Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
GESTION FINANCIÈRE
ET ÉTUDE DE
MARCHÉ
ENSEIGNANT : EXPOSANT :
M.KROKPA ABBA Dan Dodo
ADIKO Chiedas Gildas
AGO Amani Horeb-Le Rocher
ALAGBE Marc
BAMBA Siaka
1-Analyse de la rentabilité………………………………………………………..6
3. Principes de base………………………………………………………………9
4. Réalisation de l’étude de marché……………………………………………..11
CONCLUSION………………………………………………………………...15
BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………..16
Ou par ses tiers: Le but est de juger la santé financière de l’entreprise par
les divers partenaires économiques et financiers. Il s’agit par exemple du
banquier avant l’octroi d’un crédit ou encore du fournisseur avant d’entrer
en affaire avec l’entreprise
Planifier l’utilisation des ressources limitées et les allouer aux activités les
plus productives.
Les variables agissent sur la formation des prix sur le marché financier comme le
taux d'intérêt, le taux de change … Les procédures visent à organiser et à réguler
les comportements financiers comme les règles relatives au contrôle du crédit, à
l'organisation des professions bancaires, à la fiscalité…
1-Analyse de la rentabilité
La méthode des ratios, est une technique d’analyse financière, consiste pour
l’analyse à opérer une sélection dans l’énorme masse d’informations comptables
et à effectuer des rapprochements entre différents postes afin de calculer des
indicateurs financiers qui mettent en évidence les caractéristiques économiques et
financière de l’entreprise étudié.
GESTION FINANCIÈRE ET ETUDE DE MARCHÉ 6
3-Etude de cas pratique : Nestlé
Le fonds de roulement représente l’excédent de l’autofinancement et de
l’endettement long terme et des fonds empruntés qui doivent financer les
investissements. Le fonds de roulement se calcule par la différence entre les
capitaux permanents et l’actif immobilisé. Pour l’entreprise Nestlé, la somme des
capitaux permanents est égale à : La somme des capitaux propres (capitaux
propres et autres fonds propres + provisions pour risques et charges) + La somme
des dettes à long terme (dettes à plus d’un an) Pour l’entreprise Nestlé, l’actif
immobilisé correspond aux : Valeurs immobilisées nettes
(V.I.N = Immobilisations corporelles, incorporelles et financières).
Entre 2012 et 2013, la trésorerie a connu une évolution positive. Elle passe
de - 242.919 à - 145.973 soit - 39,91%. Cette évolution est donc profitable à
l’entreprise. Entre ces trois années, le FR s’est fortement amélioré et le BFR quant
à lui a légèrement diminué ce qui confère toujours à Nestlé une trésorerie
largement négative mais en progression. Conclusion Entre 2003 et 2004, on
constate que le FR et le BFR ont connu une diminution.
Le risque financier est donc faible, il est en effet négatif et tend à diminuer
ce qui constitue un point positif pour Nestlé. Appréciation de l’endettement à
terme Un ratio moyen doit être supérieur à 1. Entre 2012 et 2013 : Le ratio
augmente de 6,81%. Entre 2013 et 2014 : Le ratio augmente de 6,605%. Nestlé
détient un ratio largement positif qui s’accroisse au cours de ces trois années.
Après de longues périodes de réflexion, l’on tient enfin une idée de création
d’entreprise. A ce stade il est plus que nécessaire de réaliser une étude de marché.
Cette démarche permettra de mesurer la faisabilité du projet et de s’assurer que le
projet correspond à un besoin des consommateurs. Mais comment réaliser une
étude de marché ?
L’étude de marché, c’est l’étude de l’état actuel de marche et la prévision de son
état futur, selon cette approche, l’étude de marche c’est d’abord une description
chiffrée de la situation actuelle, puis dans une 2émé étape, une explication du
pourquoi de ces chiffres quantitativement et qualitativement, enfin l’étude de
1. Définition
C’est une synthèse de divers éléments récoltés selon divers moyens et auprès
de diverses sources pour corroborer la pertinence d’un projet de création.
Indispensable pour tous créateurs d’entreprise, l’étude de marché doit répondre
sans ambiguïté à des questions clés pour la réussite du projet.
Selon l’Agence Pour la Création d’Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance
ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient
mal réalisées ou de manière hasardeuse ou même qu’elles soient quasiment
inexistantes. Ce chiffre illustre l’importance stratégique d’une étude de marché.
Analyse concurrentielle
Lorsque cela est possible, l'étude de marché s'efforce d'essayer de quantifier les
parts de marché de chacun des acteurs afin de permettre aux décideurs d'évaluer
l'efficacité de leur stratégie commerciale
3. Principes de base
Étude de
l’environnement et
des offres existantes
Marché et
concurrents Clients
actuels actuels
Choix de la cible
précise
Étude de ces
Construction d’un clients Estimation d’un
plan marketing de potentiels chiffre d’affaires
lancement potentiel
Les principales questions auxquelles doit répondre une étude de marché sont :
Mon idée répond-elle à un besoin et ceci, chez un nombre suffisant de
clients solvables ?
Ai-je à ce jour les atouts nécessaires pour attirer ces futurs clients ou sera-
t-il aisé de les acquérir ?
Elle permet de recueillir des données très diversifiées portant sur des
domaines eux aussi très diversifiés ;
Les études qualitatives sont des études à caractère intensif qui utilisent comme
procédure de récolte de données une approche « ouverte », non directive,
permissive et indirecte des personnes interrogées.
Les études qualitatives par communication visent à un approfondissement du sujet
traité. Le mode d’interrogation est non structuré et le nombre de contacts y est
relativement peu élevé. Elles recherchent les causes, les fondements d’un
comportement, d’une attitude, d’une perception.
De plus, leur méthodologie présente les caractéristiques suivantes :
Elle part du principe que la réalité n’existe pas mais que chaque personne a
une perception différente de la réalité, possède sa propre perception.
BOSS J.-F. et LINDON D., « L’efficacité des études de marché », Revue française du
marketing, no 134, 1991/4, pp. 35-49.
FAIVRE J.-P., « Des études classiques aux études stratégiques », Revue française du marketing,
no 142-143, 1993/2-3, pp. 75-88.
FLORES L., « Web 2.0 et études de marché : vers une nouvelle génération d’études de marché
? », Revue française du marketing, no 220, 2008, pp. 7-16.
GILLES M., « Le consommateur change, les études aussi. État des lieux après la tempête »,
Revue française du marketing, no G201, 2005, pp. 111-126.
LE MAIRE P., « Comment améliorer les relations entre les cabinets d’études et leurs clients ?
», Revue française du marketing, 1979/4, pp. 41-49.
NICHOLSON P., « Marketing : réconcilier les hommes d’études et les décideurs », Revue
française de gestion, no 61, janvier/février 1987, pp. 22-32.
SMITH S.M., « Research and pseudo research in marketing », Harvard Business Review, avril
1974, pp. 73-76.
WALISER B., « Évaluation des études d’aide à la décision dans les administrations centrales
», « Le processus de décision dans les organisations », Journée d’études AFCET, Paris, 1980.
1 ère année Master d’université (S1) : Finance, comptabilité, Audit et contrôle, Ecole Nationale
de Commerce et de Gestion d’Oujda