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A mes chers parents, qui m’ont soutenu et encouragé le long de mes études, et
qui sont une source inépuisable, de compréhension et d’inspiration, que ce
travail soit le témoignage de ma reconnaissance pour l’éducation et le
sacrifice qu’ils n’ont pas cessé de consentir pour moi.
A mes formateurs,
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Remerciements
Mes remerciements vont également à tous ceux et celles qui m’ont aidé de
près ou de loin à la réalisation du projet.
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Sommaire
Introduction générale……………………………………………………………………………………………………………………….5
Conclusion générale……………………………………………………………………………………………………………………….78
Annexes………………………………………………………………………………………………………………………………………….79
Bibliographie…………………………………………………………………………………………………………………………………..81
Table des matières …………………………………………………………………………………………………………………………82
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Tableau 1 : Les taux d’amortissement les plus couramment utilisés pour les biens neufs.
Tableau 2 : Les taux d’amortissement applicables aux établissements hôteliers :
Tableau 3 : Les taux d’amortissement dégressif en fonction de la durée
d’amortissement du bien.
Tableau 4 : reconstitution du coût historique amorti à partir des factures d’origine
Tableau 5 : tableau de calcul pour le composant A :
Tableau 6 : fiche technique de la SME FANTASIA
Tableau 7 : évolution du fonds de roulement.
Tableau 8 : évolution du BFR
Tableau 9 : évolution encours clients
Tableau 10 : évolution encours Fournisseurs
Tableau 11 : évolution du Ratio de solvabilité liquidité générale
Tableau 12 : évolution du Ratio C.A.F/ Investissements
Tableau 13 : évolution du Ratio C.A.F/ encours de la dette
Tableau 14 : évolution du Ratio Rentabilité des CP
Tableau 15 : Ratios d’exploitation faisant appel à la C.A.F
Tableau 16 : Comparatif actuariel des méthodes linéaire et dégressive
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Introduction générale
Cette entreprise industrielle opérante dans le secteur d’industrie d’emballage du bois est
l’un des pionniers sur le plan régional, sa vocation ainsi lui a permis d’asseoir une position
confortable dans le marché régionale cible, cependant cette position est plus que jamais sous
pression concurrentielle depuis la libéralisation du secteur en 1986 .Conscients de l’enjeu les
dirigeants de la firme ont fixé des objectifs stratégiques parmi lesquels : la modernisation des
outils de production dans le souci d’atteindre un niveau de qualité et de productivité
satisfaisant.
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d’exposer les solutions comptables pour résoudre la question de la valorisation temporelle des
immobilisations pour compenser financièrement le capital investi.
Par la suite on va voir cette pratique –qui est une obligation légale- à la lumière du droit
fiscale marocain, compte tenu de ses implications sur la détermination de la base fiscale
soumise à l’impôt sur les sociétés ou l’impôt sur le revenu.
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Chapitre 1 :
Cadre conceptuel
de l’amortissement
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Introduction
1. Définition étymologique :
D’un point de vu étymologique, le terme (amortissement) dénote au 13 ème siècle (1263),
« taxe annuelle due au seigneur en compensation de l'annulation de la mainmorte ».C'est à
l'origine un terme de droit fiscal, en ancien français.
Le terme mainmorte qui désignait l'incapacité dont sont frappés les serfs en France au
Moyen Âge. Son objectif était d'éviter que les biens passent à des personnes extérieures à la
seigneurie : durant sa vie, le serf jouissait librement de ses biens personnels ; il pouvait
disposer de son manse (une parcelle agricole suffisamment importante pour nourrir une
famille avec une superficie assez précise et souvent occupé par des serfs et ce en contrepartie
de de leur récolte ou un service qui leur devaient au seigneur )avec la permission de son
seigneur mais il était privé de la faculté de faire son testament et, à sa mort, ses biens
revenaient à son seigneur selon le principe : "Le serf mort, saisit le vif son seigneur".
Au 14 ème siècle Le sens de « action d'affaiblir » a pris place. C'est un emploi au sens
figuré du sens propre en « transformer un impôt très lourd (la mainmorte) en des prélèvements
fiscales moindre et d’une façon progressive».
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Au 17 ème siècle, le terme a connu une extension par rapport au sens initial il signifie
« rente annuelle (ou calcul de cette rente) due en échange d’un capital ».
2. Aperçu historique :
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"dépréciation réelle".
Graphe 1 : évolution des modes d’amortissement adoptés, cumul du nombre annuel des
sociétés ayant choisi l’une des 2 méthodes.
Donc d’après le graphique il s’avère bien le libéralisme fait déjà preuve de transcendance
tout au moins en matière comptable dans la mesure où le point de vue de l'entrepreneur est de
mieux en mieux compris.
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Les investissements doivent être remplacés et leur efficacité doit faire l’objet d’une
amélioration constante, quantitative et qualitative, pour accroître la productivité des facteurs
de production. En comptabilité nationale, le Produit Intérieur Net est égal au Produit Intérieur
Brut diminué des Amortissements. Cet indicateur traduit de manière plus pertinente
l’enrichissement effectif d’une économie.
En effet, il est indispensable de tenir compte de cette consommation du capital, qui est
indissociable du fonctionnement de toute économie animé par une dynamique de croissance.
Le déclin économique est, en effet, assimilable à la consommation sans renouvellement du
capital accumulé.
Seuls des actifs immobilisés peuvent faire l’objet d’un amortissement. Les biens de
consommation en sont exclus. Pour réaliser son processus de production, l’entreprise est
amenée à acquérir des biens et services :
■ Certains sont considérés comme des investissements et inclus dans son patrimoine, c’est-à-
dire comptabilisés dans les actifs de son bilan.
■ Les autres achats sont considérés comme des consommations courantes et donc comme des
charges, et sont comptabilisés au débit du compte de résultat.
Comme la durée d’un exercice comptable est dans la très grande majorité des cas égale à un
an, les actifs amortissables sont ceux qui sont réputés conservé une valeur au-delà de la
période d’un an et dont la valeur unitaire excède un certain seuil.
Sachant bien que la notion d’amortissement revêt également deux autres significations :
soit le remboursement d’un emprunt, soit la rentabilité d’un investissement. La notion
d’amortissement financier d’un emprunt correspond au remboursement des annuités
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Elle n’est pas sans relation avec la notion d’amortissement comptable d’un actif immobilisé
dans sa philosophie générale. Toutefois, le plan d’amortissement d’un emprunt est stipulé
dès le départ dans le contrat liant l’emprunteur au prêteur, alors que l’entreprise, seule, décide
de la politique d’amortissement de ses actifs qu’elle entend pratiquer dans le cadre de la
législation comptable et fiscale en vigueur.
Si on prend un actif immobilisé acquis au prix Po. Il est comptabilisé pour ce montant dans
les actifs de l’entreprise. Il va faire l’objet d’un amortissement comptable pendant une durée
de n années, la dotation aux amortissements pour chaque année i étant égale à Ai.
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Cet actif immobilisé est inclus dans le patrimoine de l’entreprise. Il est une partie de son
appareil de production. Il est éventuellement possible, mais pas dans tous les cas, de lui
rattacher le flux de recettes nettes qu’il a généré.
Il est éventuellement également possible, mais pas dans tous les cas, de lui rattacher le flux
de dépenses courantes nécessaires à sa mise en exploitation, à son entretien et à son
fonctionnement. Avant d’être mis au rebut ou revendu, cet actif va donc générer pendant une
période de m années un revenu annuel net, déduction faite des dépenses, noté Ri.
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A noter aussi que les deux durées n et m ne doivent pas forcement être égales. Au terme de
sa durée d’amortissement comptable n, l’investissement est rentable s’il convient à l’équation
suivante :
A travers cette formule on peut dégager une autre acception de l’amortissement d’un actif
qui est relativement implicite à savoir sa rentabilité. En effet un actif est rentabilisé si la
somme de sa valeur résiduelle et des revenus nets qu’il a générés pendant la durée de son
amortissement comptable est supérieure à sa valeur comptable initiale.
NB : Il est tout à fait logique qu’un investissement peut être financièrement rentabilisé sur
une période inférieure ou supérieure au nombre d’années requis pour son amortissement
comptable.
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D’un autre point de vue on préconise le recoure à la valeur de remplacement pour estimer
l’amortissement, de telle sorte le nouvel actif soit en mesure de remplir des fonctions
similaires, compte tenu de l’évolution des conditions économiques et technologiques.
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L’amortissement des actifs immobilisés est une opération comptable se traduisant par
l’enregistrement dans le compte de résultat des charges résultant de leur perte irréversible de
valeur du fait de leur usage, de leur usure et de leur obsolescence.
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L’amortissement des actifs immobilisés se traduit par l’imputation sur l’assiette fiscale de
l’impôt sur les sociétés ou de l’impôt sur le revenu des charges représentatives de leur perte
irréversible de valeur. Si l’amortissement est une obligation prévue par Loi n ° 9-88 relative
aux obligations comptables des commerçants, les modalités de cette opération sont régies par
la législation fiscale.
Il convient également de dissocier les méthodes proposées par la technique comptable des
opportunités offertes par le droit fiscal. Cette divergence incite d’autant plus les responsables
financiers à adopter une politique d’amortissement dans le cadre de l’optimisation fiscale, il
s’agit de tirer au mieux parti des opportunités offertes par la législation fiscale, tout en
prévenant les risques de contentieux.
Cet objectif peut être remis en cause, sachant bien que l’entreprise devrait déterminer elle-
même les règles d’amortissement de ses actifs immobilisés compte tenu de la spécificité de
son activité, avec une acquisition respectant les conditions régulières, en conséquence la
tenue d’un inventaire, aussi rigoureux que possible, des actifs possédés est un préalable à
toute politique d’amortissement.
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2. Schémas d’écriture :
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La dotation dérogatoire ne vient pas en déduction de l’actif immobilisé, mais assimilé à une
provision règlementée, permettant ainsi d’isoler l’impact d’une mesure d’incitation fiscale.
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Ensuite on solde le compte d’actifs, ainsi que l’amortissement y affèrent via le compte de VNA
de l’immobilisation cédée.
NB : en cas de moins-value l’entreprise doit constater une provision pour risque et charge, par
respect du principe de prudence.
1.1 Définition :
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Le CGNC a prévu des modes de correction de valeur d’actif immobilisé dont l’utilisation
est limitée dans le temps, afin que l’entreprise puisse donner une image plus fidèle de son
patrimoine. Ainsi l’amortissement est défini comme étant la répartition de la différence
entre la valeur d'entrée et la valeur résiduelle, ou montant " amortissable " sur la durée
d'utilisation de l’immobilisation.
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C’est le cas aussi des moins-values latentes sur immobilisations, si elles sont d'un
montant relatif notable, donnent lieu à constatation de " provisions, pour dépréciation ", ou,
dans le cas exceptionnel où elles présenteraient un caractère définitif, " d'amortissements
exceptionnels ".
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La loi comptable converge parfaitement avec les dispositions du CGNC sur la question
de l’amortissement à part entière, en effet elle distingue entre les différentes formes de
valeur, et ce en assimilant la valeur nette comptable : soit à la valeur d'entrée ou la valeur
nette d'amortissements si la valeur actuelle leur est supérieure ou égale, soit à la valeur
actuelle si elle leur est inférieure.
La particularité du droit comptable à ce sujet est que Selon l’article 1 alinéa 5 : Toutefois,
les personnes physiques dont le chiffre d'affaires annuel n'excède pas deux millions de
dirhams (2.000.000 DH), à l'exception des agents d'assurances, peuvent : procéder au calcul
des amortissements des immobilisations selon une méthode linéaire simplifiée.
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charges déductibles de l’assiette de l’impôt sur les sociétés (ou de l’impôt sur le revenu au
titre des bénéfices industriels et commerciaux) des biens et droits immobilisés. Comme
corollaire il est inévitable que cette pratique soit strictement encadrée par le droit fiscal.
Tout au long de cette section on se focalisera sur les règles fiscales qui se rapportent à
l’amortissement tout en précisant certains privilèges dont il peut se prévaloir.
Les actifs incorporels ne peuvent pas, en règle générale, faire l’objet d’un amortissement.
Selon le CGI, les immobilisations incorporelles sont subdivisées en :
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Par contre, lorsque les frais de recherche et développement sont engagés dans le cadre de
l’exécution d’une commande passé par des tiers, ils sont considérés comme charges de
l’exercice.
Les brevets, marques, droits et valeurs similaires dont l’exploitation est destinée à tomber
dans le domaine public à l’expiration d’un nombre d’années limité, sont susceptible
d’amortissement calculés sur la durée légale du privilège qui est de 20 ans.
1.1.3 fonds de commerce
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a- Terrains :
Les terrains qui, par nature et sauf ces exceptionnels (carrières), ne se déprécient pas par le
temps ou par l’usage, ne peuvent pas faire l’objet d’amortissement. Par contre, leurs
aménagements peuvent valablement donner lieu à un amortissement. Tant que les dits
aménagements ont- en raison de l’importance des travaux – le caractère de véritables
installations et se déprécient par le temps et par l’usage. Les terrains d’exploitation (carrières,
sablières, tourbières) sont constitués par :
* les terrains de surface qui restent après épuisement des matériaux et sont considérés
comme des immobilisations non amortissable.
b- Constructions :
Il est évident que l’amortissement doit porter seulement sur le coût de revient de la
construction proprement dite. A l’exclusion de celui du terrain. En principe, un bâtiment est
amortissable même si sa dépréciation est compensée par une plus-value du terrain sur lequel il
est édifié.
Ne sont pas amortissable, les bâtiments achetés en vue de leur revente par des sociétés se
livrant habituellement ou occasionnellement à des opérations immobilières, du fait qu’ils
constituent un stock immobilier pour ces sociétés.
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le fait qu’un matériel acquis pour les besoins de l’exploitation n’ait pas été mis en service ,
et donc ne se détériore pas par l’usage, ne fait pas obstacle à ce que cet élément d’actif fasse
l’objet d’un amortissement destiné à tenir compte de la dépréciation due à l’obsolescence et à
la vétusté
2-3 Emballages :
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Il convient dès lors de distinguer entre les sociétés immobilières transparentes et celles qui
ne le sont pas.
Dans le cas de sociétés immobilières transparentes (voir article 3 du CGI), les associés ou
actionnaires sont considérés propriétaires de la fraction d’immeuble dont ils ont nommément
et statutairement la libre disposition.
Ainsi les intéressés peuvent immobiliser et amortir la valeur d’acquisition des actions ou
parts sociales correspondant à cette fraction. Le taux d’amortissement est celui appliquée aux
biens immobiliers.
Si selon les termes de location, les constructions doivent revenir sans indemnité au
propriétaire du sol à l’expiration du bail, le locataire peut intégrer dans ses charges outre le
loyer du terrain, l’amortissement desdites constructions calculés d’après la durée du bail. Le
même traitement fiscal est applicable pour les installations et aménagements importants
effectués par l’exploitation dans un local pris à bail.
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Est constituée par la valeur d’origine, hors taxe sur la valeur ajoutée récupérable, telle qu’elle
est inscrite à l’actif immobilisé.
En cas d’immobilisations acquises à un prix libellé en devise, la base de calcul sera la contre-
valeur à la date de facturation.
Pour l’immobilisation produites, le coût de revient pris comme base peut intégrer les
charges d’intérêts relatives aux financements de cette production
Sont considéré comme charges déductibles , les amortissements réellement effectués par
l’entreprise , dans la limite des taux qui sont généralement admis d’après les usages de
chaque profession, industrie, branche d’activité, commerce ou exploitation, et selon la
méthode linéaire . L’annuité est donc calculée en appliquant au coût de revient de chaque
éléments amortissable, le taux admis en usage. Les conventions requises pour les
amortissements soient déductibles sont les suivantes :
* Les biens en cause doivent appartenir à la société et figurer à son actif immobilisé.
a. taux normaux :
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Les taux les plus couramment utilisés pour les biens neufs se résument comme suit :
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En cas de cession ou de retrait de l'actif des véhicules dont l'amortissement est fixé comme
prévu ci-dessus, les plus-values ou moins-values sont déterminées compte tenu de la valeur
nette d’amortissement à la date de cession ou de retrait.
Lorsque lesdits véhicules sont utilisés par les entreprises dans le cadre d'un contrat de
crédit-bail ou de location, la part de la redevance ou du montant de la location supportée par
l'utilisateur et correspondant à l'amortissement au taux de 2O% par an sur la partie du prix du
véhicule excédant trois cent mille (300 000) dirhams, n'est pas déductible pour la
détermination du résultat fiscal de l'utilisateur.
A préciser que la limitation du montant d’amortissement à 300 000 DH TVA comprise doit
être apprécié par rapport au prix du véhicule hors taxe sur la valeur ajoutée et non par
référence au montant des redevances payées.
Location par période n'excédant pas trois (3) mois non renouvelable.
Véhicules utilisés pour le transport public.
Véhicules de transport collectif du personnel de l'entreprise et de
Transport scolaire.
Véhicules appartenant aux entreprises qui pratiquent la location des voitures affectés
conformément à leur objet.
Ambulances.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Les bateaux et filets de pêches sont amortissables selon les taux d’usage suivants :
- d’occasion 33%
20%
- Filets de pêche
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Par conséquent, il est admis de pratiquer des taux d’amortissement supérieurs aux taux
normaux en cas d’utilisation intensive du matériel. De même, la société peut pratiquer des
taux d’amortissement inférieurs aux taux normaux en cas de sous-utilisation du matériel.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
1. Modalités techniques
• 1,5 pour les biens dont la durée d'amortissement est de trois ou quatre ans ;
• 2 pour les biens dont la durée d'amortissement est de cinq ou six ans ;
• 3 pour les biens dont la durée d'amortissement est supérieure à six ans.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
A cet effet, il est précisé que le calcul des dernières annuités impose quelques rectifications
dans la mesure où les dernières annuités peuvent dépasser l’annuité précédente, et comme il
faudrait retenir comme annuité le quotient de la valeur nette d’amortissement sur le nombre
d’années restant à courir à condition que ce dernier soit supérieur au montant de l’annuité
dégressive.
Conformément aux dispositions de L’article 10 (III –C -1°) du CGI, tous les biens
d’équipement acquis à l’état neuf ou d’occasion, peuvent être amortis selon la méthode
dégressive, à l’exception de :
Les biens d'équipement acquis, à l'exclusion des immeubles quelle que soit leur
destination.
Les véhicules de transport de personnes visés au I-F-1°-b) autre que :
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
A signaler aussi que les biens acquis avant le 01/01/2008, s’ils sont amortis selon la
méthode dégressive, la société peut continuer l’amortissement jusqu’à la fin prévue
initialement au plan.
Par contre les biens acquis à compter du 01/01/2008 ( voire Art 8 de la loi de finances n°
38-07 pour l’année budgétaire 2008) les société qui bénéficient de l’application d’un taux
spécifique qui est de 17,50% voir( article 19II-C ) n’ont pas le droit d’accumuler cet avantage
avec l’adoption de la méthode des amortissements dégressifs ,et ce conformément à l’article
165 III (Non cumul des avantages ) :1
1
« L’application des taux prévus aux articles 19 (II-C) et 73 (II-F-7°) ci- dessus n’est pas cumulable avec les provisions
non courantes ou Toute autre réduction287. Le contribuable a le droit de choisir le dispositif incitatif le plus
avantageux. ».
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Aussi, l’option est irrévocable dans la mesure où la société qui a opté pour la méthode
d’amortissement, ne peut plus revenir à la méthode linéaire.
1. Le report déficitaire :
Suivant les dispositions de l’article 12 du CGI, le déficit subi au cours d’un exercice peut
être déduit des bénéfices des 4 exercices fiscaux suivants (durée inferieur ou égale à 12
mois).
Toutefois, la limitation du délai de déduction prévue à l'alinéa précédent n'est pas applicable
au déficit ou à la fraction du déficit correspondant à des amortissements régulièrement
comptabilisés et compris dans les charges déductibles de l'exercice, dans les conditions
prévues à l'article 10 (I-F-1°-b)).
A noter aussi que l’amortissement des immobilisations en non-valeur prévu par l’article 10
(I-F-1°-b). Est soumis à la limitation dans le temps de quatre exercices concernant le report
déficitaire
En cas de déficit subi pendant un exercice, ce déficit est imputé sur le bénéfice de
l’exercice suivant. Si ce bénéfice n’est pas suffisant pour que la déduction soit opérée
intégralement, le reliquat du déficit peut être ainsi reporté aux exercices suivant jusqu’au
quatrième exercice qui suit l’exercice déficitaire. Ainsi tout déficit ou fraction de celui-ci qui
n’est pas imputé durant la durée précitée est définitivement perdue pour la société
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Le résultat fiscal d’une société doit être déterminé en imputant les déficits reportables dans
l’ordre prioritaire suivant :
La part des déficits, hors amortissements, dont le report est limité dans le temps.
Ensuite, la part du ou des déficits correspondant aux amortissements, dont le report
n’est pas limité dans le temps.
1. La méthode linéaire :
L’amortissement linéaire ou constant permet une répartition uniforme de la charge
d’amortissement sur toute la durée d’utilisation, il représente l’amortissement minimal
obligatoire par le droit fiscal.
- Taux d’amortissement : C’est le taux par lequel en multiplie la valeur d’entrée de l’élément
amortissable pour déterminer l’annuité :
Taux d’amortissement = (1/n)*100, Avec n = durée de l’amortissement du bien (voir le cas
pratique)
- Annuité de l’amortissement linéaire : Pour l’amortissement linéaire les annuités sont
calculés en prorata temporise.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
2. La méthode dégressive :
C’est une technique permettant un renouvellement accéléré des immobilisations, son emploi
demeure facultatif avec éligibilité limitée et l’administration fiscale (voir section « aspect
fiscale »).
L’annuité dégressive est égale au produit de la valeur nette comptable multiplié par le
taux dégressif (voir liste des taux dans les aspects fiscaux).
Le point de départ de l’amortissement dégressif est le mois d’acquisition ou
l’achèvement de l’immobilisation.
Le temps couru s’apprécie en mois, même si le bien est acquis le dernier jour du mois
Annuité de l’amortissement dégressif : Annuité = VNA * Taux * mois/12.
Le taux constant est appliqué au moment où il devient supérieur au taux dégressif.
Cette méthode instaurée avait une vocation économique dans la mesure où elle vise à
juguler l’effet de l’inflation sur les coûts de renouvellement des actifs, en le compensant par
des économies d’impôts
Ce système est propice à une économie connaissant une forte croissance industrielle.
Comme limite de cette méthode, elle parait moins pertinente dans une économie où les
tensions inflationnistes demeurent relativement maitrisable, en effet certains équipements
affichent des prix courants en raison de la pression concurrentielle et ce en dépit de leur
évolution technologiques considérables.
Le cas du matériel informatique est mieux placé pour illustrer ce constat, il enregistre
des baisses de prix relatifs considérables si on les étalonne avec la capacité technique.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
3. Amortissement réel :
Il consiste à calculer des dotations aux amortissements aussi proches de la dépréciation
réelle subie et dû à une usure effective de l’immobilisation, ce qui est complexe sur le plan
pratique, et comme alternative possible on recourt à une valeur de remplacement.
Celle-ci suppose que les marchés d’occasion des biens d’équipement soient suffisamment
développés, sachant bien que la valeur vénale ne sera ainsi que des simples estimations des
prix de revente (les prix réels étant ceux des transactions effectives, autrement dit on ne
connaitra les prix avec certitude que lorsqu’ils seront réellement vendus et donc l’entreprise
liquidée, ce qui remet en cause le principe comptable fondamentale à savoir la continuité
d’exploitation.
Cette méthode est mixte, en effet elle est linéaire d’une part vu que la base
d’amortissement est constant (valeur d’origine), d’autre part elle dégressive vu que les
coefficients en suivant une suite arithmétique de raison (-1).
L’avantage procuré via cette technique, est qu’il n’est pas nécessaire de changer de méthode
pour calculer les dernières dotations aux amortissements comme c’est le cas pour le dégressif.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
1. Norme IAS 16 :
Objectifs de la norme : Les immobilisations corporelles sont traitées par L’IAS 16.Cette
norme met en évidence les questions fondamentales concernant la comptabilisation des
immobilisations corporelles : la détermination de leur valeur comptable ainsi que des
dotations aux amortissements et des pertes de valeur correspondantes.
1.1 Définition
Selon L’IAS 16, les immobilisations corporelles sont des actifs corporels :
Les principales immobilisations corporelles sont : les terrains ; les constructions ; les
machine ; Les moyens de transports ; etc.
L’IAS 16 donne la possibilité à une entité de choisir entre deux méthodes : le modèle du coût ou
le modèle de la réévaluation.
.le modèle du coût : une immobilisation corporelle doit être comptabilisée à son coût
diminué du cumul des amortissements et du cumul des pertes de valeur.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Remarque : pour les immobilisations corporelles, la juste valeur est « le montant pour
lequel un actif pourrait être échangé entre parties bien informées, consentantes et agissant
dans des conditions de concurrence normale ».
1.3 Amortissement
La valeur résiduelle est le montant que l’entreprise peut espérer obtenir d’une immobilisation à
la fin de son utilisation après déduction des frais estimés de revente.
Le montant amortissable d’un actif doit être reparti systématiquement sur sa durée d’utilité qui
est :
Soit la période pendant laquelle l’actif sera utilisé ; ou
Soit le nombre d’unités de production ou d’unité similaires que l’entité s’attend à
obtenir de l’actif.
Selon les IFRS, le mode d’amortissement appliqué à un actif doit être examiné au moins à la
fin de chaque période annuelle.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
2.1 – Généralités :
Une approche introduite dans le cadre de l’IAS 16, et qui représente une innovation dans la
correction des valeurs des immobilisations, Elle consiste à subdiviser les immobilisations
corporelles en parties distinctes et à comptabiliser chaque élément séparément.
Cette ventilation doit être effectuée lorsque les durées d’utilité sont différentes ou lorsque les
avantages procurés à l’entreprise s’effectuent selon des rythmes inégaux.
Plusieurs exemples mettent en avant cette disparité entre la durée d’utilité de la structure à part
entière et quelques un de ses propres composants tels que :
• pour un avion : moteurs, sièges,…
• pour un immeuble : toiture, chaufferie, ascenseurs,…
• pour un véhicule : pneus, éléments mécaniques,…
Le référentiel comptable international précise aussi comme 2ème catégorie de composant qui
est constituée par les dépenses dites de gros entretien qui donnaient
Généralement lieu à constitution de provisions pour grosses réparations, dans le cadre du CGNC
alors la norme IAS 37 n’admet pas que ces puissent faire l’objet de provisions. Cette norme
considère que l’entreprise n’aura à encourir de telles charges que si elle décide de continuer à
exploiter le bien.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
a. Valeur résiduelle :
Elle peut être retenue dans le calcul de la base d’amortissement, si elle était susceptible de
modifier de façon sensible le calcul des annuités, mais dans la pratique la tendance est plutôt
vers une considération dérisoire pour deux motifs :
• par application rigoureuse du principe de prudence, une valeur résiduelle pouvant sous-
estimer la dépréciation à enregistrer,
On notera que le référentiel IASB a introduit une exigence supplémentaire, étant donné qu’il
impose une révision périodique de la valeur résiduelle et ce en prenant pour base la valeur
vénale de l’actif, à la fin de son utilisation.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
L’entretien envisagé ne doit pas prolonger la durée de vie au-delà de celle prévue
initialement.
L’approche par composants (y compris les gros entretiens) aboutit à un étalement uniforme
du coût. Elle repose sur une base d’amortissement correspondant au coût d’origine, et sur des
taux d’amortissement liés aux durées d’utilité des composants de l’actif.
c. Modalités de passage :
Avant d’illustrer les méthodes d’application, il faudrait préciser que les normes IFRS insistent
sur l’application rétrospective de cette démarche par composante, visant à assurer une bonne
lisibilité de l’information financière. L’impact du changement de méthode est à mettre en
évidence dans les capitaux propres.
La mise en œuvre de ces méthodes sera appuyée sur l’exemple ci-après : Soit une
immobilisation acquise 100 il y a 4 ans, et amortissable sur 10 ans. Elle va être décomposée
en la structure (durée d’amortissement inchangée) et en un composant A (qui doit être
renouvelé tous les 6 ans). Les amortissements antérieurement pratiqués s’appliquaient à
l’immobilisation dans sa globalité, et s’élèvent à : (100 /10) x 4 = 40
Cette méthode consiste à reconstituer : d’une part le coût réel historique des composants,
d’autre part les amortissements qui auraient dû être appliqués.
À partir des factures d’origine, ou afférentes au dernier remplacement, on peut définir les
montants des composants à porter à l’actif du bilan. En outre, il y a un “recalcule” des
amortissements en se basant sur ces valeurs, et en tenant compte des nouvelles durées
d’utilisation.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Structure Composant A
Amortissements anciens 73 x 4/10 = 29,2 27 x 4/10 = 10,8
Amortissements nouveaux 73 x 4/10 = 29,2 27 x 4/6 = 18
Retraitement 0 - 7,2
Cette méthode ne comporte pas des recalcules des annuités d’amortissement, vu que le
coût d’origine des composants est basé la juste valeur de l’actif à la date de première
application de l’approche par composants. La juste valeur fait ensuite l’objet d’une ventilation
entre les différents composants.
Les justes valeurs constituent les nouvelles valeurs servant de base au calcul des
amortissements. Elles sont amorties sur les durées résiduelles restant à courir.
46
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
La variation de valeur de l’actif qui découle de cette méthode peut être une majoration ou
une minoration. Elle est portée en capitaux propres.
comptable
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Conclusion
Cette méthode conduit à une réévaluation partielle des actifs amortissables, alors que le
CGNC prescrit une réévaluation globale de l’ensemble des immobilisations corporelles et
financières.
Pour conclure, cette réforme via l’approche par composante manifeste en premier lieu la
difficulté d’établir des prévisions fiables. Or, c’est à partir de prévisions propres à l’entreprise
que va être mis en place le plan d’amortissement d’une immobilisation : durée d’utilité, valeur
résiduelle, intégration des dépenses de gros entretien.
Comme corollaire tous les écarts ne pourront pas être comblés par le biais
d’amortissements dérogatoires. L’amélioration de l’information financière pourrait ainsi
avoir un coût fiscal.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Chapitre 2 :
Methodologie et
champs d’application.
49
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Etant donné que le Maroc est l’un des pays reconnus par l’exportation des agrumes et
primeurs, malgré quelques difficultés rencontrées et qui sont tributaires des conditions
climatiques et concurrentielles.
FANTASIA par son ancienneté et son efficacité relative à la qualité de ses produits et
services, est l’un des leaders sur le marché des emballages en bois au Maroc. En effet la firme
s’accapare de 50% du marché, Ses 500 collaborateurs fabriquent 15 à 18 millions
d'emballages par an et 400 000 palettes.
50
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
1. Historique :
Depuis 2004, FANTASIA s’est équipé de tunnels de séchage aux normes européennes
pour garantir la conformité sanitaire des matériaux d'emballages à base de bois destinés au
Commerce International.
Dans les années 90 Fantasia était une succursale du groupe PINAULT PRINTEMPS
REDOUTE mais actuellement elle est devenue une filiale du groupe CFAO.
2. Le groupe CFAO :
51
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
3. Fiche technique :
52
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
L'admission temporaire se fait en tenant compte du régime économique sous lequel est
placée l’entreprise. Ces A.T concernent la régularisation des matières premières importées
pour fabriquer les produits destinés à l’exportation, mais en respectant une certaine durée de
détention de ces matières c’est à dire dès leur réception jusqu’à l’exportation des produits
emballés.
Figure: Processus des admissions temporaires :
Souscription de L’AT
Enregistrement de L’AT
Demande de cautionnement
Dépôt de douane 53
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
5. Objectifs stratégiques :
Aujourd’hui la société possède environ 50 % de part de marché. Elle s’est fixée comme
objectif stratégique de maintenir cette part de marché et de l’augmenter au mieux.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Ces objectifs stratégiques que nous venons de voir doivent orienter FANTASIA dans
ses actions futures. Ils s’inscrivent dans la formulation de la stratégie de l’entreprise.
55
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Chapitre 3 :
Analyse de la
pratique de
l’amortissement
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Introduction
Ainsi l’amortissement et les dotations aux amortissements constituent des postes comptables
à étudier au préalable de tout diagnostic, toutefois il convient de prendre en compte d’autres
paramètres en considération dans une analyse financière.
Si on raisonne à partir du compte de résultat, il parait claire que les dotations aux
amortissements ainsi que les reprises sur amortissements sont enregistrés aux trois niveaux du
compte de résultat, même si elles apparaissent normalement de manière prépondérante au
niveau de l’exploitation.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Reste que le plus important qui intègre l’amortissement est la capacité d’autofinancement
(C.A.F) dont la formule est illustrée selon l’état de solde de gestion comme suit :
RN
+/- Charges/ récupérations calculées (dotations /
CAF = reprises d'amortissements et provisions)
+/- Gains / pertes sur cessions d'immobilisations
+ Quote-part de subventions virées aux résultats
La CAF est le solde résiduel des flux d'argent venant de toutes les opérations de gestion
(D’exploitation, financière) et de certaines opérations exceptionnelles.
58
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
La CAF est déterminée après impôt. Elle est donc influencée indirectement par la politique
d'amortissements et de provisions.
Ce constat démontre encore une fois, l’importance des dotations d’amortissement dans la
formation du flux potentielle issue de l’activité normale.et aussi dans l’épargne nette
constitué ; vu que l’autofinancement a connu une tendance haussière, pour deux raison :
2. L’équilibre financier
Le principe de l’équilibre financier repose sur une règle d’orthodoxie financière qui stipule
que Le besoin de financement des emplois stables doit être couvert par des ressources
stables.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
a. Le fond de roulement
Le fonds de roulement est la partie de l’actif circulant financée par des ressources stables. Il
correspond au surplus des capitaux permanents sur les actifs stables (valeurs immobilisées
nette). En principe, le FRNG doit être positif.
La valeur du fond de roulement est intrinsèquement liée à celle des amortissements dans la
mesure où :
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
FDR
56 000 000,00
54 000 000,00
52 000 000,00
50 000 000,00
46 000 000,00
44 000 000,00
42 000 000,00
2010
2011 2011
2012
On constate une amélioration du fond de roulement de 15,23% durant l’exercice 2011 , cela
s’explique par une augmentation de l’actif immobilisée net plus proportionnelle que celle des
capitaux permanents, en effet valeur nette des immobilisations a augmenté de 16,39% pour
atteindre 30 961 319 dh courant 2011.
Un fonds de roulement est nécessaire aux entreprises du fait du décalage dans le temps :
Décalages entre les achats et les ventes, ceux-ci entraînent la constitution des stocks
Décalages entre les produits comptables (ex : les ventes) et les paiements
correspondants qui donnent naissance à des créances.
Ces décalages créent un besoin en fonds de roulement. Le besoin en fonds de roulement est
cependant atténué par le décalage de sens opposé entre les charges et les paiements
correspondants. Ces derniers donnent naissance à des dettes.
61
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Le calcul du besoin en fonds de roulement se réalise par différence entre les emplois
circulants et les recettes circulantes.
En générale le BFR a connu une véritable régression durant l’exercice 2011 de 64,59 %, le
besoin en financement, a été éponger principalement par les ressources circulantes qui ont
franchi la barre de 120 mdh en 2011 enregistrant ainsi une hausse de 41,18%, surtout au
niveau des crédits fournisseurs hausse de 67,84%
62
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Il parait que la durée moyenne de rotation des créances reste relativement élevée malgré
qu’elle soit réduite de 4,84% durant l’exercice 2011.
63
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Mesure la durée moyenne du crédit accordé à l’entreprise par ses fournisseurs (ou plus
exactement le délai moyen de paiement de celle-ci), en rapportant l’encours fournisseurs aux
achats journaliers moyens :
En comparant la rotation moyenne des crédits clients avec celle des crédits fournisseurs, il
s’avère que l’entreprise dispose d’une force de négociation importante avec ses fournisseurs
dans la mesure où le délai moyen de règlement s’est prorogé de 49,46% pour atteindre 176
jours d’achat, ce qui confère à la firme une marge de manœuvre confortable pour le
financement de son cycle d’exploitation.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Qui traduit le délai d’écoulement des produits finis, et se calcule par rapport au prix de
revient :
Compte tenu de la marge estimée à un taux de 27% par rapport aux ventes l’évolution du ratio
s’illustre comme suit :
ventes annuelles de produits finis 189 120 614 226 479 056 19,75%
prix de revient des ventes annuelles 138 058 048 165 329 711 19,75%
On constate que le délai d’écoulement des produits finis s’est considérablement élargi
durant les deux exercices pour atteindre une durée moyenne de 23 jours d’achat, ceci revient
à l’accumulation excessive du stock qui a augmenté de 211,30%, pouvant ainsi poser
quelques problèmes de liquidité réduite .(voir liquidité)
c. La trésorerie
C’est la trésorerie qui équilibre cette différence et qui permet ainsi d’ajuster le BFR et le
fonds de roulement.
65
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
3. Solvabilité
En cas de liquidation d’une entreprise, la valeur nette comptable des immobilisations n’est
qu’une valorisation conventionnelle vu qu’on ne peut préjuger leur prix effectif de cession.
L’appréciation de la solvabilité peut s’opérer à travers différents ratios :
66
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
La représentativité de l’endettement reste minime par rapport aux capitaux propres malgré
l’augmentation des dettes de financement de 325,89%, ainsi l’entreprise est inéluctablement
solvable en cas de liquidation.
4. Liquidité
L’étude de la liquidité vise à s’assurer que l’entreprise dispose suffisamment d’actifs à court
terme liquide pour faire face à ses échéances financières dans le cadre de son activité
courante, à trouver de nouvelles sources de financement, et à assurer ainsi à tout moment
l'équilibre entre ses recettes et ses dépenses .L’amortissement des actifs immobilisés n’a que
très peu d’incidences les équilibre de bas de bilan.
Quant à l’appréciation de la liquidité, on peut l’opérer via les deux ratios suivant :
a. le ratio de liquidité générale : Actifs circulants / Passif exigible à court
terme
Ce rapport permet de vérifier que les actifs à moins d’un an sont plus importants que les
dettes à moins d’un an et permettent donc de les rembourser.
Passif exigible à court terme 85 120 595 120 177 072 41,18%
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Comme la liquidité générale, la liquidité réduite a connu la même tendance mais avec des
taux de couverture faibles (dépassant de près la moitié du passif exigible) ceci est
principalement dû à la liquidité insuffisante des stocks (surtout venant des produits finis
hausse de 211,30% durant l’exercice 2011.
5. Endettement
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Pour analyser la structure de financement on peut faire appel à deux principaux ratios qui
utilisent la C.A.F (et donc aux amortissements).
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Un ratio compris entre 1/ 3 et 1/5 indique que l’entreprise doit être placée sous
surveillance.
Un ratio inférieur à 1/5 (autrement dit une C.A.F annuelle inférieur à 20% de l’endettement à
moyen et à long terme) signifie que la probabilité de cessation de paiement de l’entreprise
est élevée.
L’ampleur des ressources internes générées par l’activité normale (la C.A.F) permet une
large couverture de l’ensemble de la dette bancaire avec une amélioration considérable de
70%, et ce en dépit de l’augmentation de l’encours de la dette moyen et long terme de
325,9%. Ce qui corrobore encore une fois l’autonomie financière de l’entreprise.
NB ; on retrouve une règle bien connue des financiers qui veut que les dettes à moyen et long
terme soient remboursées par les bénéfices, tandis que les dettes à court terme le sont par le
chiffre d’affaire. Les crédits bancaires à court termes s’analysent comme étant des avances
consenties pour financer le cycle d’exploitation.
6. Rentabilité :
La rentabilité comptable est le rapport entre l’accroissement de richesse (le résultat) et les
capitaux investis. Il ne faut pas confondre marge et rentabilité : la marge est le rapport d’un
70
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Afin d’illustrer l’évolution de la rentabilité, on peut recourir à quelques ratios qui utilisent
directement ou indirectement les amortissements :
La rentabilité des capitaux propres s’est amélioré de 7%, cela revient à l’augmentation plus
proportionnelle de la CAF qui dépends intrinsèquement des dotations d’exploitation, ces
derniers ont augmenté de 42 ,62 % .
Ce ratio mesure la capacité de l’actif à générer une épargne interne, il est parallèlement
assimilé à la rentabilité économique :
71
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Bien évidement ces ratios complètent la lecture de la rentabilité qui s’apprécie par des
ratios plus usuellement utilisés en rapportant le résultat net au capitaux propres d’une part , et
rapportant aussi Résultat d’exploitation*(1-Taux IS) à l’actif économique d’autre part .
Ces deux ratios mesurent la part de l’épargne brute de l’entreprise respectivement dans la
valeur ajoutée et la production totale, ces derniers peuvent être assimilés au ratio de marge
(Résultat net / chiffre d’affaire) dans une acception plus globale.
La part de l’épargne brute dans la valeur ajoutée a enregistré une amélioration de 7,45%
durant les deux exercices ceci est dû principalement à l’évolution moins proportionnelle de
la valeur ajouté par rapport à la C.A.F, en effet la composante intrinsèque « consommation »
a augmenté à son tour de 13,38%.
Quant à la part de l’épargne brute dans la production totale, elle affiche un accroissement
d’ampleur similaire du précédant ; 6,29% pour atteindre 5,27% de la production de l’exercice
72
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
2011, ce constat sous tends l’évolution plus proportionnelle de la C.A.F par rapport à la
production de l’exercice.
10% 2%0% 6% 1%
2%
10%
3%
66%
73
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Ce ratio est un bon indicateur de l’âge des immobilisations, en effet le cumul des dotations
aux amortissements permet de lisser les évolutions prenant en compte des raisons fiscales et
non économiques.
D’après la fiche des immobilisations corporelles leur vétusté générale a franchi le taux de
70%, ainsi l’enjeu du renouvellement de l’appareil productif de la firme demeure plus capital
que jamais. De surcroit, on détaillant ce taux de plus près :
Répartition de vétusté
3. Remarques
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
La technique d’amortissement par composante n’est pas faisable pour la firme pour 2
raisons :
Technique : cela nécessite des informations précises quant à la valeur de chaque
composante d’un actif, ce qui n’est pas mentionné en amont (dans les factures
d’achats)
Juridique : la réévaluation des actifs s’effectue d’une manière intégrale, de plus elle
n’est pas reconnue par le droit fiscal
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
On suppose une machine acquise le 1er janvier N, avec valeur d’entrée moyenne (d’après le
tableau des immobilisations) de 227 356,49 dh amorti sur 10 ans.
1 22 735,65 68 206,95
2 22 735,65 47 744,86
3 22 735,65 33 421,40
4 22 735,65 23 394,98
5 22 735,65 9 098,05
6 22 735,65 9 098,05
7 22 735,65 9 098,05
8 22 735,65 9 098,05
9 22 735,65 9 098,05
10 22 735,65 9 098,05
76
E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
2. Recommandations
L’entreprise peut d’avantage profiter des avantages fiscaux procurés par la méthode
dégressive qui est un régime d’option irrévocable. Comme son utilité a été prouvée avec la
méthode actuarielle, cette méthode aussi l’avantage de palier l’effet d’inflation sur les
coûts de renouvellement d’actif en compensant ceci par des économies d’impôts. Reste
que l’entreprise doit s’aligner aux conditions d’éligibilités inhérentes à cette pratique.
Le droit fiscale autorise un amortissement économique à condition qu’il soit justifié dans
l’annexe comptable, ceci nécessite inéluctablement l’intervention du service technique
afin d’évaluer la dépréciation réelle de chaque immobilisation.
s’il est manifeste qu’à court terme, les loyers supportés en location des actifs représentent
un coût supérieur -malgré leur déductibilités fiscale en totalité- à celui composé des
dotations aux amortissements et des frais financiers y afférents, l’entreprise s’engage dans
cet arbitrage tant qu’il est rentable à long terme.
Conclusion
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Conclusion générale
Durant ce stage qui a débuté de Mars à fin Mai 2013, j’ai été affecté au service comptable.
Ce projet de fin d’étude s’aligne parfaitement à la stratégie de renouvellement de l’appareil
productif adopté par la SME FANTASIA, ce genre d’étude s’avère aussi intéressant pour mon
cursus.
En effet cette expérience m’a appris que le politique d’amortissement qui est largement
perçus comme une simple technique comptable, est en fait une technique connotant une
pluralité de significations tant au plan économique que financier , surtout pour une entreprise
industrielle qui déploie des immobilisations corporelles.
Le constat de l’étude est que l’entreprise dispose bien évidemment d’une large série
d’immobilisations dont les installations techniques représentent plus de la moitié, de surcroit
leur vétusté est considérablement élevée, la révision du pal d’amortissement est quasiment
rare vu les méthodes choisi sont fresques uniformes.
Par le biais de cette étude nous avons démontré ceci en chiffre, ainsi que son impact sur
l’équilibre financier, tout en proposant des pistes d’amélioration de la pratique
d’amortissement dans la firme.
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E TUDE DE LA PRATIQUE DE L’AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES
Annexes
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Bibliographie :
Edition 2012.
2010.
Norme IAS 16
Webographie :
http://pgreenfinch.pagesperso-orange.fr/ancaf.htm (28 mars)
https://www.mazars.fr/Accueil/Expertise/Financial-Advisory-Services/Glossaire-
Definition/P/Politique-d-amortissement (5 avril 2013)
www.focusifrs.com/content/view/full/3380 ( 2 avril)
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