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Introduction :
Dans ce chapitre nous avons procédé à l’étude des différents éléments et composants de
l’ascenseur, à savoir les principes de fonctionnements et les différents blocs.
I.1) Description :
Appareil élévateur installé à demeure,desservant des niveaux définis, comportant une
cabine, dont les dimensions et la constitution permettent manifestement l’accès des
personnes, se déplaçant au moins partiellement le long de guides verticaux, dont l’inclinaison
sur la verticale est inférieur à 15 degrés .
Il n’y pas de destination nette entre ce terme (ascenseur) et d’autre comme
monte –charge ou élévateur, mais on le réserve souvent aux appareils destinés au transport
vertical de personne dans les bâtiments à niveau multiples. Le terme désigne aussi
couramment la cabine de l’ascenseur, qui n’est qu’un élément du dispositif.
LEON EDOUX, ingénieur Français duXIXéme siècle est à l’origine du
terme “Ascenseur“
Ascenseur
Monte charge
Monte malade
Monte plat
Monte documents
Monte voiture
Escalators mécanique….etc.
Remarque :
La seule différence entre ces appareils est la vitesse de déplacement de la cabine.
I.3) Type de traction :
Les ascenseurs modernes sont dotés actuellement de deux systèmes de traction :
Le treuillage, qui consiste à déplacer l’ascenseur à l’aide de câble actionné par une
machine que l’on appelle : “treuil“et en même temps le treuillage contient deux catégories de
traction.
Directe : le câble est directement relié à la cabine.
Indirecte (moufle) : la cabine d’ascenseur est pendue dans la gaine au bout des câbles
de traction. Ceux-ci passent sur une poulie de traction actionnée par le treuil et sont reliés à un
contrepoids.
Barre d’accrochage
Echelle d’accès
Guide cabine
Opérateur de porte
Câble de suspension
Bouton d’alarme
Came mobile
Canalisations
électriques fixe Cellule photo-lectrique
Chasse pied
Cordon souple
(pendentif)
Guidage de contrepoids
Câble de limiteur
de vitesse
Amortisseur
Interrupteur d’arrêt
d’urgence en cuvette Cuvette
Moteur treuil
Ouverture porte
Fermeture porte
Câble
Cabine
Contre poids
Transmettre
l’énergie mécanique
Transmettre
l’énergie mécanique
I.7.2) Avantages :
Détections
Tout objet solide
Technologie
Deux fils
I.7.3) Utilisations :
Les plus significatives se rencontrent dans la mécanique et la machine-outil (usinage,
manutention, levage), dans l’agro-alimentaire et la chimie (conditionnement, emballage), sur
des types d’applications relevant de :
La détection de pièces machines (cames, butées, pignons)
La détection de balancelles, chariots, wagons
La détection directe d’objets
C’est un commutateur, commandé par le déplacement d’un organe de commande (corps
d’épreuve).
Lorsque le corps d’épreuve est actionné, il ouvre ou ferme le contact électrique.
De nombreux modèles peuvent être associée au corps : tête à mouvement rectiligne,
angulaire ou multi direction associée au différent dispositifs d’attaque (à poussoir, à levier, à
tige).
La tête de commande et le dispositif d’initiative sont déterminés à partir de :
La forme de l’objet : came 30°, face plane, forme quelconque.
La trajectoire de l’objet : latérale, multidirectionnelle.
La précision de guidage.
Fig.I.8 : Gamme des interrupteurs de position.
I.7.4) les différents types de détecteurs :
I.7.1) les détecteurs de proximité inductifs :
Ce type de capteur est réservé à la détection sans contact d’objets métalliques.
L’objet est donc à proximité du capteur mais pas en contact contrairement à un détecteur de
position.
I.8.1) DESCRIPTION :
La boîte d’inspection du toit de la cabine contient le module électronique sélectionné et
les poussoirs d’arrêt de secours, mouvement en inspection et appel de secours, commutateur
de marche normal/inspection, bouton de montée, bouton de descente et prise de courant.
Fonctionnement en révision
Fonctionnement normal
Bouton de montée
Ces limiteurs sont valides pour actionner des parachutes instantanés à rouleaux, instantanés
avec effet amorti et progressifs.
C’est la partie fixe du moteur ; il est constitué d’une carcasse, sur laquelle est fixée une
couronne de tôle d’acier de qualité spéciale munie d’encoches. Des bobinages de section
appropriée sont répartis dans ces dernières et forment un ensemble d’enroulement qui
comporte autant de circuits qu’il y a de phases sur le réseau d’alimentation.
C’est la partie mobile du moteur. Il est placé à l’intérieur du stator et constitué d’un
empilage de tôles d’acier formant un cylindre claveté sur l’arbre du moteur. On distingue
deux types de rotors :
Et pour mieux positionner l’ascenseur à l’étage le moteur (treuil) est équipé d’un électro-
frein.
Commande de Bras manDueescl rpipotuiorn de l’automate programmable S7-300, lc’aéhleicetrro- frein desserrerdels’éclheacrtgreos
Chapitre 02
Moteur électrique
Ressort de frein
Electro-frein
Volant
Poulie
DESCRIPTION DE L’AUTOMATE
PROGRAMMABLE S7-300
II.1)Introduction :
Un automate programmable est une machine électrique spécialisée par la commande et
la surveillance en temps réel de processus industriels. ElIe exécute une suite d’instruction
introduite dans ses mémoires sous forme de programme, soit par une console de
programmation ou un micro-ordinateur
Actuellement, dans le marché mondial il existe plusieurs types d’automates
programmable, qui se différent par des caractéristiques techniques.
Parmi lesquels on cite : Schneider, Omron, PCD1, SIEMENS, Télémécanique….etc.
Et comme notre travail s’effectue sur un automate programmable de type SIEMENS,
donc une description lui sera consacrée.
Conception de la solution
d’automatisation Et détermination de la structure du programme
Choisir la programmation
? symbolique au lieu de la
programmation absolue
Définition des mnémoniques Oui
Option Non
Programmation du message Configuration des variables Contrôle -commande
Non
Configuration matérielle et liaisons
Oui
Chargement du programme
Test du programme et détection d’erreurs
Fig. II.4 : organigramme de
programmation S7
Impression et archivage
II.4.2) Description des blocs de programmation :
II.4.2.1) Bloc d'organisation pour le traitement de programme cyclique (OB 1) :
Le traitement de programme cyclique constitue le traitement normal pour les automates
programmables. Le système d'exploitation appelle l'OB1 cycliquement et déclenche ainsi le
traitement cyclique du programme utilisateur.
II.5) S7-PLCSIM :
L’application de simulation de modules S7-PLCSIM permet d’exécuter et de tester le
programme dans un automate programmable (AP) que nous simulons dans notre ordinateur
ou dans la console de programmation, par exemple (une PG, une powr PG ou une field PG).
La simulation étant complètement réalisée au sein du logiciel STEP7, il n’est pas nécessaire
qu’une liaison soit établie avec un matériel S7 quelconque (CPU ou module de signaux ).
L’AP S7 de simulation permet de tester des programmes destinés aux CPU S7-300 et aux S7-
400, ainsi qu’à winlc(windows logic controller), puis de remédier à d’éventuelles erreurs.
S7-PLCSIM dispose d’une interface simple permet de visualiser et de forcer les différents
paramètres utilisés par le programme (comme, par exemple, d’activer ou désactiver des
entrées).
Tout en exécutant le programme dans l’AP de simulation, on à également la possibilité de
mettre en œuvre les diverses applications du logiciel S7 comme par exemple la table des
variables VAT afin d’y visualiser et d’y forcer des variables.
II.6.1) Introduction
Les exigences auxquelles doivent répondre un système de supervision et de pilotage de
process ainsi que l'archivage et le traitement informatique des données de production se sont
fortement accrues ces dernières années. Pour les satisfaire, de nouveaux systèmes
IHM(Interface homme-machine) ont été développé par les constructeurs.
WinCC est un de ces nouveaux systèmes. En ce qui concerne les fonctionnalités, l'ouverture
et l'actualité (état de l'art du logiciel), WinCC est certainement inédit.
Les systèmes IHM de l'ancienne génération ne proposaient souvent qu'une seule manière de
résoudre les problèmes posés. WinCC propose presque toujours plusieurs solutions.
Il présente et propose les solutions permettant d'utiliser WinCC avec un maximum d'efficacité
dans les projets de commande de process.
II.6.2.1) Généralités :
Différents réseaux sont proposés en fonction des exigences de la communication
industrielle. Les différents réseaux sont listés ci-après par niveau de performance croissant.
· MPI
· PROFIBUS
· Industriel Ethernet
II.6.2.2) MPI :
Le réseau MPI (Multi Point Interface) est utilisé pour les interconnections de faible
étendue aux niveaux terrain et cellule. Il ne peut cependant être utilisé qu'avec les automates
SIMATIC S7. L'interface MPI du module unité centrale de l'automate est utilisée pour la
communication. Celle-ci a été conçue comme interface de programmation elle atteint
rapidement ses limites lorsque les exigences de la communication sont sévères. Un ordinateur
doté de sa propre carte MPI peut accéder à un réseau MPI. Tous les processeurs de
communication permettant d'accéder à un PROFIBUS peuvent également être utilisés.
II.6.2.3) PROFIBUS :
Le réseau PROFIBUS (Process Field Bus) est un réseau conçu pour les niveaux cellule,
et terrain. C'est un système de communication ouvert (non propriétaire), il est utilisé pour
transmettre des volumes de données petits et moyens entre un nombre restreint de
correspondants.
Utilisé en liaison avec le protocole DP, PROFIBUS assure la communication avec des
composants de terrain intelligents. Ce type de communication est
caractérisé par un échange de données cycliques rapides.
II.7.1) Définition :
Le GRAFCET est un outil graphique de description des automatismes séquentiels
indépendants des moyens de réalisation. Il s’agit d’un outil d’analyse, mais il peut être utilisé
comme langage de programmation de certains types d’automates.
II.7.2.1) ETAPE:
Situation atteinte par le GRAFCET et qu’il conserve tant qu’aucun ordre de
franchissement de la transition suivante ne lui est signifié.
Une étape ne peut avoir que 2 états: soit elle est active, soit elle est inactive.
Une étape se représente par un carré (ou un rectangle) repéré par un numéro placé dans le
cadre, et le nom ou le symbole de l’action s’écrit à l’intérieur de ce rectangle plus ou moins
important relié à l’étape par un tiret.
Plusieurs actions peuvent être associées à la même étape.
II.7.2.4) LIAISON:
Les liaisons relient les étapes aux transitions et les transitions aux étapes.
Le sens général d’évolution est du haut vers le bas. Dans un cas différent, il faut montrer le
sens d’évolution en fléchant la liaison.
ETAPE INITIALE
RECEPTIVITE
ETAPE
ACTION
LIAISON
TRANSITION
Règle N°1 :
Les étapes INITIALES sont celles qui sont actives au début du fonctionnement. On les
représente en doublant les côtés des symboles. On appelle début du fonctionnement le
moment où le système n'a pas besoin de se souvenir de ce qui c'est passé auparavant
(allumage du système, bouton "reset",...). Les étapes initiales sont souvent des étapes d'attente
pour ne pas effectuer une action dangereuse par exemple à la fin d'une panne de secteur.
Règle N°2 :
Une TRANSITION est soit validée, soit non validée (et pas à moitié validée). Elle est
validée lorsque toutes les étapes immédiatement précédentes sont actives. Elle ne peut être
franchie que lorsqu'elle est validée et que sa réceptivité est vraie. Elle est alors
obligatoirement franchie.
Règle N°3 :
Si une étape doit être à la fois activée et désactivée, elle reste active. Une temporisation
ou un compteur actionnés par cette étape ne seraient pas réinitialisés. Cette règle est prévue
pour lever toute ambiguïté dans certains cas particuliers qui pourraient arriver dans certains
cas.
III.1) Introduction :
La partie théorique de premier et deuxième chapitre nécessite une partie pratique pour
mieux expliqué notre travaille, ce chapitre nous permettra de l’exposer.
III.2) Cahier des charges :
300
D P VE F M P VE F
301 302 D P VE F
F_R é_B + B D Ré + A U R F_R é_H+ B M Ré + A U R 303
PE0
DP EF F GFN{1
V }
304
=1
305
306 FGFN{}
=1
III.3) Légende et table mnémonique :
32 A4 A 5.3 LED 4
33 A5 A 5.4 LED 5
34 A6 A 5.5 LED 6
35 A7 A 5.6 LED 7
Chapitre 02 Description de l’automate programmable S7-300, cahier
des charges et modélisation par GRAFCET
199
200
PE1 . DSCH . MrMn
A1
201 A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7 V1
203
PE2 .DSCH PE4 . DSCH . MrMn
PE4 .DSCH .MrMn
.MrMn
A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7 V4
204 PE5 . DSCH . MrMn
PE5 .DSCH .MrMn
PE3 .DSCH .MrMn
A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7 V5
205 PE4 . DSCH . MrMn
A1 A2 A3
DSCH .
MrMn A1
206 A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
A6 A7 A2
DSCH . A5 A3
MrMn
207
A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
A4
III.5) Introduction :
Après la description de cahier de charge de l'unité, on passe à la création de projet,
passant par deux étapes :
La première consiste à faire la configuration matérielle, création du programme et la
simulation.
La deuxième réalise la supervision sur WinCC, selon la représentation de la Figure IV-
1
Création du projet
Configuration matérielle
Première Etape
Création du programme
Les étapes précédentes nous permet d’obtenir une nouvelle fenêtre qui porte le nom de
notre projet qu’on a nommer « ASSM» c’est le nom de la société concernée, comme la
montre la Figure III.4.
La fenêtre de configuration qui montre la localisation des modules dans les rails de
montage se représente par la (Figure III.7).
CPU Les entrées TOR
Alimentation
Enregistrer et Compiler
Langage de programmation
Les Blocs
ADP : Entrée TOR (E0.1), elle ce trouve au palier elle sert à l’appel de la cabine.
Env_a_1: Entrée TOR (E2.4), elle ce trouve dans la cabine elle sert à l’envoi de la cabine.
CPF : Entrée TOR (E2.4), capteur qui indique que les portes sont fermé.
PE0 : Entrée TOR (E2.4), capteur indique que la cabine est au rez-de-chaussée.
DSCH : Entrée TOR (E2.4), détecteur de sur charge déclanche au cas de sur charge dans la
cabine.
La disponibilité générale qui contient :
Disponibilité porte.
L’arrêt d’urgence.
Mémento
Mémento
PLCSIM
Fig. III.14 : Lancement du simulateur.
Chargement de programme
Sélection de l’envoie
Fig. III.17 : Simulation de sélection de l’envoie.
Cette figure nous montre l’ouverture des portes, l’affichage de la position de la cabine
par un afficheur dans la cabine et avec un voyant au palier (Figure III.20).
Affichage de la position de la
Cette figure nous montre qu’il existe un défaut qui est l’ouverture de la porte palier de
rez-de-chaussée se dernier et signaler par une alarme (Figure III.21).