: L’escarre est liée à la pression constante donc :
L’immobilisation d’un patient au fauteuil ou au lit, provoquant une
pression constante sur la peau, voire un cisaillement de la peau ou un frottement chronique sur les zones de proéminence osseuse : sacrum, fesse, hanches, chevilles, coudes, partie postérieure du crane en contact avec le lit :
Absence du matériel limitant le risque d’escarre : lit ou fauteuil anti –
escarre, de coussins limitant les appuis prolongés ou cales de mousses évitant le contact direct ;
Absence de changement de position régulière d’un patient (si son état de
santé le permet de changer la position) ; Absence ou diminution de sensibilité à la douleur d’un patient ; Absence de technique de positionnement et de transfert corrects d’un malade : immobilisé, ayant pour but de limiter les frottements et les cisaillements de la peau ; Zones d’humidité excessives liées à l’incontinence, la transpiration ou les exsudats des plaies ; Dénutrition ou état cachectique Absence de soin de kinésithérapie et de rééducation en vue d’une reprise de l’autonomie et de la marche, lorsque l’état de santé du patient s’améliore. Les personnes les plus à risque de développer une escarre :
Les personnes à risque sont les personnes immobilisés ou grabataires telle
que les patients hospitalisés et alités de façon décubitus prolongée comme : Les patients hémiplégiques, les malades dans le coma inconscients, le malade paralysé ne peut pas changer de position, et les malades présentant des troubles de la circulation sanguine : cardiaques, vieillards…