qu’il est suivi par des
gens qui prient avec l’intention de prier une prière qui est manquée, cela est valide.
Par exemple, l’imam prie Dhur qui est la prière en cours mais quelqu’un derrière lui prie le Dhur
de la veille car il a manqué, quand l’imam fait le taslim le suiveur devra se lever et prier l’actuelle
prière de Dhur car les faire dans l’ordre est une obligation.

La personne qui a l’intention de prier une prière manquée peut diriger la prière de quelqu’un qui a
l’intention de prier la prière en cours.

Concernant les prières surérogatoires, la prière est annulée dans le cas où l’imam a l’intention de
prier une prière surérogatoire alors que les suiveurs ont l’intention de prier une prière obligatoire.
Le Madhab Hanbali considère la prière nulle et non avenue car le Prophète (Alayhi salat wa salam)
a dit : « Certainement, l’imam doit être suivie. » [Hadith rapporté par Al Bukhary (1/184) et Muslim
(1/19)] (Voir Al Mughni 3/67)

Et donc celui qui dirige la prière et qui a l’intention de prier Dhur et que ceux derrière ont
l’intention de prier l’Asr ou une autre prière, la prière est invalide avec le même argument que
pour le cas précédent. (Voir Al Mughni 3/68-69)

Hajjawy : L'urine de l'animal dont la viande est permise pour la consommation, sa bouse,
son fluide reproducteur et le sperme de l'homme.

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